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  • L'ambassadeur américain tué à Benghazi par les "démocrates" libyens

    12.09.2012

    L’ambassadeur américain tué en Lybie

    par ceux que les Etats-Unis ont soutenu contre Kadhafi.
    Protestant contre un film produit par un « Israélo-américain » qui décrit l’islam comme un cancer, des manifestants ont attaqué mardi le consulat américain, puis l’ont pillé et brûlé.
    Ils ont tué quatre citoyens américains, dont l’ambassadeur J. Christopher Stevens.

     

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    Les assassins s'amusant avec le cadavre de l'ambassadeur. Une coutume locale ?

    Dans la vidéo visible ici (en anglais), on voit l’ambassadeur se présenter et pérorer sur les bienfaits de la révolution libyenne fomentée et soutenue par les Etats-Unis.

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  • Libye : l’arroseur arrosé

    Mercredi, 12 septembre 2012    
     
    Claude Bourrinet
    Éditorial
    Libye : l’arroseur arrosé
    Décidément, l’Histoire court vite. Tel croit la tirer derrière lui, sûr de la maîtriser, et voilà qu’elle lui écrase les orteils. L’attentat qui a coûté la vie, dans la nuit de mardi à mercredi 12 septembre, à l’ambassadeur américain en Libye et à trois autres membres du personnel diplomatique, dans cette même Benghazi, qui a été le berceau, quelque peu trafiqué, de la prétendue révolution libyenne, ne manque pas d’ironie macabre. Les photographies du cadavre brinquebalé par une horde hystérique bardée des inévitables portables valent bien en horreur celles du corps martyrisé du colonel Kadhafi, qui connaît là une sorte de revanche posthume.

    Nous ne nous réjouissons pas de la mort si piteuse de cet homme, mais nous ne le pleurons pas. L’Amérique ne fait que pâtir par là où elle a péché. Tous les responsables « alliés », Obama, Hillary Clinton, les gouvernements européens, les représentants de l’Otan, ont beau jeu de s’émouvoir et de condamner un acte qu’on ne manque pas de qualifier, comme il est coutume, de « lâche » et d’ « abject ». Répugnant et vil, il ne l’est pas moins que les attentats islamistes, les égorgements et décapitations, les voitures piégées, les exécutions sommaires, les massacres d’innocents, que des mercenaires salafistes et takfiris, venus de Libye, d’Egypte, de Tunisie, du Maroc etc. perpétuent pour instaurer la charia en Syrie, pays encore laïc et tolérant. Ces mêmes groupuscules, stipendiés et armés par l’Occident, règnent en maîtres à Benghazi. L’ambassadeur le paye de sa vie. Le cynisme des colonialistes occidentaux, qui ont mis au pouvoir ces bandes de fanatiques, serait risible si ne se dessinait une menace pour l’Europe. A ce jeu, ce n’est pas une Somalie qui bordera notre continent, mais plusieurs. Nos gouvernants manipulent, comme des apprentis sorciers, afin de façonner un Moyen Orient chaotique et plus acceptable pour la puissance israélienne, des explosifs puissamment destructeurs. Complaire à une Amérique relativement bien protégée (le 11 septembre étant, comme l’on sait, un cas assez singulier), et prendre sciemment le risque de voir, peu à peu, les événements s’emballer, voire, comme l’affaire Mehra en donne les prémisses, déborder sur notre sol, est une attitude pour le moins inconsciente, sinon criminelle. Et nous savons que les frontières sont poreuses, inefficientes.

