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  • Jean-Yves NARQUIN est nommé Délégué Général du RASSEMBLEMENT BLEU MARINE

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    Communiqué de Presse du Rassemblement Bleu Marine

    Marine LE PEN, Présidente du Rassemblement Bleu Marine (R.B.M.) et le Secrétaire Général, Gilbert COLLARD, député, ont nommé Jean-Yves NARQUIN au poste de Délégué Général du R.B.M.
    Le RASSEMBLEMENT BLEU MARINE est une association qui rassemble des partis politiques, FRONT NATIONAL. S.I.E.L. Patrie et Citoyenneté, ainsi que des collectifs thématiques (Racine, Marianne, Audace) attachés à la souveraineté de la France et aux valeurs de la République

    Jean-Yves NARQUIN, Maire de VILLEDIEU-LE-CHÂTEAU, dans le Loir-et-Cher, élu en 2008 et réélu en 2014, a rejoint Marine LE PEN suite au congrès de Tours en 2011.
    Responsable politique depuis sa jeunesse dans les différentes formations politiques gaullistes, il fut Attaché Parlementaire pendant 10 ans de son père, Jean NARQUIN, résistant, député d’Angers de 1968 à 1988 et de sa sœur Roselyne BACHELOT-NARQUIN, députée et Ministre.

    Jean-Yves NARQUIN a appelé en 2012 au Rassemblement Républicain des droites de conviction, soucieuses de l’indépendance et de la souveraineté de la France, le conduisant à s’associer au Rassemblement Bleu Marine de Marine LE PEN.
    Dans sa nouvelle fonction de Délégué Général, il aura en charge plus particulièrement d’animer la politique des collectifs, ouverture vers la société civile et laboratoires d’idées du R.B.M.

    Jean-Yves NARQUIN, 64 ans, 4 enfants, né à Aubigny-sur-Nère, études d’Architecture à Versailles, Chef d’Entreprise dans la communication (en particulier, un des fondateurs d’Europe 2, FM d’Europe 1)

  • Sarkozy veut "reconquérir" l'électorat du Front National : on s'en doutait!

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    http://www.lemonde.fr/politique/article/2014/09/21/nicolas-sarkozy-sur-son-retour-en-politique-je-n-ai-pas-le-choix_4491601_823448.html

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  • L'Etat islamique appelle à tuer des citoyens des pays de la coalition

    22/09/2014 à 10:08

    Source: Belga

    L'organisation Etat islamique a lancé lundi un appel à ses partisans à tuer des citoyens, notamment Américains et Français, des pays formant la coalition internationale mise en place pour combattre le groupe jihadiste en Irak et en Syrie.

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    © Belga

    "Si vous pouvez tuer un incroyant américain ou européen -en particulier les méchants et sales Français- ou un Australien ou un Canadien, ou tout (...) citoyen des pays qui sont entrés dans une coalition contre l'État islamique, alors comptez sur Allah et tuez-le de n'importe quelle manière", a déclaré Abou Mohammed al-Adnani, le porte-parole de l'EI, dans un message publié en plusieurs langues.

    Les Etats-Unis et la France sont les deux pays qui ont jusqu'à présent mené des frappes aériennes en Irak sur des positions de l'EI, un groupe qui a déclaré en juillet un "califat" à cheval sur la Syrie et l'Irak, dont ils contrôlent de larges secteurs.

  • Ebola va-t-il bientôt se transmettre par l'air ?

     

    19/09/2014 à 14:53 - Mis à jour à 14:56

    Source: Le Vif

    Le risque que le virus devienne contagieux par simples voies aériennes est réel, selon Michael Osterholm, directeur du Centre pour la recherche sur les maladies infectieuses à l'Université du Minnesota. Ce n'est cependant pas l'avis de tous les experts. Explications.

     

     

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    © iStock

    Le spectre du risque d'une telle mutation provient d'un incident qui s'est déroulé dans un laboratoire en 1989, où le virus s'était apparemment transmis entre deux singes par voie aérienne. Il n'avait toutefois pas infecté les chercheurs qui y travaillaient. Les experts se sont ensuite demandé si cette mutation n'avait pas été alimentée par l'environnement artificiel du laboratoire.

