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  • Possible opération sous faux pavillon en Syrie: L'Opposition Armée se dote d'armes chimiques

    vendredi, 31 août 2012 14:41

             

    IRIB-Tous les moyens sont bons y compris gazer des civils syriens pour obtenir une intervention militaire des US/OTAN/Israël en Syrie, pour renverser le gouvernement de Bashar Al Assad.



    Hollande a prévenu qu'une utilisation d'armes chimiques serait un motif d'intervention: reste donc à organiser une opération sous faux pavillon: des opposants gazant des civils syriens, des Sunnites pour faire plus crédible, et la France en tête bombardera la Syrie. Les US ont renoncé à toute pression au CSONU donc ils vont le contourner de cette façon.

    Tout simplement abject !

    Hollande est pire que Sarkozy pour vendre des Rafales et faire oublier la situation économique catastrophique en France par une bonne guerre.

  • VIDEO - Richard Millet répond à la polémique

    http://www.itele.fr/video/richard-millet-repond-a-la-polemique

     

    L'écrivain et membre du comité de lecture de la maison d'édition Gallimard, Richard Millet, réagit à la polémique déclenchée par son ouvrage "Eloge littéraire d'Anders Breivik". Il répond aux questions de Léa Salamé et de Marc Fauvelle en exclusivité pour i>TELE.

     

    29/08/12

  • Le vrai message de Richard Millet: "continuez et vous aurez bientôt des Breivik français"

    Posted on by Alain Dubos - Article du nº 266

    La polémique déclenchée par Richard Millet s’inscrit dans l’éternel débat entre ceux qui jouent de leur pouvoir pour dominer les masses et d’autres qui choisissent l’outrage pour les mettre devant leurs responsabilités. Le talent littéraire vient peser, évidemment, sur la réflexion qu’engendre ce genre de pavé dans la mare et celui-ci, en vérité, a les dimensions d’un bloc de granit.

    Tout aura été dit bientôt sur l’événement. Lorsque procureurs et avocats auront développé leurs arguments, le jugement reviendra finalement au public et l’on peut supposer que celui-ci demeurera profondément troublé. Pour longtemps. C’est, je pense, la meilleure chose qui puisse lui arriver.

    L’éloge littéraire d’Anders Breivik porte sans conteste un titre outrancier, fait de l’aveu même de l’auteur pour provoquer, à ceci près que la provocation n’est pas ici gratuite. Millet ne lance pas une insulte-réflexe à l’adresse de tous ceux qui furent concernés par ce drame. Pareillement, il ne se fait en aucune façon le défenseur d’un meurtrier dont il décrit l’âme machinale et glacée. Il réclame simplement de ses lecteurs l’effort d’aller au-delà des faits pour tenter d’en comprendre les raisons profondes et celles-ci, de plus en plus de gens en Europe considèrent qu’elles existent.

    Le geste de l’assassin ne mérite en lui-même aucune pitié. Un régime appliquant la peine de mort l’eût sanctionné sans hésitation et pour ma part, j’y eus souscrit. Le problème est que Breivik agit en réaction à ce qu’il considère comme une conséquence inéluctable des abandons de territoires que les nations européennes concèdent à une puissance dont, manifestement, ils ne comprennent (ou font semblant de ne pas comprendre) ni la nature réelle ni les moyens qu’elle emploie pour s’imposer aux autres.

    Là est le coeur du débat, son noeud gordien que les démocraties se révèlent à ce jour incapables de trancher. L’avancée régulière, opiniâtre, obstinée, de l’Islam dans nos sociétés est ce par quoi notre siècle commence éminemment son cours. Les exigences de la finance dans un ordre mondial encore à définir et à peaufiner, le glissement idéologique des vieilles lunes du 20è siècle vers les arrangements plus ou moins amiables avec les prélats possesseurs d’or noir, viennent se fondre dans l’obligation qu’ont nos pays de faire naître un nouveau prolétariat capable de les servir. Le Progrès ininterrompu chez nous depuis deux siècles accouche ainsi d’un marais social où Zola ne reconnaîtrait pas les descendants embourgeoisés de ses petits. À la surface de ce lac supposé tranquille sont apparues des vagues étranges qui prennent chaque jour de la force, et inquiètent.

