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  • Cécile Duflot relaie la propagande “vivre-ensembliste” de #NotInMyName

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    27/09/2014 – PARIS (NOVOpress)
    C’est le buzz à la mode qu’il ne faut pas manquer si vous n’étiez pas déjà en photo sur le hashtag #bringbackourgirls de Michèle Obama : le hastag #NotInMyName .

    Lancé par Hanif Qadir, un musulman anglais parti faire le Jihad en Afghanistan et maintenant travailleur associatif à Londres, #NotInMyName défend l’image d’un islam religion de paix et d’amour destiné à s’installer durablement dans la société britannique et qui pourrait pâtir d’un modèle trop autoritaire. Un message soutenu par de nombreux politiciens européens proches de cet électorat communautariste, à l’instar de Cécile Duflot (photo), dirigeante d’Europe-Ecologie-Les vertes et ancienne ministre du Logement. Elle le fait via un tweet en anglais, qui plus est s’excusant de demander aux musulmans d’afficher ce message : #NotInMyName .

  • Marseille : tension maximale au service des inscriptions des écoles

      

    Marseille / Publié le Samedi 27/09/2014 à 05H52
     

    Débordés, les agents affrontent la colère de familles sans école affectée

    Actualités - Marseille : tension maximale au service des inscriptions des écoles
    Les bureaux de la rue Fauchier ont rouvert dans le calme, grâce à la présence de policiers municipaux. Les agressions verbales se multipliaient depuis la rentrée.

    Photo D.TA.

     
     

    "C'est pour le terrorisme, c'est ça ?" La présence de quatre policiers municipaux dans le hall intrigue les familles qui entrent régulièrement au 38, rue Fauchier (2e). Elles sont venues inscrire leur enfant à l'école, demander une aide pour payer la cantine (de 15 000 à 18 000 "dossiers roses" seraient en attente). Ce vendredi matin, tout est calme : ni foule, ni éclats. On ne lit que de la fatigue sur les visages des agents et des parents qui ont tenté de réunir les justificatifs demandés vaille que vaille. "Mais l'autre jour, c'était autre chose : des mères se battaient, un agent a tenté de s'interposer et s'est pris un coup." Celui-ci est désormais en arrêt de travail ; il n'est pas le seul : depuis 2013, et la généralisation des inscriptions scolaires par la Ville, ce petit service d'une dizaine de fonctionnaires municipaux (deux postes de plus pour "une charge de boulot multipliée par 9") est en "tension maximale".

    La semaine dernière, les bureaux ont été fermés "en urgence", en raison de "graves menaces, de mort, en fait" dont a été victime l'un des agents. Un père furieux avait promis qu'il "reviendrait avec une bombe". L'agression de trop pour ce service "en souffrance". Saisie, la médecine du travail a constaté la situation sur place. Un psychologue, en lien avec la direction des ressources humaines de la mairie, a commencé à entendre les membres de l'équipe. "Jusqu'ici, on avait mis un couvercle sur notre service, confie l'un d'eux. Personne ne voulait voir ce qu'on vivait. Là, ça bouge enfin."

    Jusqu'à 400 personnes entassées dans le hall d'accueil

    Ce vendredi est calme mais ces dernières semaines, jusqu'à 400 personnes ont pu s'entasser en une seule journée dans le minuscule hall d'accueil. Leïla, son enfant sur les genoux, s'en souvient : "Il y avait des gens assis par terre, des enfants qui hurlaient. Entre deux numéros, on attendait une heure." Dans le brouhaha, derrière l'hygiaphone, on "ne s'entend plus, il faut parfois passer de l'autre côté pour parler aux gens", reconnaît le service.

    Tison de la tension, des écoles saturées. À la rentrée, jusqu'à 500 enfants étaient encore sans affectation, le centre-ville, la Capelette, le 15e arrondissement saturant particulièrement. Un mois plus tard, ils sont encore près de 300 sur le carreau. "Des enfants de 3 ans, mais aussi de 7, de 10 ans, c'est catastrophique", souffle-t-on dans le service, "en première ligne" face à la colère " légitime" des familles. "C'est un droit, non, l'école ?" murmure un papa. Des "bugs" ont aussi envenimé la situation : ainsi, des enfants qui avaient reçu une affectation alors que l'école était pleine ont été renvoyés chez eux. Des familles, fraîchement arrivées en France, perdent pied dans la jungle administrative marseillaise. D'autres encore se voient proposer une école loin de leur domicile, ou un éclatement de la fratrie. Samia, trois enfants, n'y arrive plus : "Je suis sans cesse en retard pour aller les chercher, je supplie pour un rattachement familial." Parfois, ça "pète. Il n'y a pas de respect, l'autre jour un petit de cinq ans a craché sur un agent ! livre un délégué syndical. Les agents craquent. Ce qu'ils vivent, le mot est fort bien sûr, mais c'est une forme de terrorisme aussi."


