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Organisation d'un iftar antifasciste à Paris ce samedi 27 juillet
Publié le 27 juillet 2013
Addendum 27.07.2013 : L’iftar antifasciste qui devait se dérouler ce samedi 27 juin sur le Parvis de Montparnasse, à Paris, a été interdit sur décision de la préfecture, a-t-on appris auprès des organisateurs vendredi soir.
«Le fascisme d’État a encore frappé. La préfecture de police de Paris, de manière complètement abusive et arbitraire, nous a informé ce soir d’un arrêté préfectoral d’interdiction de l’iftar antifasciste», ont-ils communiqué. Le collectif a annoncé sa décision de contester «dès la première heure» l’arrêté d’interdiction en référé devant le tribunal administratif.
«En attendant la décision du tribunal et pour des raisons de sécurité», l’action n’est pas maintenue sous sa forme initiale. A la place, une conférence de presse sur le parvis de la Tour Montparnasse se tiendra à 20h30.
saphirnews (Merci à herstalle)
François Desouche
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Incroyable! Danse des évêques aux JMJ de Rio !
Publiée le 27 juil. 2013
Coreografia dos Bispos na Jornada Mundial da Juventude Rio 2013 - RedeVida
Regarder ce show en mode plein écran
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Tout près du grand requin blanc en Afrique du Sud
Publiée le 28 févr. 2013
En Afrique du Sud, Mike Rutzen, passionné de requins, a appris à décrypter leurs comportements et adapte ses attitudes quand il plonge au milieu de ces squales.
Le plus dangeureux des prédateurs des mers: le grand blanc.A regarder en mode plein écran
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Valérie Trierweiler chez le juge en septembre ?
Le 27 juillet 2013
Xavier Kemlin vient d’en informer la presse : le juge d’instruction a accepté sa plainte déposée contre Valérie Trierweiler avec constitution de partie civile pour « recel de détournement de fonds publics ». À la suite de quoi, un dépôt de 2.000 euros lui a été demandé.
L’instruction devrait donc suivre son cours et, logiquement, les convocations devraient intervenir courant septembre. C’est à l’issue de ces auditions que le juge pourrait éventuellement prononcer la mise en examen de la « première dame de France », même si rien n’est moins sûr.
L’affaire peut s’avérer délicate. En effet, le plaignant joue sur le fait que, Valérie Trierweiler n’étant ni l’épouse ni la concubine du Président, elle ne peut bénéficier de fonds publics pour son « fonctionnement ». S’ajoute à cela la situation du président face à l’ISF. Aujourd’hui, les comptes des deux personnes n’étant pas joints, ces déclarations séparées permettent à François Hollande de ne pas être redevable de cet ISF.
Ainsi donc, en affirmant qu’il n’existe pas de concubinage, Valérie Trierweiler tombe sous le coup de la loi car elle bénéficie indûment de fonds publics. Et s’il y a bien concubinage, François Hollande pourrait se voir reprocher une fausse déclaration de patrimoine au moment de son élection. Avec les conséquences qu’on peut imaginer : l’élection présidentielle pourrait ainsi être invalidée par le Conseil constitutionnel…
Difficile à croire, même si c’est juridiquement possible… Rendez-vous en septembre.
BOULEVARD VOLTAIRE
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Ayrault rend hommage à la "richesse" et à la "force" de la culture kanak
Le Premier ministre a rencontré en Nouvelle-Calédonie la veuve de Jean-Marie-Tjibaou, leader indépendantiste assassiné en 1989.
Jean-Marc Ayrault a rendu hommage à la "richesse" et à la "force" de la culture kanak lors d'une visite du Centre culturel Tjibaou (CCT) à Nouméa, au dernier jour de sa visite dimanche en Nouvelle-Calédonie. "La culture kanak est extrêmement riche, elle est multimillénaire et a une force incroyable. Elle porte des valeurs qui ne sont pas limitées à la Nouvelle-Calédonie, car ce sont des valeurs universelles", a déclaré le Premier ministre.
