Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 7

  • Journal de Bord de Jean-Marie Le Pen n° 345

    A écouter jusqu'au bout!

  • Installée dans une gare, une crèche de Noël dérange un usager sourcilleux

    PHOa021bd10-6981-11e3-a387-7b2df0142f29-805x453.jpg

    Un usager s'est plaint de la présence d'une scène de la nativité devant le guichet de la gare de Villefranche-de-Rouergue, dans l'Aveyron. Les cheminots, qui installent cette crèche chaque année depuis dix ans, sont en colère. La SNCF va organiser un débat.

     

     

    C'est une question épineuse et d'actualité à l'approche des fêtes: une crèche de Noël installée dans une gare porte-t-elle atteinte au principe de laïcité dans les lieux publics? La question a bouleversé la quiétude de la gare de Villefranche-de-Rouergue, dans l'Aveyron. Un usager s'est plaint par courriel à la direction régionale de la SNCF de la présence visible d'une scène de la nativité exposée derrière un guichet. Il a expliqué se sentir offusqué «de voir un signe religieux ostensible dans un lieu public». La SNCF envoie une note aux cheminots qui prennent mal cette remise en cause, et alertent la presse.

    La crèche est alors temporairement dissimulée sous une bâche et, sur la vitre, une affichette explique: «Suite à la plainte d'un client, nous ne pouvons laisser exposer la crèche. Crèche que la gare de Villefranche met en exposition depuis dix ans!!». Les employés, attachés à cette tradition, ont du mal à comprendre la polémique actuelle. Ils n'ont jusqu'à cette année reçu aucune plainte. «Cela fait dix ans que nous avons l'habitude d'installer une crèche sur l'un de nos comptoirs. Nous ne voyons pas pourquoi cela changerait!», déplorait l'un d'entre eux dans le quotidien Centre Presse . Un autre confiait sibyllin au journal: «Le pire, c'est que nous savons de qui provient cette plainte».

    «Une tradition importante pour les agents»

    Face au retentissement de l'affaire, la direction de la SNCF a voulu dédramatiser. Réfutant avoir demandé aux agents de retirer la crèche, elle a récusé le terme de «plainte». Mais, avec l'interrogation du voyageur sourcilleux, l'usage observé de longue date va donner lieu cette année à un «dialogue» entre les agents de la gare et leur hiérarchie sur la laïcité et la neutralité au sein de la SNCF, a-t-elle annoncé.

    L'affichette a été retirée et la crèche est redevenue visible. Le directeur de la communication de la direction régionale, Philippe Blanquart, a souligné que la crèche était toujours là, et a insisté sur la dimension «locale» de l'initiative des agents et du «dialogue» qu'il va susciter. «La crèche est un signe religieux mais, autour de Noël, c'est aussi une tradition importante pour les agents, on trouve des crèches dans beaucoup d'espaces publics», a-t-il observé, «mais à la SNCF, comme dans toutes les sociétés, les questions de laïcité se posent, c'est pourquoi on a questionné notre direction de l'éthique».

    Le comité d'éthique de la SNCF, qui traite toutes les questions d'éthique au sein du groupe, n'a pas répondu spécifiquement puisqu'il avait déjà émis en décembre, sans rapport avec Noël ou la crèche villefranchoise, un avis réaffirmant les principes de laïcité et de neutralité de l'entreprise. Les avis du comité aident les managers devant les situations liées aux convictions religieuses et c'est sur leur fondement que les agents villefranchois et leurs supérieurs vont dialoguer «dans les jours ou les semaines qui viennent», a-t-il dit.

    Le Figaro - 20 12 13

  • Gérard Darmon et France Télévisions condamnés pour avoir insulté Gilbert Collard

    3427665_darmon-new_640x280.jpg

    Le comédien a été condamné vendredi à 500 euros d'amende avec sursis pour avoir qualifié l' Gilbert Collard de «petit con». En revanche, il a été relaxé pour avoir dit que Gilbert Collard était «légèrement à la droite d'Hitler au niveau des idées».

     

     

     



    Dans l'émission «On n'est pas couché», diffusée le 24 septembre 2011 sur 2, Gérard Darmon avait commenté une photo du futur candidat à la mairie de Saint-Gilles (Gard), qui venait de se lancer en politique aux côtés de Marine Le Pen.

    Les juges de la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris ont estimé que «le caractère très manifestement outrancier» de l'expression «légèrement à la droite d'Hitler au niveau de ses idées», «conduit le téléspectateur à ne pas la considérer littéralement mais comme la manifestation de la détestation extrême par Gérard Darmon des idées qu'il prête à Gilbert Collard».

    Même amende pour le PDG de France Télévisions

    «Le principe de la liberté d'expression s'oppose à ce que son caractère injurieux soit retenu, à la fois parce que l'exagération démesurée qu'elle renferme la prive de tout sérieux aux yeux des téléspectateurs et que le principe même de cette outrance polémique doit être admis dans le contexte politique» rappelé précédemment, selon le tribunal. 

