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  • Le discours de François Hollande au CRIF le 16 décembe 2013

    Pour sa plaisanterie sur Valls et l'Algérie, Hollande a exprimé  "ses regrets". Vous pouvez écouter sa "petite phrase" au début de cette vidéo.

  • « Aujourd’hui, on peut mourir pour une cigarette »

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    Climat d’insécurité, élections municipales et européennes et…changement de nom du Front national, Marion Maréchal-Le Pen s’exprime.

    Propos recueillis par Olivier Beaumont et Rosalie Lucas | Publié le 22 déc. 2013, 07h00

     
     
    Paris, jeudi. « La légitime défense est mal reconnue en France », estime Marion Maréchal-Le Pen. (LP/Matthieu de Martignac.)
     

                                                               

    Pour la députée du Vaucluse, petite-fille de Jean-Marie Le Pen, changer le nom du parti ne serait pas un sujet tabou.

    Les chiffres de la délinquance sont en baisse, mais le sentiment d’insécurité est en hausse. La faute aux , au FN notamment, qui jouent souvent sur les peurs?
    MARION MARÉCHAL-LE PEN.
    Quand un Français sur cinq dit avoir peur chaque soir en rentrant chez lui, ça n’est pas dû à une exagération des politiques. Pendant des années, on a minimisé la délinquance, on n’a pas mis les moyens. Or, il ne faut pas nier la gravité de la situation. Il y a une ambiance très inquiétante, avec une nouvelle forme d’insécurité, l’ultraviolence gratuite. Aujourd’hui, on peut mourir pour une carte bleue ou pour une cigarette.


    Et cette simple perspective-là crée une angoisse généralisée que je peux comprendre.
    Mais que suggérez-vous ?

    Mettre la priorité sur les moyens, notamment les effectifs de police qui ont souffert sous Sarkozy, et encore aujourd’hui avec Valls. Et puis aussi sur la , qui fait partie des secteurs régaliens lésés dans les budgets de l’Etat. Je pense notamment aux places de prison qui sont en déficit de 40 000 en France.

    Vous faites cela avec quel argent?
    On fait des choix, il existe des marges de manœuvre. Dans ce pays, il y a par exemple 20 Mds€ de fraude sociale, et rien n’est vraiment fait pour les traquer. Et puis, au-delà des moyens financiers, il y a aussi la question des valeurs. Il y a un sentiment d’impunité qui participe à l’augmentation de la délinquance, et donc une inversion des valeurs. Souvenons-nous du bijoutier de Nice en septembre dernier (NDLR : qui a tué un braqueur). Les politiques semblaient avoir plus de considération, d’empathie, pour le délinquant qu’à l’égard de la victime réelle.

    C’est donc aux citoyens de se protéger eux-mêmes?
    Bien sûr que non. Mais ce genre d’affaires n’arriverait pas si l’Etat faisait son travail. On ne peut pas demander aux citoyens de baisser les yeux systématiquement. Des cas comme celui du bijoutier de Nice en septembre, il y en aura encore d’autres si les citoyens ont le sentiment que l’Etat ne les protège pas. C’est déplorable, mais la légitime défense est mal reconnue en France. Peut-être faudrait-il réécrire la loi pour reconnaître qu’une situation d’effroi terrible, au point de craindre pour sa vie, peut causer ce genre de situation.

    Valls est le ministre le plus populaire du gouvernement. Cela signifie que les Français semblent satisfaits de son action, non?
    Par effet miroir seulement, parce qu’il est celui qui tient le discours le plus sécuritaire au sein du gouvernement. Mais concrètement, on ne voit pas son efficacité réelle.

    Edouard Martin, syndicaliste de la CFDT, vient d’être investi tête de liste PS aux européennes. Ça vous choque?
    C’est surtout la démonstration de la collusion des syndicats avec le pouvoir. Les licenciés de Florange apprécieront la démarche.

    Sa candidature peut être une façon de faire entendre la parole des salariés au Parlement européen…
    Comment aller défendre la sidérurgie avec le PS? Ce parti mène, en France comme en Europe, une politique économique qui privilégie la libéralisation totale de la concurrence, y compris dans des secteurs industriels qui auraient besoin qu’on mette des quotas d’importation, des droits de douane pour préserver le savoir-faire français. Ce monsieur va dans un mouvement qui est à l’origine du drame de Florange.

    A l’issue des européennes, vous espérez avoir un groupe parlementaire à Bruxelles, mais ça changerait quoi?
    Des votes se jouent parfois à très peu de voix. On pourra influer sur la politique du Parlement européen, la réorienter en s’opposant à des textes ou en en soutenant. Pour former ce groupe, nous discutons avec d’autres partis patriotiques. Mais il est hors de question de discuter avec Aube dorée, le parti néonazi grec.

    Que pensez-vous de l’idée d’un changement de nom du FN?
    On pourrait s’appeler Fleurs roses et paillettes, aussi humain que cela puisse paraître, nos adversaires continueraient à dire que nous sommes d’extrême droite, car c’est leur stratégie. Pour l’instant, la question d’un changement d’appellation n’est pas à l’ordre du jour. Il y aura un congrès l’année prochaine, ce sera peut-être l’occasion d’en parler. S’il faut changer le nom pour que nos idées aient plus de réceptivité dans la population française, je n’y suis pas fondamentalement opposée.

    Vous croyez à un retour de Nicolas Sarkozy?
    Lui l’envisage. Mais Sarkozy se méprend sur sa capacité à susciter de nouveau l’engouement des Français. La division à droite entretient l’envie de sa famille politique de le voir revenir. Mais les Français, eux, ont tourné la page et ne sont pas près de se rejeter dans ses bras. Sur le terrain, je n’entends personne dire : « Le PS, c’est horrible, c’était tellement mieux avec l’UMP. » Les gens sont encore très lucides sur le mandat Sarkozy.

    Vous avez près de 800 têtes de liste investies pour les municipales. Quels sont vos objectifs?
    Une dizaine de villes. Il y aura des surprises, mais pas forcément là où tous les regards sont tournés, comme à Hénin-Beaumont ou dans le Sud-Est. Dans l’Hérault, dont on ne parle jamais, il y a par exemple 35 têtes de liste FN, dont cinq sont très bien placées. Nous avons également de bonnes chances en Picardie.

    Huit femmes sur dix disent avoir été témoins de sexisme sur leur lieu de travail. Trouvez-vous que l’Assemblée est machiste?
    Je n’ai pas le sentiment d’avoir vécu cela. Peut-être aussi parce que moi, quand on m’appelle Cocotte, je trouve que c’est affectueux! Mais peut- être aussi qu’à l’Assemblée, les autres élus ne cherchent pas à avoir de rapport avec moi, car je suis au FN. Je suis venue quelquefois en robe et je n’ai eu que des remarques gentilles.