    La très sérieuse revue scientifique Nature s'est donc posé la question de savoir si une mutation (ou plus plausiblement de plusieurs mutations) du virus Ebola pourrait le rendre contagieux par l'air. Après plusieurs entretiens avec des experts en maladies infectieuses, si une telle mutation est possible, elle est toutefois "hautement improbable", affirme la revue. Il n'existerait en effet aucun virus connu qui ait modifié son mode de transmission de façon aussi radicale.

    "Nous avons déjà tellement de problèmes avec Ebola (...), celui-là est très loin dans la liste de nos priorités", a affirmé William Schaffner, expert en maladies infectieuses à l'université de Vanderbilt. "Tout ce qui se passe maintenant peut être facilement expliqué par des transmissions de personne à personne, via un contact corporel. Nous n'avons pas besoin d'évoquer quoi que ce soit d'autre".

    Pour qu'Ebola devienne transmissible par l'air, il faudrait tout d'abord qu'une quantité importante du virus se mutent dans les cellules qui se trouvent dans la gorge, les bronches et peut-être les poumons. Ensuite, la transmission aéroportée devrait s'avérer beaucoup plus efficace que la contagion corporelle. Or, sa méthode de transmission est déjà terriblement efficace, selon l'expert.

    Actuellement, Ebola entre dans le corps humain via les coupures dans la peau, les fluides oculaires, ou les muqueuses du nez et de la bouche. Ensuite, il infecte les cellules du système immunitaire et se multiplie. Ce qui conduit à une attaque massive des vaisseaux sanguins et du système respiratoire.

    De manière générale, même les virus qui s'attaquent directement au système respiratoire ont du mal à se transmettre par les voies respiratoires. Par exemple, la grippe aviaire se transmet dans l'air chez les oiseaux, mais n'a pas encore muté pour se transmettre à l'homme.

    Selon différents experts donc, vu son efficacité actuelle de transmission, Ebola n'aurait pas besoin d'une telle mutation puisqu'elle ne serait pas forcément plus efficace.

  • Ebola: un deuxième missionnaire contaminé par le virus arrive en Espagne

    22/09/2014 à 08:20 - Mis à jour à 08:24

    Source: Belga

    Un missionnaire catholique contaminé par le virus Ebola en Sierra Leone, le deuxième ressortissant espagnol à être touché, a été rapatrié dans la nuit de dimanche à lundi en avion militaire à Madrid, où il est hospitalisé, selon les médias espagnols.

     

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    © REUTERS

    L'avion, un Hercules C-130 médicalisé, a atterri sur la base militaire de Torrejon, près de Madrid, avant d'être transporté en ambulance jusqu'à un hôpital madrilène, Carlos III, ont rapporté les journalistes. L'avion était équipé d'une chambre d'isolement.

    Agé de 69 ans et directeur d'un hôpital dans la ville de Lunsar, Frère Manuel Garcia Viejo "a été testé positivement pour Ebola et a exprimé le désir d'être transféré en Espagne", avait expliqué le ministère de la Santé samedi.

    Médecin spécialisé en médecine tropicale, directeur de l'hôpital de Lunsar depuis 12 ans, Manuel Garcia est membre de l'Ordre hospitalier de San Juan de Dios, un ordre catholique qui gère l'association caritative Juan Ciudad travaillant avec les victimes d'Ebola. Il travaillait en Afrique depuis 30 ans.

    En août, un prêtre espagnol de 75 ans, Miguel Pajares, avait été le premier Européen atteint d'Ebola à être rapatrié en Europe, puis le premier Européen à succomber au virus. Contaminé au Liberia, ce missionnaire avait été rapatrié à Madrid et placé en isolement dans le même hôpital madrilène que Manuel Garcia.

    L'épidémie d'Ebola sans précédent qui frappe l'Afrique de l'Ouest depuis le début de l'année a fait 2.630 morts, principalement au Liberia, en Guinée et en Sierra Leone, selon l'OMS.

     

  • 2.780.000 migrants maghrébins se sont établis en France entre 1990 et 2013

    http://www.fdesouche.com/513147-2-780-000-migrants-maghrebins-qui-se-sont-etablis-en-france-entre-1990-et-2013

    et ils ont fait des enfants depuis !

  • A Béziers, Robert Ménard prend un arrêté "anti-crachats" et il a raison!

