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  • Un nouveau dérapage de Jean-Marie Le Pen ?

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    Il est connu pour ses phrases-chocs. Après l'affaire de "la fournée", le président d'honneur du Front national en remet une couche. C'est ce que révèle le réalisateur Serge Moati, dans son livre Le Pen, vous et moi. Publié aujourd'hui, l'auteur y retranscrit les conversations qu'il a entretenues avec Jean-Marie Le Pen. L'une d'entre elles ne passe pas inaperçue. À la page 37 du livre, le documentariste livre la discussion suivante:

    "Pardon, mais vous m'avez bien dit que votre père avait été en camp de concentration ?" se demande l'ancien chef du FN. "Oui, en Allemagne", répond alors le réalisateur. "Il est mort ?" continue le frontiste. "Non, sinon je ne serais pas là." Ce à quoi Jean-Marie Le Pen aurait alors rétorqué : "Alors, vous voyez. Il s'en est sorti, ça prouve qu'on ne fourrait pas tout le monde dans les chambres à gaz. Vous en êtes la preuve vivante, si j'ose dire... Bon, attention à la loi Gayssot."

    L'affaire de "la fournée"

    Début juin, l'ancien président d'honneur du FN avait déjà créé la polémique après des propos jugés antisémites. Alors que Patrick Bruel annonçait son refus de chanter dans les villes remportées par le Front national, il avait déclaré : "On fera une fournée la prochaine fois."

    Même si Marine Le Pen a condamné les propos de son père, elle n'entend pas l'éloigner de son parti. Comme elle l'a indiqué le 1er septembre dernier : "Je ne crois pas du tout que nous puissions nous passer de la sagesse et de l'expérience de Jean-Marie Le Pen."

    6MEDIAS

    LE  POINT - 17 09 14

     

  • VIDEO - Scandale: "L'énergie éolienne, la grande escroquerie"

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/scandale-lenergie-eolienne-la-grande-escroquerie_116525.html

  • La gymnaste préférée de Poutine à la tête d'un grand groupe media en Russie

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    Alina Kabaeva Crédits photo : © Alexander Demianchuk / Reuter/REUTERS

    LE SCAN SPORT - Présentée depuis plusieurs années comme la maîtresse de Vladimir Poutine, qui a toujours démenti toute liaison avec elle, l'ancienne gymnaste Alina Kabaeva vient de prendre la tête de l'un des plus grands groupes medias privé, pro-Kremlin, de Russie.

    Alina Kabaeva poursuit sa reconversion réussie. Sous la bienveillante protection du Kremlin. Après avoir été élue députée à seulement 24 ans, en 2007, sous l'étiquette de Russie unie, le parti de Vladimir Poutine, l'ancienne championne olympique de gymnastique rythmique (en 2004 à Athènes) vient de prendre la tête du Groupe médiatique national (NMG), dont elle dirigeait déjà le conseil de surveillance depuis 2008. «Alina a accepté de prendre le poste de président du conseil d'administration» du Groupe médiatique national (NMG), a indiqué mardi la porte-parole du groupe, Oksana Razoumov.

    NGM est l'un des principaux groupes de médias privés de Russie, pro-Kremlin, qui englobe notamment les chaînes de télévision REN-TV, Pervy Kanal et Piaty Kanal, les quotidiens populaires Izvestia, Tvoï Den et la radio Rousskaïa Sloujba Novosteï. L'un des co-fondateurs de la holding, créée en 2008, Iouri Kovaltchouk, présenté comme «le banquier de Poutine» a récemment fait l'objet de sanctions de la part des Etats-Unis pour ses liens avec le Kremlin en représailles de l'annexion de la Crimée et de la crise en Ukraine. Kabaeva, âgée de 31 ans, devient ainsi l'une des femmes les plus influentes du pays. Ce qui ne devrait pas manquer d'alimenter les rumeurs au sujet de sa vie privée.

    Un journal fermé après des révélations sur la vie privée de Poutine

    Neuf fois championne du monde et seize fois championne d'Europe durant sa carrière, l'ancienne gymnaste est régulièrement présentée par certains médias russes comme la maîtresse de Vladimir Poutine. Le président russe, qui a annoncé l'an dernier son divorce d'avec son épouse depuis 30 ans, Lioudmila et dont les médias russes savent peu de choses de la vie privée, a toujours nié toute relation avec celle qui a été élue femme russe la plus sexy de l'année en 2006 et que l'on présente souvent en Russie comme «la femme la plus souple de Russie.»