    Danièle Casanova, adjointe UMP aux Ecoles : "Les agents font leur travail, on doit les protéger"

    "Depuis deux ans, on a dû se conformer à la loi et procéder nous-mêmes aux inscriptions : jusqu'ici, nous ne gérions que les 1er, 2e et 3e, les directeurs d'écoles faisaient le reste, rappelle Danielle Casanova, l'adjointe à l'éducation. Nos agents font un travail extraordinaire et difficile, elles subissent des attaques dont on doit les protéger."C'est à sa "demande" que des policiers ont été affectés à la surveillance de Fauchier. "C'est vrai que les locaux sans inadaptés, nous allons pour cela déménager l'accueil." Pour le reste, l'élue concède des couacs : "Il est arrivé que nous affections un enfant et que l'école le refuse finalement : l'école n'était pas pleine, mais la classe demandée, si. Mais ça, nous ne pouvions pas le savoir !"

    Selon l'adjointe aux écoles, "le retour tardif (de leur pays d'origine, NDLR) de certaines familles perturbe aussi le comptage des enfants. On croit qu'on a casé tout le monde et soudain, on déborde ! Jeudi, l'inspecteur d'académie nous a ainsi ouvert trois classes supplémentaires, à Peyssonel, Révolution et Leverrier pour faire face." Au-delà, Danielle Casanova en convient finalement, "il manque, c'est vrai, des écoles dans le centre-ville ou le 15e. Leur construction n'a pas été aussi rapide que celle des immeubles, des arrivées.!" La Ville mise sur l'ouverture de Michelet, l'extension de Korsec et d'une nouvelle école bd Flammarion pour répondre à la demande. "On agrandit aussi l'école de Saint-Louis gare et on a réservé un terrain pour créer une nouvelle école (à Valnaturéal, NDLR). À Château-Gombert, on cherche un terrain."

     

    LA PROVENCE

    NdB: A Marseille, ville martyre, les vagues d'immigrés se succèdent  sans relâche! Et si l'enfant n'est pas inscrit dans une école, pas d'allocs familiales!

    Quand les Français ne pourront plus payer, qu'est-ce qu'on fera?

     
          
     

     

     

  • Le CSA confirme le tabou médiatique du QI des différentes races

     

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    Le 21 mai 2012, lors de l’émission Le libre journal d’Henry de Lesquen sur Radio Courtoisie, l’animateur avait abordé le quotient intellectuel de différentes races.

    Précisément, il avait déclaré : « quand [Jules Ferry] affirme qu’il y a des ‘races inférieures’ et des ‘races supérieures’, tout est une question d’appréciation. Mais il faut tout de même savoir, ça c’est un fait, que, pour ce qui est des examens et analyses de quotient intellectuel (…), il y a aux Etats-Unis entre les noirs africains et le reste de la population un écart de 15 points. Et la dernière étude publiée dans une revue scientifique anglaise par Jensen nous révèle qu’entre les noirs d’Afrique et les blancs d’Europe ou des Etats-Unis l’écart est de 30 points. Alors, c’est une valeur moyenne, mais c’est considérable. Et quand on parle du développement de l’Afrique et de son retard en matière historique, en matière de développement, il faut avoir à l’esprit cet écart de quotient intellectuel qui est évidement considérable. »

    Ces propos avaient valu à la station une mise en demeure du CSA (Conseil supérieur de l’audiovisuel). Radio Courtoisie avait alors décidé de contester cette mise en demeure devant le Conseil d’Etat. Les juges du Palais Royal l’ont débouté et confirmé la décision du CSA, qui n’a pas « commis d’erreur d’appréciation ».

    Lire aussi :
    > IQ and the Wealth of Nations

    NDF

  • « Pas d’amalgame » : pourquoi le message ne passe plus ?

     

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    Le 26 septembre 2014
     
     
    Dès le lendemain de l’assassinat d’Hervé Goudel, la classe politico-journalistique n’a pas manqué de s’inquiéter des risques d’amalgame entre les djihadistes affiliés à l’EI et les musulmans français.
             

    Dès le lendemain de l’assassinat d’Hervé Goudel, la classe politico-journalistique n’a pas manqué de s’inquiéter des risques d’amalgame entre les djihadistes affiliés à l’EI et les musulmans français. Outre les grands prêtres de la bien-pensance, nos maîtres ont envoyé sur le front médiatique l’iman Chalghoumi, sympathique recteur de la mosquée de Drancy, et l’incontournable Dalil Boubakeur, recteur de la Grande Mosquée de Paris. Pour donner crédit aux lassantes imprécations de la religion bobo, ils ont aussi veillé à relayer l’initiative incontestablement courageuse de ces musulmans qui diffusent sur la Toile une photo d’eux même accompagné du slogan « Not in my name », histoire de se désolidariser clairement des crimes djihadistes. À en juger par la tonalité des réactions des lecteurs ou des réactions de comptoir, il semble que le message ait désormais du mal à passer.

    Pourquoi, alors que le Français lambda continue à saluer amicalement son voisin musulman sur le pas de sa porte ou à la sortie de l’école des petits, pourquoi ne supporte-t-il plus ce mantra du padamalgame ?

    La première réponse tient à l’attitude de nombreux musulmans français. Peut-on croire, en effet, à la représentativité du très spirituel imam Chalghoumi alors qu’à chacune de ses interventions publiques fleurissent des tweets le qualifiant de traître à l’islam et d’imam des juifs ? Peut-on croire à la sincérité de Dalil Boubakeur, alors que celui-ci demandait simplement à ses coreligionnaires – au lendemain des violentes manifestations pro-palestiniennes du mois de juillet – de faire preuve de patience ? De patience en attendant quoi ? Peut-on croire à l’utilité de la campagne « Not in
    my name »
    alors même que les modérés sont toujours réduits à l’impuissance en temps de guerre, et que les djihadistes ne tuent pas au nom des autres musulmans mais au nom d’Allah dont ils croient mieux que quiconque avoir discerné la volonté ?