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     «Quand je vois des gens le faire, je trouve ça aussi sale que des crottes de chien», explique le maire...

    Après l'interdiction d'étendre le linge aux balcons et fenêtres des immeubles visibles des voies publiques, l'interdiction des paraboles sur les façades des immeubles, le couvre-feu pour les mineurs de moins de 13 ans ou encore les blouses pour les écoliers, Robert Ménard a publié un arrêté interdisant de cracher dans la rue, afin de rendre sa ville «plus belle et plus agréable».

    «Cet arrêté vise à dire que cracher dans la rue, c'est dégoûtant», a expliqué le maire de Béziers, soulignant que le texte avait été présenté en conseil municipal jeudi soir. Quand je vois des gens le faire, je trouve ça aussi sale que des crottes de chien». «Je n'en veux pas dans ma ville, en particulier dans le centre où se rendent de nombreux touristes», a précisé le maire, élu en mars avec le soutien du Front national.

    Mettre fin au laisser-aller

    Si des sanctions sont prévues --une amende--, «il s'agit surtout d'avertir les gens que ça ne se fait pas», a poursuivi Robert Ménard, évoquant le cas de précédents arrêtés qu'il a déjà pris : «Les gens, quand vous leur dites, ils comprennent, mais tant qu'il n'y a pas de menace de sanction, ils ne le font pas. Quand vous leur expliquez, les gens vous écoutent: c'est juste du laisser-aller auquel il faut mettre un point final».

    Pourtant un décret modifié en 1992 prévoit déjà qu'il est interdit en France de cracher sur la voie publique à l'exception «des crachoirs disposés à cet effet». En 2006, un lycéen de 19 avait par exemple été condamné à 135 euros d'amende pour avoir craché à un arrêt de bus à Lyon.

     

    M.B.
     
    20minutes

     

  • Jean-Yves Le Gallou : “Les défenseurs de l’identité ne peuvent pas faire l’économie de la bataille culturelle”

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    21/09/2014 – PARIS (NOVOpress)
    Samedi 18 octobre aura lieu la 7ème journée de la réinformation organisée par la Fondation Polémia. Thème de cette journée : la bataille culturelle. Nous avons interrogé Jean-Yves Le Gallou, le président de la fondation et acteur essentiel de la réinformation, sur ce thème et le programme de la journée de réinformation.

    Propos recueillis par Pierre Saint-Servant


    Jean-Yves Le Gallou, vous organisez samedi 18 octobre la 7ème journée de la réinformation de Polémia, pouvez-vous nous rappeler les thèmes traités lors des éditions précédentes ?

    Nous avons dans un premier temps lancé et approfondi le concept de réinformation. Puis nous avons travaillé sur le thème de la novlangue et à la suite de ces travaux nous avons publié deux Dictionnaires de novlangue. Nous avons ensuite souligné le rôle des blogs dans la guerre médiatique et contribué au développement de la reinfosphère. L’an dernier nous avons étudié en profondeur la désinformation publicitaire. Une réflexion qui va faire l’objet de la publication d’un livre en partenariat avec l’éditeur Via Romana.

    Vous avez choisi cette année de concentrer votre attention sur la bataille culturelle, pourquoi ?

    C’est simple , nous vivons dans une dictature culturelle : de la gauche, du politiquement et de l’artistiquement correct . Cette dictature s’impose par la censure et l’intimidation : les dissidents rasent trop souvent les murs par crainte d’être diabolisés, voire, pire, ringardisés . Dans cette affaire, de trop nombreux élus, distributeurs de la manne publique, font preuve d’une rare lâcheté . Quant aux soi-disant mécènes du grand capital – Pinault, Arnaud, Bergé –, sous couvert de générosité, ils font de l’optimisation fiscale , de la com’ et de la spéculation financière! L’art n’est qu’un prétexte au profit pour les uns, à l’idéologie déracinante pour les autres. C’est l’alliance du trotskysme culturel et des salles de marché !