Dimanche matin, il a visité cet édifice majestueux, dernier des grands travaux de François Mitterrand, qui consacra en 1998 la reconnaissance de la culture kanak dans le sillage d'accords politiques de réconciliation entre les communautés mélanésienne et européenne. Au pied de cases kanak traditionnelles, qui jouxtent dix cases futuristes dessinées par l'architecte italien Renzo Piano, Jean-Marc Ayrault a été accueilli par Marie-Claude Tjibaou, la veuve de Jean-Marie-Tjibaou, leader indépendantiste assassiné en 1989, et par son fils, Emmanuel, actuel directeur du CCT.
Transmettre la culture kanakAvec le chef coutumier de la région, il s'est livré au traditionnel échange d'étoffes et de présents, signe de respect et d'humilité. "Ce geste vous honore et honore la terre de ce pays", a déclaré Emmanuel Tjibaou, qui a ensuite conduit Jean-Marc Ayrault sur le "chemin kanak" en lisière de mangrove, où il a pu suivre les étapes d'un mythe de la cosmogonie kanak. "Je comprends que l'on se soucie de transmettre la culture kanak, il faut la préserver, non pas comme une relique, mais comme quelque chose du présent", a déclaré Jean-Marc Ayrault.
Sa visite intervient avant l'inauguration le 15 octobre au musée du quai Branly à Paris d'une grande exposition d'objets et d'oeuvres intitulée "Kanak, l'art est (...)Lire la suite sur LePoint.fr
Yahoo!Actu 27/07/13 -
93 : Deux Roms blessés au cours d’une «expédition punitive» organisée par des individus «de type africain et nord-africain»
Deux Roms ont été blessés dans la nuit de vendredi à samedi, dont l’un très grièvement, au cours d’une «expédition punitive» montée par une quinzaine de personnes contre le campement dans lequel ils vivaient à Saint-Denis. Une enquête pour tentative d’homicide volontaire en bande organisée a été ouverte et confiée au Service départemental de police judiciaire de Seine-Saint-Denis.
«Une quinzaine d’individus de type africain et nord-africain, armés de barres de fer, de battes de baseball et portant des casques» sont arrivées dans ce bidonville où vivent des Roms «à côté du Stade de France», a indiqué une source proche du dossier.
«Ils ont dégradé cinq véhicules utilitaires dans lesquels dormaient des Roumains, et frappé deux victimes», a-t-elle ajouté. L’une d’elles, née en 1971, souffre d’une fracture du crâne et ses jours sont en danger, tandis qu’une deuxième personne a été légèrement blessée.
La préfecture avait auparavant fait état d’une «bagarre» dans laquelle «deux personnes ont été agressées par un groupe d’individus» avec une barre de fer, mais en expliquant, selon les éléments en sa possession, que les agresseurs étaient «excédés par du tapage nocturne». Aucun suspect n’a pour l’heure été interpellé alors que les lieux ne sont pas équipés de caméras de vidéosurveillance
Le Figaro (Merci à jimy)
François Desouche
NdB: La préfecture essayait-elle de faire passer dans l'opinion les agresseurs des Roms pour des Souchiens racistes ?
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Le Pape exhorte les jeunes à "sortir dans les rues" et à "mettre la pagaille"
Ecrit le 26 juil 2013 à 17:14 par Pierre de Bellerive
Jeudi, dans la cathédrale Saint Sébastien de Rio de Janeiro, devant quelque 30 000 Argentins participant aux JMJ, le Pape François a incité les jeunes à « sortir dans les rues » et à « mettre la pagaille ».
« J’aimerais vous dire une chose. Qu’est-ce que j’attends comme conséquence de la Journée mondiale de la jeunesse? J’espère de la pagaille! Va-t-il y avoir de la pagaille ici? Oui! Est-ce qu’ici à Rio il va y avoir de la pagaille? Oui! Mais je veux de la pagaille dans les diocèses! Je veux que vous alliez à l’extérieur! Je veux que l’Eglise sorte dans les rues! Je veux que nous nous gardions de tout ce qui est mondanité, installation, de tout confort, de tout cléricalisme, de toute fermeture sur nous-mêmes. Les paroisses, les écoles, les institutions, sont appelés à sortir! S’ils ne sortent pas, ils deviennent une ONG et l’Eglise ne peut pas être une ONG », a déclaré le Pape argentin.
