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  • La justice française suspend l'enquête pour corruption visant l'ex-président Sarkozy

    24/09/2014 à 11:23

    Source: Belga

    La cour d'appel de Paris a suspendu mardi l'enquête qui vaut à l'ancien président Nicolas Sarkozy d'être mis en examen pour corruption depuis juillet, soupçonné d'avoir tenté d'obtenir auprès d'un magistrat des informations dans un dossier judiciaire le concernant, a appris mercredi l'AFP de source proche du dossier.

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    © Belga

    Cette décision de la présidente de la chambre de l'instruction n'a pas à être motivée et n'est pas susceptible de recours. Elle offre un répit à M. Sarkozy, même s'il reste mis en examen.

    Elle intervient quelques jours après l'officialisation de son retour politique et l'annonce de sa candidature à la présidence de son parti l'UMP.

  • Thomas MOORE, poète irlandais (1779-1852)

    Celtic Woman - Méav, et Hayley chantent "The Last Rose of Summer" au Slane Castle, Ireland.

    Compositeur: John Stevenson


     THE LAST ROSE OF SUMMER

    'Tis the last rose of summer,
    Left blooming alone;
    All her lovely companions
    Are faded and gone;
    No flower of her kindred,
    No rosebud is nigh,
    To reflect back her blushes,
    Or give sigh for sigh.

    I'll not leave thee, thou lone one!
    To pine on the stem;
    Since the lovely are sleeping,
    Go, sleep thou with them.
    Thus kindly I scatter,
    Thy leaves o'er the bed,
    Where thy mates of the garden
    Lie scentless and dead.

    So soon may I follow,
    When friendships decay,
    And from Love's shining circle
    The gems drop away.
    When true hearts lie withered,
    And fond ones are flown,
    Oh! who would inhabit
    This bleak world alone?

    La dernière rose de l’été (traduction de Karl Petit)

    C’est la dernière rose de l’été
    Abandonnée en fleur ;
    Toutes ces belles compagnes,
    Sans retour sont fanées ;
    Plus de fleur de sa parenté
    Plus de boutons de rose à l’article de la mort
    Pour réfléchir ses rougeurs,
    Et rendre soupir pour soupir.

    Je te laisserai point chère solitaire,
    Languir sur ta tige ;
    Puisque sommeillent tes sœurs
    Va donc les rejoindre.
    Et par sympathie, je répandrai
    Tes feuilles sur le sol
    Où tes compagnes de jardin
    Gisent mortes et sans parfum.

    Puissé-je te suivre bientôt
    Lorsque l’amitié s’émoussera
    Et que du cercle magique de l’amour
    Les gemmes se détacheront ;
    Quand les cœurs fidèles ne palpiteront plus
    Et que les êtres aimés auront disparu,
    Oh ! qui donc voudrait habiter seul
    En ce monde désert !

    Thomas Moore  ("Mélodies irlandaises", 1807-1834)

    (merci à Dirk)

     

  • Comment l'Intérieur a "manqué" trois djihadistes présumés à leur retour de Syrie...

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/orly-arrestation-de-trois-jihadistes-a-leur-retour-de-syrie-23-09-2014-4157789.php

    Il n'y a pas eu d'arrestations...

  • Mensonges, crapulerie… les Français attendent autre chose !

     

       brisons nos chaînes

    Entretien dans le JDD avec un clin d’œil appuyé à la » droite » antinationale -« Sarko se débuissonise, et c’est tant mieux », explique un de ses « proches » dans ce journal- puis passage hier soir sur le plateaux du JT de France 2: le plan com du complice de Bernard-Henry Lévy poursuit son déroulé. Selon un sondage CSA pour BFM TV, 89% des sympathisants de l’UMP seraient favorables à la prise de contrôle de ce parti en sursis par l’ex président bling-bling.

    « Nicolas Sarkozy na pas changé », ce retour est « un élément de clarification du débat » constatait ce matin Marine le Pen sur BFMTV au micro de Jean-Jacques Bourdin. Il y avait certes de la curiosité autour de ce retour puisque plus de huit millions de Français ont suivi la prestation de l’ex chef de l’Etat sur France 2. La présidente du FN a pointé le culot sidérant de ce dernier. Il en fallait en toute hypothèse beaucoup pour réclamer hier encore plus d’intégration de la France à Bruxelles, pour balayer d’un revers de la main au nom de son « honneur » les très inquiétantes et troublantes affaires dans lesquelles son nom revient de manière récurrente.

