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  • Mali: la menace kamikaze

  • Le légionnaire au foulard aurait été rapatrié et puni de 40 jours d'arrêt

     

    Midilibre.fr
    09/02/2013, 12 h 22 | Mis à jour le 09/02/2013, 19 h 51

     

    Le foulard protégeait le soldat contre la poussière soulevée par un hélicoptère.
     

    La photo d'un légionnaire en service au Mali et portant un foulard représentant une tête de mort avait causé grand bruit dans certains médias, poussant la hiérarchie militaire à réagir.

    Ce foulard protégeait le soldat contre la poussière soulevée par un hélicoptère.

    L'information circule depuis plusieurs jours sur des blogs et sites de revues spécialisés dans les questions de défense : le légionnaire du 1er REC d'Orange pris en photo au Mali alors qu'il portait un foulard représentant une tête de mort a été rapatrié en France et puni de 40 jours d'arrêts. S'il est impossible de faire confirmer l'information de la part de l'Etat-major des armées, une source militaire a cependant souligné à Midi Libre le sérieux des informations contenues dans le blog le mamouth. Samedi matin, Midi Libre n'avait pas réussi à contacter Jean-Marc Tanguy, le rédacteur du site.

    Un ancien légionnaire : "un blâme aurait été suffisant"

    Une décision qui ne passe pas auprès de certains anciens légionnaires. Un d'entre eux a fait part de son indignation à Midi Libre Gard rhodanien : "il n'y a pas eu mort d'homme, un blâme aurait été suffisant". D'autant plus que, selon lui, ce "vol bleu" (rapatriement prématuré pour indiscipline) risque de peser sur la carrière du militaire. "Une campagne, c'est une médaille, une solde augmentée... Autant d'avantages qui peuvent être remis en question après ce retour au pays."

     

    NdB: Scandaleux!

  • Discours de François Hollande lors de la Conférence des organisations juives américaines

     

    Palais de l’Élysée – Mercredi 6 février 2013

     

    Monsieur le ministre,

    Mesdames et Messieurs les présidents, car ici il n’y a que des présidents,

    Mesdames et Messieurs, qui ne sont pas encore présidents,

    Je suis très heureux de vous accueillir, à l’occasion de la première visite en France de la Conférence des présidents, qui représente 51 organisations juives des États-Unis d’Amérique.

    À travers vous, la France salue le judaïsme américain, son dynamisme, sa vitalité, sa diversité. La communauté juive des États-Unis s’est constituée, comme beaucoup de communautés juives, par des vagues d’immigration successives, portées toujours par l’espoir d’un monde libre, démocratique, où les juifs, depuis si longtemps persécutés, pourraient enfin vivre en paix.

    Cette promesse a aussi, au fil des siècles, amené de nombreux juifs vers la France. Avec la même idée : trouver là stabilité, tranquillité et prospérité.

    Vous connaissez l’importance du judaïsme dans l’histoire de la France. La communauté juive, ici représentée, est la 3ème du monde. Elle est marquée par une grande diversité de ses origines : des pays de l’Est, d’Europe centrale et orientale, mais aussi des pays d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient... La France ne serait pas la France sans l’apport des juifs qui, depuis toujours, aiment leur pays, le servent et l’honorent.

    Vous connaissez aussi dans votre intimité profonde la tragédie subie par les juifs de France et d’Europe au siècle dernier, les humiliations, les persécutions, les violences, qui ont fait fuir beaucoup de vos parents, de vos grands-parents – qui se sont réfugiés dans le meilleur des cas aux États-Unis et pour d’autres, qui sont restés ici et ont été victimes de la Shoah. En France, et c’est une douleur de le rappeler, 76 000 juifs ont été tués entre 1942 et 1945, un quart des juifs de notre pays.

    Il y a 70 ans, quand notre continent tout entier était régi par l’ordre barbare du nazisme, je l’ai dit, les États-Unis étaient un refuge pour la dignité humaine et pour la liberté et un espoir pour ceux qui ne parvenaient pas à y accéder. Depuis, les représentants du judaïsme américain se considèrent, et vous en êtes ici les témoins, comme des protecteurs des juifs d’Europe et même des juifs du monde.

    Les communautés juives du monde entier perçoivent tout acte antisémite, tout propos, comme une violence qui les concerne directement. Sachez qu’il en est de même de la République française qui vit comme une atteinte à son essence la plus profonde toute agression commise sur son territoire contre un juif parce que juif.

    Vous étiez à Toulouse hier, où il y a un an une tragédie nous a tous saisis d’effroi et d’horreur. J’imagine ce qu’ont inspiré à chacun d’entre vous les actes commis ce 19 mars 2012. Ils n’ont pas été commis par hasard, ni dans n’importe quelle circonstance. Ils ont été dirigés contre une communauté dans ce qu’elle pouvait avoir de plus précieux : ses enfants. Celui ou ceux qui ont commis ces actes ont donc, d’une certaine manière voulu atteindre l’avenir même des juifs. C’est toute la France qui en a été bouleversée et qui s’est rassemblée. Je réaffirme aujourd’hui la volonté qui est la mienne de veiller sur le souvenir des enfants de Toulouse, qui sont nos enfants, ceux de la République française.

