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  • Evry (chez Manuel Valls) : 4 jeunes immigrés récidivistes violent collectivement une jeune fille car elle est française

     

    Des actes ignobles mais désormais fréquents dans la « France d’après », envahie.

    Ils ont été scolarisés, nourris, financés par les Français.
    Ils sont mineurs mais déjà délinquants récidivistes, en liberté et sur le sol français bien sûr.
    Ils trouvent le moyen de violer collectivement une jeune Française, se justifiant ensuite auprès de la police : « les Français sont tous des fils de pute ».

    « Il est des faits divers de portée générale. Celui-là en est un ; non par son atrocité car notre vie quotidienne en est hélas nourrie, mais par sa signification. Il s’est déroulé le 30 mars, peu après minuit, dans un parc d’Évry, le chef-lieu de la circonscription du premier ministre Manuel Valls. Comme cela s’est passé durant la nuit qui précédait le second tour des élections municipales, cette affaire n’a pas eu le retentissement mérité. Elle le devrait pourtant.

    Ce soir-là, une jeune fille de 18 ans descend du RER en gare d’Évry. À sa sortie, elle donne un appel de son téléphone portable. Quatre individus se jettent sur elle et l’emmènent dans un parc voisin. Ils la dépouillent de tout ce qu’elle possède, puis la déshabillent et la violent à tour de rôle. Un viol indescriptible de cruauté barbare. Les quatre vont la martyriser pendant plus de deux heures avant de l’abandonner, blessée jusqu’au sang. Un automobiliste la prend en charge, appelle les secours. Elle aura l’énergie de témoigner en portant plainte. Les policiers l’accompagnent aux urgences. On lui donnera trois mois d’arrêt de travail. La voilà choquée pour la vie.
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    Contre-info.com

  • Ce catholicisme que certains aimeraient réduire à néant…

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    Le 4 avril 2014
    C'est la religion catholique qui a façonné notre pays. En tentant coûte que coûte de la réduire à néant, la République prend un risque considérable.
     
     
             

    « On ne peut construire un pays de libertés avec le catholicisme […] il faut fonder une religion républicaine. » Vous avez sans doute déjà entendu cette phrase désormais fameuse de l’ex-ministre de l’Éducation nationale, Vincent Peillon. Aujourd’hui, le débat sur la place du catholicisme en France revient au moment où un rapport nous apprend que 250 églises sont menacées de démolition en France, que l’église Sainte-Rita (XVe) va être détruite pour laisser place à des HLM et que seuls 21 % des 18-24 ans se déclarent catholiques.

    Le ministre est parti, me direz-vous, mais l’idéologie reste, bien ancrée comme une tique à sa plaie. Depuis la Révolution française et l’instauration de la République, la France nourrit une profonde haine pour le catholique qui représente le royaliste, le réactionnaire, celui qui s’oppose au rythme immuable du progrès et à l’ordre républicain. En son temps, Gambetta disait déjà : « Le cléricalisme, voilà l’ennemi ! ». C’était il y a 130 ans, l’idéologie reste, on vous dit…

    De plus en plus de Français le pensent, et particulièrement ceux des jeunes générations dont je fais partie : le catholicisme, c’est fini. Je ne compte plus le nombre de fois ou l’on m’a dit : « Les catholiques, c’est des coincés, des réacs, des homophobes. » La République a bien fait son travail : non seulement les jeunes ne sont plus catholiques, mais ils sont « cathophobes » !

    On oublie, dès lors, que le catholicisme n’est pas synonyme de contrainte et d’oppression. Certes, l’Église a fait des erreurs, mais on préférera parler ici de religion plutôt que de l’institution… Outre les dix commandements et les valeurs de cohésion et de fraternité, le catholicisme est avant tout une morale et une raison supérieure auxquelles se vouer, des valeurs auxquelles se conformer, qui permettent, quand elles sont partagées, de créer une nation unie, plutôt qu’un pays d’individualistes, où chacun se conforme à « sa morale » au détriment des autres et où naissent les communautarismes, réponses désespérées au manque d’unité nationale et de sentiment d’appartenance à la nation.

    Mais ce que l’on risque surtout en tuant le catholicisme, c’est de voir apparaître d’autres morales, d’autres systèmes de valeurs, puisque l’homme en a besoin. Ce système concurrent aujourd’hui, c’est la religion musulmane. Dans 30 ans, les musulmans pratiquants seront plus nombreux que les catholiques pratiquants en France… Les 36.000 églises désertées que compte notre pays s’orneront-elles alors de minarets ?

