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Italie: près de 700 migrants secourus dans la nuit - 25/10/13
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Avignon - Ils l'agressent à cinq pour un "mauvais regard"
L’agression s’est produite à l’entrée du centre commercial Cap Sud à Avignon. Un jeune Avignonnais de 19 ans se balade avec sa petite amie. Quand son regard vient à croiser celui d’une bande de jeunes individus. Cinq personnes qui n’admettent pas qu’on les regarde dans les yeux. Et ils le font savoir.
Le nombre jouant pour eux, ils ont vite raison du jeune majeur. L’altercation ne dure que quelques instants puis ils prennent la fuite.
Choquée, la jeune femme décide de prévenir son frère par téléphone. Ce dernier est employé sur un chantier non loin de là. Il ne lui faut que quelques minutes pour être sur place. Il se met à la recherche de la bande qu’il repère dans le restaurant Quick. À seulement quelques centaines de mètres. Cette fois-ci, c’est à eux de prendre la fuite.
Une poursuite dans la cité de Saint-Chamand
Quasiment au même moment, une patrouille de la Bac d’Avignon arrive sur place. Le frère se joint à eux et le véhicule fonce en direction de la cité Saint-Chamand. La bande est de nouveau repérée. De nouveau, les cinq complices prennent leurs jambes à leur cou. Sauf que l’un d’eux, moins rapide, est interpellé. Il a 17 ans et habite le quartier. Placé en garde à vue, il a fini par avouer les faits. Laissé libre hier, il écope d’une convocation pour une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité doublée d’une convocation par officier de police judiciaire pour le 9 janvier.
par R.D. le 25/10/2013Vauclusematin.com -
Sous Hollande, nous assistons à la lente disparition d’une nation millénaire, la France
La France de nos parents, notre vieux pays si attachant, est en train de disparaître peu à peu avec la complicité, aussi coupable que consternante, de nos élus. Sous le poids écrasant d’une immigration massive de déshérités, qui ruine notre modèle social et déstabilise la société, la France subit un appauvrissement généralisé et un choc identitaire sans précédent. C’est ainsi que sous l’implacable dictature du politiquement correct, qui impose au peuple français une société multiculturelle qu’il n’a jamais souhaitée, on assiste à un total renversement des valeurs, où les droits des étrangers priment systématiquement sur ceux des citoyens nationaux.
L’humiliante affaire Leonarda, qui a ridiculisé à la fois notre pays et notre président, est la parfaite illustration du délabrement moral et civique de nos élites, responsables inexcusables de la déliquescence de l’Etat. Quand un sénateur, incite les étudiants à manifester pour le retour de Leonarda et sa famille, c’est un encouragement au désordre et à l’incivisme. Quand un chef de parti politique réclame également le retour de cette famille de clandestins, au comportement pourtant jugé accablant par les services sociaux de notre pays, c’est accorder une prime à la fraude et au mensonge. De telles prises de position sont en outre une insupportable marque de mépris envers les citoyens, puisque deux Français sur trois sont opposés au retour de la jeune Kosovare. Curieuse conception de la démocratie ! Rappelons en passant que ce sont les contribuables qui paient le train de vie des sénateurs….Tous ces responsables politiques, qui se gargarisent à longueur de journée avec les valeurs humanistes et les traditions d’accueil de la France, se gardent bien d’évoquer le coût de cette générosité tous azimuts et de ce social distribué à tout va sans le moindre contrôle. Car en définitive, les largesses sans fin de nos élus se paient au prix fort, à la fois par une diminution des droits des Français et par une fiscalité toujours plus écrasante. C’est cela la triste vérité. La société multiculturelle que nous vantent nos élites, est non seulement un échec, vu le ratage flagrant de l’intégration, mais de plus, elle nous ruine chaque jour davantage.
