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  • La famille du juge Michel indignée par la libération de Checchi

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    Le juge Pierre Michel  (1943-1981)

     

     
    Marseille / Publié le Samedi 13/09/2014 à 19H51
     
     
     

    Suite aux révélations de la Provence sur le placement sous le régime de la semi-liberté de François Checchi, l'homme qui a assassiné le juge Michel le 21 octobre 1981 sur le boulevard Michelet à Marseille, sa veuve et ses deux filles nous font part de leur révolte :

    "Madame Jacqueline Michel, veuve du Juge Pierre Michel et leurs deux filles Béatrice et Emmanuelle, tiennent à faire part de leur extrême indignation et de leur profonde douleur suite à la décision d'aménagement de peine de l'un des assassins de leur époux et père."

    "Elles indiquent qu'elles s'étaient au préalable formellement opposées à cette demande, comme elles l'ont systématiquement fait lors des multiples démarches similaires formulées ces dernières années. Il apparaît désormais que l'avis de la Famille Michel ne mérite plus aucune considération. La Famille Michel se souvient des désastreuses conséquences de la suspension de peine pour "raisons médicales" dont avait bénéficié en 2005 François Girard."

    "Lequel, commanditaire de l'assassinat de Pierre Michel, avait rapidement été réincarcéré et condamné pour violation de son interdiction de séjour puis association de malfaiteurs. Comme François Girard voici peu, François Checchi offrirait aujourd'hui toutes les garanties de réinsertion... Si les assassins réclament des aménagements de peines, la Famille Michel subit quant à elle cette perte irréparable sans aménagement possible. Sa tristesse est perpétuelle. Jacqueline, Béatrice et Emmanuelle Michel."

    La Provence

  • Un jeune Américain condamné à 6 ans de travaux forcés en Corée du Nord

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    Aujourd'hui, 19:12
     
     

    Par La Voix de la Russie | Un tribunal en Corée du Nord a condamné le citoyen américain Matthew Miller (24 ans) à six ans de travaux forcés dans un camp de travail correctionnel.

     

     Il est accusé d'avoir commis des « actes hostiles » dirigés contre le gouvernement de la RPDC.

    L’homme a été arrêté en avril à l'aéroport de Pyongyang. Un « comportement inapproprié lorsque du passage du contrôle à la frontière » était le motif de son arrestation. Miller a déchiré son passeport et demandé l'asile politique en Corée du Nord.
    Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2014_09_14/Un-Americain-condamne-a-6-ans-de-travaux-forces-en-Coree-du-Nord-6214/

  • Présidence de l'UMP: Sarkozy a son équipe de campagne

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    http://www.leparisien.fr/politique/presidence-de-l-ump-nicolas-sarkozy-a-son-equipe-de-campagne-14-09-2014-4134499.php

     

     

  • Robert BRUCE, 1er roi d'Ecosse en 1306, héros de l'indépendance écossaise

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    Robert BRUCE

    « Fuimus » - « Nous avons été » (devise de la famille BRUCE)

    Lorsqu’en 1051, la comtesse Mathilde, fille du comte de Flandre Baudouin V, épousa Guillaume le Bâtard, duc de Normandie, c’est l’alliance entre les deux plus puissantes principautés du Nord de l’Europe qui fut soudée. De nombreux nobles de Flandre suivirent la nouvelle duchesse en Normandie où ils se firent attribuer possessions et châteaux notamment dans le Cotentin. L’histoire noiera par la suite ces Flamands sous le vocable général d’ « anglo-normands ». On sait qu’ils conseillèrent efficacement Guillaume à Hastings et que celui-ci manifesta à leur égard une profonde reconnaissance en leur attribuant dans toute l’Angleterre, des centaines de fiefs, terres, et titres nobiliaires. Le « Domesday book » rédigé en 1086 à la demande de Guillaume, nouveau roi d’Angleterre, permet de localiser avec précision l’implantation de cette nouvelle noblesse « anglo-normande ». Très rapidement, celle-ci érigea des châteaux, donjons et forteresses afin de garantir sa sécurité et d’assurer son autorité sur la population autochtone. Ces constructions étaient jusque là inconnues chez les Anglo-saxons, et ce furent les Flamands, réputés spécialistes dans ce domaine, qui, les premiers, développèrent cet usage, qui ensuite, se généralisa dans toute l’île. Ce sont les Flamands également qui introduisirent plus tard l’utilisation des armoiries en Ecosse. Cette pratique étant également inconnue des Ecossais, ce qui permettra comme on le verra, de les identifier et de tracer leurs parcours.