    Le problème, avec les Américains, c’est qu’ils sont tellement imbus de leur prétendue supériorité, ils sont tellement persuadés de la sainteté de leur cause, de leur élection divine, et tellement aveuglés par une ignorance abyssale, qu’ils sont incapables de se mettre à la place d’autrui et voir, sentir et penser comme lui. Leurs partisans européens, à imiter comme des singes leur maître, ont adopté ce pli, comme la dérive diplomatique européenne ne le dévoile que trop, dans sa propension imbécile à un manichéisme puéril. Il est évident que les islamistes, en Tunisie, en Egypte, dans les pays du Golfe, en Syrie, demain, en Algérie, n’allaient pas faire la fine bouche devant l’aide logistique, matérielle, propagandiste que lui apportaient l’Oncle Sam et ses larbins. Mais à malin, malin et demi. S’il n’y a guère que ces sombres abrutis de journalistes pour croire aux vertus démocratiques de ces barbares sanguinaires, les services secrets, les militaires et les décideurs de haut rang ne doivent pas avoir beaucoup d’illusion. Aussi ce contrat entre les impérialistes US, Israël d’un côté, les salafistes et les frères musulmans de l’autres, sous l’égide du Katar et de l’Arabie Saoudite, a-t-il été un donnant-donnant. Toutefois, pour un musulman fanatique, un chrétien reste, dans de nombreux cas (j’excepte les croyants respectueux de la religion d’autrui) un porc, surtout s’il se fait prosélyte et provocateur. Et pour un chrétien américain, aussi obtus et méprisant, aussi inculte et exalté que son frère ennemi, tous ceux qui ne sont pas comme lui sont destinés à l’enfer. Chez les deux prospère la haine des traditions différentes, de la culture de ce qui n’est pas soi : je mets sur le même plan les destructions de tombeaux soufis en Libye et au Mali, et le bombardement absurde, mais, à mon sens, plein de signification, du Monte Cassino, berceau monastique de l’Europe, par l’aviation US en 1944.

    On a beau calculer, prévoir, contrôler tout, les tueries, les manipulations, les crimes, on ne peut pas régir les tripes et les cœurs. Le film intitulé « Innocence of Muslims », stupide, blasphématoire, digne d’arriérés mentaux, qui parodie les actes du prophète Mohamed, reflète, par sa bassesse, sa vulgarité, celui qui l’a produit, un agent immobilier israélo-américain, Sam Bacile, aidé par un pasteur particulièrement dérangé, Terry Jones. Que cherchait-il ? A mettre le feu aux poudres ?


    Il est évident que les Américains vont se venger, aidés par leurs collaborateurs au pouvoir à Tripoli, notamment Mohamed al-Megaryef, qui a lui-même beaucoup de sang sur les mains. Mais après ? Une réaction en chaîne ne va-t-elle pas se produire ? La victoire impérialiste en Libye ne va-t-elle pas s’avérer une victoire à la Pyrrhus ? Cette histoire de fous ne projette-t-elle pas, dans les médias, bien involontairement, quelque vérité sur ce qui se passe vraiment en Syrie ?
     
    VOXNR

  • Efficace et radical

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    Altermedia France - 12/09/12

  • François Mitterrand et le lobby juif

  • Une justice parallèle: les réseaux maçonniques


    Une justice parallèle - Réseau maçonnique par JaneBurgermeister

    • Publié le : mardi 11 septembre 2012

    En savoir plus sur la Franc-maçonnerie, avec Kontre Kulture :

     
    E&R
     
  • Café, chocolat... les prisons cassent les prix !

    Deux cents articles de première nécessité sont désormais vendus moins cher aux prisonniers qu’en supermarché. A tel point que certains postent des colis à leur famille !

    Les détenus ne se sont jamais autant bousculés pour faire leurs courses à la cantine, le « commerce de proximité » présent dans chaque prison française. Ce succès fou est la conséquence inattendue d’un texte qui unifie à l’échelle nationale le prix de produits vendus aux détenus.

    En juillet 2010, la Cour des comptes avait en effet épinglé l’Etat, dénonçant, au chapitre des conditions de vie dans les prisons, les abus de la « cantine », ce magasin où les détenus se procurent de quoi améliorer leur quotidien : café, eau minérale, chocolat, compléments alimentaires, articles d’hygiène… Le rapport pointait des marges sur les produits vendus « d’au moins 22% », avec des écarts de prix de « 50% d’une prison à l’autre ».

