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  • Bruxelles - Hélène, virée du Cora: elle n'a pas voulu offrir du café à une femme voilée

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    Publié le Lundi 23 Décembre 2013

    Régions > Bruxelles > Actualité

     

    Hélène Papagregoriou, une Hennuyère, est remontée. Depuis des années, elle vend des machines à café (notamment pour Krups) un peu partout en Belgique. Début novembre, elle refuse une tasse à une dame qui portait le voile. Celle-ci s’est ensuite plainte au directeur du Cora de Woluwe-Saint-Lambert (Bruxelles).

              

     

    Le nœud du problème : elle vend des machines, pas du café. «  Je ne suis donc pas tenue d’offrir une tasse à tous les clients venus  », explique-t-elle. «  J’en propose, bien sûr, à tous ceux qui se montrent intéressés par un achat. Histoire de goûter l’arôme, de se rendre compte des capacités de la machine. Mais ce n’est pas une distribution gratuite.  »

    Début novembre, elle refuse une tasse à une dame qui portait le voile. Celle-ci s’est ensuite plainte au directeur du Cora de Woluwe-Saint-Lambert (Bruxelles). «  Elle a raconté que je ne lui avais rien servi parce que j’étais raciste… Ce qui est faux et scandaleux !  »

    Le même genre d’incident, avec un client africain, se reproduit un peu plus tard. Ce qui a amené le directeur à « virer » la démonstratrice de son magasin.

      "Nous avons simplement constaté que cette vendeuse avait un souci avec un certain type de clientèle" dit-il.

    Sudinfo.be

  • Hollande, prince de l'an Nul

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    Le comportement du prince est mal compris par le peuple de l'an Nul, déjà fort aigri par les maladresses accumulées depuis un an.

                  

     

             

    On n’est plus en l’an Mil, plutôt en l’an Nul, mais ça n’empêche pas que François Zéro se la joue bon prince !

    Il ne lui suffit pas d’arroser, comme ses prédécesseurs, nos lointaines banlieues, ceci afin de calmer les virulents seigneurs locaux, toujours prêts à guerroyer contre nos troupes. Il a aussi son fief, le bougre. Et comme jadis aux temps médiévaux, le souverain n’oublie pas de distribuer prébendes et autres douceurs à ses gens. Sa bonne ville de Tulle, nous apprend une gazette de la capitale, vient de se voir accorder une humble subvention de… 200 000 euros pour l’aménagement du parvis de son futur cinéma. À ce tarif, les séances de lanterne magique vont valoir le coup !

    Mais cela n’est presque rien à côté du flot d’or qui se déverse des cieux élyséens sur la cité : 300 000 euros pour financer le toilettage du quartier de la gare, 500 000 euros accordés par la Duflot et le comte de Moscou-Vichy « pour résorber les poches d’insalubrité de la ville »… Quant à la duchesse de Touraine, en charge de la santé du royaume, elle aurait donné son accord « à l’installation d’une imagerie par résonance magnétique (IRM) à l’hôpital » pour la modique somme de… 3 millions d’euros ! Une broutille, pense-t-on à la cour de Matignon, même si, au même moment, les tavernes du cœur, fondées il y a moult temps par le bouffon Coluche, ont dépassé le million de manants ! Quant aux émeutiers de Bretagne, on finira bien par les faire taire, comme les autres.

    Au coin du feu, les colporteurs nous informent également d’autres largesses que François Zéro a accordées à la bourgade, par le biais d’une de ses favorites, la célèbre poétesse Christeigne de Guyane, en charge de l’aération des prisons : « Comme par hasard, Tulle fait partie des trois villes qui vont retrouver leurs tribunaux de grande instance supprimés par l’ancienne majorité. »

    
Le département tout entier ne sera pas oublié lui non plus, que la populace ne craigne rien en ces contrées déjà bénies jadis par saint Chirac : le royaume socialiste devrait verser d’ici quelques lunes 12 millions d’euros d’aides exceptionnelles au conseil général. La Corrèze chiraco-hollandienne étant le département le plus endetté de France et de Navarre, soit dit en passant.

    En ces temps difficiles, le comportement du prince est, avouons-le, mal compris par le peuple de l’an Nul, déjà fort aigri par les maladresses accumulées depuis un an. D’aucuns espèrent qu’un jour le tiers état se réunira pour mettre fin aux abus du trône… Parce qu’après Giscard le hautain, François la francisque, Chirac le fainéant et Sarko le nain, le peuple aspire à retrouver non pas un monarque d’opérette ou un vizir de pacotille, mais un vrai souverain !