    Je me suis rendu à Toulouse, avec le Premier ministre israélien, justement pour que nous partagions la même émotion et puissions tenir le même engagement : veiller sur le souvenir et faire preuve d’un devoir de vigilance. Et d’intransigeance. Le ministre de l’Intérieur, qui est à mes côtés, est chaque jour attentif à tout acte qui pourrait être commis et aussi à prévenir tout renouvellement d’une telle tragédie.

    Dans ces circonstances, vous le savez, où la France est engagée au Mali pour lutter contre le terrorisme, nous sommes encore plus attentifs et vigilants. Nous n’avons pas besoin d’être encore plus intransigeants ; nous avons besoin d’être plus soucieux encore de la sécurité de nos concitoyens.

    Les pouvoirs publics sont d’ailleurs pleinement mobilisés. Nous avons pris des mesures – déjà depuis plusieurs années – pour garantir la sécurité des juifs de France. Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, dirigera dans quelques semaines une réunion avec les principaux ministres du gouvernement, pour établir un plan d’action contre le racisme et l’antisémitisme.

    C’est un comble qu’au début du XXIe siècle, il soit nécessaire de réunir des ministres pour faire un plan pour lutter contre le racisme et l’antisémitisme, alors que le XXe siècle a été marqué par la barbarie. Et pourtant nous faisons face à des menaces. Nous savons aussi que le développement des nouvelles technologies, d’internet peut être un moyen de diffuser la haine. Nous faisons donc preuve d’une vigilance et d’une intransigeance.

    Vous êtes vigilants sur ce qui se passe dans le monde, mais vous êtes aussi aux côtés d’Israël. Parce que pour les juifs du monde entier, je sais ce que représente Israël. Je mesure aussi la crainte qui est la vôtre, parce que c’est aussi la nôtre, par rapport à la prolifération nucléaire et la volonté, jusque-là non démentie de l’Iran, de vouloir accéder à l’arme nucléaire.

    Je recevais, il y a quelques jours, le Vice-président des États-Unis, Joseph Biden et nous avons partagé nos analyses sur ce qui pouvait se produire en Iran.

    Nous avons lancé un nouvel avertissement, appelé à une négociation, exigé la transparence et surtout le renoncement clair par l’Iran à la recherche de tout ce qui pourrait lui permettre d’accéder à l’arme nucléaire. Il y a les sanctions, elles seront renforcées. Elles sont coûteuses pour la population de l’Iran et nous le savons. Elles sont nécessaires, car nous devons contraindre l’Iran à renoncer.

    La France est aussi aux côtés d’Israël pour l’affirmation de son droit à la sécurité, c’est-à-dire le droit à défendre sa propre existence. Nous sommes aussi aux côtés des Palestiniens pour qu’ils puissent disposer d’un État. C’est l’intérêt même d’Israël car tant que la Palestine n’aura pas de frontières reconnues, Israël n’en aura pas non plus. Tant que la Palestine n’aura pas conquis la stabilité, Israël n’aura pas conquis la sécurité.

    Nous souhaitons donc qu’il y ait une reprise des négociations. Faut-il encore que toutes les parties veuillent aboutir, non pas à ouvrir la négociation, mais à la conclure.

    Je vous l’ai dit, la France est engagée, elle aussi, dans la lutte contre le terrorisme. Si nous sommes au Mali, ce n’est pas pour défendre quelque intérêt que ce soit en tant que puissance, c’est pour agir au nom de la communauté internationale, pour veiller à ce qu’aucun groupe terroriste ne puisse conquérir un pays, car il s’agissait de cela au Mali.

    Voilà ce qui nous rassemble, Mesdames et Messieurs, ce sont des principes, ceux de la démocratie, les valeurs universelles de la liberté et c’est ce qui fonde notre amitié, l’amitié entre la France et les États-Unis et également l’amitié entre l’organisation que vous représentez, cette Conférence des présidents, et la République Française.

    En vous recevant ici, nous recevons des amis.

    Merci d’être là.

    François Hollande, président de la République française

    E&R

  • Pédocriminalité sataniste : résumé de l’affaire Véronique Liaigre

     

    [...] Véronique Liaigre et ses deux sœurs sont victimes de viols et viols aggravés entre 1984 et 1997. Les actes ont été commis par les parents qui prostituaient leurs trois filles. Le 15 novembre 2001, le père et la mère de Véronique Liaigre, Georges Liaigre et Marie-Pierre Collasseau sont jugés et condamnés respectivement à 12 et 16 ans de prison.

    Les faits sont exposés de cette manière par les médias. Tournée de cette façon cette histoire est déjà abominable, mais Véronique avait pourtant livré un témoignage précis en plein scandale Dutroux, voici son résumé:

    Véronique et ses deux sœurs sont prostituées par leurs parents dans le village de Jallais, près d’Angers. Tout le village savait ou participait à des orgies pédophiles. Pire encore, la victime rapporte des voyages durant lesquels elle a assisté et pratiqué des sacrifices d’enfants (Nanterre, Londres, Bruxelles, Agen...) sur des enfants nés de viols, sous x et qui ne sont destinés qu’aux sacrifices.

    Louée à des gens fortunés, Véronique parle de l’implication de notables et se reconnait même sur les CD-ROM de Zandvoort.