    Vous représenterez-vous aux législatives en 2017?
    Je ne sais pas. On verra. J’ai toujours dit que la politique n’était pas mon seul objectif dans la vie. On peut faire autre chose à 27 ans que de la politique, l’avenir nous le dira.
     
    Le Parisien
  • Henri MATISSE (1869-1954)

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    Le vase de roses - 1925

  • Henri ROUSSEAU dit le Douanier (1844-1910)

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    La Bohémienne endormie - 1897

  • Taisez-vous, Henri Guaino !

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    Ecrit le 20 déc 2013 à 2:12 par Jean-Louis de Morcourt dans Article

     
     

    Il y a quelques jours, Henri Guaino, ex-conseiller de Nicolas Sarkozy, publiait une tribune dans Le Monde pour donner son avis sur le Front National. Selon lui, « ce parti n’est ni fasciste, ni nazi, ni d’extrême droite, mais monstrueusement inhumain », car « ayant l’orgueil de ne pas avoir la main qui tremble dans l’exercice du pouvoir ». Indépendamment de l’opinion que l’on peut avoir sur le FN, cette leçon de morale est non seulement déplacée, mais indigne.

    La chiraquie : honte politique de l’histoire de France

    Henri Guaino, vous vous revendiquez politiquement du gaullisme social chiraquien et de son prétendu « humanisme ». Mais quelle crédibilité accorder à vos paroles quand on voit le bilan de ce courant politique ? Que penser d’un président du Conseil économique et social appelant au téléphone le Premier ministre socialiste pour lui demander quoi faire de 700 000 pétitions contre la dénaturation du mariage, avant de mettre celles-ci à la poubelle sur son ordre ? Que penser d’un sénateur pédéraste tenant de grands discours sur « nos institutions bénies soient-elles », avant de s’abstenir lors du vote sur la dénaturation du mariage ? Que penser d’un ancien Premier ministre ne cessant de critiquer la prétendue droitisation de son parti tout en collaborant avec les mouvements communautaristes de la ville dont il est maire ?

    Henri Guaino, c’est en toute bonne conscience que nous affirmons aujourd’hui que nous ne voulons plus de cette droite au paternalisme lourdaud et pataud, au fétichisme institutionnel ampoulé et guindé. Cette droite parfaitement résumée par le personnage de Pierre Gaspard dépeint par Éric Zemmour dans son livre Petit frère peut en toute légitimité être qualifiée de honte politique de l’histoire de France. C’est sans complexe aucun que nous vomissons cette droite dont le cache-sexe de fausse virilité égrillarde et avinée, magnifiquement stigmatisée par Zemmour dans son livre Chirac, l’homme qui ne s’aimait pas, ne masque plus la nature capitularde ni la niaiserie idéologique crasse.

    Une leçon de morale indigne

    Vous dénoncez « l’orgueil qu’il y a à avoir la main qui ne tremble pas ». Mais qui est orgueilleux, Henri Guaino ? Ceux qui vont être amenés à faire des choix impossibles à cause des renoncements criminels de la génération de leurs parents ? Ou celui qui, se réclamant d’un courant politique marqué à jamais du sceau de la capitulation idéologique, se permet maintenant de venir jouer au papa venant dispenser ses leçons de morale, comme vous l’avez fait à la dernière convergence de l’UNI ?

    Gardez vos leçons Henri Guaino, vous n’avez aucune légitimité à en donner. Si nous en sommes aujourd’hui à devoir faire des choix impossibles, c’est justement parce que votre génération politique a eu la main qui tremblait. Cette génération qui s’est prostituée à la bien-pensance et à l’antiracisme, ce « communisme du XXIe siècle » dénoncé par Alain Finkielkraut, pour conserver ses prébendes et son confort. Cette génération dont la lâcheté, la faiblesse, la couardise, nous ont légué un pays dont nous avions l’interdiction d’être fiers et une Histoire que nous avons été tenus de renier, sommés dès l’école maternelle de nous faire « ouvrir par l’Autre » et « enrichir par la différence de l’Autre ». Avec des Gameboy et des tamagotchis pour faire passer la pilule. Aujourd’hui, c’est sans états d’âme et avec un souverain mépris que nous affirmons haut et fort que l’Autre n’est pas notre frère, qu’il n’est pas notre pote, et que nous ne sommes aucunement tenus qu’il le devienne. Et ne venez pas nous expliquer que notre foi chrétienne nous impose de rejoindre les cohortes contrites et soumises de la France bien élevée, ce serait faire injure à votre intelligence.

    Que vienne le temps de la colère

    « Vous dites vouloir l’amour, mais soyez d’abord de ceux qui peuvent aimer, qui aiment avec le grand Amour, qui aiment avec le grand MÉPRIS ! », nous a enseigné Nietzsche dans Ainsi parlait Zarathoustra. Contrairement à vous Henri Guaino, nous ne renions pas la colère, nous l’assumons. Mieux, nous la revendiquons. Le Jour de Colère, le DIES IRAE du 26 Janvier prochain, sera la première occasion de l’affirmer. Ce ne sera pas la dernière.

    Ce qui caractérise l’époque que nous vivons, c’est le retour de la Vie, dans toute sa Force et dans toute sa Vérité. La génération de Mai 68 était la génération parricide, une génération qui n’a voulu avoir pour seule perspective que de végéter ad vitam aeternam dans son univers vaseux d’adolescents attardés et égoïstes. La génération qui a suivi, cette génération autoproclamée « morale » si bien décrite par un Louis Pauwels dans son célèbre éditorial, a clamé haut et fort sa fierté de servir de paillasson à la terre entière. Nous, nous sommes la génération naturelle, une génération qui va devoir payer la note des bacchanales de ses parents, mais qui ne reculera devant rien pour défendre l’avenir de ses enfants. Nous ne sacrifierons pas leur avenir moral, culturel et spirituel sur l’autel de votre idolâtrie sénile pour la béatitude du moindre mammifère humain.

    Conclusion : le temps est venu

    « Ils n’ont rien appris et rien oublié », disait Talleyrand des contre-révolutionnaires de 1814. Aujourd’hui, nous non plus n’avons rien oublié de la mémoire que nous ont transmise nos parents. En revanche, à leur différence, nous avons appris que nos adversaires n’auraient jamais le moindre respect pour la dignité de cette mémoire. Nous avons compris que leur jouissance était de salir cette mémoire, et que nous n’avions rien à espérer d’eux. La répression du mouvement du printemps dernier avec ses gazages gratuits de familles à poussettes aura au moins eu le mérite d’ouvrir sur ce point les yeux du plus grand nombre. Nos parents ont déploré, nous, nous allons agir.

