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  • Pologne: la statue du viol d'une femme enceinte par un soldat soviétique provoque la colère de Moscou

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    La statue d’un viol sculptée provoque la colère... par 20Minutes

     

    http://www.20minutes.fr/television/1237573-20131016-pologne-statue-dun-viol-sculptee-etudiant-provoque-colere-moscou

     

    NdB: Des centaines de milliers de femmes allemandes et polonaises ont été violées par les soldats de la glorieuse Armée Rouge !

     On parle assez des viols perpétrés en Afrique, au Congo, par la soldatesque pour ne pas passer sous silence les viols systématiques subis par les malheureuses Berlinoises de la part des soudards soviétiques. Cette barbarie bestiale envers des femmes et des jeunes filles innocentes ne doit pas être oubliée par l'Histoire. Des témoignages irréfutable dénoncent ces crimes qui n'ont jamais fait l'objet d'une quelconque repentance de la part de la Russie.

     

    Cette sculpture leur rend hommage et justice. Que son auteur courageux en soit félicité!

     

     

     

     

  • Nigel Farage: les partisans d'une Europe des nations ne sont ni des malades mentaux ni des dangers pour la civilisation occidentale

    Le 23 octobre 2013 au Parlement européen de Strasbourg, Nigel Farage explique à ses confrères qu’ils doivent se préparer à perdre leurs places lors des prochaines élections, en 2014. Sourires moqueurs de ces derniers. Après avoir considéré les partisans d’une Europe des nations comme des malades mentaux, vous les traitez de dangers pour la civilisation occidentale, note-t-il avant de rappeler l’importance pour les États-nations de disposer de la maîtrise de leurs frontières. Autant parler à un mur…

    NOUVELLES DE FRANCE - 28/10/13

  • Valls fait tirer sur des travailleurs bretons alors qu'il épargne les racailles

    http://ripostelaique.com/valls-fait-tirer-sur-des-travailleurs-bretons-quand-il-epargne-les-racailles.html

     + VIDEO

  • Paris veut faire perdre leur mémoire aux Parisiens

     

    Parce qu'il faut donner des noms en rapport avec l'histoire de la capitale, la mairie de Paris remplace la bibliothèque Mouffetard-Contrescarpe par la bibliothèque Mohammed Arkoun : 

    "Bertrand Delanoë a décidé de débaptiser certaines bibliothèques de Paris pour leur donner le nom de personnalités "ayant un lien avec la capitale". Ainsi la bibliothèque Mouffetard-Contrescarpe s’appellera désormais "bibliothèque Mohammed Arkoun". J’ai quelques raisons familiales d’avoir de la sympathie pour cet éminent islamologue né à Taourit-Mimoun (Kabylie) et spécialiste de Ibn Miskawayh, mais je me mets à la place des habitants du coin : s'agissant d’une bibliothèque, franchement, est-ce que les noms "Mouffetard" et "Contrescarpe" n’étaient pas plus évocateurs de la mémoire bimillénaire de ce quartier de Paris ?"

    Pour ne pas y perdre la tête, revenons aux sources : 

    Mouffetard

    "- Portion de l'ancienne voie Romaine allant vers l'Italie. Elle traversait au XIII ème siècle un lieu dit le Mont Cetardus. Ce nom après déformation au fil des ans a donné le nom de Mouffetard.

       - La rue Mouffetard tirerai son nom des "mofettes" , ces odeurs pestilentielles provoquées par les écorcheurs qui vidaient dans la Biévre les tripes des animaux abattus pour en tanner le cuir".

    Contrescarpe (en rapport avec les fortifications de Lutèce) : 

    "Pente extérieure du fossé entourant une place fortifiée".

    Mohammed Arkoun :

    "né en 1928 à Taourirt-Mimoun dans la commune actuelle de Beni Yenni, en Kabylie (Algérie), décédé le 14 septembre 2012 à Paris, est un intellectuel qui s'inscrit dans la tradition française  des « lumières » , historien de l'islam et philosophe".

    Lahire

    LE SALON BEIGE - 28/10/13

  • Diverses façons pour anéantir les nations et démolir l’Europe.

