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  • Carpentras : une collégienne de 6e insulte et gifle sa professeur de maths

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    Samedi 10/01/2015 à 09H30 Carpentras  

    D'aucuns jugent bien trop laxiste la sanction dont écope l'élève

     
    C'est au collège François Raspail que se sont déroulés dans une classe de 6e, à la mi-décembre, des faits qui ont entraîné un dépôt de plainte de la part d'une enseignante. Photo F.B.

     

     
     
     

    Aujourd'hui, une enfant de 11 ans peut insulter et gifler un prof, puis continuer de venir au collège comme si de rien n'était. C'est honteux !.. Alors que la sanction aurait dû être exemplaire, la gamine est juste exclue 8 jours et on va la changer de classe"s'indigne un père d'élève, commentant ainsi une décision du Conseil de discipline du collège François Raspail.

    Scandalisée aussi, la fonctionnaire victime de l'agression, qui dénonce : "Cette sentence dérisoire par rapport aux faits prouve bien que le système scolaire dérape. Il n'y a plus d'interdit, plus de cadre... Nous sommes des enseignants, pas des travailleurs sociaux ! Or aujourd'hui, nous semblons condamnés à accepter l'inacceptable."

    Motif de cette colère mêlée de désespoir : des événements qui se sont produits le lundi 15 décembre, dans une classe de 6e. La professeur raconte : "Pendant que je faisais mon cours, une élève a brandi un papier où elle me traitait de p... et de s...... Je lui ai ordonné de quitter immédiatement la salle. Alors que je rédigeais le mot d'exclusion sur son carnet de vie scolaire, elle m'a asséné une gifle de toutes ses forces sur la joue gauche. Je ne m'y attendais pas. J'ai reculé et j'étais tellement choquée, que je me suis mise à pleurer. Tous les autres élèves étaient comme pétrifiés.(...) Elle me regardait en souriant d'un air narquois..."

    Aussitôt déférée devant la chef d'établissement, la collégienne aurait continué d'afficher un air goguenard, sans jamais manifester le moindre remords.

    Motif de dégoût supplémentaire pour la prof de maths : la jeune adolescente avait prémédité son acte, puisqu'elle l'avait publiquement évoqué quelques jours auparavant.

    "Cette enfant de 11 ans, qui ne parle quasiment pas le français, qui vit dans un particulièrement milieu défavorisé et qui est rejetée par ses camarades à cause de son comportement, mérite une seconde chance, d'autant qu'elle a été poussée à agir par les autres élèves" a jugé le conseil de discipline, au grand dam de nombreux parents, qui ne manquent pas de poser le problème du manque de moyens et de solutions mis en oeuvre pour traiter ce type de "cas".


    "Oui, la justice sera saisie de l'affaire !"

    Plainte a été déposée par l'enseignante à l'Hôtel de police de Carpentras, où la mineure a été convoquée. Cependant, sous prétexte que ses parents ne disposent d'aucun moyen de locomotion, elle n'a pas honoré ce rendez-vous. D'où la crainte de la plaignante que l'affaire soit classée sans suite.

    Qu'elle se rassure !.. Selon un policier, l'enfant va devoir se présenter prochainement avec sa famille à la gendarmerie de Beaumes-de-Venise, où elle réside. Elle devrait ensuite être assignée en justice pour répondre de ses actes.

    La Provence

  • Comment en est-on arrivé là ? Par Bruno Gollnisch

     

    houellebecq

    Une faute morale, une faute politique, mais aussi plus prosaïquement une colossale erreur stratégique.  Le refus de la majorité présidentielle et des forces de gauche d’accueillir le FN au nombre des formations qui participeront dimanche à Paris à  la grande « marche républicaine » est tout cela à la fois. Hier le secrétaire général de l’UMP, Laurent Wauquiez, qui a bien compris en quoi cet apartheid  éclaboussait tout le Système, a affirmé  que son parti était «unanime » à s’opposer à l’exclusion du FN . Arrivé en tête aux élections européennes, les millions d’électeurs du  Front National sont ainsi ghettoïsés, exclus  d’une démarche d’unité «nationale». François Lamy, ex (mauvais) ministre délégué à la ville et actuel  député socialiste,  organisateur de cette manifestation pour le PS, a affirmé à publicsenat.fr que le FN n’avait « pas sa place » dans celle-ci.  Marine Le Pen « ne se situe pas dans le cadre de nos valeurs ».  Le FN est « une formation politique qui depuis des années divise les Français, stigmatise les concitoyens en fonction de leur origine ou de leur religion, ou ne se situe pas dans une démarche de rassemblement des Français ».  Difficile de faire plus con…venu. 

