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  • Attaque anti-chrétienne à la bombe, deux jeunes enfants hospitalisés à Kosovska

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    A l'hôpital de Kosovska Mitrovica, l'enfant et sa maman attendent le médecin

    Deux enfants de 3 et 10 ans ont été victimes d’une attaque à la bombe qui visait une maison serbe dans le quartier mixte appelé « La Petite Bosnie », situé dans la partie nord de Kosovska Mitrovica.

    Les faits se sont produits hier dans la journée. Avant d’être hospitalisés en soins intensifs, les deux enfants jouaient sur la terrasse de leur maison.

    Selon les déclarations des médecins de garde de l'hôpital de Kosovska Mitrovica, Trajce Bogevska et Miroslav Dancetovic : « les enfants ont été pris en charge à la suite de blessures causées par un engin explosif qui a été jeté à travers la fenêtre de leur domicile privé. Les blessures ont été provoquées par des éclats d'obus dans la tête et du cou. Pour l’heure, le pronostic vital n’est engagé ni pour la petite fille ni pour le petit garçon. »

    Au chevet de ses enfants hospitalisés, la maman bouleversée se confiait hier aux journalistes serbes pour exprimer sa peur et alerter les autorités sur les drames quasi-quotidiens dont est victime la population serbe de Kosovska Mitrovica.

    Cette attaque contre un foyer serbe est la deuxième du genre au cours de ces dernières 48 heures.

    Pour Alexandre Vulin, Ministre du Kosovo et de la Métochie « Ceci est une attaque terroriste contre une famille serbe ! Je demande aux autorités internationales présentes sur place de tout mettre en œuvre pour rechercher l’auteur de cet attentat afin qu’il ne reste pas impuni à l’instar de toutes les attaques antichrétiennes dont les Serbes sont victimes depuis des années.»

    Solidarité Kosovo condamne avec la plus grande fermeté cet attentat à la grenade commis contre des enfants. L’association tient à assurer la population serbe du Kosovo de sa plus vive émotion et de son entière solidarité.

    L'équipe de "Solidarité Kosovo"

    PS : les personnes souhaitant nous aider peuvent contribuer au développement de nos activités en nous faisant un don. Par chèque à l’ordre de « Solidarité Kosovo », BP 1777, 38220 Vizille.

    05/02/13

     

  • Marseille: l'attaque du TGV organisée comme un divertissement

     
     
     

    Publié le mardi 05 février 2013 à 10H16

     

    Les suspects ont minutieusement préparé l'opération. Huit mis en examen

    Les enquêteurs ont pu analyser plusieurs vidéos d'après lesquelles ils ont reconstitué l'ensemble de la scène, à laquelle ont participé une trentaine de personnes.

    Les enquêteurs ont pu analyser plusieurs vidéos d'après lesquelles ils ont reconstitué l'ensemble de la scène, à laquelle ont participé une trentaine de personnes.

    Photo Cyril Sollier

     

    Une démarche artistique, un coup d'éclat ou bien un jeu stupide d'adolescents ? Toutes les versions restent encore envisageables après l'"attaque" du TGV Marseille-Nice, samedi en début d'après-midi, à hauteur de la cité Air Bel. Même si le mobile demeure incertain, il est désormais établi que les faits avaient été minutieusement préparés par leurs auteurs, selon un scénario bien réfléchi. Des éléments révélés hier par le procureur de la République, Jacques Dallest, le préfet de police, Jean-Paul Bonnetain, et le directeur départemental de la sécurité publique, Pierre-Marie Bourniquel, ont confirmé cette thèse. Signe du niveau de gravité auquel les autorités ont placé cette affaire, les trois hauts fonctionnaires ont participé de concert à la conférence de presse en détaillant l'acte délibéré. "Il y avait le projet d'arrêter le train et de filmer, précisait Jacques Dallest. C'était organisé, il fallait placer les objets sur la voie, rien n'était improvisé."

    "Il y avait le projet d'arrêter le train et de filmer."

