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Selon Al Bana , les services du rensiegnements turcs ont déjà chois quelques militaires déserteurs syriens pour les échanger contre les officiers turcs au nombre des quels figurent quatre militaires de haut rang formés en Israël. Les Turcs ont d'abord tenté d'échanger leurs officiers contre les otages iraniens et libanais mais leurs efforts n'ont rien donné. selon ce journal, l'un des officiers syriens ayant fait défection et répondant au nom de Mohamad Chablough a tenét de mettre fin à ses jours, quand il a su que la Turquie s'apprêtait à le livrer au régime Assad.
13/09/12
“Vous n’avez pas honte, les Libyens veulent et ont droit à la démocratie”
C’est ce qu’on me reprochait, alors qu’en réalité, ce n’était pas le cas, pendant le conflit libyen.
Ce que je soutenais, c’était la souveraineté de ce pays, et mon combat contre l’extrémisme. Nous y sommes enfin arrivé. Que diront mes détracteurs maintenant, avec la nouvelle barbarie, qui ressemble, étrangement, à la mise à mort du frère Guide, Mouammar Kadhafi ? Regardez cette danse macabre des renégats, avec le corps de l’ambassadeur.
Addendum (22h40) Scoop: Libye et Étrange similitude – l’ambassadeur américain a été violé, sexuellement, avant qu’il ne soit tué.
Allain Jules - 12/09/12
ALTERINFO.NET - 13/09/12
Toute la Suède est sous le choc depuis la diffusion de cette vidéo dans l'émission télévisée "Efterlyst" ("Recherché") ! Tout commence par la chute d'un homme ivre, nommé Johnny, sur les voies du métro à Stockholm dans la nuit du 8 au 9 septembre.
Un usager voit la scène et s'approche. Après quelques secondes d'hésitation, il finit par descendre sur les rails. On imagine qu'il va secourir le pauvre homme et le remonter sur le quai. Pas du tout ! L'individu fait les poches de Johnny qui est allongé sur le ballast, inconscient.
Le Parisien
13/09/2012 — 16h15
TOURS (NOVOpress) — La mémoire d’un homme politique défunt, qui a marqué l’histoire de France de celle de sa ville, est-elle la propriété unique de sa famille et des amis ? Telle est la question que l’on peut se poser concernant Jean Royer, qui fut maire de Tours et une figure de la droite française. En effet, un Cercle Jean Royer vient d’être créé. Sur son site, on peut lire l’objet de ce cercle : “Notre époque qui se dit libertaire encadre chaque jour la liberté de pensée de nouveaux interdits. Assaillis par un diktat médiatique et des lobbys toujours plus puissants, il s’est installé depuis plusieurs années le règne de la pensée unique et du terrorisme intellectuel. Les voix dissonantes sont condamnées à se taire, les procès d’intention se multiplient et l’espace de liberté si cher à nos contemporains se réduit peu à peu. Et pourtant, certains résistent. Des passionnés de la controverse aux amoureux de la vérité ils clament leur voix envers et contre tous. Vilipendés par ceux qui règnent en maître ils sont les véritables garants d’une liberté d’expression toujours plus menacée. Ainsi, conscients de cet état de fait nous avons créé ce cercle d’étude et d’information. Destiné à tous, il aura pour finalité de vous proposer des conférences sur divers sujets comme l’histoire, l’économie, les sciences… et porter à vos oreilles des idées allant à contre-courant de l’opinion commune.”
Malheureusement, certains ne semblent pas vouloir d’une liberté d’expression et d’information à Tours. Au premier rang desquels La Nouvelle République qui, dans un article mis en ligne sur son site ce matin, parle d’utilisation dérangeante (sic !) du nom de Jean Royer. Motif de cette attaque ? Le fait que Vox Populi serait soi-disant à l’origine du Cercle Jean Royer. Et là, bien entendu, la Nouvelle République passe de l’enquête journalistique à la dénonciation et à l’action de basse police politique. Ainsi (au grand regret du journaliste semble-t-il), “pas de revendication d’extrême droite ni de racisme” sur le site de Vox Populi. Mais “des références suffisent à classer l’organisation sur l’échiquier des idées politiques : Charles Martel et Maurras. Et, avant de s’appeler Vox Populi, le groupe s’intitulait Comité 1571 (en référence à la date de la bataille de Lépante, au cours de laquelle les marines d’Espagne et de Venise, unies sous la bannière de la Sainte Ligue à l’initiative du pape Pie V, ont infligé une cuisante défaite aux Ottomans). Cette bataille est restée dans l’histoire comme celle qui a arrêté l’expansion de l’empire ottoman. Les chrétiens contre les musulmans : inutile de s’appesantir sur la portée symbolique qu’attache à cette bataille la nébuleuse d’extrême droite.”