    Joris Karl

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Avortement: l'Espagne retrouve le chemin de l'humanité

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    L’Espagne rétablit le droit à la vie en reconnaissant la valeur intrinsèque de la personne humaine en devenir, qui n’est pas une chose.

    Le gouvernement espagnol appliquera, en 2014, une mesure inscrite dans son programme visant à modifier les lois socialistes de 1985 et de 2010 qui avaient instauré un avortement parmi les plus permissifs au monde : jusqu’à 14, voire 22 semaines. Mais une fois encore, on peut constater le totalitarisme rampant qui règne dans nos médias : « l’Espagne recule », « un retour en arrière », « marche arrière », « régression », « le gouvernement s’attaque au droit à l’avortement », « atteinte au droit des femmes », « perte d’un acquis fondamental », etc…

    À l’inverse, on pourrait dire, par exemple, que l’Espagne rétablit le droit à la vie, qu’elle restaure le droit de l’enfant à naître, qu’elle effectue un indéniable progrès en reconnaissant la valeur intrinsèque de la personne humaine en devenir, qui n’est pas une chose dont un autre être humain puisse disposer à son gré. On pourrait encore se féliciter de la fin d’un privilège, celui de la femme, de décider seule d’une vie qui est aussi issue d’un homme qu’on a de plus en plus tendance à reléguer au rôle de géniteur intermittent dans une vie d’éternel adolescent égoïste.

    Le prétendu droit à l’avortement n’a rien de fondamental. Il ne figure nullement dans les principes du droit. C’est ce qu’on appelle un « droit positif », expression momentanée du rapport de force que l’idéologie féministe est parvenue à imposer. La photographie d’un sac en plastique dans une corbeille, et rempli de fœtus, montre la distance qui n’est pas seulement sémantique entre le féminisme exacerbé et l’humanisme. La vulgarité avilissante des « Femen » en est, hélas, la pire illustration.

    Alors que l’Espagne retrouve le chemin de l’humanité, les socialistes français vont, au contraire, supprimer la référence restrictive – et devenue bien hypocrite – de la loi Veil à la détresse de la mère, afin de marquer solennellement qu’il s’agit d’un droit de la femme. Ce droit unilatéral de « choisir » sera inscrit dans un texte sur l’égalité des sexes. J’espère que l’opposition attirera l’attention du Conseil constitutionnel sur l’inégalité ainsi renforcée entre les deux parents, la femme et l’homme. En attendant, des membres de l’UMP ont déjà voté cette « liberté de la femme » en commission. Les socialistes avaient allongé en 2001 la période durant laquelle l’avortement est autorisé. Il est aujourd’hui, grâce à eux, entièrement remboursé. Ils considèrent manifestement ce geste mortifère comme un acte médical banal, en attendant que l’euthanasie le soit aussi.

    Dans le même temps, les socialistes européens tentaient de faire voter par le Parlement le rapport Estrella, porteur d’une idéologie dominatrice : « Des droits de la femme et de l’égalité des genres. » Ce texte prétendait imposer à toute l’Union européenne un encadrement des droits sexuels et génésiques, c’est-à-dire une législation dans les domaines de l’avortement, de l’éducation sexuelle, de l’orientation sexuelle ou de l’identité, non du sexe mais du genre. Il a été repoussé.

    Certes, l’annonce espagnole et l’échec européen sonnent comme une double victoire sur une idéologie, aussi envahissante qu’absurde. Mais lorsqu’on entend parler d’indignation à propos du projet de loi espagnol, on mesure la consternante inversion des valeurs dans laquelle notre civilisation s’enfonce. L’indignation est une attitude morale provoquée par des droits bafoués. On ne voit que trop, aux cibles des « Femen », que les droits revendiqués portent atteinte à d’autres droits : la liberté de conscience et de religion, la liberté d’éduquer, le droit à la vie, l’égalité de l’homme et de la femme par rapport à l’enfant. Or, ces droits sont tous inscrits, eux, dans les Déclarations européenne ou universelle des droits de l’homme.

