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  • La théorie du "genre" en application dans les crèches !

     

     

    Comment les stéréotypes sexistes pénètrent-ils – encore – le cerveau des tout-petits ? Dans les crèches ou les écoles, les filles en rose et les garçons en bleu sont-ils en passe d’être ringardisés ?

    En Converse roses et chemise de bûcheron, Darius, 2 ans, savonne méticuleusement un poupon en plastique dans une baignoire d’enfant. À quelques mètres, des petites filles jouent avec des voitures.

    Bienvenue à la crèche Bourdarias, à Saint-Ouen : depuis 2009, l’équipe se mobilise pour lutter contre les stéréotypes de genre qui assignent les enfants à des rôles différents en fonction de leur sexe.

    « On encourage les filles à manier le marteau à l’atelier bricolage, et les garçons à s’exprimer à l’atelier émotions », explique David, un des éducateurs. Dans la bibliothèque, les histoires pour la sieste s’intitulent par exemple : Le Papa qui avait dix enfants. 


    Cette expérience pilote intéresse le gouvernement : le 7 septembre, la crèche a reçu la visite de Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes, et de Dominique Bertinotti, ministre déléguée à la Famille. Elles ont affirmé clairement leur désir de multiplier ce type de dispositif. « C’était mon premier projet en arrivant à ce ministère », a expliqué Najat Vallaud-Belkacem.

    Lire la suite de l’article : madame.lefigaro.fr

    E&R

     

    NdB: Quelle crétinerie!

    A noter que les poupées qu'on peut voir sur la photo sont issues de la diversité! La touche de raffinement!

  • (2) Il a réécrit Molière - suite de l'article

     

    « J’ai fait ça pour m’amuser, confie l’étudiant en commerce extérieur. J’avais 17 ans, c’était les vacances de Noël, je m’ennuyais. »

    En une semaine, cette œuvre qui moque la vie d’un bourgeois radin est mangée et digérée à la sauce cité. « Père » devient « daron » et les poétiques « je t’aime » se transforment en un expressif « je te kiffe ». Une volonté peut-être de rendre accessible le vieux français à ses potes du quartier? « Pas du tout, sourit Jean. Mes amis ne lisent pas. Après, si l’Education nationale veut que mon livre soit au programme de seconde, comme l’a suggéré un de mes anciens profs, je serai flatté. »

    Un joli pied de nez à la littérature française pour ce jeune Camerounais, fils d’enseignants, débarqué au pays de Molière à l’âge de 7 ans. « J’ai toujours considéré que venir ici était une chance même si, à l’école, quand on évoquait mes ancêtres les Gaulois, ça ne me parlait pas trop. »

    Ce touche-à-tout, auteur d’un court-métrage sur l’homosexualité dans les cités, dans un d’Ana Gironella avec Nawell Madani ou même mannequin à ses heures perdues, est un passionné de Molière. « J’ai lu Tartuffe mais aussi les Femmes savantes, mais l’Avare est mon préféré. Une partie de l’histoire et du caractère du personnage principal, comme l’égoïsme et le sexisme, sont toujours d’actualité. » Si le jeune homme suit scrupuleusement le rythme de la pièce, il n’hésite pas à prendre quelques largesses avec l’intrigue. « C’est ma touche personnelle. Et puis, parfois, j’ai lutté pour trouver une correspondance avec le langage des cités. »

    Aux Harpagon, Cléante ou encore Elise de la pièce originale ont succédé les Sébastien, Nicolas et Jennifer dans « Super Cagnotte », qui a failli s’intituler « Crevard ». Avec parfois un clin d’œil. « Dans mon livre, les policiers sont appelés Horatio et Eric Delko, les héros des Experts Miami. » Prochain objectif pour Jean qui a attendu quatre ans pour dénicher un éditeur, trouver un metteur en scène pour porter son livre au théâtre.

    Le Parisien

  • Val de Marne - Il a réécrit Molière en wesh wesh, le langage des cités

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    «Moi aussi, je peux kiffer quelqu’un. Mais avec les plans du daron, c’est cuit d’avance. » Il fallait oser. Réécrire « l’Avare », la pièce de Molière, façon wesh wesh, c’est-à-dire dans le langage des banlieues, Jean Eyoum l’a fait. Oubliée l’écriture tout en raffinement du XVIIe siècle, le jeune de 21 ans, originaire de Villeneuve-Saint-Georges, a choisi la langue fleurie et imagée de sa cité.