    Il y a donc un double travail à faire : décrypter le nouvel art officiel et cesser de se laisser intimider par le conformisme dominant. Car ce qu’on appelle Art contemporain n’est rien d’autre qu’un centenaire indigne né sur les ruines de la guerre de 1914. En 1917, Duchamp nous faisait le coup de l’urinoir présenté comme une œuvre d’art ; cent ans plus tard il faudrait s’ébaubir devant un crucifix planté dans de l’urine, le Piss Christ de Serrano. Bref, l’imagination en panne et les mêmes fausses provocs à répétition, jusqu’à plus soif si j’ose dire ! C’est le règne des faiseurs et des faisans, des escrocs soutenus par les bobos et les gogos.

     

    Le champ culturel a pendant des décennies été négligé par le camp national. Ceux qui avaient retenu les leçons de Gramsci étaient peu nombreux, et ceux qui les appliquaient étaient encore plus rares. Des progrès ont-ils été réalisés depuis ?

    Oui, il y a une vraie prise de conscience des foutaises de « l’art conceptuel » grâce notamment aux remarquables essais d’Aude de Kerros. Et il est clair que crise culturelle et crises identitaires sont liés. Les défenseurs de l’identité ne peuvent pas faire l’économie de la bataille culturelle. Ils doivent donc affronter les pouvoirs financiers (pseudo mécènes/vrais spéculateurs) et les pouvoirs politico -administratifs (les “inspecteurs de la création” [sic]) qui gouvernent. Ainsi que leurs chiens de garde dans les médias. Ce qu’il faut, c’est de la fermeté d’âme pour ne pas succomber au terrorisme intellectuel. Mais il ne faut pas se contenter d’un discours critique. Il vaut aussi révéler l’art caché et mettre en valeur les traditions qui renaissent.

    Pouvez-vous nous dévoiler une partie du programme de la journée du 18 octobre ?

    Le matin Michel Geoffroy traitera en profondeur de “Crise culturelle et crise identitaire”. Puis nous donnerons la parole aux artistes : le graveur et essayiste Aude de Kerros, le dessinateur Miège, l’auteur et metteur en scène Gérard Savoisien. La génération 2013 aura aussi la parole : les Antigones, les Gavroches, les organisateurs de marches identitaires… bref, tous ceux qui ont repris le chemin de la rue et de la liberté de l’esprit. Le temps de l’offensive est venu !

    Jean-Yves Le Gallou, merci.

  • DESEDUCATION NATIONALE - Les vols de clés dans les cartables, ce sera aussi la bienveillance ?

    Accueil >> Dérapages

    EDUCATION NATIONALE  - Les vols de clés dans les cartables, ce sera aussi la bienveillance ?


    Michel Lhomme
    le 21/09/14

    Plusieurs élèves de collège ont été interpellés en région parisienne, après des cambriolages commis grâce à l’adresse renseignée dans le carnet de correspondance. L’Académie discute actuellement des mesures à prendre dans un souci de « bienveillance ».

    Début avril, six adolescents, âgés de 13 à 16 ans, ont été arrêtés après une dizaine de cambriolages. Ces introductions dans des domiciles ont fait suite à des vols de clés dans des cartables recensés dans les collèges parisiens Alain-Fournier et Pilâtre-de-Rozier, dans le XIe arrondissement. Profitant des pauses entre deux cours, d'autres élèves se sont servis dans le sac de leurs camarades. Argent, chéquiers, téléphones ont ensuite été dérobés au domicile des élèves. D’autres cas similaires ont été constatés dans les XIIIe, XIXe et XXe arrondissements. Plus d’une dizaine d’établissements de la capitale auraient signalé de telles infractions, d’après Le Parisien. Des établissements privés ou situés hors de la frontière parisienne auraient également été touchés. L’Académie a décidé d’agir... par la bienveillance, par le "dialogue'', il ne faut pas ostraciser des populations fragilisées car n'est-ce pas là toute la politique de la déséducation nationale ?

    Pourtant : 7 adolescents français sur 10 sont traumatisés par la violence à l’école. Railleries, insultes, harcèlements en classe, rackets et chantages, sept ados sur dix se disent préoccupés par la violence à l’école. Selon les chiffres de l’étude annuelle d’Ipsos pour la fondation Pfizer, ils sont même un tiers à dénoncer un mal-être en général. L'enquête internationale Pisa 2013 l'avait déjà relevé mais en termes plus feutrés. '' On ne parle jamais à nos parents de choses comme ça parce qu’on en a honte'' témoigne Clara, une collégienne. Ainsi, pour de nombreux enfants et adolescents de France, on va à l'école, la peur au ventre mais pas du tout par peur des notes. Il n'y a souvent plus de surveillants dans les cours et les services de ''vie scolaire'' ferment les yeux : ils gèrent enfermés dans leurs bureaux les absences ! L'école de la bienveillance est donc bien l'école de la peur. 
     