    Nous sommes lucides. Nous savons parfaitement qu’il ne nous sera fait aucun cadeau et que tôt ou tard, il nous sera présenté la facture pour être restés fidèles et inflexibles sur nos convictions. Nous savons qu’elle sera salée. La seule chose que nous espérons, c’est que ce jour-là, Dieu nous fera la grâce de savoir la régler avec le sourire.

    NOUVELLES DE FRANCE

  • Grèce : mpanifestation des néonazis contre la construction d’une mosquée

     
     

    Grèce : Manifestation des néonazis contre la construction d’une mosquéeQuelque 700 membres et sympathisants du parti grec néo-nazi Aube dorée ont protesté samedi contre la construction de la première mosquée officielle d’Athènes. Cette information a été rapportée par l’agence de presse ANE (semi-officielle).

    Aux cris de “La Grèce appartient aux Grecs” et “Pas de mosquée à Athènes”, les manifestants se sont rassemblés dans le centre, près de l’endroit où la future mosquée sera construite.

    La députée Eleni Zaroulia, l’épouse du fondateur et dirigeant d’Aube dorée Nikos Michaloliakos, et trois autres élus du parti ont participé à la manifestation, selon l’ANE.

    M. Michaloliakos est actuellement en détention provisoire pour direction d’une entreprise criminelle, à la suite du meurtre d’un rappeur antifasciste par un membre de son parti, le 18 septembre à la sortie d’un bar près d’Athènes.

    Afflux d’immigrés

    En novembre, le ministère des Infrastructures avait annoncé que la construction d’une mosquée à Athènes, un projet qui traîne depuis plusieurs années, avait été attribuée à un consortium grec après cinq appels d’offres infructueux.

    Athènes est l’une des rares capitales européennes sans une mosquée officielle. Mais du fait de l’afflux d’immigrés du Pakistan ou d’autres pays musulmans, de nombreuses mosquées non officielles ont été ouvertes dans des locaux délabrés du centre-ville d’Athènes.

    Le gouvernement a été contraint d’adopter en 2011 une loi sur la construction d’une mosquée, dont le premier appel d’offres n’a pu être lancé qu’en juillet 2013.

    Les seules mosquées officielles de Grèce sont situées en Thrace (nord-est), où vit une minorité musulmane de souche turque.

    Source: algerie1
     

    Source: Sites web

    Infos d'ALMANAR

    15-12-2013 - 11:39 Dernière mise à jour 15-12-2013 - 11:39 |*



  • Robert Ménard : “Le fil conducteur de ma vie : me battre pour la liberté d’expression de tous”

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    21/12/2013 – 16h00
    BEZIERS (NOVOpress) -
    Défenseur acharné de la liberté d’expression, que ce soit au sein de Reporters sans frontières ou dans d’autres cadres, journaliste poil à gratter victime de la bien-pensance, Robert Ménard a décidé de se jeter dans l’arène politique en se présentant à la mairie de Béziers. Novopress l’a rencontré à cette occasion.

    Vous avez accepté de présider le “comité de soutien aux 4 de Poitiers”, ces 4 jeunes militants identitaires mis en examen et placés sous un régime de contrôle judiciaire strict leur interdisant toute activité politique notamment depuis l’occupation du chantier de la mosquée de Poitiers en octobre 2012. Pour vous, cette démarche s’inscrit-elle d’une certaine manière dans la continuité de vos engagements passés au service de la liberté d’expression ?

    Tout à fait. En acceptant de présider ce comité de soutien, il ne s’agissait pas dans mon esprit d’acquiescer à l’initiative des militants identitaires mais de protester contre le sort qui leur était réservé. Et surtout de m’élever contre le « deux poids deux mesures » qui caractérisait, une fois de plus, le traitement par la justice de militants classés par elle à l’extrême droite. Je vous rappelle qu’à la même époque, les Femen, qui s’étaient introduites dans Notre–Dame de Paris et avaient endommagé les nouvelles cloches, n’avaient pas fait l’objet du moindre contrôle judiciaire… Je suis révolté contre ces différences d’attitude des magistrats selon qu’il s’agisse de militants dont ils partagent ou non les engagements.

    Vous avez raison, c’est au fond le fil conducteur de ma vie : me battre pour la liberté d’expression de tous, quels qu’ils soient, que j’approuve ou non leurs choix et leurs idées. Je l’ai fait pendant 23 ans à la tête de Reporters sans frontières. C’est pour cela que nous avons créé, avec Dominique Jamet, le site Boulevard Voltaire. S’y expriment des personnes avec lesquelles je suis en profond désaccord. Mais j’aime à les lire et à polémiquer avec elles si nécessaire… Seules limites à cette liberté de dire et d’écrire : les appels à la violence et les attaques ad hominem. Pour le reste, c’est carte blanche…

     

    Qu’est-ce qui vous a décidé à passer de l’autre côté du miroir en vous présentant aux élections municipales de Béziers ?

    Tout simplement parce que c’est ma ville et que j’y suis très attaché. Je commente la vie politique depuis des années comme journaliste sans jamais avoir envisagé de me lancer dans l’arène politique. Mais je suis fidèle à Béziers où j’ai passé mon adolescence – je suis pied-noir, d’Oran exactement – et je ne pouvais me résigner à la voir sombrer dans une léthargie, dans un désarroi, dans un désespoir qui la minent et la détruisent. Je ne pouvais rester les bras croisés. D’où cette candidature. Oui, je veux être maire de Béziers pour lui redonner du souffle, la sortir de la misère – un tiers de ses habitants vivent sous le seuil de pauvreté -, renouer avec un passé florissant : elle était baptisée, à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle, la « Bayreuth française »…

    Votre liste a reçu le soutien officiel de Debout La République et du Front National ; on vous a vu lors d’un colloque aux côtés de Jacques Bompard (député-maire d’Orange, leader de la Ligue du Sud) ; vous avez reçu le soutien de Xavier Lemoine (membre du Parti Chrétien Démocrate et maire de Montfermeil) et de Philippe de Villiers (président du MPF et créateur du Puy du Fou) ; et on a pu lire dans la presse que des Identitaires faisaient partie de votre équipe de campagne locale ; vous êtes sans doute le seul candidat à rassembler ainsi l’ensemble de l’arc patriote. Comment expliquez-vous une telle réussite ?