    Christian Vanneste

    BOULEVARD VOLTAIRE - 26 12 13

  • L’ex-président du Congrès juif mondial Edgar Bronfman est mort

     

    Figure-clé de l’affaire des fonds juifs en déshérence en Suisse à la fin des années 1990, l’ancien président du Congrès juif mondial Edgar Bronfman est décédé samedi.

    L’ancien président du Congrès juif mondial (CJM) Edgar Bronfman, 84 ans, est mort samedi à son domicile new-yorkais, a annoncé dimanche le quotidien The New York Times.

    Président du CJM entre 1981 et 2007, Edgar Bronfman avait activement participé aux efforts pour contraindre les banques suisses à restituer plus d’un milliard de dollars aux familles des victimes des camps de la mort qui avaient placé leurs capitaux en Suisse avant la Seconde Guerre mondiale, rappelle The New York Times.

    Menace de « guerre totale »

    Les déclarations qu’Edgar Bronfman avait faites dans une interview en mars 1998 avaient provoqué l’indignation en Suisse. Il avait alors réclamé trois milliards de dollars pour régler la question des fonds en déshérence et menacé les banques helvétiques de « guerre totale » si elles n’obtempéraient pas.

    Le Congrès juif mondial en bref

    Le Congrès juif mondial (CJM), fondé en 1936 à Genève, est une organisation faîtière qui regroupe plus de 80 organisations nationales librement affiliées, où il s’interdit toute ingérence.

    Nombre de communautés juives n’en font pas partie.

    Créé pour lutter contre la menace du nazisme, il est basé sur l’idée que le destin du peuple juif est unitaire (source : actufiches.ch).

     

    Voir aussi, sur E&R :
    - « Le lobby israélien aux États-Unis »
    - « Le président du Congrès juif mondial a demandé à la Grèce d’interdire Aube dorée »

  • "Agatha Christie" de Camille Galic

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    Agatha Christie, « la plus belle enquête » : Une biographie merveilleusement incorrecte de Camille Galic

    ♦ L’excellente collection « Qui suis-je ?» des éditions Pardès, qui aux côtés de la collection BA-BA conforte une approche encyclopédique non conformiste thématique et biographique, vient de s’enrichir d’un titre qui fera date, l’« Agatha Christie » de Camille Galic. « L’indétrônable impératrice du crime » a trouvé en fait sa biographe sœur. En effet il y a bien des points communs entre « la duchesse de la mort » et la grande dame de la presse qu’est Camille Galic.


    Camille Galic a toujours traité l’actualité comme on mène une enquête. Elle a toujours cherché la vérité derrière les apparences et le vrai criminel derrière la présentation officielle. Un style impeccable, une plume affinée comme un scalpel, Camille Galic a été la référence d’un journalisme de l’investigation de l’intelligence, la référence des journalistes de combat, et elle continue à exercer ses talents sur le site Polémia qui dénonce avec force et pertinence le « totalitarisme médiatique ».

    Agatha

    Agatha Christie 1949

    On peut facilement l’imaginer, d’ailleurs, dégustant un thé au côté d’Agatha dans un lodge de cette Rhodésie où « les Anglais étaient heureux » devisant autour d’une intrigue  de la fin annoncée d’un certain ordre du monde. Comme Agatha, Galic analyse avec un esprit de déduction rationaliste les passions humaines criminelles ou politiques. C’est ce qui fait de cette biographie une biographie de référence, classique dans la forme mais à jamais unique dans le fond. Elle va au-delà de l’œuvre, elle dévoile les secrets de la pensée d’Agatha. Alors, bien sûr, il y a tout, sa vie privée, ses maris, sa disparition mystérieuse, un événement people parmi les premiers médiatisés, ses livres bien sûr, sa passion pour l’archéologie, ses enquêteurs Miss Marple ou Hercule Poirot, son théâtre, etc.

    Agatha Christie est, en effet, l’un des écrivains les plus connus au monde si l’on considère le nombre de langues dans lesquelles son œuvre a été traduite (plus de 7.135 traductions, ce qui en fait l’auteur le plus traduit en langues étrangères selon l’Index Translationum), et l’importance des tirages de ses romans qui en fait la romancière la plus vendue au monde selon le Livre Guinness des records.