    Le tribunal a en revanche condamné l'emploi de l'expression «C'est un petit con».

    Mais tenant compte de la réponse de Me Collard qui, sur RMC, avait dit «d'abord il me traite de petit con, quand ça vient d'un grand con ça fait proportion», puis «je n'ai pas à me faire insulter par des bobos qui n'ont rien prouvé dans leur vie sinon qu'ils sont des seconds rôles de merde», le tribunal a condamné solidairement Gérard Darmon et le PDG de France Télévisions à verser un euro de dommages et intérêts à Gilbert Collard. Rémy Pflimlin a été condamné à 500 euros d'amende, en tant que directeur de la publication. 

     

    LeParisien.fr  20 12 13

  • Marc-Olivier Fogiel s'est marié

    3426631_1_545x341.jpg

      

    Le journaliste et animateur de RTL, Marc-Olivier Fogiel, s’est marié avec son compagnon, François Roelands, samedi dernier à la mairie du IVe arrondissement de , révèle l’hebdomadaire people « Ici Paris ». C’est qui a célébré leur union. Les deux hommes sont les heureux parents de deux petites filles, Mila et Lily. , Marc Lavoine et Mireille Dumas faisaient partie des invités.

    La Parisienne

  • Leçon de quenelle appliquée par Bruno Gollnisch


    La "quenelle" de Bruno Gollnisch par FNRhoneAlpes

     

    Assemblée plénière de la région Rhône-Alpes, 19 décembre 2013


     

     

     
     
     

     

     

  • Jean-Marie Le Pen condamné pour des propos sur les Roms

     

    Jean Marie Le Pen : les Roms volent comme des... par forsee

    Le président d'honneur du Front national devra s'acquitter d'une amende de 5000 euros d'amende. Il avait expliqué que les Roms, «comme les oiseaux», voleraient «naturellement».

     
     

    Le tribunal correctionnel de Paris a déclaré jeudi Jean-Marie Le Pen coupable d'injure publique envers un groupe de personnes en raison de son appartenance à une ethnie. Le parquet avait requis deux mois de prison avec sursis et 10.000 euros d'amende contre l'ancien leader frontiste, âgé de 85 ans.

    Le 22 septembre 2012, à l'université d'été du Front national à La Baule (Loire-Atlantique), l'ex-leader du FN avait enchaîné les déclarations sur l'immigration, parlant de «torrents migratoires», «marée», «immigration-invasion», sous les yeux de sa fille Marine.

    Moquant les Roms, il avait suscité rires et applaudissements nourris en leur attribuant la phrase: «Nous, nous sommes comme les oiseaux, nous volons naturellement».

    Pour le parquet comme pour les associations antiracistes, il s'agissait sans conteste d'une injure à caractère racial, tandis que l'avocat du président d'honneur, Me Wallerand de Saint-Just, avait plaidé la relaxe, soutenant que son client faisait de l'humour.

    En juillet dernier, il avait également dénoncé la présence «urticante et odorante» des Roms, lors d'une visite à Nice.

    Le Figaro - 19 12 13

  • Douze mamans jeunes diplômées récompensées par Najat Vallaud Belkacem

    3424805_11-0-3939711744.jpg mamans diplômées.jpg

                                                                                                                                  

    Hind, Revathy, Aïcha, Marlène et leurs huit autres camarades du programme « La beauté vient de nos quartiers» ont reçu ce jeudi matin un diplôme, au ministère des Droits des femmes à , des mains de la ministre et porte-parole du Najat Vallaud-Belkacem. Le document sanctionne la fin de leur formation accélérée au CAP de cosmétique et esthétique. Neuf des 12 jeunes femmes l’ont décroché.

     
     

    Plusieurs ont trouvé un en CDD depuis. D’autres s’apprêtent à monter leur petite affaire. Un véritable parcours de reconversion pour ces valdoisiennes de 25 à 56 ans, rendu possible par un partenariat entre la Préfecture du Val-d’Oise, le géant de la cosmétique, Sisley, et la chambre de métiers du Val-d’Oise qui ont formé en alternance ces femmes, pour la plupart mères de famille qui s’étaient éloignées de l’emploi.

     

    «Cette aventure à forte dimension humaine donne de l’espoir, estime Najat Vallaud-Belkacem, et fait la preuve que partenaires publics et privés peuvent travailler ensemble pour la réinsertion professionnelle des femmes.»