    Du culot encore et une manière aussi d’insulter l’intelligence des Français, en se défaussant de son catastrophique bilan à la tête de l’Etat. Marine l’a rappelé, l’UMP au pouvoir a passé le relais à son clone européiste du PS qui poursuivant peu ou prou la même politique, laisse la France exsangue, étranglée, occupée…

    Du culot et du mépris encore et toujours pour se faire le chantre du référendum, lui qui s’est essuyé les pieds sur la consultation référendaire de 2005 sur la Constitution européenne en l’imposant finalement avec la complicité des parlementaires socialistes. Du culot et du dédain encore, pour expliquer que les Français votant FN ne sont que des peureux en souffrance, et non des compatriotes qui font en conscience le choix d’une politique alternative à l’idéologie antinationale de Bruxelles et au multiculturalisme obligatoire.

    Beaucoup de mépris également vis-à-vis des capacités de raisonnement de nos compatriotes lorsqu’il assène que le retour d’une France libre recouvrant la maîtrise de son destin entraînerait son isolement. Le langage de Nicolas Sarkozy, celui de la Caste, est-il encore audible par les Français? Avant ce passage médiatique, deux-tiers des Français ne croyaient pas que M. Sarkzoy avait changé et ils sont 55% à estimer que ce retour dans la vie politique n’est pas une bonne chose pour la France. 78% des personnes sondés ces dernières heures par I télé ont déclaré ne pas avoir été convaincus par la prestation du mari de Carla Bruni.

    Pour Serge Grouard, député-maire UMP d’Orléans, ce come back est certes « savamment orchestré », mais  » il n’y a dans le pays, ni nostalgie, ni désir de Nicolas Sarkozy (…). « Le retour de l’île d’Elbe et les Cent jours risquent fort de se terminer à Sainte-Hélène. Mais après Waterloo ».

    « Le bilan du quinquennat de Nicolas Sarkozy n’est pas tel qu’il puisse justifier le retour de l’ancien président. Et la réflexion ne saurait tout absoudre. L’honneur, le panache Gaullien seraient de respecter sa promesse de 2012, quand il avait dit qu’il se retirerait de la vie politique s’il était battu. Une promesse d’ores et déjà non tenue. Les Français (…) en ont par-dessus la tête des « affaires » d’une classe politique discréditée et le nom de Nicolas Sarkozy, sans doute à tort on l’espère, y est cité. Pour sa part, l’UMP ne peut se payer le luxe indécent d’un très mauvais feuilleton judiciaire à rebondissements, quelle qu’en soit l’issue ».

    D’issue il ne semble pas y en avoir pour un François Hollande qui est apparu résigné lors de sa conférence de presse la semaine dernière depuis la salle des fêtes de l’Elysée. Le blogueur politique Olivier Picard, notait sur le site du Nouvel obs le 19 septembre qu’ « en deux heures (séance de questions-réponses comprise), le président n’a trouvé le moyen de prononcer le mot chômage que… quatre petites fois. Le mot travail seulement trois fois (même score pour emploi). La pauvreté, dont il fait la raison d’être de son engagement politique n’a même pas eu droit de cité. Côté positif, la ou les solution(s) n’ont émergé que trois fois, ex-aequo avec l’avenir. L’espoir ? Un petit tour et puis s’en va… à égalité, il est vrai, avec son féminin, l’espérance. En revanche, le chef de l’État s’est largement épanché dans l’autocompassion avec huit c’est pas facile, déclinés en anaphore pour confesser le rude quotidien de sa charge présidentielle. Le devoir – dont il se prévaut – a été répété comme un credo fétiche et l’Europe mise à l’honneur… près de trente fois ».

    Cette célébration par un président à bout de souffle de l’Europe bruxelloise, mondialiste, ultra libre échangiste est -elle si étonnante? Non bien sûr, elle symbolise plus largement tous les renoncements de la caste qui dirige notre pays. Pour les Valls, NKM, Hollande, Juppé, Cambadélis ou Sarkozy, Bruxelles, n’est que la variable d’ajustement d’une classe politicienne sans boussole nationale et résignée au déclin français.