    Cependant, au fil du temps, et notamment après la mort de Guillaume, des dissensions apparurent avec ses successeurs. Ces puissantes familles se montreront de plus en plus rebelles et indépendantes vis-à-vis du pouvoir royal, n’hésitant pas, notamment sur les frontières du nord, loin de Londres, à s’allier aux grandes familles nobles écossaises, pour s’opposer aux nouveaux rois d’Angleterre.
    Deux siècles et demi après Hastings, les Ecossais, au terme de luttes féroces, dont le film Braveheart relate un des épisodes les plus tragiques, avec William WALLACE, arracheront leur indépendance lors de la bataille de Bannockburn (1314) . Auparavant, Robert BRUCE, par défi vis-à-vis du roi Edouard Ier, se sera fait proclamer 1er roi d’Ecosse en 1306.
    Les principaux protagonistes de la guerre d’indépendance de l’Ecosse portent des noms de chez nous : John BALLIOL (Jean de Bailleul), qui fut une sorte de roi d’Ecosse fantoche désigné par le roi Edouard, puis écarté par celui-ci et exilé. On dit qu’il fut exfiltré par les grands lignages flamands et qu’il finit ses jours en Flandre. John COMYN, dit Comyn le Rouge (sobriquet parfois donné aux aînés des fratries), descendant de Richard de Comines, dont la famille était originaire, selon les historiens anglais, de Comines en Flandre. Son nom sera par la suite, transformé en CUMMINGS. Et surtout Robert BRUCE, dont les origines flamandes ne font plus de doutes (BRUCE<BRUGES) pour les spécialistes anglais de la science héraldique.

    Précisons qu’un autre Bruce, Edward, frère du précédent, fut proclamé roi d’Irlande en 1316. On peut citer également Eustache II de Boulogne, petit fils du comte Lambert de Louvain par sa mère Mathilde, porte étendard de Guillaume à Hastings, immortalisé sur la célèbre tapisserie de Bayeux (le chevalier aux longues moustaches). Outre les nombreux descendants de ces familles, on trouve au gré des recherches d’autres nobles de Flandre : Walter the Fleming, Gilbert de Gand/Alost, Arnulf de Hesdin, des seigneurs de Guînes, de Béthune (Beaton), de Lille (Lyle), etc., souvent des cadets de famille intéressés par la possession de terres et qui feront souche.

    Qui était Robert BRUCE (1274-1329) ?
    Les origines des Bruce, nombreux à suivre Guillaume dans sa conquête, sont longtemps restées obscures. Les origines vikings qu’on leur a parfois attribuées doivent être définitivement écartées, au profit d’une explication flamande.
    Les recherches sont rendues difficiles en raison de la très grande instabilité linguistique de l’Angleterre du XIème siècle et des graphies changeantes: De Bruce, Le Bruce, The Bruce, Brus, Bruis, Brix, Brusee, Brux, Braose…Nous garderons la graphie BRUCE par commodité. En outre, on décompte une longue série de Robert Bruce qui vont se succéder de père en fils avec le même prénom. Nous les avons numérotés afin de suivre leur trace jusqu’au héros de l’Ecosse.

    Au début, nous aurions un Adam ou un Robert « de BRUGES», un des plus jeunes fils du Comte Lambert de Louvain. Ce Robert, châtelain de Bruges en 1046, émigre en Normandie en 1051, année du mariage de Mathilde de Flandre avec Guillaume de Normandie. Son nom disparaît cette année là de l’histoire de Bruges. D’autres Flamands ont suivi le même chemin à la même époque, dont les Comines. Robert « de Bruges /de Brus», aurait selon les auteurs, érigé un château dans le Cotentin, nommé Brix ou Bruise ou Brux, raison pour laquelle on dit la famille originaire de ce lieu. On peut penser, que ses origines dans la haute noblesse flamande en firent un de ces proches conseillers flamands de Guillaume qui contribuèrent efficacement à la victoire d’ Hastings. Probablement est-ce en raison de son lignage et en récompense de ses services que lui et les autres Bruce amassèrent quelques années plus tard plus de 200 manoirs dans le sud de l’Angleterre, dont le fief de SKELTON. Les Lords Bruce of Skelton qui se transmettront de père en fils cet héritage, porteront comme armoiries un lion bleu aux griffes rouges sur champ d’argent, les armes de la famille de Louvain, toujours visibles aujourd’hui sur celles de la ville de Bruges !