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    1) Promouvoir le biculturalisme. L’Histoire montre qu’aucune nation ne peut survivre quand deux langues, deux cultures, ou plus, s’opposent en son sein. (Ex : Yougoslavie, Tchécoslovaquie, Irlande, Liban, …la liste est longue).

    2) Valoriser le multiculturalisme. Encourager les immigrants à conserver leurs cultures. Les sociétés multiraciales et multiculturelles doivent consacrer toute leur énergie à maintenir la paix entre les différentes communautés qui la composent.

    3) Faire l’éloge de la diversité, plutôt que de l’unité. Les divers groupes culturels mettent en avant et revendiquent leurs spécificités, plutôt que leurs points communs. Il ne reste alors plus comme facteurs de cohésion que la « tolérance » et le « pluralisme ».

    4) Maintenir le groupe, dont la démographie est la plus forte, dans l’illettrisme. Une sous-classe en expansion, non-assimilée, sous-éduquée, hostile à la majorité, et dont l’énorme taux d’échec scolaire (ou de condition sociale) sera prétendument le produit des discriminations et des préjugés de la majorité.

    5) Amener le monde des affaires à soutenir financièrement le multiculturalisme. Miser et investir dans l’identité ethnique. Mettre en place un culte de la « victimisation » et le business de la rancœur, au travers d’une industrie de la revendication qui rejettera systématiquement la responsabilité de l’échec des minorités, sur la majorité des populations. Imposer une religion de la « repentance » et de la culpabilité, au nom du « devoir de mémoire ».

    6) Rendre tabou tout propos qui va à l’encontre du culte de la diversité. Trouver un terme comparable à celui de « l’hérétique » du 16ème siècle. « Raciste » par exemple ou encore « extrémiste ». Ce mot devra interdire toute discussion, tout débat, tout argumentaire et paralyser la pensée et exclure tout opposant des discussions.

    7) Faire en sorte que les lois sur l’immigration deviennent inapplicables. Imposer un ensemble de mythes ou de chimères, selon lesquels, par exemple, l’immigration massive (invasion et/ou colonisation) est un phénomène normal qui ne peut être arrêté, et qui en outre est un bienfait pour la société vieillissante.

    Ce petit mode d’emploi en 7 points clé, permet l’avènement d’une société « diverse », paisible et stable. A la restriction près que cette société est une parfaite utopie allant à l’encontre de tous les précédents historiques.
    Le multiculturalisme est-il seulement destiné à reconnaître les apports des autres cultures et des minorités ethniques ? Ou dénonce-t-il systématiquement l’homme blanc comme « oppresseur », « colonisateur », « destructeur » ou même « pollueur » tout en idéalisant les non-européens, à la fois plus « humains » et moins matérialistes ?
    A qui profite le multiculturalisme ?
    Les adeptes du Nouvel Ordre Mondial se servent du multiculturel et du métissage, comme d’un levier pour fragmenter les nations jusqu’alors culturellement homogènes. Ces nations homogènes représentent en effet un obstacle à un gouvernement centralisé. En revanche, une société éclatée en clans antagonistes sera bien trop divisée pour pouvoir s’y opposer.
    «Le verrou qui doit sauter à présent, c’est la Nation.», selon feu le baron Edmond de Rothschild.(cf. n°775 d’Entreprise 07/1970).
    La vision multiculturelle d’une société harmonieuse et tolérante, basée sur la diversité ethnico-culturelle est une fiction collective et dangereuse qu’il faut combattre par tous les moyens, car notre survie en dépend.

    Pieter KERSTENS.

  • Admirez la "croix" pectorale de Mgr Dagens

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    Monseigneur Claude Dagens, évêque d’Angoulême, était aux abords du Vatican mercredi dernier, à l’issue de l’audience générale où il a rencontré le Pape François.

     

    RIPOSTE CATHOLIQUE - 27/10/13

  • Acharnement : la République veut maintenant s’attaquer à… l’encens !