    Brievik regarde le paysage humain autour de lui et trouve qu’il change. À grande vitesse. Peut-être pense-t-il d’abord que son pays, dans sa sagesse, fixera comme il convient les limites de la société en construction et la place que chacun pourra prétendre y occuper. Seulement, au lieu de cela, il assiste au grignotage progressif de l’espace des libertés communes. Comme partout ailleurs en Europe, ces libertés-là sont quotidiennement négociées selon le principe : tout ce qui est à moi est à moi, tout ce qui est à vous est négociable. À un moment donné, Breivik cesse de négocier et part en guerre tout seul. Sa cible : une jeunesse qu’il considère comme complice des manquement de ses aînés. Sa méthode : celle de l’officier nazi des Bienveillantes, roman dont l’auteur fut lui aussi, soit dit en passant, accusé ici et là de sympathie pour son héros.

    À un Gaudin qui lui susurre qu’à Marseille on n’est pas en situation de conflit civil, Richard Millet répond ; « détrompez-vous, Monsieur le Maire, vous y êtes et vous le savez pertinemment. Tous les ingrédients sont là et c’est vous, avec d’autres, qui les avez ajoutés un à un dans la soupière. L’immigration dérégulée, le constant recul devant les exigences des religieux, la tolérance pour les divers trafics entremêlés, l’aveuglement face à l’humiliation que subit un nombre croissant de vos compatriotes, la violence banalisée partout au point qu’on finit par ne même plus en parler, sauf quand elle tue ». Il dresse le constat que Breivik règle à sa terrifiante manière. Et il sous-entend cette chose simple : « continuez comme ça et vous aurez des Breivik français. Est-ce vraiment ce que vous voulez? »

    Certes les mots pèsent lourd et Millet tient à les nuancer. À les lire, on est légitimement troublé. Mais l’ « éloge» est en fait, je crois, la dénonciation ironique, presque désabusée, du grand péril encore évitable. Ouvrir les yeux sur ce qui risque fort de nous advenir est urgent sous peine de désastre, tel est le message de l’auteur.

     

    Alors, maintenant, la punition. Au pays où l’on peut parait-il rire de tout, il n’est pas possible de tout écrire. La preuve de ces traitements différents de la création nous est donnée en cette rentrée. Il n’est donc pas étonnant de voir monter immédiatement au créneau un Tahar Ben Jelloun, celui-là même qui, à travers un « Islam expliqué aux enfants« , nous murmure à l’oreille la douce, sirupeuse, endormante et fort dangereuse mélopée des Lumières allumées semble-t-il par les messagers à turbans de la paix universelle. À ses côtés, la longue cohorte de ceux que ne dérange, pas plus que lui et en aucune façon, la traînée de sang que les centaines de Brievik sauce Prophète laissent un peu partout à travers le monde depuis une décennie pleine. Deux poids deux mesures. En choisissant l’attaque frontale de ce monolithe caressé par toutes sortes de pouvoirs, Richard Millet n’a pas choisi la facilité. Mais il tient bon, assume et se défend ma foi fort bien.

    Personnellement, je le soutiens contre l’offensive déclenchée par les censeurs.

    Alain Dubos 

  • Marseille, "une ville plutôt paisible" pour le préfet à la sécurité Alain Gardère

    Lire: http://www.defrancisation.com/marseille-une-ville-plutot-paisible-selon-alain-gardere/

  • Bordeaux: Christiane Taubira hospitalisée après un "léger malaise"

    En déplacement à l'Ecole nationale de la magistrature (ENM), à Bordeaux, la ministre de la a fait un léger malaise, vendredi midi, à l'issue de son discours devant les élèves de la prestigieuse institution, a constaté sur place l'envoyé spécial du Parisien - Aujourd'hui en . La ministre a été évacuée en ambulance et admise au CHU de Bordeaux, à Pessac, pour «procéder à des examens médicaux», selon le préfet de Gironde Michel Delpuech.

     



    Lors de son allocution, Christiane Taubira avait paru à la peine, perdant ses notes et devant s'interrompre avant de reprendre le fil. Le visage crispé, chancelante, elle a dû quitter le pupitre peu après 13 heures, soutenue par des membres de son équipe qui l'ont accompagnée dans le bureau du directeur. «La ministre est épuisée, elle a fait un léger malaise, elle se repose dans mon bureau », a alors indiqué Xavier Ronsin, directeur de l'ENM, s'adressant à l'assemblée.

    Une ambulance est arrivée sur les lieux peu après, et n'a quitté l'ENM que vers 14 heures pour le Groupe hospitalier Sud à Pessac. «Elle aurait eu besoin d'une petite pause, elle a souhaité continuer avant que nous décidions finalement d'interrompre la séance pour qu'elle se repose», a ajouté sa conseillère, qui se trouvait à ses côtés dans l'ambulance. Le reste de son programme à l'ENM a été annulé.