    Agatha Christie a écrit 67 romans (dont 6 romances sous le pseudonyme de Mary Westmacott qui correspond à ses écrits les plus personnels), 190 nouvelles réunies en une quinzaine de recueils, 18 pièces de théâtre (+ 5 adaptations par d’autres auteurs), quelques poèmes et une autobiographie. Une grande partie de ses romans et nouvelles a été adaptée au cinéma ou à la télévision (20 films et plus de 100 téléfilms, en particulier Le Crime de l’Orient-Express, Dix petits nègres, Mort sur le Nil et Le Train de 16h50. La BBC a également produit des téléfilms et des émissions radiophoniques de la plupart des histoires qui mettent en scène Hercule Poirot et Miss Marple. L’une de ses pièces de théâtre, The Mouse Trap (La Souricière), a été présentée pour la première fois à Londres en 1952 au St Martin’s Theatre, et détient, depuis, le record de la pièce jouée le plus longtemps sans interruption.

    Le 3 décembre 1926, très affectée par la mort de sa mère et l’infidélité de son mari (amoureux de Nancy Neele, dactylo dans la compagnie d’assurance pour laquelle il travaille, il lui a annoncé son intention de divorcer), Agatha Christie disparaît. Le lendemain, la police retrouve sa voiture, abandonnée près de l’étang de Silent Pool. La presse britannique s’empare alors de l’affaire : suicide d’une femme délaissée, meurtre commandité par son époux voulant retrouver sa liberté, coup de publicité d’une romancière voulant renforcer le succès de ses livres… Les hypothèses ne manquent pas. Elle est retrouvée douze jours plus tard dans le Swan Hydropathic Hotel, hôtel de la station balnéaire d’Harrogate, ayant tout oublié. Agatha devait en retirer à jamais une aversion pour la presse, une crainte panique des journalistes et de la foule  qui la poursuivent tel « un renard traqué dans son terrier par une meute de chiens hurlant sans cesse à ses trousses ». Elle avait bien décrit la chasse à courre médiatique, avant l’heure.

    Dans cette biographie de Camille Galic, on est aux sources des inspirations de l’auteur et on a les explications pour tout comprendre de son œuvre restituée magistralement dans sa diversité.

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    Hercule Poirot et Miss Marple

    Mais il y a plus, bien plus. Derrière une petite jeune fille à la jeunesse dorée d’un autre temps, jusqu’à l’écrivain  britannique la plus connue au monde et anoblie par la reine, il y a une vision du monde qui, pour les tenants du politiquement correct, la classerait dans les vieilles dames indignes. Galic a su le comprendre et le révéler.

    Agatha est une suprématiste anglaise. Traditionaliste mais libre, femme la plus connue du monde mais antiféministe, elle est une femme de velours au mental de fer. Elle est un produit de la fierté impériale d’un pays qui devait gouverner le monde. Elle éprouvera pour le nazisme une fascination-répulsion partagée par bien plus d’Anglais que la version officielle de l’histoire ne le laisse entendre. C’est un volcan maîtrisé, cette femme… une criminelle née devenue enquêtrice pour peut-être dominer ses pulsions.

    Agatha n’a pas toujours été une vieille lady, elle a été une femme amoureuse, jalouse et exceptionnelle. Cela, on le retrouve dans ses romans. Elle n’a aucun complexe du colonisateur, bien au contraire. Elle met l’Anglais au sommet de la chaîne de la civilisation. On tente maintenant de dénaturer parfois son œuvre dans des adaptations pour la faire coller avec le monde d’aujourd’hui, qu’elle aurait méprisé au-delà de l’imaginable. Quand on pense que son livre le plus connu  Les 10 petits nègres a vu son titre changé en S’il n’en restait qu’un, on voit en effet qu’il ne reste pas grand-chose de l’univers qui a inspiré Agatha ni de ses valeurs hiérarchisées, un univers où la cruauté et le crime cheminent avec la classe en habits de soirée, où l’on tue en restant un gentleman et une lady dans la fierté de l’empire. La gentry n’est jamais bien loin, l’exotisme non plus, ni l’insolite. L’échec de son premier mariage et la passion réussie avec son second mari font croire qu’un long calme a succédé à une tempête, mais cette biographie montre que l’on peut être l’image de la dignité en étant une rebelle jamais vraiment apaisée.

    C’est une criminelle de papier qui reste d’actualité, jamais démodée, un style qui ne prend pas d’âge tout en nous parlant d’un autre monde où les choses étaient à leur vraie place, même les armes du crime. Il y avait de l’aventurière dans cette femme des salons « cosy » bien ordonnés. Ses voyages, sa passion de l’archéologie en sont des exemples frappants. Avant Indiana Jones, il y eut  Meurtre en Mésopotamie et La Mort n’est pas une fin, une curiosité d’enquête historique qui nous a donné la passion des romans historiques dans l’Egypte antique.