Et de poursuivre : « Que les évêques et les curés me pardonnent, si ensuite quelqu’un met la pagaille, mais c’est un conseil… merci pour ce que vous pouvez faire. Regardez, je pense qu’en ce moment, cette civilisation mondiale est allée trop loin, est allée trop loin! Parce que le culte fait au dieu de l’argent est tel! Nous assistons à une philosophie et une pratique de l’exclusion des deux pôles de la vie qui sont les promesses du peuple. Et justement, parce qu’on pourrait penser qu’il pourrait y avoir une sorte d’euthanasie cachée. C’est-à-dire : on ne s’occupe pas des personnes âgées! Mais il y a aussi cette euthanasie culturelle: ne les laissez pas parler, ne les laissez pas agir! Et l’exclusion des jeunes: le pourcentage de jeunes qui sont sans travail, sans emploi, est très élevé! C’est une génération qui n’a pas l’expérience de la dignité gagnée par le travail. Autrement dit, cette civilisation nous a conduits à exclure les deux pointes qui sont notre avenir! ». Le Pape François a ainsi conclu son discours en incitant les jeunes à « sortir » et à « se mettre en valeur » . Il est nécessaire de « se battre pour les valeurs, se battre pour les valeurs ! », a-t-il martelé.
Nouvelles de France
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En Italie, la ministre noire Cécile Kyenge victime d'un nouvel acte raciste
Un homme a jeté des bananes sur Cécile Kyenge alors qu'elle prononçait un discours samedi à Cervia. La ministre, née en RDC, est régulièrement la cible de commentaires racistes. Il y a deux semaines, un député l'a traitée d'orang-outan.
La ministre italienne de l’Intégration, Cecile Kyenge, a une nouvelle fois été la cible d’un acte raciste lorsqu’un spectateur a lancé des bananes en direction de l’estrade sur laquelle elle prononçait un discours à Cervia dans le centre de l’Italie.Née en République démocratique du Congo, Cecile Kyenge est la première ministre noire italienne et l’objet de commentaires racistes récurrents depuis sa nomination en avril.
Des militants du groupe d’extrême droite Forza Nuova (Force nouvelle) ont déposé des mannequins couverts de sang factice lors de ce rassemblement.
Ils entendaient protester contre la proposition de la ministre d’accorder la nationalité italienne à toute personne née dans le pays.
Un tract accompagnant les mannequins affirmait "l’immigration tue", un slogan déjà employé par Forza Nuova faisant référence à des crimes commis par des immigrants.
Un spectateur a lancé des bananes en direction de l’estrade sur laquelle s’exprimait la ministre, manquant sa cible.
Sur son compte Twitter, Cecile Kyenge a qualifié ce geste de "triste" et a jugé qu’il s’agissait d’un gaspillage de nourriture à un moment où le pays connaît une crise économique.
Il y a deux semaines, le vice-président du Sénat et membre de la Ligue du Nord (populiste), Roberto Calderoli, avait comparé la jeune femme à un "orang-outan".
REUTERS
FRANCE 24
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Après Peugeot, Obama oblige Renault à quitter l’Iran
Le président américain oblige Renault à cesser toute activité en Iran. Faute de quoi, l’Alliance Renault-Nissan risquerait de ne plus pouvoir commercer avec les Etats-Unis.
Renault a produit à travers ses partenaires 100.000 voitures en Iran l’an dernier… Déjà, PSA avait dû se retirer en 2012 sous la pression de General Motors. Un manque à gagner pour l’industrie tricolore.