    Lors d’un long témoignage elle parle également de la petite Marion Wagon, disparue le 14 novembre 1996 à Granges-sur-Lot. Elle explique que la fillette était gardée pendant un temps par un couple de gouines pédophiles aux alentours d’Agen et dit savoir qu’un charnier d’enfants se trouve à Granges-sur-Lot.

    Egalité & Réconciliation

  • 435 000 pétitions ce soir : le rendez-vous avec le CESE est pris pour vendredi 15 février à 9h00

     

    Lu sur le site de Philippe Brillault, mandataire pour la pétition :

    Sans-titre"Le rendez-vous avec le CESE est pris : vendredi 15 février à 9H.

    Poursuivons la mobilisation ! On ne lâche rien, encore 65 000 pétitions à réunir !!!!

    La date de clôture des envois est fixée au 12 février.
    Télécharger, imprimer et signer la pétition CESE + l’Appel au Référendum à adresser à la Manif Pour Tous, 15 rue Pottier – 78150 LE CHESNAY

    Demain pas de dépouillement pour des raisons de disponibilité de la salle. Reprise du dépouillement 10h Dimanche."

    Philippe Carhon

    Le Salon Beige - 08/02/13

  • C'est Lévy qui a tué Chokri

    09/02/2013

    C'est Lévy qui a tué Chokri




        Le terroriste Bernard-Henri Levy, c’est ainsi que doit être appelé cet instrument qu’Israël a utilisé pour mener son entreprise de déstabilisation des pays arabes dans le cadre de l’alliance diabolique entre les sionistes et les wahhabites. Tout ce qui s’est passé depuis que les Occidentaux, à son instigation, ont commencé à intervenir dans cette partie du monde, dévoile le caractère criminel de ce pseudo-intellectuel. Les victimes en sont les peuples arabes d’abord, mais aussi les citoyens de pays occidentaux dont les dirigeants se sont coalisés pour semer le désordre et le chaos en Libye, en Tunisie, en Egypte et en Syrie, avec l’ambition d’étendre leur opération à l’Algérie. Le premier choc fut ressenti lors de l’attaque, le 11 septembre, du consulat américain à Benghazi qui entraîna la mort de l’ambassadeur des Etats-Unis, puis, tout récemment, impact direct de la situation en Libye, l’agression contre le complexe de gaz algérien de Tiguentourine (In Amenas) et la prise d'otages qui coûtèrent la vie à 37 étrangers qui travaillaient sur ce site. Et maintenant, c’est l’assassinat d’une figure marquante de l’opposition populaire en Tunisie, Chokri Belaïd. Derrière tous ces crimes, il y a l’œuvre de Bernard-Henri Levy, le terroriste. La communauté internationale et les peuples arabes, en premier lieu, doivent engager les démarches pour le traduire devant les juridictions internationales compétentes qui traitent des affaires de terrorisme. Les intellectuels, les syndicalistes, hommes politiques, journalistes et plus généralement tous ceux qui se sentent révoltés par les agissements du terroriste BHL et de leurs conséquences non seulement dans les pays touchés par le pseudo-printemps arabe mais aussi dans le Nord-Mali, doivent lancer une pétition internationale pour le traîner devant les tribunaux et le juger pour incitation au terrorisme.   

    http://www.algeriepatriotique.com/content/cest-levy-qui-tue-chokrihttp://www.algeriepatriotique.com/content/cest-levy-qui-tue-chokri

    ALTERINFO

     

     

  • Mali: la France prise la main dans le sac

    08/02/2013

    Mali : La France prise la main dans le sac




        Alors qu’elle est engagée avec son armada au nord du Mali pour traquer les terroristes, la France vient d’être prise la «main dans le sac», comme étant l’un des financiers indirect d’Al Qaida dans le Sahel.

    Cette grave révélation faite aujourd’hui par l’ancienne ambassadrice des États‑Unis à Bamako (2002 à 2005) Vicki J. Huddleston, tombe comme un cheveu sur la soupe de la France qui bombe le torse grâce à ses maigres succès militaires en terre malienne.

    Et sur le plateau d’un média français, I>Télé, en l’occurrence, que l’ex responsable des Affaires africaines au département d’État a révélé le pot aux roses.

    «Il y a deux ans, Aqmi a pris des Français en otages dans une mine d’uranium au nord du Niger. Pour faire libérer ces otages, la France a payé une rançon d’environ 17 millions de dollars», soutient la diplomate américaine dans une déclaration qui s’apparente à une pierre dans le jardin de la France. Elle a aussi précisé que ces rançons ont été payées «indirectement».

    L’ex ministre de l’intérieur sous Sarkozy, Claude Guéant s’est en effet empressé de nier que l’Etat français ait versé une quelconque rançon pour faire libérer les otages. Or, Mme Huddleston suggère justement que cette somme faramineuse (17 millions de dollars soit 12 millions d’euros) a pu être payé «indirectement», c’est-à-dire via la compagnie Areva qui employait les captifs.

    La diplomate américaine souligne que : «C’est le chiffre dont j’ai entendu parler et que j’ai vu écrit noir sur blanc».