    La justice et les enquêteurs fondent notamment cette démonstration sur la présence de "pétards à griffe". Ces engins pyrotechniques sont utilisés par les techniciens de la SNCF pour arrêter un train en urgence. Un dispositif évidemment inconnu du grand public, mais manifestement bien maîtrisé par les suspects. Les pétards avaient été installés sur les rails, en amont de l'attaque et lorsque le chauffeur a freiné, il s'est retrouvé précisément au niveau de la cité Air Bel (11e), où les assaillants ont commencé à se regrouper autour de la rame, en agitant des fumigènes dérobés à l'intérieur de la motrice. Parmi les dix personnes arrêtées, huit ont été mis en examen, notamment pour "destruction ou détérioration d'un bien appartenant à l'autorité publique, entrave à la circulation ferroviaire et vol en réunion". Le parquet a requis hier des mesures de contrôle judiciaire pour les suspects. Quatre mineurs figurent parmi eux, dont le plus jeune est âgé de 13 ans et demi. Le plus âgé, un homme de 36 ans, portait la caméra professionnelle qui filmait la scène. Durant sa garde à vue, il a continué à évoquer "un mouvement spontané, dans un souci ludique et artistique".


    La version du producteur : "On a été dépassé, c’est sûr !" (Zam)

    Il s’appelle Zam, de Soli Music et il est depuis dix ans sur la place marseillaise. "C’est un incident, nous assure-t-il. Nous, on invite le monde pour faire passer des messages qui soient autres que négatifs sur les cités de Marseille. On l’a fait à la Castellane, la Solidarité, la Marine Bleue, la Savine ou encore à la Sauvagère. Le nom de notre clip, c’est "Rassemblement". Du coup, Zam volait hier au secours de Daniel, son réalisateur, placé en garde à vue : "Libérez notre caméraman, il n’y est pour rien ! On a été dépassés, c’est sûr. Quand il y a un effet de masse, ça peut dérailler !" Zam joue sans le savoir de la métaphore ferroviaire. Dépassés par les jeunes d’Air Bel ?

    Et de nous expliquer que son groupe en est à sa "troisième session" et que déjà 21 artistes ont accepté d’aller ainsi à la rencontre des cités de Marseille. "Dès qu’on est arrivés, le train était stoppé. On n’est pas des pirates ! insiste-t-il. On n’avait pas besoin de faire du buzz. Beaucoup de choses peuvent déraper dans la vie. Nous, notre message, c’était juste de dire qu’il y a des talents dans les cités des quartiers Nord de Marseille."

    La Provence

  • Fertilité: trop de télé nuirait gravement à la qualité du sperme

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    Messieurs, il est temps de lâcher la télécommande... et de se mettre au sport ! Une étude vient de révéler que les accrocs à la télévision seraient moins fertiles que les autres, tandis que les sportifs acharnés auraient un sperme de meilleure qualité. C'est ce qu'ont montré des chercheurs de l'école de publique de Harvard (Harvard Public School, à Boston, Etats-Unis), qui publient leur , ce mardi, sur le site de la revue britannique British Journal of Sports Medicine.

    20 heures de télé contre 15 heures de sport

    Cette enquête, menée sur un échantillon de 129 hommes de 18 à 22 ans, a montré que le sperme des hommes passant plus de 20 heures par semaine devant leur petit écran avait une concentration en spermatozoïdes de 44% inférieure à ceux qui restaient très peu de temps scotchés à leur écran.

     

                     A contrario, le sperme des mâles qui font de l'exercice physique au moins 15 heures par semaine contient 73% de spermatozoïdes de plus que les fainéants qui font moins de 5 heures de sport durant la même période.

    LeParisien.fr -04/02/13

    NdB: Ce qui est à craindre pour tous, c'est le lavage de cerveau !

  • En Inde, Trierweiler sera traitée en "épouse"

    sans-titre.png  Inde.png

     

    Le protocole indien se relâche... Lors de la visite d'état qu'effectuera en Inde François Hollande, les 14 et 15 février, sa compagne Valérie Trierweiler sera traitée en "épouse". En 2008, Carla Bruni n'avait pas eu cette chance.
     
    Tapis rouge pour Valérie ! C'est en "first lady" qu'elle débarquera en Inde, un pays dans lequel elle a effectué plusieurs voyages en tant que journaliste, notamment lorsqu'elle "couvrait" les voyages présidentiels. La presse indienne en est tout émoustillée.
     