    METAMAG
  • Sarkozy sur France 2

  • Des milliers de Russes marchent pour la paix en Ukraine

    Plusieurs milliers de Russes ont pris part dimanche à des marches pour la paix en Ukraine, à Moscou et dans plusieurs autres villes de Russie, dans le cadre de la première grande campagne pacifiste dans le pays depuis le début du conflit entre Kiev et les séparatistes de l'Est. Les organisateurs de la "Marche pour la paix" attendaient plus de 50.000 participants dans les rues de Moscou, afin de dire clairement au président Vladimir Poutine: Arrêtez cette guerre. Des rassemblements étaient prévus aussi dans d'autres villes de Russie.

    "Poutine signifie guerre, il est le chef du parti de la guerre", a déclaré l'opposant Boris Nemtsov, l'un des organisateurs de ces marches pacifistes. "Si nous sommes nombreux aujourd'hui, il reculera, parce qu'il craint ses propres citoyens, et seul le peuple russe peut barrer la route à Poutine", a dit cet ancien vice-Premier ministre du temps de Boris Eltsine. Des drapeaux russes et ukrainiens flottaient au-dessus de la foule, et des banderoles avaient été déployées avec ces slogans: "Nous sommes ensemble!" "Poutine, j'en assez de tes mensonges!" et "Je ne veux pas de guerre avec l'Ukraine!". "Non à la guerre!", ont scandé les manifestants.

    Le Figaro - Reuters - 21 09 14

  • EN DIRECT. Sarkozy: "Non seulement j'ai envie, mais je n'ai pas le choix"

    http://www.leparisien.fr/politique/en-direct-suivez-l-interview-de-nicolas-sarkozy-a-20-heures-21-09-2014-4152661.php

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  • Les Flamands à la conquête de l'Angleterre

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    Salomon van Ruisdael  (vers 1602-1670)

      

    Ils avaient été des milliers à suivre Guillaume de Normandie qui avait épousé leur comtesse Mathilde de Flandre. Le rôle des Flamands, considérable dans le succès de Guillaume, est resté méconnu, ceux-ci ayant été intégrés sous le vocable général de « Normands » ou « Anglo-Normands ».

     

    Nous avons évoqué leur implantation  au sud du Pays de Galles, dans le Pembrokeshire dès le XIIe siècle. La langue flamande y sera utilisée pendant un siècle dans ce que les Guides touristiques appellent toujours « Little Flanders beyond Wales ».

     

     C'’est le rôle de tout premier plan de descendants de compagnons de Guillaume dans les guerres d’indépendance de l’Ecosse que nous avons également retracé.

     

     

    La plupart des principaux protagonistes de cette histoire sont d’origine flamande, aussi bien Robert BRUCE (descendant d’Adam de Bruges et des seigneurs de Louvain), 1er roi de l’Ecosse indépendante, que ses alliés ou ses opposants : John BALLIOL (Bailleul), John COMYN (Comines), et bien d’autres, dont nous retrouvons souvent les armoiries dans celles des grandes dynasties écossaises : Walter the Fleming, Eustache de Boulogne, Gilbert de Gand/Alost, Arnulf d’Hesdin, les seigneurs de Guînes, Béthune (Beaton), Lille, etc. D’autres grandes familles ont une origine flamande comme les Baird, Cameron, Campbell, Douglas, Fleming, Murray, Jenkins, Watkins, Cummings (Comines), etc.

     

      

    Le rôle des Flamands ne fut pas négligeable sur les plans militaire et politique, mais il fut peut-être encore plus déterminant sur le plan économique. Les historiens anglais évoquent les graves inondations que connut la Flandre au XIIe siècle et la surpopulation qui y régnait pour expliquer un fort afflux de Flamands en Angleterre, simultanément  avec la colonisation menée par Guillaume le Conquérant et ses descendants.

