Mouammar el-Kadhafi à 27 ans
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VIDEO - Hillary Clinton folle de joie et hilare en apprenant la mort de Kadhafi
VIDEO http://www.youtube.com/watch?v=mlz3-OzcExI
(le code embed a été supprimé par Youtube pour cette vidéo)
AGORA VOX - 21/10/11
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"Marseille hors de contrôle": un reportage accablant de France 24
Règlements de compte en plein jour, trafic en tous genres… À Marseille, en quelques mois, la délinquance a explosé et gangrène tous les quartiers. Face à des adolescents des cités qui font régner le désordre, la police semble dépassée. L’Etat aurait-il abandonné la ville ? Enquête au cœur de la violence marseillaise. (France 24, 21/10/11)
21/10/11
Merci à F .Desouche
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Note du Saint-Siège sur la mort de Mouammar Kadhafi
La mort du Colonel Kadhafi met fin au sanglant processus de renversement d’un régime oppressif, qui oblige une fois encore à peser le coût humain de la libération d’une système socio-politique fondé sur un pouvoir absolu et non sur le respect de la dignité humaine. Il faut maintenant espérer que le peuple libyen ne subisse pas d’autres violences, que ses dirigeants pacifient et reconstruisent le pays dans un esprit de réconciliation, sur la base de la justice et du droit, et que la communauté internationale apporte une aide consistante à cette renaissance.
Si la petite communauté catholique locale continuera d’offrir un service social et sanitaire désintéressé, le Saint-Siège soutiendra le peuple libyen au plan international, dans un esprit constant de justice et de paix. Ne reconnaissant que les États, et conformément au droit international, le Saint-Siège n’a pas reconnu formellement de Conseil national de transition qui, désormais en place à Tripoli doit être considéré comme l’organe légitime de représentation de la Libye. Depuis les changements politiques survenus à Tripoli, le Saint-Siège a eu divers contacts avec les nouvelles autorités, mais aussi avec l’ambassade libyenne. Lors de sa récente participation à l’assemblée générale de l’ONU, Mgr.Dominique Mamberti, Secrétaire pour les rapports avec les États, s’est entretenu avec le représentant permanent de la Libye, M. Abdurraham M-Shalgham. Plus récemment encore, du 2 au 4 octobre, Mgr.Tommaso Caputo, nonce apostolique en Libye mais résident à Malte, a effectué une visite de trois jours à Tripoli, au cours de laquelle il a rencontré le premier ministre du CNT, M.Mahmoud Jibril, et s’est rendu au ministère des affaires étrangères. En l’occurrence, les parties ont réaffirmé l’importance de leurs relations diplomatiques. Le Saint-Siège a également réaffirmé son soutien au peuple libyen comme à la transition en acte, souhaitant aux nouvelles autorités de réussir à redresser leur pays. Le CNT a pour sa part dit apprécier les appels humanitaires lancés par le Pape et l’engagement de l’Église locale, principalement dans les hôpitaux et centres de soins, où agissent treize communautés religieuses, six en Tripolitaine et sept en Cyrénaïque.
Réseau Voltaire - 21/10/11
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Le lynchage de Mouammar Kadhafi, par Thierry Meyssan
Autres articles: http://www.voltairenet.org/Le-lynchage-de-Mouammar-Kadhafi
Jeudi 20 octobre 2011, vers 13 h 30 GMT, le Conseil national de transition libyen a annoncé la mort de Mouammar el-Kadhafi. Bien que confus, les premiers éléments laissent à penser qu’un convoi de voitures a tenté de quitter Syrte assiégée et a été bloqué et partiellement détruit par un bombardement de l’OTAN. Des survivants se seraient mis à l’abri dans des canalisations. M. Kadhafi, blessé, aurait été fait prisonnier par la brigade Tigre de la tribu des Misrata qui l’aurait lynché.
Le corps du « Guide » de la Grande Jamahiriya arabe socialiste n’a pas été conservé dans sa ville natale de Syrte, ni transporté à Tripoli, mais acheminé comme trophée par les Misrata dans la ville éponyme.
La tribu des Misrata, qui a longtemps hésité à choisir son camp et est quasi absente du CNT, aura finalement investi Tripoli après son bombardement par l’OTAN, et aura lynché Mouammar el-Kadhafi après le bombardement de son convoi par l’OTAN. Elle aura même transféré son corps dans sa ville pour marquer son triomphe. En juillet, le « Guide » aura maudit les Misrata, leur enjoignant de partir à Istanbul et Tel-Aviv, faisant allusion au fait que leur tribu est issue de juifs turcs convertis à l’islam.