     

    « J’ai fait ça pour m’amuser, confie l’étudiant en commerce extérieur. J’avais 17 ans, c’était les vacances de Noël, je m’ennuyais. »

    Le Parisien - 15/09/12

  • EN DIRECT - Film anti-islam: 80 interpellations à Paris après une manifestation

    Lire: http://www.leparisien.fr/international/en-direct-film-anti-islam-violence-et-colere-a-travers-le-monde-15-09-2012-2166243.php

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  • Givors (69) – Un élu violemment agressé par un individu stationné sur une place réservée aux handicapés

     

     
     

    Un conseiller municipal de Givors (Rhône), a été frappé mardi d’un violent coup de poing au visage, sur le parking d’un centre commercial par un individu stationné sur une place pour handicapés. Il souffre d’une triple fracture du plancher orbital.

    Il est 14 h 30 sur le grand parking du centre commercial des Deux-Vallées à Givors, quand un automobiliste manœuvre près de Louis Soulier et de son épouse, à pied. Alors que l’individu sort de son véhicule, l’épouse du conseiller municipal fait remarquer à l’indélicat qu’il est stationné sur une place pour personne à mobilité réduite alors qu’il ne semble souffrir d’aucun handicap et qu’ il y a des places libres juste à côté. L’homme s’énerve alors aussitôt et les insultes pleuvent.

    Soutenant sa femme, M. Soulier cherche à argumenter, indique qu’il est élu et qu’il va prévenir les forces de police. Après l’altercation verbale vient l’agression physique. L’automobiliste donne un premier coup à l’élu sur la main tenant le téléphone portable. Alors qu’il se redresse après avoir ramassé l’appareil tombé à terre, le conseiller municipal givordin est violemment frappé au visage devant des témoins médusés. Dans le même temps, l’agresseur remonte en voiture et quitte rapidement les lieux.

    Le blessé souffre d’une triple fracture du plancher orbital qui nécessite 15 jours d’ITT. Pour l’instant. Car Louis Soulier, conseiller municipal délégué à … la sécurité, doit être opéré dans les prochains jours à l’hôpital de la Croix-Rousse à Lyon.

    Rapidement identifié, l’auteur des coups a été interpellé hier matin à son domicile de Tupins-et-Semons par les hommes du commissariat de police de Givors. Placé en garde à vue, il a intégralement reconnu les faits sans les expliquer. Âgé de 27 ans, l’homme, connu pour une dégradation de bien public en 2006, est convoqué devant le tribunal correctionnel de Lyon le 31 octobre. Il est poursuivi pour violences volontaires aggravées sur une personne chargée de mission de service public.

    Source

  • Mantes-la-Jolie : les miliciens grands frères escortent les médecins en zone musulmane

     

    De toutes les nouvelles (et il y en eut!) qui nous sont parvenues cette semaine du monde en folie, la plus ahurissante est née chez nous, en France, précisément dans la bonne ville de Mantes-la-Jolie, petit paradis multi-culturel que les médecins, las de s’y faire insulter, agresser ou vandaliser leur voiture, fuient désormais à toutes jambes.

    Des « grands frères » ont proposé à mes confrères de les accompagner, en escorte, lors de leurs possibles visites chez des patients. Au début, j’ai cru à une de ces vannes véhiculées sur la Toile par des facétieux, à l’un de ces traits d’humour que nos amuseurs publics se dispensent avec précaution, sous peine de quelque fatwa, de lâcher contre l’air du temps. Mais non! L’affaire est sérieuse et l’information, vérifiée.

    Ainsi la cité des Yvelines ennoblie par une pure merveille gothique se livre-t-elle, comme dans un cauchemar éveillé, à la mode libanaise des factions, des milices, des postes de contrôle et des traversées de secteurs sous l’oeil des guetteurs et, demain, des tireurs d’élite. Ainsi une ville française officialise-t-elle, dans un subit mouvement vers les profondeurs de ses propres entrailles, à des intermédiaires dont le souci principal est, clairement, d’en soustraire des quartiers entiers pour en faire des zones échappant une fois pour toutes aux lois de la République. Ainsi dois-je revivre, dans mon propre pays, ce que j’ai vécu chez les autres, et qui se nomme, dans la sourde rumeur des glas, guerre civile.

    Car c’est bien de cela qu’il s’agit. Un territoire naît, confisqué à la communauté nationale, géré et administré par des gens auto-proclamés protecteurs de la civilité, en fait liquidateurs dûment appointés de la règle commune. Fossoyeurs rigolards, pleins de cette force que donne la faiblesse du camp d’en face, passerelles ambiguës entre les mondes, il viennent, insolents, occuper les espaces que leur abandonne l’État. Tout désir de négociation aboli, ils prétendent imposer leur vision des choses, en vérité les barrages qu’il conviendra désormais de franchir avec leur permission pour simplement faire son métier.