Malgré ses 1900 milliards de dette, en constante augmentation, la France continue d’accueillir, de loger, de soigner et d’éduquer toute la misère du monde. On peut évidemment contester les chiffres du coût réel de l’immigration, dont le déficit économique est évalué entre 50 et 70 milliards par an, mais il n’en demeure pas moins qu’une immigration de déshérités sans la moindre qualification, coûte bien plus cher en social que sa contribution au PIB. Si l’immigration est une richesse, elle l’est uniquement pour les immigrés venus de pays où le PIB par habitant est souvent de 200 dollars par an ! Avec ses cinq millions de chômeurs et une croissance nulle, la France n’a donc nul besoin d’accueillir chaque année 200 000 nouveaux candidats à l’Eldorado, totalement inutiles à notre économie. Et prétendre que les immigrés viennent occuper les emplois que les Français refusent est un mensonge grossier. Non seulement ces emplois non qualifiés ne sont pas extensibles, mais de plus ils sont tenus depuis des lustres par les immigrés des générations précédentes. Tout nouvel arrivant va donc alimenter le flot des assistés ou grossir le nombre des sans emploi, puisque le taux de chômage atteint déjà 40% chez certaines minorités. D’ailleurs, moins de 5% des nouveaux arrivants ont un contrat de travail. Avons nous les moyens de plomber encore davantage nos comptes sociaux ? Alourdir la barque, c’est appauvrir encore le pays et c’est diviser la société par toujours plus d’injustices. Car dans bien des domaines les étrangers sont servis avant les Français. Et les exemples sont légion.
On soigne gratuitement chaque année 220 000 sans papiers, sans aucune limitation de dépenses, alors que cinq millions de Français n’ont pas de mutuelle et qu’un tiers d’entre eux ont différé leurs soins en 2012 faute de moyens.
On loge chaque soir plus de 20 000 sans papiers et déboutés du droit d’asile, alors que de jeunes couples de Français attendent un logement social depuis huit ans pour avoir leur premier enfant.
On accorde 787 euros de retraite par mois à tout étranger de 65 ans, n’ayant jamais travaillé ni cotisé en France, alors que certains de nos paysans, ayant travaillé toute leur vie, ont moins de 400 euros de retraite mensuelle.
On accueille 60 000 étudiants étrangers, bien que certains ne parlent même pas français et représentent la principale filière de clandestinité, alors que des milliers de jeunes Français abandonnent leurs études faute d’avoir obtenu une bourse suffisante.
On entretient au bas mot 30 000 polygames à prix d’or, certains d’entre eux ayant quatre femmes et plus de vingt enfants, alors que la polygamie est interdite en France, mais on diminue le quotient familial des Français qui travaillent et paient des impôts.
On accueille des centaines de médecins étrangers pendant qu’on limite le nombre de nos étudiants dans les facultés de médecine.
On évacue les grands personnages de l’histoire de France, aussi glorieux soient-ils, mais on enseigne à nos enfants, qui ne savent plus qui sont Clovis ou Napoléon, l’histoire des empires africains, dont l’héritage culturel légué à la postérité reste à démontrer.
On finance indirectement les mosquées, mais on n’a plus d’argent pour restaurer les églises.
On ferme les yeux sur la cruauté de l’abattage halal, alors que nos lois punissent sévèrement la maltraitance des animaux.
On brade la nationalité française en accordant le droit du sol aux enfants de clandestins et en fermant les yeux sur les milliers de mariages blancs chaque année. On assiste à un colossal détournement du droit du sol avec les Comoriennes, les Surinamiennes, les Haïtiennes qui viennent accoucher en grand nombre à Mayotte, à Cayenne et à Pointe à Pitre. Etc. Etc.
Dans tous les domaines, c’est la capitulation sans conditions d’un Etat avachi, face aux revendications communautaristes. C’est ainsi que les mariages arrangés, les mariages religieux sous le manteau, les répudiations, la polygamie et autres coutumes arriérées, sont devenus la norme au pays des droits de l’homme ! C’est donc un immense bond en arrière pour la liberté et l’égalité des femmes que cautionnent nos élus. Nous sommes de très loin le premier pays polygame d’Europe. A l’heure où Bruxelles règlemente chacun de nos gestes quotidiens, un tel recul de société est ahurissant. Incapables de défendre la laïcité, pilier essentiel de notre république, nos élus encouragent par leur renoncement permanent, une lente islamisation de la société, laquelle gagne l’école, les milieux hospitaliers, les entreprises, les administrations et la voie publique.
Au nom de « l’acceptation de l’autre », ce n’est plus l’immigré qui s’intègre, mais la société tout entière qui doit s’adapter aux us et coutumes des ceux qu’elle accueille à bras ouverts. Mais de concessions en petits arrangements, c’est tout le principe de la laïcité qu’on détruit peu à peu.