    28 octobre 2013

    On sait que la « santé » sert de prétexte à l’État pour racketter les citoyens de diverses façons et pour les soumettre mentalement, toujours davantage.

    Mais on peut aussi l’utiliser pour un peu tout, y compris faire des petits coups tordus à ce qu’il reste de christianisme en France.

    Le gouvernement a ainsi annoncé dans son « plan d’actions sur la qualité de l’air intérieur », qui est une « préoccupation de santé publique », que « les bougies, notamment parfumées, et les encens qui dégagent le plus de substances toxiques pour la santé vont être interdits ».

    Des études sont en cours pour décider quels produits sont les plus émissifs, et des arrêtés d’interdiction sont à attendre dans les prochains mois, a-t-on précisé au ministère de l’Écologie.

    Dans un récent rapport, l’Institut national de l’environnement industriel et des risques (Ineris) indiquait que « les encens sont beaucoup plus émissifs que les bougies et leur utilisation semble présenter des risques même dans le cas d’un usage mensuel ».

    Bref, inutile de rappeler que le Diable est réputé ne pas du tout aimer l’encens…
    Ce projet est-il signé ?

    Contre-info.com

  • Affaire Leonarda: recours de la famille contre expulsion

    http://www.rtl.fr/actualites/info/article/affaire-leonarda-recours-de-la-famille-contre-son-expulsion-7766169275

  • Une vieille dame décède après un vol à l'arraché

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    Avignon / Publié le Lundi 28/10/2013 à 19H10

    Une dame de 91 ans, victime d'un vol à l'arraché jeudi dernier, est décédée ce matin à l'hôpital d'Avignon. Le parquet a ordonné une autopsie pour savoir si un lien peut être établi entre son agression et son décès.

    La semaine passée, dans le quartier Champfleury, cette dame s'était faite agresser par trois jeunes gens alors qu'elle sortait de chez elle. Elle s'était alors accrochée à son sac et ses voleurs avaient réussi à lui dérober son portefeuille et ses clés avant de s'enfuir, la laissant à terre. Victime d'une fracture au bras, elle avait été hospitalisée.

    Les enquêteurs de la sûreté départementale sont chargés d'identifier les auteurs. Si un lien est établi entre ce vol et la mort de la victime, les auteurs pourraient être poursuivis pour vol avec violence ayant entraîné la mort. Ils encourent la réclusion criminelle à perpétuité.

    LA PROVENCE

  • Fronde bretonne: l'alerte des RG au gouvernement

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    Le Figaro a pu consulter les dernières informations transmises au ministère de l'Intérieur par la SDIG de Rennes, qui prévoit des actions très dures en Bretagne.

     
     

    La fronde bretonne vue par les ex-RG prend des allures de jacquerie généralisée. Le Figaro a eu connaissance des derniers éléments de synthèse alarmants envoyés par la sous-direction de l'information générale (SDIG) de Rennes au ministère de l'Intérieur et dont Matignon aurait, selon nos informations, reçu copie.

    Pour les «grandes oreilles», la colère des Bretons contre l'écotaxe, sur fond de crise des filières agricoles et agroalimentaires, serait attisée notamment par deux groupes identitaires, l'un d'extrême gauche, en marge du mouvement Breizhsistance, l'autre d'extrême droite, sous la bannière de Jeune Bretagne.

    Ce dernier groupe, qui ne compte guère plus de «30 personnes», assure la police, est rattaché à l'Adsav (le parti du Peuple breton), qui se fixe pour objectif «la création d'un État indépendant breton». Ses militants ont ouvert une page Facebook intitulée «Révolte bretonne». Elle compte déjà 4000 sympathisants. Autant de fils à tirer pour les hommes du renseignement qui retracent les connexions entre les uns et les autres…

    «L'impulsion du mouvement est locale. Le Front national observe, mais n'a pas prise en Bretagne, où il ne réalise jamais de gros scores», confie un officier de police. Il n'empêche que le site Internet de Jeune Bretagne a laissé en évidence sur sa page d'accueil un appel à venir assister à la conférence en septembre dernier d'un ancien cacique du FN, Jean-Yves Le Gallou, à l'occasion de la publication de son livre sur La Tyrannie médiatique.