    Robert BRUCE I meurt vers 1094.
    [A noter que ce lion d’azur (bleu), mais sur champ d’or sera aussi porté par un autre seigneur flamand, Jocelyn de LOUVAIN, beau frère du roi d’Angleterre et fils de Godefroy I, duc de Brabant et comte de Louvain. Ces armoiries se retrouveront par la suite sur celles du puissant clan PERCY, dont il avait épousé l’héritière]

    Robert BRUCE II (1078-1141), fils du précédent, 1er Lord of Skelton, était un fidèle compagnon du roi DAVID d’Ecosse à la cour du roi d’Angleterre Henri I (fils du Conquérant). Lorsque David d’Ecosse regagna ses terres, vers 1124, il fit appel à d’importants contingents de Flamands, dont Robert BRUCE II (dit « de Brusee »), John COMYN et John BALLIOL, à qui il confia la construction de châteaux forts. Robert reçut du roi l’important fief d’ANNANDALE et devint le 1er Lord d’Annandale. Les armes des Bruce d’Annandale sont décrites comme suit : « d’or au sautoir de gueules, au chef du même ». Ce sont les armes d’une grande famille flamande alliée aux comtes de Flandre, la famille De Praet, qui tenait le château de Bruges au 12ème siècle. Parmi les précédents détenteurs du château, en 1046, il y avait ce Robert de Bruges évoqué plus haut. Il est probable, qu’en ces débuts de la mode héraldique, où les règles de transmission n’étaient pas encore très codifiées, les successeurs de Robert, dont les De Praet, aient maintenu la bannière au sautoir rouge au-dessus du château et en aient fait également leurs armoiries.
    Robert BRUCE III, fils du précédent, 2ème Lord d’Annandale, meurt vers 1189.
    Robert BRUCE IV, fils du précédent, meurt vers 1191.
    William BRUCE, fils du précédent, 3ème lord d’Annandale, meurt vers 1215
    Robert BRUCE V, fils de William, 4ème lord d’Annandale, épouse Isabelle de la famille royale d’Ecosse. Ce mariage sera à l’origine de la prétention de la famille au trône.
    Robert BRUCE VI, dit « le compétiteur » (1210- 1295), 5ème Lord d’Annandale, fils du précédent. L’un des 13 prétendants au trône d’Ecosse en 1291 contre Jean de Bailleul (John BALLIOL)
    Robert BRUCE VII, fils du précédent, 6ème Lord d’Annandale. On raconte que de retour de croisade, il fut chargé d’annoncer à Marjorie, comtesse de CARRICK, le décès de son mari devant Acre en 1270. Il fit la rencontre de la comtesse alors que celle-ci revenait d’une partie de chasse. Lorsqu’elle vit Robert, elle le jugea comme un gibier de premier choix et l’enferma dans son château…pour l’épouser quelques jours plus tard. Robert devint ainsi le 3ème comte de Carrick et eut cinq garçons et cinq filles, dont le futur roi d’Ecosse.
    Robert BRUCE VIII, 7ème Lord d’Annandale, monte sur le trône d’Ecosse en 1306, sous le nom de ROBERT 1er d’ECOSSE. Sur ses armoiries, on retrouve le « lion d’azur » des Bruce de Skelton (Louvain) ET le « sautoir de gueules » des Bruce d’Annandale originaire de Bruges. Robert BRUCE est le héros de l’indépendance écossaise. Il épouse des Ecossaises aux noms bien flamands, Isabelle de Mar, puis Elisabeth de Burgh, ce qui atteste par ailleurs une présence flamande importante dans les lignages écossais. Robert BRUCE, par le mariage de sa fille, est également à l’origine de la dynastie régnante des STEWART (STUART).


    Nous ne développerons pas les péripéties des batailles entre clans écossais et armée royale anglaise, ni la mort cruelle de William Wallace (Braveheart), l’allié de Robert BRUCE, ni l’assassinat de John COMYN par ce dernier, soupçonné de trahison, cette histoire étant bien connue.
    Si des Flamands furent très actifs dans la lutte pour l’indépendance de l’Ecosse, d’autres furent tout aussi nombreux à intervenir en Angleterre même.
    En 1052, une importante force flamande débarque en Angleterre pour rétablir dans ses droits le comte Godwin du Wessex, qui voulait rapprocher l’Angleterre des intérêts flamands, contre la volonté d’Eustache II de Boulogne allié du roi d’Angleterre, qui finit par céder.
    En 1136, une troupe imposante de plusieurs centaines de mercenaires flamands soutient avec succès Etienne de Blois, un usurpateur qui revendiquait la couronne d’Angleterre et qui finit par l’obtenir. Le chef de cette troupe était Guillaume d’Ypres (1090-1165), candidat malheureux à la succession du comte de Flandre et condamné à l’exil. Il était soutenu par Robert Bruce II et devint Gouverneur du Kent. C’est suite à ces événements que le roi d’Angleterre Henri II, un petit fils de Guillaume, méfiant vis-à-vis de ces Flamands belliqueux, les envoya au Pays de Galles pour y créer des colonies de peuplement (objet d’un autre article - Flanders beyond Wales).

    Mon propos était de rendre hommage à ces Flamands oubliés du Moyen-âge qui marquèrent profondément l’histoire européenne par leur bravoure, leur esprit d’indépendance et d’entreprise.
    ……...

    DIRK

    Texte et recherches inédites en langue française de l'auteur, que nous remercions chaleureusement pour sa contribution au blog.