    Bruxelles est l’entité sur laquelle on se défausse avec lâcheté pour justifier ses errements, la débilité de ses réformes, son impuissance. C’est ce même conglomérat UMPS qui a confié les clés et la direction de la maison France à la technostructure européiste en expliquant aux Français qu’il n’y a pas d’autres chemins à emprunter, pas de Plan B…

    C’est aussi ce que répète bien évidemment Manuel Valls,  aujourd’hui et demain en déplacement en Allemagne. Il y effectue son premier voyage officiel, afin de quémander auprès de la chancelière Angela Merkel, moins de rigueur, un peu de répit et de temps pour les réformes. Le Premier ministre l’a d’ores et déjà fait savoir, il agitera également Outre-Rhin le danger d’une victoire électorale du FN, de  l’extrême droite en France que le manque de souplesse de Bruxelles et de Berlin ferait croître…

    En désaccord officiellement avec la ligne de soumission complète aux cénacles bruxellois et à l’Allemagne, Arnaud Montebourg, courageux mais pas téméraire, tente de faire passer auprès de ses amis la pilule de son discours patriotique, souvent de bon sens, de ses analyses décalquées parfois de celles du FN, en crachant lui aussi son venin contre l’opposition nationale.

    Dans un entretien paru jeudi dernier dans l’hebdomadaire social-libéral allemand Die Zeit, souligne le Huffington Post, il « (met) en cause la politique de réduction des déficits chère à Angela Merkel et actuellement dominante en Europe » et ce au motif que cette politique a un « coût », « la montée du Front National qu’il qualifie de xénophobe et ultranationaliste mais aussi favorable à la destruction de l’Union européenne. Autrement dit, si l’Allemagne n’infléchit pas sa politique de rigueur, elle prépare la victoire du FN lors des prochaines élections, la destruction de la zone euro et la rupture des traités européens« .

    « Pour l’Europe, ce serait une catastrophe. C’est pourquoi je veux prévenir nos amis allemands. Ils doivent reconnaître le risque, insiste Arnaud Montebourg, qui évoque l’hypothèse d’un deuxième tour opposant Nicolas Sarkozy à Marine Le Pen en 2017″.

    Le hiérarque socialiste  craint ainsi que Sarkozy soit battu dans cette hypothèse puisque « selon lui, une grande majorité des électeurs de gauche risque de s’abstenir, ce qui donnerait de réelles chances de victoires au FN. Arnaud Montebourg compare cette hypothèse au scénario allemand des années 1930, qui vit l’accession au pouvoir d’Adolf Hitler, et appelle l’Allemagne à aider la République française en danger. »

    Lors des primaires socialistes, M. Montebourg attaquait déjà violemment le FN au nom de son « internationalisme« . Il franchit ici un pas supplémentaire avec cette comparaison particulièrement indigne, oiseuse, stupide, qui est aussi plus ou moins indirectement un appel à la violence contre l’opposition nationale. Et ce avec une crapulerie assumée puisqu’il développe son argument dans un journal allemand où ses propos rencontrent une résonnance particuliètre (the medium is the message selon la célèbre formule de Mac Luhan), pays dont il demande l’aide du gouvernement pour contrer le vote des électeurs Français!

    Faut-il que la peur de voir la France se libérer de ses chaînes soit intense constate Bruno Gollnisch, pour entendre les Valls, les Sarkozy ou les Montebourg tenir des propos aussi aberrants et choquants pour des Français qu’ils entendent pourtant séduire.

    Bruno GOLLNISCH

  • Suède : les immigrés consternés par la montée de l’extrême-droite. Certains veulent rentrer chez eux.

     

    1h11

    C’est avec choc et consternation que les immigrés vivant en Suède ont réagi au fait que le parti d’extrême-droite Social Démocrate a gagné suffisamment de voix aux dernières élections législatives qu’il est devenu désormais le troisième plus gros parti du pays.

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    « Je retourne en Afrique » s’est exclamée Sadia Xassan Shire qui est une immigrée venue de Somalie. « Je veux que mes enfants se sentent ici en Suède comme des citoyens à part entière. C’est triste mais quel que soit votre niveau de connaissance de la langue suédoise, vos diplômes, votre emploi, vous êtes toujours perçue dans la rue comme la femme de race noire portant un foulard ». Shire qui vit à Bromsten dans la banlieue de Stockholm où 10,6 % des habitants ont voté SD. Elle dit qu’il est effrayant pour elle de penser que chaque fois qu’elle rencontre une personne dans la rue même chaleureuse à son endroit, il se cache peut-être intérieurement une personne raciste.

    Yasri Khan Shamsudin, Président du Mouvement Muslim Peace, partage le même sentiment qu’elle.