    Peut-on croire, enfin, à la bienveillance de la totalité des musulmans de France lorsque nombre d’entre eux (et elles) traduisent par leurs choix vestimentaires ou leur attitude agressive un projet colonisateur ? Car où passe la barrière entre un immigré et un colon, si ce n’est au niveau de sa volonté de se fondre ou non dans les codes de son pays d’accueil ? Reconnaissons, cependant, à leur décharge que, lorsque la classe dirigeante laisse croire que le sommet de la culture française consiste à se pâmer devant des œuvres ou des groupuscules blasphématoires ou encore à se promener les fesses à l’air sur les chars de la Gay Pride, elle n’encourage guère les nouveaux venus au respect de leur nouvelle patrie.

    Si le « Pas d’amalgame » est devenu inaudible, c’est donc aussi à cause de l’attitude de la classe dirigeante. Chacun sent bien, en effet, que ce discours ne relève pas d’une volonté d’éviter les tensions ethnico-religieuses dès lors que toute la politique nationale et internationale de la France semble au contraire rechercher à les provoquer, et qu’il ne relève pas non plus d’une analyse raisonnable de la situation, mais simplement de l’incantation antiraciste pavlovienne. Les grands prêtres et les grandes prêtresses rabâchent leurs prières en espérant que cela sauvera leur pouvoir et les sauvera de la vindicte populaire.

    La véritable manière d’éviter les amalgames, ce serait donc que chaque Français continue de converser amicalement avec son voisin ou collègue musulman-spirituel tout en ne ratant aucune occasion de dire avec la plus belle des franchises aux musulmans-politiques (les barbus sans moustaches notamment) et aux politiques ou journalistes français ce qu’ils pensent d’eux.

    François Falcon

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Hervé Gourdel : pas le premier, mais le dernier d’un long martyrologe

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    Le 25 septembre 2014
     
     
    Non ! Le malheureux Hervé Gourdel n’est pas le premier otage français égorgé jusqu’à la décapitation par des terroristes islamistes en Algérie !
             

    Non ! Le malheureux Hervé Gourdel n’est pas le premier otage français égorgé jusqu’à la décapitation par des terroristes islamistes en Algérie ! Des milliers de soldats français, simples appelés venus de métropole ou supplétifs musulmans dits « harkis » ainsi que des pieds-noirs d’origine européenne l’ont été entre 1954 et 1962, voire après le départ de la France !

    Aussi dramatique, aussi tragique, aussi atroce que cela soit tant pour ses derniers instants que pour sa famille et ses amis, Hervé Gourdel n’est que le dernier nom du long martyrologe des Français morts en Algérie, victimes de la barbarie barbaresque (la Barbarie ne désignait-elle d’ailleurs pas… l’Afrique du Nord ?). Si l’on ne remonte qu’à la guerre d’Algérie (1954-1962), selon les statistiques établies par l’historien (pied-noir) Benjamin Stora 1 – peu soupçonné en tant qu’ancien trotskiste d’être favorable aux Français ayant fait l’Algérie même s’il a parfois été critiqué par ses amis –, 17.000 soldats français, la plupart simples appelés du contingent, ont été tués lors de combats face aux hommes du FLN. Combien d’entre eux ont-ils été égorgés jusqu’à la décapitation ? Des centaines ? Des milliers ?

    Et parmi les 20.000 à 35.000 supplétifs de l’armée française – connus sous le nom générique de « harkis » ; hier, 25 septembre, était le jour du Souvenir – « morts pour la France » (5.000 tués ou disparus) ou abandonnés par les autorités gouvernementales d’alors conduites par le général De Gaulle (15.000 à 30.000 assassinés APRÈS la déclaration d’indépendance, dont leurs femmes et leurs enfants…), combien ont-ils été égorgés jusqu’à la décapitation ? Des centaines ? Des milliers ?

    Sans oublier les quelque 4.500 civils, hommes mais aussi femmes et enfants, assassinés : combien ont-ils été égorgés jusqu’à la décapitation ? Des centaines ? Des milliers ?

    Et parmi ces dizaines de milliers de personnes, nombre d’hommes ou de garçons ont été retrouvés, leurs attributs virils dans la bouche…

    Nous, de culture chrétienne, trouvons atroce l’égorgement d’un être humain (à tel point que, moi-même, je m’autocensurais à la radio, préférant dans mes bulletins d’information parler de « mort par arme blanche » plutôt que de donner à l’auditeur à entendre « mort égorgé »). Mais ce n’est pas le cas dans toutes les cultures : pour certaines, l’égorgement voire la décapitation « à la main », cela est tout à fait naturel. Le geste n’a rien de… barbare, surtout pour des Barbaresques équipés de matériel vidéo. Nous n’avons simplement pas les mêmes valeurs. Le combat est inégal. Un otage filmé a plus de poids que des centaines de combattants mis hors de combat dans l’anonymat le plus complet…

    Jacques Martinez

    BOULEVARD VOLTAIRE

    Notes:

    1. Coïncidence : pour une émission télévisée, Benjamin Stora était en avril dernier à Béjaïa, en Kabylie, c’est-à-dire dans la région où Hervé Gourdel a été enlevé.
  • Le testament antisémite de Martin Heidegger (1889-1976)

     

      

     
      En France, les plus grands penseurs se réclament du philosophe allemand. Mais voilà que ses Cahiers noirs sèment le désarroi chez ses fidèles. Enquête.