    "Delhi V-Day, red carpet for Valérie", écrit le quotidien Asian Age, qualifiant la compagne du président de "femme redoutable de l'Elysée". Tous les honneurs réservés aux épouses des chefs d'état seront donc rendus à Valérie Trierweiler lors de ce déplacement éclair, les 14 et 15 février. Outre le volet politique de la visite à New Delhi, le couple pourrait se rendre à Bombay.
     
    L'"Indian Express" rappelle le casse-tête qu'avait constitué le voyage officiel de Nicolas Sarkozy en Inde en 2008, alors que Carla Bruni n'était que la "petite amie du président". "Le ministère indien des Affaires étrangères avait fait savoir à Paris que Carla Bruni n'aurait pas le rang de 'first lady', obligeant l'ancien mannequin à se désister alors qu'elle avait prévu d'accompagner Nicolas Sarkozy au Taj Mahal", écrit le journal. Celui-ci s'était rendu seul au superbe mausolée érigé par l'empereur moghol Shah Jehan à la mémoire de Mumtaz, son épouse préférée. Mais, rappelle l'Indian Express, il avait promis d'y retourner avec Carla. Promesse tenue deux ans plus tard... Entre temps, le président avait épousé sa "Mumtaz".
     
    La visite de François Hollande en Inde ne devrait pas donner lieu à des annonces fracassantes et devrait plutôt se borner à un suivi des dossiers déjà en cours. Dont celui du nucléaire civil et la vente aux Indiens de 126 Rafale.
     
     
  • Hollande sort son revolver, ses amis parlent de culture

      

    bourrage de crane

    Nos avions frappent des « bases logistiques », des « camps d’entrainement » désertés, nos troupes pénètrent dans des villes vides de dhjihadistes qui se sont évaporés dans la nature…Gageons que les coups les pus durs qui seront assénés aux groupes armées islamistes le seront pas nos forces spéciales lesquelles par définition agissent dans l’ombre et hors des « conventions » de la guerre classique. C’est un discours a contrario bien conventionnel que François Hollande a tenu samedi, lors de sa visite éclair au Mali, à Bamako.

    Le chef de l’Etat a exhorté les militaires français à «être exemplaires » et à respecter « les droits de l’homme. » Les djihadistes qui tomberont sous les coups de nos soldats de la paix et du camp du bien, seront donc tués dans le respect des immortels principes, ce qui est un motif de satisfaction d’une hypocrisie foncièrement socialiste.

    Mais surtout, pour écarter l’accusation infamante de néo-colonialisme qu’entraîne cette intervention militaire, François Hollande a utilisé un vocabulaire choisi. Il a évoqué la « dette » que la France paierait aujourd’hui par cette intervention aux Maliens et aux Africains qui se sont battus dans nos troupes… coloniales. Tartufe pas mort…

    Le même jour en France, le TGV assurant la liaison Marseille-Nice était attaqué par une bande d’une vingtaine de « jeunes »…très jeunes, apparemment âgés de 15 à 20 ans. Ils sont parvenus à immobiliser le train sur la voie avant de tenter de pénétrer dans les rames.

    « On est revenu à l’époque de l’attaque des diligences, on est en plein Far West. Nous avons déjà eu à Marseille des attaques de trains de marchandises dans les quartiers Nord, et des agressions régulières sur les contrôleurs, maintenant on a franchi un cran supplémentaire dans le sud de la ville avec cette attaque hors normes », a estimé David-Olivier Reverdy, du syndicat de policiers Alliance.

    Lors de leur intervention, les forces de l’ordre ont été accueillies à coups de jets de pierre puisque les assaillants avaient stoppé le TGV à hauteur de la cité Bel Air dans le 11e arrondissement, un quartier lui aussi très jeune de Marseille.

    Une dizaine d’entre eux ont été arrêtés. Le lendemain c’est cette fois dans le train circulant entre Perpignan et Avignon que les « jeunes » ont montré leur talent en frappant un contrôleur et en le menaçant avec un couteau alors qu’ils bloquaient les portes, empêchant le train de repartir de la gare de Frontignan.