Un flot de commentaires préparés à l’avance a été déversé instantanément par les médias atlantistes visant à diaboliser Mouammar el-Kadhafi et, de la sorte, à faire oublier les conditions barbares de sa mort.
Les principaux dirigeants de la Coalition ont salué la mort de leur ennemi comme marquant la fin de l’opération « Protecteur unifié ». Ce faisant, ils admettent implicitement que celle-ci ne visait pas à mettre en œuvre la Résolution 1973 du Conseil de sécurité, mais à renverser un régime politique et à en tuer le leader, alors même que l’assassinat d’un chef d’État en exercice est interdit en droit états-unien et universellement condamné.
De plus, le lynchage de Mouammar el-Kadhafi montre la volonté de l’OTAN de ne pas le déférer à la Cour pénale internationale qui n’aurait pas été plus en mesure de le condamner pour crime contre l’humanité que le Tribunal pénal pour l’ex-Yougoslavie ne put prouver la culpabilité de Slobodan Milosevic malgré deux ans de procès.
Dans le torrent de boue déversé par les médias atlantistes pour salir sa mémoire, reviennent en boucle des accusations mensongères, ce qui montre a contrario que ces médias disposent de peu d’éléments authentiques utilisables à charge.
Ainsi revient l’affaire de l’attentat contre la discothèque La Belle à Berlin (5 avril 1986, 3 morts), jadis utilisée comme prétexte par l’administration Reagan pour bombarder son palais et tuer sa fille (14 avril 1986, au moins 50 morts). À l’époque, le procureur allemand Detlev Mehlis (celui qui truquera deux décennies plus tard l’enquête sur l’assassinat de Rafik el-Hariri) s’appuya sur le témoignage de Mushad Eter pour accuser un diplomate libyen et son complice Mohammed Amairi. Cependant, la télévision allemande ZDF découvrira plus tard que Mushad Eter est un faux témoin et un vrai agent de la CIA, tandis que le poseur de bombe Mahammed Aamiri est un agent du Mossad [1].
Ou encore, l’affaire de l’attentat de Lockerbie (21 décembre 1988, 270 morts) : les enquêteurs identifièrent le propriétaire de la valise contenant la bombe et son retardateur sur la foi du témoignage d’un commerçant maltais qui avait vendu un pantalon se trouvant également dans la valise piégée. La justice écossaise mit alors en accusation deux agents libyens Abdelbaset Ali Mohmed Al Megrahi et Al Amin Khalifa Fhimah et le Conseil de sécurité prit des sanctions contre la Libye. En définitive, pour obtenir la levée des sanctions, la Libye accepta d’extrader ses deux agents (le premier fut condamné à la prison à vie, le second fut innocenté) et de payer 2,7 milliards de dollars d’indemnités, tout en persistant à proclamer sa complète innocence. En définitive, en août 2005, un des chefs d’enquête écossais déclara que la pièce à conviction principale, le retardateur, avait été déposé sur les lieux par un agent de la CIA. Puis l’expert qui avait analysé le retardateur pour le tribunal admit l’avoir lui-même fabriqué avant que la CIA ne le dépose sur les lieux. Enfin, le commerçant maltais reconnu avoir été payé 2 millions de dollars pour porter un faux témoignage. Les autorités écossaises décidèrent de réviser le procès, mais l’état de santé d’Abdelbaset Ali Mohmed Al Megrahi ne le permit pas.
L’actuelle campagne de désinformation comprend aussi un volet sur le train de vie décrit comme somptueux du défunt et sur le montant pharaonique de sa fortune cachée. Or, tous ceux qui ont approché Mouammar el-Kadhafi, ou simplement ceux qui ont visité sa maison familiale et sa résidence après leur bombardement peuvent attester qu’il vivait dans un environnement comparable à celui de la bourgeoisie de son pays, bien loin du bling bling de son ministre du Plan, Mahmoud Jibril. De même, aucun des États qui traquent la fortune cachée des Kadhafi depuis des mois n’a été en mesure de la trouver. Toutes les sommes significatives saisies appartenaient à l’État libyen et non à son « Guide ».