Nous assistons en fait à la lente disparition d’une nation millénaire, laquelle, après tant d’épreuves surmontées dans le sang et les larmes au cours des siècles, ne survivra pas au changement de population qui s’opère, compte tenu du choc inévitable entre des cultures fondamentalement différentes. L’image paradisiaque d’une société pluriethnique, que nous vantent nos élites hypocrites, n’est qu’une illusion. Et les innombrables violences interethniques que nous voyons à travers le monde en sont la preuve. Le « vivre ensemble » n’est qu’une expression vide de sens s’il n’y a pas de réelle volonté d’intégration des arrivants. L’abandon de la politique d’assimilation, qui a fait ses preuves avec tant de générations d’immigrés, imposé au nom du droit à la différence, ne peut mener qu’à la libanisation du pays, avec les risques de conflits que rencontrent les sociétés éclatées.
Et la question que de plus en plus de Français se posent, mais qui reste à ce jour sans réponse, est la suivante :
Comment des élites, censées être responsables du devenir et du destin d’un peuple, peuvent-elles dilapider l’héritage culturel que nous ont légué les générations passées, en sacrifiant ainsi l’avenir des générations futures ? C’est totalement incompréhensible. Mais ce que l’on comprend parfaitement, en revanche, c’est l’irrésistible ascension de Marine Le Pen, seule personnalité politique à avoir compris que les Français étaient profondément attachés à leur histoire, à leurs racines chrétiennes et à leur culture gréco-latine. Dommage que ses adversaires n’aient strictement rien compris aux bouleversements qui s’annoncent.
Jacques Guillemain
RIPOSTE LAÏQUE
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Le père rom de "l'ange blond" serait porteur de gènes albinos selon le résultat des tests ADN
Une famille rom portant des gènes albinos a expliqué avoir été contrainte de laisser la petite Maria en Grèce en 2009. Des tests ADN ont prouvé ses dires.
«L''ange blond» est bel et bien un enfant rom. Loin des théories selon lesquelles la blonde et pâle Maria, 4 ans, aurait été volée à ses parents biologiques par des Roms vivant en Grèce, des tests ADN ont prouvé que Maria est en réalité l'enfant d'un couple rom de Bulgarie, dont le père porte des gènes albinos.
LE FIGARO - 24/10/13
Voilà qui explique pourquoi Maria est blonde aux yeux bleus !
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Eric Zemmour: la France, c'st d'abord le droit du sang
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Une Américaine face au racisme anti-blanc
Aux Etats-Unis, c’est pire qu’en France. Sur cette vidéo on peut voire un enfant de cinq ans qui se fait humilier au jardin d’enfant car il est blanc. L’institutrice lui explique que personne n’est blanc. Même si on n’est pas forcément d’accord avec les propos de la présentatrice de cette vidéo, elle soulève certaines questions. Le racisme anti-blanc est une réalité aux Etats-Unis comme il l’est en France et en Europe de manière plus générale. Les pires racistes anti-blanc ne sont pas forcement les membres des minorités visibles mais les politiciens et leurs médias qui minimisent systématiquement les crimes dont les blancs sont victimes, qui discriminent leur concitoyens dans l’accès au logement et à l’emploi, créant ainsi la division et les tentions communautaires.
ALTERMEDIA FRANCE-BELGIQUE - 24/10/13
Ce n'est pas juste une question de mélanine...
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Conférence de presse de Marine Le Pen le 25 octobre 2013
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Peut-on se fier à cent pour cent à des analyses d'ADN ?
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Les parents de Maria sont un couple de Roms bulgares
Sacha Rousseva, 35 ans, est la mère de "l'ange blond" selon les tests ADN
Les parents biologiques de la fillette blonde découverte dans un camp de Roms en Grèce sont un couple de Roms bulgares, montrent les résultats de tests ADN rendus publics vendredi.
Le parquet de Bulgarie tente désormais de déterminer si la mère de l'enfant, Sacha Rousseva, qui aurait 35 ans, a vendu son enfant en Grèce, ce qu'elle dément.
Sacha Rousseva dit avoir laissé sa fillette alors âgée de sept mois en Grèce en 2009, où elle travaillait comme ramasseuse d'olives, parce qu'elle ne pouvait pas s'en occuper et qu'elle devait retourner en Bulgarie.