    « C’est terrible car maintenant quand vous allez au travail en prenant le métro, vous regardez tout autour de vous et arrivez à la conclusion qu’il y a potentiellement une personne sur six qui ne veut pas que vous soyez ici »

    La Suède est pourtant internationalement renommée pour avoir une politique d’intégration fort généreuse. La Suède a accueilli environ 50.000 nouveaux immigrés dans les huit premiers mois de 2014 soit une augmentation de plus de 27.000 personnes par rapport à l’an dernier. La plupart des réfugiés sort originaires de  Syrie, de l’Erythrée, la Somalie, l’Afghanistan et l’Irak.

    Les Démocrates Suédois veulent réduire le taux d’immigration actuel de 10 %, en favorisant l’aide aux étrangers dans leurs propres pays plutôt que de les encourager à venir en Suède.

    Le Parti a également décrit l’islam comme étant une idéologie qui « déstabilise » le monde.

    Pendant la campagne d’avant-élections, le numéro un du parti Social Démocrate, Jimmie Akesson, a même déclaré que pour lui « l’islamisme est le nazisme et le communisme des temps modernes » qui doit être combattu avec la plus grande fermeté.

    Lors d’un débat télévisé en 2009, Jimmie Akesson avait même argumenté « Nous devons limiter drastiquement l’immigration dans notre pays et tout spécialement celle issue des pays musulmans ». Quand le présentateur lui a demandé si cela signifiait que les musulmans n’avaient pas le droit de venir en Suède, il a alors répondu « Oui exactement »‘ [...]

    Traduction FDS de Al Jazeera

  • Vatican : « il ne faut pas faire d’équation entre immigré et criminel »

     

    20h56

    Le message du pape François pour la Journée Mondiale du Migrant et du Réfugié a été expliqué dans la Salle de presse du Sainte Siège par le Cardinal Antonio Maria Vegliò, président du Conseil Pontifical de la Pastorale  des Migrants et les Itinérants (…)

    Aux défis lancés par les migrations, on doit répondre avec la culture de l’accueil et de la solidarité, comme l’a rappelé le Pape François. Mais le Cardinal Anonio Maria Vegliò a observé l’émergence d’autres attitudes :

    « Il y a une tendance à voir l’immigré suspect et avec un peu de peur. Ici, souvent naît l’équation criminel égale migrant. Chose qui est absolument fausse. Nous ne pouvons pas accepter une chose semblable. Le Pape dit clairement que les migrants ont une place privilégiée dans le coeur de l’Eglise parce que ce sont eux qui en ont le plus besoin, parce qu’ils sont les plus vulnérables. »

    « Il faut donc repousser l’équation entre immigrés et criminels. Mais si les migrants sont des délinquants, a ajouté le Cardinal, ils doivent être expulsés. En tout cas, l’expulsion ne peut jamais concerner les réfugiés. »

    Et sur la situation des réfugiés, c’est Monseigneur Joseph Kalathiparambil qui s’est exprimé :

    « Aujourd’hui, le défi est celui de ne pas nous habituer aux drames humains vécus par des gens déplacés de force et à ne pas faire prévaloir l’indifférence. La faiblesse de notre nature humaine à cause de laquelle on ressent souvent la tentation de se dire chrétien tout en gardant une certaine distance vis à vis des plaies du Seigneur. Chaque pas que nous faisons vers les autres, nous enseigne à découvrir le sens du mot solidarité, à nous engager pour le bien commun et à devenir signe et instrument de l’unité de tout le genre humain ». (…)

    Source

    FDS

    Nous ferons les équations que nous voudrons pour notre survie et celle de nos enfants!  Vade retro !

     

     

  • Affaire Bygmalion: le rôle joué par Sarkozy intrigue la police

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    L'affaire Bygmalion est l'un des dossiers judiciaires dans lequel le nom de apparaît. Dimanche soir, lors de son passage sur le plateau de France 2, le désormais candidat à la présidence de l' a une nouvelle fois botté en touche sur les fausses factures réalisées par cette société au parti, assurant qu'il ne savait rien.

     

     

    Ce système occulte aurait permis de couvrir les dépenses importantes de la campagne présidentielle de 2012 de l'ancien chef de l'Etat. « J'ai appris le nom de Bygmalion longtemps après la campagne présidentielle », a-t-il dit.

    Le Monde, qui dit avoir eu accès aux résultats de l'enquête préliminaire menée par les policiers du 5 mars au 27 juin, révèle ce mardi que les enquêteurs chiffrent le montant des fausses factures à plus de 18,5 millions d'euros et essayent de déterminer avec précision ce que savait l'ancien président de la République. A l'issue de ces investigations, le parquet a requis l'ouverture d'une information judiciaire pour «faux et usage de faux», «abus de confiance» et «tentative d'escroquerie».