    Mantes-la-Jolie, laboratoire d’idées neuves, inaugure la grand bâtiment au fond duquel gît la République. Et ce sont les édiles en principe chargées de garder le monument qui ouvrent en grand la porte. Mairie et Conseil Général se déclarent intéressés par le projet. Intéressés par le projet! Il faut le répéter cent fois dans sa tête pour finir par se persuader que c’est possible en France, une telle désertion, une aussi incroyable capacité à baisser son pantalon pour mieux recevoir l’hommage, une trahison semblable à celles qui, à quelques reprises, annoncèrent la livraison de la France, clés en main, à l’étranger.

    Alors, que dire? Une adresse au Ministre de l’Intérieur. Monsieur Valls, le temps vous est compté pour remettre les choses en ordre dans le pays que son peuple vous a confié. Escorter des médecins pour les conduire chez les gens! Prenez-vous conscience de ce qui vous est proposé là? Réalisez-vous dans quels abîmes nous jettent les convulsions souterraines dont les « grands frères » de Mantes-la-Jolie ne sont en fait que les ondes transmises, l’écume de la vague? Vous qui, du fait de votre âge, n’avez pas la totale mémoire des grandes tragédies d’avant la chute du Mur, apercevez-vous leur filiation aujourd’hui en action dans la patrie de Clémenceau, de Gambetta, de Jean Moulin? Comprenez-vous la manoeuvre amorcée dans une lointaine banlieue de Paris, demain généralisée à la France toute entière? Voyez-vous, oui ou non, avancer, derrière le fraternel sourire des agents d’influence, la libanisation accélérée de la France?

    Si vous vous sentez innocent de tout cela, dites-le. Les choses seront au moins claires vous concernant. Si non, agissez, sans tarder. Rétablissez la République là où l’on s’essuie les pieds dessus, parez le coup qui lui est porté au travers de cette seule, invraisemblable et pourtant bien réelle proposition, imposez-là avant qu’elle ne soit plus qu’un jeu de piste mortellement dangereux, arbitré par les milices. C’est un témoin de barbaries encore fraîches de leur sang versé qui vous le demande.

    L’Histoire passe devant vous, Monsieur Valls. Embarquez avec elle pour en changer le cours, c’est là le hasard heureux des hommes d’action placés au bon endroit, au bon moment. Si d’aventure vous restiez sur le quai, sachez que ce serait parce que la locomotive, les wagons et les passagers vous seraient passés sur le corps. À vous de choisir, sans délai.

    Alain Dubos

    RIPOSTE LAÏQUE

  • La justice belge va-t-elle libérer un monstre ?

    le samedi 15 Septembre 2012 à 00:02

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    Le pédophile condamné à perpétuité espère purger sa peine à domicile grâce à un bracelet électronique. Il en a fait la demande jeudi auprès des autorités belges.

    Marc Dutroux espère purger sa perpétuité à domicile en demandant un bracelet électronique. © Reuters Thierry Roge

    Quelques semaines après la libération anticipée de son ex-compagne, Marc Dutroux va-t-il quitter sa cellule ? Le pédophile, condamné à perpétuité pour l'enlèvement et le viol de six fillettes et la mort de quatre d'entre elles, réclame à l'administration pénitentiaire de pouvoir bénéficier d'un bracelet électronique pour purger sa peine à domicile.

    De fait, en l'état actuel de la législation belge, Marc Dutroux a passé 16 ans derrière les barreaux et pourra prochainement demander une libération conditionnelle. Reste que le gouvernement planche sur une réforme pour durcir les conditions de libération conditionnelle.

    Il est "convaincu" qu'il sortira un jour de prison et il "estime que lui aussi mérite une chance de se réinsérer" avait déclaré son avocat fin août au moment de la sortie de prison de l'ancienne épouse du pédophile, Michelle Martin. Une libération fortement contestée dans la rue et sur les réseaux sociaux.

    par
     
  • Dutroux demande un bracelet électronique

    Lire: http://www.lesoir.be/actualite/belgique/2012-09-14/marc-dutroux-demande-un-bracelet-electronique-937836.php

     + VIDEO

  • Le ministre Manuel Valls et le “deux poids deux mesures”

     