Et la Nouvelle République d’utiliser ces références pour que la famille de Jean Royer jette l’opprobre sur le cercle. D’où cette réaction de Gérard Royer, le fils de l’ancien maire. : “Je vais (…), en accord avec les membres de l’association des Amis de Jean Royer, entreprendre une action pour que la justice la complète, en faisant rechercher l’identité des emprunteurs anonymes du nom de mon père et fermer le blog.”
Cependant, ce même Gérard Royer stipule : “Jean Royer n’a appartenu et n’appartient à personne”. Cherchez l’erreur. D’autant que l’on peut difficilement classer l’action de l’ancien maire de Tours à gauche…
Quant à Pierre-Louis Mériguet, porte-parole de Vox Populi que nous avons joint par téléphone, il nous assure qu’il n’est pas le responsable de ce cercle. Affaire à suivre donc !
[cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [http://fr.novopress.info/]
Barack Obama - Discours AIPAC 2012 par LenferMeMent
Sous-titres en français
AIPAC: http://fr.wikipedia.org/wiki/American_Israel_Public_Affairs_Committee
Un splendide morceau de l'Opéra des Reptiles ! A écouter sans modération avant l'Apocalypse!
Condamné en 1998 pour emploi fictif, le futur patron du Parti socialiste fait face aux critiques de l’opposition. Celle-ci rappelle la promesse de Hollande de ne pas s’entourer de personnes ayant eu des démêlés avec la justice.
Le Parti socialiste s’est-il tiré une balle dans le pied en plaçant Harlem Désir à sa tête ? Alors que François Hollande avait assuré pendant sa campagne qu’il ne s’entourerait pas de personnes condamnées par la justice, le choix fait par l’actuelle patronne du PS, Martine Aubry, et par le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, peut paraître surprenant. Le parcours de l’eurodéputé comporte en effet un volet judiciaire, dont l’opposition a déjà fait son angle d’attaque.
Soupçonné d’avoir bénéficié d’un emploi fictif de 1986 à 1987, alors qu’il dirigeait SOS Racisme, il a été condamné dix ans plus tard, en décembre 1998, à dix-huit mois de prison avec sursis et 30.000 francs d’amende (4.573 euros). Il était accusé d’avoir perçu illégalement au cours de cette période 202.560 francs (30.880 euros) de salaires, de l’Association régionale pour la formation et l’éducation des migrants (Arfem), basée à Lille.
Acculé par les critiques de la droite, Harlem Désir s’est expliqué mardi sur ses démêlés avec la justice. « On ne découvre rien me concernant. Ces condamnations concernent des faits, il y a 25 ans, quand j’étais jeune militant. La justice a tranché et je n’ai pas de commentaire à faire », a-t-il déclaré, tout en reconnaissant « une erreur ». « Mais jamais ma probité n’a été mise en cause. Il n’y a pas eu d’enrichissement personnel », a ajouté l’actuel numéro deux du PS, concédant toutefois que cet épisode judiciaire l’avait amené à s’interroger sur sa candidature.
E&R
Richard Millet, l'auteur du pamphlet sur le tueur norvégien Breivik qui a provoqué un scandale, a remis ce soir au PDG de Gallimard sa démission du comité de lecture de la maison d'édition, a appris l'AFP auprès de l'éditeur.
Richard Millet "n'est pas licencié" et continuera de s'occuper au sein de la maison des auteurs dont il a la charge, mais il devra "prendre du champ" et ne siègera plus au comité de lecture, précise-t-on chez Gallimard.
Le PDG de Gallimard, Antoine Gallimard, qui s'était déjà dit fin août "choqué" par ce texte intitulé "Eloge littéraire d'Anders Breivik", a envoyé lundi à Richard Millet un courrier dans lequel il lui explique qu'"appartenir à la maison implique une forme de solidarité, et qu'en tant que membre du comité de lecture, il représente la maison".