     

     

     

    Cependant, les relations entre la Flandre et l’Angleterre ont de tout temps existé et s’expliquent par la proximité géographique et ethnique. Avant la conquête de la Bretagne (ancien nom de l’Angleterre) par César, de nombreuses populations des Bas Pays avaient émigré en Bretagne. Avant notre ère, des colonies germano-belges (Ménapiens et Atrébates) s’étaient fixées de chaque côté du Channel, en Flandre et en Artois, mais aussi autour de Londres. Les Frisons contrôlaient la majeure partie du commerce de l’île avant les invasions des Angles et des Saxons aux Ve et VIe siècles.  Au VIIIe siècle, l’Angleterre était un centre d’érudition qui fournira de nombreux missionnaires pour évangéliser les Bas Pays où une langue très proche était en usage, les plus connus étant Saint Willibrord et Saint Boniface (de son vrai nom Winfried). Aux IXe et Xe siècles, les élites instruites d’Angleterre, dont Alcuin,  chassées par les Danois, se réfugièrent sur le continent. Dès la seconde partie du Xe siècle, le commerce extérieur de Londres annonçait déjà sa future domination mondiale. Grâce à ses relations avec les marchands de Tiel et Dordrecht, les plus grands centres commerciaux de l’époque, la prospérité anglaise augmentera considérablement.

     

     

    Au XIIe siècle, des marchands flamands et hollandais avaient leurs propres quais privés à Londres et faisaient partie de la Guildhall. Les guildes anglaises et les manufactures industrielles copieront aux XIIe et XIIIe siècles le type d’organisation  flamande, comme les seigneurs anglais avaient déjà copié sur les Flamands l’art de construire des chateaux-forts (cf. : VdL N°75).

     

     

    Grâce à l’aide flamande, après le règne d’Edouard I, l’Angleterre devint leader du travail de la laine en Europe et les manufacturiers flamands étaient prospères : « ils se nourrissaient de bœuf gras et de mouton jusqu’à se crever la panse » est-il écrit dans une chronique de l’époque. Des milliers de tisserands, artisans, tisseurs de lin, fabricants de feutre et d’horlogers s’établirent en Angleterre qui n’était alors qu’un pays rural. Les capitaux et l’esprit d’entreprise des Flamands et des Hollandais étaient recherchés. Leurs presses à imprimer  étaient réputées et la première Bible anglaise complète vint de Hollande, de même que  les techniques de commercialisation de ce livre.

     

      

    Dans le sens inverse, il convient de souligner l’implantation de nombreux réfugiés anglo-saxons à l’époque de la conquête, puis plus tard, lors de la Guerre des Roses. Des écrivains comme Chaucer, Wyclif et Thomas Moore séjournèrent quelque temps en Hollande.

     

     

    Les relations les plus étroites existaient entre l’Angleterre et la Flandre aux XVIe et XVIIe siècles.  L’Angleterre manquait de toutes sortes de manufactures et l’essentiel du commerce était entre les mains flamandes et hollandaises, y compris le marché du poisson.

     

     

    Cette intense immigration flamando-hollandaise prépara tout naturellement le terrain pour l’arrivée d’un prince hollandais sur le trône d’Angleterre.

     

     

    Pour une grande part, l’Angleterre dut sa prospérité aux effets des persécutions religieuses dans nos Pays-Bas. En 1527, alors que la population anglaise s’élevait à 5 millions d’habitants, Londres seul comptait 15 000 Flamands. En 1562, 40 000 nouveaux Flamands arrivèrent, et encore autant les années suivantes. D’un autre côté, les persécutions des anabaptistes de Plymouth entraînèrent une immigration de ceux-ci vers la Hollande. Mais Cromwell alla chercher de nouveaux théologiens hollandais comme enseignants. Des milliers de protestants anglais aidèrent les Hollandais dans leur guerre contre les Espagnols. Beaucoup d’entre eux s’installèrent à Leyden et certains s’embarquèrent de là sur le Mayflower pour fonder la Nouvelle Angleterre. Les Quakers, comme beaucoup d’autres sectes, étaient un pur produit du sectarisme hollandais. L’épouse et la mère de William Penn étaient hollandais.