     

  • Shi Zhaokun et le lapin de jade

     

    Et ce n’est même pas un conte de Noël

    Publié le 18 décembre 2013 à 18:00 dans Monde

     

    lapin jade chine lune

    Le 14 décembre, Lapin de jade alunissait. Si l’on en croit certaines traductions, et on préférerait croire celles-là,  on peut aussi l’appeler Lièvre de la lune. C’est tout de même plus joli. Mais allons-y pour Lapin de jade, puisque cette appellation a été consacrée par les médias. Lapin de jade est un véhicule d’exploration lunaire téléguidé qui a été transporté par la sonde Chang’e 3. C’est une sorte de véhicule tout-terrain à six roues, avec de l’électronique et des panneaux solaires. Beau comme un jouet de Noël. Pendant trois mois, il va faire toutes sortes d’analyses géologiques en se déplaçant à la vitesse de 200 mètres à l’heure. Il pourra même envoyer des images en trois dimensions de la Lune et capter son énergie grâce à des panneaux solaires. Ce succès chinois, après celui des taikonautes dans leur station spatiale, se veut une étape supplémentaire vers l’envoi d’hommes sur la Lune.

    Les Chinois sont les derniers à y croire, à ce rêve spatial qui enchanta mon enfance et celle de tous les enfants des Trente glorieuses, depuis un jour de 1969 où petit garçon sur les épaules de mon père, je me suis endormi devant l’écran noir et blanc du bistrot d’en bas qui était le seul à disposer de la télé dans le quartier. Bien sûr, nous ne sommes pas naïfs, il y a toujours eu des enjeux de pouvoirs dans la conquête spatiale. La Chine ne fait que rejouer seule le grand match URSS-USA une génération plus tard. Il s’agit de montrer sa supériorité technologique et son ambition cosmique, sa vitalité prométhéenne et sa foi en une humanité appelée à régner sur les galaxies. C’est aussi, pour le Parti Communiste Chinois qui y consacre des milliards de yuans, le moyen de prouver son génie idéologique à tout un peuple, et pourquoi pas au monde entier, en plantant un de ces jours, au clair de la Terre, le drapeau rouge du président Mao dans la Mer de la Tranquillité.

    Mais, malgré ces considérations, on aurait pu reconnaître que ça avait de la gueule et voir dans Lapin de Jade le symbole d’une humanité, chinoise ou pas, qui continue à rêver, qui refuse un repli malthusien et hargneux sur elle-même, en s’enfonçant dans le virtuel et en remisant ses navettes et ses fusées dans ces hangars où rouillent les illusions perdues et les machines obsolètes.

    Et pourtant, pourtant, cela va m’être difficile de rêver si je pense à Shi Zaokun. Shi Zaokun est mort à quinze ans. Je pense que, comme tous les adolescents de quinze ans, comme je l’étais moi-même à son âge, il était « un enfant amoureux de cartes et d’estampes », les yeux perdus dans les étoiles. Peut-être même avait-il lu Jules Verne qui est traduit en chinois simplifié. Quoique, sur ce dernier point, j’en doute. Il n’aura sans doute pas eu le temps. Il faut dire qu’il est mort le 9 octobre dernier. Il n’aura donc pas eu le temps non plus de voir Lapin de Jade faire ses premiers tours de chenille. En fait, il n’a pas eu le temps de grand chose, Shi Zaokoun comme nous l’apprend l’organisation non gouvernementale (et pour cause) China Labor Watch.

    Il a été embauché en septembre sur les chaînes de production de l’Iphone 5G de l’usine Pegatron de Shanghai. On peut consulter ses horaires de travail, c’est intéressant. Pendant les trois semaines où il a travaillé, Shi Zaokun a eu des journées qui dépassaient les 12 heures en moyenne. C’est tout de suite beaucoup plus pratique quand on n’a pas de code du travail pour venir vous embêter, ni d’inspecteurs qui vont avec.

    On meurt beaucoup chez Pegatron, ces temps-ci, à manipuler des produits chimiques pour fabriquer des composants indispensables aux jolies petites machines d’Apple qui a enfin trouvé avec la Chine, malgré ses promesses  citoyennes, l’eldorado de la sous-traitance façon esclavage. Pas de syndicats, pas de formation et des visites médicales au moment de l’embauche particulièrement coulantes. Cinq décès suspects depuis septembre. Oui, quand même… Shi Zaokun avait lui été jugé en excellente santé. Il est donc mort en excellente santé d’une pneumonie, un mois après son recrutement.

    Les dirigeants chinois ont très bien compris l’espace. Ils ont très bien compris aussi que la libre entreprise la plus échevelée avait trouvé dans le totalitarisme stalinien son cadre idéal. Ils sont moins naïfs que nos économistes occidentaux qui nous répètent à longueur de journée que le capitalisme, ça ne peut aller de pair qu’avec la liberté politique. Vous irez raconter ça au fantôme de Shi Zaokun, ça le fera sourire.

    C’est dommage qu’il n’ait pas tenu quelques semaines de plus, d’ailleurs. Dans la mythologie chinoise, Lapin de jade est une divinité apothicaire qui pile dans un mortier un élixir d’immortalité. Cela aurait été de toute façon un moyen plus sûr de le sauver que de compter sur les promesses d’Apple.