"Je ne saurais approuver aucune de vos thèses politiques. Cette position ne m'est pas personnelle, c'est celle de la maison depuis toujours", écrit Antoine Gallimard dans ce courrier.
"Autant je ne suis pas prêt à me laisser dicter ma conduite par des pressions médiatiques ou par des réactions individuelles, légitimes ou non, autant je suis en droit de demander de vous le respect d'une idéologie confraternelle", ajoute-t-il.
Antoine Gallimard laissait dans cette lettre à Richard Millet le soin de trouver une formule qui respecte sa "liberté d'écrivain" et ses propres "responsabilités de chef d'entreprise".
Plusieurs auteurs Gallimard sont montés au créneau depuis la sortie de cet "Eloge de Breivik", dont Annie Ernaux, qui a été l'une des premières à remettre en cause la présence de Richard Millet dans le comité de lecture.
Millet écrit entre autre dans ce pamphlet: "Breivik est sans doute ce que méritait la Norvège", c'est "un enfant de la ruine familiale autant que de la fracture idéologico-raciale que l'immigration extra-européenne a introduite en Europe depuis une vingtaine d'années".
Auteur d'une cinquantaine de livres, Richard Millet, 59 ans, a notamment été l'éditeur de Jonathan Littell, prix Goncourt 2006? et d'Alexis Jenni, Goncourt 2011.
Le 24 août, Anders Breivik a été condamné à 21 ans de prison, peine qui peut être prolongée tant que le coupable du massacre de 77 personnes le 22 juillet 2011 est considéré comme dangereux.
Le Figaro - 13/09/12
Israel - bombe électromagnétique contre l'Iran par zapataguevara
E&R 13/09/12
http://fr.euronews.com/2012/08/25/hommage-a-l-octogenaire-qui-a-defigure-le-christ/
VIDEO
NdB: Est-ce l'info du jour la plus nulle ou la plus triste ?
Battu par l'un de ses élèves mardi, l'enseignant de 36 ans souhaite discuter avec le ministre de l'Education des enjeux de l'école, à la lumière de son incident.
Il est "totalement indemne" physiquement mais "très amer" moralement. Le professeur de Bordeaux, agressé mardi par un de ses élèves, a indiqué jeudi qu'il allait solliciter un entretien "constructif et courtois" avec le ministre de l'Education, Vincent Peillon, pour discuter des enjeux de l'école, à la lumière de son incident.
Selon le jeune homme de 36 ans prénommé Christophe, son agression est due essentiellement à un "raidissement" momentané de son élève, en proie à des difficultés familiales et personnelles. "Il ne m'a pas cassé la gueule, mais il m'a brisé le coeur", a déclaré l'enseignant, qui dit éprouver un "sentiment de trahison" de la part d'un élève qu'il apprécie particulièrement, et qui en plusieurs occasions par le passé l'avait même aidé à "tenir la classe".
"Je ne suis pas de nature à me laisser abattre"
L'enseignant d'histoire-géographie et lettres, au lycée professionnel Trégey de Bordeaux, a reçu plusieurs claques et coups de poings, ainsi qu'un coup de tête, de la part d'un élève de 18 ans, après une altercation lors d'un cours. (Lire : un professeur roué de coups par un élève). L'élève a été interpellé et doit faire l'objet d'une comparution dans les prochains mois devant le tribunal correctionnel pour "violences sur personne chargée d'une mission de service public et dégradations".
Le désaccord entre l'élève et l'enseignant est intervenu au détour d'une référence au système politique du Maroc, dont la famille de l'élève est originaire, lors d'un cours sur le "fait religieux en France depuis 1880". Mais, assure Christophe X., "cela a éclaté sur cela, cela aurait pu éclater sur n'importe quoi d'autre", tant il avait senti son élève "plus tendu, plus susceptible, plus agressif" ce jour-là. Le détonateur, selon l'enseignant, est lorsqu'il a indiqué à l'élève qu'il saisirait ses parents. Le professeur a dit avoir revu son élève à l'issue de la garde-à-vue de ce dernier, et lorsque celui-ci lui a présenté ses excuses, il a eu "l'impression de voir Dr Jekyll et M. Hyde" par rapport à l'agresseur.