    Pour en revenir à l’attaque du TGV Marseille-Nice, la presse a rapporté, citant quelques « sources », que l’objectif des jeunes aurait était de faire du buzz sur Internet, dans le cadre d’un clip promotionnel pour un groupe de rap.

    Si c’est au nom de la culture urbaine, ne doutons pas que nos jeunes artistes devraient bénéficier de circonstances atténuantes, tant il est vrai que douter de la pertinence du concept de culture jeune expose à des risques d’excommunication hors du champ républicain.

    Nous l’avons vu encore en fin de semaine dernière avec les réactions suscitées par le geste rabelaisien de Bruno Gollnisch contestant « les décisions culturelles de la région, qui subventionne à hauteur de plusieurs dizaines de milliers d’euros des groupes musicaux » aux propos particulièrement obscènes.

    Il a fallu cette réaction symbolique pour que les médias rapportent, même si ce fut souvent de manière partiale et tronquée, le combat du groupe FN en Rhône-Alpes notamment, contre le gaspillage des impôts des contribuables.

    TF1, Libération, Le Figaro, BFM TV Le Parisien, La provence, 20 minutes, Europe 1, , France 3 le Progrès de Lyon, La dépêche, directmatin.fr , le Huffington post, Le Point, Le Nouvel obs, des dizaines de blogs d’information se sont fait l’écho de cette séance au Conseil régional.

    Il est intéressant de noter que dans neuf cas sur dix, les sites des médias concernés, à l’instar de la dépêche de l’ AFP, n’ont pas vraiment cité les paroles les plus choquantes du groupe « Brice et sa pute » que l’exécutif régional entend promouvoir.

    Au nombre des commentateurs offusqués par la réaction de Bruno, le plus (involontairement) drôle fut Yves Delahaie « Ex-MoDem, prof, auteur », dont la prose (déjà citée par nous) est hébergée par un blog du Nouvel Obs

    « J’ai toujours été de ceux qui se sont offusqués du verrouillage de nos institutions avec le refus de la proportionnelle afin de faire le barrage au Front National a-t-il notamment écrit. Ne serait-ce que parce qu’il est inefficace à partir du moment où le parti de Marine Le Pen flirte avec les 20%. »

    «Mais, poursuit-il, il faut bien avouer que les élus FN ne font rien pour légitimer leur présence parmi les représentants de la République. Surtout quand on se souvient que le même Bruno Gollnisch avait déjà provoqué un coup de force à l’Assemblée nationale en 1987. »

    En fait de coup de force, le citoyen Delahaie cite un livre de Renaud Dély qui évoque ce fameux soir du 10 octobre 1987 ou, pour mettre en lumière « l’absentéisme des députés, les élus frontistes avaient (enfreint le règlement) pour tourner les clés de vote électronique de leurs adversaires ». La république en tremble encore !

    Ce que ni lui M. Dély n’ont compris ( ?), c’est qu’au cours de ce débat relatif à la répression du trafic de drogue, l’absentéisme des élus partis du Système –à l’exception de 6 élus, toutes tendances confondues- était tout sauf anodin et donnait lieu à chaque vote à un tournage des clés, qu’ILLÉGALEMENT les députés de droite comme de gauche laissaient sur leur pupitre.

    Enfin, avait été greffé sur ce texte, en violation de la constitution, une disposition qui préfigurait la loi Gayssot et qui prétendait interdire certaines revues historiques hétérodoxes, ce qui n’avait rien à voir avec le débat initial sur la drogue.

    «Oui extrémiste, il (Bruno Gollnisch, NDLR) l’est assurément affirme cependant M. Delahaie. Et ces attitudes sont tout simplement indignes de notre République. Montrer ses fesses à l’Assemblée, voter à la place d’un autre élu, voler le perchoir… Autant de forfaits qui siéent mal à celui qui se revendique de la tradition et des valeurs de la France. Autant de preuves, après tant et tant d’autres, qui confirment la véritable nature d’un parti extrême, d’extrême droite. Sans l’ombre d’un doute. »