    Il n'y a pas que les partis ultras. Outre «les syndicats traditionnels, comme la FNSEA, mais aussi les organisations représentatives des secteurs du transport, du BTP et de l'agroalimentaire, la population commence à adhérer au mouvement», constatent les ex-RG.

    L'un des foyers les plus vivaces est la ville de Carhaix, qui anima, il y a cinq ans déjà, un combat très dur pour le maintien de sa maternité. Son maire, Christian Troadec, est la bête noire des autorités régaliennes sur place. Très apprécié par les anticapitalistes du NPA, et résolument impliqué dans le mouvement breton, cet électron libre de la gauche alternative appelle ouvertement les «salariés de l'agroalimentaire, agriculteurs, marins, élus, syndicats, commerçants, artisans, transporteurs, toutes les populations touchées d'une manière ou d'une autre par la crise, (…) à se rassembler pour dire non au déclin de la Bretagne» et par la même occasion à l'écotaxe.

    «Jusqu'alors, estiment les analystes du SDIG, les syndicats se sont toujours refusés à réunir agriculteurs et pêcheurs, tant le cocktail peut se révéler explosif.» Or, s'inquiètent-ils, des représentants de deux corporations se sont entendus «le week-end dernier» pour agir de front.

    Chacun se prépare donc pour le grand jour, le 2 novembre prochain, avec une nouvelle manifestation à Quimper. Les «bonnets rouges» et leur symbolique antijacobine, en souvenir de la révolte des Bretons de 1675 contre une nouvelle taxe, sont attendus en nombre, la police craignant violences et débordements.

    La SDIG de Rennes a prévenu Paris que le mouvement pourrait faire tache d'huile dans des régions de France à forte identité, «l'Alsace, le Pays basque et même la région niçoise», où quelques irréductibles s'interrogeraient sur la façon de passer à l'action. Ils auraient pris des contacts entre eux.

    Pour la Bretagne, les ex-RG retiennent que «les mouvements identitaires ont lancé un appel à tous les Bretons pour qu'ils accrochent à leurs fenêtres le drapeau breton Gwenn ha Du, jusqu'au 11 novembre prochain». Ce jour-là, en signe de protestation contre l'État centralisé, les plus déterminés sont invités à perturber les commémorations de l'armistice.

     

    LE FIGARO - 28/10/13

     

     

     

                                                 

     
     
     

     

  • L’art contemporain à l’école : opération «Un établissement, une œuvre»

     

    Les ministres Vincent Peillon et Aurélie Filippetti ont lancé vendredi 27 septembre à Toulouse cette opération destinée à sensibiliser les écoliers et collégiens à l’art contemporain en exposant dans leur établissement une création issue des FRAC – Fonds régionaux d’art contemporain.

    On peut se demander pourquoi restreindre l’art au seul art contemporain, sans le recul nécessaire pour pouvoir en juger ? Il faudrait, comme en histoire à propos de l’historicité d’un événement, attendre un certain nombre d’années avant de convenir qu’une œuvre récemment créée a une valeur artistique. Mais il est vrai aussi que dans les programmes d’enseignement de l’histoire, l’actualité tend de plus en plus à supplanter cette dernière.

    En créant les FRAC, le ministère de la Culture s’est arrogé le droit de décider lui-même ce qui relève de l’art. Ainsi reste-t-on dubitatif face à la sculpture de Fabien Verschaere dévoilée au grand jour dans l’école primaire Jules Julien de Toulouse ce même vendredi et prêtée pour un mois par le FRAC de Midi-Pyrénées. Elle représente un « clown noir aux airs de diablotin » – on appréciera l’euphémisme en admirant ses magnifiques cornes et un pentacle rouge sang faisant office de feuille de vigne.