    Il devrait y avoir du grabuge à la BnF, en janvier prochain. Pendant trois jours, une belle brochette de penseurs contemporains est invitée pour débattre d’un thème qui n’en finit pas d’exciter les esprits : le cas Heidegger. Le colloque s’intitulera « Heidegger et “les juifs” » et réunira Peter Sloterdijk, Philippe Sollers, BHL, Jean-Claude Milner, Blandine Kriegel, Barbara Cassin...

    L’énoncé fait référence à la publication des « Cahiers noirs », qui viennent de révéler un Heidegger non seulement nazi (ce que l’on savait), mais aussi antisémite (ce que ses défenseurs niaient). De quoi creuser un peu plus le fossé entre ceux qui dénoncent un philosophe définitivement dangereux et ceux pour qui, malgré tout, il nous aide à penser le monde contemporain.

    Lire la suite de l’article sur bibliobs.nouvelobs.com

    E&R

     

  • Les Français face à l’islam : entre incompréhension et dégoût

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    26/09/2014 – PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation)
    La décapitation mercredi d’Hervé Gourdel par des djihadistes kabyles a provoqué un profond traumatisme dans l’opinion publique française

    Cette décapitation, filmée, répond à un rituel désormais bien rodé. Les Français, tout formatés qu’ils soient par les médias bien-pensants, n’ont pas attendu cet acte abject pour éprouver une répugnance croissante vis-à-vis de l’islam. Dans un sondage Ipsos-Le Monde de janvier 2013, 74 % des Français jugeaient l’islam intolérant et incompatible avec les valeurs de la société française. Un chiffre qui monte à 81 % dans un sondage CSA-Atlantico en date du 30 juin dernier.

    L’égorgement, qui révulse tout individu civilisé, semble être un rituel très prégnant en islam…

    Ainsi, de l’égorgement — en une seule journée — des hommes de la tribu juive des Banu Qurayza (de 600 à 900 hommes selon les sources) à Yathrib (la future Médine). Un massacre qui, par parenthèse, n’a rien à envier à ceux commis par les Hébreux lors de leur conquête de Canaan… Ainsi, de l’Aït‑el‑kébir, la plus importante fête de l’islam, au cours de laquelle le musulman égorge rituellement le mouton devant sa famille. Ainsi, de nombreux témoignages de policiers des quartiers de l’immigration : les menaces de mort dont ils sont quotidiennement victimes s’expriment très naturellement par un index plaqué en travers de la gorge…

     

    Certains musulmans ne tentent-ils pas de nager à contre-courant ?

    Le 9 septembre, Dalil Boubakeur, recteur de la Grande mosquée de Paris lançait un appel en faveur des chrétiens du Proche‑Orient. Un appel sans grande portée, puisque la très puissante Union des organisations islamiques de France (UOIF), majoritaire dans les mosquées, ne l’a pas signé. M. Boubakeur récidivait hier, appelant, à un rassemblement ce vendredi à 14 h 45, devant la mosquée, en hommage à Hervé Gourdel, dénonçant des actions qui « pervertissent l’islam et ses valeurs ». Pour savoir si l’islamisme est une « perversion » de l’islam, il convient entre autres de décrypter le coran à la lumière de l’arnaque intellectuelle majeure que constitue la coexistence, sur le même plan, des nâsikhs (versets abrogatifs) et des mansûkhs (versets certes tolérants, mais abrogés par les premiers). La différence entre islam et islamisme n’apparaît-elle pas alors aussi fine que la lame de l’égorgeur ? Pour de nombreux Français, telle semble désormais être la question…

    Photo Une : la grande Mosquée de Paris. Crédit : Mbzt via Wikipédia (cc)

  • L’interview politique d’Emmanuel Ratier

     

    La situation politique est tellement perturbée et la déliquescence du pouvoir si avancée que nous sommes allés consulter Emmanuel Ratier en urgence, analyste percutant, bien connu pour ses enquêtes sur le milieu de la politique et les réseaux de pouvoir, afin qu’il nous éclaire de ses codes de décryptage et de ses prédictions bien renseignées.

     

    Présent : Est-ce que le retour de Sarkozy change quelque chose ?

    Emmanuel Ratier : Cela cristallise enfin les véritables enjeux : il manquait un personnage clé sur l’échiquier politique, qu’il s’agisse du roi ou du fou cela n’a pas d’importance. Le retour de Nicolas Sarkozy signifie d’abord la fin des espérances présidentielles de François Fillon et d’Alain Juppé. L’ex-président de la République, absolument convaincu de l’emporter sur Marine Le Pen avec environ 60 % des suffrages, a arrêté une stratégie précise : « Moi ou Marine. » Il va faire disparaître l’UMP au profit d’une nouvelle entité à sa botte (pour réunir ses fidèles, marginaliser ses concurrents et interdire toute primaire).