    «Ces fausses factures étaient confectionnées à la demande de l'UMP»

    Bygmalion aurait en résumé facturé des prestations à l'UMP au profit de la campagne du candidat Sarkozy. Cette manœuvre aurait servi à dépasser le montant de dépenses autorisé par la loi (fixé à 22 509 000 euros pour un candidat parvenant au second tour). Cela n'a pas empêché les comptes de campagne de l'ancien locataire de l'Elysée d'être invalidés.

    Le Monde fait état d'un procès-verbal de 13 pages de la patronne de l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF). « La société Event et Cie (filiale de Bygmalion), en accord avec plusieurs responsables de l'UMP, a adressé au parti des fausses factures à hauteur de 18 556 175, 95 euros TTC courant 2012, faisant référence à des prestations liées notamment à des conventions, alors que les prestations réelles correspondaient à l'organisation de meetings pour la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy», est-il écrit.

    «Ces fausses factures étaient confectionnées à la demande de l'UMP, en raison de l'impossibilité de faire figurer le coût réel de ces meetings dans le compte de campagne de Nicolas Sarkozy, est-il encore stipulé. Les participants à ces faits, les responsables de Event et Cie, de l'UMP et de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, semblent inextricablement liés les uns aux autres dans la décision d'établir ces fausses factures. Des investigations complémentaires doivent être menées». Avec un objectif : en savoir plus sur le rôle de l'ancien président de la République.

    Une note et un SMS troublants

    L'enquête préliminaire semble apporter un élément de réponse. Le Monde évoque une note de Pierre Godet, expert-comptable, signataire du compte de campagne, adressée le 26 avril 2012 au «candidat Nicolas Sarkozy». Dans celle-ci, il donne le chiffre des dépenses prévisionnelles ou engagées à la date du premier tour, quatre jours plus tôt : 18 399 000 euros. «Ce montant est supérieur à celui budgété dernièrement (16 243 000 euros) et au plafond des dépenses requises pour le premier tour (16 851 000 euros)», écrit Pierre Godet. D'après lui, «ce dépassement résulte principalement des coûts engagés au titre des réunions publiques, en particulier celles de Villepinte et de la place de la Concorde».

    Le site internet du quotidien du soir relaye également le SMS de Jérôme Lavrilleux, bras droit de Jean-François Copé, alors président du parti, à Guillaume Lambert, le directeur de la campagne présidentielle. « JFC [Jean-François Copé] ne vient pas à Clermont, il y est allé la semaine dernière. Louer et équiper un deuxième hall est une question de coût. Nous n'avons plus d'argent. JFC en a parlé au PR [président de la République]», écrit-il dans ce texto. Lavrilleux a pourtant toujours assuré que Copé et Sarkozy n'étaient pas au courant. Il l'a redit lors de sa garde à vue. Cela n'a apparemment pas vraiment convaincu les enquêteurs.

    Le Parisien 23 09 14

  • Otage français en Algérie: Hollande ne cèdera à "aucun chantage"

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    http://www.leparisien.fr/international/video-otage-en-algerie-valls-ne-veut-pas-reculer-d-un-pouce-23-09-2014-4157339.php

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  • Charles BAUDELAIRE (1821-1867)

    CHANT D'AUTOMNE


    Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ;
    Adieu, vive clarté de nos étés trop courts !
    J'entends déjà tomber avec des chocs funèbres
    Le bois retentissant sur le pavé des cours.

    Tout l'hiver va rentrer dans mon être : colère,
    Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé,
    Et, comme le soleil dans son enfer polaire,
    Mon coeur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé.

    J'écoute en frémissant chaque bûche qui tombe ;
    L'échafaud qu'on bâtit n'a pas d'écho plus sourd.
    Mon esprit est pareil à la tour qui succombe
    Sous les coups du bélier infatigable et lourd.

    Il me semble, bercé par ce choc monotone,
    Qu'on cloue en grande hâte un cercueil quelque part.
    Pour qui ? - C'était hier l'été ; voici l'automne !
    Ce bruit mystérieux sonne comme un départ.

    II

    J'aime de vos longs yeux la lumière verdâtre,
    Douce beauté, mais tout aujourd'hui m'est amer,
    Et rien, ni votre amour, ni le boudoir, ni l'âtre,
    Ne me vaut le soleil rayonnant sur la mer.