     Marine Le Pen a jugé,  certainement comme une majorité de Français,  qu’il s’agissait là d’une  « manœuvre politicienne minable ». « Je ne demande pas à être intégrée à l’union nationale. L’union nationale, ce n’est pas un chantage où on peut venir à condition de la fermer. Je n’entends pas me soumettre à ce chantage. Il y a un dévoiement total du concept d’union nationale. Nous en assumerons les conséquences ». « Si on ne m’invite pas, je ne vais pas m’imposer. C’est un vieux piège. Au moindre incident on dira que c’est de ma faute! ».

     Les partis, syndicats, officines, obédiences, qui ont tant contribué, voire œuvré,  à la déliquescence identitaire, morale,  économique, sociale de notre beau pays défileront donc dans l’entre soi avec des  Français anonymes qui n’auront parfois pas d’autre choix que de les subir.

     Bruno Gollnisch prend acte qu’il  ne pourra  pas  participer le 11 janvier à ce rassemblement croupion aux côtés des « potes », de Bernard-Henry Lévy,  Mathieu Madénian, Laurence Parisot,  NKM, Besancenot, Harlem Désir, Alain Juppé, Pierre Bergé,  Alain Jakubowicz, Jean-Michel Ribes, Jean-Luc Mélenchon ou encore Philippe Val. Il se fera une raison…

    L’horreur de ces derniers jours a occulté les chiffres publiés officiellement par la Commission européenne: la France dégringole de son statut de cinquième puissance économique mondiale, reléguée à la sixième place derrière le Royaume-Uni.  Le classement présenté enregistre sans surprise la montée en puissance des pays dits émergents et le déclin des pays de l’UE….

    Outre-Rhin c’est aussi  l’émergence d’une société pluriculturelle  marquée par l’assomption de l’islam qui mobilise de plus en plus  les Allemands dans la rue. En témoigne le  succès grandissant des manifestations organisées dans les villes allemandes par le Mouvement anti immigration et islamosceptique Pegida -comprendre « Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident »-, présidé  par le très controversé et ex repris de justice Lutz Bachmann.

    Ce refus de l’immigration non européenne   trouve un écho profond au sein du peuple allemand comme en témoigne les derniers sondages réalisés sur ce thème. La confirmation de  l’énorme succès rencontré par le pamphlet d’un (ex) membre du  parti social démocrate, (SPD), Thilo Sarrazin, Deutschland schäft  sich ab  (L’Allemagne court à sa perte) sur les conséquences de l’immigration-invasion paru en 2010…

     Promis lui aussi à un grand succès, le nouveau livre  du romancier Michel Houellebecq, Soumission (islam en arabe),  a créé un vif débat avant même sa sortie mercredi  en librairie. Le romancier, officiellement  très affecté par l’assassinat le 7 janvier d’un collaborateur de Charlie Hebdo, son ami  l’économiste Bernard Maris, a annoncé qu’il interrompait  la promotion de son livre….Pour autant, celui-ci  prend bien  évidemment une résonnance toute particulière dans le contexte d’émotion générale actuelle. 

    Un roman de politique fiction, qui voit Mohammed Ben Abbes, le chef de la Fraternité Musulmane, un parti communautaire comme son nom l’indique, accéder au pouvoir face à Marine Le Pen dans la France de 2022, à l’issue d’un second quinquennat Hollande. Une prise de pouvoir sans heurts, malgré l’instauration de la charia (port du voile et polygamie). «  Ce n’est pas du tout un islam radical dans le livre », a  précisé l’auteur, « c’est au contraire une des variantes les plus douces qu’on puisse imaginer ».

     Invité de Patrick Cohen mercredi matin sur France Inter (la preuve indubitable qu’il n’est pas un « cerveau malade » ?) et de France 2 la veille, Michel Houellebecq a réfuté les accusations selon lesquelles en propageant l’islamophobie il faisait le jeu de la présidente du FN : « Ca marche assez bien pour elle (Marine, NDLR), je ne crois pas que cela changera grand chose à son destin ». »Je ne vois pas d’exemple où un roman ait changé le cours de l’histoire. C’est autre chose qui change le cours de l’histoire, des essais, le manifeste du Parti communiste, mais pas des romans ».