"Le président Obama a donné l’ordre de cesser l’activité en Iran", a affirmé ce vendredi, Carlos Tavares, Directeur délégué de Renault, non sans ironie et une certaine amertume. Faute de quoi, les entreprises qui commerceraient encore avec ce pays se verraient interdire toute activité aux Etats-Unis.
Renault se voit contraint, après PSA, d’interrompre ses lucratives activités en Iran qui détenaient tous les deux une part très importante du marché local… contrairement aux multinationales de Detroit GM ou Ford qui en étaient absentes.
"On n’a pas le choix", souligne Carlos Tavares.
Suite au durcissement des sanctions contre Téhéran, les ventes au premier semestre de voitures livrées en kit et assemblées en Iran ont chuté de 47,2%.
Renault a vendu plus de 100.000 véhicules l’an dernier et 28.000 au premier semestre 2013, pour l’essentiel des Tondar, des Dacia Logan rebaptisées et vendues sous le label du losange.
De plus, Renault va laisser 500 millions d’euros d’actifs dans le pays, argent qu’il ne peut pas rapatrier à cause des contraintes imposées par la communauté internationale. Pour compenser ces pertes annoncées, le constructeur a donc dû mettre cette année 512 millions de côté, qui ont grevé ses bénéfices semestriels.
PSA avait déjà du tout arrêter, sous la pression de General Motors, avec lequel il a signé une alliance fin février 2012. Les exportations de collections de pièces destinées aux véhicules Peugeot traditionnellement fabriqués en Iran ont été stoppées en 2012. PSA affirme qu’il s’est ainsi conformé aux sanctions internationales.
Toutefois, des sources internes assurent que PSA a arrêté les flux de composants sur demande expresse de General Motors. Le consortium du Michigan ne voulait pas que son allié soit présent dans un pays placé sur la liste noire des pays avec lesquels les Etats-Unis interdisent le moindre commerce.
Un manque à gagner pour PSA de plus de 313.000 véhicules en 2012 et, potentiellement, de plus de 400.000 unités environ en 2013. L’Iran avait absorbé 467.000 unités du groupe PSA en 2010, 457.900 en 2011.
La marque Peugeot s’octroyait avant les sanctions près de 30% du marché local.
Sources : La Tribune / Le Journal du Siècle
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La Manif Pour Tous promet de «nouvelles grandes manifestations»
Ecrit le 25 juil 2013 à 17:05 par Guillaume Aubert
Pour lutter contre la PMA, la GPA et l’idéologie du genre, La Manif Pour Tous ne désarme pas et promet de « nouvelles grandes manifestations… ». Dans un communiqué, l’organisation pro-famille affirme que « compte tenu de ces menaces », elle « organisera une multitude d’actions et de nouvelles démonstrations de force dans la rue, aussi bien au niveau régional que national afin de faire reculer le gouvernement sur tous ces sujets ». Tout en dénonçant « l’entêtement du Président » et « son mépris pour le mouvement social qui se déploie autour de La Manif Pour Tous », le collectif qui a rassemblée trois fois près d’un million de personnes dans la rue prévient que « le temps des manifestations et de la mobilisation n’est pas prêt d’être révolu… »
Lire aussi :
> Manifs pour Tous : à l’avenir, quelle stratégie adopter ? par Jean-Louis de Morcourt
> Pour une Manif’ pour Tous nationale à l’automne pour exiger l’abrogation de la loi Taubira, par Thomas RogierNouvelles de France
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PHOTO CHOC - L'idéologue des Femen très violemment agressé mercredi à Kiev
http://www.ndf.fr/nos-breves/26-07-2013/photo-choc-lideologue-des-femen-violemment-agresse-mercredi
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Corse: des jumeaux de trois ans portés disparus depuis vendredi
Des jumeaux âgés de 3 ans ont disparu en Corse depuis vendredi en fin de journée, dans une zone très difficile d'accès. François Bisquert, officier de gendarmerie, explique la situation.
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La pétition de Nicolas Bousquet
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Carla Bruni : une pétition pour qu'elle rembourse son site internet
Carla Bruni est dans la tourmente. Une pétition mise en ligne lui demande de rembourser la somme qui a servi à créer son site internet à l’époque où elle était à l’Elysée.