    Le nouveau modèle de Nicolas Sarkozy est désormais Angela Merkel, dont le parti, la CDU, est passé de la droite conservatrice au centre droit et gouverne désormais avec le SPD, voire dans certains länder avec les Grünen. C’est donc une ligne progressiste et libérale-mondialiste qui sera retenue, l’ex-président n’ayant jamais abandonné l’idée (mise en œuvre durant la première partie de son quinquennat) de récupérer des socialistes accommodants.

    Vous avez très certainement remarqué que Nicolas Sarkozy n’était pas du tout clair sur le « mariage » homosexuel lors de son passage à France 2. Dans Le Nouvel Observateur du 11 septembre, on lui prêtait ces propos : « Le mariage pour tous, je m’en fous. Ce n’est pas un sujet. Moi, de toute façon, j’avais toujours défendu une union civile. » Quant à la frange « extrémiste » qui a surgi des rangs de la Manif pour tous, l’an dernier, il la qualifie de « fascisme en loden ».

     

    Comment va réagir la gauche ?

    La gauche ne va pas réagir. Elle est pieds et poings liés avec Bruxelles. Et elle est autiste. « M’en parler plus tard. » C’est la remarque qu’écrit, depuis plusieurs semaines, François Hollande sur toutes les notes concernant le retour en politique de Sarkozy. Alors que l’ancien président est dans toutes les têtes, il est quasiment interdit de converser à son sujet à l’Élysée. Le président de la République pratique désormais le déni de réalité. Il en est de même de Manuel Valls : « Dans ma fonction de chef du gouvernement, je ne dois pas être préoccupé par la vie des partis d’opposition. »

    Doublement frappé par le brûlot de Valérie Trierweiler et le départ de Julie Gayet, le président, que l’on dit dépressif, vit désormais replié à l’Élysée en tout petit comité composé de quelques amis de toujours (notamment Me Jean-Pierre Mignard et Bernard Poignant), de quelques rares « visiteurs du soir » (comme Julien Dray) et d’énarques issus de la promotion Voltaire, en particulier le secrétaire général de l’Élysée Jean-Pierre Jouyet. Lequel l’accueille régulièrement le week-end en compagnie de sa femme Brigitte Taittinger.

     

    Envisagez-vous une démission ou une dissolution ?

    Rappelons ce que Hollande confiait à Edwy Plenel dans Devoirs de vérité en 2006 : « Je pense qu’il y a forcément un exercice de vérification démocratique au milieu [NDA : donc d’ici à la fin de l’année 2014] de la législature. (…) Si d’aventure, à l’occasion de la vérification démocratique, une crise profonde (…) intervenait, contredisant l’élection présidentielle, nous en tirerions toutes les conséquences en quittant la présidence. » Et ce qu’il promettait en 2012, durant la campagne électorale : « Deux ans et demi pour le redressement, deux ans et demi pour redistribuer. »

    Le problème, c’est qu’il faudrait du courage à François Hollande pour trancher. Or le président est atteint d’aboulie et pratique la politique du rat crevé au fil de l’eau.

     

    Les mauvaises nouvelles vont-elles continuer à pleuvoir dru sur le président Hollande ?

    Oui. Le Sénat va repasser « à droite » fin septembre. Idem aux cantonales de mars et aux régionales de décembre 2015. Depuis le premier tour des municipales, le calendrier politique de François Hollande n’a cessé d’être subi, tout en se précipitant : vague bleue au second tour des municipales, démission du gouvernement Ayrault, imposition du gouvernement Valls, victoire du FN aux européennes, premier remaniement du gouvernement début juin, démission du gouvernement en août, nomination et démission de Thomas Thévenoud, atteint de « phobie administrative », livre dévastateur de Valérie Trierweiler (les « sans-dents »), doutes sérieux sur l’authenticité des diplômes du premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, etc. Le tout, pour aboutir à une impasse aussi bien économique que politique.

    Comme le titrait le 25 août le Daily Telegraph, on sent comme « un vent de pré-éviction à la Berlusconi », d’autant que François Hollande a en réalité perdu sa majorité à l’Assemblée nationale (où il ne disposait que d’une voix de majorité) à quelques semaines du vote du budget 2015. La plupart des participants à la primaire (Martine Aubry, Arnaud Montebourg) et ses alliés du second tour de la présidentielle (Eva Joly et Cécile Duflot, Jean-Luc Mélenchon, François Bayrou, etc.) l’ont lâché.

    Comme le reconnaissait lui-même Hollande en janvier 2013 : « Montebourg, les Verts… Si je devais m’en séparer, je finirais tout seul. » Désormais c’est « Monsieur 1 % ».

     

    Comment calculez-vous « Monsieur 1 % » alors qu’il est à 13 % d’opinions favorables dans les sondages ?

    Il est à 13 % mais dans le précédent sondage, paru dans Le Figaro (institut TNS Sofres) quelques jours auparavant, il y avait un élément sidérant : il n’y a plus que 1 % de la population à faire « tout à fait confiance » au président de la République (et 17 % « plutôt confiance »). Et 2 % « tout à fait confiance » au Premier ministre (et 28 % « plutôt confiance »). À 13 % , on se demande même s’il y a encore ce fameux 1 %. 1 % ce doit être le nombre d’élus socialistes en France…

    La seule certitude politique à moyen terme qu’on voit bien dans les sondages, c’est que Marine Le Pen sera nécessairement au second tour de la prochaine élection présidentielle, qu’elle ait lieu demain ou dans deux ans. Elle a su d’abord maintenir le score de son père Jean-Marie Le Pen, puis l’amplifier à l’élection présidentielle, l’élargir encore aux européennes et le cristalliser très rapidement. On lui prête de l’ordre de 40 %, voire plus à la prochaine présidentielle. Le slogan pour attendre 51 % n’est donc pas dépourvu de sens, ce qui était totalement inimaginable il y a encore deux ans.