    Demain l’œuvre d’Agatha sera sans doute récupérée et transformée dans des adaptations couleur de notre époque. La récupération chemine avec la trahison. Heureusement il restera ce Qui suis-je de Camille Galic pour ceux qui veulent connaître la vraie personnalité à travers l’œuvre incomparable de l’indétrônable Agatha Christie. Toute vie est une intrigue, toute biographie est une enquête et celle de Camille Galic est fidèle à la lettre et surtout à l’esprit de la Kipling du crime.

    Jean Ansar
    17/12/2013

    Camille Galic, Agatha Christie, Editions Pardès, Collection « Qui suis-je », décembre 2013, 128 pages.

      Source : Metamag.fr

    NdB: Offrez-vous ce livre, que je suis en train de lire et qui m'enchante! On est transporté à des années-lumière de l'imbécillité de notre époque, de sa vulgarité crasse, on redécouvre la liberté de penser et de s'exprimer. Une libération bénéfique!

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Le chômage repart à la hausse en novembre

     

    La France comptait 17.800 demandeurs d'emploi supplémentaires en novembre, selon les chiffres du ministère du Travail publiés ce jeudi 26 décembre. Le chômage des jeunes repart également de l'avant.

                   
    Yann Duvert
    Le 26/12/2013 à 17:59
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    La baisse du mois d'octobre n'aura donc été qu'éphémère. Selon les chiffres du ministère du Travail, publiés jeudi 26 décembre, le nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A (sans aucune activité) est reparti à la hausse au mois de novembre. Au total, 17.800 chômeurs supplémentaires ont été dénombrés, soit une augmentation de 0,5%.

    Le nombre de chômeurs de catégorie A de moins de 25 ans, lui, est reparti à la hausse (+0,4%), alors que la tendance semblait positive ces derniers mois.

    Sur un an, le nombre de demandeurs d'emploi n'ayant exercé aucune activité a  augmenté de 5,6%. Fin novembre, ils sont ainsi 3.293.000 dans cette situation.

    Pas que des mauvaises nouvelles

    Si l'on veut voir le verre à moitié plein, les chiffres du mois de novembre offrent également leur lot de bonnes (mais relatives) nouvelles.

    Le nombre de chômeurs de catégorie B (avec une activité réduite courte) a en effet chuté de 3,1%. En ce qui concerne la catégorie C (activité réduite longue), une baisse de 0,4% est également à noter.

    Au total, le chômage pour les catégories A,B et C a globalement baissé en novembre, de 0,1%. Sur un an, il reste toutefois en forte hausse, de 5,9% et le nombre de chômeurs s'élève désormais à 4.876.100.

    En attendant les derniers chiffres de 2013, publiés en janvier prochain, une chose est sûre:  l'inversion de la courbe du chômage, quoiqu'"effective" selon Michel Sapin, reste très fragile.


    BFMTV

  • Le Premier ministre nippon à Yasukuni : « inacceptable » pour Pékin

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    Par La Voix de la Russie | La visite effectuée jeudi par le Premier ministre japonais Shinzo Abe au sanctuaire controversé de Yasukuni où sont honorés les morts de la IIe guerre mondiale est « absolument inacceptable », a déclaré un responsable chinois.

     « C'est absolument inacceptable pour le peuple chinois » et le Japon devra « en assumer les conséquences », a déclaré le Directeur général des Affaires asiatiques du ministère chinois des Affaires étrangères, Luo Zhaohui, sur le compte de microblogs du ministère.

     Le responsable a ajouté que cette visite, la première d'un chef de gouvernement japonais depuis 2006, « blesse les sentiments des peuples d'Asie et crée un nouvel obstacle aux relations bilatérales » avec la Chine.

     Yasukuni, sanctuaire shintoïste situé en plein Tokyo, honore les 2,5 millions de soldats morts pour le Japon durant les guerres modernes, mais abrite aussi les noms de 14 criminels de guerre condamnés en 1946 et symbolise ainsi le passé militariste japonais.

     Le gouvernement et le Parti communiste chinois (PCC) protestent régulièrement lors des visites du sanctuaire de Yasukuni par des responsables japonais.