Le 15 juillet dernier, une information financière a presque failli passer inaperçue. La cour des comptes publiait le compte-rendu d’un contrôle effectué sur la gestion des services de la présidence sur l’année 2011, soit alors que Nicolas Sarkozy était président de la République.Cinquième page, cette toute petite ligne : « Il n’y a plus de site internet dédiée à la conjointe du président, financé par le budget de la présidence (pour un coût de 330 000 euros en 2011 et 80 000 euros en 2012) »
Le site internet dont il est ici question est celui de la fondation Carla Bruni-Sarkozy, un organisme privé, crée en 2009 et placé sous l’égide de la fondation de France. Site entièrement financé par l’Elysée, comme vous l’aurez compris.« À ce prix-là, on s’attend naturellement à une véritable merveille, d’une qualité de code irréprochable, d’un design somptueux, d’une horde de hackers chinois qui met à jour le site toutes les heures… Bref, quelque chose de bling-bling et bien vivant », ironise aussitôt le site Rue 89.
C’est loin d’être le cas et c’est excédé qu’un internaute décide aussi sec de mettre en ligne une pétition. « Comment peut-on accepter, alors qu'on demande des efforts importants à tous, que la première dame profite de sa position pour faire financer ce qui relève d'une dépense privée ?, s’insurge Nicolas Bousquet. Non seulement une telle prise en charge de ces dépenses est indécente, mais en plus, ce site tel qu'il est conçu ne nécessitait certainement pas un tel investissement. »
Développeur internet, ce dernier estime que ce site aurait pu être fait « par n’importe qui pour moins de 10 000 euros ». Résultat, il demande solennellement à l’ex-première dame de « rendre cet argent en faisant un don de 410 000 euros à des associations caritatives qui œuvrent pour les plus démunis. » À ce jour, la (...) Lire la suite sur voici.fr -
Entretien avec Jean-Marie Le Pen
Une exclusivité E&R
Publié le : samedi 27 juillet 2013L’actualité des rapports entre la France et la Suisse a connu une certaine abondance depuis quelques mois. C’est l’occasion pour le président d’honneur du Front national, Jean-Marie Le Pen, de s’exprimer en exclusivité pour Égalité et Réconciliation, l’interview ayant été censurée par un site communautaire genevois.
Alimuddin Usmani : Jean-Marie Le Pen, quel est votre rapport avec la ville de Genève et plus généralement avec la Suisse ?
Jean-Marie Le Pen : La Suisse et la France entretiennent depuis des siècles des relations amicales, et au Front national, nous donnons souvent la Suisse comme modèle de sagesse politique. J’y compte beaucoup d’amis et y ai fait de fréquents séjours notamment au mont Pèlerin, et dans les stations de sport d’hiver de Crans et de Saint-Moritz.
Dans le cadre de la tournée que j’ai faite en France de tous les hauts lieux de civilisation durant la campagne présidentielle de 2007, j’y avais inclus une visite au Monument international de la réformation à Genève.
J’y ai fait d’autre part, quelques conférences politiques, et ai participé, de Paris en duplex, à une très célèbre émission de la télévision romande. En effet, le Conseil fédéral m’avait interdit de me rendre à Lausanne pour cette circonstance. Il est vrai que le référendum médiatique qui suivit l’émission pouvait choquer les bonnes âmes, puisque 35 % des téléspectateurs se déclaraient en faveur des thèses de Jean-Marie Le Pen…
AU : Le 9 juin dernier, près de quatre Suisses sur cinq (78,5 %) ont plébiscité les mesures urgentes votées en automne dernier par le Parlement pour faire face aux défis engendrés par l’afflux de requérants d’asile, conséquence notamment des « révolutions » qui ont frappé les pays arabes. Même le canton de Genève, qui vote souvent contre les mesures de durcissement à l’égard de la politique migratoire, a approuvé le texte à plus de 60 %. Quel est votre analyse de cette votation ?