    Les "dollars de la mort" de Sarkozy

    Mieux encore le payement des rançons n’est pas une spécialiste française puisque Mme Huddleston enfonce beaucoup de pays européens (qu’elle n’a pas cité) qui auraient versé 89 millions de dollars entre 2004 et 2011 pour obtenir des libérations d’otages.

    La diplomate américaine qui semble vouloir régler ses comptes à la France voire à l’Europe enfonce encore le clou, en retraçant l’itinéraire de ces rançons avant d’arriver aux mains des terroristes d’AQMI.

    «Elles ont (les rançons) terminé entre les mains du gouvernement malien et ensuite elles sont retournées, du moins une partie, aux salafistes», a‑t‑elle précisé, ajoutant que «cet argent alimente la trésorerie d’Aqmi pour acheter des armes et recruter».

    Voilà qui ne manquera pas de donner froid dans le dos à la France qui voudrait jouer les redresseurs des torts au Mali alors que c’est grâce à ses millions d’euros que AQMI et le MUJAO ont acquis un matériel de guerre pour lancer leur «conquête» du nord du Mali.

    Jusque là, la France a toujours nié avoir versé la moindre rançon pour résoudre des prises d’otages à l’étranger. On s’en souvient de la fameuse transaction effectuée par la France via le président Amadaou Toumané Touré poçur récupérer l’espion Pierre Camatte en contrepartie de la libération par les autorités maliennes d’alors de quatre dangereux terroristes dont deux algériens. L’affaire avaient même provoqué une crise diplomatique entre Alger, Nouakchott d’un côté et Bamako de l’autre. Tout le monde avait compris alors que Paris a payé le prix fort pour récupérer son espion que Sarkozy est aller personnellement chercher à Bamako.

    Un tir «ami» contre la France

    La France a tout de même refusé de reconnaître la transaction. Alger a poursuivi son lobbying qui avait abouti à la criminalisation du payement des rançons considérée à juste titre comme un financement indirect du terrorisme.

    Voilà maintenant que l’implication de la France est clairement confirmée et par un haut responsable d’un pays «ami».

    Par cette mise en accusation même tardive, la diplomate américaine envoie un message subliminal à la France et ses responsables, qu’ils sont quelque part complices de ce qui se passe aujourd’hui au nord du Mali.

    Il est alors tout à fait logique que l’armée française se charge aujourd’hui de réparer les dégâts qu’elle a pu provoquer grâce à ses millions d’euros qu’elle a généreusement offert aux terroriste d’AQMI.

    L’Algérie qui a fait de la condamnation du versement de rançons aux groupes terroristes un principe non négociable bien que cinq de ses diplomates sont encore aux mains des terroristes, s’en trouve réconforté dans sa démarche face au conflit malien.

    Pour la France qui joue actuellement l’«héroïne» au Mali, ces sulfureuses révélations constituent un coup très dur pour sa réputation. Elle passe ainsi du statut de «libérateur» du Mali à celui peu glorieux de financier d’AQMI.

    A la décharge du président François Hollande, ces versements dans les comptes d’AQMI ont été effectués du temps de Nicolas Sarkozy. Mais pour le coup, c’est la France de gauche comme de droite qui est éclaboussée.   

    http://www.algerie1.com/actualite/mali-la-france-prise-la-main-dans-le-sac/http://www.algerie1.com/actualite/mali-la-france-prise-la-main-dans-le-sac/
     
    ALTERINFO

     

     

  • Papouasie-Nouvelle-Guinée: une femme brûlée vive pour sorcellerie par des villageois

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    Ils l'accusaient d'avoir utilisé ses pouvoirs pour tuer un enfant de six ans...

    La police et les pompiers sont arrivés trop tard. Jeudi, une femme a été brûlée vive par des villageois de la province de Western Highlands, en Papouasie-Nouvelle-Guinée. L'information est rapportée par le Post Courier, un journal local.

    Kepari Leniata, 20 ans, était accusée par les villageois d'avoir utilisé la sorcellerie pour tuer un enfant de six ans, mort à l'hôpital d'une mystérieuse maladie. Deux membres de la famille du jeune garçon ont mené la chasse. La femme a été torturée avec des barres métalliques chauffées à blanc et aurait reconnu tremper dans les arts obscurs. Elle a ensuite été déshabillée, traînée pieds et poings liés, recouverte de pétrole et brûlée sur une pile d'ordures.

    Un problème récurrent

    Les autorités ont indiqué qu'elles traiteraient l'affaire comme un meurtre et que les coupables seraient arrêtés.

    Les exécutions tribales sont un problème sur cette île du Pacifique où la sorcellerie fait partie de la culture populaire. Le premier ministre, Peter O'Neill, a condamné «un acte ignoble». «Les meurtres barbares pour des soi-disant actes de sorcellerie se multiplient dans certaines parties du pays», a-t-il déclaré, promettant que justice serait rendue.

    P.B.
    20minutes - 07/02/13
  • Marseille : des frères jumeaux au coeur d'une affaire de viols en série

     
     Publié le samedi 09 février 2013 à 10H47
     

    Les deux hommes sont soupçonnés d'avoir abusé de six femmes entre septembre et janvier

    Le premier viol s'était produit sur ce parking.