    Et pourtant aimez-moi, tendre coeur ! soyez mère,
    Même pour un ingrat, même pour un méchant ;
    Amante ou soeur, soyez la douceur éphémère
    D'un glorieux automne ou d'un soleil couchant.

    Courte tâche ! La tombe attend ; elle est avide !
    Ah ! laissez-moi, mon front posé sur vos genoux,
    Goûter, en regrettant l'été blanc et torride,
    De l'arrière-saison le rayon jaune et doux !

    (Les Fleurs du mal)

     

  • 23 septembre 1940 : l’agression britannique sur Dakar

    23 septembre 2014 par admin4 

    Vue du pont arrière du croiseur Georges Leygues

    Un article de José Castano :

    « L’empire, sans la France ce n’est rien. La France sans l’empire, ce n’est rien »(Amiral Darlan – Novembre 1942)

    L’âme de nos marins plane sur l’Océan, je l’ai vue ce matin, sous l’aile d’un goéland » (Freddie Breizirland)

                Après avoir été donné à la France par le traité de Paris, le 30 mai 1814, Dakar devint, en 1904, la capitale de l’Afrique Occidentale Française (AOF). Située à l’extrémité occidentale de l’Afrique, elle occupait, en 1940, une position stratégique considérable qui faisait bien des envieux. Au point de séparation de l’Atlantique Nord et Sud, en avancée face à l’Amérique Latine, sur le chemin entre l’Afrique du Sud et l’Europe, Dakar intéressait tout le monde et en premier lieu les Britanniques qui, sur le chemin traditionnel de l’Afrique australe et de l’Asie par le Cap, retrouvaient là l’un des enjeux de leurs rivalités coloniales avec la France et voulaient profiter de son écrasement.

    En septembre 1940, le Maréchal Pétain avait confié au général Weygand la délégation générale du gouvernement en Afrique et le commandement en chef des troupes. Ainsi se trouvait affirmée la volonté de défendre l’Afrique mais aussi de préparer les moyens de la revanche.
    Le 31 Août 1940, soit près de deux mois après la lâche agression commise par ces mêmes britanniques sur la flotte française au mouillage et désarmée, dans le port de Mers El-Kébir (Algérie) et près d’un mois après l’entretien Churchill – De Gaulle (6 août 1940) sur les modalités d’une éventuelle attaque contre les forces françaises stationnées au Sénégal et demeurées fidèles au Maréchal Pétain, la force navale M (M comme « Menace ») britannique où se trouvait de Gaulle quitta les ports britanniques pour Freetown en Sierra Leone qu’elle atteignit le 16 Septembre.

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    Contre-info.com

  • Quelques tableaux de grands maîtres flamands et hollandais

    !cid_ii_1489931515086634.jpg Willem van de velde.jpg

    La mer par temps calme

    Willem Van de Velde (1591-1630)

     

    !cid_ii_14899352082dbe65.jpg Jan van Goyen.jpg

    Vue de Dordrecht

    Jan van Goyen ( 1596-1656)

    !cid_ii_14899379d2f6dfee.jpg Dame Rogier van der Weyden.jpg

    Portrait de dame

    Rogier Van der Weyden  (1460)

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    Vue de Delft

    Johannes Vermeer(1658)

    (merci à Dirk)

     

     

  • Ecosse : Le vote des étrangers et des vieux a fait échouer le référendum

    vendredi, 19 septembre 2014

     

     

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    Le nationalisme écossais revu et corrigé par le SNP socialiste d’Alex Salmond

    Source Breiz Atao  

    La défaite, honorable, des indépendantistes écossais trouve son explication dans le vote des quelque 880 000 non-Ecossais qui représentent 17% de la population du pays. En acceptant de les laisser voter, les indépendantistes socialistes ont eux-mêmes créé les conditions de leur échec.

    Un demi-million de Britanniques en Ecosse

    C’est sans doute possible parce que le Parti National Ecossais (SNP), socialiste, n’a jamais remis en cause la consultation du demi-million d’Anglais vivant en Ecosse, un pays qui en compte 5,3 millions, que Londres a accepté la tenue du référendum. En disposant d’une solide minorité de blocage, le gouvernement britannique a pu aborder le référendum avec un atout décisif en main.

    La presse britannique a abondamment détaillé les intentions de vote de ces résidents installés en Ecosse. Et le verdict est sans appel : 63% d’entre eux entendaient voter contre l’indépendance.

    Or, il a manqué environ 300 000 voix aux indépendantistes pour l’emporter.