    Certaines choses peuvent être tues ; d'autres non…

    Vendredi dernier 7 septembre, un inconnu a uriné dans les deux grands bénitiers de l’église Notre-Dame la Grande de Poitiers (rien dans la presse, un signalement sur le Forum Catholique). Silence de Manuel Valls, ministre de l’Intérieur (et des cultes…). L’église de Cormery (Indre-et-Loire) saccagée et profanée au milieu de la semaine dernière (signalement dans La Nouvelle République qui évoque des faits similaires survenus à Corçay de manière presque concomitante, et des « actes très similaires » survenus en Loir-et-Cher « ces derniers mois ». Silence de Manuel Valls, ministre de l’Intérieur. L’église Saint-Benoît de Lageon (Deux-Sèvres) saccagée cette semaine (le Courrier de l’Ouest signale le fait dès le 11 septembre dans sa version en ligne). Silence de Manuel Valls, ministre de l’Intérieur. 70 tombes chrétiennes profanées cette semaine à Cahors (FR3 Midi-Pyrénées en fait un sujet). Silence de Manuel Valls, ministre de l’Intérieur… J’en passe…

     Les portes de la mosquée de Limoges sont souillées d’excréments dans la nuit du 11 au 12 septembre. Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, indigné dénonce véhémentement dans un communiqué « cet acte [qui] porte gravement atteinte à la dignité des musulmans et choque l’ensemble des citoyens attachés aux valeurs de respect et de tolérance », ajoutant que « s’attaquer à une religion, c’est s’attaquer à la République ». Cherchez l’erreur…

    D.H.

    Observatoirede la christianophobie

  • Toujours les mêmes...

     

    En réaction au film « Innocence of muslims » -que personne n’a vraiment vu…- la vague de violences s’est étendue ces dernières heures à de nombreux pays musulmans. Il n’en reste pas moins que tous les spécialistes s’accordent à dire que l’attentat de Benghazi le 11 septembre -voir notre article paru hier- a bien été planifié, indépendamment de la publicité faite autour cette grossière charge cinématographique, par des djihadistes rattachés à la nébuleuse Al Qaïda. Jeudi, le président russe Vladimir Poutine a condamné cet attentat, appelant à « l’intensification de la lutte commune contre les menaces extrémiste et terroriste ». Mais dans une appréhension des événements récents dans cette partie du monde arabe assez voisine de celle du Front National, il a aussi relevé que les gouvernements mis en selle (et les pays qui les ont aidé à se hisser au pouvoir) à la faveur du printemps arabe ont une part de responsabilité évidente dans les violences actuelles. «Au fil des années, nous avons eu de nombreuses divergences de point de vue avec nos partenaires américains sur la manière de résoudre les problèmes dans les régions sensibles » a résumé M. Poutine. Evoquant implicitement également la Syrie, il a souligné que les conflits en cours ne peuvent se résoudre que par « des négociations difficiles et pacifiques », la situation actuelle au Moyen-Orient risquant d’aboutir à « une impasse ».

    L’Impasse et au final la chute dans l’abîme, c’est aussi ce qui menace les pays qui renoncent aux valeurs nationales a estimé le chef d’Etat russe. Mercredi au cours d’une rencontre avec des représentants associatifs et religieux, M. Poutine a fustigé le masochisme antipatriotique et ses propagateurs : « Couvrir sa Patrie de m…, ici, c’est toujours le bienvenu, c’est considéré comme un mérite, et beaucoup de gens le font avec plaisir (…). Nous devons construire notre avenir sur une base solide. Et cette base, c’est le patriotisme. Le patriotisme, ce n’est pas seulement un beau mot. Le patriotisme, c’est tout d’abord servir sa patrie, son pays, la Russie, son peuple. Le patriotisme, c’est le respect de son pays et de ses traditions, des valeurs spirituelles de nos peuples (…) »

    Un rappel qui vient en contrepoint des attaques menées par les progressistes de tous poils dans nos contrées qui stigmatisent la Russie à la suite des ennuis judiciaires rencontrés par des membres du « collectif punk » Pussy Riot. Nadejda Tolokonnikova, 22 ans, Ekaterina Samoutsevitch, 30 ans, et Maria Alekhina, 24 ans, ont été condamnées le 17 août à deux ans d’emprisonnement pour «hooliganisme» et «incitation à la haine religieuse». En février dernier, elles avaient chanté une «prière punk» dans la cathédrale du Christ-Sauveur à Moscou, demandant à la Sainte Vierge de «chasser Poutine» du pouvoir. Dans les refrains de la chanson il était notamment dit : « Sainte Marie mère de Dieu, deviens féministe ou merde, merde, merde du Seigneur. »