    Peut-être parce que je ne sais partie d’aucun de ces partis… Et vous oubliez le Rassemblement pour la France de Christian Vanneste, les nombreux militants de l’UMP et tous ceux qui, comme moi, n’ont de carte dans aucune formation politique ! Cette « réussite », comme vous dites, doit s’expliquer également par mon parcours : les uns et les autres sont témoins de mon engagement en faveur de la liberté d’expression et les risques personnels – à la tête de Reporters sans frontières – comme professionnels – dans les médias où j’ai travaillé et qui ne m’ont pas fait de cadeaux – que j’ai pris en son nom. Ils doivent en retenir un a priori favorable… Plus sérieusement, je crois que les Français (et pas seulement les Biterrois) aspirent à l’unité de tous ceux qui ne veulent pas du pays qu’on nous dessine : un pays privé de sa spécificité, de ses traditions, de son histoire, de son génie. Il est temps d’oublier les intérêts de partis, les égoïsmes de chapelle pour se rassembler. Il finira par être trop tard.

    Quel est votre rapport avec les partis politiques ? “Mon parti c’est Béziers”, qu’est-ce que cela signifie ?

    Si je sais l’importance des partis politiques, j’en connais les limites. J’ai de la sympathie pour plusieurs d’entre eux – j’ai voté pour Nicolas Dupont Aignan au premier tour de la dernière présidentielle, je suis d’accord avec 80 % des idées défendues par Marine Le Pen – mais je vois comment les logiques partisanes peuvent prendre le pas sur l’intérêt des Français et de la France. Devant la gravité de la situation, je crois nécessaire des regroupements mais aussi d’autres configurations, plus souples, moins contraignantes, plus ouvertes, moins hiérarchisées. Une élection municipale s’y prête d’ailleurs admirablement. Ceci dit, j’ai besoin d’eux à Béziers. Et ils ont répondu présents.

    « Mon parti, c’est Béziers » est une façon de dire, de synthétiser tout cela. Sur le plan national, je dirais bien : « Mon parti, c’est la France ! »

    Maire de Béziers, quelles seraient vos trois priorités ?

    Elles sont, en réalité, au nombre de six : combattre l’insécurité, diminuer les impôts, lutter contre les « quartiers-ghettos », redonner vie au centre-ville, assurer la propreté de nos rues, relancer l’économie et développer l’emploi. Un programme qui devrait obtenir l’assentiment de tous si les uns et les autres ne s’en tenaient pas aux étiquettes politiques… Un programme de bon sens qui, je le vois jour après jour lors des porte-à-porte, convainc une majorité de Biterrois. Un programme enfin qui prend en compte la situation réelle de la ville et des moyens dont elle dispose ou, plutôt, dont elle dispose pas. Moins de 40 % de ses habitants ne paient pas d’impôts faute de revenus. Elle compte plus de 16 % de chômeurs. La ville est endettée, les taxes y sont trop élevées.

    Mais Béziers dispose aussi d’atouts réels : outre sa situation géographique – au cœur d’un réseau autoroutier, à proximité de l’Espagne, de la mer et de la montagne – elle est surtout riche d’une histoire construite autour d’un véritable esprit de résistance : de la révolte des Cathares à celles des vignerons de 1907, des républicains refusant le coup d’Etat de Louis-Napoléon Bonaparte au fils de Béziers qu’était Jean Moulin. C’est sur ce socle que l’on peut redonner vie à une ville. On pourrait dire et faire la même chose pour notre pays…

    Crédit photo : Novopress (c)

  • De la Francophonie à l'Anglopholie…

     

    De la Francophonie à l'Anglopholie… - Les syndicats à la rescousse

    Les syndicats à la rescousse



    Hervé Montbard
    le 19/12/2013
    Chez Carrefour, l'Anglais va-t-il remplacer le Français ? La question est d'actualité. C'est incontestable : la CGT elle-même s'en inquiète et l'a fait savoir au cours d'une table ronde organisée entre ses représentants et les responsables de la société.
     
    Il est en effet à l'évidence que Carrefour est encore une entreprise française dont les actionnaires principaux sont la Société Générale et le Groupe Arnault également sociétés françaises : or l'utilisation de la langue anglaise est dans ce groupe de plus en plus importante. C'est ainsi que cet usage devient évident quand on voit les enseignes utiliser des noms anglais : Carrefour Market, Carrefour City, Carrefour On Line etc… Et même les produits vendus utilisent la langue de Shakespeare (Blue Sky, First Line, Green Cut, Home, Top Bike…). Et les salariés de Carrefour nous informent volontiers que dans le cadre de leurs activités professionnelles cette tendance se poursuit : on y évoque le cross-marchandising, l'e-learning, le self-scanning, la Street-Palette ou l'Autonomous checkout system.

    Et puis disent-ils, dans le cadre de la Formation Professionnelle l'anglais est la seule langue étrangère accessible. On constate encore que les messages d'alerte sont rédigés en bilingue Français-Anglais dans tous les magasins, les slogans publicitaires sont extraits de cet idiome. La chanson Happy Day est utilisée en fonds sonore des slogans publicitaires radiophoniques, et les jours heureux chez Carrefour sont Sunday et Monday…

    Ces spécialistes du "merchandising" semblent ignorer qu'il y a au moins 230 millions de personnes dans le monde qui parlent et écrivent couramment le français, qu'il y a en plus au moins 750 millions d'hommes et de femmes qui le comprennent. La Francophonie est une organisation qui regroupe 51 états dans le monde. Le Français est donc une langue internationale, et en France c'est la seule langue commerciale. Il n'y a donc aucune raison d'utiliser une autre langue. A la rigueur, on peut imaginer utiliser l'espagnol dans le Sud-Ouest, l'italien ou l'allemand à l'Est, mais l'anglais n'a aucun intérêt pratique, sinon celui d'un certain snobisme cher aux publicitaires et à certains diplômés des Ecoles de Commerce. En France le client parle d'abord le Français.

    Les syndicats de Carrefour ont fait passer le message et ont demandé qu'un groupe de travail chargé de mettre en place un suivi de l'emploi de la langue française dans l'entreprise soit créé. La direction a-t-elle entendue le message ou, enfermée dans une tour d'ivoire méprisante et/ou condescendante, va-t-elle ignorer cette requête? 
  • Boycott d’Israël : Taubira bredouille et bricole une réponse

     Publié le : vendredi 20 décembre 2013

    E&R


     

      
      

     

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  • Radio et Télé « Grand Remplacement » émettent 24h/24

     

    Entretien avec Renaud Camus Boulevard Voltaire

    Même si le rapport sur l’intégration publié sur le site internet de Matignon a été largement désavoué, ses conclusions en disent long sur l’état d’esprit de ses auteurs… Qu’en pensez-vous ?Renaud-Camus

    Il en dit d’autant plus long qu’il n’a été désavoué qu’une fois découvert et dénoncé. N’aurait-il pas fait scandale, le Premier ministre n’y aurait rien trouvé à redire. Maintenant, il recule sur l’autorisation du voile à l’école, mais c’est pour mieux faire passer tout le reste, en ayant l’air de faire des concessions raisonnables au sentiment national.