À l’inverse, les médias atlantistes n’évoquent pas le seul mandat d’arrêt international émis par Interpol contre Mouammar el-Kadhafi avant l’offensive de l’OTAN. Il était accusé par la Justice libanaise d’avoir fait disparaître l’imam Moussa Sadr et de ses accompagnateurs (1978). Cet oubli s’explique par le fait que l’enlèvement aurait été commandité par les États-Unis qui voulaient éliminer l’imam chiite avant de laisser l’ayatollah Rouhollah Khomeiny rentrer en Iran, de peur que Sadr n’étende au Liban l’influence du révolutionnaire iranien.
Les médias atlantistes n’évoquent pas non plus les critiques que des organisations de la Résistance anti-impérialiste et nous-mêmes avions formulées contre Mouammar el-Kadhafi : ses compromis récurrents avec Israël.
Pour ma part, je peux attester que, jusqu’à la bataille de Tripoli, le « Guide » a négocié avec des émissaires israéliens, espérant parvenir à acheter la protection de Tel-Aviv. Je dois aussi attester que, malgré mes critiques sur sa politique internationale, et le dossier complet à ce sujet que la DCRI française lui a aimablement communiqué à mon sujet en juillet dans l’espoir de me faire arrêter, Mouammar el-Kadhafi m’a accordé sa confiance et m’a demandé d’aider son pays à faire valoir ses droits aux Nations Unies [2] ; un comportement bien éloigné de celui d’un tyran.
Les médias atlantistes n’ont pas non plus cité les ingérences que j’ai condamnées de la Libye dans la vie politique française, notamment le financement illégal des campagnes électorales présidentielles de Nicolas Sarkozy et de Ségolène Royal. Le « Guide » avait en effet autorisé son beau-frère Abdallah Senoussi à corrompre les deux principaux candidats en échange de la promesse de l’amnistier ou de faire pression sur la Justice française pour clore son dossier pénal [3].
Surtout, les médias atlantistes n’évoquent pas l’œuvre principale du « Guide » : le renversement de la monarchie fantoche imposée par les anglo-saxons, le renvoi des troupes étrangères, la nationalisation des hydrocarbures, la construction de la Man Made River (les plus importants travaux d’irrigation au monde), la redistribution de la rente pétrolière (il fit d’une des populations les plus pauvres du monde, la plus riche d’Afrique), l’asile généreux aux réfugiés Palestiniens et l’aide sans équivalent au développement du Tiers-monde (l’aide libyenne au développement était plus importante que celle de tous les États du G20 réunis).
La mort de Mouammar el-Kadhafi ne changera rien au plan international. L’événement important était la chute de Tripoli, bombardée et conquise par l’OTAN —certainement le pire crime de guerre de ce siècle—, suivie de l’entrée de la tribu des Misrata pour contrôler la capitale. Dans les semaines précédant la bataille de Tripoli, l’écrasante majorité des Libyens ont participé, vendredi après vendredi, à des manifestations anti-OTAN, anti-CNT et pro-Kadhafi. Désormais, leur pays est détruit et ils sont gouvernés par l’OTAN et ses fantoches du CNT.
La mort du Guide aura par contre un effet traumatique durable sur la société tribale libyenne. En faisant tuer le leader, l’OTAN a détruit l’incarnation du principe d’autorité. Il faudra des années et beaucoup de violences avant qu’un nouveau leader soit reconnu par l’ensemble des tribus, ou que le système tribal soit remplacé par un autre mode d’organisation sociale. En ce sens, la mort de Mouammar el-Kadhafi ouvre une période d’irakisation ou de somalisation de la Libye.
[1] Enquête du magazine Frontal, diffusée par la ZDF le 28 août 1998.
[2] Ce que j’ai fait à titre militant, sans rémunération aucune. Ndla
[3] Abdallah Senoussi avait été condamné par contumace en France pour l’attentat contre le DC-10 d’UTA (19 septembre 1989, 170 morts) durant la guerre du Tchad
21/10/11
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L'Europe sous l'effrayante dictature du MES
Les médias n'en parlent pas!
Je poste à nouveau cette vidéo au cas où la mort du "dictateur" libyen l'aurait occultée.