     Lundi,  sur France Info, Marine Le Pen, qui a bien l’intention de lire « Soumission », a cependant relevé que ladite «fiction pourrait un jour devenir réalité». Ce roman «est quand même dans la droite ligne de ce qu’on constate dans un certain nombre de municipalités, de départements, où manifestement le fondamentalisme islamiste avance avec l’accord et même avec la complicité de l’UMP et du PS».

     A contrario, invité le même jour sur France Inter, François Hollande a invité les Français à se convertir à sa méthode prozac : «Ne nous laissons pas emporter par ce climat, dévorer par la peur, l’angoisse». «L’idée de la submersion, de la soumission, de l’invasion, c’est une vieille idée»…aussi  vieille  que les  invasions   en effet.

     En 2004, la Ligue islamique mondiale avait intenté un procès à Michel Houellebecq  -un point commun avec  Bruno Gollnisch, auquel il faut ajouter le refus clairement énoncé par l’écrivain  de la loi liberticide Gayssot- qui avait qualifié l’islam de « religion la plus con ».

     Il ya prés de cinq ans, il subissait  les foudres d’associations mahométanes et du sociologue  El Yamine Soum  qui s’inquiétaient que l’ « On donne le Prix Goncourt (2010) à un islamophobe ». Ce M. Soum avait  affirmé  deux ans plus tard sur le site de Mediapart d’Edwy Plenel que l’opposition de Marine aux revendications communautaristes islamiques, s’expliquait par le fait que « le Front National entretient de nombreux liens avec des réseaux francs-maçons, ou encore avec des groupes de pression proches du Likoud tels que l‘AIPAC »(sic).  Mais il est vrai que dans la même veine délirante,  c’est ce même Edwy Plenel, dont les vieux réflexes totalitaires de censeur trotskyste ne sont jamais loin,  qui a fait directement la leçon à Patrick Cohen sur France cinq mardi soir,  lui reprochant d’inviter Houellebecq sur France inter!

     Aujourd’hui, Michel Houellebecq affirme qu’il « ne juge pas les gens qui se tournent vers Dieu ». Une spiritualité peut être  un peu trop vite enterrée en Europe et en France,  dont le renouveau s’est aussi manifesté chez nombre de Français de souche à l’occasion du sursaut identitaire  qui a accompagné la mobilisation contre la dénaturation de la famille et de la loi naturelle (mariage homo,  théorie du genre…) .

     Dans l’entretien qu’il accordé au Nouvel Obs et publié le 8 janvier, l’écrivain souligne, avec une délectation évidente, le piège dans lequel se sont enfermés les progressistes et autres humanistes partisans de l’ouverture et du métissage. En quoi les valeurs défendues par les musulmans les placent à droite sur l’échiquier politique, en tout cas en porte-à-faux avec la gauche droit-de-l’hommiste, républicaine…et atlantiste.

     « Je ne sais pas au juste ce que craignent les droites extrêmes, mais probablement pas du tout ce qui est décrit dans ce livre, à savoir : la constitution d’une grande puissance islamique occidentale et méditerranéenne, modérée, sur le modèle de l’empire romain, où la France et la francophonie joueraient un rôle moteur. Cette politique d’alliance avec les pays arabes n’aurait pas forcément déplu à De Gaulle. » « Il me paraît difficile de nier, aujourd’hui, un puissant retour du religieux. Un courant d’idées né avec le protestantisme, qui a connu son apogée au siècle des Lumières, et produit la Révolution, est en train de mourir. Tout cela n’aura été qu’une parenthèse dans l’histoire humaine ». « Aujourd’hui l’athéisme est mort, la laïcité est morte, la République est morte ».

     Et d’ajouter encore : « Les musulmans sont, sur le plan sociétal comme on dit de nos jours, plus proches de la droite, voire de l’extrême-droite. Qui, en même temps, les rejette avec violence. Donc ils sont dans une situation intenable. Qu’est-ce qu’ils peuvent voter, les musulmans de France ? Ils ne peuvent pas voter pour des socialistes qui mettent en place le mariage homosexuel. Ils ne vont quand même pas voter non plus pour des gens de droite qui veulent les virer. La seule solution serait effectivement la constitution d’un parti musulman ».