    Ou sur notre mauvaise conscience de consommateur.

    *Photo : euronews.

    Jérôme LEROY

    Ecrivain et rédacteur en chef culture de Causeur

    CAUSEUR.fr

  • Le Top 20 des personnalités les plus détestées des Français

    4456918-nabilla-est-la-personnalite-la-plus-620x345-1.jpg

     

    Voici et Harris Interactive ont établi le palmarès des personnalités les plus détestées des Français. Un classement dominé par...

     

              
    Nabilla est la personnalité la plus détestée par les Français
                  
     
     

     

    C'est une habitude. Deux fois par an, le Journal du Dimanche publie son palmarès des personnalités préférées des Français. Lors de la dernière vague, c'est le chanteur Jean-Jacques Goldman qui a raflé la mise. Mais à l'occasion de la sortie d'un hors série sur les casseroles de stars, en kiosques vendredi, le magazine Voici a réalisé une enquête avec Harris Interactive (faite en ligne, du 29 au 31 octobre, sur un échantillon de 1000 individus représentatif de personnes de 15 ans et plus résidant en France) sur les personnalités que les Français... détestent !

     

    Et la personnalité qui arrive en tête de ce classement est l'une de celles qui a fait couler le plus d'encre ces derniers mois : Nabilla ! La jeune femme sulfureuse, qui a fait le buzz avec son "Allo ! Non mais allo !" depuis déposé à l'INPI et qui lui a permis de sortir un livre et d'avoir sa propre télé-réalité sur NRJ 12 - qui n'a pas trouvé son public -, a été choisie par 62% des sondés. Elle est toutefois talonnée par Zahia, l'ex-escort girl reconvertie dans la mode qui, malgré sa discrétion, n'a pas plu à 61% des personnes interrogées. Le footballeur Franck Ribéry, souvent décrié, se retrouve sur la troisième marche du podium (53%).

     

    La politique est également très présente avec François Hollande, quatrième (47%) devant Nicolas Sarkozy, sixième (37%). Entre deux, Valérie Trierweiler, la compagne de l'actuel Président de la République, qui décroche elle 42% de mauvais suffrages. Du côté des animateurs, Benjamin Castaldi est en tête avec 31% des voix, devant Arthur (29%) et Roselyne Bachelot (27%). Enora Malagré détient elle 24% de mauvaises opinions, soit un point de moins que Nicolas Bedos.

     

    Les 20 personnalités les plus détestées des Français

    Enquête Voici/Harris Interactive

     

    1. Nabilla (62%)

    2. Zahia (61%)

    3. Franck Ribéry (53%)

    4. François Hollande (47%)

    5. Valérie Trierweiler (42%)

    6. Nicolas Sarkozy (37%)

    7. Alain Delon (32%)

    8. Benjamin Castaldi (31%)

    9. Arthur (29%)

    9. Gérard Depardieu (29%)

    11. Roselyne Bachelot (27%)

    11. Carla Bruni (27%)

    13. Jamel Debbouze (26%)

    14. Nicolas Bedos (25%)

    15. Enora Malagré (24%)

    16. Audrey Pulvar (19%)

    16. Léa Seydoux (19%)

    16. Laurent Ruquier (19%)

    16. Yannick Noah (19%)

    20. Jenifer (18%)

     

    pure médias - 18 12 13

  • Humour

    1002788.jpg

  • Un Français sur cinq a peur dans son quartier

    Cliquez: http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/12/18/01016-20131218ARTFIG00535-le-sentiment-d-insecurite-n-a-jamais-ete-aussi-fort-depuis-sept-ans.php

    Selon la dernière enquête de l'Insee, le sentiment d'insécurité n'a jamais été aussi fort depuis sept ans.

  • Agatha Christie, « la plus belle enquête »

     

    Agatha Christie, « la plus belle enquête » - Une biographie merveilleusement incorrecte de Camille Galic

    Une biographie merveilleusement incorrecte de Camille Galic



    Jean Ansar
    le 17/12/2013
    L’excellente collection «  Qui suis-je ?» des éditions Pardés, qui aux côtés de la collection BA- BA  conforte une approche encyclopédique non conformiste thématique et biographique, vient de s’enrichir d’un titre qui fera date, l’Agatha Christie de Camille Galic. « L’indétrônable impératrice du crime » a trouvé en fait sa biographe sœur. En effet il y a bien des points communs entre «  la duchesse de la mort » et la grande dame de la presse qu’est Camille Galic.

    Cette dernière a toujours traité l’actualité comme on mène une enquête. Elle a toujours cherché la vérité derrière les apparences et le vrai criminel derrière la présentation officielle. Un style impeccable, une plume affinée comme un  scalpel, Camille Galic a été la référence d’un journalisme de l’investigation de l’intelligence, la référence des journalistes de combat, et elle continue à exercer ses talents sur le site Polémia qui dénonce avec force et pertinence le « totalitarisme médiatique ».