     

    L’art qui devrait être indépendant de tout militantisme ne l’est pourtant pas aux yeux d’Aurélie Filippetti vantant « l’éducation artistique et culturelle » comme étant un « moyen de lutter contre les inégalités ». En effet : « L’art contemporain peut sembler hermétique pour certains mais je crois au contraire que parce qu’il est toujours ludique, parce qu’il suscite toujours un débat, une discussion, il est un excellent outil pédagogique », ajoute-t-elle. On est loin de la conception de Théophile Gautier sur cette activité humaine qui doit rester « inutile » pour élever l’âme, conception exprimée dans la préface de Mademoiselle de Maupin :

    « Rien de ce qui est beau n’est indispensable à la vie. On supprimerait les fleurs, le monde n’en souffrirait pas matériellement ; qui voudrait cependant qu’il n’y eût plus de fleurs ? Qui aurait la folie de préférer […] Michel-Ange à l’inventeur de la moutarde blanche ? Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid, car c’est l’expression de quelque besoin, et ceux de l’homme sont ignobles et dégoûtants, comme sa pauvre et infirme nature. »

    Pour couronner le bien-fondé de cette initiative, Vincent Peillon ajoute que « c’est gratuit, il n’y a rien à vendre », précisant que toute œuvre des FRAC ne peut être achetée, mais omettant de dire que chacune est un formidable faire-valoir publicitaire des autres créations de leur auteur destinées quant à elles à la vente. Et puis, insister sur la gratuité fera quelque peu sourire. Précisons quelques informations pour nous en convaincre.

    Les FRAC en chiffres

    Créés en 1982 par Jack Lang, dotés d’un budget dont le financement vient en grande majorité de chaque Conseil régional et de l’État, ils sont constitués d’un ensemble de 26 000 œuvres pour 4 200 artistes français ou étrangers : « Les collections des 23 FRAC rassemblées, c’est l’une des plus belles collections d’art contemporain au monde et nous avons la chance que ces collections soient publiques. Nous avons constitué depuis 30 ans une richesse exceptionnelle qu’il faut faire découvrir et faire partager », a insisté la ministre.

    Le FRAC de Midi-Pyrénées fonctionne avec un budget annuel de 120 000 euros octroyé à parts égales par l’État et la Région. Chaque année, un comité technique choisit une dizaine d’œuvres de jeunes « artistes prometteurs ». Pas question de cote ici, le fonds du FRAC ne se revend effectivement pas, mais les 700 œuvres sont vouées à être diffusées partout, notamment à l’hôpital, à l’école, dans les centres culturels et les librairies, ce qui n’est pas donné.

    Le moins que l’on puisse dire, c’est que Vincent Peillon et Aurélie Filippetti ont l’art en tous les cas de se moquer du contribuable.

    NOUVELLES DE FRANCE - 26/10/13

  • Marine Le Pen sur France 3 : « Le patriotisme est de retour et la patrie, la nation est de retour, n’en déplaise aux mondialistes ! »

     27 octobre 2013   Willy Legrand                                                 

    Marine Le Pen 12-13 Dimanche - NationsPresse

    Marine Le Pen, Présidente du Front National et du Rassemblement Bleu Marine, était l’invitée du journal « Le 12/13 Dimanche » à 12 heures sur France 3. Elle réagissait au sujet de l’actualité politique en vue des élections municipales et européennes qui se dérouleront en mars et mai 2014.

    Réagissant à l’article de presse consacré à Ségolène Royal (PS) qui brandit un drapeau tricolore, Marine Le Pen déclare :

    « Honnêtement, si tous les Français avaient un drapeau tricolore chez eux et le mettaient à leur balcon, je serais la plus heureuse des femmes, voyez-vous ; et ils sont de plus en plus nombreux à le faire car le patriotisme est de retour et la patrie, la nation est de retour, n’en déplaise aux mondialistes ! »

  • Churchill a refusé l’offre de paix de Hitler pour des "raisons morales"

     

    Finalement c’est confirmé : Adolf Hitler avait bien fait une offre de paix en 1941.

    Voilà maintenant des semaines que la nouvelle est connue en Israël et en Grande-Bretagne, mais les grands médias américains gardent le silence sur la parution d’un nouveau livre écrit par un historien britannique de premier plan qui affirme qu’Adolf Hitler a cherché à obtenir la paix avec la Grande-Bretagne en 1941 mais que l’offre d’Hitler a été rejetée par le premier ministre Winston Churchill.

