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Édouard de Rothschild par oligarchie
E&R
Le président russe Vladimir Poutine a prôné avec ferveur le patriotisme, une "base" pour l’avenir de la Russie, et dénoncé l’attitude de ceux qui en Russie prennent "plaisir" à "couvrir leur pays de merde", dans des propos publiés jeudi sur le site du Kremlin.
"Couvrir sa Patrie de merde, ici, c’est toujours le bienvenu, c’est considéré comme un mérite, et beaucoup de gens le font avec plaisir", a déclaré M. Poutine au cours d’une rencontre mercredi avec des représentants associatifs et religieux, selon le site du Kremlin.
"Aujourd’hui, nous avons complètement arrêté de nous occuper du patriotisme", a-t-il regretté.
"Nous devons construire notre avenir sur une base solide. Et cette base, c’est le patriotisme", a souligné M. Poutine.
"Le patriotisme, ce n’est pas seulement un beau mot. Le patriotisme, c’est tout d’abord servir sa patrie, son pays, la Russie, son peuple", a-t-il ajouté.
Le patriotisme, "c’est le respect de son pays et de ses traditions, des valeurs spirituelles de nos peuples (...)", a poursuivi M. Poutine.
Il a souligné qu’il fallait en premier lieu se concentrer sur l’"éducation patriotique" des jeunes Russes, car "c’est dans l’enfance et la jeunesse que le sentiment patriotique et le système de valeurs morales se forment".
Vladimir Poutine a fait du renforcement des valeurs patriotiques en Russie l’une des priorités de son mandat.
Le patriotisme a également été l’un des fils rouges de sa campagne présidentielle, au cours de laquelle il avait appelé ses partisans à "ne pas regarder à l’étranger" et à "être fidèles à la Russie".
E&R
Cette cérémonie, placée sous la présidence d’honneur de Jean-Jack Queyranne, Président du Conseil Régional Rhône-Alpes, était une occasion sans précédent pour la communauté juive de la région de rencontrer le Rav Shlomo Amar.
Après une courte allocution d’accueil de M. Sebban, le Dayan de Lyon Rav Yehia Touboul, son ami de longue date, a introduit le Rav Shlomo Amar. Le Rav Amar, s’exprimant en hébreu (traduction en français, bien sur), a axé son discours sur la signification de Roch Hachana : période qui précède un jugement de vie et de mort, qui ne concerne pas que les juifs, mais le monde entier.
Puis M. Sebban, nommé le jour même vice-président du Consistoire central, après avoir salué toutes les personnalités présentes, a présenté les vœux de la communauté à toutes les instances républicaines. Il a rappelé le rôle et les ambitions du Consistoire régional, ses soucis quant au climat délétère d’insécurité qui tend à se propager, et s’est félicité de la qualité des rapports entretenus avec M. Queyranne.
A sa suite M. Mergui qui a institué les vœux du Consistoire central depuis quelques années, nous a expliqué qu’il n’attend qu’une date de M. Wals pour leur déroulement cette année. Il s’est fortement exprimé sur la dureté de l’année qui vient de s’écouler, sur la plaie ouverte que représente pour la communauté juive de France la tuerie de Toulouse. Il a insisté sur la volonté inébranlable de chacun : être juif et français, sans jamais avoir à choisir, ni à renoncer.
Quand M. Queyranne a pris la parole, il commence par expliquer que Roch Hachana marque l’entrée dans les » yamim noraïm « , période du jugement pour chacun. Puis il exprime des prises de positions fortes et marquées sur la recrudescence de l’antisémitisme, et surtout sur la diabolisation de l’état d‘Israël. La critique de la politique d’un état doit selon lui se différencier de la négation du droit de cet état à exister. Or, l’antisionisme n’est rien d’autre, et traduit une haine qui en fait une forme particulière de l’antisémitisme traditionnel.