    On peut facilement l’imaginer d’ailleurs, dégustant un thé aux côtés d’Agatha dans un lodge de cette Rhodésie où « les anglais étaient heureux » devisant autour d’une intrigue  de la fin annoncée d’un certain ordre du monde. Comme Agatha, Galic analyse avec un esprit  de déduction rationaliste les passions humaines criminelles ou politiques. C’est ce qui fait de cette biographie, une biographie de référence, classique dans la forme mais à jamais unique dans le fond. Elle va au delà de l’œuvre, elle dévoile les secrets de la pensée d Agatha. Alors bien sûr il y a tout, sa vie privée, ses maris, sa disparition mystérieuse, un événement people parmi les premiers médiatisés, ses livres bien sûr, sa passion pour l’archéologie, ses enquêteurs Miss Marple ou Hercule Poirot, son théâtre, etc.

    Agatha Christie est en effet, l'un des écrivains les plus connus au monde si l'on considère le nombre de langues dans lesquelles son œuvre a été traduite (plus de 7 135 traductions, ce qui en fait l'auteur le plus traduit en langues étrangères selon l'Index Translationum), et l'importance des tirages de ses romans qui en fait la romancière la plus vendue au monde selon le Livre Guinness des records

    Agatha Christie a écrit 67 romans (dont 6 romances sous le pseudonyme de Mary Westmacott qui correspond à ses écrits les plus personnels), 190 nouvelles réunies en une quinzaine de recueils, 18 pièces de théâtre (+ 5 adaptations par d'autres auteurs), quelques poèmes et une autobiographie. Une grande partie de ses romans et nouvelles a été adaptée au cinéma ou à la télévision (20 films et plus de 100 téléfilms ,en particulier Le Crime de l'Orient-Express, Dix petits nègres, Mort sur le Nil et Le Train de 16 h 50. La BBC a également produit des téléfilms et des émissions radiophoniques de la plupart des histoires qui mettent en scène Hercule Poirot et Miss Marple. L'une de ses pièces de théâtre, The Mouse Trap (La Souricière), a été présentée pour la première fois à Londres en 1952 au St Martin's Theatre, et détient, depuis, le record de la pièce jouée le plus longtemps sans interruption.

    Le 3 décembre 1926, très affectée par la mort de sa mère et l'infidélité de son mari (amoureux de Nancy Neele, dactylo dans la compagnie d'assurance pour laquelle il travaille, il lui a annoncé son intention de divorcer), Agatha Christie disparaît. Le lendemain, la police retrouve sa voiture, abandonnée près de l'étang de Silent Pool. La presse britannique s'empare alors de l'affaire : suicide d'une femme délaissée, meurtre commandité par son époux voulant retrouver sa liberté, coup de publicité d'une romancière voulant renforcer le succès de ses livres...Les hypothèses ne manquent pas. Elle est retrouvée douze jours plus tard dans le Swan Hydropathic Hotel, hôtel de la station balnéaire, ayant tout oublié. Agatha devait  en retirer à jamais une aversion pour la presse, une crainte panique des journalistes et de la foule telle «  un renard traqué dans son terrier par une meute de chiens hurlant sans cesse à ses trousses ». Elle avait bien décrit la chasse à cour médiatique, avant l’heure.

    Dans cette biographie de Camille Galic, on est aux sources des inspirations de l’auteur et on a les explications pour tout comprendre de son œuvre restituée magistralement dans sa diversité.
    Mais il y a plus, bien plus. Derrière une petite jeune fille à la jeunesse dorée d’un autre temps, jusqu’à l’écrivain  britannique la plus connue au monde et anoblie par la reine, il y a une vision du monde qui, pour les tenants du politiquement correct, la classerait dans les vielles dames indignes. Galic a su le comprendre et le révéler.

    Agatha est une suprématiste anglaise. Traditionaliste mais libre, femme la plus connue du monde mais anti féministe, elle est une femme de velours au mental de fer. Elle est un produit de la fierté impériale d’un pays qui devait gouverner le monde. Elle éprouvera pour le nazisme une fascination-répulsion  partagée par bien  plus d’Anglais que la version  officielle de l’histoire ne le laisse entendre. C’est un volcan maitrisé cette femme… une criminelle née devenue enquêtrice pour peut-être dominer ses pulsions.