    La ministre se trouvait à Bordeaux pour une visite d'une demi-journée à l'Ecole de la Magistrature, où elle a rencontré le personnel, les magistrats enseignants, avant son allocution dans le grand amphithéâtre. Son entourage a tenu à relativiser ce malaise, parlant d'un simple «coup de fatigue, sans gravité». «Elle n'a pas perdu connaissance et se repose», a ajouté cette source.

     

    LeParisien.fr

  • Mort de Lady Di : c'était il y a 15 ans jour pour jour

    Le 31 août 1997, Lady Diana mourait à 36 ans, dans un accident de voiture, près du pont de l'Alma à Paris, en compagnie de son compagnon Dodi al-Fayed. Quinze ans après sa mort, l'icône est toujours aussi aimée au Royaume-Uni.

    Il y a quinze ans jour pour jour, l'Angleterre perdait sa princesse à Paris. De la tôle froissée, des lumières bleues, un mort (Dodi-Al Fayed) et un corps emmené rapidement à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, celui de Lady Diana. Deux heures plus tard, elle décède finalement des suites de ses lésions internes. Dans l'après-midi qui suit, la famille viendra reconnaître le corps et ne restera finalement que quatre-vingt dix minutes en France.

    Depuis ce jour, la popularité de Lady Diana n'a jamais faibli. Jeudi après-midi, des fans s'étaient déjà donné rendez-vous pour déposer des fleurs près du lieu de l'accident. Jamais une princesse n'a été autant aimée, épiée, photographiée et fimée. Pour preuve, un film en cours de tournage devrait retracer sa vie, avec comme actrice principale, Naomi Watts.

  • Manuel Valls ne voit pas « d’ennemi intérieur » à Marseille

    31/08/2012 – 08h00
    MARSEILLE (NOVOpress) –
    Le grand banditisme maghrébin fait encore couler le sang à Marseille : un homme de 25 ans a été tué d’une rafale de Kalachnikov mercredi soir dans les quartiers nord de Marseille. Il était originaire de ces quartiers et connu des services de police « pour différentes infractions », selon le procureur de la République, Jacques Dallest. Il s’agirait de Walid Marzouki, déjà mis en cause notamment dans des affaires liées aux trafics de drogue. C’est le quatorzième mort dans un règlement de comptes depuis le début de l’année dans la cité phocéenne. Mais aussi, le deuxième au mois d’août, après le décès samedi soir de Benamar Hamidi, grièvement blessé par balles dans les quartiers sud.

    Devant cette hécatombe à l’arme de guerre, la sénatrice socialiste, Samai Ghali, a demandé l’intervention de l’armée « comme en temps de guerre » dans un entretien accordé jeudi à La Provence. Un espoir vite déçu par Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, pour qui, « il n’y a pas d’ennemi intérieur » à Marseille, tandis que David-Olivier Reverdy, secrétaire régional du syndicat Alliance Police, estime que « Marseille, ce n’est pas Kaboul ». Pourtant, de nombreux Français sont convaincus que leur pays a plus besoin de ses soldats dans les banlieues de l’immigration qu’en Afghanistan.

    Crédit photo : tangi bertin via Flickr, licence CC.

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [http://fr.novopress.info/]

  • Salles de shoot : « Et dire qu’il y a des neuneus qui croient que c’est une bonne idée ! »

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    29/08/2012 – 10h00
    PARIS (NOVOpress) –
    Le député socialiste, Jean-Marie Le Guen, veut que le gouvernement autorise la création de salles d’injection de drogue. Pour ce représentant du PS, un signe ne trompe pas pour encourager cette légalisation : « Aujourd’hui, il y a urgence. La consommation d’héroïne augmente à Paris. Le nombre de seringues utilisées dans les distributeurs automatiques progresse de 7% au premier semestre 2012 par rapport à la même époque en 2011 », explique-t-il dans une interview accordée au Parisien. Peut-être faudrait-il alors supprimer ces distributions automatiques de seringues ? Ce qui fait dire au vice-président du Front national, Florian Philippot : « On préfère à l’UMP et au PS s’adapter à une situation devenue catastrophique en raison de l’inaction des gouvernements successifs plutôt que d’en combattre les causes ».