     
     
    Du coup, une réforme a été lancée et une liste de 200 produits prioritaires sont depuis le peu à peu proposés à des tarifs très avantageux dans les lieux de détention, à commencer par et Strasbourg. Là, le pot de Nutella est passé de 3,13 € (prix public) à 1,11 € en prison. Le paquet de riz de 500 g de 2,70 € à 0,36 €. Le pot de confiture de fraise de 450 g est descendu de 1,45 € à 0,67 €, et la Ricoré, l’un des best-sellers, a diminué de 4,82 € à 3,45 €.
    « Nous avons effectivement constaté un effet d’aubaine, confirme la direction de l’administration pénitentiaire. Des détenus se sont précipités sur ces denrées. » Selon l’administration, « ces tarifs bas sont à la fois le fruit d’une volonté politique mais aussi le résultat d’achats groupés au niveau national qui permettent de les négocier au mieux ».
    « Pas à ce point : la différence de prix, c’est l’Etat, et donc le contribuable, qui la paie », dénonce pour sa part le syndicat du personnel pénitentiaire Ufap-Unsa. Les gardiens de prison n’apprécient pas en effet ces nouvelles cantines low-cost. « Il faut gérer un trafic de marchandises bien plus important, cela nous prend du temps », explique Pascal Schreck, de l’Ufap-Unsa.
    Mieux, une nouvelle tendance est apparue : « Avant, les familles apportaient de la nourriture aux détenus, ce qui est interdit mais toléré dans les faits. Maintenant, c’est le contraire! Certains prisonniers ont écrit à leur directeur d’établissement pour que leur famille profite aussi de ces prix bas et ils se mettent à poster des colis. »
    Pour l’Ufap-Unsa, cette politique discount coûterait environ 20 M€ par an, à raison de 296,68 € par an et par détenu (ils sont 67000 en ). « On est vraiment loin de cette somme, tempère la direction de l’administration pénitentiaire. Toutes les denrées ne subissent pas de baisse de prix et d’autres produits sont vendus avec une marge qui équilibre les comptes des cantines. »
    Mais pour les surveillants, dont le salaire débute à 1 416 € net pour finir à 2 072 € en fin de carrière, cet argent aurait pu permettre d’augmenter les salaires… « Cela me fait mal de voir ma femme payer beaucoup plus cher au supermarché les mêmes produits que ceux réservés aux détenus », reconnaissait même, anonymement, un gardien de prison.

     

    Le Parisien - 27/06/12

  • Brigitte Bardot ne veut plus séduire "ni rien ni personne"

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    Brigitte Bardot s'est confié au Vogue Hommes International, à paraître jeudi. L'ancienne actrice a déclaré ne plus vouloir "séduire, ni rien ni personne".

    Evoquant son passé d'actrice, BB, qui fêtera le 28 septembre ses 77 ans, affirme "qu'elle se trouvait moche". "J'essayais de me faire la plus jolie possible et même comme ça, je me trouvais moche. J'avais un mal fou à sortir, à me montrer.J'avais peur de ne pas être à la hauteur de celle qu'on attendait que je sois. Aujourd'hui à mon âge, je n'en ai rien à foutre. Je ne veux plus séduire, ni rien ni personne", dit Brigitte Bardot.

    La star "n'aspire aujourd'hui qu'à la solitude" : "comme je suis de nature contemplative, ça me va très bien. Le monde d'aujourd'hui ne me plaît pas. S'il était différent, je vivrais peut-être moins retranchée". BB affirme "avoir été littéralement écrasée par la célébrité". "Personne ne peut s'imaginer à quel point c'était épouvantable. Un calvaire. Je ne pouvais plus vivre comme ça", ajoute-t-elle.