    Les Polonais votent… pour garder leurs papiers

    En plus des Britanniques, Londres savait pouvoir disposer du soutien des autres non-Ecossais afin de circonvenir le vote séparatiste. Un sondage réalisé au mois d’août auprès des immigrés polonais résidant dans le pays indiquait que ceux-ci allaient voter en fonction du devenir de leurs visas si l’Ecosse devenait indépendante. L’incertitude prévalait sur le statut européen de l’Ecosse suite aux déclarations anti-indépendantiste de Manuel Barroso.

    En conséquence, la libre-circulation assurée aux ressortissants des états-membres de l’UE était en théorie remise en cause. Or, cette libre-circulation   était le seul critère qui importait aux yeux des immigrés polonais et d’Europe de l’Est. Pour eux, le devenir du peuple écossais importait peu et ils n’ont pas hésité un instant à faire valoir leurs intérêts comme ceux de Londres sur ceux du peuple qui les accueille.

    Les Pakistanais ont aussi eu leur mot à dire

    Les pakistanais ont également eu leur mot à dire. Représentant plus de 150 000 personnes, cette immigration sait ce qu’elle doit au gouvernement anglais et perçoit l’indépendance écossaise comme une menace directe. Les deux tiers d’entre eux voulaient voter contre le “Oui” à l’indépendance.

    Les Ecossais de la diaspora privés de vote

    Tandis que Pakistanais, Anglais ou Polonais étaient appelés à voter par Alex Salmond et son parti, les Ecossais de la diaspora se voyaient priver du droit de voter. Une diaspora forte de millions de personnes à travers le monde. Le logiciel du “droit du sol” cher aux indépendantistes de gauche a logiquement joué à fond et produit les fruits qu’il est voué à produire.

    Lorsque l’on retranche les votes des étrangers – Anglais, Européens de l’Est et extra-Européens – les Ecossais de souche ont bel et bien voté pour leur indépendance.

    Les vieux coresponsables

    Les vieux sont, avec les étrangers, les moteurs de la victoire du “Non”. 65% des plus de 50 ans en Ecosse s’opposaient à l’indépendance. Soucieux de leurs rentes, ils perçoivent l’indépendance comme une remise en cause de leurs intérêts. Sans surprise, ce sont ces mêmes générations qui soutiennent l’immigration afin de “payer les retraites”, la pyramide des âges résultant de leur faible taux de natalité ayant engendré une crise démographique.

    Des enseignements à tirer

    Il y a plusieurs enseignements à tirer de cette consultation. Tout d’abord, la défaite des indépendantistes, largement causée par leur orientation idéologique socialiste, n’est pas écrasante. L’Ecosse n’a retrouvé son parlement autonome qu’il y a 15 ans et les indépendantistes ne sont arrivés au pouvoir qu’il y a 7 ans. Parvenir – contre les médiats britanniques et la totalité des partis anglais et des responsables européens – à rassembler près de 46% des suffrages constitue une véritable performance en un temps historique aussi court.

    Ensuite, il apparaît comme évident que l’indépendantisme de gauche, en soutenant une interprétation non-ethnique du nationalisme, a créé les conditions de son propre échec politique. En refusant, par conviction ou par peur, d’empêcher les étrangers de voter sur une question qui ne les concerne pas par définition, les indépendantistes du SNP ont donné à Londres les moyens de son succès.

    S’ajoute à cela un clivage générationnel patent. L’égoïsme des Baby Boomers est le fil conducteur de leur comportement politique : pro-immigrationnistes, court-termistes, uniquement soucieux de leur bien-être et de leur patrimoine, ils ont pris en otage le destin de la jeunesse écossaise. Sans surprise, leur parasitisme a convergé avec celui des Anglais et des immigrés extra-européens.

    Cependant l’échec écossais est relatif. Il est plus un début de processus qu’une fin et l’éviction progressive des générations conservatrices permet d’entrevoir des évolutions décisives pour ce pays. En quelque sorte, c’est la fin d’une certaine forme d’indépendantisme socialiste et le début d’un autre. Les petites nations d’Europe n’auront d’autre choix que de se doter de formations politiques résolument nationalistes en lieu et place de cet “indépendantisme de gauche” dépassé.