    Mais Jean-Marie Le Guen ne s’attarde pas sur ces causes, préférant cette solution « beaucoup mieux » et pariant sur le « feu vert » du gouvernement en faveur de ces salles de shoot. Une position qui provoque un raz de marée de protestations chez les lecteurs du Parisien. Kikou94 écrit : « Monsieur Le Guen joue aux apprentis sorciers et ne pense qu’ à faire parler de lui ! ». Léo envisage la manœuvre politicienne : « Abrutir les gens un peu plus et notamment la jeunesse , cela évite qu’ils descendent dans la rue. Et dire qu’il y a des neuneus qui croient que c’est une bonne idée ! ». Quant à Gaëtane, elle souligne les dangers d’une telle volonté, sur le plan de la santé publique : « Il faut prévoir d’ici à 20 ans des “salles”, pas de shoot, mais d’hospitalisation pour toutes ces personnes qui seront atteintes de troubles neurologiques très graves ! ».

    Crédit photo : David Blumenkrantz via Flickr, licence CC.

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [http://fr.novopress.info/]

     
  • À propos de l’armée devant les cités à Marseille

     

     

    Billet de Stéphane Ravier, conseiller des 13e et 14e arrondissements de Marseille, conseiller régional de PACA, membre du Bureau politique du Front National

    « Il faut faire appel à l’armée » voilà en substance ce que réclame, en partie, la sénatrice-maire du 8e secteur de Marseille, madame Samia Ghali-Dumontel après l’exécution d’un 14e « jeune » dealer dans les quartiers nord de Marseille ce mercredi soir.

    Elle n’en peut plus, elle en a marre, et elle le fait savoir la sénatrice socialiste en dénonçant les « pseudo intello-gaucho-bobo » qui veulent dépénaliser la consommation de cannabis alors qu’elle sait très bien elle, les ravages sanitaires causés par « le chichon ».

    Elle en a ras le bol la guériniste de ces règlements de compte qui font de Marseille la capitale européenne de la culture du crime.

    Quant à Gaudin, aux commandes de la ville depuis 17 ans, il ne voit rien, il n’entend rien, tout va très bien à tel point qu’il ne dit rien et surtout, il ne fait rien ! Gageons que le corps électoral marseillais lui règle son compte dans les urnes dans quelques mois, pour non assistance à ville en danger !

     

    L’armée ! L’armée ! Les paras, les fusillés commandos, la Légion « à l’entrée des cités » clame madame le maire d’une partie des quartiers nord, reconnaissant ainsi que même l’armée ne peut pénétrer à l’intérieur de ces zones de non droit.

    L’armée donc, pour filtrer, pour stopper les « clients » devant les supermarchés de la fumette situés dans des dizaines de cités marseillaises, voilà la solution ! Mais aussi, « le retour du service militaire pour sortir les jeunes des cités 8 mois, un an ». Merci Samia pour cette idée géniale, nous n’y avions pas pensé !

    Mais au fait, de quelle armée parle madame Ghali ? Notre armée n’est plus que l’ombre d’elle-même. Son ancien chef d’état-major le général Jean Fleury témoignait dans les colonnes du Monde daté du 23 août que notre aviation était numériquement inférieure à celle de Bachar al-Assad, raison pour laquelle la France ne pouvait pas se permettre de se jeter dans le piège syrien.

    Quant à nos troupes terrestres, nos dernières unités opérationnelles sont dispersées aux quatre coins du globe afin que nos soldats y périssent au nom des droits de l’homme et des intérêts américains pendant que dans notre pays le droit fondamental de sécurité n’est plus assuré à nos compatriotes.

    Le rétablissement du service militaire ? Avec quel argent ? La France est en état de faillite et le budget de l’armée a fondu comme neige au soleil ! Dans quelles casernes ? Elles ont toutes été vendues ! Avec quels appelés et pour saluer quel drapeau ? Avec ces centaines de milliers de « jeunes » qui arborent fièrement le drapeau exotique de leur grands-parents durant les soirs de match de football et qui « baisent » la France en caillassant et en « niquant » la police ?!!

    L’armée devant les cités ? Mandatée par qui ? Par l’ONU ? Mais pour y faire quoi ? Y recevoir projectiles de toutes sortes sans pouvoir riposter pour éviter que la cité ou que la France ne s’embrase ? Essayer d’empêcher le client de venir au produit ? Mais qu’à cela ne tienne, c’est le produit qui ira aux clients !

    Aujourd’hui des petites crapules n’hésitent plus à utiliser des armes de guerre pour éliminer la « concurrence » et empoisonnent la vie des honnêtes gens en faisant régner la terreur sur ce qu’ils considèrent être leur territoire.

    Des individus qui utilisent la « terreur » pour arriver à leurs fins, sont tout simplement des « terroristes » et face au terrorisme, l’État doit être implacable ! Il doit mobiliser et utiliser tous les moyens dont il dispose là où ils sont les plus performants :

    Si l’armée doit intervenir, ce n’est pas aux frontières de la cité mais aux frontières de notre pays et notamment maritimes- à conditions de les avoir préalablement rétablies- pour empêcher la drogue de s’y déverser !