     

  • Vive l'Ecosse libre !

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    Le 12 septembre 2014

    Le « droit des peuples » est la face marketing de la division du monde en une hiérarchie d’États subordonnés à la volonté de l’Oncle Sam.

             

    Le référendum du 18 septembre sur l’indépendance de l’Écosse trouble les esprits. D’un côté, l’Écosse a toutes les qualités requises pour s’en sortir seule : une superficie double de celle de la Belgique, une population cinq fois plus importante que celle de Chypre, du pétrole, une grande surface maritime, des industries développées, le tourisme, la culture, etc., sans parler des joyaux de la couronne écossaise, tout près à Édimbourg.

    Trois cents ou quatre cents ans de domination anglaise ne sont rien. La plupart des nations d’Amérique du Sud sont devenues indépendantes après avoir été des colonies pendant un temps comparable.

    Le choix appartient-il aux Écossais ? Dans le monde tel qu’il est, le « droit des peuples » est la face marketing de la division du monde en une hiérarchie d’États subordonnés à la volonté de l’Oncle Sam. Il peut, si ça lui chante, remettre en cause l’adéquation du contenu (un peuple) avec le contenant (un État) comme dans le cas de la découverte intéressée d’un peuple kosovar. Se prévaloir du « droit des peuples » n’a donc que peu d’utilité si ce peuple n’est pas reconnu, c’est-à-dire voulu, par la puissance hégémonique. La panoplie des États indépendants doit rester l’expression de la domination américaine. D’où la réciproque que toute retouche au canevas issu en partie de l’époque coloniale (comme le prouvent les frontières de l’Afrique ou du Proche-Orient tracées à la règle sur une carte) ne doit se faire que dans son intérêt. Ainsi l’Algérie fut retranchée de la France et la Yougoslavie dépecée. La seule ombre au tableau est la survie d’un groupe d’États issus du bloc socialiste.

    D’où la troisième règle qui découle de la maxime « divide et impera » : favoriser l’éclatement des adversaires et empêcher celui des vassaux. La reconnaissance d’un peuple et de ses aspirations à l’indépendance n’est que la résultante de ces considérations. Les identités produites par l’Histoire, les langues et autres particularismes sont pour nos décideurs planétaires un réservoir dans lequel ils puisent selon l’opportunité. Ce qui aujourd’hui n’est que folklore peut, demain, devenir une aspiration légitime à l’indépendance – et inversement.

    L’indépendance de l’Écosse est donc néfaste pour le bloc atlantique, parce qu’elle tend à affaiblir un allié important et zélé des États-Unis. Elle constitue un précédent délétère pour d’autres États amis comme le Canada, la Belgique, l’Espagne et même la France, tant que celle-ci marche droit. Les indépendantistes voient en Londres un autre Bruxelles qui pompe les ressources et décide en négligeant les intérêts locaux. Jusqu’ici, Cameron a fait miroiter des avantages fiscaux, pleurniché sur la « famille » et averti qu’une Écosse infidèle ne pourrait pas profiter de la livre. Il ne fait cependant aucun doute que d’autres menaces vont pleuvoir si les Écossais persistent. Le rétablissement de la France pourrait bien passer par le soutien à l’Écosse libre.

    Gérard Poitrenaud

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Ukraine: vidéos et photos des corps sur les lieux du crash du vol MH17 de Malaysia Airlignes

    jvidepi Le 10 septembre 2014 à 0 h 56 min

    Faut rester prudent. Je suis 100% dans la dissidence, mais quand ça part en balloune et qu’on tombe dans le délire, il est de notre devoir de nous ramener dans le réel les uns les autres. Dans photos/vidéos du crash et des corps il y en a des dizaines, mais il faut savoir où les chercher. Attention, il faut avoir le coeur bien accroché:


    http://www.liveleak.com/view?i=0e5_1405626203
    http://www.liveleak.com/view?i=7f7_1405618092
    http://www.liveleak.com/view?i=0e2_1405620105
    http://www.liveleak.com/view?i=922_1405641879
    http://www.liveleak.com/view?i=8ba_1405639717

      

    Commentaire lu sur le site Croah.fr

    http://croah.fr/revue-de-presse/le-vol-mh17-de-malaysia-airlines-rempli-de-cadavres-plastines-par-une-societe-allemande/

    NdB: Des corps plastinés? Des cadavres sortis d'une morgue? Ou réellement ceux déchiquetés des victimes de ce crash?  

     

  • Assassinat de James Foley : y a-t-il eu deux bourreaux ?

     

    Gaël Lombart | Publié le 26.08.2014, 08h26 | Mise à jour : 14h22

     

     

                                    

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    Dans la vidéo diffusée par l'Etat islamique sur l'assassinat de James Foley, l'individu masqué qui apparaît aux côtés du journaliste pourrait ne pas être le véritable bourreau, selon des experts cités par la presse anglo-saxonne.
    | (Capture d'écran/YouTube.)