    Tout cela est cousu de fil blanc. Quand on voit la composition des commissions d’“experts”, on est bien assuré qu’elles n’allaient rien suggérer d’autre que les énormités remplacistes qu’elles proposent.

    L’avantage, maintenant, c’est qu’il n’y a plus aucune ambiguïté, et pas d’autre voie possible, pour nous, que la résistance et la révolte. Le pouvoir remplaciste veut vraiment la fin de notre peuple et de notre nation, la fin de l’idée même de peuple et de nation. Il entend venir à bout de l’identité nationale comme il est venu à bout de l’École et de la culture : par le truchement d’une égalité factice, toute provisoire. L’égalité entre les niveaux socio-culturels a détruit l’enseignement et la vie de l’esprit : l’égalité entre la culture nationale et les cultures étrangères détruira l’identité de la nation.

    Or cette égalité n’est qu’un moment nécessaire, un passage obligé, la voie d’une inégalité mortelle. De même que l’égalité posée entre culture et inculture, art et divertissement, cours au Collège de France et télévision du samedi soir, condamne immanquablement l’élément le plus rare, le plus précieux, à disparaître de l’espace public, de même l’égalité imposée entre civilisation du contrat social, du pacte d’in-nocence, de la confiance, et, d’autre part, civilisation de la conquête, de la violence, de la razzia, de la nocence généralisée, signe l’arrêt de mort de la première. La suspension du jugement moral qu’impose à tout moment l’antiracisme dogmatique assure fatalement le triomphe du pire et la disparition du meilleur.

    J’ai longtemps résisté à la terminologie qui tentait mes amis et qui me semblait dangereusement voisine de la pénible reductio ad hitlerum. Mais avec ce rapport, le doute n’est plus permis : nous avons bel et bien affaire à des traîtres. Ils vendent leur peuple pour s’assurer le pouvoir mais ils seront les premiers emportés par le triomphe de leurs protégés. Les deux Occupations n’ont pas grand chose en commun mais les deux Collaborations sont les mêmes.

    Malika Sorel estime à propos de ce rapport que « La rupture avec l’héritage du peuple français est pleinement assumée. Rien n’est laissé au hasard, comme en témoignent les recommandations qui détaillent les modalités de la rééducation des masses. » Vous approuvez ce terme de “rééducation” ?

    Malika Sorel a pleinement raison, comme d’habitude. Elle ne pèche que par optimisme quand elle parle de rééducation, ce qui suppose qu’il y ait eu éducation. Les enfants vont en classe pour apprendre deux choses : l’analphabétisme d’État et l’antiracisme dogmatique qui, à ceux de notre peuple, répète jour après jour :

    Mourez, mourez, disparaissez, oubliez ce que vous êtes, ne l’ayez jamais su, fondez-vous dans la masse, n’existez plus !

    Elle évoque également une “multitude de mesures dignes d’une véritable police de la pensée”. Vous qui êtes si attentif à l’emploi des mots, n’est-ce pas exagéré ? On ne vit tout de même pas dans un système totalitaire ?

    Bien sûr que si ! Le remplacisme est le communisme du XXIe siècle. Il n’a pas encore ses camps mais il n’a pas besoin d’eux pour faire disparaître ceux qui refusent de collaborer : on ne leur ôte pas la vie mais on les efface de la photographie, les miroirs ne renvoient plus leur image, leur cri ne produit aucun son, ils promènent un corps sans ombre. Pendant ce temps, Radio-Grand Remplacement et Télé-Changement de peuple émettent vingt-quatre heures sur vingt-quatre.

    ALTERMEDIA 

  • Centrafrique: un insigne nazi surpris au bras d'un soldat français sur une photo officielle de l'armée

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    CENTRAFRIQUE - Après le scandale du légionnaire à la tête de mort au Mali, l'armée française doit se pencher sur un nouveau dérapage d'un soldat en mission. BFMTV s'est procurée ce vendredi 20 décembre une photographie représentant un soldat de l'armée française en mission en Centrafrique et arborant sur son uniforme un patch aux références nazies explicites. Une "idéologie que nous condamnons sans équivoque", a confirmé au HuffPost le porte-parole des Armées qui indique que le soldat sera suspendu dès qu'il aura été identifié.

    Plus embarrassant encore, cette image faisait partie d'une série de neuf photos publiées sur la page Facebook officielle des opérations extérieures de l'armée. Elle a depuis été retirée, mais des internautes l'ont conservée.

    La photographie montre un jeune homme en gros plan, l'arme à la main, et arborant un macaron scratché sur la manche. Dessus, la devise SS "Meine Ehre heißt Treue" (Mon honneur s'appelle fidélité), visiblement cousue sur un écusson tenu par un velcro. Le terme RCA désigne la République Centrafricaine et le drapeau français y est frappé d'un énigmatique "32", a priori là encore cousu. BFMTV avance une hypothèse en faisant référence à la 32e division SS sans pour autant y apporter beaucoup de crédit. Il se pourrait aussi que 32 fasse référence à l'année 1932, date à laquelle la devise "Meine Ehre heißt Treue" fut systématiquement gravée sur les ceinturons des SS.

     
    Joint par Le HuffPost, le colonel Gilles Jaron, porte-parole de l'Etat-major des armées, confirme l'existence de cette photographie. "La photo a été postée l 19 décembre sur Facebook. Il est apparu ensuite que le soldat arborait un insigne d'épaule qui n'appartient pas à l'uniforme de l'armée française et véhiculant une idéologie que nous condamnons sans équivoque".

    Une enquête de commandement a été ordonnée par le Chef d'Etat major et elle sera diligentée en Centrafrique par le général de commandement de la force Sangaris. "Dès que ce soldat aura été identifié, il sera immédiatement suspendu", nous a précisé le colonel Jaron sans vouloir évoquer les éventuelles sanctions qu'encourt le militaire pris en faute.

    Le HuffPost- 20 12 13

  • Lumière du solstice d'hiver

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    20/12/2013 – 19h00
    PARIS (NOVOpress) - Dans l’Europe préchrétienne, le solstice avait une importance particulière dans l’année : en plus d’être un hommage à la nature, c’était le jour où les mages et les druides récoltaient leurs herbes auxquelles ils prêtaient des vertus magiques. Le solstice d’hiver se déroulera cette année le 21 décembre à 17h11 (UTC).