    Le premier viol s'était produit sur ce parking en septembre dernier. La victime avait chuté de ce muret. Malgré sa fracture du bras, la vielle dame de 76 ans n'avait pas été épargnée.

    Photo F.Speich

     

    Des Machiavel ou des fous dangereux ? Un innocent ou deux coupables ? Ils sont frères jumeaux et risquent de donner le tournis aux enquêteurs et à la justice. Les deux hommes se retrouvent depuis mercredi au coeur de la tourmente judiciaire.

    La brigade des moeurs de la Sûreté départementale a interpellé les deux garçons de 24 ans à leur domicile de la Belle-de-Mai (3e) après avoir acquis de nombreux éléments les mettant en cause dans six viols et agressions sexuelles, commis entre septembre 2012 et janvier 2013.

    Agression d'une femme de 76 ans

    Problème : les frères sont jumeaux monozygotes. En d'autres termes, ils partagent la même apparence physique, mais aussi et surtout des caractéristiques ADN identiques. Largement de quoi troubler le travail d'investigation qui demeure d'autant plus fondamental que les actes que les suspects auraient commis se révèlent extrêmement graves.

    Le 11 septembre dernier , l'un ou l'autre a agressé une femme de 76 ans, alors qu'elle raccompagnait une amie, dans le quartier des Arnavaux (15e), après un loto. L'auteur des faits avait d'abord fait chuter la victime, basculant derrière un muret haut d'1,5 m et se fracturant le bras. Malgré la blessure et les cris de la septuagénaire, l'homme avait imposé une fellation à la vieille dame.

    Viols en série

    Les prélèvements génétiques et les éléments recueillis sur place n'avaient rien donné et le criminel restait introuvable. Deux mois plus tard, nouvelle agression, impasse Sylvestre, à Saint-Just (13e). Cette fois, la proie est une femme de 30 ans. Selon un mode opératoire identique à l'agression précédente, la victime est abordée, la nuit, alors qu'elle marche seule sur le trottoir.

    Maintenue, elle est encore forcée à pratiquer une fellation. Là encore, l'enquête ne donne rien. Mais bientôt, tout s'accélère. Après un troisième viol similaire , encore aux Arnavaux (14e), le 4 décembre, le ou les suspects changent de quartier et sévissent boulevard Gilly (10e), le 4 janvier, puis cours Gouffé (6e), le 17 et boulevard Chave (4e), trois jours plus tard.

    Une photo d'un homme, récupérée

    Une forme de frénésie sexuelle et criminelle qui offre aux enquêteurs des éléments nouveaux. Le mode opératoire similaire les conduit sur la piste d'un violeur en série. Les analyses ADN confirment leurs craintes, même s'ils ignorent encore qu'ils ont affaire à des frères jumeaux. Une victime a fourni un signalement. Avec l'aide de la RTM et d'une victime, ils vont faire un bond dans leurs investigations.

    Une photo d'un homme est récupérée grâce au système de vidéoprotection d'un bus. Le suspect est formellement reconnu par la victime. Mardi, la brigade des moeurs décide de passer à l'action. Dans la voiture d'un des deux suspects, elle met la main sur des vêtements, rigoureusement identiques à ceux immortalisés sur le cliché.

    Les éléments sont accablants, mais restent à déterminer les responsabilités. Hier soir, à la fin de la garde à vue, rien ne semblait encore faire pencher la balance vers l'un ou l'autre. Ils filaient droit vers deux mises en examen et un mandat de dépôt, pour un destin commun. Du moins pour l'instant.

    La Provence

  • Mali: un second attentat-suicide évité de peu

    sans-titre.png Carte Mali.png

    Deux jeunes portant des ceintures bourrées d'explosifs ont été arrêtés samedi matin à l'entrée de Gao, au lendemain du premier attentat suicide recensé au Mali, dans cette même ville du Nord récemment reprise aux groupes islamistes armés.

    Ils portaient des ceintures bourrées d'explosifs mais, heureusement, ils ont été arrêtés samedi matin à Gao avant de se faire exploser. "Nous avons arrêté tôt aujourd'hui deux jeunes, un Arabe et un Touareg. Ils avaient une ceinture d'explosifs et ils étaient sur le dos de deux ânes", a déclaré Oumar Maïga, le fils du chef du village local.

    Les deux jeunes ont été pris sur la route menant à Bourem et à Kidal, à l'entrée nord de la ville de Gao (1200 km au nord-est de Bamako), là même où un homme s'est fait exploser vendredi dans un attentat suicide visant des militaires maliens, blessant légèrement l'un d'entre eux (voir notre vidéo : Mali : premier attentat suicide à Gao).

    Des villages pro-islamistes

    Jeudi, le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), qui a revendiqué l'attentat de vendredi, a annoncé avoir créé "une nouvelle zone de conflit", promettant d'attaquer des convois, de poser des mines et "d'organiser des kamikazes".

    Plus grande ville du nord du Mali, Gao a été reprise le 26 janvier par les soldats français et maliens aux islamistes. Mais depuis vendredi, la ville semble en état de siège : aussitôt après l'attentat suicide, soldats et gendarmes maliens se sont affairés à renforcer les postes aux entrées de la ville, constatait ainsi un journaliste de l'AFP. "Dès qu'on sort de plus de quelques kilomètres de Gao, c'est dangereux" a, pour sa part, confié un officier malien.