    Les agents des douanes doivent recevoir les moyens pour agir en amont. Le fisc doit traquer la crapule à bord de sa voiture de luxe alors qu’elle ne travaille pas. Un service de police s’y emploie, ses moyens doivent être augmentés.

    Notre diplomatie doit accroitre la pression sur les pays producteurs (envers qui la France sait se montrer si généreuse…) pour qu’ils s’impliquent davantage chez eux dans le démantèlement des cartels et des filières.

    Bien évidemment, la politique d’immigration, gros fournisseur de dealers, doit être stoppée et les trafiquants étrangers renvoyés dans leur pays d’origine !

    Enfin, dans nos cités, et pas seulement dans les cités, c’est à la police que tous les moyens nécessaires doivent être fournis et sans délais. Car qui mieux que les policiers connait le terrain, les filières, les réseaux, les dealers jusqu’aux plus petits « choufs » ?

    D’ailleurs après chaque règlement de compte, la presse ne rapporte t-elle pas que « la victime était connue des services de police » Cela veut dire quoi ? Eh bien encore une fois, cela veut dire qu’au-delà de la faiblesse de ses moyens et malgré les ordres de « ne pas faire de vagues » la police arrive tant bien que mal à faire son travail ! Qu’elle identifie et interpelle les trafiquants !

    Mais cela veut dire aussi que la justice, faute de moyens, ou par idéologie laxiste et permissive si chère à Christiane Taubira, ne sanctionne plus ces petites frappes comme la loi le lui permet pourtant. Une justice enfin dépolitisée doit sanctionner sans faiblesse celles et ceux qui vendent la mort à petite dose.

    Enfin et surtout, à l’image des services de renseignements de la D.C.R.I. qui ont évité à la France des attentats terroristes jusqu’à l’affaire Merah en tout cas, un service de renseignements spécialement affecté au trafic de drogue doit être mis en place et développé. Si les filières n’ont pu être démantelées en amont, des agents infiltrés dans les cités doivent nous permettre de les démanteler en aval.

    Le cancer de la drogue doit être combattu à tous les niveaux, et pour cela, chacun doit remplir son rôle, tout son rôle, rien que son rôle.

    Alors que Samia Ghali cesse son agitation médiatique. Son faux cri d’alarme n’est poussé que pour mieux faire oublier sa responsabilité dans la situation qu’elle fait mine de dénoncer.

    Car celle qui répète à l’envie qu’elle est une « enfant des cités » -elle n’est pas le seule, j’en suis aussi- était jusqu’au 13e règlement de compte, dans la ligne officielle de la sempiternelle analyse progressiste et angélique du « désastre social, du manque de service public, des cités ghettos et autres intolérables discriminations » !

    Mais que l’on se rassure, dans la seconde partie de l’entretien qu’elle a accordée à la Provence, la sénatrice socialiste dénonce « le retard accumulé à Marseille en matière de logement, de transport, de mixité sociale » Enfin « elle souhaite faire voter une loi pour reloger prioritairement une famille qui aurait perdu un enfant ( trafiquant) et d’accorder un crédit d’impôts aux foyers qui s’équiperaient de caméras de surveillance »

    Pas de doute, avec la gauche, avec ou sans armée, vous chassez le naturel, il revient au Ghali et au triple galop !

  • Le Figaro confond identité et racisme

    Le Figaro confond identité et racisme
     
     
     

    30/08/2012 – 14h30
    PARIS (NOVOpress) –
    Dans son article intitulé “En Grèce, la crise réveille le sentiment identitaire“, Le Figaro tente d’amalgamer racisme et identité.

    Le titre précise explicitement le réveil du sentiment identitaire, puis le corps de l’article ne reprend plus une seule fois les mots “identité” ou “identitaire”. En revanche les mots “racisme” ou “raciste” sont mentionnés sept fois. Le mot “racisme” est même l’un des 3 mots-clefs de l’article.

    La ficelle est bien grosse : cette démarche tend bien entendu à amalgamer le sentiment identitaire avec le racisme.

    Or, par exemple, le Bloc Identitaire, le mouvement qui depuis sa création a fait diffuser la notion d’identité dans la société, indique dans sa Foire Aux Questions :
    “Notre slogan « 100 % identité, 0 % racisme » résume notre position. Chaque peuple doit pouvoir s’épanouir sur sa terre.
    En revanche, nous considérons comme racistes tous ceux qui cherchent à gommer les différences – et donc la diversité ethnique et culturelle qui font la richesse de notre planète – au profit d’un monde uniformisé, sans repères et sans racines. Selon nous, les sociétés multiculturelles et multiraciales se transforment souvent en sociétés multiracistes. En défendant les identités, nous luttons finalement pour une société plus harmonieuse.