    Crédit photo : glheureux via Flickr (cc)

  • « L’islamisme est une menace pour les Chrétiens », déclare le prince Charles

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    20/12/2013 – 19h00
    LONDRES (NOVOpress) -
    Les ponts entre chrétienté et islam sont en train de s’effondrer par l’augmentation des menaces, des récriminations et des persécutions, a affirmé le Prince de Galles. Dans une interview centrée sur les souffrances des chrétiens au Moyen-Orient, le prince Charles indique que les relations entre ces religions sont à un point de rupture et appelle à chasser « l’ignorance et l’incompréhension » qu’il a tenté lui-même de repousser depuis plusieurs décennies. « Nous ne pouvons plus ignorer que les chrétiens au Moyen-Orient sont de plus en plus délibérément attaqué par les fondamentalistes musulmans. La chrétienté est pourtant née au Moyen Orient ».

  • Où sont donc passés les « révolutionnaires » syriens ?

     

    A la veille de la conférence de Genève 2, les organisateurs états-uniens n’ont plus aucune marionnette pour jouer le rôle des révolutionnaires syriens. La disparition soudaine de l’Armée syrienne libre montre à ceux qui y croyaient qu’elle n’était qu’une fiction. Il n’y a jamais eu de révolution populaire en Syrie, juste une agression étrangère à coup de mercenaires et de milliards de dollars.

    | 16 décembre 2013
     
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    Le 29 novembre 2011, une délégation de l’Armée syrienne libre fait allégeance à une délégation du Conseil national syrien. En théorie, l’opposition dispose désormais d’une branche militaire et d’une branche politique. En réalité, l’Armée syrienne libre comme le Conseil national syrien sont deux fictions créées par l’Otan. Tous deux sont exclusivement composés de mercenaires et n’ont guère de réalité par eux-mêmes sur le terrain.

    Les organisateurs de la conférence de paix de Genève recherchent d’urgence un représentant pour l’opposition syrienne armée. En effet, selon les Occidentaux, le conflit oppose une abominable dictature à son propre peuple. Cependant, les groupes armés qui détruisent la Syrie —du Front islamique à Al-Qaïda— font officiellement appel à des combattants étrangers, même si le premier prétend être composé principalement de Syriens. Les inviter serait admettre qu’il n’y a jamais eu de révolution en Syrie, mais une agression étrangère.

    En effet, l’Armée syrienne libre, dont on nous disait il y a quelques semaines qu’elle comprenait 40 000 hommes, a disparu. Après que son quartier général a été attaqué par d’autres mercenaires et que ses arsenaux ont été pillés, son chef historique, le général Selim Idriss, s’est enfui par la Turquie et a trouvé refuge au Qatar, tandis que le colonel Riad el-Assad a trouvé asile aux Pays-Bas.

    Lors de sa formation, le 29 juillet 2011, l’ASL s’était fixé un unique objectif : le renversement du président Bachar el-Assad. Jamais l’ASL n’a précisé si elle se battait pour un régime laïque ou un régime islamique. Jamais, elle n’a pris de position politique en matière de Justice, d’Education, de Culture, d’Economie, de Travail, d’Environnement, etc. Jamais elle n’a formulé la moindre ébauche de programme politique.

    Elle était, nous disait-on, formée de soldats de l’Armée arabe syrienne ayant fait défection. Il y eu effectivement des défections durant le second semestre 2011, mais leur nombre total n’a jamais excédé les 4 %, ce qui est négligeable à l’échelle d’un pays.

    Non : l’ASL n’avait pas besoin de programme politique car elle avait un drapeau, celui de la colonisation française. En vigueur durant le mandat de la France sur la Syrie et maintenu durant les premières années de prétendue indépendance, il symbolisait l’Accord Sykes-Picot : la Syrie était largement amputée et divisée en États ethnico-confessionnels. Ses trois étoiles symbolisent un État druze, un État alaouite et un État chrétien. Tous les Syriens connaissent ce funeste drapeau, ne serait-ce que par sa présence dans le bureau du collaborateur syrien de l’occupant français dans un célèbre feuilleton télévisé.

    Son premier leader, le colonel Riad el-Assad, a disparu aux oubliettes de l’histoire. Il avait été sélectionné pour son nom, qui s’écrit différemment en arabe mais se prononce identiquement dans les langues européennes avec celui du président Bachar el-Assad. La seule différence entre les deux hommes, d’un point de vue des monarchies du Golfe, était que le premier était sunnite et le second alaouite.

    En réalité, l’Armée syrienne libre est une création franco-britannique comme l’étaient les « révolutionnaires de Benghazi » en Libye (lesquels avaient « choisi » comme drapeau celui du roi Idriss Ier, collaborateur des occupants anglais).

    Bras armé de l’Otan, destiné à prendre le palais présidentiel lorsque l’Alliance atlantique aurait bombardé le pays, l’ASL a été ballottée par les plans successifs et les échecs successifs des Occidentaux et du Conseil de coopération du Golfe. Présentée dans un second temps comme le bras armé d’un Conseil politique en exil, elle ne lui reconnaissait aucune autorité et n’obéissait qu’à ses employeurs, les Franco-Britanniques. Elle était en fait le bras armé de leurs services secrets dont la Coalition nationale syrienne était le bras politique. En définitive, l’ASL n’a pu accumuler de succès qu’avec l’aide directe de l’Otan, en l’occurrence de l’Armée turque qui l’hébergeait dans ses propres bases.

    Créée dans le cadre d’une guerre de 4ème génération, l’ASL n’a pas réussi à s’adapter à la seconde guerre de Syrie, celle de type nicaraguayen. La première guerre (de la réunion Otan au Caire en février 2011 à la conférence de Genève en juin 2012) était une mise en scène médiatique visant à délégitimer le pouvoir afin qu’il tombe comme un fruit mur dans les mains de l’Otan. Les actions militaires étaient perpétrées par des groupuscules distincts, recevant leurs ordres directement de l’Alliance. Il s’agissait avant tout de créditer les mensonges médiatiques et donner l’illusion d’une révolte généralisée. Conformément aux théories de William Lind et de Martin Van Creveld, l’ASL n’était qu’un label pour désigner tous ces groupes, mais ne disposait pas de structure hiérarchique propre. Au contraire, la seconde guerre (de la réunion des « Amis de la Syrie » à Paris en juillet 2012 à la Conférence de Genève 2 en janvier 2014) est une guerre d’usure visant à « saigner » le pays jusqu’à sa reddition. Pour jouer son rôle, l’ASL aurait dû se transformer en une véritable armée, avec une hiérarchie et une discipline, ce qu’elle n’a jamais été capable de faire.