Position de circonstance d’un Président de conseil régional où siège l’EELV? Non, suite logique de sa prise de position à l’Université d’été de la Solidarité Internationale, du 4 au 7 juillet 2012, Campus de la Doua, Lyon. Cette prise de position figurait dans le livret du participant, et n’a pas vraiment fait plaisir à nos amis de l’UJPF ( http://www.ujfp.org/spip.php?article2335).
Il refuse de ne voir dans l’histoire du peuple juif qu’une suite de persécutions, et veut s’intéresser à un versant culturel foisonnant, raison de l’implication de la région dans les gros projets de la communauté.
La conclusion de son allocution est tout simplement bluffante : il adresse ses vœux à la communauté, en reprenant une prière introductive de Roch Hachana, Achot Ktana, attribuée à rabbi Avraham Hazan de Gérone, 13ème siècle et dont le refrain est « Puisse l’année qui s’achève emporter avec elle ses malédictions ! », quand sa phrase finale est « Puisse l’année qui commence apporter avec elle ses bénédictions ! ». Merci M. Queyranne pour ces jolis vœux.
Le grand Rabbin Wertenschlag qui s’est exprimé à sa suite, n’a pas manqué de souligner la performance étonnante, et le renvoyant à un échange qu’ils ont eu il y a plusieurs années : « Vous m’aviez alors dit M. Queyranne qu’un rabbin peut faire le député, mais que le contraire n’est pas vrai, et vous venez de nous montrer le contraire ». Il nous a longuement parlé du judaïsme et des relations qu’il faut toujours maintenir avec les autres cultes, si difficiles soient-elles. Nous ne devons pas oublier que les gens de bonne volonté se heurtent à de grosses difficultés au sein de leur propre communauté, et affrontent aussi de grands dangers. M. Wertenschlag avait reçu des menaces de mort le 11 août, et le recteur de la Grande Mosquée de Lyon, M. Kamel Kabtane, en a également reçu le 24 août, d’une extrême violence.
Pour clôturer les vœux, le Rav Shlomo Amar a repris la parole, et a longuement développé l’importance de la période de Roch Hachana, en insistant sur la nécessité absolue de rédemption pendant tout le mois d’Elloul. Pour arriver à cette rédemption, il a mis l’accent sur l’aspect double de l’homme, qui a été créé en deux temps : d’abord le corps, qui représentera les forces matérielles qui le pousseront à privilégier la recherche du bien-être, puis l’âme qui a été insufflée à ce corps, qui représentera les forces spirituelles qui le pousseront au contraire à rechercher l’élévation. Cette dualité difficile à vivre génère une lutte de chaque instant, mais l’homme possède les forces nécessaires, et le libre arbitre sur la direction à donner à sa vie. Ce discours tenu par un homme de religion, peut interpeller chacun, quel que soit son niveau de foi ou de pratique. Bien plus passionnant en VO qu’en VF, le Rav Shlomo Amar capte l’attention, non seulement par la teneur de son discours, mais par sa musicalité envoûtante, sa gestuelle et surtout l’expression de son visage. Même un auditeur de faible religiosité se surprend à écouter attentivement son message religieux, universaliste par bien des aspects. Il a pour finir dit une prière avec l’assemblée, qu’il a bénie.
Par Line Tubiana
Droit photos René Clerc
Tribune Juive
Lire: http://ripostelaique.com/caroline-fourest-chassee-de-la-fete-de-lhuma.html
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16/09/12
Le 13 et le 23 septembre 1943, les Alliés ravagent démocratisent la ville de Nantes.
Leurs bombardements massifs font 1463 morts et 2500 blessés civils.
700 maisons et immeubles sont détruits et près de 3 000 inhabitables (détails ici), sans que l’on voit bien l’intérêt militaire de raids aussi meurtriers. De Gaulle ne s’offusquera naturellement pas.
Sur ce thème, on pourra lire Quand les Alliés bombardaient la France, d’Eddy Florentin (disponible ici).