     

    Pensez-vous comme Denis Tillinac que nous assistons au réveil du peuple de droite ? Je le cite : « Le succès des “marches pour tous”, l’élection d’académiciens politiquement incorrects, l’audience croissante de chroniqueurs indociles : (…) On voit émerger ici et là des postures informelles, encore brouillonnes mais d’une ferveur juvénile, qui promettent une émancipation des esprits inédite depuis un demi-siècle. »

    Chacun sait que Tillinac, en fidèle du chiraquisme, a toujours roulé en définitive pour la fausse droite ou la droite réactionnaire la plus bourgeoise (dans son plus mauvais sens, celle qui a trahi toutes les valeurs). C’est un pur conformiste. À la différence d’un Zemmour, on ne l’a jamais vu s’exprimer sur les sujets qui fâchent. Vous verrez qu’il soutiendra Nicolas Sarkozy et pas Marine Le Pen.

    L’essentiel de La Manif pour tous relève de la droite authentique pour les valeurs mais elle est aussi libérale en économie, ce qui est antinomique. Ces manifestations gigantesques (auxquelles j’ai participé, d’ailleurs) n’ont abouti à rien en matière d’efficacité politique : la loi sur les paires homosexuelles a été adoptée sans encombre. Je lui reconnais la qualité d’avoir fait émerger de nouveaux militants, formés en un temps record sans être passés par un parti politique. La seule qui ait été vraiment efficace en dépit de ses moyens ridicules, c’est Farida Belghoul, une musulmane (un comble) qui aurait pu être ministre socialiste depuis longtemps si elle avait accepté de vendre son âme. C’est elle, par son charisme et son activisme, qui a obtenu le retrait des ABCD de l’égalité et ce n’est pas un hasard si Najat Vallaud-Belkacem a enclenché des poursuites disciplinaires pour la faire exclure de l’Éducation nationale. S’il y avait 500 Farida Belghoul, cela ferait longtemps que le gouvernement socialiste serait tombé.

     

    Quel scénario pour la future présidentielle ?

    Aussi étrange que cela puisse paraître, Nicolas Sarkozy n’a pas tort de dire que le clivage droite-gauche est largement dépassé. Mais il l’instrumentalise à son profit : c’est « votez pour moi, sinon, c’est Marine ». Le Front national de Marine Le Pen n’est pas un parti de droite, encore moins d’extrême droite. C’est l’alliance inédite (pas dans l’idée qui existe depuis le boulangisme, mais par les scores très élevés) de la gauche du travail et de la droite des valeurs. C’est pour cela qu’elle a le soutien du mouvement social. À la différence de 2002, si Marine Le Pen arrive au pouvoir, il n’y aura pas de grève ouvrière. Les « sans dents » descendront plutôt dans la rue pour défendre leur idole, véritable nouvelle Jeanne d’Arc pour eux. En revanche, les permanents CGT venus d’outre-Méditerranée, les profs bobos à la Mélenchon et les fils de bourgeois de Sciences-Po seront sans doute dans la rue.

    Marine Le Pen est devenue le symbole de ce quart-monde (qui représente maintenant près de la moitié des Français) qui a peur de se faire manger par le tiers-monde avec l’aval de l’oligarchie mondialisée. Ce que Jean-Yves Le Gallou appelle « l’hyperclasse mondialisée » (que j’ai décrite dans mon livre sur le club Le Siècle[Au cœur du pouvoir, NDLR]).

    Avec la gauche libérale-libertaire à la Macron et à la Valls, je crois qu’on va assister à un scénario inédit à la future élection présidentielle : en raison de l’implosion de la gauche et de son absence au second tour de l’élection présidentielle, comme l’a parfaitement défini le sociologue François Dubet (Les Inrockuptibles, 17 septembre 2014), face à Marine Le Pen, « le candidat de la droite sera le candidat de gauche en 2017. Il ne sera d’ailleurs pas plus à droite que Manuel Valls. »

    En clair, la prochaine élection présidentielle devrait signifier la fin de la (fausse) gauche et la fin de la (pseudo) droite. C’est la supposée « extrême droite », qui deviendrait la droite. Toutes les études (voir les livres du géographe Christophe Giuilly) montrent que le nouvel électeur du FN, ce n’est pas un ancien combattant d’Algérie, c’est de plus en plus un ouvrier au chômage dont la fille sort avec un Arabe.

    Propos recueillis par Caroline Parmentier

    Article extrait du n° 8196 de la revue Présent du jeudi 25 septembre 2014

    E&R

  • « Pas d’amalgame » : les médias mettent le paquet

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    Suite à l’assassinat de l’otage français par des musulmans radicaux, les médias du Système reprennent leur litanie habituelle pour qu’on ne fasse pas de lien entre islam et islamistes…

    Titrer en une et en énorme « les musulmans de France disent non à la barbarie », c’est sous-entendre que c’est là quelque chose de remarquable ! Ils ne disent pas « oui », c’est merveilleux !