21/10/11
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Affaire du Carlton de Lille - Les étonnants visiteurs de DSK aux Etats-Unis
Des billets d’avion. Des billets de train. Des réservations d’hôtel et des notes de restaurant. Voilà ce que recherchent les enquêteurs chargés du dossier lillois. Ils veulent comprendre pourquoi Jean-Christophe Lagarde, commissaire divisionnaire placé en garde à vue hier, est allé rendre visite à deux reprises à Dominique Strauss-Kahn alors patron du Fonds monétaire internationall (FMI) à Washington. Et pourquoi Jean-Claude Ménault, directeur départemental de la Sécurité publique du Nord, y est allé une fois en même temps que Lagarde. «Les deux voyages se sont déroulés en février 2011 puis du 11 au 13 mai 2011», indique une source proche du dossier.
Aéroport. David Roquet ne le nie pas. Ce patron d’une filiale d’Eiffage, mis en examen pour proxénétisme aggravé, a fourni quelques explications lors de sa garde à vue la semaine dernière : «Oui, je suis allé à Washington en février 2011 avec Fabrice [un chef d’entreprise de la région, ndlr], Jean-Christophe [Lagarde]et Jean-Claude Ménault.» Pourquoi, demandent en substance les enquêteurs ? «Nous avons été invités par DSK.» David Roquet se dit également «fasciné par DSK».
Mais les policiers insistent. Ils veulent savoir qui a payé les billets d’avion. «C’est moi, avec l’aval de mon patron. Cela m’a coûté entre 3 000 et 4 000 euros», répond le chef d’entreprise. Sans préciser si le patron en question est sa maison mère, le groupe Eiffage.
David Roquet a également été interrogé sur le deuxième voyage à Washington, en mai. Un séjour qui intrigue d’autant plus les enquêteurs qu’il s’est déroulé à la veille de l’arrestation de Dominique Strauss-Kahn le samedi 14 mai à l’aéroport JFK. Le chef d’entreprise a expliqué que le petit groupe était allé «visiter le FMI».
«Avec qui Dominique Strauss-Kahn se trouvait le 13 mai 2011 quand vous l’avez quitté ? demandent les policiers.
- Avec une jeune fille américaine qu’il connaissait, mais qui parlait français pour avoir étudié à Bruxelles. Je ne me rappelle plus de son prénom.»
Ces deux voyages ont par ailleurs été confirmés par les nombreuses écoutes effectuées par les enquêteurs. René Kojfer, directeur des relations publiques du Carlton de Lille, qui était au courant de ces escapades, en avait également parlé à ses interlocuteurs. Et les policiers savaient déjà que la petite entreprise de Roquet finançait des soirées spéciales.
Autre élément troublant attestant des liens qu’auraient entretenus David Roquet et Dominique Strauss-Kahn : derrière les notes de frais du chef d’entreprise, les policiers ont trouvé à de nombreuses reprises la mention «DSK».
Sollicité, hier, par Libération, le groupe Eiffage, numéro 3 français du BTP et maison mère de l’entreprise de David Roquet, n’a pas souhaité réagir.
A Lille, la rumeur parle à la place de ceux qui se taisent. «Eiffage a remporté le marché de construction du grand stade de Lille, explique un fin connaisseur du dossier. Ça crée des fantasmes…»
Interrogé encore sur les véritables raisons pour lesquelles les deux hauts policiers lillois sont allés au Etats-Unis voir Dominique Strauss-Kahn, David Roquet ne répond pas. «C’est en tout cas gênant pour les policiers, s’ils se sont fait payer des billets d’avion par une entreprise de la région», constate une source proche du dossier.
Mais d’autres voyages intéressent. A Paris cette fois. A trois reprises, confie David Roquet aux enquêteurs, il s’est rendu dans la capitale avec des filles de «Dodo la Saumure», ce proxénète écroué en Belgique au début du mois. A au moins une reprise, Roquet a retrouvé l’ancien patron du FMI dans une suite duplex avec piscine d’un grand hôtel. Mounia, une prostituée Lilloise venue à Paris avec le chef d’entreprise, a tout confirmé sur procès-verbal. Béatrice, la compagne de Dodo la Saumure, était également de la partie. De nombreuses écoutes le prouvent.
Contreparties. Mais ce qui intéresse la justice, c’est qui a organisé ces soirées. Et là c’est René Kojfer qui a fourni des détails. «Ceux qui ont servi d’intermédiaire entre Dominique Strauss-Kahn et Béatrice, c’est David Roquet et Jean-Christophe Lagarde, le patron de la Sûreté départementale», affirme-t-il sur PV. Là encore, les raisons et les éventuelles contreparties restent à élucider.