    Les peines prononcées l’ont donc été malgré l’intervention en leur faveur de Vladimir Poutine. Son Premier ministre, Dimitri Medvedev, a estimé dans la Komsomolskaïa pravda qu’ « une peine avec sursis aurait été suffisante compte tenu du temps qu’elles ont passé en prison » tout en affirmant que « ce qu’elles ont fait cela me donne l’envie de vomir, tout comme leur apparence et l’hystérie qui accompagne tout cela. »

    Car ce que nos médias taisent aussi sous nos latitudes, et Alexandre Latsa, chroniqueur pour l’agence de presse RIA Novosti (information reprise par Le salon beige) l’a rappelé, c’est que ces délicates jeunes femmes sont des multirécivistes. « Les nombreuses et précédentes actions de Pussy Riot n’ont pas été condamnées. Pourtant il y en a de vraiment gratinées. Parmi elles, l’organisation d’une orgie sexuelle avec des femmes enceintes dans un musée (le nom de l’action étant une insulte violente adressée au président Medvedev), se montrer en public nue et couvert de cafards, se masturber avec une carcasse de poulet dans une épicerie et en sortir en marchant avec la carcasse enfoncée dans les parties génitales, l’attaque à l’urine sur des policiers ou encore tenter d’embrasser sur la bouche des représentants de l’ordre du même sexe. Ajoutez à cela de dessiner à la peinture des pénis géants sur les routes ou encore la destruction de véhicules de police »…

    M. Latsa notait encore, fort justement à notre avis, que la très large indignation du peuple russe devant les agissements des Pussy riot s’explique naturellement. « La Russie écrit-il, sort de 70 ans de communisme et à ce titre, les Russes ont conscience de l’importance de faire respecter les lieux de culte (…) ; les gens et les autorités ont conscience en Russie de la gravité de tels actes, qui offensent les croyants [...] L’article 213 du code pénal russe, point 1b) dit bien que l’on peut être condamné d’hooliganisme si l’on exprime de la haine envers un groupe ethnique, social ou religieux. C’est le cas ici il me semble ».

    « Les commentateurs français qui lèvent les yeux au ciel lorsqu’ils prononcent cette durée de peine feraient bien de relire le code pénal français, et surtout l’article 322-3-1 qui punit de sept ans de prison et 100.000 € d’amende la dégradation d’un bien culturel exposé dans un lieu de culte. A ce jour, si aucune dégradation n’a cependant été (à ce qu’il semble) constatée lors de leur intervention, il est plausible que les Pussy Riot soient condamnées pour dédommager les profondes blessures morales infligées à des chrétiens orthodoxes. »

    Bref une condamnation qui a « valeur d’exemple pour créer un précédent destiné à ne pas déstabiliser la société russe. La Russie est un pays multiconfessionnel, pluriculturel, et qui sort de relatives tensions interreligieuses et intercommunautaires à la dislocation de l’Union-Soviétique. C’est un pays encore aujourd’hui victime du terrorisme fondamentaliste et qui maintient assez habilement et une cohabitation entre des groupes religieux et ethniques très variés, sur un territoire gigantesque. Plus que cela, au sortir de presqu’un siècle de dictature athéiste, le renouveau de la foi est quelque chose de particulièrement sensible. »

    Et le chroniqueur russe d’ajouter qu’il « (doutait) par ailleurs très sincèrement que nombre de commentateurs puissent trouver « drôle et subversive une action similaire dans une mosquée, une synagogue ou un temple bouddhiste, notamment en France. On peut du reste se demander ce qui pousse des gens quels qu’ils soient à aller importuner des croyants quels qu’ils soient et porter atteinte à l’intégrité de lieux de cultes quels qu’ils soient. »

    Ce qui nous ramène aux réactions engendrées dans le monde musulman par le film évoqué plus haut. Sur son blog, Bernard Antony note que « ce qu’ils (les musulmans, NDLR) considèrent comme une atteinte à leur croyance par quelque individu entraîne de gigantesques émeutes et manifestations hystériques contre tout l’Occident et hélas des agressions contre les chrétiens d’Orient qui ne sont pour rien dans l’élaboration de dérisoires films sur internet en Amérique. »

    « En regard de cela, alors que l’on fait déferler contre le christianisme, avec beaucoup de financement public ou privé, tous les spectacles possibles d’immondices et de pornographie blasphématoire, les chrétiens dont les légitimes indignations et manifestations n’ont rien à voir avec la violence terroriste, n’ont même plus chez eux la ressource d’une protection de la justice contre l’injure, la diffamation, la haine. »