    N’en déplaise à M. Peillon, c’est la religion catholique qui a façonné notre pays. En tentant coûte que coûte de la réduire à néant, la République prend un risque considérable. Comme disait Tolstoï : « Si Dieu n’existe plus, tout est permis. »

    Maxime BELACEL, étudiant

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Marseille : chez Stéphane Ravier (FN), un mariage gay pour commencer

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      Marseille / Publié le Mercredi 09/04/2014 à 05H22

     

    Élu maire des 13e et 14e arrondissements, le chef de file marseillais du Front national entrera officiellement dans ses fonctions vendredi matin. Avec un mariage gay pour premier acte en tant que maire.

     
    Premier maire Front national élu dans les 13e-14e, Stéphane Ravier est déjà face à un dilemne.

    Photo Cyril Sollier

     

    C'est l'histoire d'un pied de nez. D'un croc-en-jambe du destin. Élu maire des 13e et 14e arrondissements il y a dix jours, le chef de file marseillais du Front national Stéphane Ravier entrera officiellement dans ses fonctions vendredi matin, lors d'une cérémonie qui se tiendra au même moment, à 10 heures, dans les huit mairies de secteur. Une formalité. Suivie, dès l'après-midi, par un casse-tête quasi burlesque. Son premier acte en tant que maire est prévu à 15 heures. Un mariage gay. "C'est l'histoire de ma vie, rigole Stéphane Ravier. Jusque-là, tout était parfait. Je suis seul au point de penalty, je crochète le gardien, je n'ai plus qu'à pousser le ballon au fond des filets et là, le tacle par derrière", s'amuse l'inconditionnel du FC Barcelone, féru de football en général.

    De mariage homosexuel, en revanche, il "n'est pas fan. J'ai une conception très jospinienne du mariage", poursuit-il, s'appuyant sur une sortie remarquée de l'ancien Premier ministre socialiste selon laquelle : "L'humanité est structurée sur le rapport hommes - femmes." Une pirouette politique, cette fois, pour dire son opposition aux unions qui d'après lui "ne sont pas naturelles, civilisationnelles, à savoir entre un homme et une femme". Que va-t-il donc faire vendredi, sachant que les bans ont été publiés ? "Respecter la loi. Nous sommes légalistes et je ne vais pas me mettre en travers dès le premier jour. Je vais donc chercher un coéquipier", reprend-il.

    Il faut dire que le maire frontiste a un alibi en béton vendredi après-midi. Il est convoqué à 14h30 à un conseil municipal destiné à voter les délégations des adjoints de Jean-Claude Gaudin en mairie centrale. "Je ne peux pas être partout à la fois", dribble-t-il. Le matin, il aura eu le temps de désigner ses quatorze adjoints qui sont autant d'officiers d'État-civil. Habilités à célébrer un mariage. "Je trouverai un volontaire, assure-t-il. Et s'il le faut, j'en désignerai un."

    Reste que, au-delà de la boutade, la question cruciale de "convictions politiques personnelles" qui se heurtent à un volcan sociétal se posera nécessairement à nouveau. Et pas forcément dans des termes aussi détendus.

    La Provence

  • Manuel Valls intolérant… au gluten aussi.

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    Le 8 avril 2014
    Intolérance au gluten, au poisson, à l’appartement de Matignon, au lit dans lequel a dormi Claude Guéant, à Dieudonné, à Soral…
             

    Affichée sur un mur des cuisines de Matignon, la longue liste des aliments que le Premier ministre ne supporte pas se déroule comme un long jour sans « faim ». Entre autres restrictions, Manuel Valls est victime d’une intolérance au gluten, allergie galopante que certaines mauvaises langues attribuent au pesticide « Roundup » de Monsanto, multinationale par ailleurs grande promotrice des OGM, dont le candidat aux primaires socialistes affirmait être un ardent défenseur. Version culinaire de l’arroseur arrosé. On n’est jamais si bien empoisonné que par soi-même.

    Placés devant cet impératif, les cuisiniers de la rue de Varenne ne savent plus où donner de la toque. Le gluten est présent partout : pain, biscuits, gâteaux, pâtes, pizzas, couscous… Ouvrir une boîte de petits pois… Décongeler un steak haché bio… Que faire d’autre ? Dix ans d’expérience dans les plus grands palaces, une étoile au Michelin, pour en arriver là… Une bien triste fin de carrière.

    Monsieur Manuel Valls n’aime pas le poisson non plus. En cuisine, un coup de feu retentit. Le chef a mis fin à ses jours. Un commis remet les boîtes de poisson pané au congélateur, un autre appelle Pôle emploi. L’employé au téléphone le rassure : régime viande rouge et légumes verts. Et vice versa les jours de réception. Rien d’autre. Quinze minutes de préparation sur un camping gaz, RTT à volonté… Que demande le peuple ?