Pour autant, l'enseignant a indiqué ne vouloir "ni minimiser, ni exagérer" l'importance du sujet du cours, c'est-à-dire le fait religieux. Cela renvoie selon lui à des "problématiques complexes": "la croyance et le savoir", "l'autorité", la "laïcité" à l'école, qu'il souhaiterait aborder avec le ministre, et provoquer si possible un débat, a-t-il ajouté. "Je ne suis pas de nature à me laisser abattre", a-t-il dit, affirmant aussi vouloir "éviter à tout prix une récupération politique" de son incident.
TF1 News - 13/09/12
Posté par Isabelle Weber le 13 septembre 2012
Hier, Gilbert Collard, député du Gard, a fait le terrible constat : alors qu’il présentait un amendement à l’Assemblée Nationale, afin de faire figurer de nouveau dans les textes « la préférence nationale », il s’est aperçu qu’il était désormais impossible de parler de « préférence nationale » devant les députés de tous bords. Cette idée pourtant soutenue et défendue en son temps par Jean Jaurès.
Reposant de moins en moins sur les cotisations, le financement de la Sécurité sociale est fragilisé, estime la Cour des comptes. Alors les magistrats préconisent de supprimer certains avantages fiscaux et sociaux dont bénéficient les retraités.
Les cotisations sociales restent la principale ressource pour payer les retraites, les prestations de santé ou les allocations familiales. Ces recettes sont dynamiques parce qu’elles sont assises sur les salaires, qui progressent toujours beaucoup plus vite que l’inflation. Instaurée il y a plus de vingt ans, la CSG sur les revenus d’activité assure elle aussi une grande stabilité aux finances de la Sécurité sociale. Mais la part de ces cotisations dans les recettes a nettement reculé, notamment en raison des allégements de charges patronales sur les bas salaires
Pour mieux financer la Sécu, la Cour recommande en priorité de raboter les avantages fiscaux et sociaux dont bénéficient les retraités. Un sujet ultra-sensible. Les magistrats recommandent de supprimer l’abattement fiscal de 10 % sur les pensions, ce qui rapporterait 2,7 milliards d’euros. Soumettre à l’impôt les majorations de pensions dont bénéficient les parents de trois enfants permettrait d’engranger 800 millions. Et aligner le taux de CSG des pensions les plus élevées (6,6 %) sur celui des salaires (7,5 %), apporterait 1,2 milliard. Soit près de 5 milliards d’euros au total.
Mais ces décisions seraient très impopulaires auprès d’une grande partie de l’électorat, ce qui explique que le gouvernement avance prudemment sur ces sujets.
Le Front National ne peut que réprouver ces éventuelles mesures qui réduiraient encore le pouvoir d’achat des retraités. Le parti de Marine Le Pen préconise au contraire une revalorisation des pensions de retraite, ainsi que des pensions de réversion versées au conjoint de la personne décédée, et une augmentation du point d’indice pour les petits salaires de la fonction publique.
Communiqué d’Alexandre Simmonot, secrétaire départemental du Val-d’Oise
17 tombes ont été profanées la semaine dernière dans le vieux cimetière catholique de Goussainville (Val-d’Oise). Les croix de ces tombes ont été abattues et brisées.
Si ces tombes avaient été musulmanes, cette information serait reprise par tous les médias, et elle provoquerait immédiatement le grand émoi des professionnels de l’antiracisme. Mais là il ne s’agit que de tombes catholiques alors cela n’intéresse personne.
Où sont donc passés les professionnels de l’indignation ? Où sont les ministres avec leurs traditionnelles têtes d’enterrement ? Où est le communiqué de Manuel Valls ? Qu’ont déclaré SOS Racisme, la LICRA, le MRAP et la LDH ?
Ce silence scandaleux démontre combien la laïcité des socialistes s’exerce à sens unique : tout pour les islamistes et rien pour les autres !
Dans l'église de Cormery en Indre-et-Loire, en milieu de semaine dernière, des actes de vandalisme et de profanation ont été commis dans l'église. Un paroissien témoigne :
« La porte de la sacristie était ouverte. La porte du tabernacle avait été arrachée, tout était saccagé à l'intérieur. Dans la sacristie, tout était sens dessus dessous ».
Dans le tabernacle, le ciboire et les hosties qu'il contenait ont été emportés. Différents objets (burettes, couteau…) ont aussi été volés dans la sacristie. L'abbé Gilles Meunier, curé de la paroisse, déclare :
« C'est un sacrilège pour nous. Le tabernacle, c'est le lieu où se trouve le corps du Christ. C'est très grave pour tous les paroissiens. »
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie. Une messe dite de réparation a déjà été dite samedi.