Les policiers cherchent enfin à savoir si des filles de Dodo la Saumure ou d’autres prostituées lilloises n’auraient pas fait le voyage à Washington comme elles l’ont fait à Paris. «Ça me paraît totalement surréaliste, réagit un ancien grand flic lillois aujourd’hui à la retraite. Mais on a quand même l’impression, en regardant le dossier de loin, que tous ceux qui se rendaient à Paris voir DSK agissaient comme s’ils se sentaient protégés. En toute impunité.»
Contacté part Libération, Jean-Claude Ménault n’a pas donné suite à notre appel. Me Olivier Bluche, l’avocat de Jean-Christophe Lagarde, n’a pas souhaité s’exprimer. Mais il affirmait, il y a quelques jours que Jean-Christophe Lagarde contestait «avoir commis une quelconque infraction pénale». Enfin, les avocats de DSK n’ont pas voulu faire de commentaires.
21/10/11
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Encore un assassinat de chrétien au Kosovo!
(Cliquez sur la carte pour l'agrandir)
21/10/2011 – 17h40
KOSOVSKA MITROVICA (NOVOpress) – Un assassinat a encore eu lieu hier, jeudi 21 octobre, dans une enclave près de Pec au Kosovo. Un Serbe a été abattu et deux autres ont été blessés par un musulman albanais qui souhaitait prendre possession de leur maison. Les blessés ont été transportés à l’hôpital serbe de Kosovska Mitrovica où ils doivent être opérés dans la journée. Le message que souhaite faire passer le meurtrier est très clair : soit les chrétiens vendent leurs biens et fuient, soit ils doivent mourir. Cette technique destinée à terrifier la population est mise en application depuis plus de dix ans au Kosovo. Cela a provoqué le départ forcé de 250 000 chrétiens qui ont dû trouver refuge en Serbie centrale.La répression et les agressions contre les Serbes allant en s’accentuant depuis plusieurs mois, la situation humanitaire s’en trouve grandement aggravée. Les pillages de maisons chrétiennes s’intensifient, la pression sur les écoles et les universités serbes s’accroît, les violences physiques contre la population continuent. Face à cela, l’association « Solidarité Kosovo » a décidé de ne pas baisser les bras, bien au contraire.
Pour répondre efficacement aux besoins des familles les plus démunies « Solidarité Kosovo » a mobilisé ses bénévoles pour la préparation du traditionnel convoi de Noël. « C’est probablement le plus attendu de tous nos convois de l’année, notamment par les enfants » nous dit Marion Chevtzoff, présidente de l’association. « Les bénévoles qui nous accompagnerons dans quelques semaines au Kosovo ont reçu leurs premières consignes : vérifier la validité de leurs passeports, noter les dates des rendez-vous d’organisation, transmettre les informations nécessaires à la souscription d’une assurance… Tout doit être en ordre avant de partir ! » poursuit-elle.
Une autre équipe volontaire de l’association s’efforce depuis le mois de septembre de démarcher des entreprises donatrices, puis de réceptionner le matériel humanitaire et de le trier. Afin d’être le plus efficace possible « Solidarité Kosovo » loue depuis peu un nouvel entrepôt d’une capacité de stockage d’environ 130m3. Cette phase préparatoire est très importante.
C’est en donnant de leur temps que ces courageux bénévoles essayent de combler à leur niveau l’injustice que subissent les familles serbes du Kosovo. Cependant leurs actions ne seraient être possibles sans l’aide financière de généreux donateurs choqués par le sort réservé aux dernières populations serbes chrétiennes du Kosovo. La complémentarité des hommes et des fonctions est l’élément fondamental d’une association humanitaire. « Solidarité Kosovo » en donne un bel exemple.
Si vous souhaitez soutenir l’association « Solidarité Kosovo » vous pouvez faire un don via Paypal ou bien par chèque.
[cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [http://fr.novopress.info/]
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Célébration du Nouvel an juif au Parlement européen
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LIBYE - Les charognards!
(Cliquez sur la photo)
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L'OTAN a fait le job!
21/10/11
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Journal de Bord de JMLP n° 249
21/10/11
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Marseille: l'atroce agression d'un restaurateur - L'insécurité n'est pas un "sentiment", mais une réalité!