    C’est le site israélien Ynet ainsi que le Daily Telegraph et le Daily Mail (tous deux de Londres) qui ont rapporté cette révélation qui change l’histoire "officielle" de la Deuxième Guerre mondiale et confirme ce que les historiens  indépendants disent depuis des années.

    Dans Hess, Hitler and Churchill, le célèbre écrivain Peter Padfield affirme que la légendaire "mission de paix" de Rudolf Hess (photo ci-dessus), fidèle adjoint d’Hitler, en Grande-Bretagne en mai 1941 avait bien eu l’approbation d’Hitler et que Hess apportait de la part d’Hitler l’offre suivante : les forces allemandes se retiraient des pays qu’elles occupaient en Europe occidentale en échange du soutien de la Grande-Bretagne (ou du moins sa non-intervention) à une attaque imminente de l’Allemagne contre la Russie soviétique, dont il divulguait la date (fixée à cinq semaines plus tard).

    Lire la suite de l’article sur blanrue.blogspot.fr

     

    Egalité & Réconciliation

  • Tourisme sexuel et protection de Ben Ali : quand Ruquier, Caron et Polony évitent de poser les questions qui fâchent à Frédéric Mitterrand

     

    par Hicham Hamza

    « La solution Maghreb ». Découvrez comment Frédéric Mitterrand, ancien ministre devenu interviewer sur France Inter, a délibérément menti, devant près de deux millions de téléspectateurs, au sujet de sa proximité passée avec le clan Ben Ali.

    - Pendant votre mandat, ont lieu les révoltes en Tunisie, un pays auquel vous êtes très attaché. Ça se ressent dans votre livre.

    - Je suis « tunisifié », c’est normal. Mais je ne pouvais pas faire plus. Cela dit, j’ai un peu dit une connerie quand j’ai dit que ce n’était pas une « dictature univoque ». En même temps, c’est vrai, ce n’est pas Bachar el-Assad, Kadhafi, ou Hussein. Il n’a pas tué, il a volé.

    Tels sont les mots employés hier par Frédéric Mitterrand lors de son entretien avec le journaliste du quotidien 20 minutes.

    L’ancien ministre de la Culture effectue actuellement la promotion médiatique de son dernier ouvrage consacré à son immersion antérieure dans la vie politique aux côtés de Nicolas Sarkozy.

    Une semaine auparavant, l’homme enregistrait une longue interview complaisante sur le plateau de l’émission On n’est pas couché de France 2. En hausse d’audience, le talk-show avait alors réuni 1 753 000 téléspectateurs.

    Lire la suite de l’article sur panamza.com : voir les vidéos

    E&R

     

  • Publicité et propagande, éléments essentiels de conditionnement du Système, par Jean-Yves Le Gallou

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    « Le conditionnement à l’acte d’achat compulsif, le conditionnement au politiquement correct. »
    Voici le texte d’introduction de Jean-Yves Le Gallou, à la Sixième Journée de réinformation de Polémia (hier, 26 octobre 2013) consacrée à la désinformation publicitaire.

    Polémia.

    Après La Tyrannie médiatique, Polémia poursuit sa réflexion sur les troupes d’occupation mentale en décryptant la désinformation publicitaire :

    – Des écrans allumés partout : dans les maisons, les bars, les restaurants, les transports. Chaque Français subit chaque jour 61 minutes d’exposition publicitaire ;
    – 2% de la richesse produite consacrés au formatage de l’opinion par la publicité ;
    – Et la mise des neurosciences au service de la manipulation mentale.

    Tout cela dans un double but : le conditionnement à l’acte d’achat compulsif, le conditionnement au politiquement correct.

    Les messages publicitaires (ce qui entre dans nos têtes) et les achats d’espace (ce qui fait vivre ou mourir les médias) dépendent du bon vouloir de deux grands opérateurs-prédateurs : Publicis (Maurice Lévy et la famille Badinter) et Euro-RSCG (Stéphane Fouks, l’ami de DSK, le publicitaire de Hollande et Valls).