Son mari, Atanas Roussev, âgé de 37 ans, est le père biologique de Maria.
Le couple a neuf autres enfants âgé de 2 à 20 ans et vit dans une extrême pauvreté dans une maison délabrée au sol en terre battue à Nikolaevo, une ville à 280 km à l'est de Sofia.
"Nous vivons tous dans la même pièce, mon mari, moi et tous les enfants", a expliqué Sacha Rousseva aux journalistes venus l'interroger jeudi soir.
Le sort de la fillette de quatre ans, appelée Maria et surnommée "l'ange blond" par les médias grecs, a intrigué à travers le monde. Elle a été découverte la semaine dernière, cachée sous une couverture dans un camp rom du centre de la Grèce, et des tests ADN ont montré que le couple avec lequel elle vivait n'était pas ses parents.
Maria a été prise en charge par une organisation caritative grecque, qui dit avoir reçu plus de 10.000 appels téléphoniques de personnes proposant d'aider l'enquête ou de parents d'enfants disparus.
Les Roms sont au nombre d'environ dix millions en Europe. Ils sont l'une des plus anciennes minorités du continent, et l'une des plus visées par la discrimination selon le Conseil de l'Europe.
Tsvetelia Tsolova, Bertrand Boucey et Jean-Stéphane Brosse pour le service françaisCapital.fr
NdB: Peut-on se fier entièrement aux tests ADN ?
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Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n° 337 en duplex du Parlement européen
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Cours d’histoire : les élèves de 5e doivent savoir se repérer dans une mosquée
24 octobre 2013
Il faut désormais vous y faire. Nos chères têtes blondes doivent connaitre l’islam. Cet apprentissage n’est pas le fait de leurs camarades de classe, toujours plus nombreux, ayant embrassé cette religion, mais des manuels d’histoire au programme de la classe de 5ème. L’histoire se passe dans un collège de Bordeaux, et est narrée par nos confrères d’Islam Confidentiel, lettre hebdomadaire « dédiée à la question de l’islam, en France et dans le monde ».
« Le document que nous reproduisons est un exercice exigé par un professeur d’une classe de 5e – les enfants ont autour de 13 ans – dans un collège de Bordeaux ! L’enfant doit apprendre à « se repérer dans une mosquée » ! Il doit donc situer, sur le plan fourni, qui est celui de la mosquée de Kairouan, en Tunisie, l’emplacement de la qibia (le mur indiquant la direction de La Mecque…), du minaret, du mirhab (« cavité symbolisant la présence de Mohammed », le nom de Mahomet étant ici orthographié au plus proche de sa transcription de l’arabe), ou encore le minbar (l’équivalent de la chaire pour l’imam), ce qui est aussi l’occasion pour les enfants d’apprendre plein de mots nouveaux…
Une initiative (malheureuse) du professeur ? Même pas.
Lire la suiteContre-info.com
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Monde moderne : un homme retrouvé pendu dans son appartement 8 ans après…
24 octobre 2013
En Seine-et-Marne, le corps d’un Asiatique a été découvert par la personne qui venait d’acheter ce bien saisi pour régler des créances qui s’accumulaient…
Selon les informations publiées par Le Parisien, il a été retrouvé « momifié » après s’être pendu à un drap il y a huit ans, contre la porte d’entrée de son appartement d’un immeuble pourtant peuplé, dans la ville nouvelle de Bussy-Saint-Georges.Il semblerait que dans cette société moderne individualisée, plus la densité d’habitants soit grande, plus l’isolement soit fort !
Contre-info.com
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Sacha et Atanas Roussev, deux Roms bulgares, sont bien les parents biologiques de Maria selon le résultat des tests ADN
L'Affaire "Maria": Les parents biologiques de... par euronews-frNdB: cette vidéo a été tournée avant que le résultats des tests ADN soit connu.
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Paul SIGNAC (1863-1935)
Le Port de Marseille
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"L'ange blond": ses vrais parents seraient peut-être des Roms bulgares
Enfants roms bulgares
Le 16 octobre dernier, une fillette a été découverte dans un camp rom, à Farsala, en Grèce. Des test ADN ont révélé qu'elle n'avait aucun lien avec le couple qui l'élevait.