                    

     

     

     

     

    Les images ont fait le tour du monde : dans un désert, un homme vêtu de noir, encagoulé, explique face caméra qu'il s'apprête à décapiter le journaliste James Foley, agenouillé à ses côtés. Depuis plusieurs jours, les soupçons se portent sur un ancien rappeur londonien parti en Syrie. Or, des experts s'accordent à dire aujourd'hui que ce n'est pas un mais deux individus différents qui auraient pris part au .

    Selon une société en analyse judiciaire qui collabore avec la police britannique, et citée par «The Times», l'assassinat de James Foley aurait été mis en scène, la véritable exécution ayant vraisemblablement eu lieu hors caméra.

    Le fait que James Foley ne se débatte pas questionne les experts. Interrogé, l'un d'entre eux souligne qu'on ne voit pas de sang jaillir, même quand le couteau est porté au cou de la victime, à six reprises. Deux blanches différentes apparaissent d'ailleurs : l'un dans la main du bourreau, l'autre en arrière-plan.

    De son côté, un expert judiciaire américain, cité par CNN, assure qu'il y a «assurément un changement d'acteurs». «Il y a des changements notables -ils sont subtils, mais notables-, dans leurs statures, leurs apparences physiques».

    La chaîne d'information note aussi que l'homme en noir porte son sur l'épaule gauche, de sorte qu'il puisse le saisir avec la main droite. Mais il tient son couteau de la main gauche, ce qui renforce le doute sur sa participation réelle à l'exécution.

    Des sources gouvernementales britanniques, notamment citées par «The Telegraph», ont déclaré qu'il était possible que la voix entendue dans la vidéo, identifiée comme étant celle de «John», ne soit pas celle de l'homme masqué apparaissant dans le film. Selon elles, l'Etat islamique peut avoir ajouté après coup une voix britannique pour rendre plus difficile l'identification du tueur. La tache des enquêteurs s'annonce des plus ardues.

    Un blogueur pense avoir découvert le lieu de la décapitation
    Eliot Higgins, un blogueur britannique, semble avoir identifié l'endroit où James Foley a été décapité, grâce à une analyse minutieuse de la vidéo de cinq minutes diffusée par l'Etat islamique, une découverte relayée notamment par «The Telegraph». Selon lui, la probabilité est grande que le journaliste ait été tué sur une colline surplombant la ville syrienne de Raqqa. Pour parvenir à ce résultat, le blogueur a d'abord masqué les silhouettes de James Foley et de son bourreau présumé, afin de pouvoir se concentrer sur le paysage environnant. Il a ensuite constaté en arrière-plan la présence d'une possible plaine, scruté les amas de pierre et la route qui apparaît sur la vidéo, pour les comparer avec les images satellites de la zone que contrôle l'Etat islamique en Syrie, dont Raqqa est une place forte.  Eliot Higgins a, par le passé, enquêté sur l'usage d'armes chimiques en Syrie.

    LeParisien.fr

    Tous les doutes étant permis, a-t-il été vraiment assassiné?

  • Le nouveau 11 Septembre est arrivé

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    Il y a un an, 16 % des Américains voulaient porter la guerre en Syrie. Ce n’était pas assez. Aujourd’hui, les Américains sont partisans de cette même guerre à hauteur de 66 %.

             

    Il y a un an, 16 % des Américains voulaient porter la guerre en Syrie. Ce n’était pas assez. Aujourd’hui, les Américains sont partisans de cette même guerre à hauteur de 66 %. Le coup des images d’égorgement aura suffi. Un nouveau 11 septembre, vous pensez ! Le cru sera-t-il bon ?

    On rappellera qu’on nous a fait le coup des charniers de Timisoara, des bébés tués dans la couveuse, des armes de destruction massive. Et on dira aussi que les braves islamistes, ex-Ben Laden Boys, étaient considérés comme des saints protecteurs de notre démocratie laïque ; qu’ils étaient armés en conséquence pour en finir avec un régime laïc protecteur de chrétiens — comme l’Irakien de jadis.

    On accusera donc Assad cette fois de soutenir les voyous égorgeurs que l’on équipait l’an dernier. On enverra donc nos troupes éthiques là-bas… et en Lettonie. Car il ne faut pas lésiner face au terrorisme international ou à l’ours russe qui recouvre le Vieux Continent de ses chars. De Staline à Poutine, expliquent les experts, il n’y a qu’un seul pas. Car nos experts expertisent, nos commentateurs commentent et nos opinions opinent.