    Côté madame, on refuse de quitter son appartement du onzième arrondissement de Paris pour emménager à Matignon. Pour de multiples raisons… « Je ne veux pas dormir dans l’ancien lit de Claude Guéant », affirmait déjà Anne Gravoin lorsqu’il était question de s’installer place Beauvau. Là aussi, un matelas pneumatique de camping, posé à même le sol de la chambre eût été la solution permettant d’éviter les morpions et autres parasites laissés par l’insalubre Guéant. Oui, mais ce n’est pas tout… D’après l’intéressée, le logement de fonction à Matignon n’est pas adapté au travail du violon. Longueur de l’archet : 4,50 m. À moins d’ouvrir les fenêtres, ça ne passe pas. Hypothèse crédible.

    « Nous continuerons à vivre chez nous. Anne a beaucoup de travail, elle est évidemment à mes côtés et moi à ses côtés. Elle a un concert important à Pleyel, c’est très important pour nous », confie le mari de la musicienne. Selon toute vraisemblance, le Premier ministre tourne les pages de la partition… Un travail très prenant. Réduire le chômage entre deux concertos se conçoit exclusivement à partir du domicile.

    Intolérance au gluten, au poisson, à l’appartement de Matignon, au lit dans lequel a dormi Claude Guéant, à Dieudonné, à Soral… Sur les murs de la ville, la liste des intolérances se déroule comme un long jour sans fin…

    Jany Leroy

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Procureur Chauvelot : acquittement pour insultes à Marine, prison et amende pour critique de l’islam

    http://ripostelaique.com/procureur-chauvelot-acquittement-pour-insultes-a-marine-prison-et-amende-pour-critique-de-lislam.html

  • Gouvernement Valls : sionisme et mondialisme aux commandes de l’État français

     

    Le (très sarkozyste) député des Français de l’étranger Frédéric Lefebvre n’a pas exclu de voter la confiance à Manuel Valls. On pourrait s’étonner de ce soutien pour le moins inattendu, mais ce serait oublier que les vrais clivages politiques n’épousent pas nécessairement les oppositions partisanes. Oublier aussi que Nicolas Sarkozy lui a proposé à plusieurs reprises d’être ministre du gouvernement Fillon, le jugeant ainsi « sarko-compatible ». Appartenant à deux formations politiques rivales, Manuel Valls et Frédéric Lefebvre ont en commun un atlantisme à toute épreuve et un attachement inconditionnel à Israël qu’ils revendiquent haut et fort. Quoi de plus banal ? Après des décennies de (relative) indépendance politique et géostratégique, la vie politique française s’organise désormais exclusivement sur le socle idéologique du sionisme.

    « Véritable ami des juifs et d’Israël » selon le CRIF, qui le lui rend bien, Frédéric Lefebvre n’a pas hésité à apporter publiquement son soutien à l’État hébreu au moment de l’affaire dite de « la Flottille », à celui de l’opération « Plomb durci »… ou à tenter de récupérer a des fins politiciennes l’émotion suscitée par la « tuerie de Toulouse ». « Son amitié et son engagement pour Israël ne datent pas d’hier », commente William Abbou, membre du Bureau de l’Union des patrons et professionnels juifs de France (UPJF), qui précise que le Secrétaire d’État « n’a jamais varié dans son soutien ou ses prises de position ». Encore en juillet dernier, il demandait au ministère de l’Intérieur de saisir le Conseil national du numérique (CNNum) pour faire des propositions qui, « tout en respectant la neutralité du Net, permettent d’éradiquer la propagande antisémite, antisioniste qui se retrouve aujourd’hui (sur les réseaux sociaux) ». Sans surprise, son vœu a été exaucé par son ami de 20 ans, Manuel Valls, ce qui a notamment valu à la France d’être désormais au premier rang de la censure de tweets. On n’en attendait pas moins de celui qui a fait de la mise au ban d’un humoriste une priorité nationale et pour qui les juifs de France sont « à l’avant-garde de la République ».