    Agatha n’a pas toujours été une vieille lady, elle a été une femme  amoureuse, jalouse et exceptionnelle. Cela, on le retrouve dans ses romans. Elle n’a aucun complexe du colonisateur bien au contraire. Elle met l’anglais au sommet de la chaîne de la civilisation. On tente maintenant de dénaturer parfois son œuvre dans des adaptations pour la faire coller avec le monde d’aujourd’hui, qu’elle aurait méprisé au-delà de l’imaginable. Quand on pense que son livre le plus connu «  Les 10 petits nègres »  a vu son  titre changé en « S’il n'en restait qu’un »  on voit en effet qu’il ne reste pas grand-chose de l’univers qui a inspiré Agatha ni de ses valeurs hiérarchisées, un univers où la cruauté et le crime cheminent avec la classe en habits de soirées, où l’on tue en restant un gentleman et une lady dans la fierté de l’empire. La gentry n’est jamais bien loin, l’exotisme non  plus, ni l’insolite. L’échec de son premier mariage et la passion réussie avec son second mari font croire qu’un long calme a succédé à une tempête, mais cette biographie montre que  l’on peut être l’image de la dignité en étant une rebelle jamais vraiment apaisée.

    C’est une criminelle de papier qui reste d’actualité, jamais démodée, un style qui ne prend pas d'âge tout en nous parlant d’un autre monde ou les choses étaient à leurs vraies places, même les armes du crime. Il y avait de l’aventurière dans cette femme des salons « cosis » bien ordonnés. Ses voyages, sa passion de l’archéologie en sont des exemples frappants. Avant Indiana Jones, il y eut «  Meurtre en Mésopotamie » et « La mort n’est pas une fin », une curiosité  d’enquête historique qui nous a donné la passion des romans historiques dans l’Egypte antique.

    Demain l’œuvre d’Agatha sera sans doute récupérée et transformée dans des adaptions  couleur de notre époque. La récupération chemine avec la trahison. Heureusement il restera ce «  Qui suis-je  » de Camille Galic pour ceux qui  veulent connaître la vraie personnalité à travers l’œuvre incomparable de l’indétrônable Agatha Christie. Toute vie est une intrigue, toute biographie est une enquête et celle de Camille Galic  est fidèle à la lettre et surtout à l’esprit  de la Kipling du crime.

    Agatha Christie de Camille Galic, Editions Pardès, Collection "Qui suis-je ?"
     
    METAMAG
  • Les sources des blogueurs ne seront pas protégées. Parce que. C’est tout.

     

    Il y a quelques jours, les députés étaient amenés à s’exprimer sur la protection des sources d’information pour les blogueurs. Il leur était proposé d’étendre la protection qui s’applique aux sources des journalistes à celles des blogueurs. Bien évidemment, les parlementaires ont refusé.

    Chose intéressante : la Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme (CNCDH) avait étudié la question et rendu un avis assez clair au sujet de ces sources en estimant que la protection dont bénéficient les sources des journalistes méritait largement d’être étendue aux sources des blogueurs et même, en toute bonne logique, aux sources de n’importe quel citoyen. Pour rappel, il s’agit ici de cette protection qui permet aux journalistes de ne pas dévoiler leurs sources et donc de leur permettre de conserver leur anonymat. Cette protection n’a évidemment jamais été un blanc-seing pour que n’importe qui puisse dire n’importe quoi : les informations révélées dans ce cadre doivent être vérifiées et les allégations portées doivent pouvoir être prouvées.

    Autrement dit, même si les sources sont protégées, les informations sont toujours placées sous l’entière responsabilité du journaliste. Ce qui veut aussi dire que, par exemple, aussi secrètes soient les sources d’Edwy Plenel de Mediapartil devra s’expliquer et prouver l’authenticité des documents qu’il a rassemblés dans le cadre de ses articles qui visaient à montrer que Sarkozy aurait eu des financements libyens pour sa campagne électorale.

    La proposition de loi consistait donc ici à étendre la protection des sources journalistiques en englobant les blogueurs et, éventuellement, les citoyens en général, dans la démarche. Et on comprend que cette protection peut avoir un effet bénéfique sur la liberté d’expression : quelle liberté d’information peut-il exister lorsque ceux qui savent ne disent rien par peur des pressions, répercussions et autres rétorsions ? Dans les pays où les lanceurs d’alerte sont pourchassés et classés dans les traîtres, le fait de prendre la parole est un acte de courage majeur. Dans les pays où les sources n’ont aucune protection, celui qui diffuse des données sensibles peut fort bien marquer d’une cible ceux qui lui auront donné ces informations. On comprend l’importance vitale de cette protection des sources, et ce, indépendamment de la nature de celui qui diffuse l’information, fut-il journaliste, blogueur ou simple citoyen. En effet et, comme le relevait Numérama début décembre, Pour la Commission Consultative,

    « Protéger le secret de sources des journalistes ne tient pas à la nécessité de défendre un intérêt corporatiste des journalistes : c’est une garantie essentielle pour le fonctionnement de notre démocratie.(…) Dans la mesure où il contribue à l’information du public, le droit à la protection du secret des sources doit être reconnu à tous : aussi bien aux journalistes qu’à toute personne publiant des informations à titre simplement occasionnel. La limitation dans son principe-même du droit au secret des sources aux journalistes professionnels apparaît inadaptée et injustifiée. »

    Pour éviter qu’on voie dans ce genre de proposition la porte ouverte à toutes les fenêtres à tous les dérapages, canulars et autres rumeurs sulfureuses, la Commission rappelait d’ailleurs que toute personne qui publie des informations est tenue de s’assurer de leur véracité et en tout cas de leur sérieux, et de le prouver, le cas échéant, devant un tribunal. C’est on ne peut plus clair.