     

     

    Nos Pays-Bas envoyèrent également quantité d’armuriers, de tapissiers, de miroitiers, d’imprimeurs, d’habiles spécialistes dans le drainage des sols et dans beaucoup d’autres domaines. Les ingénieurs hollandais aidèrent à l’assèchement des marécages de Cambridge, du Suffolk, du Norfolk et de bien d’autres contrées. D’autres immigrants jouèrent un rôle de premier plan dans le développement de l’industrie du coton à Manchester, dans la manufacture d’acier à Newcastle et à Sheffield où ils introduisirent la coutellerie. Les fabricants de feutre furent à l’origine de la chapellerie. Ajoutons à cette liste la fabrication de câbles et de cordages pour la Royal Navy, l’introduction du papier, du savon, du salpêtre, de la soie et de la dentellerie.

     

    En retour, l’Angleterre nous légua la plus importante de ses denrées, le thé !

     

     

    De tous les voisins de la Flandre et des Pays-Bas, l’Angleterre est le pays le plus proche, tant  par les peuples de souche qui composent ces pays que par la proximité culturelle et même linguistique. L’ancien flamand était presque identique au vieil anglo-saxon parlé  jusqu’au IXe siècle en Angleterre, et que de points communs  également entre les  centaines de  toponymes en –inghem , - hem, -tun, -voorde ou –fort , ici, en Flandre et en Artois, et ceux en –ingham, - -ham, -ton, - ford,  là, en Angleterre ! . Il est jusqu’aux traits de caractère de nos peuples qui ont bien des points communs, le flegme, l’énergie, l’amour du travail et l’esprit d’indépendance, sans compter des goûts identiques dans le domaine des loisirs, et jusqu’à l’usage invétéré de la pipe !

     

      

    A l’heure de la dissolution programmée des peuples de souche dans le métissage de masse et de l’interdiction de l’enseignement de notre histoire, il est nécessaire de rappeler le souvenir de nos ancêtres sans lesquels nos contrées nordiques (étymologiquement « riveraines de la Mer du Nord ») n’auraient pas pu devenir les plus prospères du monde dans un passé pas si éloigné !

     

     

    Dirk De Kerel

     

     

     

     

  • Pape François: après la persécution des juifs, c'est au tour des chrétiens

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    Le pape François a reçu mercredi 17 septembre au soir, à la résidence Sainte-Marthe du Vatican, une délégation d’une quarantaine de dirigeants d’organisations juives membres du Congrès Juif Mondial, menée par son président Ronald S. Lauder. Ce dernier a fait quelques confidences sur les échanges entre le Souverain Pontife et les dirigeants juifs, qui portaient, notamment, sur la persécution des chrétiens du Moyen-Orient. Ronald S. Lauder a confié à la presse : « Le pape François nous a dit en privé qu’il pensait que nous étions entrés dans la Troisième Guerre mondiale. Mais contrairement aux deux premières, au lieu de se déclencher tout d’un coup, cette guerre arrive par étapes (…) [Le pape] nous a dit : “ça été d’abord votre tour, maintenant c’est le nôtre”. En d’autres termes, ce sont d’abord les juifs qui ont souffert d’attaques féroces et sur lesquelles le monde s’est tu, et aujourd’hui ce sont les chrétiens qui sont exterminés et le monde se tait ». Ronald S. Lauder a également stigmatisé l’apposition de la lettre noun sur les maisons des chrétiens de Mossoul, ne voyant pas de différence dans cette pratique « avec celle de l’imposition par les nazis de l’étoile jaune aux juifs pour les séparer des autres ».

    Source : The Telegraph (18 septembre)

    - See more at: http://www.christianophobie.fr/breves/pape-francois-apres-la-persecution-des-juifs-cest-au-tour-des-chretiens?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+Christianophobie+%28Observatoire+de+la+christianophobie%29#sthash.k4EB5GZD.dpuf

  • Présidentielle: 63% des Français contre une candidature de Sarkozy en 2017

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    a encore du chemin à faire pour reconquérir l'opinion. Un nouveau sondage confirme en effet l'enthousiasme limité que déclenche l'annonce de son retour : six Français sur dix (61%) désapprouvent ainsi sa décision de briguer la présidence de l'UMP, et près de deux sur trois ne souhaitent pas qu'il soit candidat à la présidentielle de 2017, selon un sondage CSA* pour BFMTV diffusé samedi soir. <btn_noimpr>