    On devine facilement les cibles du « gouvernement de combat » qu’il vient de former – Dieudonné et Alain Soral, dont la mise au ban est élevée au rang de priorité nationale... – et ses ambitions également : mettre la France aux normes du mondialisme, la soumettre aux exigences de la troïka qui l’a placée il y a un mois sous surveillance renforcée pour son manque de compétitivité et pour le niveau élevé de sa dette, et l’arrimer au bloc USA-Israël. Pour cela, il se dit prêt à user de l’arme pénale pour faire taire toute voix dissidente. Son discours au Trocadéro en dit long : pour lui, comme pour ceux qui lui ont succédé à la tribune, l’antisionisme (la critique à l’égard de l’expansionnisme d’Israël) relève de l’antisémitisme. Il ne fait d’ailleurs que copier les déclarations du président du CRIF lui-même :

    « L’antisionisme est aujourd’hui la forme la plus commune de l’antisémitisme : il stigmatise de façon très injuste l’État d’Israël d’un opprobre auquel échappent tous les autres pays quel que soit leur comportement. Les médias ont malheureusement eux-mêmes diffusé malencontreusement à plusieurs reprises des documents de propagande attribuant faussement à Israël des assassinats d’enfants, qui alimentent cette éducation à la haine qui est l’un des obstacles majeurs, sinon l’obstacle majeur, à la paix. »

    Cette interdiction formelle de toute critique contre la politique de l’État d’Israël ou contre l’emprise du sionisme en France justifie et officialise la domination d’une minorité prétendument élue sur une majorité déclarée subalterne. Dans un éclair de lucidité, le président de la LICRA l’a d’ailleurs avoué : être antisystème c’est en réalité être antisémite. Ce qui en dit long sur la nature du dit système…

    Au-delà de ses déclarations martiales de mise au pas de la dissidence et de la brutalité affichée de sa politique – justement dénoncée – se cache une soumission étroite au mondialisme. Membre du Siècle et du groupe Bilderberg, Manuel Valls est l’homme de main de la finance internationale. Il est aussi pour l’hyperclasse mondialisée l’homme de la situation, qui exige de la France, par la voix de la troïka, une nouvelle économie de 50 milliards de dépense publique d’ici à la fin du quinquennat. Sans surprise, elle se réalisera quasi-exclusivement sur le dos des travailleurs sous couvert de baisse du « coût du travail » (voir ici les principales annonces de sa déclaration de politique générale) et signifiera concrètement l’accélération du démantèlement du modèle social hérité du Conseil national de la Résistance, conséquence du désengagement annoncé de l’État. En cela, il ne fait que poursuivre, tout en l’aggravant, la politique suivie par ses prédécesseurs dictée par la finance mondialisée.

     

    VIDEO: Le discours de politique générale de Manuel Valls le 8 avril 2014 à l’Assemblée nationale 

    E&R

  • Patrick Bruel Benguigui refuse de chanter dans les villes Front national

     

    Patrick Bruel est le parrain du Téléthon 2013
     

    Dans une interview au magazine "Technikart", le chanteur confie "ne pas vouloir se produire devant une institution dont [il] méprise l'idéologie".

    Le Front national a conquis plusieurs mairies lors des dernières élections municipales. Hénin-Beaumont, Fréjus, Béziers : ces désormais bastions FN n'accueilleront plus Patrick Bruel en concert. Le chanteur, actuellement en tournée, a affirmé ne plus vouloir se produire devant des institutions d'extrême-droite.

    Dans une interview au magazine Technikart, le chanteur évoque l'affaire Dieudonné et revient sur les dangers du FN. 

    "Des électeurs désespérés"

    "Même si je peux comprendre que des électeurs désespérés répondent à un discours populiste, je ne veux pas me produire devant une institution dont je méprise l'idéologie". 

    En 1995, Patrick Bruel avait annulé ses concerts dans des villes comme Toulon ou Orange, devenues frontistes, pour marquer son opposition à ce parti "xénophobe et raciste".

    "Un nouveau mouvement s'impose"

    Artiste engagé et ancien parrain de SOS Racisme, il penche pour la création d'une nouvelle organisation contre le racisme. "Un nouveau mouvement s'impose pour résister au scandale de l'immonde Jour de colère (un collectif d'extrême-droite) qui renvoie aux heures les plus sombres de notre histoire", a-t-il indiqué dans le magazine Technikart, cité par ChartsinFrance.

    Et d'ajouter : "Je crois surtout que le salut doit venir de l'école, du refus du repli sur soi proposé par les discours populistes".

    RTL.FR

  • La phrase du jpur

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    « Si les roses, qui ne durent qu'un jour faisaient des histoires... elles diraient : "Nous avons toujours vu le même jardinier ; de mémoire de rose on n'a vu que lui... Assurément il ne meurt point comme nous, il ne change seulement pas.  »

     Bernard le Bouyer de Fontenelle  (1657-1757)

    Extrait des Entretiens sur la pluralité des mondes

  • Holodomor, un génocide oublié

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    Orchestrée par le régime soviétique, la grande famine d'Ukraine fit plus de 4 millions de morts. Un crime dont on commémore, aujourd'hui, les 80 ans.


         
    Viktor Iouchtchenko et sa femme se recueillent au mémorial de l'Holodomor, 2009 - Mykola Lazarenko/AP/SIPA
     
    Quatre-vingts ans après la grande famine qui a frappé l'Ukraine soviétique en 1932-1933, coûtant la vie à plus de 4 millions de paysans, les documents historiques attestant que ce crime stalinien fut en réalité un génocide se multiplient.

    Un colloque historique international consacré à l'Holodomor («extermination par la faim», en ukrainien), organisé fin novembre à l'Institut des langues et civilisations orientales (Inalco), à Paris, ainsi que la publication d'une prophétique correspondance diplomatique*, compilée par l'historien italien Andrea Graziosi, devraient contribuer à dissiper ce qui demeure, en France, un tabou hérité de la guerre froide.

    Qualifiée de génocide par le Parlement ukrainien, en 2006, la grande famine de 1932-1933 a depuis été reconnue comme tel par 24 pays - dont les Etats-Unis, le Canada et l'Australie, trois pays à fortes diasporas ukrainiennes, mais aussi par l'Espagne, les pays baltes et d'Europe centrale, et la Géorgie.

    Mais ni la France, pourtant si friande de lois mémorielles, ni la Grande-Bretagne ou l'Allemagne n'ont franchi ce pas, un silence que l'historien Nicolas Werth n'hésite pas à attribuer, en ce qui concerne l'Hexagone, à l'«effet Stalingrad» - autrement dit, à la réticence à critiquer l'allié soviétique grâce auquel la bête nazie fut terrassée.

    Pourtant, ce crime méticuleusement organisé par Staline, pour la première fois publiquement évoqué sous la perestroïka de Gorbatchev, est étayé par de nombreux documents : les résolutions secrètes du Politburo, la correspondance de Staline avec Kaganovitch et Molotov, chargés de collectiviser l'agriculture en Ukraine, ne laissent aucun doute sur l'intentionnalité et la cible de ce crime, deux conditions de la qualification de génocide. Raphael Lemkin lui-même, inventeur du terme, avait qualifié en 1953 la famine de «génocide soviétique» contre la nation et la culture ukrainiennes.

    Briser la résistance idéologique

    Pourquoi, dans ces conditions, les trois pays les plus importants de l'Union s'obstinent-ils à rester silencieux ? Craignent-ils de déplaire à Moscou, où une majorité de politiciens et d'historiens persistent à considérer la grande famine comme, sinon un simple dommage collatéral, du moins une tragédie parmi tant d'autres, dépourvue de spécificité ethnique ?

    A l'époque où des millions de paysans périssaient, en Ukraine et dans le Kouban russe voisin, majoritairement peuplé d'Ukrainiens, condamnés à mort par un régime qui voulait briser leur résistance idéologique, «les diplomates français n'ont pas brillé par leur perspicacité», note Werth, contrairement à leurs confrères italiens.

    Ces derniers, déployés par un Etat fasciste peu suspect de sympathie à l'égard de Moscou, et implantés dans une demi-douzaine de villes, dressent un tableau et une analyse étonnamment lucides de la situation dans la région de Kharkov, aujourd'hui majoritairement peuplée de «russophones» - ces descendants de colons justement envoyés sur place pour combler la saignée démographique causée par la famine...

    * Lettres de Kharkov, la famine en Ukraine, 1932-1933, éd. Noir sur blanc, 280 p., 22 €.
     
    MARIANNE - 28 décembre 2013
     
  • Local de la ligue des droits de l’homme : la mairie d’Hénin-Beaumont respecte la loi !

       Communiqués / 8 avril 2014 /

     

    Communiqué de Presse de Steeve Briois, maire d’Hénin-Beaumont

    Depuis des années, la ligue des droits de l’homme bénéficiait de subventions municipales et d’un local municipal en toute illégalité. Non seulement, aucun bail n’a été signé entre l’association d’extrême gauche et la mairie, faisant de la LDH un occupant sans titre mais plus grave, ces subventions sont totalement illégales.

    Une pseudo journaliste de France Info dénommée Lemaire, à la recherche du buzz, fait la une de l’édition matinale en reprochant à la municipalité de respecter la loi !

    En effet, les communes ne peuvent pas subventionner une association politisée et partisane. Le Conseil d’Etat indique qu’il n’est pas possible de subventionner une association qui combat une formation politique dont l’existence est légalement reconnue, et, d’autre part, que cette association de nature politique et partisane ne remplit pas les conditions de légalité de l’attribution d’une subvention.

    Que les médias puissent reprocher à la nouvelle équipe municipale de respecter la loi est un comble. Que la bien-pensance s’y fasse : désormais la loi sera respectée à Hénin-Beaumont !

    NPI

  • La fin de la nation ukrainienne

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    Aujourd'hui, 19:17
     

     

     

    Par La Voix de la Russie | Au moment où les leaders occidentaux continuent avec la mauvaise foi qui leur est propre de soutenir les extrémistes putschistes à Kiev, que la Crimée est redevenue partie intégrante de la Russie après le référendum du 16 mars dernier qui a validé le retour de la péninsule au sein de la mère patrie, désormais c’est au tour des régions du Sud-Est de faire la une de l’actualité.

    Lorsque des autorités n’ayant aucune légitimité proclament des lois ouvertement discriminatoires envers une très grande partie de la population d’un pays, le tout avec l’aval de forces extérieures, il ne faut pas s’étonner des conséquences. Aujourd’hui, quelqu’un est-il encore surpris par la tournure des événements en Ukraine ? Probablement pas tant que cela.

    L’Ukraine, véritablement, n’existe plus. Même si sur le papier, il y a encore un Etat qui porte ce nom, dans la vie réelle, il n’en est pratiquement rien. Et ce n’est pas lié à l’actualité récente autour de la Crimée, dont l’écrasante majorité de la population ne s’est jamais considérée comme faisant partie d’un Etat ukrainien. Aucunement. Par contre, tout est lié au chaos organisé par l’élite politique étasunienne avec « l’assistance » de leurs acolytes de l’Union européenne et leurs amis extrémistes néo-nazis sur place. Qui faut-il donc remercier ? Eh bien c’est simple : « merci » aux USA, à l’UE et aux révisionnistes ukrainiens (que peu de gens voudraient voir en France ou dans tout autre pays européen)…

    La réaction actuelle des régions du Sud-Est « ukrainien » est tout à fait légitime. Lorsqu’on vous menace pour votre appartenance ethnique, pour votre langue, pour vos pensées politiques et votre vision de l’histoire (dans laquelle Hitler n’est pas un « héros » mais bien la peste historique), il faut bien s’attendre à une réaction digne de ce nom. Lorsqu’on menace de se « débarrasser » de vous, de votre famille et de vos proches, voire « être fusillés avec des armes nucléaires » comme l’a proposé la chouchou et la favorite des élites et médias occidentaux Ioulia Timochenko (candidate aux élections présidentielles qu’elle espère vivement remporter), attendez-vous à une réponse adéquate.

    Aujourd’hui, c’est chose faite. Les régions industrielles de l’Est et du Sud ont bien fait entendre leur voix. La République populaire de Donetsk est déclarée. L’Occident lui, parle de « dangereux séparatistes pro-russes ». Quelle mauvaise foi et hypocrisie, une fois de plus ! Les extrémistes ultra-nationalistes, néo-nazis et xénophobes ukrainiens haïssant aussi bien les Russes que les Juifs, Polonais, Africains et Arabes, ayant réalisé un putsch organisé et financé de l’extérieur, cela s’appelle selon le mainstream et les instigateurs de ce putsch « des révolutionnaires démocratiques ». Mais une réponse à ces racistes et xénophobes, et à la très grande différence du putsch à Kiev sans massacres et tueries, cela s’appelle de « l’extrémisme attisé par Moscou ». Le monde à l’envers tout simplement.

    Comme quoi et selon les Occidentaux, il y a ceux qui ont droit à la parole, y compris s’ils sont des néo-nazis de la pire espèce, et d’autres qui doivent se soumettre car étant opposés au néonazisme et mettant ainsi en danger les plans franchement malsains de la mafia néocoloniale. Assez, c’est assez ! Et ceux qui ne l’ont pas encore « compris », il faudrait qu’ils se mettent à l’heure de la nouvelle donne : un monde multipolaire où l’Occident politique ne fait aucunement plus figure de « référence » et encore moins de « pôle principal ». Et ce aussi bien en Russie, dans les pays voisins, au sein des pays des BRICS, ou dans la grande majorité des pays d’Amérique latine. Pas plus en Syrie, en Iran ou ailleurs. Quant à l’Afrique, continent représentant l’avenir, bien qu’étant encore partiellement occupée et dominée, elle ne tardera pas à hausser la voix dans un avenir proche pour mettre fin aux injustices une bonne fois pour toute.

    En ce qui concerne l’Ukraine, il est à rappeler une fois de plus que le chaos qu’elle subit et la fin de cet Etat n’est aucunement le résultat de la politique russe. La Russie, au contraire, a prévenu tellement de fois que « jouer » aux alliances avec des extrémistes racistes, cela finit toujours mal. Mais l’Occident avec son sourire hypocrite continuait à semer le chaos en espérant donner une grande gifle à la Russie et arriver à ses fins maléfiques. Au final ? C’est l’Occident politique qui est giflé une fois de plus. L’Ukraine, elle, n’existe plus
    Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2014_04_08/La-fin-de-l-Etat-ukrainien-1009/

  • Des publicités géantes recouvrent des façades parisiennes pour l’élection du président… algérien

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    Signe époustouflant de l’invasion en cours, des publicités géantes en arabe recouvrent les façades d’immeubles parisiens dans le quartier de Barbès, à Paris :

     

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    Contre-info.com

  • Poutine a acheté un appartement à Tel Aviv à son ancienne professeur d'allemand

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    Le président russe Vladimir Poutine a acheté un petit appartement en Israël pour sa professeur d'allemand, révèle le site israélien Ynet du quotidien Yediot Aharonot.

    Mina Yuditskaya Berliner a reconnu Vladimir Poutine comme étant son ancien élève lorsqu'elle le vit à la télévision dans les années 90 alors qu'il était à la tête du FSB, les services de sécurité russes.

    Mina Yuditskaya Berliner, âgée de 93 ans, a enseigné au lycée 281 de Saint-Petersbourg fréquenté par Poutine. Elle a ensuite émigré en Israël il y a 40 ans.

    Lorsque Poutine a visité Israël en tant que président en 2005, elle a demandé à l'ambassade russe de Tel Aviv à être invitée à la réception en l'honneur du dirigeant russe.

    Mina Yuditskaya Berliner s'est ainsi jointe au groupe des vétérans de la Seconde guerre mondiale reçu par Poutine, mais celui-ci l'a invitée un peu plus tard à prendre le thé en privé avec lui.

    "Alors que nous marchions ensemble pour aller prendre le thé, il me dit: vous voyez comme je suis chauve maintenant, et je répondis: effectivement", raconte Berliner qui fut présentée par Poutine au président israélien d'alors, Moshe Katsav.

    Peu après la visite de Poutine, Mina Berliner, qui est veuve, commença à recevoir des cadeaux: une montre et une biographie dédicacée de Poutine.

    Un peu plus tard, un fonctionnaire du gouvernement russe l'a emmenée pour visiter des appartements dans le centre de Tel Aviv.

    "Je lui ai dit que tout ce que j'avais besoin c'est d'un appartement près de la gare centrale d'autobus et du marché", raconte-t-elle à Ynet. "Tout s'est passé très vite. Quelques mois plus tard les déménageurs sont venus dans mon appartement en location dans le quartier Florentine (sud de Tel Aviv) et ont fait le nécessaire pour tout transférer dans mon nouvel appartement.

    Elle décrit Poutine comme un étudiant assidu qui, en dépit du fait qu'il faisait l'école buissonnière pour assister aux matches de catch ou même y participer, avait une bonne maîtrise de la matière qu'elle lui enseignait.

    Poutine parlait très souvent d'Anatoly Rakhlin, son coach de lutte juif. Lors des funérailles de Rakhlin l'année dernière, Poutine a été vu submergé par l'émotion, faussant compagnie à son service de sécurité pour une courte promenade solitaire.

    Dans la biographie qu'il a dédicacée à Berliner, Poutine rappelle son affection pour la famille juive qui vivait dans son immeuble et qui prenait soin de lui lorsque ses parents étaient au travail.

    Ces rencontres et relations avec les Juifs russes ont contribué à façonner une appréciation particulière de Vladimir Poutine pour la communauté juive, estime Mikhaïl Chlenov, le secrétaire-général du Congrès juif Euro-asiatique. "Cette appréciation et cette expérience jouent peut-être un rôle dans l'attitude actuelle de Poutine à l'égard de la communauté juive russe que ses partisans comme ses opposants décrivent comme amicale", affirme Chlenov.

    Interrogé par Ynet, le cabinet du président Poutine a confirmé que Mina Yuditskaya Berliner fut la professeur de Vladimir Poutine, qu'ils se sont rencontrés en Israël, mais a refusé de commenter tout autre détail, invoquant la caractère confidentiel du sujet.

    i24news - 25 mars 2014

  • Syrie: pogroms anti-chrétiens

    Observatoire de la Christianophobie

  • Insolite : les exigences gastronomiques de Valls

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     Publié le Lundi 07/04/2014 à 14H46
     
     
     

    Selon Le Figaro, l'arrivée de Manuel Valls à Matignon a provoqué quelques chamboulements... en cuisine ! Les goûts de l'ancien ministre de l'Intérieur seraient assez restrictifs pour le chef Christophe Langrée, chargé d'élaborer les menus. Manuel Valls ne mangerait en effet que de la viande rouge et n'aimerait pas le poisson. Pire : une intolérance au gluten causerait bien des soucis pour les desserts puisque celle-ci empêche l'utilisation de farine de blé.

    La Provence

  • Ukraine: proclamation de souveraineté à Donetsk, grande ville de l'est russophone

     

    Le Vif

    Source: Belga
    lundi 07 avril 2014 à 14h54

    Des activistes pro-russes ont proclamé lundi une "république souveraine" à Donetsk, grande ville de l'est russophone de l'Ukraine, le gouvernement pro-européen de Kiev dénonçant ces troubles comme un plan de Moscou pour "démembrer" le pays.

    Des activistes pro-russes à Donetsk. © Image Globe

    Les régions de l'est ukrainien, frontalières de la Russie, ont connu dimanche une brusque montée de tension quand des manifestants pro-russes, certains masqués ou cagoulés, ont attaqué et pris le contrôle bâtiments officiels - administration locale ou services de sécurité (SBU) - dans les grandes villes de Kharkov, Lougansk et Donetsk. Les forces de l'ordre qui avaient reçu l'ordre d'éviter au maximum les violences ne se sont pas opposées à eux par la force. Le président russe, Vladimir Poutine, s'est en effet engagé à défendre "par tous les moyens" les populations russophones des républiques de l'ex-URSS en cas de violences, et a massé jusqu'à 40.000 soldats aux frontières de l'Ukraine, faisant redouter une invasion.

    Les protestataires avaient immédiatement descendu les drapeaux ukrainiens bleu et jaune pour hisser à leur place le blanc-bleu-rouge russe. Suite à des négociations, les manifestants ont évacué le bâtiment de l'administration à Kharkov, mais ceux de Donetsk s'y sont barricadés. Et lundi matin ils y ont tenu une assemblée au cours de laquelle ils ont proclamé une "république souveraine".

    Un de leur représentants est sorti devant le bâtiment annoncer la décision aux journalistes qui n'avaient pas été autorisés à entrer. Par ailleurs, une vidéo postée sur internet et présentée comme l'assemblée des manifestants montre un homme disant sous les vivats: "Je proclame la création de l'Etat souverain de la république populaire de Donetsk". Selon l'agence Interfax, les protestataires ont décidé d'organiser un référendum sur leur souveraineté régionale avant le 11 mai. Le site d'informations locales Ostrov affirmait quant a lui qu'ils ont décidé de demander à rejoindre la Fédération de Russie. Avant même cette annonce, le gouvernement ukrainien pro-européen issu du soulèvement qui a renversé le 22 février le régime pro-russe du président Viktor Ianoukovitch avait dénoncé dans les événements de l'Est un plan du grand voisin russe pour "démembrer" le pays. Il s'agit d'un "plan pour déstabiliser (le pays), pour qu'une armée étrangère passe la frontière et envahisse le territoire ukrainien, ce que nous ne permettrons pas", a lancé le Premier ministre, Arseni Iatseniouk, lors d'une réunion d'urgence du gouvernement. "Ce scénario est écrit par la Fédération de Russie et son seul but est de démembrer l'Ukraine, " a-t-il poursuivi. Il n'y eu aucune réaction dans l'immédiat des autorités russes à cette brusque dégradation de la situation en Ukraine.

    L'Ukraine se débat dans une profonde crise également économique, dont les perspectives se sont encore aggravées avec l'augmentation-sanction de 80% du prix des livraisons de gaz russe annoncée la semaine dernière. Officiellement pour des raisons de santé, la Russie a aussi annoncé lundi avoir suspendu l'importation d'une partie de la production de produits laitiers d'Ukraine. Les Occidentaux menacent la Russie de nouvelles sanctions, économiques en cas d'atteintes répétées à l'intégrité territoriale de l'Ukraine. Et dimanche, le président tchèque, Milos Zeman, a estimé que si des troupes russes entraient dans l'est de l'Ukraine, l'Otan devrait même intervenir militairement.

    Le Vif. be

  • Carpentras: une conductrice frappée avec une barre de fer

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     Carpentras / Publié le Lundi 07/04/2014 à 20H33
     
     

    Ce matin à Carpentras, vers 8h30, un piéton a insulté et craché sur une conductrice avant de caillasser son automobile. Lorsque celle-ci est descendue de son véhicule, il s'est saisi d'une barre de fer et lui a donné un violent coup sur la tête. Il s'est ensuite introduit dans l'habitacle pour frapper le chien de la victime avant de prendre la fuite. Blessée, la dame âgée de 53 ans a été hospitalisée.

    La Provence