    Contre-info.com

  • LE 11 SEPTEMBRE : PLAIDOYER POUR L’HISTOIRE

     

    LE 11 SEPTEMBRE : PLAIDOYER POUR L’HISTOIRE - Les profs d'histoire y croient... mais ce sont les seuls !

    Les profs d'histoire y croient... mais ce sont les seuls !



    Michel Lhomme
    le 25/09/2014
    En ce mois anniversaire, une autre série de preuves vient de tomber sur la démolition des bâtiments du World Trade Center. Les ondes sismiques mesurées le 11 Septembre 2001 prouveraient que les trois bâtiments du World Trade Center furent descendus par démolition contrôlée. Plus spécifiquement, le spécialiste sismologue Rousseau écrit dans un nouvel article paru dans le Journal of 9/11 Studies que : « Les signaux sismiques se propageant depuis New York le 11 Septembre 2001, enregistrés à Palissades, distante de 34 km et qui ont été publiés par le Lamont-Doherty Earth Observatory of Columbia University (LDEO), ont été soumis à une nouvelle étude critique concernant leurs sources. Le but de cet article est de démontrer que la nature de ces ondes, leurs vélocités, leurs fréquences et leurs magnitudes, invalident les explications officielles qui impliquent comme sources la percussion des tours jumelles par les avions et les effondrements des trois bâtiments du WTC1, WTC2 et WTC7.
     
    « En premier lieu, nous montrons les contradictions de l’explication officielle entre les données sismiques et l’heure à laquelle les événements se sont déroulés. Ensuite nous montrons qu’il est étrange que des évènements identiques (la percussion de tours identiques d’un côté et l’effondrement de deux tours identiques d’un autre), au même endroit auraient généré des sources sismiques de différentes magnitudes. Nous démontrons que seulement des explosifs très puissants ont pu être la cause de telles ondes sismiques en accord avec les basses fréquences observées. D’après la nature des ondes enregistrées (corps et surfaces des ondes), nous pouvons proposer une localisation pour chaque source explosive. D’après la présence d’ondes cisaillantes ou la présence d’ondes de Rayleigh seulement, nous émettons l’hypothèse d’une explosion souterraine. (...) Même si les impacts des avions et la chute de débris depuis les tours sur le sol auraient pu générer des ondes sismiques, leur magnitude aurait été insuffisante pour pouvoir être enregistrée à 34km de distance et auraient dû être dans les deux cas similaires l’une par rapport à l’autre. Comme nous l’avons démontré, elles ne l’étaient pas. Nous ne pouvons qu’en conclure que les sources d’onde étaient des explosifs mis à feu indépendamment. La démolition contrôlée des trois tours, suggérée par le visuel et les témoignages audio tout comme par les vidéos d’enregistrement des effondrements, est donc confirmée et démontrée par l’analyse des ondes sismiques émises proche du temps des impacts des avions et aux moments des effondrements ».

    Le meilleur film sur le 11 septembre....

    Le 11 septembre est une démarcation: elle en vaut bien d'autres mais il y a, en effet, ceux qui croient en la version officielle du 11 septembre et les autres. Le 11 septembre est en quelque sorte le point Godwin et il définit pratiquement l'intelligence politique critique. Au-delà, c'est NPDCP (ne pas discuter, c'est piégé !). Il faut regarder la troisième et dernière partie du documentaire « 11-Septembre : Le Nouveau Pearl Harbor » de Massimo Mazzucco. Après les deux premières qui traitaient surtout de l'aspect aéronautique des événements survenus au Pentagone et en Pennsylvanie, le dernier volet donne la parole aux défenseurs de la version officielle (qu'on appelle aux Etats-Unis les ''debunkers'') au sujet de la chute des Tours Jumelles et du Bâtiment 7. On voit en détail quels problèmes posent les explications officielles sur les explosions avant, pendant et après les effondrements, sur les éjections de matières bien visibles (les fameux ''squibs''), sur l'acier fondu retrouvé au WTC, sur les températures extrêmes constatées, sur la chute libre du Bâtiment 7, et sur bien d'autres points soulevés depuis douze ans par les chercheurs et les experts du monde entier. Ce film en forme de réquisitoire méticuleux et objectif est sans aucun doute le meilleur film sur le 11-Septembre que nous attendions. 

    Des débris d'explosifs identifiés

    Enfin, des scientifiques viennent de confirmer à nouveau qu'un explosif nanothermite a été utilisé pour détruire les tours jumelles du 11 septembre  suite à de nouvelles analyses des débris du Word Trade Center. Ces débris avaient été recueillis peu de temps après que les tours se soient effondrées. Le Dr Steven Jones, professeur de physique à l’université de Birmingham a réuni cette année un groupe mondial de neuf scientifiques pour des analyses encore plus poussées. Or, les scientifiques ont déjà confirmé que les échantillons étaient composés d’explosifs nano-thermitiques, un explosif mis au point et couramment utilisé par l’armée américaine. Aux Etats-Unis, des officiers militaires, des universitaires, des architectes, ainsi que des centaines de pompiers ayant servi sur le lieu du drame rejettent la thèse officielle. John Farmer, conseiller juridique principal de Lee Hamilton (Démocrate), a déclaré récemment: « il y a eu un accord pour ne pas dire la vérité. » CNN a révélé que 89% des Américains pensent qu’ils ont été manipulés par leur gouvernement. Un sondage du New York Times et CBS reconnaît que 81% des Américains pensent qu’il se cache quelque chose et seulement 16% des Américains pensent que leur gouvernement leur dit la vérité sur le 11/9. En France, remettre en question la thèse officielle, c'est se faire lyncher en salle des profs et 80 % des professeurs y croient !  