    Si M. Delahaie s’échine à faire trembler le lectorat bobo, qui en matière de culture peut toujours faire son éducation avec les petites annonces si rafraîchissantes du Nouvel Obs, le FN tente tout simplement de briser l’ostracisme médiatique, de faire entendre la voix de la raison , y compris dans le fameux « domaine culturel »

    Le site Rue 89 Lyon le résume assez maladroitement en affirmant que « le FN s’est globalement fait une spécialité de la contestation des propositions portant sur le domaine culturel, refusant systématiquement les subventions attribuées à des compagnies, des associations ou des groupes, plus particulièrement quand le propos tenu ne lui convient pas »

    Relevons en guise de conclusion qu’il est très révélateur de la décadence française et occidentale que ce qui devrait ressortir du simple « divertissement » auditif -il en faut après tout pour tous les goûts-, puisse, par un incroyable glissement sémantique, par démagogie, jeunisme ou réelle confusion, être apparenté au « domaine culturel ».

    Des rebelles en carton pâte financés par les impôts des bourgeois et autres céfrans qu’ils méprisent, là aussi le symbole est parlant et résume bien la victoire (les dégâts) de l’idéologie soixante-huitarde et libérale-libertaire.

  • Mali: Hollande exprime sa "gratitude" à Biden

     VIDEO: http://videos.tf1.fr/infos/2013/mali-hollande-exprime-sa-gratitude-a-biden-pour-le-mali-7809554.html

     

     

  • Drame de Port-Royal: la maternité n'était pas surchargée

    Selon les premiers éléments de l'enquête sur le décès in utero d'un bébé alors que sa mère s'était présentée à la maternité de Port-Royal, le choix de la renvoyer chez elle était une décision médicale. Il ne s'agirait pas de saturation du service comme évoqué un temps.

    La prise en charge de la patiente n'a pas été "jugée médicalement nécessaire". Ce sont les mots du communiqué de presse de l'AP-HP, Assistance publique des hôpitaux de Paris, publié lundi soir. Le document indique également que les effectifs soignants et les lits disponibles étaient en nombre suffisant. En substance donc, ce ne serait pas parce que le service était saturé que la jeune femme aurait été renvoyée chez elle à deux reprises.

    Les effectifs étaient au complet, indique même l'AP-HP qui précise que les résultats d'une enquête approfondie sur le décès de l'enfant à la clinique Port-Royal, dans le XVe arrondissement, sont attendus pour le début du mois de mars. Cette enquête administrative et médicale a été demandée par la ministre de la Santé, Marisol Touraine, tandis que des investigations judiciaires ont été ordonnées par le parquet.

    Le mari de Deborah, dont le bébé est mort en fin de semaine dernière, a porté plainte après que la mère eut été renvoyée chez elle par le personnel de la maternité Port-Royal où son accouchement, jugé à risques, était programmé. Le couple a mis en cause l'établissement hospitalier et son service "débordé", qui aurait expliqué, selon le couple, ne pouvoir les prendre en charge faute de chambre disponible.

    Une autre affaire ?

    Patrick Houssel, directeur des hôpitaux universitaires du groupe Paris Centre à l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris, dont dépend Port-Royal, avait déjà affirmé dimanche sur France Info que des lits étaient disponibles jeudi à la maternité. Une triple enquête (médicale, administrative et judiciaire) a été ouverte sur la mort in utero d'un bébé dans cette maternité, décès imputé par les parents à la saturation de l'établissement. L'autopsie du bébé pourrait avoir lieu mardi, selon une source judiciaire. (Lire : Mort d'un bébé in utéro à Paris : Pelloux réclame une enquête parlementaire)

    Lundi, l'avocate d'une autre patiente dont le bébé est mort en 2011 lui aussi in utero a indiqué qu'elle allait déposer plainte "dans les jours qui viennent" au nom de la jeune femme. Celle-ci était suivie pour une "grossesse à risque" à la maternité de Port-Royal, à Paris, a déclaré Me Nedjma Abdi. En fin de grossesse, elle s'était présentée le 24 novembre à la maternité. La sage-femme qui l'avait reçue l'aurait renvoyée chez elle, expliquant que le "col de l'utérus n'était pas encore suffisamment dilaté", a expliqué Me Abdi.