Un miraculé. C'est une frontière invisible de 0,7 millimètre d'épaisseur qui a sauvé Sébastien. Celle qui séparait le cutter de son agresseur et la carotide du restaurateur. Même les médecins qui l'ont soigné ne pensaient pas le maintenir en vie. Le jeune homme est de solide constitution. Une qualité indispensable pour résister comme lui aux actes de violences incroyables dont il a été victime, avec sa jeune épouse.
D'autant qu'un an auparavant, presque jour pour jour, il s'était déjà retrouvé au coeur d'une agression tout aussi indescriptible, dans le quartier de l'Opéra, tabassé par 14 individus qui lui ont dérobé sa montre. Mais le plus grave s'est produit jeudi dernier. Vers 23h30, Sébastien, 33 ans, sort du restaurant Il Primo, avenue Alexandre-Dumas (8e) avec sa compagne.
Une rixe intenable
Un couple d'amis quitte l'établissement avec eux et montent dans une voiture. À peine le véhicule vient-il de démarrer que le moteur cale. Le début du cauchemar pour Sébastien et ses proches : "Un type derrière dans une Clio noire nous klaxonne, fait des appels de phare. Puis on voit quelqu'un arriver du côté passager. Il commence à taper sur la vitre. Finalement, il sort une énorme bombe de gaz lacrymogène et la vide dans l'habitacle par la vitre à moitié fermée."
Les quatre amis sont pris au piège. Car la voiture ne redémarre que sur 30 mètres. Ils n'ont pas d'autre choix que de sortir. Là, un groupe de cinq jeunes gens surexcités leur font face. Une bagarre s'engage. Déjà très déséquilibrée, la rixe devient de plus en plus intenable pour les deux couples quand cinq nouveaux assaillants, venus d'une épicerie de nuit toute proche, rejoignent les agresseurs.
Tiré d'affaire
L'épouse de Sébastien est gazée à son tour, l'ami est roué de coups au sol. Mais c'est le nouveau marié qui reçoit les blessures les plus graves : "J'ai senti des mains qui me tenaient les bras. Puis un grand type d'origine africaine s'est placé derrière moi et j'ai senti quatre coups d'arme blanche me traverser la gorge." Mesurant enfin l'ampleur des violences, les agresseurs se décident à relâcher leur étreinte.
Après une longue intervention chirurgicale, Sébastien est tiré d'affaire. Mais il garde une profonde rancoeur : "Celui qui m'a donné le coup de cutter a été arrêté 20 minutes plus tard. Après 48 heures de garde à vue, il a été mis en examen pour violences avec arme et remis dehors. Je n'ai pas compris cette décision. J'aime ma ville, mais il y a des endroits où je ne vais plus. Je me mets à la place des commerçants qui paient des loyers exorbitants et qui n'ont plus de clients."
"J'attends une mise en examen pour tentative d'assassinat"
Son avocat, Me Fabrice Giletta, va immédiatement se constituer partie civile, considérant que son client s'est plutôt retrouvé au coeur d'une tentative de meurtre : "La gravité et l'apparence des lésions démontrent qu'on a manifestement essayer d'intenter à sa vie. J'attends maintenant une mise en examen pour tentative d'assassinat."
Sébastien, qui devait inaugurer son nouveau restaurant, demain, va devoir différer. Comme il avait déjà dû modifier ses projets, il y a un an, quand des voleurs lui ont cassé le bras pour dérober sa montre de luxe : "J'espère qu'on ne va pas au chaos total à Marseille. Mais je le crains."Romain Luongo - La Provence - 20/10/11
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Piscine d'Aix-les-Bains: des créneaux horaires réservés aux élèves des écoles juives
Peut-on réserver des équipements publics à l’usage exclusif d’une minorité confessionnelle ? La ville d’Aix-les-Bains (Savoie) se trouve aujourd’hui éclaboussée par une polémique axée sur le respect du principe de laïcité.
Tout commence vendredi dernier, avec une baigneuse aixoise qui se rend à la piscine municipale pour faire quelques longueurs entre midi et deux. Mais celle-ci ne peut accéder aux bassins : sur ce créneau horaire, la piscine est fermée au public. Motif : les jeunes lycéens de l’école talmudique de la ville se préparent à leur épreuve de natation au bac.