Ce jeudi, Sacha et Atanas Roussev, un couple de Roms bulgares a été interrogé. La police les soupçonne d'être les vrais parents de la petite "Maria". La mère présumée aurait abandonné la fillette parce qu'elle était en Grèce et qu'elle n'avait pas d’argent pour rentrer chez elle, à Nikolaevo.
Le couple a deux autres enfants. Ils sont très blonds, comme la fillette.
Selon certains de leurs voisins, la mère aurait vendu son enfant pour 500 leva (environ 250 euros).
Le couple de Roms qui élevait la petite fille a été inculpé lundi d’"enlèvement", et placé en détention dans l’attente d’un procès.FAITS DIVERS -
Paris: l'église de la Madeleine profanée pa les Femen
Ces pauvres acnéiques du bulbe ne savent plus quoi faire pour qu’on parle d’elles… Elles se sont exhibées hier en l’église de la Madeleine à Paris. C’est pathétique. Mais c’est aussi une profanation… Je leur donne deux adresses où elles pourraient – si elles l’osent… – aller exprimer leurs bêtises : grande synagogue de Paris, 44 rue de la Victoire (M° les plus proches : Notre-Dame de Lorette ou Le Pelletier ; hôpital le plus proche : Hôpital Lariboisière, Paris Xe) ; grande mosquée de Paris, 2bis Place du Puits de l’Ermite (M° les plus proches : Monge ou Censier Daubenton ; clinique la plus proche : Clinique Geoffroy Saint-Hilaire, Paris Ve)… Plus sérieusement, Defensor Christi vient d’écrire au curé de la paroisse (avec copie à l’archevêque de Paris, au ministre de l’Intérieur, au maire de Paris et au maire de l’arrondissement) :
Le 23 octobre, des membres du groupuscule Femen ont apparemment profanés La Madeleine, se prenant en photo, seins nus, devant l’autel de la Basilique. Des photos qu’elles ont publiées sur leurs sites et réseaux sociaux. Ce genre de provocation, de plus en plus régulières, a encore choqué nombre de chrétiens dans toute la France ; elles ne sont plus tolérables. Nous vous faisons part de notre indignation, ainsi que celle de tous les citoyens chrétiens profondément choqués par cette mise en scène au sein d’un lieu de culte que la République a pour charge de protéger. À ce titre, nous rappelons que l’article 222-32 du Code Pénal signale que « L’exhibition sexuelle imposée à la vue d’autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d’un an d’emprisonnement et de 15000 euros d’amende. » Nous attendons des condamnations fermes et l’engagement ferme à poursuivre les auteurs bien connues de cette profanation, et l’interdiction de ce mouvement manifestement promoteur d’actions illégales.
Dans l’attente de vos réactions,
Le responsable des relations institutionnelles, Defensor Christi,
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Aymeric Chauprade : “Je crois que la France va s’en sortir”
24/10/2013 – 11h00
PARIS (NOVOpress) - Chronique du Choc des civilisations connaissant sa troisième édition (notamment actualisée), Novopress a rencontré son auteur, Aymeric Chauprade, un esprit brillant et non soumis au politiquement correct.Aymeric Chauprade, dans cette réédition de Chronique du Choc des civilisations, vous consacrez un large chapitre à la présentation de ce choc et de son importance pour l’histoire européenne. Pourtant, certains veulent nier l’existence de ce choc, considérant que c’est une création des réseaux néo-conservateurs étasuniens. Mais, à la suite de Carl Schmitt et de Julien Freund, ne peut-on pas reconnaître que ce n’est pas parce que nous refusons ce choc des civilisations qu’il n’existe pas. Ne peut-on pas affirmer ainsi que depuis les Thermopyles c’est un élément fondateur de la civilisation européenne ?