    04/02/13
  • « Sale chrétienne! » : rixe au supermarché à Venise

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      03/02/2013 – 10h00
    VENISE (NOVOpress) — « Un écheveau que seule l’enquête pourra démêler », écrit prudemment Il Gazzettino de jeudi dernier. Ce qui est sûr, c’est que trois femmes en sont venues aux mains dans un supermarché de Venise, à côté de l’église Sainte-Sophie : deux vénitiennes, la mère et la fille, et une immigrée éthiopienne. Après l’intervention des carabiniers, elles ont toutes trois été emmenées aux urgences, où elles ont été soignées pour des blessures légères.

     

    Version de la mère vénitienne : « Cette femme m’avait déjà insultée parce que j’étais chrétienne. Cette fois-ci elle m’a attaquée par surprise et a commencé à m’étrangler. Si ma fille n’était pas intervenue, je ne sais pas comment cela aurait fini. Cette fois encore, elle m’a menacée et insultée en tant que chrétienne. Ma fille et moi avons seulement cherché à nous défendre. Aux urgences, ils nous ont raconté que cette dame [éthiopienne] est coutumière de ce genre d’affaires ». L’Éthiopienne, de son côté, a déclaré aux carabiniers avoir été attaquée et insultée comme musulmane. Ne sachant qui croire, les carabiniers ont transmis l’affaire aux autorités judiciaires. Le chef d’accusation est celui de rixe aggravée de faits de discrimination à caractère ethnico-religieux.

    Les trois femmes se connaissaient déjà puisque la mère et la fille sont actives comme volontaires dans un établissement d’accueil catholique tenu par des religieuses, où l’Éthiopienne réside et où elle est employée, on ne sait en quelle capacité. Selon la mère vénitienne, elle-même et sa fille y avaient été plusieurs fois insultées par l’Éthiopienne, qui les traitait de « sales chrétiennes », mais la mère supérieure leur avait recommandé de ne pas y faire attention.

    Jusqu’à cette rencontre accidentelle au supermarché qui a jeté une lumière crue sur les modalités du dialogue islamo-chrétien à Venise.

    Photo : capture d’écran ilgazzettino.it

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Marseille : le parquet lutte contre le "grand absentéisme" scolaire avec des "stages parentaux"

     

     
     
    Publié le samedi 02 février 2013 à 13H16
     

    Préoccupé par la délinquance des mineurs ou la mise en danger des jeunes, le parquet de Marseille combat le "grand absentéisme" scolaire en rappelant les parents à leurs obligations. Récit de l'un de ces "stages parentaux"

    Les parents expliquent pourquoi leur enfant a "décroché". A l'issue de l'audience, ils seront aidés par l’Éducation nationale et le délégué du procureur.

    Photo Frédéric Speich

     

    Ils arrivent au tribunal tous poings fermés. Trois heures plus tard, ils en repartiront en allant serrer la main du juge... Convoqués par le parquet après avoir été entendus par la police, ils ne savent pas ce qui les attend. Une condamnation pour ne pas avoir veillé à la scolarité de leur enfant ? Un remontage de bretelles ?

    Première surprise, à la place d'un tribunal, les parents convoqués ce vendredi découvre un groupe d'éducateurs, assistantes sociales, conseillères d'orientation de l'Éducation nationale autour d'un magistrat sans robe. Sylvie Canovas est vice-procureure, chargée des mineurs, à l'initiative de ce "stage parental" à destination des parents dont les enfants collégiens ont "décroché" : jusqu'à 90 demi-journées d'absence depuis le début de l'année.

    "On a décidé de lutter contre le grand absentéisme scolaire", annonce Sylvie Canovas face à la quinzaine de parents assis sur deux bancs. Les mineurs qui ont accompagné leurs parents, restent dehors. Pour l'instant. "Vous avez commis l'infraction de délaissement de mineurs, un délit punissable de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 d'amende. Mon but n'est pas de vous envoyer devant un tribunal mais de voir avec vous où sont les dysfonctionnements, ce qui se passe avec votre enfant". Les parents ont vite le marché en main : "Soit c'est le tribunal correctionnel et une peine, soit on vous aide". Le ton est ferme mais c'est un contrat que propose la magistrate, pas une marque au fer, ni la stigmatisation de mauvais parents démissionnaires.