    Naomi Klein explique dans son livre sur La Stratégie du choc que la guerre des images est essentielle. C’est l’arme réelle, en fait : la terreur pour toujours dans notre tête de prisonnier. Le capitalisme de terreur a besoin de choquer sa population et de l’amener à la guerre privatisée pour enrichir des ministres actionnaires – Baker et le Carlyle Group, Cheney et Halliburton, Perle et Boeing. Car il faut savoir qu’on ouvre une base américaine comme on ouvre une prison au Texas (attention citoyens, il faut les remplir, après !) ou un fast-food à Paris. Pour les affaires.

    Oliver Stone a rappelé, lui, dans son film sur l’histoire de son pays qu’on a rempli Guantánamo non pas de terroristes mais de quidams en général innocents amenés par des chasseurs de primes. Il a aussi expliqué que l’on a commencé à faire du Débarquement un culte – depuis Spielberg et les années 90. Ces jours-ci passe justement à la télé une série sur le sacrifice du Débarquement. La transformation d’une opération militaire en rituel religieux et en culte commémoratif fonde une inféodation spirituelle et elle nous prépare à un autre sacrifice et à la prochaine guerre « nécessaire ». Nietzsche disait que la torture est une mnémotechnique. On n’a donc pas fini de nous traumatiser.

    Terminons sur les images ou leur absence. Seymour Hersh a confirmé au Guardian, à propos de l’assassinat de Ben Laden, qu’il s’agit d’un gros mensonge, que pas un seul mot là-dedans n’est vrai, pas un seul fait. Mais, ajoute ce vieil as rebelle, l’administration Obama peut tout se permettre, puisque nobélisée. Nous croyons donc non seulement à n’importe quelle image manipulée qu’on nous montre, mais aussi à celle que l’on ne montre plus.
    Le prix Nobel de la paix orwellienne n’a même plus besoin de se moquer de nous ; nous en redemandons.

    Nous en redemandons mais nous le paierons.

    Nicolas BONNAL

    BOULEVARD VOLTAIRE

    66%: encore un nombre kabbalistique...

     

     

     

     

  • Aujourd'hui à l'école, on apprend le tri des déchets ou l'idéologie du genre

     

    Michel Onfray était sur France Inter hier. Il a défrayé le chronique :

     

    Michel Onfray le 12 sept. 2014 from Chяistophe †=♥ ن on Vimeo.

    Michel Janva

    Le Salon Beige

  • Vous en redemandez ?

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  • Sarkozy s'offre une sortie au théâtre pour voir la pièce de BHL, "Hôtel Europe"


    Nicolas Sarkozy s'offre une virée au théâtre... par BFMTV

    En pleins préparatifs de son retour politique, s'est accordé une pause, vendredi soir, en allant assister à la dernière pièce de Bernard-Henri Lévy «Hôtel Europe» dans un théâtre du dix-huitième arrondissement de , accompagné de son épouse Carla  Bruni.

     

      

    Attendu à la sortie par de nombreux journalistes, l'ancien chef de l'Etat a encensé son ami philosophe vantant «ses qualités d'écrivain, d'auteur» au micro de BFM-TV.

    Depuis l'intervention militaire contre le régime de Mouammar Kadhafi, les relations entre le politique et l'homme de lettre -qui avait voté en 2007- se sont réchauffées. Au point que jeudi, le philosophe a déclaré que le retour de l'ancien président de la République serait «bon pour la France» et une «très bonne nouvelle pour la démocratie.»

    Cette escapade au théâtre pourrait bien être la dernière apparition en public de l'ancien président avant sa véritable entrée en scène politique, annoncée pour la fin de la semaine prochaine.

    Le Parisien - 13 09 14

  • Un homme fait le salut nazi devant le camp de Drancy, une enquête judiciaire est ouverte

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    http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/il-fait-le-salut-nazi-devant-le-camp-de-drancy-une-enquete-judiciaire-est-ouverte-12-09-2014-4130165.php

  • Entretien avec Alain de Benoist

     

    Faire la différence entre « la » politique et « le » politique…

    Le 12 septembre 2014

    Entretien réalisé par Nicolas Gauthier.

    « Faire de la politique », vaste histoire. Au fait, quelle définition donneriez-vous de la « politique » ? Action historique, entretien du « grand roman national » cher à Michelet, vision nationale et continentale à plus ou moins long terme ?

    L’immense majorité des gens qui s’intéressent à la politique n’ont pas la moindre idée de ce qu’est la politique. Il en va de même, malheureusement, de la plupart des hommes politiques. À l’ENA, on ne leur a pas appris la différence entre la politique et le politique. On leur a seulement parlé de régimes politiques, de pratique gouvernementale et de météorologie électorale. La plupart d’entre eux s’imaginent que la politique se réduit à une gestion administrative inspirée du management des grandes entreprises. C’est, là, confondre le gouvernement des hommes avec l’administration des choses, et croire qu’il faut s’en remettre à l’avis des techniciens et des experts. Dans une telle optique, il n’y aurait pour chaque problème politique qu’une seule solution optimale : « Il n’y a pas d’alternative » est un mot d’ordre typiquement impolitique. En politique, il y a toujours des alternatives parce qu’un même fait peut toujours être jugé différemment selon le contexte et les critères d’appréciation retenus.