    Selon des sources militaires françaises et maliennes, plusieurs des villages entourant Gao sont acquis à la cause des islamistes.

    09/02/13
  • La Liberté guidant le peuple vers la vérité sur le 11/9 : un acte politique ?

    sans-titre.png La liberté.png

    Lire l'article : http://lejournaldusiecle.com/2013/02/08/ae-911-la-degradation-du-tableau-de-delacroix-etait-un-acte-politique/

    +VIDEO

  • Londres : un conseiller municipal suspendu pour avoir comparé la burqa à un sac-poubelle

    sans-titre.png  burkas et sacs poubelle.png

      

    07/02/2013 – 20h00
    LONDRES (NOVOpress) - Le scénario est désormais classique. Un type pas spécialement subtil poste sur Internet une plaisanterie politiquement incorrecte. Les gros médias la découvrent, le dénoncent, donnent son nom et sa profession, le mettent au pilori. Les associations communautaristes s’en mêlent, la police et la justice interviennent, ses collègues et amis se hâtent de prendre leurs distances, la mort sociale n’est pas loin.

     

    La dernière personne, outre-Manche, à payer très cher son sens de l’humour est Chris Joannides, conseiller municipal conservateur du district londonien d’Enfield. Sur sa page Facebook (photo ci-dessus), il avait posté une photo d’une femme en burqa, flanquée de sa fille, également en burqa, et de deux sacs-poubelles. Légende : « Je l’ai rencontrée là et je lui ai dit qu’elle avait trois beaux enfants. Elle n’avait pas à se mettre en rage et à me menacer. C’était juste une erreur ! »

    Le Guardian a consacré tout un article à ce « racisme contre les musulmans ». Selon Azad Ali, président du Muslim Safety Forum, « c’est un exemple choquant de l’islamophobie institutionnalisée et normalisée. Nous comptons que le Parti conservateur prendra une position vigoureuse contre ce comportement, et qu’il prouvera que ses efforts en direction de la communauté noire et des minorités ethniques ne sont pas purement symboliques. Nous suivrons en outre cette affaire avec la police de Londres et veillerons à ce que toute la rigueur de la loi soit appliquée ».

    Le groupe conservateur au conseil municipal d’Enfield a immédiatement suspendu Joannides. Le conseil pourrait de son côté prendre des mesures disciplinaires. Le Guardian souligne que l’affaire survient au moment précis où David Cameron cherche désespérement des solutions pour accroître la très faible popularité du Parti conservateur parmi les électeurs des minorités ethniques.

    Joannides paraissait à l’origine un choix habile, puisqu’il est Chypriote grec d’origine, et qu’Enfield abrite des milliers d’électeurs de cette communauté. Las, le district compte aussi de nombreux Chypriotes turcs et la page Facebook de Joannides contiendrait aussi « des choses propres à offenser les personnes qui ont un héritage chypriote turc ». Quand le communautarisme électoral devient un casse-tête…

    Chris Joannides avait refusé de répondre aux journalistes du Guardian et s’était contenté de supprimer sa page facebook. Il a depuis tenté de se justifier dans le Daily Mail : « Je ne suis pas, n’ai jamais été, et ne serai jamais islamophobe. J’appartiens moi-même à une minorité ethnique et je suis parfaitement conscient des préjugés auxquels les gens peuvent être exposés. Les commentaires que j’ai faits étaient contre le terrorisme et le fondamentalisme islamiques, y compris la diabolisation des femmes, c’est-à-dire quelque chose qui concerne le monde entier, à la lumière des attaques terroristes contre l’Occident depuis le 11 septembre ». Ces explications assez laborieuses n’ont pas apaisé la polémique. D’après la seule habitante d’Enfield interrogée, ou du moins citée, par le Daily Mail, une certaine Samantha Cox, les propos du conseiller « pourraient sembler inoffensifs, mais ils sont incroyablement insultants ».

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Mariage gay: l'adoption plénière adoptée en séance plénière

    Publié le 06 février 2013 à 12:00

     

    Comme si de rien n’était, pendant que les journaleux de France et de Navarre comparaient les « triangles roses » aux « triangles noirs » en se demandant lesquels étaient les plus « nauséabonds », l’Assemblée Nationale a voté en catimini l’ouverture de l’adoption plénière aux couples homosexuels. Pour ceux qui l’ignorent encore, ce type d’adoption entraîne une reconnaissance de filiation. Autrement dit, les couples homosexuels seront dorénavant les « parent 1 » et « parent 2 » d’un enfant adopté, par-delà les générations, ce qui dépasse l’exercice d’une simple tutelle. Les livrets de famille nouveaux consacreront donc cette révolution anthropologique qui, en accordant un « enfant pour tous », prive les enfants adoptés de liens avec leurs parents biologiques.

    Quoi qu’on en pense, ce n’est pas une mince affaire. Et pourtant, Frigide Barjot a eu maille à partir avec une presse sourde et aveugle à ses revendications. L’adoption plénière, connais pas ! Le communiqué de presse des organisateurs de la Manif pour tous s’est vu boudé par la quasi-totalité des médias, à l’exception de votre serviteur et de quelques autres inconscients qui ne craignent pas de joindre leur voix au concert de la méchante France catholique, blanche, noire, antillaise, musulmane, juive… dont on distingue de moins en moins les contours bigarrés.