    "L'école n'est pas votre ennemie"

    Leurs enfants ne sont pas des délinquants, juste des "décrocheurs". Beaucoup confient que la convocation au commissariat a poussé leur enfant à retrouver le chemin de l'école. Une mère dont deux garçons de douze et treize ans faisaient l'école buissonnière, souligne l'aide que lui a apporté l'intervention de la justice. "Ils m'ont fait un bisou : "Maman, tu vas aller en prison ?" J'ai dit : Oui parce que vous n'allez pas à l'école. Alors, ils ont pris leur cartable et ils ont détalé". Une adolescente a accompagné sa mère au commissariat pour dire au policier : "Ce n'est pas sa faute, c'est moi qui m'échappe".

    Chacun des parents doit s'expliquer devant les autres. Au premier rang, un couple manifeste contre la méthode mais s'y pliera. À tour de rôle, les parents racontent leur impuissance, la découverte de l'absentéisme, parfois le choix qu'ils ont eux-mêmes fait de ne plus envoyer leur enfant au collège où il a été agressé. Un père rebondit sur le mot "autorité" que vient d'utiliser Sylvie Canovas. "L'autorité mais par rapport aux histoires d'enfants battus, on n'ose pas mettre les mains. Ma femme l'a corrigé parce qu'il ne faisait pas ses devoirs et je vois rappliquer la brigade des mineurs. Au commissariat on m'a dit : "Frappez-le mais ne le marquez pas". Sylvie Canovas : "Ici, on vous dit : Envoyez-le à l'école !".

    Les récits roulent. L'engagement est pris de veiller à ce que les adolescents reprennent le chemin du collège. Assise à la place habituellement réservée au procureur, Maryvonne Azard (Inspection académique) propose, à chaque fois une solution sous forme d'un sigle : SEGPA, SAPAD, 3PRS ou, plus lisible, classe relais pour remettre l'enfant à niveau et lui permettre de raccrocher. "L'école n'est pas votre ennemie, martèle-t-elle. On doit travailler ensemble". Changement d'établissement, adaptation de la scolarité. "Tous les enfants ont un talent...", encourage-t-elle.

    Les mineurs restent dehors. Sauf Amine, 14 ans, collégien dans le 13e arrondissement, appelé à s'asseoir à côté de son père. Celui-ci vient d'expliquer qu'Amine arrache les pages du carnet de correspondance. "Qu'est ce qui se passe à l'école ?", demande Sylvie Canovas. "Ça se passe bien". "Et non ! Ton père risque d'être poursuivi devant le tribunal car son obligation c'est d'envoyer son enfant à l'école jusqu'à 16 ans". "Tout va bien". Et la procureure, tapotant sur la table : "Compris ? Lundi, tu es à l'école !"

    La Provence

  • Tendresse naturelle

    sans-titre.png  Guépard et son bébé.png

    Maman guépard et son petit

  • A l'Assemblée, Mariton conseille à Coronado d'aller sur Wikipédia constater qu'il est juif

    sans-titre.png Hervé Mariton et Sergio Coronado.png

    Hervé Mariton  et Sergio Coronado

    http://lelab.europe1.fr/t/a-l-assemblee-herve-mariton-conseille-a-sergio-coronado-d-aller-sur-wikipedia-pour-constater-qu-il-est-juif-twitter-7307

    03/02/13

     

     

  • Marseille: TGV attaqué... pour un clip de rap ? Ils nous prennent pour des c... !

    Lire: http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/tgv-attaque-a-marseille-les-jeunes-voulaient-tourner-un-clip-7809187.html

  • Le Journal de Syrie 3 février 2013

  • Décès in utero et hypocrisie

     

    Le ministre de la Santé, Marisol Touraine, a demandé une enquête exceptionnelle suite à la mort d'un bébé in utero à Paris, faute de place, selon les parents, dans la maternité où devait avoir lieu l'accouchement.

    "J'ai demandé une enquête exceptionnelle, à la fois administrative et médicale, qui sera lancée dès lundi pour faire toute la lumière sur les circonstances de ce drame".