     

    Sans oublier la fusion de Publicis et d’Omnicom (le géant américain) qui va créer un mastodonte mondial capable d’aligner 130.000 agents de propagande ; 130.000 propagandistes chargés de formater l’opinion en créant des besoins d’achat superficiels et en véhiculant le message idéologique dominant : mondialisme, antiracisme, rupture des traditions, culpabilisation. Le monde de la publicité, c’est un monde cosmopolite qui veut abroger les frontières : frontières physiques que sont les nations, frontières morales que sont les traditions.

    Or Staline ne disposait pas du dixième des moyens de persuasion dont usent – et abusent – les grands oligopoles publicitaires. Certes, Staline avait le goulag mais nous, c’est dans un goulag mental que nous sommes enfermés.

    Car, par construction, la publicité n’est pas neutre puisque sa fonction est de faire vendre.

    La publicité, en tant que levier du Système économique actuel, véhicule nécessairement l’idéologie du Système marchand. Le rôle de la publicité c’est de valoriser la seule richesse matérielle. Par nature, la publicité promeut ce qui s’achète et se vend au détriment de ce qui est gratuit : les arbres, les paysages, la relation/émotion à la nature ou à l’art, les relations humaines ont vocation à passer derrière ce qui se valorise avec de l’argent : les produits et, plus encore, les marques.

    Allons au-delà : la publicité est un moyen de formatage global de l’opinion car il y a une symbiose publicité/médias/politique en post-démocratie ; les hommes et les partis politiques deviennent des marques. La publicité ne dit pas seulement ce qu’il faut acheter mais ce pourquoi – ou pour qui – il faut voter… ou surtout ne pas voter.

    Enfin, comme il existe des bobards médiatiques, il y a des bobards publicitaires. C’est Findus, le marchand de lasagnes dans lesquelles la viande de cheval remplaçait la viande de bœuf, qui nous explique qu’il est « très à cheval sur la qualité de ses produits ». Et c’est Stéphane Fouks, d’Euro-RCSG, qui nous avait vanté les éminentes qualités de présidentiable de DSK avant de se reconvertir au service de Hollande et de Valls. Au final, la publicité institutionnalise le bobard et la désinformation.

    Mais certaines publicités sont encore plus nocives que la moyenne lorsqu’elles assurent :
    - la promotion du métissage ou de la « diversité » (promotion des couples mixtes, des hommes de couleur), de « l’antiracisme » (ex. Jean-Paul Goude) ;
    - la modification de l’image de l’homme (inversion des rôles masculin/féminin ; les catalogues de jouets « dégenrés » : les petits garçons jouent à la poupée) ;
    - la valorisation de « l’homoparentalité » ;
    - la valorisation du mode de vie américain et de la société mondialisée ;
    - la déconstruction/provocation des valeurs nationales (ex. Benetton).

    Voilà ce à quoi nous allons réfléchir aujourd’hui :

    Comment échapper à la désinformation publicitaire ?

    Comment dénoncer la tyrannie publicitaire, car dénoncer une tyrannie c’est déjà l’affaiblir.

    Mais apprendre à la contourner, c’est encore mieux !

    Jean-Yves Le Gallou
    Président de Polémia

    6e journée de la réinformation
    26/10/2013

    Source : Polémia.

    Image : circospetto via Flickr (cc)

     

     

     NOVOPRESS  - 27/10/13

  • L'écotaxe maintenue mais "adaptée"

    PARIS (Reuters) - Le ministre de l'Economie, Pierre Moscovici, a maintenu au 1er janvier la date d'entrée en vigueur de l'écotaxe, à l'origine d'affrontements en Bretagne, mais a assuré que de nouvelles adaptations seraient faites.

    "Le gouvernement entend, le gouvernement dialogue, le gouvernement a déjà pris des adaptations", a-t-il déclaré dimanche au Grand Rendez-vous d'Europe 1-Le Monde-i>Télé.