    Un constat partagé par Bruno Gollnisch qui se félicite par ailleurs du renouveau national qui se manifeste à l’Est, renouveau qui est aussi une bonne nouvelle, à terme, pour les Français et les Européens qui entendent le rester. Bruno le rappelait il y a déjà six ans dans l’hémicycle du Parlement européen à l’occasion du sommet Russie-UE : « la Russie est une nation européenne à part entière. Unis par les mêmes racines helléno-chrétiennes, nos peuples le sont aussi hélas par les mêmes menaces: la dénatalité et l’immigration, le matérialisme, l’islamisme. Il est désormais temps de réunir, par delà la ligne de partage de Théodose, les branches orientale et occidentale de notre civilisation, de réconcilier les héritiers de saint Benoît avec ceux de saint Cyrille ! »

    Blog de Bruno Gollnisch

  • Mort de l'ambassadeur Stevens: terribles révélations de "The Independant"

     

    Mort de l'ambassadeur Stevens : terribles révélations de "The Independent"!
     
    IRIB- Le quotidien britannique The Independant citant des sources diplomatiques à Washington affirme que les Etats Unis étaient au courant de l'attaque du 11 septembre contre leur deux représentations diplomatiques à Benghazi et au Caire mais qu'ils n'en ont pas averti leurs diplomates! "
    Les Etats Unis savaient depuis 48 heures qu'une telle attaque aura lieu mais ils n'ont pas mis en garde Chris Stevens qui venait de rentrer d'une tournée en Allemagne, en Australie et en Suède et dont le séjour à Benghazi aurait dû rester inconnu du public". " Bien que le dispositif sécuritaire était renforcé autour du consultat à l'occasion de l'anniversaire des attentats du 11 Septembre, les assaillants ont forcé en l'espace de 15 minutes ce dispositif" poursuit le journal.
    " Le plus grave de tout, c'est la disparition des documents et des pièces au consulat. Ce sont des documents qui contiennent le nom de tous les collaborateurs , tous ceux qui travaillent pour le compte des Etats Unis en Libye, et ces gens ne sont désormais plus à l'abri, tout comme le personnel diplomatique US dont les demeures jusqu'à là gardées anonymes sont désormais connues du grand public" ". Les documents disparus contenaient aussi beaucoup d'information sur les contrats pétroliers signé entre la Libye et les Etats Unis ".

    14/09/12
  • Le droit du sang, citadelle de l'identité [Tribune libre]

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    14/09/2012 — 08h00
    PARIS (NOVOpress via Zentropa) —
    Pour accomplir son rêve ultime de régner sur une masse globale de « citoyens du monde » (c’est-à-dire d’hommes interchangeables réduits à leurs rôles de production et de consommation), le mondialisme marchand a besoin de faire sauter les derniers verrous identitaires dont le principal est la conception de la nationalité basée sur le « droit du sang » (jus sanguinis), c’est à dire sur le caractère ethnico-culturel hérité de la nationalité. Ce principe, qui a largement prévalu en Occident et en Asie jusqu’à l ’émergence des pays nés de l’immigration (USA, Australie, Canada…), est une règle générale d’obtention de la nationalité par filiation qui ne souffre que des exceptions limitées en nombre et soumises à des procédures d’acquisition basée sur la volonté du mandant et son adhésion à un faisceau de valeurs et de règles ainsi que sur la sélection effectuée par le pays dont il sollicite la nationalité (serment, tests de culture, de langue, connaissances historiques, ordre juridico-social accepté, etc).

    Cette conception ancestrale, qui était par exemple celle du droit romain initial, se refuse à réduire la nationalité à une simple démarche administrative ou à un hasard géographique de naissance, mais défend une vision ethnico-historico-culturelle de celle-ci. Elle est donc évidemment inacceptable pour les tenants d’un monde « libéral-libertaire » sans frontières ni racines où la figure centrale et mythifiée est celle du « nomade » vivant où il le souhaite et comme il le veut. C’est pourquoi, partout où elle le peut, c’est à dire dans les derniers pays européens fidèles au « jus sanguinis », l’oligarchie mondialiste cherche à remplacer ce principe de nationalité héréditaire, présenté comme un archaïsme d’ordre quasiment raciste, par le « droit du sol » (jus solis), symbole de « modernité et d’ouverture », qui fait que tout enfant obtient automatiquement et dès le premier jour de sa vie la nationalité du pays où il né, c’est à dire sans qu’il n’y ait aucune démarche volontaire, aucune exigence d’aucune sorte, même pas celle de parler la langue du pays en question ou d’en connaître, d’en respecter et d’en aimer quoi que ce soit… (Moi, Jean Dupont, fils Pierre et Marie-France Dupont, je suis Chinois car né à Pékin, si j’étais né à Dakar je serais Sénégalais et Italien si on m’avait pondu à Rome.) A ce titre, il est particulièrement « signifiant » que ce soit à l’occasion de l’accession au pouvoir de l’homme de mains des banques transnationales Mario Monti que le débat sur la substitution du « droit du sol » au « droit du sang » ait été relancé en Italie.