Or, tous les élèves du bassin aixois nagent régulièrement dans les eaux municipales sans que la piscine soit fermée aux autres baigneurs.Et comme les filles et les garçons ne doivent pas se baigner ensemble selon la religion juive, ce n’est pas un mais deux créneaux réservés dont il est question. Les filles de l’école juive Tomer-Debora se rendent à la piscine de 7 heures à 8 heures le vendredi, avant l’ouverture au public, et les garçons occupent les bassins entre 12 heures et 13 h 30. “Ce système fonctionne depuis 35 ans”
Le député-maire de la station thermale, Dominique Dord (UMP), s’est montré embarrassé par cette affaire. Celui-ci affirme que cette pratique, dont il a effectivement connaissance, a été mise en place en 1977, sous la gérance municipale d’André Grosjean.
“Ce système fonctionne depuis 35 ans sans qu’aucun maire avant moi ne change quoi que ce soit, qu’aucune opposition municipale n’aborde la question. Aujourd’hui, cette histoire est placée sous les projecteurs et je comprends qu’elle puisse faire débat.” (…)
“Il faut savoir que cet aménagement horaire n’est valable que 10 séances dans l’année, d’octobre à février. Par ailleurs, des clubs sportifs profitent aussi du centre nautique en dehors des heures d’ouverture” affirme le député-maire. Le sujet fera l’objet d’un débat. (…)
Une volonté de débattre à laquelle M. Dord met un bémol : “Avant, je vais demander une consultation juridique pour savoir si aux yeux de la loi, nous enfreignons le principe de laïcité. Si c’est le cas, alors on avisera, mais dans la concertation. Il est hors de question de stigmatiser une communauté.”
Pour la communauté israélite, “c’est une question de pudeur”
Les garçons et les filles ne peuvent pas être mélangés.Face à cette polémique, Salomon Azagury, président de la communauté israélite aixoise, explique : “Les garçons et les filles ne peuvent pas être mélangés. C’est une question de pudeur. En 1977, nous avons fait la demande pour avoir des plages aménagées au centre nautique de la ville. Si cette convention venait à changer, on serait très embêtés. Il nous faudrait alors trouver une solution pour que nos enfants puissent continuer à s’entraîner pour l’épreuve de natation.”
Sources : Le Dauphiné, 2
Défrancisation - 20/10/11
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UE: le MES, Mécanisme Européen de Stabilité, devrait coûter 142, 7 milliards d'euros à la France
Lire l'article: http://www.defrancisation.com/mes-mecanisme-europeen-stabilite-1427-milliards-euros-a-la-france/
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20/10/11
Hallucinant!
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EN DIRECT - Mort de Kadhafi: il aurait été tué d'une balle dans la tête - Plusieurs versions circulent - Nombreuses réactions
Lire l'article: http://www.20minutes.fr/monde/libye/809462-live-direct-mort-kadhafi-dictateur-libyen-mort-balle-tete
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20/10/11
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L'aviation française a attaqué le convoi où se trouvait Kadhafi
20/10/112
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Carlton de Lille: le PV qui met DSK en cause
INFO LE FIGARO - Un chef d'entreprise du Pas-de-Calais détaille des soirées à Paris en présence de l'homme politique.
Dans l'affaire à tiroirs du Carlton de Lille, un couple est en garde à vue depuis mercredi. Fabrice P., 44 ans, dirige une société de matériel médical dans le Pas-de-Calais. Sa femme, Virginie D. est à la tête d'une société d'événementiel.
Le chef d'entreprise, par ailleurs très investi dans les milieux politiques et économiques de la région, est soupçonné d'avoir été le «facilitateur», selon l'expression d'une source judiciaire, des contacts entre Dominique Strauss-Kahn et certains membres présumés du réseau de proxénétisme. Son rôle est notamment décrit par David Roquet, mis en examen et écroué la semaine dernière.
Voici ce qu'a expliqué ce directeur d'une filiale du groupe de BTP Eiffage dans le Pas-de-Calais à propos des rendez-vous organisés à Paris: «En fait, c'est Fabrice P. qui m'a dit qu'on avait l'occasion de déjeuner avec monsieur Strauss-Kahn et qu'il apprécierait que je ramène des copines, en fait des prostituées.» La première «rencontre» aurait eu lieu en mars 2009, d'abord au restaurant L'Aventure (un club restaurant proche de l'Étoile) où les protagonistes auraient commencé à avoir des relations sexuelles avant de poursuivre leurs ébats dans un hôtel luxueux du boulevard du temple, le Murano. Deux autres rendez-vous ont lieu début et fin 2010, toujours au Murano. Le commissaire Jean-Christophe lagarde, patron de la Sûreté départementale de Lille, en garde à vue depuis jeudi matin, aurait été de la partie.