    Prié de dire si l'exécutif était susceptible de reculer, comme il vient de le faire sur l'épargne, Pierre Moscovici a évoqué de nouvelles propositions qui tiennent compte "des colères et des inquiétudes".

    "Le Premier ministre a demandé aux ministres concernés de faire des propositions, elles seront faites", a-t-il ajouté.

    Le gouvernement a répondu dimanche aux inquiétudes exprimées par sa propre majorité sur l'épargne en annonçant que seule une partie de l'assurance-vie serait concernée par le projet visant à relever par le haut les prélèvements sociaux.

    Mais la mobilisation contre l'écotaxe, lancée par des agriculteurs, artisans et transporteurs, prend de l'ampleur, en particulier en Bretagne où des heurts entre manifestants et forces de l'ordre ont marqué un nouveau rassemblement.

    Le député PS du Finistère, Jean-Jacques Urvoas, a plaidé dimanche pour l'ajournement de l'écotaxe en Bretagne afin de pouvoir mesurer "avec précision son impact sur les entreprises bretonnes".

    "Nous ne demandons pas la fin de l'écotaxe mais son ajournement pour le cas breton", a-t-il dit sur i>Télé et France info. La présidente du Front national, Marine Le Pen, a dit comprendre la colère des Bretons.

    "Je les soutiens quand ils expriment leur colère de la manière dont ils sont traités, alors qu'ils vivent l'austérité généralisée, alors que la plupart n'auront plus d'emploi", a-t-elle dit sur France 3.

    Votée par la majorité précédente (UMP) et s'appliquant aux transports de plus de 3,5 tonnes, elle doit financer les investissements contre l'usure des infrastructures routières et inciter à privilégier des moyens de transport plus respectueux de l'environnement.

    Près de 1.000 manifestants venus avec tracteurs et poids lourds ont pris pour cible samedi le dernier des trois portiques écotaxe du Finistère encore en état de fonctionner, à Pont-de-Buis.

    L'AGROALIMENTAIRE EN CRISE

    Les manifestants ont lancé des oeufs et des feux de détresse sur les gendarmes mobiles qui ont répliqué par des tirs de grenades lacrymogènes et de flash-ball.

    Trois manifestants ont été blessés lors des affrontements entre manifestants et forces de l'ordre, qui se sont poursuivis pendant une partie de la nuit.

    La mise en place de l'écotaxe intervient au mauvais moment en Bretagne, dans un contexte de crise économique qui met à mal le secteur agroalimentaire.

    Près de 75% des Bretons s'y disent opposés, selon un sondage Ifop pour Dimanche Ouest-France, publié samedi.

    "On refuse l'écotaxe et on ne lâchera pas tant qu'elle ne sera pas annulée", a déclaré Pierre Balland, président du Medef du Finistère.

    En début de semaine, le gouvernement a annoncé que le caractère excentré de la Bretagne serait pris en compte, avec un abattement de 50% sur le taux kilométrique et l'exclusion du réseau taxable du principal axe routier entre l'est et l'ouest de la région, la RN 164.

    Beaucoup de manifestants ont évoqué l'impact des difficultés du groupe volailler Doux ou la fermeture de l'abattoir de porcs Gad de Lampaul-Guimiliau sur l'ensemble de l'économie régionale.

    "Toutes les semaines on a un impôt nouveau, on vit une désespérance alors que cela fait quarante ans qu'on se bat", a dit à Reuters Jean-Pierre Le Verge, exploitant agricole à la retraite et ancien président de Breizh Europe, un organisme qui défend les intérêts bretons à Bruxelles.

    Des pneus et des ballots de paille ont été incendiés à proximité du portique de Pont-de-Buis, le dernier encore debout dans le Finistère, les deux autres ayant été sabotés ces derniers mois.

    Une partie des manifestants étaient coiffés de bonnets rouges en référence à la "révolte du papier timbré", un mouvement breton de contestation contre des taxes imposées en 1675 par Colbert pour renflouer les finances royales.

    Gérard Bon avec Pierre-Henri Allain, édité par Julien Dury

    Yahoo!Actu - 27/10/13