    Par son article, Le Figaro soutient la Police de la Pensée qui amalgame à dessein défense de l’identité et racisme.

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [http://fr.novopress.info/]
  • Israël : « Mort au christianisme »

    Israël : « Mort au christianisme »

    Lu sur InfoCatho.be : Après les récentes profanations commises par des extrémistes juifs contre des institutions chrétiennes de Terre Sainte, le Père Pierbattista Pizzaballa a écrit au président israélien Shimon Peres pour lui demander d’intervenir. Les chrétiens sont inquiets de cette vague d’agressions commises en toute impunité par des colons vivant dans les territoires palestiniens.
    Des slogans insultants comme « Nous allons vous crucifier » (NDLR : ils en ont pris l’habitude), « Mort au christianisme », « Marie est une prostituée », ont récemment été tagués sur les murs d’enceinte d’institutions chrétiennes à Jérusalem, soit une école, un monastère, ou dans un cimetière.

    Contre-info.com

  • « Vous êtes l’incarnation de l’intelligentsia française telle que nous l’aimons. »

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    Mercredi, Laurence Parisot a introduit Bernard-Henri Lévy à l’Université d’été du MEDEF (dont elle est la présidente) en ces termes : « Vous êtes l’incarnation de l’intelligentsia française telle que nous l’aimons. » Certains patrons ont dû avaler de travers devant tant de sobriété mais la majorité d’entre eux a applaudi… L’homélie de BHL a eu lieu juste après l’intervention du Premier ministre Jean-Marc Ayrault. Que du beau monde…

    Nouvelles de France

  • Syrie: Madrid et Paris prônent le départ du président Assad

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    Hollande et Rajoy

    Madrid, 30 août - RIA Novosti

     

    Le premier ministre espagnol Mariano Rajoy et le président français François Hollande ont déclaré jeudi à l'issue de leurs négociations à Madrid qu'ils souhaitaient le départ le plus rapide possible du président syrien Bachar el-Assad.

    "La résolution du conflit dépend de la destitution de Bachar el-Assad, suivie de la mise en place d'un gouvernement où entrent les représentants de différentes forces politiques en Syrie", a souligné le chef du gouvernement espagnol.

    Les dirigeants espagnol et français ont exprimé leur préoccupation par l'escalade continue de la violence en Syrie et ont insisté sur l'inadmissibilité d'un recours à l'arme chimique par les autorités syriennes.

    Lors de la conférence de presse conjointe avec M.Rajoy, le chef de l'Etat français a souligné que la communauté internationale devait persuader la Russie et la Chine de changer de position dans la question syrienne afin d'en finir avec le chaos en Syrie.

    De son côté, le chef du gouvernement espagnol a appelé l'opposition syrienne à faire front uni face au régime d'Assad et à former un gouvernement de transition.

    Depuis la mi-mars 2011, la Syrie est secouée par un puissant mouvement de contestation du régime en place. Les pays occidentaux cherchent à obtenir le départ du président Assad afin de mettre fin aux hostilités qui ont déjà fait environ 20.000 morts, selon l'opposition et des ONG, alors que Damas ne fait état que de 8.000 victimes. La Russie et la Chine craignent qu'une ingérence extérieure en Syrie ne détruise l'Etat syrien et n'étende encore plus le conflit. Aussi, Moscou et Pékin ont-ils opposé leur veto à toutes les résolutions du Conseil de sécurité qui pourraient avaliser une action militaire.

     

  • Le "Visage du Diable" aperçu sur le soleil

    Un puissant rejet de plasma solaire survenu la nuit de dimanche à lundi a révélé au monde le "visage du diable". Cette drôle de "face" dans des jets de plasma a été aperçue par les astronomes aux quatre coins du monde.

    RIA Novosti

  • Richard Millet: Son «Eloge» à Anders Breivik dérange

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    Créé le 29/08/2012 à 07h21 -- Mis à jour le 30/08/2012 à 10h52

    Peut-on tenter de comprendre la tuerie d'Anders Breivik, le Norvégien qui a assassiné 77 personnes en juillet 2011 près d'Oslo au nom du rejet du multiculturalisme? Après Jean-Marie Le Pen qui avait pointé du doigt la «naïveté» du gouvernement norvégien qui «n'a pas pris la mesure du danger mondial que représente (...) l'immigration massive», c'est au tour du prestigieux écrivain et éditeur Richard Millet de s'y risquer. Son pamphlet Eloge littéraire d'Anders Breivik (éd. Pierre Guillaume de Roux) – un texte touffu et ambigu d'une quinzaine de pages – a choqué la Norvège. Et secoue désormais la rentrée littéraire en France. Car si le membre du comité de lecture de Gallimard prend soin de préciser qu'il n'approuve pas les crimes d'Anders Breivik, il rend hommage à leur «perfection» formelle et dénonce au vitriol le multiculturalisme qui les aurait motivés.