    Heureusement et comme prévu, les députés n’ont probablement ni lu ni compris les recommandations de la Commission et ont donc refusé l’extension de la protection en question. Les raisons, cependant, méritent qu’on s’y attarde tant elles illustrent le niveau général de réflexion de nos élus (qui, je vous le rappelle, sont payés avec vos impôts, ce qui ne rassure pas du tout) ; en plus, ça tombe bien, on a le détail des débats en ligne. Profitons-en.

    Les sources des blogueurs ne seront pas protégées. Parce que. C’est tout.

    Ainsi, pour le député UMP Michel Herbillon, il ne faut pas étendre la protection aux blogueurs car « Nous sommes ici pour établir un texte de loi, et non pour engager une réflexion », ce qui permet d’expliquer le nombre invraisemblable de lois débiles votées sans réflexion. Et surtout,« ouvrir ce dispositif de protection du secret des sources à tous les blogueurs qui prétendent faire du journalisme serait excessif et contribuerait paradoxalement à affaiblir le texte », puisque, puisque, puisque bon, tout le monde sait que d’un côté il y a les bons journalistes qui voient une information, et font un papier, et de l’autre, il y a les mauvais journalistes qui voient une information, font un papier, mais c’est un mauvais papier et ils sont de mauvais journalistes. C’est pourtant clair, non ?

    Pour Rudy Salles (UDI), qui n’a pas lu le projet et les commentaires de la Commission Nationale Consultative, « une telle disposition aurait pour conséquence de favoriser la diffusion du n’importe quoi, au détriment du vrai journalisme et de la démocratie véritable » ; les tribunaux, la diffamation et les procès pour faux et usage de faux, ça n’existe pas et le projet vise à les dissoudre dans le n’importe quoi citoyen, mes amis, c’est évident, nous devons faire barrage.

    Apparemment, le petit Dominique Le Mèner (UMP) n’est pas mieux renseigné que son petit camarade Salles, et il peut donc se permettre de sortir une magnifique ânerie pour le même prix : « protéger comme des journalistes tous les citoyens sans exception paraît excessif ». Il s’en fiche : il est indemnisé quoi qu’il arrive et, quelque part, c’est dommage puisque cette indemnité est versée pour que, précisément, il s’informe un peu des sujets sur lesquels il ouvre le bec. Et là, c’est donc un misérable FAIL puisqu’il ne s’agit pas de protéger les citoyens comme les journalistes, mais de protéger les sources d’information de ces citoyens comme celles des journalistes, ce qui est complètement différent.

    Le pompon est atteint lorsqu’enfin, le député Pouzol (PS), rapporteur du projet, tente de conclure tout ça sur un magnifique « Certains blogueurs sont sûrement plus libres que certains journalistes, mais ce n’est pas seulement un avis que l’on attend de ces derniers : c’est une information réfléchie et vérifiée, et apportée par une source, qu’il s’agit ici de protéger. Monsieur Braillard, il nous faut effectivement rester vigilants sur les limites de la protection des sources, sous peine de mettre le doigt dans un engrenage dangereux. » Engrenage dangereux qui serait donc de protéger les sources de tous, ce qui ferait que certaines langues se délieraient plus facilement, qu’on ferait sortir de sombres et sordides affaires qui enverraient au trou un paquet de dangereux élus criminels, ou que sais-je encore… Diable, certains habitués des louvoiements entre les cours de justice sentiraient alors de près le vent du boulet, et la transparence politique et la démocratie gagneraient subitement plusieurs points. C’est, effectivement, un dangereux engrenage.

    Les sources des blogueurs ne seront pas protégées. Parce que. C’est tout.Ces réactions sont donc finalement parfaitement conformes à ce qu’on pouvait espérer des députés : arc-boutés sur les modes passéistes de traitement de l’information, ne comprenant pas l’enjeu qui leur est proposé, ils ont rejeté l’amendement et se sont contentés d’un confortable statu quo. Mais au-delà de cette remarque, la façon dont l’ensemble des débats a eu lieu montre de façon limpide que ces élus parlent d’un sujet qu’ils ne maîtrisent pas, même de loin, utilisent des arguments qui sont, au mieux, hors-sujet, au pire, parfaitement contraires à ce que le texte établit, et mélangent comme d’habitude différentes notions pour faire passer leurs idées ou bloquer définitivement celles de leurs adversaires, quitte à faire un joyeux trampoline sur la logique et le sujet en cours.