    Sentant sa fin proche, depuis le rapprochement turco-iranien, l’ASL avait annoncé sa possible participation à Genève 2 en posant d’irréalistes conditions. Mais il était déjà trop tard. Les mercenaires payés par l’Arabie saoudite ont eu raison de cette fiction de l’Otan. Chacun peut désormais voir la vérité toute nue : il n’y a jamais eu de révolution en Syrie.

  • 240 camions entrent à Gaza et 6 partent pour l'Europe - 19 12 13

       

    240 camions entrent à Gaza et 6 partent pour l’Europe



     L’Autorité générale des passages au ministère de l’Intérieur et de la Sûreté nationale a informé que les forces d’occupation ont ouvert jeudi matin le passage commercial de Karem Abou Salem, permettant à 240 camions d’entrer dans la bande de Gaza.

    Raed Mounir Ghilban, le directeur du passage a déclaré jeudi dans la presse que les 240 camions sont chargés de marchandises diverses, de nourriture et d’autres aides pour la bande de Gaza. Six camions seront autorisés à partir pour l’Europe dans la journée, transportant des fraises, des épices et des fleurs, a-t-il ajouté.

    Il a également souligné que des quantités limitées de carburant seront pompées, et de l’essence pour le secteur des transports. De même que sera pompé du gaz domestique et du diesel industriel, et sept camions chargés de ciment et d’acier arriveront pour les projets de l’UNRWA ».

    Ghilban a fait remarquer que les forces d’occupation continuent d’interdire l’entrée de nombreux matériaux dont ceux de construction pour la bande de Gaza, en prétextant des motifs sécuritaires imaginaires.
    Abou Salem est considéré comme l’unique point de passage commercial qui fournit l’enclave en marchandises diverses et carburant. Les autorités israéliennes le ferment tous les vendredis et samedis, en plus d’autres fermetures ponctuelles pour des raisons futiles.

     

    http://www.palestine-info.cc/fr/default.aspx?xyz=U6Qq7k%2bcOd87MDI46m9rUxJEpMO%2bi1s77GfFpQGNCW5G5fcClvIHi9WiZhOnmnDqy2GmukjjCnTYOk5lZH%2fAO%2bZRVaRpeuq8qLoZI%2boOHoVPS93uRaHP901sHyUyerGlckXIrypJe0E%3d http://www.palestine-info.cc/fr/default.aspx?xyz=U6Qq7k%2bcOd87MDI46m9rUxJEpMO%2bi1s77GfFpQGNCW5G5fcClvIHi9WiZhOnmnDqy2GmukjjCnTYOk5lZH%2fAO%2bZRVaRpeuq8qLoZI%2boOHoVPS93uRaHP901sHyUyerGlckXIrypJe0E%3d    

         ALTERINFO

  • Paris - Une Femen mime un avortement devant l'autel de l'église de la Madeleine

    Cliquer: http://www.leprogres.fr/france-monde/2013/12/20/une-femen-mime-un-avortement-en-l-eglise-de-la-madeleine-a-paris

  • Gironde: l'investisseur chinois et le propriétaire du domaine viticole se crashent en hélicoptère juste après la vente

    leprogres.fr

          

       Vendredi 20 décembre 2013                

     

     
     
    Publié le 20/12/2013 à 18:48

                          

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    A bord se trouveraient notamment l’ancien propriétaire du château viticole de La Rivière et son tout nouvel acquéreur, un ressortissant chinois, selon un photographe de l’AFP présent au moment du décollage.

    Le groupe chinois spécialisé dans les thés d’exception et l’hôtellerie de luxe venait tout juste d'acquérir près de Bordeaux le château La Rivière et ses 65 hectares de vignes, réalisant le plus gros investissement chinois dans cette région vinicole française.

  • « …avant tout un peuple de race blanche, de culture gréco-latine et de religion chrétienne » ? Par Bruno Gollnisch

     

    France vue de l'espace

    Oui, l’immigration invasion est un traumatisme pour les Français qui la subisse, oui il y a un lien entre immigration et insécurité, et le Front National n’est plus le seul à oser le dire. Selon une étude l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) rendue publique lundi, la part d’étrangers mis en cause par la police pour des vols a augmenté en 2012 (27% plus dix points en quatre ans). Les raisons avancées sont les implications croissantes des Roumains, Tunisiens ou Géorgiens dans ceux-ci. D’un côté donc,  la montée en puissance des activités des réseaux mafieux  de l’Est, de l’autre l’arrivée des enfants du printemps arabe, le tout sur fond d’absence de frontières et d’idéologie immigrationniste…merci qui ? Merci l’UMPS !

     L’ONDRP a publié jeudi  une autre étude qui pointe crûment les conséquences psychologiques des razzias et autres violences dont se rendent coupables  des prédateurs immigrés : en 2013, plus de 17% des personnes interrogées disent avoir ressenti « à domicile »  ou « dans leur quartier » un sentiment d’insécurité contre 16,3% en 2012 et mois de 13,3% en 2008.

     Cette enquête précise encore que la proportion de personnes citant la délinquance « parmi les trois problèmes les plus préoccupants dans la société française» est à son « niveau le plus élevé depuis 2007 » (53%).

     Cette augmentation très sensible  de ce  sentiment d’insécurité  comme disent les pontes socialistes, en l’occurrence une réalité bien concrète dont ils mesurent peu les effets dans les palais de la République, est à mettre en relation, indique l’ONDRP  « avec l’augmentation des Français lui ayant déclaré avoir été victimes de vols ou de tentatives de vols ou « en avoir entendu parler dans leur environnement .»

     Ce sont ainsi 4,2 millions de vols et tentatives qui ont eu lieu en France en 2012 selon cette enquête de victimation,  soit deux à trois fois plus que les chiffres officiels. Seulement 39% des victimes ont déposé plainte pour un vol et 20% pour tentative de vol. Cela explique la distorsion entre la réalité et les chiffres officiels des forces de l’ordre dont Manuel Valls, comme Claude Guéant avant lui,  fait ses choux gras avec un cynisme assez écœurant.