JMLP : Cette votation et l’évolution des votations sur ce sujet, correspondent à l’augmentation continue et massive du nombre des immigrés dans toute l’Europe. La prise de conscience de la gravité du problème par les électeurs, rendra les votations de rejet de plus en plus importantes.
AU : L’année prochaine le peuple suisse va à nouveau se prononcer sur une question migratoire. L’initiative « Contre l’immigration de masse » veut redonner à la Suisse les pleins pouvoirs pour réguler l’accès à son territoire en gérant « de manière autonome » l’immigration des étrangers. Le deuxième alinéa précise que « le nombre des autorisations délivrées pour le séjour des étrangers en Suisse est limité “par des plafonds et des contingents annuels” concernant les travailleurs issus de l’Union européenne (frontaliers inclus) et les requérants d’asile ». Quel est votre regard sur cette initiative ?
JMLP : J’approuve totalement l’initiative « Contre l’immigration de masse », regrettant qu’une telle initiative ne puisse être mise en œuvre en France, ligotée dans les structures contraignantes et immigrationnistes de l’Union européenne. L’immigration de masse ne va pas manquer de s’aggraver dans les années qui viennent, en corrélation avec les bouleversements géopolitiques, nés de la surpopulation mondiale et de l’augmentation de la pauvreté et de la misère dans le monde.
Ce n’est pas seulement un droit, c’est un devoir pour les citoyens de sauver leur indépendance nationale.
AU : En mai dernier le président de la Confédération, Ueli Maurer, a présenté ses excuses aux organisations juives de Suisse pour son message diffusé lors de la journée de commémoration de l’Holocauste. Il a reconnu avoir omis de mentionner certains aspects de la politique suisse durant la Deuxième Guerre mondiale. Que pensez-vous de ces excuses et quel est votre avis sur la notion de « repentance » ?
JMLP : 70 ans après la guerre mondiale, on pourrait penser qu’il est normal de s’exprimer librement sur les événements qui l’ont constituée. La notion de repentance est un levier médiatique de manipulation des opinions publiques.
AU : Concernant la Syrie, la France et l’Arabie Saoudite ont décidé d’intensifier leur aide à la rébellion pour inverser le rapport de forces sur le terrain en sa faveur avant l’éventuelle organisation d’une conférence de paix à Genève. Que pensez-vous de l’attitude de la France à cet égard ?
JMLP : Concernant la Syrie, je condamne très fermement les initiatives de pays comme l’Arabie Saoudite et le Qatar, et malheureusement aussi la France, pour leur aide à la rébellion meurtrière qui a été déclenchée dans ce pays. Je constate d’ailleurs que les opérations civiles ou militaires engagées dans ces pays, ont eu pour résultat la chute des leaders arabes laïcs et leur remplacement pas des gouvernements islamistes, sans parler du chaos meurtrier qui a été, de ce fait, organisé dans tous ces pays.
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Harry Salem dit Henri Alleg, communiste et traître à la France (1921-1013)
Biographie: https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Alleg
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Disparition d'Heni Alleg : un traître est un traître
Le 24 juillet 2013
Dans ma France à moi, Monsieur Cardoze, qui venez de commettre un texte sur Boulevard Voltaire, on ne fait pas le panégyrique, même nécrologique, d’un traître, fût-il un « gentil » membre du Parti communiste algérien et eût-il « cosigné (très tardivement) une lettre demandant à l’État français de reconnaître l’abandon tragique des harkis en 1962 ». Ces harkis dont il contribua au massacre de par son adhésion militante à la cause du FLN. Un traître est un traître, et l’Algérie de Boumediène le chassa, en effet, dès 1965.
La question n’est pas son ouvrage « La Question », qui fit grand bruit et le propulsa un temps à la tête des intellectuels luttant (à Paris) contre l’impérialisme et le colonialisme en compagnie d’une belle brochette de porteurs de valises qui faisaient passer de l’argent aux fellaghas. Argent, il faut le rappeler sans cesse, destiné à armer la rébellion et à faire tuer les nôtres (25.000 soldats sont revenus de « là-bas » dans une caisse et dans l’indifférence générale).