Le choc des civilisations est une réalité de l’Histoire même si, je le répète souvent, l’Histoire ne saurait se réduire au seul choc des civilisations. Notre civilisation, la civilisation européenne, est en compétition avec d’autres depuis des millénaires. Nous pouvons même dire qu’elle est en guerre depuis des millénaires si nous ne restreignons par le terme de guerre à l’idée d’affrontement militaire mais que nous y intégrons les intérêts économiques, stratégiques, l’affrontement des systèmes de normes, de valeurs…
Vouloir nier cette évidence, c’est rendre le choc des civilisations potentiellement plus violent encore. Il faut au contraire accepter l’évidence et s’employer à favoriser le dialogue des civilisations. Il n’y a pas d’incompatibilité à reconnaître le choc des civilisations et à œuvrer pour la paix des peuples. C’est en effet en acceptant l’existence des civilisations, leur droit à survivre, à se protéger contre l’utopie mondialiste qui cherche à les dissoudre pour former un village global gouverné par une oligarchie mondialisée, que l’on pourra créer les conditions de l’équilibre entre les civilisations. Pendant que les États-Unis et leurs affidés projettent leur puissance partout dans le monde, nos gouvernants endorment les peuples en Europe et leur font croire que la puissance est en arrière de l’histoire. Ce n’est évidemment pas le cas et l’affaire de l’espionnage américain en France, qui ne surprend que ceux qui ne veulent pas voir la réalité en face, est un nouvel avatar de cette guerre sournoise entre les peuples et les civilisations.
Pendant que les États-Unis et leurs affidés projettent leur puissance partout dans le monde, nos gouvernants endorment les peuples en Europe et leur font croire que la puissance est en arrière de l’histoire.
Quels sont les éléments nouveaux apparus entre la précédente édition de votre livre et l’actuelle ? La place qu’occupe désormais la Russie comme pendant à l’unipolarisme des États-Unis en est-il un ? Peut-on parler de l’action de Vladimir Poutine en Syrie quant aux armes chimiques comme d’une victoire de la Russie ?
Ce que je montre c’est essentiellement l’affrontement de plus en plus marqué entre deux tendances contradictoires : la tendance unipolaire, soutenue par les États-Unis, qui cherchent à globaliser le monde, et de l’autre côté, la tendance multipolaire, laquelle oppose au mondialisme un monde fondé sur l’équilibre entre les pôles de puissance. Cet atlas de géopolitique est l’histoire de cet affrontement, depuis l’effondrement du monde bipolaire en 1990. L’arrivée de Poutine, au début des années 2000, a sans doute été le tournant le plus important dans la géopolitique mondiale depuis la chute de l’URSS et la réunification de l’Allemagne. L’ouvrage va, selon moi, très au-delà des atlas que l’on trouve habituellement sur le marché : il montre qu’il y a une sorte d’intelligibilité de l’Histoire. Et derrière les crises qui se sont succédé depuis 1990, on perçoit notamment la trame d’un vaste plan stratégique américain. Cet atlas montre bien aussi que la géopolitique est la combinaison du fait identitaire et du fait économique, qui se cristallise autour de la quête des ressources.
C’est l’apanage des grands peuples, comme les Russes, mais aussi les Français, les Allemands ou les Britanniques, que de voir apparaître des personnages exceptionnels qui viennent les secouer, leur rappeler qu’ils sont appelés depuis des siècles à la grandeur.
Quant à Vladimir Poutine, il est l’incarnation de la supériorité stratégique et diplomatique de la Russie sur les puissances occidentales. Il apparaît comme l’antidote salutaire à ces dirigeants de l’immédiateté, du court-terme, quand ce n’est pas de la « courte-vue ». L’arrivée de ce personnage est une chance providentielle pour le peuple russe, menacé après la chute de l’URSS de tiers-mondisation. C’est l’apanage des grands peuples, comme les Russes, mais aussi les Français, les Allemands ou les Britanniques, que de voir apparaître des personnages exceptionnels qui viennent les secouer, leur rappeler qu’ils sont appelés depuis des siècles à la grandeur.
Dans vos derniers entretiens, vous accordez une place importante à la question migratoire, notamment à ce que Renaud Camus et beaucoup à sa suite nomment le Grand Remplacement. Considérez-vous que la place de la France et de l’Europe dans le monde va être durablement et profondément affectée par ce phénomène ? Peut-on voir l’action des États-Unis et du Qatar au sein des populations immigrés en France comme l’une des explications de l’évolution belliciste de notre pays au Proche-Orient ?
Il est incontestable que la dynamique d’immigration extra-européenne est en train de se traduire en France par le remplacement des populations de souche française et plus largement européenne par des populations non européennes. A noter que les Français de nos territoires d’Outre-Mer, bien que n’étant pas de souche européenne, sont des Français à part entière et que j’ai, à leur endroit, une affection toute particulière. Je tiens beaucoup à l’Outre-Mer français qui participe de l’identité française au même titre que la métropole et qui contribue à faire de la France une puissance de dimension mondiale. Ces Français sont eux-mêmes soumis dans leur zone géographique à une pression migratoire forte et subissent aussi les conséquences de la dérégulation migratoire.