    Interrogée sur son quotidien, Brigitte Bardot qui refuse de se faire opérer de la hanche, dit "qu'(elle) a du mal à marcher". "Je ne peux plus me balader, je ne peux plus nager. Mais j'ai de la chance quand je vois ce que subissent les animaux. Du coup, je trouve que ne suis pas à plaindre, et ça me donne un punch du tonnerre", affirme-t-elle. "J'ai toujours fait ce qui m'a plu (...) Je sais que j'ai plus de couilles que beaucoup d'hommes. Ils pourraient prendre exemple sur moi. J'ai toujours assumé ce que j'ai fait ou ce que j'ai dit", dit encore BB.

    Ce qui la séduit désormais ? "Les petits miracles que sont l'éclosion d'une fleur, la danse d'une abeille, l'immensité de la mer, les animaux évidemment pour leur pureté, leur courage et leur fidélité".

    TF1 News - 12/09/12

  • Réfugiés juifs : Israël réclame réparations

     

    La diplomatie israélienne soulèvera activement la question des réfugiés juifs qui ont quitté les pays arabes à différentes époques et insistera sur la nécessité d’inscrire cette question à l’ordre du jour international parallèlement au problème des réfugiés palestiniens, a annoncé mardi le vice-ministre israélien des Affaires étrangères Danny Ayalon (photo ci-contre).

    "Le ministère des Affaires étrangères demande à toutes les représentations diplomatiques d’Israël, surtout à sa mission à Genève et à sa délégation aux Nations unies de soulever cette question devant les gouvernements et les parlements des pays d’accueil lors de toute rencontre et discussion", a déclaré M. Ayalon cité mardi dans un communiqué de la diplomatie israélienne.

    Le vice-ministre n’a pas spécifié comment il voyait la solution du problème des réfugiés juifs qui, dans leur majorité, se sont parfaitement intégrés dans la société israélienne.

    Selon les informations citées par M. Ayalon, près de 750 000 Arabes ont quitté la Palestine et Israël depuis la proclamation de l’Etat hébreu, tandis que le nombre de Juifs chassés des pays arabes s’élève à 900 000 personnes.

    "Depuis 1950, les Nations unies ont versé 13,7 milliards de dollars d’aide aux réfugiés palestiniens. Pendant cette période, les réfugiés juifs n’ont reçu que 35.000 dollars", a indiqué le quotidien israélien Haaretz, citant Stanley Urman, directeur exécutif de l’association Justice pour les Juifs des pays arabes (Justice for Jews from Arab Countries).

    Egalité & Réconciliation

     

    On en reste coi!

  • Harlem Désir ou l’idéologie antiraciste aux commandes du premier parti de France

     

     

    Communiqué de Marion Maréchal-Le Pen, députée du Vaucluse à l’Assemblée nationale

    La nomination de Harlem Désir comme premier secrétaire achève de discréditer un Parti Socialiste qui s’est progressivement éloigné de sa base populaire pour concentrer sa stratégie sur la séduction du vote des minorités.

    Symbole des années Mitterrand, où les trotskystes avaient reçus pour mission d’infiltrer les mouvements issus de la marche des beurs pour en faire un satellite du PS, Harlem Désir fut un des grands ordonnateurs de SOS Racisme, officine qui a tant contribué à culpabiliser les Français en assimilant toute politique de préférence nationale à du racisme et en poursuivant devant les tribunaux tous ceux qui doutent des bienfaits de l’immigration massive.

    La présence d’Harlem Désir à la tête du parti qui domine les institutions nationales est là pour rappeler la stratégie du PS, tristement décrite dans les études de son think tank Terra Nova : abandonner l’électorat populaire et ouvrier pour se focaliser sur les minorités, et notamment sur les français issus de l’immigration récente, dont on sait qu’ils votent à gauche pour les trois quarts voire plus.

    On notera ici que le nouveau premier secrétaire a été nommé, sans vote des militants de gauche, par la volonté du Prince. Ses condamnations pour emplois fictifs rappellent enfin la haute morale républicaine de SOS Racisme, association vivant de subventions publiques et pourtant souvent mise en cause pour sa gestion, notamment lors de l’affaire Dray.