    Au fait, petit détail qu’évoque Barjot dans son dernier communiqué de presse, 55% des Français se disent opposés à l’adoption plénière pour tous. Une paille pour les parlementaires de la majorité… ou une poutre ?

    Manuel  Moreau

    Causeur.fr
  • La France a payé pour libérer des otages 17 millions de dollars


    "La rançon a été payée indirectement" par Europe1fr

    Vicki Huddleston, ancienne ambassadrice des Etats-Unis, affirme que la France a payé pour libérer des otages. Un document exclusif I-Télé. Pour en savoir plus, cliquez ici : http://www.europe1.fr/International/La-France-a-paye-pour-ses-otages-1408163/

  • Grèce : face à la gabegie et à l’immigration, l’Aube dorée s’impose au… biceps

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    Distribution de vêtements et de nourriture par l'Aube dorée à la partie des Grecs en voie de clochardisation

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    Manifestation anti-Aube dorée en janvier à Athènes

     

    8 février 2013

     

    C’est devenu le paradoxe grec. Fin janvier, à Athènes, des milliers de gauchistes ont manifesté contre les “ratonnades” d’immigrés illégaux organisées par le parti « néo-nazi » Aube dorée… Mais rien n’y fait ! Malgré ces protestations, le parti le plus radical du paysage politique grec continue sa course en avant.

     

    Le parti Aube dorée, groupusculaire tout au long des années 2000, entré au Parlement en juin 2012 avec 7 % des voix, est désormais crédité de 13 % d’intentions de vote, devenant la troisième force politique du pays ! Un succès que l’on ne peut séparer d’un discours ultranationaliste et de méthodes musclées, sur fond de démission des autorités.

    L’Aube dorée a commencé sa longue conquête électorale dans le quartier athénien d’Agios Panteleimonos, connu pour accueillir un grand nombre d’étrangers. Face aux multiples violences et perturbations causées par les immigrés illégaux, touristes et badauds finissaient par déserter ce coin populaire de la capitale. Même les riverains n’osaient plus sortir de chez eux…

    Grèce : Face à la gabegie et à l'immigration, l’Aube dorée s’impose au… biceps

    Aube dorée

    Jusqu’à ce que l’Aube dorée constitue des patrouilles et entreprenne de nettoyer l’endroit par la force. « Avant que les membres du parti viennent s’en prendre aux immigrés pour assurer notre sécurité, personne ne sortait après 17 heures. On tremblait de peur », avouent Pavlos et Vaguélia, deux habitants du quartier interrogés par des journalistes suisses interloqués.

    Véritable porte d’entrée de l’immigration irrégulière à destination de l’Union européenne, la Grèce est terrassée par la crise (le chômage vient d’atteindre 26 %) et l’insécurité. Dans ce contexte, nombre d’immigrés illégaux venus bénéficier du système social ont versé dans la délinquance et la criminalité. L’Etat, lui, est accusé de ne pas jouer son rôle. Yiannis tient un kiosque dans le quartier depuis six ans. Selon lui, « la Grèce se passerait bien d’Aube dorée… si seulement la police était plus efficace ! Je l’ai appelée plusieurs fois car des immigrés volaient ma marchandise. Elle n’est jamais venue. L’Aube dorée comble donc le vide de l’Etat à sa manière. »

    La Grèce prête pour le grand saut ?

    Entre les chasses à l’homme contre les dealers et les proxénètes ou les attaques de marchands à la sauvette, le parti multiplie les actions violentes. Mais cela ne choque plus ! Georges Contogeorgis, professeur de sciences politiques à Athènes, sans légitimer ces méthodes, les replace dans leur contexte: « Il ne suffit pas de blâmer le succès d’Aube dorée, il faut essayer de comprendre. En agissant sur le terrain, le parti répond aux inquiétudes de la société que les autres politiques ignorent, enfermés derrière leurs privilèges. »

    Si l’Aube dorée souffre de son image, les membres du parti s’en nourrissent pour inverser la tendance. Artémios Mathéopoulos, député Aube dorée de Thessalonique analyse le succès de son parti: « Nous n’avons pas peur de parler des problèmes et de proposer des solutions concrètes pour aider notre pays. Les politiques et les médias nous accusent d’être violents et déforment la réalité car ils ne savent pas à qui s’en prendre. Mais les sondages montrent que cela ne marche pas. Contrairement aux politiques mises en place depuis toujours, nous ne volons pas le peuple et ne mentons pas. Nous sommes la solution et pas le problème d’une Grèce devenue dépendante. »

    Face à une asphyxiante politique économique dictée par la technocratie bruxelloise, l’Aube dorée a, une fois de plus, décidé d’agir sur le terrain pour aider une population en voie de clochardisation.

    En véritable ONG, le parti ouvre les portes de ses locaux, désormais implantés partout en Grèce. La préférence nationale y est appliquée avec soin. Et cela marche! Après avoir prouvé sa nationalité, chacun peut venir y chercher des sacs de nourriture et de vêtements. Si Artémios Mathéopoulos assure que le parti a toujours agi ainsi, l’entrée d’Aube dorée au Parlement a favorisé une meilleure organisation et permis d’accroître les moyens.