    Rien n'a fonctionné le 11 septembre

    La sécurité des aéroports a échoué quatre fois en une heure soit plus d'échecs en une heure qu'au cours des autres 116 232 heures du XXIème siècle combiné. Pour la première fois dans l'histoire du contrôle aérien, on a perdu trace d'avions de ligne pendant une heure. Pour la première fois dans l'histoire de la physique, le feu sur quelques étages a causé l'effondrement de structures d'acier massives. Pour la première fois dans l'histoire de la construction, trois gratte-ciel sont tombés par le principe d'accélération de la chute libre sans bénéficier de la démolition contrôlée.

    Mais c'est que le 11 septembre pose une question beaucoup plus grave, la question du pouvoir profond : qui gouverne vraiment les Etats-Unis ? Des éléments du gouvernement américain ont pu faire sauter trois gratte-ciel de New York afin de pouvoir détruire par représailles et ''guerre juste'' l'Irak et l'Afghanistan puis la Libye, la Somalie, la Syrie. En fait, nous sommes toujours dans le 11 septembre. Laurent Fabius a beau prendre ses précautions, il tient contre l'Etat Ismaliste qu'il appelle daesh le langage fanatique et raciste des néo-conservateurs de l'hégémonie mondiale.
     
    METAMAG
  • Les USA ont soutenu et armé DAESH

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    Voilà pourquoi un otage français a été assassiné ! Voilà pourquoi les attentats vont fleurir en France...

     

     Par ce que la France et ses alliés de l'OTAN et du Golfe, ont créé le monstre qui leur échappe aujourd'hui. La France doit sortir de l’OTAN !

     

    Hollande est responsable de ce qui arrive et doit démissionner.

     

    La France doit sortir de ses alliances hasardeuses, qui mettent le feu au Moyen Orient pour des intérêts extérieurs plus que brumeux... A qui profite le crime ?

    TERRE ET PEUPLE - 25 09 14

     

     

  • Anne-Marie Delcambre fait la lumière sur l'islam: Coran et hadiths

    Les références de l'oratrice ne laissent pas de doute sur sa connaissance du sujet (agrégée d'arabe classique, docteur de 3ème cycle en études islamiques, docteur en droit).

    A regarder absolument!

    (Merci à Dirk)

  • Hommen de Roland-Garros : les réquisitions du parquet déboutées !

     hommen

    Le 25 septembre 2014
     
     
    Quel soulagement de voir ainsi des juges indépendants qui préfèrent appliquer la loi plutôt que de se soumettre aux diktats d'un gouvernement qui semble avoir perdu toute mesure !
             

    En juin 2013, lors de la finale de Roland-Garros, retransmise devant 300 millions de téléspectateurs, un jeune homme au torse nu sur lequel était inscrit « KIDS RIGHTS » avait surgi, revêtu d’un masque et portant un fumigène. À deux pas du président François Hollande et de Sa Majesté le roi Juan Carlos, il avait profité d’un break entre deux balles pour attirer, pendant 10 secondes, l’attention du monde sur ce droit fondamental de l’enfant que le gouvernement français voulait ignorer. Pendant ce temps, quelques-uns de ses camarades brandissaient une banderole réclamant la démission du Président.

    Immédiatement interpellés, ils avaient passé une heure séquestrés de manière illégale par les vigiles qui les avait ensuite remis à la police. La garde à vue n’avait été signifiée que 3 heures plus tard et les deux nuits suivantes avaient été passées en interrogatoire comme s’il s’agissait de « terroristes d’Al-Qaïda ». Enfin, quatre fourgons de police accompagnés chacun de plusieurs motards les avait transférés dans les cellules du palais de justice où ils avaient été déférés.

    Un mois de contrôle judiciaire puis un procès qui les a relaxés, contre l’avis du parquet. Ce dernier a alors fait appel et, un an plus tard, a réclamé contre ces personnes qui avaient eu le culot d’exprimer bruyamment et – crime suprême – devant les médias leur opposition à la loi Taubira de lourdes peines qu’aucun fait juridique ne pouvait justifier : de 12 à 18 mois avec sursis et même 6 mois ferme pour l’un d’entre eux. Cela devait, selon leurs commanditaires, calmer les ardeurs des opposants…

    Drapés de leurs convictions, ils en oubliaient même le fait que, pour condamner à la prison, il faut pouvoir s’appuyer sur des infractions définies par une loi et non par la simple volonté d’un gouvernement.

    La justice les a rappelés à l’ordre une seconde fois et a relaxé trois des opposants et, tout en admettant la culpabilité du quatrième d’entre eux quant à la perturbation d’un événement sportif, n’a pu pour les 10 secondes d’interruption que s’abstenir de prononcer une peine.

    Quel soulagement de voir ainsi des juges indépendants qui préfèrent appliquer la loi plutôt que de se soumettre aux diktats d’un gouvernement qui semble avoir perdu toute mesure !

    Bertrand Mondion

    BOULEVARD VOLTAIRE