    Précisons lui qu'il y achaque année 220 000 enfants qui meurent in utero. C'est légal et même remboursé par la Sécurité sociale. Cela s'appelle l'avortement.

    Michel Janva

    Le Salon Beige - 03/01/13

     

  • Paris - mort d'un bébé in utero: Touraine demande l'ouverture d'une "enquête exceptionnelle"

    La ministre de la Santé a demandé dimanche "une enquête exceptionnelle" sur les circonstances du décès in utero d'un bébé à Paris après que la mère eut été renvoyée chez elle par le personnel de la maternité Port-Royal.

    Le parquet a ouvert ce dimanche une enquête préliminaire pour éclaircir les circonstances du décès à Paris d'un bébé in utero, imputé par les parents à la saturation de la maternité où l'accouchement devait avoir lieu. La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a de son côté appelé à "une enquête exceptionnelle, à la fois administrative et médicale" pour "faire toute la lumière" sur cette affaire.

    La patiente, suivie à la maternité de Cochin-Port Royal, s'est présentée dans la nuit de jeudi à vendredi avec un foetus mort in utero à terme, indique dans un communiqué l'Administration publique hôpitaux de Paris (AP-HP), dont fait partie l'établissement. Elle était déjà venue le mardi et le jeudi "pour examen et déclenchement de l'accouchement". Or, après l'examen médical effectué, "il lui avait été dit qu'elle pouvait retourner à son domicile", ajoute l'AP-HP, qui s'associe "pleinement à la douleur de la famille et au désarroi des personnels".

    "Il convient maintenant de déterminer pour quelles raisons cette femme a été renvoyée à son domicile, s'il y avait un manque de lits à Port-Royal et pourquoi la patiente n'a pas été transférée dans une autre maternité", indique l'AP-HP, en précisant que les premiers éléments "de compréhension" sont attendus pour lundi en fin de journée.

    "Un bébé ne doit pas mourir à Paris en 2013"

    Une enquête médicale et administrative, "avec des experts pluridisciplinaires tant internes qu'externes pour faire toute la lumière sur les causes de ce décès", a été diligentée. Ses résultats complets sont attendus d'ici à un mois, ajoute l'AP-HP, selon laquelle la direction du groupe hospitalier a reçu le conjoint. Selon le président du Syndicat national des gynécologues obstétriciens Syngof, Jean Marty, la situation illustre "le dévoiement" du plan périnatalité et de la classification des maternités en trois types, allant de la prise en charge des grossesses normales à la prise en charge de celles à haut risque et des nouveau-nés présentant des détresses graves.

    Cette classification, scellée par un décret de 1998, a "abouti au discrédit des maternités qui n'étaient pas de niveau élevé", estime Jean Marty. "Les gens ont pensé qu'ils étaient plus en sécurité dans les maternités de type III et donc on a eu un engorgement de ces établissements, avec, dans le même temps, la volonté de l'administration de fermer les maternités privées de type I pour récupérer ce volume économique", a-t-il déclaré.

    Ce n'est pas une défaillance humaine, c'est un problème structurel

    La maternité Cochin-Port-Royal, maternité de type III qui dispose d'unités obstétriques, de néonatalogie et de réanimation néonatale, a enregistré 5.000 naissances en 2012. "On voit le résultat aujourd'hui, avec le refoulement d'accouchements qui devraient se faire en maternité de type III. Ce n'est pas une défaillance humaine, c'est un problème structurel, et tant qu'on n'imposera pas ce qui peut se faire en toute sécurité au plus près, dans la personnalisation, dans les établissements de type I, on aura ce genre de problème", assure M. Marty.

    Dans son rapport de 2012, publié en février dernier, la Cour des comptes soulignait "l'urgence d'une remobilisation des acteurs nationaux et locaux" en matière de périnatalité. Il n'y a plus en France "d'indicateur fiable" pour ce qui concerne les enfants morts-nés, informait la Cour des comptes dans son rapport. Pour l'institution, "cette lacune est d'autant plus préoccupante" que, selon le rapport Euro-Peristat de 2008, la France avait en 2004 le taux de mortalité avant la naissance le plus élevé d'Europe (9,1 pour 1.000).