Pour revenir au territoire européen de la France, les statistiques de l’Ined sont implacables quant à l’augmentation de la proportion d’origine extra-européenne dans la part des nationaux. Le grand remplacement ethnique n’est donc pas une illusion, un fantasme comme veut le faire croire l’idéologue Hervé Le Bras, auquel il faut opposer les travaux de démographes sérieux comme Gérard-François Dumont, Philippe Bourcier de Carbon ou Michèle Tribalat. Ce grand remplacement, qui inquiète des penseurs aussi différents que Richard Millet, Renaud Camus ou Alain Finkielkraut, est une réalité mathématique. A cela s’ajoute un phénomène de multiculturalisme car l’assimilation des populations extra-européennes ne se fait plus. Elle pouvait se faire à petite dose, elle ne saurait se faire à haute dose. C’est volontairement que je n’utilise pas le terme intégration, car il ne veut rien dire. Il n’y a en réalité que trois modèles possibles : le refus de l’immigration et la conservation de l’identité ethnique, modèle qui est celui de la plupart des pays du monde, du Japon, de la Chine, de la Russie, d’Israël, des pays arabes, jusqu’à la Côte d’Ivoire qui a explosé autour du concept d’ivoirité… ; l’assimilation, qui veut qu’un pays multi-ethnique peut être viable à la condition d’être mono-culturel, c’est-à-dire homogène culturellement ; le modèle multi-ethnique et multiculturel qui est en réalité celui vers lequel nous dérivons de manière tragique.
Ma position est pragmatique. Je pense qu’il faut s’efforcer de défendre le premier modèle, ce qui revient à créer les conditions du départ d’un grand nombre d’immigrés extra-européens n’ayant pas vocation à rester sur notre territoire, tout en assimilant la composante de l’immigration qui est assimilable, sur le critère premier du mérite, c’est-à-dire des efforts qui ont été faits par ces immigrés pour s’assimiler à la civilisation française (comme par exemple la maîtrise de la langue française, la francisation des noms, l’adhésion à la culture française…) et ce qu’ils apportent à notre peuple en terme de prospérité et d’innovation.
Il est évident qu’il est plus confortable du point de vue de notre “opinion publique” musulmane de soutenir des Arabes sunnites que des Perses chiites et des Arabes alaouites et chrétiens!
Quant à savoir si la question identitaire intérieure affecte notre position internationale, la réponse est sans conteste oui. D’abord parce que beaucoup de pays, en Asie en particulier, mais aussi en Amérique Latine, ne croient pas à l’avenir d’un pays repeuplé par des populations venues d’Afrique et ne comprennent pas la faiblesse des Français face à la dynamique d’islamisation. Je peux en témoigner : j’évoque ce sujet avec des décideurs politiques et économiques de haut-niveau en Corée du Sud, en Chine, en Argentine, en Russie… Et mes interlocuteurs ne comprennent pas le suicide identitaire de la France. Deuxièmement parce qu’il est devenu évident que le poids de la communauté musulmane française, ses connections avec certains pays du Golfe, sont devenus un paramètre pris en compte dans nos décisions de politique étrangère. L’exemple de l’axe Syrie/Iran, axe chiite auquel s’oppose un axe sunnite radical soutenu par les monarchies sunnites du Golfe est, à cet égard, très parlant. Il est évident qu’il est plus confortable du point de vue de notre “opinion publique” musulmane de soutenir des Arabes sunnites que des Perses chiites et des Arabes alaouites et chrétiens! En même temps, nous nous retrouvons dans cette position schizophrénique où nos services extérieurs aident la rébellion islamiste sunnite en Syrie tandis que nos services intérieurs doivent suivre à la trace les Français de papier qui quittent notre sol pour aller faire le djihad en Syrie… Je pense que deux choses expliquent principalement les options de la politique étrangère de la France : d’une part la puissance de l’atlantisme au sein de nos élites gouvernantes, d’autre part la prise en compte croissante du poids des musulmans dans notre société, et donc aussi dans notre armée.