    Il y a fort à craindre que la République exemplaire que promettait le candidat Hollande ne trouvera pas un promoteur très pugnace en la personne du nouveau premier secrétaire, laissant aux Guérini, Kucheida et à leurs émules une paix royale.

  • Le Conseil de Sécurité de l'ONU ne condamne pas le terrorisme en Syrie

     

    Une vague d’attentats a frappé plusieurs villes irakiennes, dont Bagdad, le 9 septembre dernier, faisant plus de 90 morts, principalement des agents des services nationaux de sécurité, et près de 300 blessés dont des civils.

     Le même jour, deux voitures piégées ont explosé à Alep, la deuxième grande ville syrienne, faisant 47 morts et plus d’une centaine de blessés. La Russie condamne ces attentats, pas l’Occident en ce qui concerne ceux perpétrés en Syrie.

    L’Occident tolère les attentats qui lui sont profitables d’un point de vue politique, a déclaré à Astana (capitale du Kazakhstan) le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, commentant le refus de certains pays membres du Conseil de sécurité de l’ONU de condamner les attentats en Syrie.

    « Quand les attentats sont politiquement utiles pour l’Occident, ils sont donc acceptables. Je serais heureux que nos partenaires dissipent mon soupçon, mais pour le moment je n’ai d’autre choix que de m’y tenir », a indiqué M. Lavrov devant les journalistes russes.

    La Russie a présenté dimanche deux projets de déclaration condamnant les attentats récemment commis en Syrie et en Irak au Conseil de sécurité de l’ONU. Le conseil a adopté la déclaration concernant l’Irak, tout en s’abstenant à dénoncer les attaques terroristes syriennes.

    L’argument selon lequel il faut examiner les attentats perpétrés en Syrie dans le contexte des violences qui secouent le pays signifie que le Conseil de sécurité a renoncé à son principe de toujours condamner le terrorisme.

    Source

  • Libye : l’ambassadeur américain tué dans un attentat à Benghazi

     

     

    L’ambassadeur des Etats-Unis en Libye, Christopher Stevens, et trois autres membres du personnel diplomatique américain ont péri dans une attaque à la roquette qui s’est produite mardi à Benghazi, dans l’est du pays. Ces décès ont été confirmés mercredi matin par le ministre de l’Intérieur libyen ainsi que par des sources chargées de la sécurité, affirme le site internet de la chaîne Al Jazeera.

    Selon les autorités libyennes, les assaillants protestaient contre le film intitulé « L’innocence des musulmans », jugé blasphématoire. Produit par un agent immobilier israélo-américain, Sam Bacile, ce film satirique diffusé sur internet a reçu le soutien de Terry Jones, un pasteur américain controversé qui avait créé la polémique en brûlant des exemplaires du Coran en avril.

    Au Caire, en Égypte, près de 3.000 personnes dont de nombreux salafistes, se sont rassemblées devant l’ambassade des États-Unis. Une dizaine d’hommes ont escaladé le mur d’enceinte du bâtiment et l’un d’eux a arraché le drapeau américain. Une fois déchiré, ce dernier a été remplacé par un immense drapeau noir sur lequel était écrite la profession de foi musulmane : « Il n’y a de Dieu que Dieu et Mahomet est son prophète » (source).

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    Note NPInfo : Sous le régime de Kadhafi, aucun diplomate étranger n’avait été ne serait-ce qu’agressé. Ce régime a été renversé, il y a plus d’un an, dans le sang par une coalition islamo-atlantiste, soutenue par des dictatures wahhabites du Golfe persique, et avec l’assentiment de la classe politique US, des démocrates de la majorité de Barak Obama aux républicains dont le sénateur John McCain, candidat préféré des occidentalistes lors de la dernière présidentielle US.