     « Il n’est quasiment pas question de l’immigration dans mon livre. L’immigration est un léger accélérateur, mais l’islamisation se produit de l’intérieur. (…) Marine Le Pen peut arrêter l’immigration, mais elle ne peut pas arrêter l’islamisation : c’est un processus spirituel, un changement de paradigme, un retour du religieux. Donc, je ne crois pas à cette thèse du Grand remplacement. Ce n’est pas la composition raciale de la population qui est en question, c’est son système de valeurs et de croyances. »

     Rappelons à M Houellebecq que le FN refuse certes le communautarisme mais accueille depuis toujours des Français de toute origine, de toute religion. Des Français rassemblés par le plus grand dénominateur commun : l’amour de la patrie.

     Quant à l’immigration, elle est bien évidemment un « accélérateur » de l’islamisation , en ce qu’elle génère automatiquement une montée en puissance des revendications communautaro-religieuses. Au-delà d’un certain seuil quantitatif, atteint dans de très nombreux quartiers ou villes européennes, l’assimilation ne fonctionne plus.  C’est l’immigration à haut débit, qui entraîne mécaniquement ce repli identitaire des populations non européennes. Elle favorise même cette intégration à rebours que l’on constate dans de nombreux quartiers pluriels, où « l’autochtone » est d’ores et déjà minoritaire.

     Le constat de Michel Houellebecq est cependant recevable sur au moins un point, à savoir que les « valeurs », la vision du monde proposées par le microcosme et ses relais d’opinion, les médias dominants,  l’idéologie socialo-trotskyste qui imprègne l’éducation nationale, ne sont pas  celles qui ont fait la grandeur et le génie de notre civilisation européenne. Elles se résument surtout à la repentance, au masochisme, à la décadence morale, au relativisme, aux valeurs marchandes,  au règne de la sous-culture américanomorphe. A cette aune le retour (recours) aux valeurs de l’Islam, au moins chez une partie importante des Français-immigrés de culture mahométane, mettons de côté ici  la dérive islamo-terroriste, est un réflexe dans l’ordre des choses.

     Quant à la création d’un parti musulman à l’échelle nationale, possible avec de fortes chances de succès localement, dans une ville par exemple comme Roubaix à deux tiers musulmane, elle se heurte certainement à des dissensions internes (l’islam de France comme l’islam tout court n’est pas d’un bloc) à  des différences de stratégie, de tactique et attend peut être l’émergence d’un chef charismatique…

     Ce que les Français attendent en tout cas certainement dès 2017 c’est d’en finir avec le déclassement de la France, avec sa tiers mondisation, la montée des insécurités dans tous les domaines. Cela invite l’opposition nationale à initier une vaste réforme intellectuelle et morale et les Français à distinguer l’essentiel de l’accessoire,  à un  travail d’introspection, de réflexion sur les responsables de ce déclin français. Comment en est-on arrivé là ?  Méditons la belle sentence de Bossuet :  «Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes ».

  • Marche républicaine : Marine Le Pen sera à Beaucaire

     

    20h46

    La présidente du Front national rejoindra l’initiative de Julien Sanchez, maire FN de la ville, qui a convié également le député du Gard Gilbert Collard.

     

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  • Dominique Sopo(rifique) : « La présence de Marine Le Pen dimanche, symbole dévastateur »

     

    Le président de SOS Racisme était l’invité de la matinale iTELE. Il défend son souhait de ne pas voir le Front National être représenté officiellement lors de la marche de dimanche à Paris en hommage aux victimes de la tuerie de Charlie Hebdo.

    NDF

  • Rassemblement à Paris pour exiger l’expulsion de tous les islamistes de France : la préfecture l’interdit

     

    Le préfet de police de Paris a interdit le rassemblement pour exiger l’expulsion de tous les islamistes de France organisé par les associations Riposte laïque et Résistance républicaine le 18 janvier prochain à Paris. Les associations ont déposé un recours. L’audience est prévue devant le juge administratif samedi à 10 heures. Affaire à suivre !

    NDF

  • Sur Twitter, des milliers de musulmans écrivent : « #JeSuisKouachi » Marion Maréchal-Le Pen pose la question qui tue

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    NdB: Pour qui sonne le glas ou le tocsin ?