    En effet, si le globalisme mercantilo-financier est si enthousiaste à promouvoir le « droit du sol » c’est qu’il peut ainsi fort bien, sans en être nullement gêné, continuer à tolérer l’existence officielle de « nations », auxquelles les populations restent massivement attachées, du moins symboliquement (football, drapeau, fêtes nationales, gastronomie, folklore…), si celles-ci ne sont plus que des coquilles vides dont a ruiné l’homogénéité ethnico-culturelle, et donc toutes les réelles spécificités et tous les particularismes (ainsi que les capacités de mobilisation et de lutte collective), au profit d’un assemblage hétérogène et anomique d’individus sans passé partagé, sans culture commune ni projets. Car le « droit du sol » n’est rien d’autre que la négation de tout contenu autre que contractuel au concept de nationalité et il induit, à terme, comme on a pu le voir en France, la transformation profonde et irrémédiable de la composition de la population et donc du visage même d’un pays, de sa structure mentale profonde et de son identité.
    Si le « droit du sol » a pu se justifier politiquement et philosophiquement par le passé dans des cadres géographico-historiques particuliers, il n’est plus défendable ni légitimable, pour toute personne attachée à l’enracinement et à la diversité du monde, à l’heure des flux migratoires gigantesques, des déséquilibres économiques Nord/Sud exponentiels et des identités des pays européens déjà grandement fragilisées (acculturation, américanisation, nihilisme…) et ne disposant donc plus que d’une très faible et très limitée capacité d’intégration.

    Ainsi, combien de temps l’Italie de Dante, Garibaldi, Verdi, Visconti et Marinetti, qui a le plus faible taux de natalité au monde, survivrait-elle à la pression d’une immigration à la démographie galopante et dont, par la magie du « droit du sol », tous les enfants seraient « italiens »? Combien de temps avant que cette Italie ne se transforme en une société éclatée, un patchwork de communautés sans unité ni cohérence propice au chaos social, à la violence et à l’individualisme forcené?

    Face à cette perspective, défendre le droit du sang, ce n’est bien évidemment pas refuser aux populations d’origines étrangères de bénéficier de droits sociaux et politiques leur permettant de vivre dans de bonnes conditions sur le sol de leur pays d’accueil et de participer à la vie collective de celui-ci. C’est par contre refuser catégoriquement l’automaticité de l’obtention de ses droits, par simple fait de naissance, l’illimitation et l’absence de contrôle de ceux-ci ainsi que l’indifférenciation absolue entre populations autochtones et primo-arrivantes.

    Défendre le droit du sang c’est refuser la banalisation et la réduction purement utilitariste de la nationalité, c’est défendre l’âme spécifique des peuples qui fonde la diversité et donc la richesse du monde. C’est un combat de survie identitaire.

    Crédit photo Jean-Lousi Zommermann via Flickr (CC)

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [http://fr.novopress.info/]

  • Libérez la basilique de Saint-Denis !

     
     
     

    Communiqué de Louis Aliot, vice-président du Front National

    Alors que l’Etat leur avait proposé des solutions d’hébergement, une vingtaine de personnes occupe la basilique de Saint-Denis en guise de protestation.

    Il faut remarquer que ce n’est pas la première fois que cette basilique est occupée de la sorte alors que d’autres lieux d’autres cultes existent. Cette occupation a donc une valeur symbolique de contestation de l’autorité de l’Etat français.

    Un peuple qui ne fait plus respecter ses symboles, ses lieux de cultes et ses tombes est un peuple décadent. Un Etat qui ne fait pas respecter ses décisions, qui plus est humanitaires, est un Etat déliquescent.

    Le Front National exige l’expulsion immédiate de ces occupants et demande au ministre de l’Intérieur de faire respecter la loi de la République !

  • La popularité de Hollande fond comme neige au soleil

     

     

    François Hollande est sur une mauvaise pente. Le chef de l’État n’a pas vraiment convaincu les Français dimanche soir sur TF1 et sa popularité continue de s’effriter inexorablement. C’est ce que montre en tout cas le baromètre CSA pour Les Échos, le premier sondage publié depuis l’intervention télévisée du président de la République.