Contre-info.com
Amputation de la main d'un voleur
Cette pièce de métal de 960 kg a été sortie de l'eau, hier, à la Pointe Rouge
Après un long traitement, l'ancre de 3,80 m de long sera exposée à l'entrée du musée d'Histoire.
Photo Patrick Nosetto
La sortie de l'eau hier de l'ancre du Grand Saint-Antoine, le bateau maudit qui avait amené la peste à Marseille en 1720, a été suivie avec beaucoup d'attention et d'émotion par près de 300 spectateurs réunis à l'Institut national de la plongée professionnelle (INPP) de la Pointe Rouge.
C'est en effet à l'entrée du bassin de l'institut que le précieux et imposant objet, long de 3,80 m et d'une masse de 960 kg, avait été réimmergé peu après sa découverte, en 1982, dans l'attente qu'une solution à la fois technique et financière soit trouvée pour le mettre en valeur. Une ancre qui constitue le témoignage le plus concret et le plus émouvant de la terrible épidémie qui allait emporter en quelques mois 120 000 à 160 000 Provençaux, dont 48 000 Marseillais, la moitié de la population phocéenne de l'époque...
11 000€ nécessaires à la réussite de l'opération
Invités du commandant Paul Gavarry, directeur de l'INPP, de très nombreux représentants du monde maritime local, de la plongée et de l'archéologie sous-marine étaient ainsi rassemblés autour du sénateur-maire UMP de Marseille Jean-Claude Gaudin et du président du directoire de la Caisse d'Epargne Provence Alpes Corse, Alain Lacroix, mécène de l'opération, pour assister à la levée de l'ancre ; tous avec la ferme impression de participer à un événement d'une grande portée historique et symbolique.
On notait d'ailleurs la présence de l'archevêque de Marseille, Mgr Georges Pontier, du directeur du Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (Drassm), Michel L'Hour, ou encore de l'éditrice Jeanne Laffitte. C'est en effet par son entremise qu'Alain Lacroix avait eu connaissance du projet porté par Michel Goury, pugnace président de l'Association de recherches historiques et archéologiques (Arha).
Dès lundi, l'ancre sera donc expédiée dans les ateliers de la société arlésienne A-Corros, spécialisée dans le traitement des objets métalliques menacés de corrosion, afin de subir un long processus de conservation qui devrait durer entre 16 et 18 mois. Si tout se déroule comme prévu, l'objet devrait être présenté au public à la fin de l'année 2013, installé à l'entrée du musée d'Histoire dont il constituera le totem emblématique.
Découverte au milieu des années 70 dans la crique nord-ouest de l'îlot de Jarron (archipel du Frioul), par des plongeurs qui n'avaient pu l'identifier avec précision, l'épave du Grand Saint-Antoine avait été déclarée en juin 1978 par Christian Barsacq et Daniel Moyssinat, permettant l'ouverture d'un chantier de fouilles en bonne et due forme ; chantier qui allait notamment permettre de découvrir l'imposante ancre en acier du bateau.
Une période riche d'enseignements
"Certains s'étonneront que l'on puisse se mobiliser pour sauvegarder le symbole d'un événement chargé d'autant de noirceur, indiquait Alain Lacroix dont la banque a offert les quelque 11 000 € nécessaires à la réussite de l'opération. Mais les Marseillais ont le devoir de transmettre à leurs enfants l'histoire de leur ville. Or cette période a été particulièrement riche d'enseignements en tous genres. Elle a notamment révélé des êtres exceptionnels qui par leur sacrifice, ont racheté la cupidité de beaucoup d'autres."
Quand au maire de Marseille, il soulignait que "l'événement ne pouvait pas mieux tomber, à la veille des journées du patrimoine consacrées cette année à la mise en valeur de ses éléments cachés."
La Provence
Lu sur Itinerarium cet exemple de dhimmitude à la française :
"Le professeur violemment agressé par un de ses élèves d’origine marocaine (Marouane) au lycée Trégey de Bordeaux-Bastide a été interviewé par des journalistes du Nouvel Observateur. Il accuse la laïcité à la française, et une civilisation trop catholique… Que dire de plus ?