    Malaise dans le milieu intellectuel

    Embarras chez Gallimard qui, mardi, refusait de s'exprimer sur le sujet. Certains auteurs maison, comme Tahar Ben Jelloun ou Annie Ernaux, ont d'ores et déjà exprimé leur malaise. Infréquentable, Richard Millet? «Rien ne serait pire qu'une campagne de dénigrement qui lui permettrait de se victimiser», répond le politologue Jean-Yves Camus, spécialiste des radicalités politiques pour qui Richard Millet n'est pas tant un écrivain d'extrême droite qu'un «penseur de la décadence et du déclin de la civilisation européenne», comme Renaud Camus, autre auteur controversé.

    Ni dérapage ni pierre apportée au débat mais plutôt une «course à la transgression» de la part d'un «littérateur qui semble aimer la provocation». «Un type comme Breivik qui assassine sans mauvaise conscience, ça mérite qu'on s'interroge, il n'y a aucun sujet tabou», rétorque le journaliste Robert Ménard. «Je ne comprends pas ce texte, je ressens un sentiment de désolation et de tristesse, confie pour sa part Franz-Olivier Giesbert, un ami de Richard Millet. Il est un splendide écrivain, un grand éditeur. Mais la politique, ce n'est pas un sujet pour lui.»

    Quelques extraits de Eloge littéraire d'Anders Breivik, le pamphlet de Richard Millet.

    Des actes que je n'approuve pas. «... je voudrais qu'on garde à l'esprit que je n'approuve pas les actes commis par Breivik (...). C'est pourtant sur ces actes que je me pencherai, frappé par leur perfection formelle, donc, d'une certaine façon, (...) par leur dimension littéraire, la perfection, comme le Mal, ayant toujours peu ou prou à voir avec la littérature.»

    Ce qui attend nos sociétés. «Dans cette décadence, Breivik est sans doute ce que méritait la Norvège et ce qui attend nos sociétés qui ne cessent de s'aveugler pour mieux se renier, particulièrement la France et l'Angleterre ; loin d'être un ange exterminateur ni une bête de l'Apocalypse, il est tout à la fois bourreau et victime, symptôme et impossible remède.»

    Fracture idéologico-raciale. «On peut donc dire que Breivik est un enfant de la ruine familiale autant que de la fracture idéologico-raciale que l'immigration extra-européenne a introduite en Europe depuis une vingtaine d'années, et dont l'avènement avait été préparé de longue date par la sous-culture de masse américaine, conséquence ultime du plan Marshall (...).»

    Criminalisation du patriotisme. «Breivik est, comme tant d'autres individus, jeunes ou non, exemplaire d'une population devant qui la constante dévalorisation de l'idée de nation, l'opprobre jeté sur l'amour de son pays, voire la criminalisation du patriotisme, ouvrent un abîme identitaire (...)»

    Guerre civile en cours. «Breivik nous rappelle, d'une manière dont la signature dessert la pensée (ou même l'abolit), qu'une guerre civile est en cours en Europe.»

    Alexandre Sulzer

    Un profil complexe

    Auteur prolixe, Richard Millet a écrit une cinquantaine de livres. Comme éditeur, il a publié des romans à succès comme Les Bienveillantes de Jonathan Littell ou L'Art français de la guerre d'Alexis Jenni. Il a participé à la guerre du Liban aux côtés des phalangistes chrétiens.