Vous vous engagez donc officiellement au sein d’un parti politique. Parti politique dont le discours en politique étrangère va à-rebours du discours officiel. Est-ce l’acte fort que vous évoquiez comme réponse au suicide de Dominique Venner ? Est-ce indiquer que les questions de géopolitique et de puissance sont des questions politiques essentielles ?
J’ai décidé de joindre la parole aux actes et de soutenir Marine Le Pen car je trouve qu’elle mène un combat extrêmement courageux qui vise à rendre aux Français leur souveraineté, donc la maîtrise de leur destin. Je n’ai pas choisi de le faire comme réponse à une mort volontaire, geste fort choisi par un homme arrivé au crépuscule de sa vie. Ce geste m’a frappé, d’autant plus que Dominique Venner était un ami et qu’il est aussi un historien que je respecte beaucoup. En ce qui me concerne, je suis catholique, j’ai l’espérance et je cherche à la transmettre à mes enfants. J’ai profondément ancrée en moi la conviction qu’au pays de Jeanne d’Arc, lorsque tout paraît compromis, tout redevient possible ! Ce qui se passe en France, ces signes de réveil, confortent mon optimisme. Je crois que la France va s’en sortir et qu’elle va surprendre le monde en portant au pouvoir un vrai gouvernement de rupture.
Pour continuer sur cet engagement politique, vous développez un discours « alter-européen » (oui à un projet européen respectueux des nations, oui à un axe Paris-Berlin-Moscou, non à l’Europe de Bruxelles). Comptez-vous diffusez ce discours lors des prochaines élections européennes ? Et si oui par quels biais (médias, colloques, contributions, etc.) Vous avez appelé lors de votre discours à l’UdT du Front national à une sorte d’union sacrée. Le fait de partager cette vision alter-européenne peut-il en faire partie ?
Oui, Paris-Berlin-Moscou est la vision de l’Europe que j’entends porter ! Je crois en l’idée européenne même si je pense que l’horizon de la France va au-delà de l’Europe et que nous avons une vocation à compter dans le monde. Mais j’entends participer au recouvrement par la France de toutes ses capacités de décision. L’avenir de la France n’est ni dans l’OTAN, ni dans le processus de construction européenne actuel qui est le contraire d’une Europe-puissance. S’il m’est permis de donner de la voix au moment des élections européennes, c’est ce discours d’une France libérée dans une nouvelle Europe puissance que j’entends bien porter. Mais pour cela, le recouvrement de la souveraineté est un préalable nécessaire car la souveraineté, c’est la liberté des choix géopolitiques, économiques, monétaires, juridiques, identitaires… C’est la clé absolue, qu’il va falloir aller chercher au fond des urnes. Seul un vote franc et massif donnera la légitimité pour opérer des choix forts. Croyez en mon regard de politologue, l’Histoire n’est pas linéaire : les courbes historiques connaissent parfois des accélérations formidables.
L’avenir de la France n’est ni dans l’OTAN, ni dans le processus de construction européenne actuel qui est le contraire d’une Europe-puissance.
Propos reccueillis par Arnaud Naudin
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Suivre Aymeric Chauprade sur Facebook et sur TwitterPublié le 24 octobre 2013 - Modifié le 24 octobre 2013 -
Parlement européen : le FN veut son groupe
- Publié le : jeudi 24 octobre 2013
- Source : lefigaro.fr
Pendant que les flux migratoires en Méditerranée occupaient les parlementaires européens, Marine Le Pen a annoncé mercredi à Strasbourg son intention de créer un nouveau groupe politique au Parlement européen.
« Non inscrits, nous ne pouvons pas déposer d’amendements, explique la présidente du Front national. Il est donc très important de constituer un groupe politique après les futures élections européennes pour pouvoir peser plus fortement sur le débat et défendre plus efficacement les idées qui sont les nôtres. »
Durant une conférence de presse organisée en présence de l’eurodéputé autrichien Franz Obermayr (FPÖ), président de l’Alliance européenne pour la liberté dont elle est la vice-présidente, Marine Le Pen a défendu l’idée d’une coopération entre les nations « tout en respectant leurs intérêts ».
Les « seules victoires » de l’Europe, selon elle, ne seraient pas des « projets de l’Union européenne » mais des réussites telles qu’Airbus ou Ariane, portées par des « nations » réunies « parce qu’elles y avaient un intérêt ».
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