     C’ est dans ce contexte que Laurent de Boissieu, mercredi sur le site du quotidien La Croix, s’interrogeait de manière bien alambiquée sur la compatibilité entre le programme du FN et la vision gaullienne de l’Etat français. Le journaliste esquissait bien quelques points communs évidents  (refus des abandons de souverainetés à l’Europe bruxelloise, sortie du commandement  intégré de l’Otan), mais ajoutait pour le moins curieusement que « rien ne permet (…) de dire que Charles De Gaulle aurait approuvé les spécificités les plus controversées du projet (du FN), en particulier la préférence nationale et l’abrogation du droit du sol. »

     Or, s’il y une chose qui est bien certaine, et Guillaume Faye le rappelait cette semaine sur son blog,  c’est que « Charles De Gaulle (il suffit de lire ses textes qu’on évite évidemment d’enseigner dans les écoles de la République) avait  une vision profondément ethnique et enracinée de la France, diamétralement opposée à l’idéologie officielle diffusée par l’oligarchie actuelle. »

     «  L’idée d’un melting pot à la française le révulsait. Comme l’expliquait (Alain)Peyrefitte,  le choix de la décolonisation et du largage de l’Algérie était motivé par le refus d’un modèle français impérial et multiracial au profit d’un modèle national eurocentré (Jean-Marie Le Pen a coutume de dire par antiphrase que le refus de l’Algérie française a débouché sur la France algérienne) ». « Malheureusement, poursuit M. Faye, les successeurs de Charles De Gaulle, pseudo gaullistes, ont laissé faire l’immigration de peuplement (colonisation à l’envers) qui métamorphose et donc abolit la France. »  

     L’ex député FN Yvan Blot le soulignait  aussi sur le site Polemia il y a quelques temps, « l’identité française (…) est définie par la terre et la lignée, une histoire de France, de son droit et de sa morale sociale, une langue et une culture, une religion historique. De Gaulle a dit à Peyrefitte cette phrase devenue célèbre : « Le peuple français est tout de même avant tout un peuple de race blanche, de culture gréco-latine et de religion chrétienne. »

     Bref une vision antithétique à celle de l’UMPS constate Bruno Gollnisch et encore dernièrement à l’opposé du délirant rapport commandé par  Jean-Marc Ayrault au conseiller d’Etat Thierry Thuot. Intitulé « La refondation des politiques d’intégration. La grande nation : pour une société inclusive», celui-ci porte sur les politiques d’intégration des immigrés menées en France depuis trente ans. Là où le FN prône une assimilation vigoureuse en lieu et place de la tendancieuse intégration, M. Thuot invite à la régularisation de la  grande masse des clandestins, à l’enseignement dans les écoles de la (pseudo) identité arabo orientale de la France, au développement assumé du communautarisme.

     Membre du Haut Conseil à l’Intégration  (HCI), mais très hostile à l’immigration-invasion, Malika Sorel a jugé  que ce rapport « veut bouleverser la société française et part du principe que la France est coupable et raciste et qu’il faut tout remettre en cause. Il prône une société multiculturelle alors que c’est un modèle conflictuel, où il n’y a pas de normes. »

     Elle dénonce plus particulièrement la « volonté de remettre en cause la suprématie de la langue française en voulant reconnaître la place essentielle de la langue parlée en famille ». Elle s’insurge aussi  contre le souhait de ce rapport  de «  modifier le contenu des programmes d’histoire en voulant intensifier la transmission de l’histoire colonialiste et esclavagiste. Or, ce sont des thèmes qu’il faut replacer dans leur contexte. Ce rapport veut élever les enfants issus de l’immigration contre la France. » « Enfin, la proposition de supprimer la loi sur le voile est une provocation pure et simple. C’est très grave. Cette loi pacifie justement les écoles et fait qu’un enfant est considéré comme un élève, pas comme un religieux. »

     Si Mme Sorel prêche pour sa paroisse en affirmant que «la  loi sur le voile pacifie les écoles » -la preuve n’en a pas du tout été apportée dans les établissements babélisés des quartiers pluriels – son constat est de bon sens affirme Bruno Gollnisch.

     Un bons sens qui rend d’autant plus incompréhensible les propos peu aimables de Malika Sorel à l’endroit du FN , mais cela est une autre histoire…

  • La ville d'Orange supprime une subvention de 1000 euros aux Restos du Coeur

    Alors que les Restos du cœur viennent de passer le million d'inscrits, la mairie d'Orange va supprimer une subvention de 1000 euros. Le maire de la ville Jacques Bompard (Ligue du Sud) et les élus de la majorité ont adopté jeudi en conseil municipal la suppression de cette subvention car l'association ne participait plus aux réunions mensuelles au cours desquelles étaient exposées les listes des bénéficiaires, a-t-on appris de sources concordantes.

    Les élus de la ville d'Orange (Vaucluse), réunis en conseil municipal autour de leur maire, ont voté la suppression de cette subvention exceptionnelle, initialement accordée le 25 mars 2013.

    "Depuis le mois de février 2013, Les Restos du coeur ne sont plus représentés à ces réunions et ont signifié leur refus de travailler avec les associations caritatives et avec le CCAS", Centre communal d'action sociale, est-il écrit dans la délibération pour motiver la rétractation de la municipalité.

    "Cette rencontre permet à ces acteurs sociaux de vérifier ensemble les répartitions de l'aide alimentaire afin que les bénéficiaires puissent être servis, selon leur demande et dans leur intérêt", précise la délibération.

     

    Conserver "l'anonymat et notre indépendance"

    L'antenne orangeoise des Restos du coeur ne participait pas à ces rendez-vous car elle refuse de divulguer la liste de ses bénéficiaires, mais a continué à collaborer avec le CCAS, a expliqué le responsable départemental de l'association, Gérard Gouin.

    "Nous tenons à tout prix à conserver l'anonymat des personnes que nous accueillons et notre indépendance, c'est la déontologie au niveau national des Restos du coeur", a-t-il indiqué.

    Gérard Gouin, qui n'a pas souhaité commenter cette décision municipale, a sollicité un entretien avec M. Bompard. "Le maire accuse les Restos du coeur de distribuer les denrées alimentaire sans contrôler les ressources des bénéficiaires", a dénoncé la conseillère municipale du Front de gauche, Fabienne Haloui.

    Selon elle, "728 familles ont été secourues et plus de 69 000 repas servis par les Restos du coeur à Orange, pour l'année 2012-2013". Cette année, "les inscriptions sont en augmentation de 59%", a-t-elle ajouté.

    L'enveloppe sera reversée à trois associations caritatives d'Orange. Les Restos du coeur percevaient des subventions très irrégulières de la municipalité d'Orange ces dernières années, a précisé M. Gouin.

     

    La rédaction

    BFMTV 20 12 13

  • L'Ouganda adopte une loi anti-homosexualité impitoyable

    http://www.bfmtv.com/international/louganda-adopte-une-loi-anti-homosexualite-impitoyable-672088.html