     

    20minutes.fr

  • L'éditeur Richard Millet fait l'apologie du crime d'Anders Breivik

     Lire: http://www.lesinrocks.com/2012/08/29/actualite/millet-anders-breivik-11291996/

  • Isaac menace de rompre un barrage dans le Mississipi

    http://www.leparisien.fr/environnement/videos-isaac-menace-de-rompre-un-barrage-dans-le-mississipi-30-08-2012-2143564.php

     

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  • L’avocat de la famille de Rachel Corrie : l’Allemagne nazie était fondée sur le droit, Israël sur la rapine et le vol

    Publié le 30 Août 2012

      

    Palestinian Media Watch Bulletin Aug. 29, 2012

    Traduit et commenté par Hélène Keller-Lind

     

    Palestinian Media Watch publie l’interview que donnait le 2 juillet 2012 à la télévision officielle palestinienne l’avocat arabe israélien des Corrie. Déclarant l’Allemagne nazie fondée sur le droit, il ajoutait qu’Israël, en revanche l’a été sur la rapine et le vol et est un monstre qu’il faut détruire. Ce que révèle PMW au lendemain du verdict du Tribunal de Haïfa, saisi par la famille Corrie qui accusait le ministère de la Défense d’avoir délibérément tué leur fille. Pour la Cour et les experts, Rachel Corrie s’étant placée devant un bulldozer dont le conducteur ne pouvait la voir, il s’est agi d’un « tragique accident ».

     

    Un tragique accident

     

    Le 29 août le Tribunal de Haïfa tranchait : la mort de la militante anti-israélienne a été « un tragique accident » dont ni le conducteur du bulldozer, ni les gradés israéliens présents ne sont responsables. En effet, alors qu’il y avait un déchaînement de violence palestinienne tout autour – Seconde Intifada – ce bulldozer aplanissait le terrain pour prévenir la pose de bombes. Rachel Corrie s’est placée sur sa route, là où le conducteur du bulldozer ne pouvait la voir. Le Tribunal soulignait qu’il y a eu trois expertises différentes le montrant et que, de surcroît, même l’avocat de la famille Corrie l’avait reconnu.

     

    Interview de l’avocat arabe israélien de la famille Corrie par la télévision officielle palestinienne

     

    Aujourd’hui, Palestinian Media Watch publie une interview accordée justement par cet avocat, un Arabe israélien, à la télévision officielle palestinienne, PA TV, le 2 juillet dernier . On y mesure l’état d’esprit de ce juriste dont le moins que l’on puisse dire est qu’il dérape sérieusement. En effet, Hussein Abu Hussein affirmait :

     

    « L’Allemagne nazie a été un État fondé sur le droit pendant un laps de temps assez court et se réfugiait dans le droit. L’État d’Israël a été fondé dès le départ sur la rapine et le vol de la patrie d’une nation. En fait, la définition véritable et juste de ce qui est arrivé aux Palestiniens est un vol de patrie. Nous souffrons d’une grande injustice infligée par le monstre géant. Ce monstre nous attaque quotidiennement et nous mord la chair dans le Néguev, la Galilée, le Triangle [région en Israël], Jérusalem et les territoires occupés, la Cisjordanie et Gaza. Chaque jour il mord notre corps ».

     

    Interviewé par Mohamed Bakri, réalisateur arabe israélien du film de propagande « Jénine, Jénine »

     

    Son interlocuteur, n’était pas n’importe qui, puisqu’il s’agissait du réalisateur et acteur, également arabe israélien, également profondément haineux ; Mohammed Bakri, qui réalisa le film mensonge de propagande anti-israélienne grossière « Jénine, Jénine » dans lequel il accusait Israël de massacre dans ce qui était alors la capitale terroriste palestinienne, ce que même l’ONU démentit. Poursuivi devant les tribunaux par des réservistes qui avaient servi à Jénine, il tenta de justifier ses manipulations mensongères et diffamatoires en invoquant une licence poétique...

     

    Le réalisateur Pierre Rehov, lui répondit alors dans son remarquable documentaire « Sur la Route de Djénine » . Dont Mohamed Bakri tenta en vain de faire interdire la projection programmée pour marquer l’anniversaire de l’attentat du Park Hotel qui coûta la vie à nombre de personnes célébrant le Seder de Pessah. Ce qui avait été l’un des déclencheurs de l’Opération Defensive Shield

     

    En réponse aux déclarations insensées du juriste interviewé, Mohamed Bakri lâchait : « Je veux marcher sur la tête de ce monstre »...

     

    Réponse du juriste Hussein Abu Hussein : « nous voulons tous marcher sur sa tête, mais parler ne suffit pas. Chacun a son rôle... » !

     

    On notera que cet avocat spécialisé « dans les droits de l’homme et cofondateur de l’Association arabe pour les Droits de l’Homme et « Ansar al Sajeen » - Amis des Prisonniers politiques - » est caractérisé par une vision unilatérale, caricaturale et résolument anti-israélienne de ces questions

     

    Maître Hussein Abu Hussein a sans doute fait ses études de droit en Israël, voici près de trente ans, comme Mohamed Bakri y a fait ses études de théâtre et cinéma...

     

    Source : http://palwatch.org/main.aspx?fi=157&doc_id=7296

    Crif