     L'invasion de la Chine par le Japon dans les années trente a fait plusieurs millions de morts parmi la population chinoise et a été marquée par de nombreuses atrocités de la part des troupes japonaises.

     Les relations entre les deux pays se dégradent depuis plus d'un an en raison du litige territorial autour d'îles inhabitées en mer de Chine orientale. 
    http://french.ruvr.ru/news/2013_12_26/La-visite-de-Shinzo-Abe-a-Yasukuni-absolument-inacceptable-pour-Pekin-9802/

  • Le Quai d’Orsay complice de la fuite du délinquant franco-israélien Arcadi Gaydamak

     

    Les services de Fabius ont saboté l’arrestation du délinquant franco-russo-israélien Arcadi Gaydamak, à en croire la dernière livraison du Canard enchaîné.

    Poursuivi depuis des années dans l’affaire de trafic d’armes dite « Angolagate », Gaydamak, longtemps défendu par l’avocat ultra-sioniste Goldnadel, a été condamné en 2011 par un tribunal français à 3 ans de prison et 375 000 euros d’amende.

    Ne mettant plus les pieds en France depuis le début de ses ennuis judiciaires et vivant le plus souvent en Israël ou en Russie, le milliardaire a cependant commis une imprudence en se rendant en Suisse, où il a été arrêté pour une autre affaire.

    Mis au courant, le ministère français de la Justice traîne apparemment un peu la patte, mais finit quand même par délivrer un mandat d’arrêt européen.

    Sauf que c’est par le biais du ministère français des Affaires étrangères que le document doit parvenir en Suisse. Trop tard, grâce aux bons soins du Quai d’Orsay.

     

    Voir aussi, sur E&R : « L’homme d’affaires franco-israélien Arcadi Gaydamak arrêté à Zurich » (26 novembre 2013)

  • Bonnes fêtes aux lecteurs de Metamag et rendez-vous le 6 janvier

    Bonnes fêtes aux lecteurs de Metamag et rendez-vous le 6 janvier - Poutine, homme de l’année

    Poutine, homme de l’année



    metamag
    le 24/12/2013
    La célébration par une partie de la presse du pape François est révélatrice de l’hypocrisie et de la subversion médiatique. Le pape François n’est certes pas homme de l’année parce qu’il est catholique. Non, les journalistes militants espèrent qu’il va ouvrir l’Eglise à la religion cathodique autour de l’avortement, des homosexuels, et des divorcés.

    Ils ne pensent qu’à ça. C’est en s’attaquant aux mœurs, faute de pouvoir agir sur le politique et le social, que les médias veulent changer notre société pour en faire un  monde à leur image. Ce changement de civilisation, dont les Français ne veulent pas, a été illustré encore en France par le rapport sur l’immigration proposant les moyens d’instaurer une future France métissée et musulmane.
    .
     
    Que ceux qui souhaitent la fin des racines chrétiennes de l’Europe célèbrent le pape François devrait nous ouvrir les yeux. L’ancienne civilisation, celle d’aujourd’hui encore et de demain avec un  peu effort et de courage, est défendue objectivement par un seul homme dans le monde. C’est Poutine. On peut en penser ce que l’on  veut, et il y en aurait à dire, mais c’est comme ça. Celui qui est pour la nation, la famille traditionnelle, la civilisation de l’ Europe millénaire et de ses valeurs fondatrices, c’est Poutine. C’est pourquoi il est l’homme de l’année. 

    Il a évité au monde une guerre imbécile contre la Syrie au profit des fanatiques obscurantistes et freiné la menace militaire contre l’Iran. Mais il a aussi fait la synthèse de toutes les gloires et brûlures de l’histoire pour préparer l’avenir,  parce qu’il assume tout – Pétain et de Gaule pourrait-on dire, à des années lumières donc du manichéisme obsessionnel français. Il est le seul Européen historique encore debout.


    Alors que s’ouvre l’année 2014, centenaire du début de cette guerre civile européenne imposée déjà par ses fanatismes idéologiques, il est bon de réfléchir à ce siècle de 14 ( livre indispensable) comme l’écrivait Dominique Venner , samouraï d’occident, grand disparu de l’année 2013.
     
    Oui notre civilisation peut mourir, notre nation aussi. La haine de soi et l’ idolâtrie de l’autre est la maladie mentale terrible des fausses élites du fric et des histrions et qui est  diffusée par le poison médiatique. Plus que jamais contre la désinformation mortifère, la civilisation du courage et du beau est en état de légitime défense. Esprit critique réveille toi.