Christophe Varagnac, qui se définit comme « libre penseur », loin de mettre en cause les problèmes créés par la présence d’une immigration de masse, rejette au contraire la faute sur l’identité française : « Ce dont on doit débattre, c’est la manière dont on applique la laïcité en tenant compte des évolutions contemporaines. Or on applique en France la « catholaïcité », pas la laïcité. Il n’y a qu’à voir le calendrier de l’Education nationale calqué sur les fêtes chrétiennes. Je ne vois pas non plus pourquoi on met des sapins de Noël dans les établissements scolaires »."
Le Salon Beige
Selon Dampress, les opérations de ratissage, à Alep, se sont soldés par la mort de Amar Al-Vavi, secrétaire général de l'ASL. Ayant fait défection, il y a quelques mois, Amar Al-Vavi avait adhéré à l'ASL et il s'est fait tuer, vendredi, au cours des combats, dans la localité d'al-Maydan. L'information fait également état de la mort de plusieurs officiers turcs qui assistaient, visiblement, le conseil militaire de l'ASL.
15/09/12
15/09/12
VIDEO : http://www.wat.tv/video/abattage-rituel-cacher-halal-38v87_2exyv_.html
Peut-on appeler "pratique religieuse" cette barbarie répugnante envers les bêtes d'abattoir ?
Quel dieu a décrété que les animaux devaient souffrir atrocement avant que leur chair soit consommée?
Le chef de l'Etat et le premier ministre ont inauguré des lieux de mémoire importants pour la communauté juive, un plan d'action contre le racisme et l'antisémitisme a été annoncé et le ministre de l'intérieur devrait adresser ses vœux aux juifs de France pour Roch Hachana (le Nouvel An juif). Les inquiétudes d'une partie de la communauté juive après l'élection de M. Hollande sont-elles levées ?
Certains se demandaient effectivement si la communauté juive serait aussi entendue que sous le gouvernement précédent. Nous attendions des signaux pour que la confiance ne soit pas perdue. D'autant qu'après la tuerie de Toulouse , alors que nous nous attendions à une diminution des actes antisémites, nous avons au contraire constaté une sorte de libération de pulsions. Cette affaire a toutefois fait prendre conscience à tous les partis politiques que nous étions arrivés à un point extrême de haine antisémite et antisioniste dans notre société.
Aujourd'hui, dans les échanges que j'ai eus avec le président de la République, le premier ministre et de nombreux ministres, je peux dire que l'écoute et la réactivité sont là, l'expérience dira comment les choses évolueront concrètement.
[...]
Sur le dossier de l'abattage rituel, les polémiques qui ont éclaté durant la campagne présidentielle ont-elles fait long feu ?
Je ne pense pas que ces questions soient derrière nous ; les coups peuvent venir de partout, d'autant qu'il s'agit d'un enjeu de niveau européen. Nous attendons que la France joue un rôle moteur en Europe dans la défense de cette pratique millénaire.
Ces tentatives de remise en cause d'une pratique religieuse ne sont pas des accidents de parcours mais le signe que nos sociétés s'arc-boutent contre le fait religieux. Nous venons d'en avoir une autre illustration en Allemagne avec le débat sur la circoncision. Ce jugement montre que l'on a atteint un point extrême dans les atteintes à la liberté de culte.
Pour nous, l'abattage rituel ou la circoncision sont des pratiques qui ne sont pas négociables. Sinon, cela signifie pour les juifs d'Europe qu'ils doivent partir.
La maladresse de François Fillon au printemps [l'ex-premier ministre avait laissé entendre que juifs et musulmans devaient revoir leurs "traditions ancestrales"] montre qu'il faut être vigilant. Il ne faudrait pas entériner le projet d'une société qui accepte toutes les libertés sauf celle de pratiquer une religion.
Propos recueillis par Stéphanie Le Bars
Le Monde - 15/09/12