    63% des Français contre une candidature à la présidentielle

    Après l'annonce par l'ancien chef de l'Etat de sa candidature à la de l'UMP, 35% des personnes interrogées disent ne pas approuver «du tout» cette décision et 26% «pas vraiment». Elles sont en revanche 17% à l'approuver «tout à fait» et 22% «plutôt». Les sympathisants de l'UMP approuvent en revanche massivement (89%) la décision de Nicolas Sarkozy, contre 11% d'un avis contraire. La candidature de l'ancien président recueille également l'approbation de 77% de l'ensemble des sympathisants de droite. Le choix de Nicolas Sarkozy de briguer la présidence de l'UMP est en revanche massivement désapprouvé (91%) par les sympathisants du Parti socialiste et à 89% par ceux de l'ensemble de la gauche.

    A la question «Souhaitez-vous que Nicolas Sarkozy soit candidat» à la présidentielle de 2017 ?, 63% des personnes interrogées répondent négativement (41% «pas du tout», 22% «pas vraiment»), contre 37% d'un avis contraire (17% «tout à fait», 20% «plutôt»). Une candidature Sarkozy en 2017 est là encore plébiscitée par les sympathisants UMP (86%), mais aussi par 73% de ceux de l'ensemble de la droite. Elle est tout aussi massivement rejetée par les sympathisants du PS (92%) et ceux de l'ensemble de la gauche (90%).

    Un accueil bien frais

    Ce sondage rejoint d'autres études qui peuvent paraître assez inquiétantes pour l'ancien président. Seuls 29%  des Français estiment ainsi qu'il est honnête, selon un sondage Ifop/Sud Ouest Dimanche. ce qui n'empêche pas 51% d'entre eux de juger qu'il a l'étoffe d'un président. Et selon un sondage Odoxa pour Le Parisien-Aujourd'hui en France et iTélé, 55% des sondés estiment que son retour est une «mauvaise chose», et 67% d'entre eux estiment que Nicolas Sarkozy n'a «pas changé». 

    Pour convaincre les Français de l'opportunité de son retour, Nicolas Sarkozy démarre une véritable campagne dès les prochains jours : après un 20 heures dimanche soir sur France 2, le premier meeting du désormais candidat est programmé jeudi 18 heures à Lambersart (Nord).


    *Enquête réalisée en ligne du 19 au 20 septembre, auprès d'un échantillon de 1.011 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

    LeParisien.fr

     

  • Les Juifs et le Concile Vatican II, de Léon de Poncins

     


     

       
     

     

    Le vicomte Léon de Montaigne de Poncins (1897-1976) est un journaliste et essayiste français. Fervent catholique, il dénonça les mouvements révolutionnaires, le sionisme et la franc-maçonnerie. Il a collaboré à de nombreux journaux et écrit une trentaine d’ouvrages dans lesquels il s’attaque tour à tour au communisme, à la Société des Nations ou aux réseaux d’influence, en particulier dans les plus hautes sphères de l’Église.

    En 1965, il publie une brochure, Le Problème juif face au Concile, qui fut distribuée aux évêques avant la quatrième et dernière session du concile Vatican II, et dans laquelle il dénonce les pressions juives pour que soient modifiés la perception du judaïsme au sein de l’Église catholique et ses rapports avec lui. Il y déplore « de la part des Pères conciliaires une méconnaissance profonde de ce que constitue l’essence du judaïsme » dont le catholicisme est le contre-pied absolu. Un rapprochement entre les deux religions ne peut donc se faire sans une dénaturation totale du message de Jésus et du Nouveau Testament : c’est une trahison et une soumission.

    Mais c’est hélas ce qui se passa lors de ce Concile, bien que les mises en garde de Léon de Poncins aient influé sur le vote final et permis de freiner les ambitions destructrices des juifs infiltrés et des cardinaux acquis à leur cause, cardinaux dont l’oreille était sensible au chant des sirènes de la modernité : affaiblissement du dogme, œcuménisme, prépondérance de l’humain sur le divin. On en voit aujourd’hui le résultat dans le vide des églises.

    L’ouvrage que nous éditons ici comprend cet opuscule, largement augmenté de textes inédits sur le même sujet et gracieusement mis à notre disposition par Emmanuel Ratier.

    E&R