    (merci à Dirk)

     

  • Sarkozy: au nom du N.O.M. (interview intégrale)

    Interview intégrale

    http://www.lexpress.fr/actualite/politique/ump/nicolas-sakozy-sur-france-2-ses-declarations-en-5-points_1577959.html

  • De plus en plus de polygames en Grande-Bretagne

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    15h23

     

    [extraits] Nabilah, son mari, et ses deux autres femmes font partie du nombre croissant de mariés polygames en Grande-Bretagne. Ils le font en contradiction radicale avec la loi britannique, qui considère la bigamie comme illégale. Mais ces mariages étant contractés sous l’égide de la charia et n’étant pas reconnus par les tribunaux, les époux polygames ne peuvent pas être poursuivis.

    Cette pratique devient donc de plus en plus courante en GB, ou leur nombre est estimé à environ 20 000. La popularité de ces mariages polygames est telle parmi les musulmans que les agences matrimoniales islamiques recoivent des demandes de plus en plus nombreuses.

    (…) Hasan insiste pour que ses femmes soient voilées de pied en cap. « Il y a des gens qui couvrent leur voiture d’un drap, ou recouvrent d’autres objets de valeur pour les cacher de la vue des autres, pour ne pas attiser la convoitise. Pour moi, mes femmes sont précieuses, et je dois les cacher, pour les protéger. »

    (…) Les femmes d’un mariage polygame sont considérées par la loi comme des mères célibataires : elles ont droit à toutes les prestations sociales afférentes : allocations familiales, allocation logement, aide sociale etc.

    Daily Mail

    FDS

  • Algérie: un Français enlevé par un groupe armé algérien lié à l'Etat islamique

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    Un citoyen français a été enlevé dimanche soir en Algérie dans l'est du pays, comme l'a confirmé le quai d'Orsay lundi soir. Dans une vidéo non authentifiée, l'enlèvement a été revendiqué par un groupe armé algérien lié à l'Etat islamique dénommé «Jund al-Khilafah» (Les soldats du Califat) qui menace d'exécuter l'otage en cas de nouveaux raids en Irak. <btn_noimpr>

    Dans cette vidéo diffusée lundi soir, qui commence par des images d'Abou Bakr al-Baghdadi, le chef du mouvement jihadiste qui sévit en Irak et en Syrie, Hervé Pierre Gourdel s'exprime directement face à la caméra. «Monsieur le Hollande, je suis Hervé Pierre Gourdel, je suis né à Nice en le 12 septembre 1959, de nationalité française bien sûr. Je suis guide de haute-montagne, débute-t-il. Je suis arrivé en Algérie le 20 septembre 2014 et je suis depuis hier aux mains d'un groupe armé algérien. Ce groupe armé me demande de vous faire la demande de ne pas intervenir en Irak. Il me retient en otage. Je vous conjure de faire tout ce qui sera en votre pouvoir pour me sortir de ce mauvais pas. Je vous en remercie», conclut-il dans un calme impressionnant. 

    «Tout est mis en œuvre pour retrouver notre compatriote»

    «Nous avons pu le joindre au téléphone hier après-midi», explique sa mère sur le site de L'Express. «Tout allait bien. Il nous a dit qu'il entamait une randonnée de deux jours et qu'il serait peut-être difficilement joignable. Ensuite, il comptait ouvrir une nouvelle voie dans le massif», conclut-elle.



     Le président s’est entretenu avec le Premier ministre d’Algérie, Abdelmalek Sellal. L'Elysée a assuré de la «coopération totale» entre Paris et Alger sur ce dossier dans un communiqué officiel.




    «Tout est mis en œuvre pour retrouver notre compatriote. Les services de l’Etat sont mobilisés et aucune hypothèse n’est écartée. Nous sommes en contact permanent avec les autorités algériennes, qui nous apportent leur coopération et leur plein soutien», avait assuré le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué plus tôt dans la soirée.

    Le site arabophone Alhadath-dz.com affirme qu’Hervé Pierre Gourdel a été capturé par un groupe terroriste dans la localité de Beni Ouardane, située à la limite administrative entre Bouira et Tizi Ouzou, dans la région montagneuse de Kabylie.

    Selon les médias algériens et Al Arabyia, l’homme, âgé de 55 ans, était en randonnée avec des amis algériens lorsqu’ils ont été interceptés par un groupe terroriste qui a kidnappé le touriste et relâché les Algériens. Toujours selon les mêmes médias, ce français serait entré en Algérie il y a deux jours avec un visa de touriste et a loué avec ses amis un chalet à Tikjda sur les hauteurs de Bouira.

    Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères, a d'ailleurs demandé à une trentaine d’ambassades françaises d’inviter les Français résidant ou de passage à l’étranger à renforcer leur vigilance face au risque terroriste. 

     

    LeParisien.fr