L'une de ces scènes est ainsi décrite par le chef d'entreprise: «Je suis allé avec Jade, une prostituée que René (René Kojfer, chargé des relations publiques du Carlton, mis en examen) m'avait fait connaître. Il y avait Fabrice et Jean-Christophe Lagarde. On s'est retrouvés à la gare et puis, à quatre, nous sommes allés sur Paris. Nous nous sommes rendus dans un hôtel, l'hôtel Murano. Nous avons mangé dans la chambre puis nous avons eu des relations sexuelles tarifées. Chacun était avec sa copine, moi j'étais avec Jade, DSK avait aussi sa copine et il y avait d'autres personnes.»Trois voyages à Washington
Question: «Est-ce que M. Strauss-Kahn a payé quelque chose?»
- «Non, il était invité.»
- «Il était invité mais il venait avec une copine?»
- «Oui.»Si les faits étaient établis, ils pourraient constituer de l'abus de bien social (ABS), et donc du recel d'ABS pour les bénéficiaires. La société de Virginie D. aurait, elle, pris en charge les billets d'avions de plusieurs déplacements à Washington auxquels auraient participé David Roquet, Jean-Christophe Lagarde et Fabrice P. Trois voyages ont été relevés par les enquêteurs: en décembre 2010, février 2011 et du 11 au 13 mai 2011, soit la veille du samedi 14 lorsque le patron du FMI sera arrêté à New York. Selon les éléments du dossier, David Roquet et Fabrice ont réglé les factures de l'hôtel. La filiale d'Eiffage, Matériaux enrobés du Nord, aurait réglé une large partie de l'addition - entre 12.000 et 15.000 euros.
«J'étais fasciné par DSK»
À David Roquet, les policiers demandent encore: «Comment étaient organisées ces soirées?»
Réponse du responsable du BTP: «En fait, on calait nos agendas pour organiser ces soirées.»
- «Qu'est-ce qui a motivé leur organisation?»
- «C'est Fabrice qui m'a fait connaître M. Strauss-Kahn. J'étais fasciné par ce dernier et Fabrice m'avait dit qu'il le connaissait très bien. Je voulais savoir si c'était vrai et donc c'est parti comme ça et les soirées se sont organisées. Mais ces soirées ne m'ont jamais rien amené.»
Question: «Cela a ramené quelque chose à Fabrice ou à Jean-Christophe?»
- «Non, absolument rien.»Les éventuelles contreparties de ces «cadeaux» sont évidemment l'un des volets de l'enquête.
20/10/11
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Il est mort en héros sur la terre de ses ancêtres, assassiné par le N.0.M.
Mouammar Kadhafi est mort. Il a été capturé à Syrte et a succcombé à de graves blessures, a annoncé le CNT et la télévision libyenne.
Son corps a été transporté à Misrata.
Il a été touché par des frappes aériennes de l'OTAN.
Le porte-parole officiel du Conseil national de transition (CNT) à Benghazi, Abdel Hafez Ghoga a indiqué : "Nous annonçons au monde que Kadhafi a été tué aux mains des révolutionnaires. C'est un moment historique, c'est la fin de la tyrannie et de la dictature. Kadhafi a rencontré son destin"
Mouatassim, le fils du dictateur a également été retrouvé mort à Syrte.20/10/11
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La fille de Carla Bruni s'appelle Giulia
Le bébé présidentiel s'appelle bien Giulia. Coupant court aux extrapolations, Carla Bruni l'a confirmé sur son site Web: «Je suis très touchée par les nombreux messages de félicitations qui me parviennent depuis la naissance de notre petite fille Giulia».
«En cette heureuse occasion, mon époux se joint à moi pour remercier chaleureusement tous ceux qui nous ont adressé ces témoignages de sympathie», poursuit Carla Bruni.
20/10/11
Elle aurait pu lui donner un prénom français! C'était la moindre des choses!
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Marine Le Pen: " Je crois que les Français ont droit à la vérité"
20/10/11