    « Chacun de nos députés donne 3000 euros, pris sur son salaire, afin que nous puissions aider davantage les Grecs. » Après la mise en place d’une banque de sang, le parti vient de créer une sorte de Pôle emploi pour aider les chômeurs. Là encore, priorité nationale, solidarité et proximité sont les maîtres mots: « On connaît les gens qui viennent dans nos locaux et si je sais que, parmi eux, il y a un électricien, je ferai appel à lui et non à un inconnu », explique le député.

    Grâce à ces actions sécuritaires et sociales, fondées sur la solidarité nationale, ainsi que sur la critique pertinente d’un Etat démissionnaire et de partis ayant fait la preuve de leur incompétence, l’Aube dorée rassemble largement au-delà des fanatiques et des déçus d’une société mise à mal. Elle devient même une alternative possible au Système. Selon le politologue et historien anglais Antony Beevor, « si une nouvelle crise se préparait avec la troïka (FMI, BCE, zone euro), le gouvernement d’Antonis Samaras [ndlr: qui ira prochainement demander une nouvelle aumône à Berlin], n’y résisterait sans doute pas: ce serait alors un vrai saut dans l’inconnu pour Athènes. »

    Patrick Cousteau

    Article de l’hebdomadaire “Minute” du 6 février 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

    Crédit photos : Aube dorée.

     

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  • L’énorme scandale de la destruction profanatrice de l’église Saint-Jacques d’Abbeville

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    À la benne municipale…

    Comme l’écrivait Michel Janva du Salon Beige : « L’État n’entretient pas les biens qu’il a volés. Alors il finit par les détruire »… C’est la logique du système depuis plus de deux siècles, depuis les « biens nationaux » jusqu’aux « inventaires ». Sommes-nous en Chine communiste, en Corée du Nord ou dans un califat taliban ? Car, nous précise toujours le Salon Beige, cette destruction scandaleuse s’accompagne d’une véritable profanation car l’évêque d’Amiens, Mgr Jean-Luc Bouilleret, n’a jamais été saisi d’une demande de désaffection de cette église d’Abbeville, toujours consacrée. C’est une violation flagrante par la municipalité, avec l’aval de la préfecture, de la loi dite de « séparation ». Une profanation qui s’est accompagnée de nombreux sacrilèges comme ce grand crucifix jeté à la benne à ordures par les employés municipaux. Voyez ce commentaire de l’abbé Jean-Louis Brunel, curé d’Abbeville et vicaire épiscopal du diocèse d’Amiens. L’évêque devrait évidemment faire un procès à la municipalité et organiser une cérémonie de réparation, à l’exemple de son confrère du Togo

    « La démolition du chœur de l’église Saint Jacques d’Abbeville a consterné beaucoup d’Abbevillois après des mois pour ne pas dire des années de silence sur l’avenir de cet édifice. Je suis blessé par cette décision précipitée. Je l’ai apprise, comme beaucoup d’Abbevillois, par la presse et la télévision après le coup de pelle irréversible ! A ce jour, l’église Saint Jacques est toujours affectée au culte catholique. Nous attendons des dispositions de réparation ou de demande de désacralisation. Ainsi est la loi républicaine. Pourtant, aucune décision de ce type n’a été prise par la municipalité d’Abbeville. Je ne préjuge pas de la fragilité avérée de l’édifice qui menaçait depuis longtemps déjà. Je m’étonne de la décision précipitée, sans même avertir les premiers concernés, ne serait-ce que par respect pour la mémoire collective que représente cet édifice. Ce n’est pas une église qu’on “éventre”, c’est une communauté chrétienne et au-delà que l’on méprise et que l’on blesse de la sorte. (…) Faut-il souligner les images bouleversantes sur la chaine régionale non seulement d’un mur qui s’effondre, mais d’un Christ en croix emmené dans une benne des services techniques, sans ménagement, pour être “inhumé” dans les caves du musée. Le statuaire de cette église s’y trouve déjà, déménagé sans préavis il y a plusieurs années. La démolition, programmée depuis longtemps semble-t-il, atteint durement le cœur des Abbevillois. »

    Il s’agit là, je le répète d’un énorme scandale dont il va nous falloir nous occuper…

    Observatoire de la christianophobie

  • Maréchal Alphonse JUIN, 2 juillet 1962

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    Alphonse Juin, maréchal de France  (1888-1967)

     

    « ... Que les Français, en grande majorité aient, par referendum, confirmé, approuvé l'abandon de l'Algérie, ce morceau de la France, trahie et livrée à l'ennemi, qu'ils aient été ainsi complices du pillage, de la ruine et du massacre des Français d'Algérie, de leurs familles, de nos frères musulmans, de nos anciens soldats qui avaient une confiance totale en nous et ont été torturés, égorgés, dans des conditions abominables, sans que rien n'ait été fait pour les protéger : cela je ne le pardonnerai jamais à mes compatriotes :
    La France est en état de péché mortel.
    Elle connaîtra un jour le châtiment. »