    Seules 41 % des personnes interrogées par l’institut, contre 57 %, lui font « confiance » pour que « la situation de la France s’améliore à l’issue des deux prochaines années », le principal engagement pris dans le « 20 Heures » de Claire Chazal. François Hollande se heurte au scepticisme des sondés aussi bien sur l’emploi (40 % lui font confiance) que sur le déficit public (39 %).

    Sur fond de montée du chômage, de croissance zéro et d’impatience sur le « changement », la popularité de François Hollande continue de fondre à un rythme accéléré. La cote de confiance du président a encore perdu 6 points ce mois-ci dans le baromètre CSA, à 43 %. Ceux qui ne lui font pas confiance ont, eux, grimpé de 6 points, à 53 %. Pour la première fois, les courbes se croisent.

    Quatre mois à peine après son entrée à l’Élysée, le président de la République connaît les affres de l’impopularité. Soit deux mois avant Jacques Chirac en 1995 et quatre mois avant Nicolas Sarkozy en 2007. Une record sous la Ve République.

  • Des MiG-31 russes pourraient être livrés à la Syrie

     

     
     

    Selon le quotidien al Diyar, la Fédération de Russie envisagerait d’envoyer un escadron de 16 intercepteurs MiG-31 E en Syrie pour protéger l’espace aérien face à une éventuelle attaque occidentale. Une information qui mériterait d’être confirmée puisque personne ne précise le type d’équipage (syrien ou russe) qui pilotera ces appareils, ni quelles seront exactement leurs conditions d’engagement. Aucune information ne filtre quant au délai de livraison de ces intercepteurs sophistiqués.

    Début septembre 2009, l’agence russe RIA Novosti affirmait que la Russie et la Syrie étaient en train de négocier la livraison à Damas de plusieurs chasseurs-intercepteurs russes MiG-31 E, information confirmée par le PDG du Groupe aéronautique unifié russe (OAK) Alexeï Fedorov dans une interview au quotidien Kommersant.

    « Il y a près de deux ans, nous avons signé (avec la Syrie) deux contrats en même temps, un portant sur la livraison des Mig-29M et l’autre sur des Mig-31. Le premier contrat est en train d’être rempli, quant au deuxième, celui concernant les Mig-31, il n’est pas encore entré en vigueur. Des consultations continuent, mais son avenir n’est pas très clair. J’espère quand-même qu’il finira par être réalisé », a indiquait alors M. Fedorov.

    Israël et certains pays occidentaux estiment que livrer des armes à la Syrie constitue une « menace pour la sécurité dans la région ».

    Le MiG-31 E est un chasseur-intercepteur à grand rayon d’action capable de voler à 3.000 km à l’heure et doté de missiles air-air de longue portée (plus de 100 km). Il nécessite pour le piloter une formation relativement longue, ce qui signifie, si cet escadron était piloté par des militaires syriens, que ces derniers auraient pu être formés en Russie depuis plusieurs mois. Son prédécesseur, le MiG-25, a participé au conflit israélo-arabe de 1973 et s’était avéré invulnérable pour la DCA israélienne.

  • Pétition - Pour que BHL devienne ambassadeur en Libye :

     

     

     

     

    Nous reconnaissons tous que Bernard-Henri Lévy que l’on surnomme BHL au même titre que la RATP, SNCF ou ANPE, est un grand chef de guerre (en tant que juif), il est aussi philosophe Botulien qui connaîtra les stigmates, la tarte à la crème et Arielle Dombasle prise en levrette par Klaus Kinski dans le film « Les fruits de la passion ».

    Mais ce génie ne s’arrête pas là, il aime le cinéma, comme Le Serment de Tobrouk (200 entrées, journalistes et invités), Bosna (pas mieux).

    Son rêve, il le dira à Marc Roussel sur le site de Bernard-Henri Lévy, ce dernier avait confié à Marc Roussel ce que sera la grande œuvre de sa vie : la réécriture du Coran par un Juif .

    Ce mec est génial !

    Pour toutes ces raisons et pour l’amour de la France, je vous demande de signer cette pétition, afin que M. "la guerre sans l’aimer" puisse crier sa colère en tant qu’ambassadeur, là bas, en Libye, suite à la mort de Christopher Stevens.

    Bien entendu, nous n’espérons pas que BHL finisse sodomisé et tué, loin de nous cette idée, hein ?

    Bref, vas-y BHL, on est avec toi, toute la France est avec toi. De plus, je suis certain que l’on t’attend en Libye !

    Signez la pétition !

     

    Egalité & Réconciliation