    Le Moskovski Korrespondent, qui avait laissé entendre, dès 2008, que le président russe avait divorcé de son épouse pour convoler en justes noces avec Kabaeva, avait été suspendu puis fermé peu de temps après ses révélations. L'hiver dernier, elle avait porté la flamme olympique dans le stade de Sotchi lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux.

    LE FIGARO

  • " Illettrés": Macron présente "ses excuses les plus plates" aux salariées de Gad


    Gad: Macron présente ses "excuses les plus plates" par BFMTV

     

                                                                                                                                  

    «Mes excuses les plus plates vont vers les salariés que j'ai pu blesser, que j'ai blessés par mes propos». Le ministre de l'Economie Emmanuel Macron s'est excusé sans détours ce mercredi après-midi à l', après sa sortie malheureuse le matin même sur Europe 1.

    Le nouveau patron de Bercy avait estimé qu'il y avait «beaucoup d'illettrées» à l'abattoir de porc Gad, une déclaration qui a déclenché une foule de réactions. <btn_noimpr>  

    «C'est inacceptable», reconnaît Macron

    «Je ne m'excuserai jamais assez» a insisté le ministre, interpellé lors de la séance de questions au . «C'est inacceptable et ce n'est pas ce que j'ai voulu faire» a-t-il encore dit.

    Quelques heures plus tôt, alors qu'il défendait la réforme du permis de conduire - qui vise à réduire les délais et coûts de passage de l'examen - sur les ondes, le ministre avait pris l'exemple des salariés de l'abattoir breton de Gad, placé jeudi en liquidation judiciaire : «Il y a dans cette société (Gad), une majorité de femmes, il y en a qui sont pour beaucoup illettrées, pour beaucoup on leur explique: vous n'avez plus d'avenir à Gad ou aux alentours. Allez travailler à 50 ou 60 km!». «Ces gens-là n'ont pas le permis de conduire, on va leur dire quoi?», s'est interrogé le ministre, regrettant le coût et les délais nécessaires pour ce permis.

     
     

    «C'est clairement du mépris», a rapidement réagi Jean Marc Detivelle, délégué FO chez Gad, tandis que les accusations de condescendance ont fleuri sur les réseaux sociaux, quelques jours après la polémique sur les sans-dents. Côté politique, le député Marc Le Fur a été le plus virulent, appelant même «le Premier ministre prenne ses responsabilités et renvoie M. Macron chez Rothschild ». «Cette déclaration d’un mépris inimaginable en dit long sur le regard que pose le Ministre de l’économie sur la réalité de l’industrie bretonne dans laquelle il n’a jamais mis les pieds», a-t-il ajouté sur ouest-france.fr.

    Alors que son entourage a immédiatement tenté d'éteindre ce départ de feu dans le Télégramme, évoquant un «mot malheureux» mais démentant toute forme de «mépris», le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll a également dû renfiler son costume de pompier pour secourir le jeune ministre :«Ce que voulait dire Emmanuel Macron ce matin c'est qu'il y avait un gros déficit en termes de formation initiale au départ, ce qui peut se corriger, mais en termes de formation continue ensuite», a-t-il commenté.

    Une réalité déjà énoncée par Michel Sapin

    Bien que maladroitement énoncé, l'exemple pris par Emmanuel Macron recouvre pourtant une réalité : au sein de l'entreprise Gad, 20% de l'effectif souffre effectivement d'illettrisme, c'est-à-dire que ces salariés maîtrisent mal l'écriture et la lecture, soit plus du double de la moyenne nationale. La société d'abattage de porcs et de transformation propose depuis 2010 une formation pour soutenir des salariés en lecture et en écriture.