Posté le 12 septembre 2012 à 11h09 par Michel Janva
Le Salon Beige
L’homme d’affaires Boris Berezovski (photo ci-contre), opposant au Kremlin et exilé à Londres, serait « derrière » la prière anti-Poutine chantée par les Pussy Riot dans une cathédrale de Moscou, selon une télévision d’état russe, des allégations démenties et dénoncées mercredi par tous les intéressés.
Dans une émission diffusée par la chaîne Rossia 1, un certain Alexeï Vechniak, se présentant comme ex-conseiller du milliardaire russe, déclare que M. Berezovski lui a montré en 2011 des images de Nadejda Tolokonnikova (l’une des Pussy Riot aujourd’hui en prison) et de son mari Piotr Verzilov, annonçant qu’ils allaient bientôt « passer à l’action » contre l’Église.
« Regarde Verzilov, regarde Tolokonnikova, nous allons bientôt passer à l’action contre l’Église », aurait dit M. Berezovski lors d’un entretien en février 2011, en montrant sur son iPad des images de Tolokonnikova et de Verzilov, membre du groupe artistique contestataire Voïna, selon M. Vechniak.
« Qui se trouve derrière ces femmes coupables de sacrilège ? D’après moi une de ces personnes est Boris Berezovski », a ajouté M. Vechniak, en affirmant que le milliardaire russe voulait ébranler le pouvoir de l’Église orthodoxe russe et les forces de sécurité.
Interrogé par la radio Écho de Moscou, M. Berezovski a nié ces allégations.
« Je n’ai aucun lien avec les Pussy Riot et je n’ai discuté d’aucun projet avec lui », a-t-il déclaré, faisant référence à M. Vechniak.
L’homme d’affaires a cependant ajouté qu’il aurait été « fier, s’il avait imaginé » l’action des Pussy Riot, qu’il a qualifiée de « très créative ».
Nadejda Tolokonnikova, 22 ans, Ekaterina Samoutsevitch, 30 ans, et Maria Alekhina, 24 ans, ont été condamnées en août à deux ans de camp chacune pour « hooliganisme » et « incitation à la haine religieuse » après avoir chanté en février une « prière punk » dans la cathédrale du Christ-Sauveur à Moscou, demandant à la Sainte Vierge de « chasser Poutine » du pouvoir.
Réagissant à la diffusion de cette émission, Piotr Verzilov a indiqué envisager de porter plainte contre son présentateur Arkadi Mamontov, dénonçant un sujet fondé sur des affirmations « fantasques ».
« Nous n’avons jamais discuté avec de telles personnes », a-t-il souligné sur les ondes de la radio Écho de Moscou.
Les avocats des Pussy Riot ont également qualifié cette émission « d’absurde ».
« Tout le studio est fou », a écrit sur son compte Twitter l’avocate Violetta Volkova.
L’émission, intitulée Provocateurs 2, a été diffusée alors que l’appel des trois jeunes femmes contre leur condamnation doit être examiné le 1er octobre. Elle n’incluait aucune interview de M. Berezovski ou de partisans des jeunes femmes.
Les critiques se sont multipliées mercredi contre l’émission. Le père Andreï Kouraïev, professeur à l’Académie de théologie et un des blogueurs orthodoxes les plus connus, a émis de nombreux doutes sur sa véracité.
« Il est peu probable que Berezovski se soit confié à une personne ayant de telles opinions », a-t-il écrit sur son blog. « Je ne soutiens pas les Pussy Riot ni Berezovski. Mais pourquoi mentir ? », a-t-il ajouté.
Une émission du même présentateur, diffusée en avril, avait déjà accusé M. Berezovski d’être impliqué dans l’affaire des Pussy Riot, en se basant sur le fait que l’opposant exilé avait envoyé une lettre au patriarche russe avant la présidentielle, l’appelant à soutenir un changement de régime.
M. Berezovski, 66 ans, éminence grise du Kremlin à l’époque du président Boris Eltsine et tombé en disgrâce peu après l’arrivée de Vladimir Poutine au pouvoir en 2000, est visé par de nombreuses enquêtes en Russie.
Exilé depuis 2000 au Royaume-Uni, où il a obtenu l’asile politique trois ans plus tard, il reste très impopulaire en Russie.
E&R