    Nouvelles de France

  • Les oies sauvages (chant militaire)

    Paroles

    Les oies sauvages vont vers le Nord,

    Leurs cris dans la nuit montent,

    Gare au voyage car la mort

    Nous guette par le monde,

    Gare au voyage car la mort

    Nous guette par le monde.

    II

    Au bout de la nuit qui descend,
    Voyage grise escadre,
    L'orage gronde et l'on entend
    La rumeur des batailles,
    L'orage gronde et l'on entend
    La rumeur des batailles.

    III

    En avant vole grise armée,
    et cingle aux mers lointaines,
    Tu reviendras, mais nous qui sait
    Où le destin nous mène,
    Tu reviendras, mais nous qui sait
    Où le destin nous mène.

    IV

    Comme toi toujours nous allons,
    Grise armée dans la guerre,
    Murmure-nous si nous tombons
    La dernière prière,
    Murmure-nous si nous tombons
    La dernière prière.

    Version Légion étrangère

    I

    Les oies sauvages vont vers le Nord
    Leurs cris dans la nuit montent.
    Gare au voyage car la mort
    Nous guette par le monde. (bis)

    II

    Au bout de la nuit qui descend
    Voyagent, grises escadres.
    L’orage gronde et l’on entend
    La rumeur des batailles. (bis)

    III

    En avant vole grise armée
    Et cingle aux mers lointaines.
    Tu reviendras, mais nous qui sait
    Où le destin nous mène. (bis)

    IV

    Wildgänse rauschen durch die Nacht
    Mit schrillem Schrei nach Norden.
    Unstete Fahrt, habt acht, habt acht!
    Die Welt ist voller Morden. (bis)

    V

    Pour la victoire de la Légion,
    Avançons dans la guerre.
    Murmurez-nous, si nous tombons
    La dernière prière. (bis)
  • Un souffle d'air frais !

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    Oies sauvages au-dessus des étangs de Ploegsteert

     

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    (merci à Dirk)

     

  • " Nous sommes Charlie", vraiment ?

    FIGAROVOX/CHRONIQUE - Chaque semaine, Alain Destexhe analyse, pour FigaroVox, l'actualité vue de Belgique. Suite à l'attentat de Charlie Hebdo, il dénonce le risque de «tyrannie du silence» qu'engendrerait la mise au tabou de toute critique de l'islam radical.


     

    Alain Destexhe est sénateur belge. Ex Secrétaire Général de Médecins Sans Frontières et ex Président de l'International Crisis Group, il est, entre autres, l'auteur de «Le Mouvement flamand expliqué aux francophones» et «Lettre aux progressistes qui flirtent avec l'islam réac». Lire également ses chroniques sur son blog.


    Je me méfie de ces grands élans de compassion lors des grandes tragédies. Aptes à canaliser la tristesse et l'émotion générale, ils risquent aussi de masquer l'essentiel. Ce n'est pas à «la liberté d'expression», que se sont attaqués les assassins mais à la liberté de blasphémer l'islam et de critiquer et caricaturer le prophète.

    Ce n'est pas à «la liberté d'expression», que se sont attaqués les assassins mais à la liberté de blasphémer l'islam et de critiquer et caricaturer le prophète.

    Si «nous sommes Charlie», tous les journaux de France et d'Europe devraient s'empresser de reproduire les dessins qui ont condamné à mort les journalistes de Charlie Hebdo. Le feront-ils? Probablement pas.

    Si «nous sommes en guerre», il faudrait peut-être songer à dire contre qui et non se contenter, comme le Président de la République, de termes vagues censés nous faire comprendre qui est l'adversaire («l'obscurantisme», «le fondamentalisme»…) sans offenser «la grande religion de paix et de bénédiction» (David Cameron) au nom de laquelle un attentat terroriste est commis tous les jours dans le monde.

    Bien sûr, l'immense majorité des musulmans sont horrifiés, mais on ne peut réduire l'islam radical à une poignée d'égarés, d'illuminés ou de «déséquilibrés». C'est un phénomène de société qui touche un nombre croissant de jeunes. On se demande d'ailleurs si les actes de «déséquilibrés» avant Noël ont bien permis au gouvernement français de saisir la nature et l'ampleur de la menace.

    On ne peut réduire l'islam radical à une poignée d'égarés, d'illuminés ou de «déséquilibrés». C'est un phénomène de société qui touche un nombre croissant de jeunes.