    Une autre forme classique d’impolitique consiste à croire que les fins du politique peuvent être déterminées par des catégories qui lui sont étrangères – économiques, esthétiques ou morales par exemple. En réalité, chaque activité humaine a sa propre finalité, sa propre morale et ses propres moyens. Dire qu’il y a une essence du politique, c’est dire que la politique est une activité consubstantielle à l’existence humaine au seul motif que l’homme est, par nature, un animal politique et social, et que la société ne dérive pas, contrairement à ce qu’affirment les théoriciens du contrat, d’un « état de nature » prépolitique ou présocial.

    Dans son grand livre sur L’Essence du politique, Julien Freund a donné de la politique cette définition canonique : « Elle est l’activité sociale qui se propose d’assurer par la force, généralement fondée sur le droit, la sécurité extérieure et la concorde intérieure d’une unité politique particulière en garantissant l’ordre au milieu de luttes qui naissent de la diversité et de la divergence des opinions et des intérêts. » Freund ajoute que, comme toute activité humaine, la politique possède des présupposés, c’est-à-dire des conditions constitutives qui font qu’elle est ce qu’elle est, et non pas autre chose. Freund en retient trois : la relation du commandement et de l’obéissance, la relation du public et du privé, enfin la relation de l’ami et de l’ennemi. Cette dernière relation est déterminante, car il n’y a de politique que là où il y a possibilité d’un ennemi. Si, comme le dit Clausewitz, la guerre est la poursuite de la politique par d’autres moyens, c’est que le politique est intrinsèquement conflictuel. Il en résulte qu’un monde sans frontières serait un monde d’où le politique aurait disparu. C’est en ce sens qu’un État mondial est une absurdité.

    Il faut dire encore que la politique n’est pas un domaine, mais une dimension de la vie sociale. Qu’elle n’est pas une science gouvernée par la raison, mais un art gouverné par la prudence (phronèsis). Qu’elle s’appuie sur le droit mais ne s’y réduit pas, car le droit n’est pas porteur de contrainte. La politique, enfin, ne se fait pas avec de bonnes intentions, mais en sachant ne pas faire de choix politiquement malheureux. Agir moralement n’est pas la même chose qu’agir politiquement (vertu morale et vertu civique ne sont pas la même chose).

    Et la notion de bien commun ?

    Le bien commun n’est pas synonyme de l’intérêt général, c’est-à-dire de l’addition des intérêts particuliers. Dans l’expression, le mot qui compte est « commun ». Le bien commun, que Tocqueville appelait « bien de pays » (on trouve aussi chez Hobbes l’expression « bien du peuple »), est un bien dont chacun est appelé à bénéficier, mais qui ne peut faire l’objet d’un partage : on n’en jouit que parce qu’il est la chose de tous. La politique est le royaume du commun. C’est la raison pour laquelle le libéralisme est intrinsèquement négateur de l’essence du politique, puisqu’il ne connaît que des intérêts particuliers et assigne pour seule mission à l’État de garantir des droits individuels (la très libérale Margaret Thatcher prétendait que « la société n’existe pas »).

    Qu’on apprécie ou non sa vision politique, la dernière figure nationale à faire de la politique, depuis l’éviction de Montebourg et le départ annoncé de Jean-Luc Mélenchon, ne serait-elle pas Marine Le Pen ? Que vous inspire sa trajectoire ?

    Marine Le Pen est, à mon avis, une vraie femme politique. Sa volonté affirmée de se dégager du vieux clivage droite-gauche, ainsi que l’avait fait avant elle le général de Gaulle, me semble en être une preuve. Cela dit, on peut évidemment discuter de ses orientations et de ses choix. Pour l’heure, j’espère qu’elle a bien compris qu’en 2017, il est vital pour elle, non seulement d’accéder au second tour, mais de s’y retrouver face à un représentant de la majorité actuelle. Dans cette optique, son adversaire principal est évidemment l’UMP.

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Discours de Geert Wilders au Parlement néerlandais: le Coran, un manuel pour terroristes

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    http://ripostelaique.com/discours-de-geert-widers-au-parlement-neerlandais-le-coran-un-manuel-pour-terroristes.html

  • Coup de poker américain ou décapitations ?

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    Ou bien ces gens ne sont pas des journalistes ni même pas des agents secrets, ou bien il s’agit d’une mise en scène bien préparée.