La question est : fallait-il attendre gentiment que les suspects veuillent bien parler des lieux où étaient déposées les bombes destinées à déchiqueter des passants innocents ou bien fallait-il les faire parler, à tout prix, parfois à n’importe quel prix, pour avoir le temps de désamorcer les engins de mort dont le tic-tac de la mise à feu était enclenché au pied des réverbères (en fonte) où ils étaient souvent déposés ?
Oui, nous avons utilisé la torture. Oui, c’était avec l’accord tacite du gouvernement. Oui, cette forme de contre-guérilla, dans les guerres dites asymétriques où l’ennemi utilise des moyens de terreur aveugle, est une arme non prévue par la Convention de Genève et, en principe, formellement interdite. Oui, c’est condamnable d’avoir passé outre lorsque le temps travaillait contre les artificiers démineurs. Non, je ne condamne pas les officiers de renseignement qui y ont eu recours et qui ont certainement sauvé la vie d’un grand nombre de Français (chrétiens, juifs ou musulmans). Oui, « plusieurs des officiers qui participèrent à ces crimes (amnistiés) ont été promus et décorés. Leurs noms sont connus. Les rappeler serait les diffamer. Silence, donc. »
Non, pourquoi « silence » ? Citez-en quelques-uns, Monsieur Cardoze. En cas de troubles de mémoire, vous trouverez facilement leurs noms dans les archives du PCF, où vous avez milité avant d’être journaliste à L’Humanité. Ils y sont certainement répertoriés dans un vieux fichier spécial marqué « à éliminer en priorité lors du grand soir ».
À défaut pour le Parti de ne jamais prendre le pouvoir, publiez quand même leurs noms, vous ne les diffamerez pas, j’en suis sûr, mais beaucoup qui étaient là-bas pendant « les événements », et qui en ont réchappé, pourront avec gratitude mettre un nom sur certains de ceux qui leur ont probablement sauvé la vie, au prix parfois de leur honneur perdu.
Cela étant, je ne vous reproche pas d’avoir vos fidélités et vos héros, et d’écrire là-dessus car je suis de ceux qui acceptent toutes les opinions et qu’elles puissent être publiques sans risque de censure ou de procès en diffamation, même si on professe que la terre est plate, pour ne prendre qu’un exemple anodin. De ce fait, j’espère que vous ne me reprocherez pas non plus d’avoir voulu remettre un peu les pendules à l’heure en évoquant les circonstances extraordinairement dramatiques qui ont conduit à ces crimes (largement partagés par le FLN qui y ajoutait des raffinements tout orientaux).
Je le dois à Philippe, Claude, Jean-Claude et aux 730.000 autres tués dans cette sale guerre franco-française (260 morts par jour pendant 7 ans et 8 mois) qui a, une fois de plus, coupé la France en deux.
BOULEVARD VOLTAIRE
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Val-d'Oise: le lac interdit fait le plein
Des centaines de personnes se pressent au lac de Beaumont-sur-Oise. Un site privé pourtant non autorisé à la baignade et dangereux.
Frédéric Naizot | Publié le 27 juil. 2013, 07h00
Cela commence par un fil barbelé à esquiver, un grillage abattu à enjamber. C’est ensuite un chemin qui plonge dans le bois, une descente raide et glissante, pendant laquelle on s’accroche aux branches, avant d’arriver au bord du lac. D’une limpidité incroyable, il est, selon la lumière, bleu glacier, bleu turquoise, parfois vert émeraude. Un coin de paradis.
Le Parisien
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Un perroquet indien qui vient juste d'éclore
INDE, Dimapur: un perroquet qui vient d’éclore est alimenté à la main, le 24 juillet 2013, après avoir été capturé dans une forêt par un chasseur local et mis en vente dans le nord-est du pays, malgré l'interdiction de ce commerce.
Yahoo! Actu