    Les ennuis de Charlie hebdo avec les islamistes radicaux remontent à la reproduction dans l'hebdomadaire des caricatures du journal danois. A l'époque certains qui «sont Charlie» ont jugé cette attitude «provocante» et «inutile».

    Dans un livre récent The Tyranny of Silence, Femming Rose, l'éditeur danois du Jyllands-Posten, revient sur les caricatures de Mohamed qu'il a publié en 2005 et montre le peu de soutien qu'il a reçu dans les sociétés dites libres. Qu'au lieu d'affirmer haut et fort que ces caricatures restaient dans le champ de la liberté d'expression, des sociétés privées et les gouvernements européens ont cherché à se démarquer du Danemark, bien seul en première ligne. Le Haut représentant de l'Union européenne de l'époque, Javier Solana, cherchant à tout prix à apaiser l'ire des gouvernements musulmans et de l'Organisation de la Conférence islamique. En sera-t-il autrement après l'attentat de Paris? J'en doute.

    On voit déjà ceux qui «condamneront le terrorisme» mais dans le même communiqué appelleront à «lutter contre l'islamophobie», un concept qui s'est, hélas, imposé dans les médias, mais qui n'est autre que la liberté de critiquer l'islam en tant que religion.

    N'en déplaise au Président de la République, passé le stade de l'émotion, on va évidemment voir refleurir les divisions dans l'analyse ainsi que sur les mesures à prendre. On va voir -on voit déjà- ceux qui appelleront à «ne pas provoquer» (avec des phrases ou des dessins) car «ce serait mettre de l'huile sur le feu». On voit déjà ceux qui «condamneront le terrorisme» mais dans le même communiqué appelleront à «lutter contre l'islamophobie», un concept qui s'est, hélas, imposé dans les médias, mais qui n'est autre que la liberté de critiquer l'islam en tant que religion (l'islam n'est pas une personne). On voit déjà «dénoncé le risque d'amalgame», une ritournelle chaque fois qu'un incident grave est provoqué par l'islam radical. Certains sujets seraient donc tabous? N'est-il pas temps, au contraire, d'engager un débat sur les sujets qui divisent et par exemple celui-ci: le refus de l'apostasie est-il compatible avec les valeurs de nos sociétés? N'est-il pas temps de reparler d'intégration voire d'assimilation autrement qu'en se balançant des insultes?

    On voit déjà, surtout, comment l'autocensure, qui est -déjà- la règle dans les rédactions, risque de triompher encore un peu plus. Nous aurons peur et c'est bien le but recherché. Les terroristes seront en prison mais le souvenir de la terreur qu'ils peuvent imposer restera et en ce sens ils auront gagné. Pourtant, si nous acceptons l'idée qu'une religion, et une seule, a le droit de ne pas être caricaturée ou offensée, nous aboutirons à cette «tyrannie du silence». Ce sont les soi-disant offensés qui décideront in fine de ce qui se publie ou pas.

    Si nous acceptons l'idée qu'une religion, et une seule, a le droit de ne pas être caricaturée ou offensée, nous aboutirons à cette «tyrannie du silence».

    Certains qui «sont Charlie» voudraient limiter la parole et l'audience d'Eric Zemmour, un autre «provocateur», lui aussi menacé, qui «ne mérite pas d'être lu» selon le Premier Ministre Valls. Défendre Zemmour, c'est aussi honorer la mémoire des journalistes de Charlie Hebdo.

    Zemmour prophétise des guerres civiles en Europe: des propos inacceptables pour d'aucuns. Ironie du sort, cette semaine, le jour de sa visite à Bruxelles, un commissariat de police était attaqué au cocktail Molotov par une cinquantaine de «jeunes», selon la terminologie consacrée. En Allemagne, à Dresde, PEGIDA mobilise 18 000 personnes contre l'islamisation de l'Europe; en Suède quatre mosquées sont visées par des incendies… Ce n'est pas encore la guerre civile mais cela commence à ressembler à des sociétés profondément divisées, en désaccord sur des valeurs fondamentales. Les mêmes qui «sont Charlie» refusent souvent de débattre de ces sujets autrement qu'en disqualifiant ceux qui les abordent en les traitant de racistes ou de fascistes.

    Charb, le directeur de Charlie Hebdo disait: «Je préfère mourir debout que vivre à genoux». Reste à voir comment nos sociétés vont honorer sa mémoire. