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  • C’était un 21 juillet…

    21 juillet 2014 par admin4 

    1306 : excédé par leur comportement, le roi Philippe le Bel décide l’expulsion de tous les juifs vivant en France et la confiscation de leurs biens. On parle de 100 000 exilés.

    1861 : première grande bataille de la guerre de Sécession, à Bull Run (Virginie), où les Confédérés battent les troupes de l’Union. Chacun comprend que la guerre sera longue et sanglante.

    1934 : mort du maréchal Louis Hubert Lyautey.
    Ce monarchiste légitimiste a été élu à l’Académie française (1912) et promu maréchal de France en 1921.
    Sa carrière, commencée  à Madagascar, connaîtra son apogée au Maroc où il mènera une politique particulièrement intelligente, en associant l’élite marocaine au développement du pays.

     

    1936 : début du siège de Tolède, dont la défense héroïque est assurée par le colonel José Moscardo (jusqu’au 27 septembre).

    Source : Éphémérides nationalistes

    Contre-info.com

  • Crash en Ukraine : un entretien téléphonique incriminant les rebelles authentifié

    Le Vif

    Source: Belga
    dimanche 20 juillet 2014 à 14h45

    Un entretien téléphonique entre deux chefs rebelles enregistré par les services de sécurité ukrainiens et prouvant que leurs hommes ont abattu un avion civil a été authentifié par des experts américains, a annoncé dimanche l'ambassade des Etats-Unis à Kiev.

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    © Reuters

    "Les données audio fournies à la presse par le service de sécurité ukrainien ont été examinées par des analystes de la communauté du renseignement qui ont confirmé qu'il s'agissait de conversations authentiques entre des leaders séparatistes connus, en se fondant sur la comparaison entre les enregistrements audio avec des enregistrements de séparatistes connus", a indiqué l'ambassade dans un communiqué.

    Selon ce communiqué, la thèse principale, "fondée sur plusieurs éléments", est que "le vol MH17 a été probablement abattu par un missile sol-air SA-11 (Bouk) tiré depuis le territoire contrôlé par les séparatistes dans l'est de l'Ukraine".

    Les services de sécurité ukrainiens (SBU) avaient publié jeudi soir l'interception de ce qu'ils ont présenté comme une conversation entre deux chefs rebelles après l'examen du lieu du crash.

    - "Ce sont les gars du check-point Tchernoukhine qui ont abattu l'avion. Il s'est désintégré dans l'air", dit l'un d'eux, "Major".
    - "Et alors? " demande l'autre, "Grek".
    - "C'est un avion civil à 100%" (...).
    - "Y a-t-il des armes? "
    - "Non, rien, seulement des affaires civiles".
    - "Des documents? "
    - "Il y en a un d'un étudiant indonésien".

    Cet enregistrement était précédé par une conversation entre le chef rebelle Igor Bezler, un citoyen russe qui parle au colonel du renseignement militaire russe Vassili Guéranine, son officier traitant, selon Kiev.

    - "Nous venons d'abattre un avion (...) On est parti le chercher et prendre en photo", dit Bezler. En présentant ces éléments, le chef des services de sécurité ukrainien Valentin Nalyvaïtchenko avait déclaré qu'il s'agissait de conversations "d'officiers du GRU (renseignement militaire russe) interceptées et transcrites en conformité avec la loi".

    Les rebelles prorusses pourraient avoir les "boîtes noires"

    Les rebelles prorusses ont trouvé "certains matériels qui pourraient être les boîtes noires" de l'avion malaisien probablement abattu par un missile jeudi dans l'est de l'Ukraine, a annoncé dimanche un de leurs chefs, Alexandre Borodaï.

    Il a affirmé être prêt à les remettre aux experts internationaux chargés d'élucider les causes du crash, expliquant que les rebelles "n'avaient pas de spécialistes pour les analyser" et ne faisaient "pas confiance" aux experts ukrainiens. "Ces éléments sont à Donetsk et entre mes mains", a-t-il précisé.

    Poutine doit obtenir des séparatistes un accès total au site du crash

    Le président russe Vladimir Poutine doit "obtenir" des séparatistes prorusses dans l'est de l'Ukraine un accès "libre et total" à la zone du crash du vol MH17, ont "exigé" dimanche le président français François Hollande, la chancelière allemande Angela Merkel et le Premier ministre britannique David Cameron.

    "Ils sont convenus d'exiger aujourd'hui auprès de M. Poutine qu'il obtienne des séparatistes ukrainiens que les secours et les enquêteurs aient enfin libre et total accès à la zone de la catastrophe du vol MH-17 pour accomplir leur mission", indique la présidence française dans un communiqué après des conversations téléphoniques entre le chef de l'Etat français et les dirigeants britannique et allemand.

    "Si la Russie ne prend pas immédiatement les mesures nécessaires, les conséquences en seront tirées par l'Union Européenne à l'occasion du Conseil Affaires Etrangères qui se tiendra mardi", préviennent-ils. "La Russie doit comprendre que le règlement de la crise ukrainienne est plus que jamais un impératif après cette tragédie qui a outragé le monde entier", conclut le communiqué.

    Vendredi et samedi, une trentaine d'inspecteurs de l'OSCE, première équipe internationale arrivée sur les lieux, n'a obtenu qu'un "accès limité" au site étendu sur plusieurs kilomètres où gisent valises éparses, livres, jeux d'enfants et passeports.

    Certains débris "semblent avoir été déplacés" sur le site du crash du Boeing 777 de la Malaysia Airlines, a déclaré samedi soir à Donetsk Michael Bociurkiw, porte-parole de la mission d'observation de l'OSCE.

    Dimanche, l'OSCE a déclaré que ses observateurs ont été informés que 169 corps enlevés du site du crash de l'avion malaisien avaient été placés à bord d'un train réfrigéré en attendant l'arrivée des experts internationaux. Selon un journaliste de l'AFP sur place, plus aucun corps n'était visible sur le site principal du crash de l'avion malaisien sous contrôle des séparatistes. 

    Un chef rebelle s'explique sur le déplacement des corps

    Un chef rebelle, Alexandre Borodaï, a expliqué dimanche à Donetsk que le déplacement des corps de passagers du vol malaisien, qui a suscité de fortes critiques à l'étranger, avait été nécessaire pour les protéger de la chaleur et d'animaux sauvages.

    "Hier, nous avons commencé à déplacer les corps car nous ne pouvions plus attendre, à cause de la chaleur et aussi de la zone où il y a beaucoup de chiens et de bêtes sauvages", a expliqué le "Premier ministre" de la république autoproclamée de Donetsk, lors d'une conférence de presse. "Nous avons bougé les corps par respect pour les familles", a-t-il poursuivi, "car cela devenait inhumain dans ces conditions". "156 corps ont été déplacés à Torez (une ville proche du site du crash - ndlr) dans des wagons réfrigérés" et "ils ne vont nulle part, ils restent à Torez en attendant que les experts arrivent", a-t-il ajouté.

    Un journaliste de l'AFP a vu dimanche après-midi cinq voitures réfrigérées sans fenêtres stationnant en gare de Torez. Le moteur de la locomotive tournait, probablement pour alimenter le système de réfrigération, tandis qu'une employée des chemins de fer déclarait "attendre les ordres" et ne pas savoir si et quand le train pourrait partir.

    Une certaine confusion demeurait sur le nombre des corps placés à bord du train, un porte-parole de l'OSCE ayant indiqué, citant les rebelles, qu'ils étaient 169, alors qu'un responsable ukrainien a évoqué "192 corps et huit fragments de corps".

    Le chef rebelle n'a pas donné de renseignements sur le sort des autres corps, tandis que selon les autorités ukrainiennes, 38 d'entre eux auraient été transportés au service de médecine légale d'un hôpital régional.

    298 personnes avaient péri à bord du vol MH17, dont 192 Néerlandais.
    M. Borodaï s'est également étonné que les experts internationaux ne soient pas encore sur la zone.

  • Plus de 72 heures après le crash, Poutine demande un accès sécurisé au site pour les experts internationaux

    Le Vif

    Source: Belga
    lundi 21 juillet 2014 à 12h01

    Le président russe Vladimir Poutine a assuré lundi que la Russie ferait son possible pour favoriser un règlement négocié du conflit en Ukraine après le crash de l'avion malaisien et demandé qu'un accès sécurisé soit garanti aux experts internationaux sur le site de la catastrophe.

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    © Reuters

    "La Russie fera tout ce qui est en son pouvoir pour que le conflit passe d'une phase militaire à une phase de négociations pacifiques par des voies exclusivement diplomatiques", a déclaré M. Poutine dans une vidéo diffusée par le Kremlin, sans plus de précision.

    Il a jugé que la catastrophe n'aurait "certainement pas eu lieu si les combats n'avaient pas repris le 28 juin" après la décision de Kiev de mettre fin au cessez-le-feu.

    "Dans le même temps, personne ne doit et n'a le droit d'utiliser cette tragédie à des fins politiques égoïstes", a-t-il estimé.

    "Tous ceux qui sont responsables de la situation dans la région doivent prendre leurs responsabilités devant leur propre peuple comme devant ceux des pays dont des ressortissants ont péri dans la catastrophe", a-t-il ajouté.

    Concernant l'enquête sur le crash, l'homme fort du Kremlin a jugé "indispensable que tout soit fait pour garantir la sécurité du travail des experts internationaux sur les lieux de la tragédie".

    Il a estimé que la présence de représentants des séparatistes, des services de secours ukrainiens et des experts malaisiens n'était "pas suffisante" et jugé "indispensable" l'arrivée d'un "groupe d'experts sous l'égide de l'OACI (Organisation de l'aviation civile internationale, ndlr) constituant une commission internationale".

    "Il faut faire absolument tout pour sa sécurité totale et absolue et garantir des corridors humanitaires nécessaires à ses travaux", a ajouté Vladimir Poutine.

    NdB:  Poutine croit-il à une erreur de tir de la part des serveurs du système de lance-missiles BOUK ?

  • Vol MH17: les corps évacués deux jours après le crash par des pro-russes armés


    Vol MH17 : les corps évacués deux jours après... par leparisien

  • François Hollande décore les chasseurs de nazis Serge et Beate Klarsfeld

  • Purification islamique à Mossoul

     

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    Si les derniers chrétiens sont partis hier de Mossoul, c’est parce que ce texte a été lu dans les mosquées, distribué dans la ville, et hurlé par haut-parleurs dans les rues.

    Par ce texte, le « calife de l’Etat islamique » donnait jusqu’à ce samedi midi aux chrétiens le choix de se convertir, de payer la jizya de la dhimmitude, ou de quitter le territoire du califat. « Après cette date, il n'y aura plus entre eux et nous que le glaive. »

    Les derniers chrétiens ont donc quitté Mossoul, qui avant l’invasion américaine avait une des plus importantes communautés chrétiennes du Proche Orient.

    Le communiqué précisait que ceux qui choisissaient de quitter le califat ne devaient rien emporter d’autre que les vêtements qu’ils ont sur le dos, et que tout ce qu’ils laissaient derrière eux devenait propriété de l’Etat islamique. Ceux qui tentaient d’emporter des biens se faisaient dépouiller aux check points. Ceux qui partaient avec une voiture en bon état se sont fait voler leur voiture.

    C’est la première fois dans l’histoire, souligne l’évêque auxiliaire chaldéen de Bagdad, que les chrétiens de Mossoul doivent abandonner leurs maisons. Et leurs églises. Dont l’église de Saint-Thomas, construite sur la maison où l’apôtre avait résidé, et qui est déserte pour la première fois depuis lors.

    On attend toujours la condamnation des autorités islamiques, chez nous et ailleurs.

    Mais on attend aussi une éventuelle critique de nos médias, qui relatent les faits comme s’il s’agissait d’une catastrophe naturelle. En fait, même pas, car, depuis quelque temps, à chaque catastrophe naturelle on cherche des « responsables ». Ici il y a seulement un changement d’autorité. Nos médias sont mûrs pour la dhimmitude. On le savait déjà. Mais là c’est à hurler.

    Comme est à hurler, assurément, le communiqué du Vatican, publié précisément hier, pour la fin du ramadan :

    « Nous percevons l’importance de la promotion d’un fructueux dialogue, fondé sur le respect mutuel et l’amitié. En nous inspirant de nos valeurs partagées et fortifiés par nos sentiments d’authentique fraternité, nous sommes appelés à travailler ensemble pour la justice, la paix et le respect des droits et de la dignité de chaque personne. Nous nous sentons responsables, d’une manière particulière, de ceux qui ont le plus besoin d’aide : les pauvres, les malades, les orphelins, les immigrants, les victimes du trafic des êtres humains et tous ceux qui souffrent de dépendance quelle qu’en soit sa nature. »

    La suite est, dans ce contexte, du pur délire. Il s’agit des « graves défis », des « menaces qui pèsent sur l’environnement, de la crise de l’économie mondiale et des taux de chômage élevés », etc. « Travaillons donc ensemble pour construire des ponts de paix et promouvoir la réconciliation, en particulier dans les régions où musulmans et chrétiens souffrent ensemble des horreurs de la guerre. » Sic. Nul doute que les chrétiens de Mossoul se sentent réconfortés.

    Le blog d'Yves Daoudal

  • Violences à Barbès et Sarcelles : inquiétude et fermeté au sommet de l'État

     

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    Manuel Valls lors de son discours pour le 72e anniversaire de la rafle du Vél d'Hiv.

    Conformément à la crainte formulée par le président de la République le 14 Juillet, le conflit israélo-palestinien s'est bel et bien «importé» en France.

     
     

    Samedi, un drapeau d'Israël que l'on brûle et un déchaînement de violences dans le quartier de Barbès, à Paris. Dimanche, des jets de cocktail Molotov en direction de la synagogue et des dégradations à Sarcelles, une ville de la région parisienne où réside une importante communauté juive. Une semaine plus tôt, plusieurs synagogues parisiennes avaient déjà été visées tandis que des manifestants extrémistes scandaient: «Mort aux juifs.»

    Conformément à la crainte formulée par le président de la République le 14 Juillet, le conflit israélo-palestinien - «ces querelles trop loin d'ici» - s'est bel et bien «importé» en France. Les manifestations pro-Gaza se multiplient dans l'Hexagone. La grande majorité se déroule dans le calme. D'autres, interdites, dégénèrent dangereusement, donnant à voir l'image d'une France morcelée, fragmentée.

    Au sommet de l'État, c'est l'inquiétude qui prévaut. «Nous sommes vigilants et attentifs. Nous cherchons à apaiser la situation», lâche un conseiller de l'Élysée où les réunions s'enchaînaient dimanche en fin de journée. «Le premier ministre est très préoccupé par l'état de la société et il s'inquiète de ces débordements qui mélangent tout», confie-t-on à Matignon. Manuel Valls, ancien maire de la ville sensible d'Évry, redoute-t-il de voir s'enflammer d'autres banlieues après Sarcelles? «Le contexte national et international est tendu mais, à ce stade, aucun signe ne nous permet de dire qu'il pourrait y avoir une contagion», confie une source policière. Sur ce point précis, Matignon ne souhaite pas répondre. Même silence à l'Élysée.

    «Un antisémitisme d'une forme nouvelle»

    L'inquiétude était perceptible dimanche matin lorsque Manuel Valls a prononcé son discours pour la commémoration du 72e anniversaire de la rafle du Vél d'Hiv. Notamment quand il a évoqué «un antisémitisme d'une forme nouvelle qu'il est hors de question de nier ou de cacher, et qu'il faut regarder en face». Un antisémitisme qui, a souligné le premier ministre, «se répand sur Internet, sur les réseaux sociaux, se répand aussi dans nos quartiers populaires, auprès d'une jeunesse souvent sans repères, sans conscience de l'histoire et qui cache sa haine du juif derrière un antisionisme de façade et derrière la haine de l'État d'Israël».

    Dans l'après-midi, François Hollande affichait la même gravité en décorant à l'Élysée Beate et Serge Klarsfeld. Il faut, a dit le président, «faire en sorte que ne soit toléré aucun acte, aucune parole qui puisse faire ressurgir l'antisémitisme et le racisme».

    «Ce qui s'est passé (samedi) encore à Paris, des débordements inacceptables, justifie d'autant plus le choix qui a été fait avec courage par le ministre de l'Intérieur d'interdire une manifestation»

    Manuel Valls

    Les deux têtes de l'exécutif ont choisi la fermeté en interdisant certains rassemblements. Valls a réaffirmé dimanche cette fermeté. «Ce qui s'est passé (samedi) encore à Paris, des débordements inacceptables, justifie d'autant plus le choix qui a été fait avec courage par le ministre de l'Intérieur d'interdire une manifestation. La France ne laissera pas les esprits provocateurs alimenter je ne sais quel conflit entre les communautés», a-t-il martelé, ajoutant que la lutte contre l'antisémitisme est «le combat de chacun d'entre nous, de toute la nation».

    Le premier ministre répondait là aux critiques concernant l'interdiction de certains rassemblements. Le député UDI Yves Jégo estime qu'elle peut être considérée comme une forme de «provocation». Et le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA), unique parti à avoir appelé à manifester, juge les débordements inévitables «au vu du dispositif policier» et «de la volonté du gouvernement de museler toute opposition à son soutien à la guerre menée par l'État d'Israël». Un autre rassemblement pro-Gaza est prévu mercredi à Paris. La décision de son interdiction éventuelle n'était pas prise dimanche soir.

    Le Figaro

  • Vol MH17: les séparatistes seraient en possession des boîtes noires

          

    20/07 19:27 CET

     
     
     

    Les boîtes noires du Boeing malaisien ont apparemment été retrouvées par les séparatistes pro-russes. Et elles se trouveraient dans leur bastion à Donetsk dans l’est de l’Ukraine. C’est du moins ce qu’a déclaré ce dimanche Aleksander Borodai, un des chefs des insurgés. Il s’est d’ailleurs dit prêt à remettre ces boîtes noires aux experts internationaux.

    De leur côté, les autorités ukrainiennes ont rendu public une conversation qu’elle disent avoir intercepté vendredi entre deux rebelles.

    On y entend un des deux hommes, apparemment un officier, dire que “certaines personnes haut placées, sont très intéressées par le sort des boîtes noires. Il s’agit de "personnes à Moscou”.

    S’ensuit un échange sur l’apparence de ces boîtes noires, de couleur orange.

    L’autre individu dit avoir effectivement trouvé quelque chose qui s’y apparente. “Il y a écrit
    +boîte de navigation satellite, dessus”, explique-t-il. – Ne le montre à personne, lui dit alors son interlocuteur. – OK”, répond l’autre.

    Qu’y a-t-il dans ces boîtes noires ? Des informations qui pourraient permettre de savoir précisément ce qui a causé la chute du Boeing de la Malaysia Airlines, faisant 298 morts.

    euronews

  • Crash en Ukraine : les séparatistes garantiront la sécurité des experts si Kiev accepte une trêve

    Le Vif

    Source: Belga
    dimanche 20 juillet 2014 à 09h09

    Les séparatistes prorusses vont garantir la sécurité d'inspecteurs internationaux sur le site du crash de l'avion malaisien sous leur contrôle dans l'est de l'Ukraine si Kiev accepte une trêve, a indiqué l'un des dirigeants dans un communiqué.

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    © Image Globe

    "Nous garantirons la sécurité d'experts internationaux sur le site si Kiev conclut un accord de cessez-le-feu", a déclaré Andreï Pourguine, "Premier ministre adjoint" de la république séparatiste de Donetsk autoproclamée (DNR). "Nous invitons Kiev à conclure immédiatement un tel accord avec la DNR au moins pour la durée de l'enquête sur le site" de la catastrophe, a-t-il souligné.

    Cet appel risque de ne pas être suivi d'effet, le président ukrainien Petro Porochenko ayant demandé la veille à plusieurs dirigeants occidentaux qu'il avait eus au téléphone de reconnaître la DNR ainsi que la République populaire de Lougansk (LNR) comme "organisations terroristes".

    "Nous ne voyons pas de différence entre les événements en Ukraine et le 11 Septembre aux Etats-Unis ou la tragédie de Lockerby" lorsqu'un avion assurant la liaison Londres-New York explosa en vol et causa la mort de 270 personnes en 1988, un attentat dont a été accusée la Libye de Mouammar Kadhafi, a souligné M. Porochenko samedi soir dans un entretien téléphonique avec le président français François Hollande. "Nous attendons une réaction commune du monde civilisé", a-t-il souligné, selon la présidence.

    Plus de deux jours après la chute de l'avion assurant le vol Amsterdam-Kuala Lumpur, très probablement abattu par un missile, avec 298 personnes dont 192 Néerlandais à bord, les séparatistes empêchent l'accès au site aux responsables ukrainiens et aux inspecteurs internationaux.

    Les Etats-Unis se sont alarmés samedi soir du manque de sécurité sur le site alors que le Premier ministre des Pays-Bas, Mark Rutte, a déclaré que le président russe Vladimir Poutine devait "prendre ses responsabilités à l'égard des rebelles" soutenus par Moscou.

    Plus aucun corps sur le site principal du crash

    Plus aucun corps n'est visible sur le site principal du crash de l'avion malaisien sous contrôle des séparatistes prorusses dans l'est de l'Ukraine, a constaté dimanche matin un journaliste de l'AFP.
    Selon l'agence russe Ria Novosti, citant un employé des chemins de fer, les corps sont partis pour Donetsk à bord d'un train comprenant cinq voitures réfrigérées qui a quitté la gare de Torez, proche du site du crash.

    Les voitures ont été auparavant inspectées par des représentants de l'OSCE qui ont constaté la présence de 198 corps, affirme l'agence russe. L'expédition des corps s'est déroulée sous le contrôle des combattants séparatistes, précise-t-elle.

    Côté ukrainien, un porte-parole militaire a affirmé que les autorités de Kiev savaient où se trouvaient 38 corps, mais ignoraient où étaient les autres. D'après le journaliste de l'AFP sur le site du crash, les rebelles prorusses qui l'avaient gardé semblent l'avoir quitté. Les secouristes locaux sur place se sont refusés à tout commentaire.
    On ne voit plus non plus de bâtons marqueurs des corps plantés dans les champs le long de la route. Des masques en papier et des gants en latex ont été jetés sur le bas-côté de la route.

    Samedi soir, l'OSCE a indiqué avoir compté 55 sacs mortuaires et 55 marquages de corps ou restes humains sur ce site. Sur les côtés de la route, on pouvait voir une dizaine de brancards ayant probablement servi à transporter des corps.

  • Révoltés, les Pays-Bas donnent une «dernière chance à Poutine»

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    «Qu'ils arrêtent de toucher à quoi que ce soit, qu'ils cessent de toucher aux corps», a dit samedi Mark Rutte au président russe Vladimir Poutine.

     Le premier ministre néerlandais, Mark Rutte, a brutalement changé de ton. Dans un entretien téléphonique, il a demandé samedi à Vladimir Poutine « d'exercer son influence » sur les séparatistes prorusses.

     
     

    «Inacceptable et révoltant»: c'est ainsi que le premier ministre néerlandais, blanc d'indignation, a lancé une conférence de presse inattendue samedi soir. Il sortait juste d'une conversation téléphonique «intense» (comprendre «tendue») avec Vladimir Poutine. Mark Rutte avait aussi en tête les clichés de la «scène du crime», publiés plus tôt par la presse nationale.

    En tête de ces photos chocs, celle d'un soldat en arme brandissant, tel un trophée, la peluche d'un petit singe noir et blanc, à l'évidence le compagnon chéri d'un des 80 enfants tués dans l'avion, d'après le recensement de l'ONU. La télévision a montré, plus tard, le même homme abandonnant son masque de combattant pour reposer respectueusement l'objet, avec un signe de croix. Mais le mal était fait.

    «Qu'ils arrêtent de toucher à quoi que ce soit, qu'ils cessent de toucher aux corps», a dit Mark Rutte au président russe, lui demandant «d'exercer son influence» sur les séparatistes prorusses. Pour le premier ministre, Vladimir Poutine tient là sa «dernière chance de faire ce que le monde entier attend» de lui.

    La colère des Néerlandais

    À Kiev depuis 48 heures, le ministre néerlandais des Affaires étrangères, Frans Timmermans, n'a pas pu encore se rendre sur les lieux. Un accord aurait été trouvé pour que les corps et les restes des victimes soient correctement collectés, dans des véhicules réfrigérés, et transportés à Donetsk, sous la supervision d'observateurs de l'OSCE.

    « La récupération et le rapatriement des victimes sont notre première priorité »

    Mark Rutte, premier ministre néerlandais

    Des experts médico-légaux néerlandais sont déjà en Ukraine et attendent de pouvoir faire leur travail. «La récupération et le rapatriement des victimes» sont notre «première priorité», affirme le premier ministre. L'Organisation de police internationale, Interpol, et la branche policière de l'Union européenne, Europol, ont aussi mis des experts à disposition. Mais, à ce stade, la conduite effective d'une enquête internationale indépendante reste entravée et tout à fait incertaine.

    Le représentant de la Malaysia Airlines à Amsterdam a annoncé que le «vol du souvenir» sur les lieux de la catastrophe, un temps envisagé pour les familles brutalement dépossédées de leurs proches, n'aurait sans doute jamais lieu. «Trop dangereux», juge-t-il. Une telle visite, aussi macabre soit-elle, faciliterait le travail de deuil, aux yeux de nombreux experts.

    Mark Rutte a brutalement changé de ton. Il s'était jusqu'ici gardé de montrer Moscou du doigt. Durant le week-end, David Cameron, Angela Merkel et François Hollande ont ensuite rédigé un communiqué commun.

    Le premier ministre néerlandais, d'un naturel plutôt calme, doit aussi compter avec la colère montante de ses compatriotes horrifiés. Dès samedi, De Telegraaf, le plus grand quotidien du pays, avait mis à la une la photo de l'homme à la peluche, encadrée des visages des trois dirigeants séparatistes prorusses. Avec un titre sans appel: «Assassins.»

    Le Figaro

  • A Chajaya, dans l'enfer des pilonnages israéliens

    http://www.leparisien.fr/flash-actualite-monde/les-palestiniens-de-chajaya-dans-l-enfer-des-pilonnages-israeliens-20-07-2014-4015089.php

  • EN DIRECT. Israël-Gaza: 95 Palestiniens et 13 Israëliens tués ce dimanche

    http://www.leparisien.fr/international/en-direct-gaza-israel-intensifie-son-offensive-terrestre-20-07-2014-4014455.php

    Le nombre de Palestiniens tués s'élève désormais à 425.

    Tsahal a annoncé qu'elle allait intensifier son offensive terrestre sur la bande de Gaza. 

     
     
  • Crash du vol MH17: à quand des systèmes anti-missiles pour les avions de ligne ?

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    http://www.20minutes.fr/societe/1419991-crash-du-vol-mh17-a-quand-des-systemes-anti-missiles-pour-les-avions-de-ligne

    + VIDEO et INFOGRAPHIE

    NdB: Un article que je recommande

  • Tweet de JMLP

    Jean-Marie Le Pen@lepenjm 4h

    Coupe du Monde de la Mort. Palestine : 300 Israel : 2

     

       
  • Tsahal crée une zone tampon dans la bande de Gaza

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    par Nidal al-Mughrabi et Ari Rabinovitch

    JERUSALEM/GAZA (Reuters) - Fantassins et blindés israéliens ont renforcé samedi leurs positions dans une zone tampon de 2,5 kilomètres de large à la frontière est de la bande de Gaza, territoire où le bilan du conflit atteint désormais les 325 morts côté palestinien, essentiellement des civils.

    Selon des responsables de Gaza, 70 enfants sont au nombre de ces tués en 12 jours de conflit. Dans le même temps, un soldat et deux civils ont trouvé la mort côté israélien.

    Les hommes du génie de l'armée israélienne concentrent leurs efforts sur la zone tampon en question, où ils cherchent à détruire les tunnels creusés sous la frontière ainsi que les sites de tir de roquettes.

    Selon le lieutenant-colonel Peter Lerner, porte-parole de l'armée, 13 tunnels et 95 lance-roquettes ont été découverts et détruits dans le cadre de l'opération terrestre.

    L'organisation radicale du Hamas, qui contrôle la bande de Gaza, a annoncé que ses combattants avaient utilisé l'un de ces tunnels samedi pour mener une incursion en Israël, y faisant des victimes. L'armée israélienne a confirmé cette incursion et dit avoir tué un combattant palestinien et repoussé les autres. Deux soldats israéliens ont été blessés, a dit Tsahal.

    Les combattants palestiniens ont d'autre part tiré ces dernières heures au moins 18 roquettes sur Israël, tuant un homme et blessant quatre autres personnes dont deux enfants, dans un village bédouin du sud d'Israël, a annoncé la police.

    Israël a lancé son offensive terrestre jeudi, après dix jours de raids aériens et de bombardement naval qui n'ont pas réussi à faire cesser les tirs palestiniens.

    Les attaques israéliennes menées samedi ont tué 33 Palestiniens, surtout des civils, dans les villes de Beit Hanoun et Beit Lahiya dans le nord de la bande de Gaza ainsi qu'à Khan Younès dans le sud, ont déclaré des médecins gazaouis.

    Selon des responsables palestiniens, la bande de Gaza est privée à 90% d'électricité, laquelle, disent-ils, a été coupée par Israël.

    Les opérations au sol ont été lancées après plusieurs tentatives avortées de cessez-le-feu négociées par l'Egypte.

    BAN KI-MOON ATTENDU AU PROCHE-ORIENT

    Le chef de la diplomatie égyptienne, Sameh Choukri, a déclaré que son pays n'entendait pas revoir sa proposition de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, qui a rejeté son initiative.

    Plus de 1.500 roquettes ont été tirées contre le territoire israélien depuis le début du conflit, indique Israël. Le bilan de deux morts chez les civils israéliens demeure relativement faible en raison de l'imprécision des projectiles et du rôle des sirènes qui avertissent la population, mais aussi parce que les missiles antimissiles de "Dôme de fer" réussissent dans neuf car sur dix à détruire les roquettes en plein vol.

    En visite au Proche-Orient, le chef de la diplomatie française Laurent Fabius a demandé au Qatar d'user de son influence sur le Hamas afin de parvenir à une trêve.

    Amos Gilad, membre du ministère israélien de la Défense qui a discuté avec les Egyptiens du projet de cessez-le-feu négocié au Caire, juge toutefois inutile de s'adresser au Qatar. "Il est important que le Qatar comprenne qu'une autre initiative ne servirait à rien", a-t-il dit sur la chaîne israélienne Channel 10. "Soyons réalistes - qui est voisin de Gaza, le Qatar ou l'Egypte ?", a-t-il ajouté.

    Il ne s'agit pas, précise-t-on en Israël, de renverser le Hamas, qui administre seul la bande de Gaza depuis juin 2007.

    Le porte-parole du Hamas, Sami Abou Zouhri, a déclaré qu'"Il n'y aura aucun cessez-le-feu sans un arrêt de la guerre que l'occupation (Israël) a déclenchée, une levée du blocus et l'arrêt de toutes les violations et des tueries commises à Gaza et en Cisjordanie".

    Le secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon, attendu dans la journée au Proche-Orient pour participer aux efforts de paix, a exhorté Israël à "faire beaucoup plus pour faire cesser les pertes civiles" dans la bande de Gaza, où vivent 1,8 million de personnes.

    Le pape François a téléphoné au président israélien Shimon Peres et au président palestinien Mahmoud Abbas pour leur exprimer ses "très graves inquiétudes".

    (Avec Jeffrey Heller, Noah Browning à Gaza, Michelle Nichols à New York, John Irish au Caire; Jean-Stéphane Brosse et Eric Faye pour le service français)

    Yahoo!Actu  19 07 14