    Car ne vous y trompez pas : si j’ai pris ce texte parce qu’il résonne particulièrement pour un blogueur politique, ce qu’on voit ici est en réalité parfaitement transposable à n’importe quel texte. Ces élus qu’on paie chèrement de notre travail et de nos impôts, en moyenne, ne font qu’une mousse médiatique dans les commissions et à l’Assemblée et n’ont qu’une idée très vague, dans le meilleur des cas, des sujets sur lesquels ils pontifient. Le problème, ici, est qu’à la fin, une loi est votée, à laquelle les citoyens devront répondre et s’adapter…

    La rhétorique, aussi minable soit-elle, permet seulement à ces députés de camoufler l’évidence qu’en réalité, ils ne sont que des enfants qu’on a laissé jouer avec la tondeuse à gazon allumée.

    > h16 anime le blog hashtable. Il est l’auteur de Égalité taxes bisous.

    NOUVELLES DE FRANCE

  • Meurtre et viol d'Océane : Nicolas Blondiau condamné à la perpétuité


     

    Nicolas Blondiau a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité pour le viol et le meurtre de la petite Océane, 8 ans.

    S'agissant d'une mineure de moins de 13 ans, cette peine est assortie de 30 ans d'incompressibilité.

    Le samedi 5 novembre 2011, Océane quitte la maison familiale, à Bellegarde, aux alentours de 18 h 30, pour récupérer un jeu vidéo chez un ami de la famille.

    Elle sera retrouvée le lendemain violée, étouffée et poignardée.

    Deux jours plus tard, Nicolas Blondiau, un père de famille âgé de 25 ans à l'époque, avoue le crime à sa compagne et se rend.

     
    FAITS DIVERS
  • Les évêques de France s'engagent contre l'extrême droite

    PHO29d393dc-626e-11e3-b501-1c86e9148904-805x453.jpg

    Publié le 16 Décembre 2013

     

      
     
     
     
     

    Par Jean-Marie Guénois

     

    À trois mois des élections municipales, la conférence des évêques tire une sonnette d'alarme contre la montée du «populisme» en France.

     

    «Nous condamnons les discours populistes répandant la suspicion contre toute représentation politique». À trois mois des élections municipales, les évêques de France, ont pris position, mercredi, contre les candidats et les partis «populistes» aux prochaines échéances (23-30 mars 2014), mais ils ne nomment ni le Front National, ni aucune autre formation. Ils se disent toutefois «inquiets» de la montée de «l'individualisme» qui conduit à la «perte du sens du bien commun», au «rejet de l'autre quand il est différent ou quand il vient d'ailleurs».

     

    « Nous condamnons les discours populistes répandant la suspicion contre toute représentation politique »

    Des hommes forts de leur humanité

     

    Cette «tendance», ces hommes d'Église la perçoivent sur le terrain de leurs diocèses et ne cachent pas qu'elle génère de «la peur », mais aussi de «la violence». Ou, parfois, le rejet pur et simple «de personnes qui ont le sentiment qu'elles ne sont plus accueillies là où, il y a quelques années encore, elles avaient toute leur place».

     

    D'où cet appel épiscopal inhabituel, signé par les dix membres* du conseil permanent de la conférence des évêques de France, dont leur nouveau président, Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille, mais aussi le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris… Lire la suite.

     

    CRIF
  • François Hollande déclare la guerre aux humoristes "antisémites patentés"

     

    Recevant le CRIF, François Hollande a dénoncé les humoristes « antisémites patentés » qui propagent une idéologie dangereuse. Le propos semble viser Dieudonné et la propagation de sa « quenelle ». Le président a-t-il les moyens d’endiguer cet inquiétant phénomène ? Réponse de notre chroniqueur Bruno Roger-Petit.

    François Hollande entre en guerre contre Dieudonné, sa quenelle et l’antisémitisme insidieux d’une certaine sphère qui sévit partout sur l’Internet. Ce lundi passé, après avoir reçu une délégation du CRIF, le président a en effet plaidé pour une lutte sans relâche contre la « tranquillité de l’anonymat qui permet de dire des choses innommables » sur le Net, mais aussi « contre le sarcasme de ceux qui se prétendent humoristes et qui ne sont que des antisémites patentés ».


     NdB: A écouter

     

    Enfin !

    Certes, François Hollande n’a pas cité Dieudonné, sa quenelle, son marionnettiste Soral et la fachosphère qui se déploie à l’ombre de cet humour « innommable », mais l’allusion est transparente, sans équivoque, et tout bon républicain, inquiet à juste titre de la viralité du phénomène, ne peut que se réjouir de voir la plus haute autorité de l’État indiquer que le phénomène doit être combattu sans relâche.

    Lire la suite de l’article sur leplus.nouvelobs.com

     

    À lire également, sur E&R : « Qui est Roger Cukierman ? » (par la revue Faits & Documents)