    Bonne nouvelle année de combat  et de réflexion.

    METAMAG

  • L'origine contre-révolutionnaire des santons de Provence

     

    A l'occasion de son numéro de Noël, Minute retrace l'histoire des santons. Car si la première crèche date de Saint François d'Assise, la création des célèbres santons de Provence est plus récente. Extraits :

    P"[...] En 1793, pour bouffer du curé, les révolutionnaires, qui font régner la terreur, interdisent la messe de minuit et les crèches dans les églises. A Marseille, où, depuis 1214 sur la colline de la Garde la Bonne-Mère veille sur la ville, la mesure indigne et l’interdit est contourné. Avec la malice d’un Don Camillo se jouant des mauvais tours de Peppone, certains habitants installent chez eux des crèches et invitent leurs voisins à venir les admirer. Malheureusement, cela n’est pas donné à tout le monde de pouvoir créer de telles crèches. A cette époque, les figurines sont en cire, leur prix est élevé et elles sont alors réservées à une clientèle aisée. Dès 1797, un homme a alors l’idée de cuire, dans des moules de plâtre, des sujets en argile, dont le coût de production, modique, peut assurer une distribution meilleur marché. Des sujets en argile, car « môssieu », de même qu’un bon pastis est élaboré avec de l’anis étoilé, le vrai santon de Provence est en argile ! Cette fois, on tient notre homme, le créateur du santon. Mais son nom est encore un mystère…

    [...] C’est en 1953 que toute la lumière va enfin être faite. Un passionné de culture provençale, l’avocat Leopold Dor, fait don, au Musée du Vieux-Marseille, d’une collection de moules anciens d’où sont sortis les premiers santons ! Sur ces précieux objets, une signature : Lagnel. Le père des santons est identifié. Il s’agit de Jean-Louis Lagnel, né en 1764, mort en 1822. Et on n’est pas au bout de nos surprises… Sur ses derniers moules, Lagnel gravait également la date de création. Sur une pièce figure ainsi « 25 mas 1817 ». Il faut lire 25 mars 1817, mais s’il manque un « R », ce n’est pas une erreur, mais une volonté délibérée ! Comme tous ceux à qui la Révolution avait inspiré une sainte horreur, il refusait d’utiliser la lettre « R », l’initiale de l’événement maudit. Cette marque de mépris avait été lancée, dès 1795, par les « Muscadins », jeunes royalistes qui, élégants, raffinés et parfumés de musc, refusaient de prononcer la lettre « R » par haine de la Révolution. [...]"

    Et c'est aussi pourquoi le Salon Beige lance chaque année un concours de crèches.

    Michel Janva

  • JOYEUX NOËL A TOUS LES AMIS DU BLOG !

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  • L'Adoration des bergers

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    Georges de La Tour  (1593-1652)

  • La Nativité

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    Nativité de Domenico Ghirlandaio  (Florence 1449 -1494)

  • Le patriarche Cyrille a souhaité un Joyeux Noël aux chrétiens des pays occidentaux

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    Par La Voix de la Russie | Le patriarche Cyrille, chef de l'Eglise orthodoxe russe, s’est adressé aux fidèles chrétiens qui célèbrent aujourd'hui la fête de Noël, avec un message de la paix et de bonheur.

     Le patriarche Cyrille, chef de l'Eglise orthodoxe russe, s’est adressé aux fidèles chrétiens qui célèbrent aujourd'hui la fête de Noël, avec un message de la paix et de bonheur.

    Noël – c’est la fête principale de l’histoire humaine, explique le chef de l’Eglise orthodoxe russe dans son message. Il rappelle qu’avec l'incarnation du Fils de Dieu, la nature humaine a atteint des sommets sans précédent, et chaque vie humaine a une valeur inestimable. Tout cela devrait nous inciter à considérer chacun avec bonneté chaque personnes, indépendamment de leurs pensées et intentions.

     Le patriarche Cyrille souhaite un Joyeux Noël à tout le monde et souhaite à chacun la paix et la prospérité pour la nouvelle année.
     http://french.ruvr.ru/news/2013_12_24/Le-patriarche-Cyrille-a-souhaite-un-Joyeux-Noel-aux-chretiens-des-pays-occidentaux-6980/