    Auriez-vous jamais observé une décapitation modèle ? Non ? Lorsque la tête est sectionnée du tronc, le sang gicle dans tous le sens… ET pourquoi, mais parce que le cœur, lui, est une véritable pompe qui vous maintient la pression à l’intérieur des vaisseaux sanguins au niveau de 2 Bars et quelques. Alors si un tuyau est coupé, le liquide se répand à la vitesse grand V montant en flèche comme une petite fontaine.

    Ces détails macabres dignes des Souvenirs du bourreau de Lyon ne font que prouver que les cadavres des journalistes américains exposés aux regards du grand public via les réseaux sociaux ne sont que du bidon. Lorsque vous observez sur ces vidéos horribles les corps étendus avec les têtes posées dessus, vous pouvez constater une négligeable quantité de sang qui s’est répandu autour. Le corps d’un adulte a plus de 4 litres d’hémoglobine et on vous a parlé plus haut de la pression à l’intérieur du tuyautage. Ca donne ce que ça donne mais on est très loin de l’addition ! Pourquoi alors faire croire que les journalistes ont eu leur tête tranchée ?

    Avant de répondre à cette question à cent balles, on se paiera un autre passage non moins psychologiquement abominable. Lorsque vous observez ces films, surtout celui avec l’exécution de Sotloff, vous entendez les gens prononcer de longs discours enflammés fustigeant le Président des Etats-Unis et expliquant en détail tel un conférencier, la politique proche-orientale du maître de la Maison Blanche.

    Imaginez, ne fût-ce qu’un seul instant, que c’est vous qui vous tenez à genoux dans cette jolie chemise orange dépoitraillée sous un soleil de plomb proche-oriental au niveau du bas-ventre du bourreau qui vous tient gentiment par le col et vous exhibe son ustensile bien acéré avec un tranchant luisant. Vous sentiriez-vous en force d’invectiver le Président de la République et faire tout un cours général sur l’histoire de la région n’omettant pas de rendre responsable Notre Grand Mou de tous les dommages corporels que vous allez subir. Observez la grammaire et les tournures bien arrondies des condamnés, leur façon de se comporter, la mimique active de leurs muscles faciaux…

    Ou bien ces gens ne sont pas des journalistes et même pas des agents secrets, ou bien il s’agit d’une mise en scène bien préparée. Je ne veux faire durer le suspense mais visiblement la logique du montage ne tient pas debout. Vous ne pouvez pas obliger un type qui va mourir d’une mort atroce devant laquelle une guillotine paraîtra presque un acte de clémence, vous ne pouvez l’obliger, vous dis-je, de vous réciter par cœur des messages. Vous ne l’obligerez même pas à lire ces messages parce qu’il aura l’esprit ailleurs.

    Si vous vous en doutez, repassez-vous la vidéo de la dernière exécution à guillotine à Marseille pour voir l’état second du condamné. Repassez-vous les vidéos des terroristes caucasiens ou autres en train de décapiter leurs victimes. Les gens sont livides, ne réagissent à rien, se comportent comme des somnambules… Bref, ils font preuve massivement du comportement normal d’un homme condamné, se trouvant au seuil de la mort. Ajoutez-y un anglais impeccable du bourreau qui a causé beaucoup d’agitation et de tapage médiatique sur les rives de la Tamise. L’hypothèse que c’est un Arabe qui aurait grandi à Londres est un peu tirée par les cheveux. Pourquoi les gens du Califat chercheraient-ils spécialement à faire exécuter les prisonniers par un autre sujet Britannique ? En revanche, un soldat britannique déguisé serait l’explication autrement plus logique.

    Le dernier argument à ajouter : l’instant de la mise à mort est voilé. Ça, c’est aussi gros qu’un Dumbo ! Depuis quand les terroristes prendraient-ils peur de leurs propres actes ? Au contraire ! Ils les filment dans une multitude de détails écoeurants pour faire aux spectateurs ce qui répond bien au sens de la terreur, sœur de la panique. N’oublions pas : on est en pleine guerre médiatique ! Alors, au lieu de faire profiter les mécréants occidentaux du spectacle sanglant, les terroristes vous cachent pudiquement la scène. Il est à rappeler qu’il y a un an, un soldat britannique a trouvé la mort de la main d’un islamiste en plein centre de Londres. Et non seulement ce dernier n’a pas cherché à cacher son acte, mais il l’a fait sous les feux des caméras de ses acolytes, en direct et en bravant les passants.

    J’espère que j’ai réussi au moins à vous prouver qu’il y a anguille sous roche, comme on dit, car Monsieur Obama est servi : il peut s’attaquer en toute impunité au Califat puisque deux journalistes américains dont un aurait été un agent israélien et bi-patride, auraient trouvé la mort de façon atroce et idéologiquement médiatisée.

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    LA VOIX DE LA RUSSIE

  • Marine Le Pen sur Europe 1