    Source

  • L'aube dorée dans le ciel de Marseille

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    11 septembre 2012 à 7h10 du matin

    (Photos Gaëlle Mann)

     

     

  • 11 septembre : l’autre anniversaire...celui de Bachar Al-Assad

     

    Source : medea.be

     

    Né à Damas le 11 septembre 1965, Bachar Al-Assad se destinait à la carrière médicale et terminait des études d’ophtalmologie en Angleterre lorsqu’il fut rappellé par son père en 1994 pour assumer les fonctions de son défunt frère comme commandant d’une division blindée de l’armée syrienne.

    Depuis son retour au pays, les cercles dirigeants se sont attachés, par une vaste campagne de presse, à rendre Bachar Al-Assad populaire aux yeux du peuple syrien de sorte que son élection à la présidence soit garantie. L’éventuelle succession de Bachar à son père représentait, selon des cercles proches du pouvoir, « la meilleure garantie de la poursuite de la politique du Président et du maintien de la stabilité en Syrie ».

    Nommé colonel en 1999, Bachar Al-Assad a été chargé de missions de confiance. Il rendit ainsi une longue visite au Président du Liban, Emile Lahoud, au lendemain de son élection. En novembre 1999, il était également reçu en tête-à-tête à l’Elysée par le Président français Jacques Chirac.

    On prévoyait généralement que Bachar Al Assad devienne membre du « commandement régional » (syrien) du parti Baath lors de son prochain congrès général programmé pour le 17 juin 2000.

    Ce processus de préparation au pouvoir a été brusquement accéléré avec le décès inopiné d’Hafez El Assad le 10 juin. Le jour même, le Parlement syrien, dès l’annonce de la mort du Président, amendait la disposition constitutionnelle qui fixait à 40 ans l’âge minimum pour devenir Président, abaissant cette limite à 34 ans.

    Deux jours plus tard, Bachar était nommé général en chef des forces armées syriennes par le Vice-Président Abd al Halim Khaddam, qui assurait dans l’intérim les fonctions de Chef de l’Etat. Le 25 juin, le Parlement l’a proposé comme Chef de l’Etat, choix qui a été confirmé, pour un mandat de sept ans, par le référendum qui s’est tenu le 10 juillet de la même année.

    E&R

  • Syrie: Paris songe à renforcer son soutien aux terroristes !

    Alors que les massacres se poursuivent en Syrie, la ne reste pas inactive sur le plan diplomatique. Dans l’entourage du chef de l’Etat et du ministre des Affaires étrangères, , la possibilité d’aider davantage les rebelles est à l’étude.

    Une aide financière aux « zones libérées » en Syrie. Le clan Al-Assad ne contrôle plus qu’une partie du territoire syrien.

     

    Environ la moitié du pays, peut-être moins. Dans certaines localités, notamment dans le Nord et le Sud, il n’y a plus de ou de soldats du régime depuis des semaines, voire des mois. Ce sont des chefs locaux qui ont pris les commandes et administrent ces régions tant bien que mal. La France, qui plaide pour que l’aide humanitaire soit affectée en priorité à ces « zones libérées », a envoyé un émissaire pour superviser le projet. Il s’agit de remettre en état certaines infrastructures, l’accès a l’eau potable ou encore le réseau de ramassage des ordures pour éviter les risques sanitaires. De l’argent a déjà été distribué à des responsables de cinq localités syriennes dans les provinces d’Alep, d’Idleb et Deir Ezzor. Une des enveloppes servira, par exemple, à reconstruire une boulangerie industrielle détruite par un bombardement. La contribution française a été portée de 3,6 millions à 8,6 millions d’euros.