    Une réalité qui avait déjà résonné dans un hémicycle, celui de la Haute Assemblée, en février dernier. En pleine discussion sur le projet de loi relatif à la formation professionnelle, à l'emploi et à la démocratie sociale, un certain Michel Sapin, ministre du Travail, avait expliqué avoir «discuté avec des gars de Gad. Pas facile, certains sont illettrés...». Quelques minutes, plus tard,  Maryvonne Blondin, sénatrice du Finistère, avait été un peu plus loin : «Je veux aussi apporter mon témoignage sur les salariés de Gad. Malheureusement, beaucoup d'entre eux, nous l'avons constaté, ne savaient plus lire ni écrire. Les réglementations de sécurité étaient élaborées à partir de pictogrammes... »


    LeParisien.fr

     

    En plein grotesque!

  • BHL invite les juifs de France à rester car « ce pays est le leur. Cette république est leur œuvre »

     16 septembre 2014 par Pierrot  - Contre-info.com

    Bernard-Henri Lévy a publié sur son site la Règle du Jeu  un texte appelant les juifs à ne pas quitter la France pour Israël. Et s’il demande aux juifs de ne pas céder à la panique, il donne également trois raisons concrètes pour rester :

    Les pouvoirs publics sont aux ordres : « Les juifs de France, d’abord, ne sont pas si seuls qu’ils le croient. Et, des meetings de Dieudonné interdits par Manuel Valls aux manifestations antisémites dont Gaza fut le prétexte et que les maires de grandes villes, qu’ils soient de droite ou de gauche, ont tous eu le courage d’interdire, l’honnêteté oblige à dire que les pouvoirs publics n’ont pas failli et se sont montrés, jusqu’ici, d’une vigilance sans faille »

    Les juifs de France sont un lobby puissant et détiennent le pouvoir : « Les juifs de France, ensuite, sont moins faibles qu’ils ne le pensent. [...]. Mais, pour le reste, que de voix fortes ! Que de responsables qui, ayant tiré les leçons de la timidité de ces aînés qu’on appelait les « israélites français » et qui virent venir le pire sans réagir, ne laissent désormais rien passer ! »

    La république est « leur œuvre » et la France leur appartient : « Et puis, il y a une troisième raison encore peut-être la plus importante de ne pas baisser les bras. Ce pays est le leur. Cette république est leur œuvre. »

    Finalement ce que dit BHL n’est pas totalement faux, le « lobby qui n’existe pas » (selon les politiciens) détient le pouvoir et peut réprimer tranquillement les dissidents. Mais si nous ne doutons pas que la République maçonnique soit l’œuvre du lobby, en revanche ce pays est le nôtre !

    Plus le temps passe et plus les langues se délient. Il y a quelques années aucune personnalité juive de premier plan n’aurait osé sortir un texte aussi scandaleux ; on entendait ce discours uniquement dans la bouche des « affreux complotistes ».

  • Halluin (59) : Le maire prêt à décréter l’état d’urgence dénonce « un début de guérilla urbaine »

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    22h38

    Dix-sept voitures ont été brûlées en deux semaines dans le quartier de la Rouge Porte, à Halluin. Excédé, le maire a envoyé un courrier au Président de la République pour qu’il donne à la police les moyens d’intervenir.

    [...] Un courrier de deux pages dans lequel Gustave Dassonville emploie des mots forts et des formules chocs.

     

    Extraits. « Pendant que vous faites la police en Irak ou en Syrie, ça brûle chez nous, sans que cela ait l’air d’émouvoir votre gouvernement. » « Mes administrés n’en peuvent plus. Je me suis rendu sur place hier dimanche pour aller à la rencontre des victimes de la nuit précédente : façades de maisons noircies par les flammes, carcasses de véhicules brûlés autour de nous. On se serait cru à Beyrouth dans les années quatre-vingt. Et que fait l’État ? Rien. » « Ce qui se passe dans les rues de ma ville n’est rien d’autre qu’un début de guérilla urbaine. Bientôt, si vous ne faites rien, c’est l’état d’urgence que vous serez contraint de décréter. » [...]

    [...] Ce qu’il attend [...] de François Hollande ? « Une vraie volonté politique » en matière de lutte contre l’insécurité. « Qu’il donne les moyens et les effectifs à la police pour faire son travail. C’est incroyable qu’en France, sixième puissance mondiale, on n’arrive pas à interpeller dix voyous qui terrorisent un quartier ! C’est invraisemblable. Les riverains sont choqués de la passivité du gouvernement. Il faut qu’il s’attaque au problème. S’il me répond qu’il ne peut rien faire, alors qu’il démissionne… »

    Source

    FDS

  • Ces bêtes sauvages...

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    Ces bêtes sauvages me sont éminemment sympathiques car elles ne doivent leur nourriture et leur confort qu’à elles-mêmes; elles n’ont de joies de l’amour que celles qu’elles ont méritées, par la lutte, et leur joie de vivre éclate cependant dans tous leurs gestes. Elles ont un petit air guilleret qui vous redonne du courage. Auprès d’eux, les animaux domestiques, repus, sans aucune initiative, me répugnent. Leur mort sans lutte ne réjouit que la cuisinière.

    Henri Vincenot, Prélude à l’aventure (1941), page 62.

    ZENTROPA

  • RED IS DEAD !

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    ZENTROPA

  • Le wifi des ambassades inquiète le régime de Pyongyang

    Posté le 16 septembre 2014 à 15h39 | Lien permanent

      

    La Corée du Nord reste un des rares pays au monde à interdire à sa population l'usage d'internet. Seuls les étrangers y ont droit. Pour seules sources d'information, les Nord-Coréens ne disposent que de la presse officielle, d'un réseau intranet sous contrôle, et de quelques DVD sud-coréens passés en fraude. On comprend donc qu'ils fassent tout pour accéder à internet, mais les autorités de Pyongyang ne l'entendent pas de cette oreille.

    "La Corée du Nord veut interdire le wifi, l’internet sans fil, dans les ambassades étrangères de sa capitale, Pyongyang. Le régime de Kim Jong-un tente par tous les moyens de couper sa population de toute information venant du monde extérieur. La Corée du Nord est l’un des rares pays où Internet est interdit. Or, certains Nord-Coréens avaient trouvé une parade : ils utilisaient les réseaux wifi des ambassades étrangères.

    La semaine dernière, le régime a annoncé aux ambassades et aux organisations internationales qui résident à Pyongyang que tout réseau internet sans fil était désormais interdit. On a même vu des représentants du gouvernement se promener dans le quartier diplomatique, téléphone à la main, pour détecter les wifi contrevenants. Amende prévue : 9 000 euros ! L’excuse invoquée par le régime, c’est que ces réseaux auraient un « effet sur les zones environnantes ». Mais vendredi, une concession a été trouvée, les ambassades peuvent garder leur wifi à condition qu’il soit protégé par un mot de passe, et surtout que leurs ondes ne sortent pas du quartier diplomatique. Il faut savoir que les étrangers à Pyongyang sont les seuls à avoir droit à Internet, via des réseaux satellites installés par des entreprises chinoises."[...]

    Marie Bethanie

    Le Salon Beige

     

  • CHARD

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    via NOVOPRESS

  • Angers : les “Accroche-cœurs” censurés par l’islam avec l’accord du maire

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    16/09/2014 – ANGERS (NOVOPress) – L’affaire est symptomatique de l’islamisation du pays, où une religion encore minoritaire pèse de plus en plus sur la société, imposant son diktat moral, ses tabous et ses interdits. Elle est révélatrice également du silence gêné, voire de la soumission de la part des médias locaux comme des autorités politiques et administratives…

    À Angers se déroule chaque année en septembre le festival des « Accroche-cœurs » consacré au théâtre et aux arts de la rue. Durant trois jours, la ville vit au rythme des représentations publiques sur les places et dans les rues avec une soixantaine de compagnies offrant plus de 100 spectacles drainant plus de 250 000 spectateurs.

    L’édition 2014 du festival a débuté ce vendredi 12 septembre en soirée par une représentation théâtrale dite des « squames » qui visait à dénoncer les intégrismes religieux. Joué sur une des places centrales d’Angers devant un millier de spectateurs, la pièce fut interrompue par un groupe d’islamistes brandissant le Coran, traitant le spectacle « d’impur » et menaçant de s’en prendre physiquement aux acteurs.  Les comédiens ont alors décidé d’arrêter la représentation et la police est intervenue pour éviter que l’incident ne dégénère. Aucune interpellation n’a été effectuée.

    L’incident fut pris très au sérieux par le maire UMP d’Angers, Christophe Béchu, qui décida d’annuler séance tenante les deux autres représentations de la compagnie prévues les samedi et dimanche. Cédant non seulement sur le champ aux menaces des islamistes, le communiqué de la mairie s’empressa même d’indiquer que “Christophe Béchu et la municipalité souhaitent présenter leurs excuses aux spectateurs qui ont pu être heurtés par ce spectacle“…

     

    La décision d’annulation, prise dès le vendredi soir et publiquement annoncée le samedi matin, manqua d’entraîner l’annulation pure et simple du festival, la déprogrammation du spectacle étant vécue comme une véritable censure par les autres compagnies qui menacèrent de cesser de jouer par solidarité. Devant la catastrophe annoncée, un compromis fut trouvé, la représentation étant finalement rejouée le dimanche mais dans un espace fermé, le théâtre de la ville, et sous bonne garde policière.

    L’épisode est révélateur à plus d’un titre :

    - Angers n’est pas Marseille, ni la Seine-Saint-Denis et même si cette ville moyenne est, comme toutes les grandes villes du pays, touchée par une immigration endémique, on pouvait encore la croire à l’abri de provocations islamistes. Ce n’est visiblement plus le cas.

    - Une vingtaine de jeunes musulmans brandissant des corans auront suffit à remettre en cause l’organisation d’un festival important, brassant 250 000 spectateurs, sans que les autorités publiques ne réagissent fermement pour assurer l’ordre et maintenir les représentations. Pire, elles ont aussitôt cédé au diktat en déprogrammant la pièce et en s’excusant piteusement.

    - Tout a été fait par les politiques et les médias locaux pour minorer, voire cacher, les aspects politico-religieux de cet incident. Ainsi dans une touchante unanimité, les journaux locaux se sont employés dès le lendemain à oublier les causes réelles de cette déprogrammation… De manière évidente, il ne fallait surtout pas trop en parler et veiller à ce que les Angevins en sachent le moins possible.

    Un nouveau cap a-t-il ainsi été franchi ce week-end dans l’état de dhimmitude volontaire ? Après les horaires réservées dans les piscines, la disparition du cochon dans les assiettes des cantines scolaires, la généralisation du halal, voilà désormais le temps des spectacles interdits…

  • Manuel Valls obtient une confiance relative mais perd la majorité absolue

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    Yannick Moreau, Député de la Vendée Littorale, réagit au discours du Premier Ministre et au vote de "confiance relative" de l’Assemblée Nationale :

    "Manuel Valls venu chercher la confiance des députés Français n’a récolté que leur défiance. Alors que la majorité absolue est de 289 voix, les 269 votes favorables révèlent toute la fragilité de ce Gouvernement. Jamais cette majorité n’a été aussi étriquée, jamais le gouffre entre les Français et leurs dirigeants n’a été aussi important.

    Si les frondeurs avaient le courage de la cohérence de leurs opinions, il n'y aurait plus de gouvernement Valls II bis.

    Il rappelle également qu’en six mois, en plus des sondages catastrophiques, Manuel VALLS a perdu la confiance de 37 parlementaires, frôlant de très près le renversement de son gouvernement. [...]

    Michel Janva

    Le Salon Beige

  • Vote de confiance: une majorité fragile

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    http://www.lefigaro.fr/politique/2014/09/16/01002-20140916LIVWWW00026-en-direct-suivez-le-discours-de-politique-generale-de-manuel-valls.php

  • Accord d'association ratifié: l'Ukraine et l'UE se disent oui

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    http://www.leparisien.fr/international/ukraine-ue-les-parlements-de-kiev-et-strasbourg-ratifient-l-accord-d-association-16-09-2014-4139425.php

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  • L’État islamique, c’est bon pour Israël

    Après BHL, Frédéric Encel rejoint l’analyse d’Alain Soral

    « L’affaiblissement de pays hostiles ne peut que favoriser Israël » explique Frédéric Encel aujourd’hui 16 sepetembre, dans un entretien au site LeMondeJuif.info.

    Une analyse détonante de ce militant sioniste de longue date, ancien secrétaire général de la branche étudiante du Bétar, aujourd’hui analyste risque-pays et professeur de géopolitique.

    Répondant à la question « Sommes-nous à l’ère d’une recomposition radicale des frontières du Proche et du Moyen-Orient ? », Frédéric Encel explique :

    « Du moins de certaines frontières, et parmi les plus anciennes. Celle syro-irakienne par exemple avait été conçue entre 1916 et 1920 ! Si les djihadistes de l’État islamique avaient pu impunément poursuivre leurs offensives, peut-être la frontière jordano-irakienne – aussi ancienne – et l’irako-saoudienne auraient été bousculées également. »

    Quand à savoir si cette « balkanisation » de la région est une opportunité ou un risque majeur pour Israël, Encel ne semble pas inquiet, bien au contraire :

    « Théoriquement, l’affaiblissement de pays hostiles ne peut que favoriser Israël. Regardez aujourd’hui l’état désastreux de la Syrie, du Soudan ou de l’Irak, pour ne prendre que les plus radicalement antisionistes ! Aucune coalition arabe ne pourrait sérieusement prétendre menacer l’existence de l’État juif. Cela dit, en lieu et place des régimes arabes nationalistes et centralisés, peuvent s’imposer des groupes islamistes fanatisés comme en Somalie, en Libye ou au nord de l’Irak. Même relativement éloignés de ses frontières immédiates et surtout occupés à guerroyer localement, ils devront être surveillés de près par Israël. »

    La destruction des nations par des groupes djihadistes, idiots utiles d’un Grand Israël à venir : une situation permise par les « Printemps arabes », dont Bernard-Henri Lévy, rejoignant l’analyse cohérente de Frédéric Encel, assurait en 2011 qu’ils étaient « bons pour Israël ».

  • VIDEO - Alain Soral sur le chaos menant au Grand Israël


    [Extrait] Alain Soral sur le chaos menant au... par ERTV

    Analyse d’Alain Soral sur le chaos menant au Grand Israël (extrait de l’entretien de rentrée 2013)

    E&R

  • Ukraine: Kiev accorde un statut spécial au Donbass

    Home ACTUALITE International            

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    Une colonne de chars ukrainiens en mouvement mardi autour de Kramatorsk dans le Donbass, où le cessez-le-feu est peu respecté. Crédits photo : DAVID MDZINARISHVILI/REUTERS

    Les séparatistes n'avaient pas répondu mardi à cette offre de plus grande autonomie de l'est de l'Ukraine.

     
     

    Kiev

    Le mardi 16 septembre restera un grand jour pour l'Ukraine. Mais on ne sait pas encore vraiment de quelle manière l'histoire s'en souviendra. En ratifiant l'accord d'association avec Bruxelles, le Parlement ukrainien a indiqué la direction de l'ouest, un chemin pavé de bien des incertitudes. Mais, dans la même matinée, sur proposition du président Porochenko, la Verkhovna Rada a voté, à huis clos, deux lois cruciales, qui symboliquement signifient que l'est du pays, c'est-à-dire les régions de Donetsk et de Louhansk, 16 % du PIB avant le conflit, pourrait rester à quai.

    Les députés ont, dans un premier texte, doté les régions du Donbass d'un «statut spécial», les territoires occupés par les rebelles acquérant une «plus grande autonomie» durant une période de trois ans. Des élections locales y seront organisées le 9 novembre ; l'usage de la langue russe sera autorisé dans les administrations, tandis que les exécutifs locaux pourront désigner eux-mêmes juges et procureurs. En marge de considérations socio-économiques liées à la reconstruction du Donbass, les autorités de Donetsk et de Louhansk auront le droit de «renforcer leurs relations de bon voisinage» avec leurs partenaires en Russie.

    «Nous avons gagné la paix»

    La seconde loi pourrait faire tout autant débat. Elle protège de toutes «poursuites criminelles» les «participants aux événements dans les régions de Donetsk et de Louhansk». Il s'agit d'une amnistie offerte aux rebelles armés prorusses, mais aussi aux nombreux groupes de volontaires et mercenaires en provenance de la Fédération de Russie ainsi qu'aux groupes paramilitaires pro-Kiev.

    Ce texte se place dans la droite ligne de l'accord de cessez-le-feu signé à Minsk et du «plan en sept points» griffonné par Vladmimir Poutine. «Les Occidentaux ont menacé de ne plus aider l'Ukraine si elle n'acceptait pas le cessez-le-feu», avouait ces derniers jours le vice-ministre de l'Intérieur de Kiev. Avec l'adoption de cet ensemble de lois, Petro Porochenko, qui allait répétant: «Nous n'avons pas perdu la guerre, nous avons gagné la paix», adopte une posture plus réaliste.

    Selon Yuriy Yakimenko, directeur adjoint et spécialiste en politique intérieure au centre de recherche Razoumkov de Kiev, les deux lois sont «la contrepartie de Kiev» à l'accord de Minsk, alors qu'en l'état actuel des choses, «l'Ukraine n'a aucun moyen de faire face militairement à l'intervention d'un ennemi extérieur, bien équipé, bien plus puissant». Il s'agit donc pour Porochenko de gagner du temps. «Attention, les lois ne parlent pas d'autonomie, mais d'un statut spécial temporaire pour les régions qui sont sous le contrôle de groupes armés, précise Yuriy Yakimenko. Il ne s'agit en aucun cas d'un abandon de souveraineté sur Donetsk et Louhansk, car, pour cela, il faudrait une modification de la Constitution ukrainienne.»

    Néanmoins, ces lois risquent de cliver le paysage politique et l'opinion ukrainienne. «Il y a une demande globale de paix, avérée dans les sondages, mais certaines tendances politiques vont utiliser ce texte pour critiquer le président, prédit Yuriy Yakimenko. Ioulia Timochenko, en perte de vitesse, mais représentative d'un vrai courant, a accusé le Parlement de «légaliser l'occupation du Donbass». Le premier ministre, Arseni Iatseniouk, pourrait également en profiter pour jouer sa propre partition, à l'approche des législatives d'octobre.

    Des combats sur le terrain

    Cependant, «la mise en place effective de ces lois va être très difficile», estime Yuriy Yakimenko, tant la réalité contredit les derniers espoirs de Kiev. «Le Donbass est administré de manière complètement autonome. Ce territoire n'a plus rien à voir avec l'Ukraine. Nous n'envisageons aucun lien de type fédéral avec l'Ukraine», a ainsi déclaré Andreï Pourguine, vice-premier ministre de la République populaire de Donetsk. «Peut-être pourrons-nous mener un dialogue avec Kiev sur certains aspects économiques ou socioculturels», a-t-il seulement avancé.

    Sur le terrain, ce sont bel et bien les tubes d'artillerie qui continuent de dialoguer, malgré un cessez-le-feu vanté dans les chancelleries, mais loin d'être respecté. À Donetsk, des combats à l'arme lourde se déroulent toujours quotidiennement autour de l'aéroport, seule poche contrôlée par l'armée loyaliste, que les rebelles cherchent à reprendre. Si la région de Marioupol reste globalement calme, les affrontements se poursuivent à l'est de Donetsk et au nord de Louhansk. Debaltsevo, la dernière grande position tenue par Kiev entre Donetsk et Louhansk, est arrosée d'un feu continu, tandis que, dimanche, les séparatistes ont pris la bourgade de Slavianoserbsk.

    LE FIGARO

  • Campagne de Sarkozy en 2007: nouvelle accusation d'un cousin de Khadafi

    http://www.leparisien.fr/politique/campagne-de-sarkozy-en-2007-nouvelle-accusation-d-un-cousin-de-kadhadi-16-09-2014-4139577.php

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    Il n'y a pas de fumée sans feu...

  • 16 septembre 1943 : les Américains attaquent Nantes

    16 septembre 2014 par admin4  - Contre-info.com

    nantes

    Le 16 et le 23 septembre 1943, les Alliés ravagent démocratisent la ville de Nantes.
    Leurs bombardements massifs font 1463 morts et 2500 blessés civils.

    700 maisons et immeubles sont détruits et près de 3 000 rendus inhabitables, sans que l’on voit bien l’intérêt militaire de raids aussi meurtriers.
    De Gaulle ne s’offusquera naturellement pas.

    Sur ce thème, on pourra lire Quand les Alliés bombardaient la France, d’Eddy Florentin (disponible ici).

    Source T. de Chassey