    La question des livraisons d’armes toujours en suspens. Sur le terrain, certaines unités rebelles sont cruellement démunies, ne disposant que de kalachnikovs et de lance-roquettes face aux tanks et aux avions des unités régulières. « La supériorité mécanique du régime est flagrante, reconnaît un diplomate français. Sans un coup de pouce de la part des Occidentaux, le statu quo peut encore durer des mois et des mois. » Faut-il livrer des armes aux rebelles? A cette question la France a toujours répondu non. D’abord parce qu’elle ne « veut pas » violer l’embargo qu’elle a elle-même signé. Ensuite parce qu’elle redoute que du matériel sensible ne se retrouve aux mains de groupes jihadistes qui opèrent en Syrie aux côtés des insurgés. « Il y a un précédent fâcheux en Libye, s’inquiète Fabius. Aqmi a récupéré une partie de l’arsenal de Kadhafi et menace de s’en servir un jour contre nous. Il faut être prudent. » Cependant, la position de la France et d’une partie de ses alliés pourrait évoluer si la situation s’enlise. « Paris étudie au cas où la possibilité de livrer des armes antiaériennes pour limiter les bombardements admet une source diplomatique. La question est sur la table. Mais il faudrait un accord international et pour l’instant nous en sommes loin. » Dans cette hypothèse, la France se renseigne sur la fiabilité des commandants rebelles syriens et a dépêché quelques experts militaires dans la région.


    Le Parisien - 11/09/12

  • Le n°2 de la diplomatie russe au Figaro : « Bachar ne partira que s’il est battu à la présidentielle »

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    Bachar al-Assad et Mikhaïl Bogdanov à Damas le 29 août dernier

     

    Par Louis Denghien,

     

     

    « Le président Bachar al-Assad quittera son poste si son peuple choisit un autre candidat lors de l’élection présidentielle (prévue pour 2014) » C’est ce qu’a déclaré lundi au Figaro Mikhaïl Bogdanov, vice-ministre russe des Affaires étrangères. Encore un point russe sur les « i » occidentaux, qui confirme que pour Moscou – et pas mal d’autres – Bachar a d’ici là une totale légitimité politique.

    « Important soutien » de la population à Bachar

    « Bachar al-Assad nous a clairement déclaré que si le peuple ne voulait plus de lui, et s’il se choisissait un autre leader lors d’une élection présidentielle, il partirait » a précisé Bogdanov. Voilà qui devrait, si l’opinion française n’est pas trop lobotomisée par 18 mois de propagande quasi-totalitaire, « retoucher » un peu le portrait du « dictateur » accroché au pouvoir contre son peuple, peint avec application sinon talent par tous les éditorialistes et présentateurs de France et de Navarre.

    Le vice-ministre ajoute logiquement dans son entretien que ce n’est ni aux Russes ni aux Français « de décider du sort du président syrien« . Bogdanov n’a pas précisé si Bachar serait le candidat préféré des Russes à la présidentielle à venir, mais il a estimé dans les colonnes du Figaro que le régime syrien était « encore stable » et qu’il jouissait « d’un soutien important de la population« . Soutien, précise Mikhaïl Bogdanov, « qui n’est pas motivé par l’amour des Syriens pour Bachar al-Assad, mais plutôt par la crainte de ceux qui lui succéderaient« .

    Ce disant, Bogdanov est en conformité avec ce qu’on pourrait appeler une « coquetterie diplomatique » russe, qui a toujours fait dire aux dirigeants de Moscou qu’ils ne soutenaient pas Bachar en particulier, mais la souveraineté de la Syrie, et les plans de paix. Pour autant, Moscou n’a pas d’autre candidat sérieux au poste de dirigeant syrien. Et il est évident que Bachar est devenu, par sa résistance à la gigantesque pression internationale et aux bandes sectaires et sanguinaires de l’insurrection, un véritable homme d’État, sans doute plus populaire aujourd’hui qu’hier. Le diplomate russe ne s’est pas fait faute de rappeler aux lecteurs du grand quotidien atlantiste français qu’une chute brutale du régime conduirait à une « somalisation » de la Syrie, avec toutes les effroyables conséquences qu’on imagine pour la population.

    Par ailleurs Bogdavov a proposé, par delà les les lecteurs du Figaro, l’organisation d’une conférence réunissant « tous les acteurs du conflit » aux Occidentaux. Cette conférence pourrait réunir en effet des représentants du gouvernement et des oppositions, mais aussi des diverses communautés religieuses et ethniques.

    InfoSyrie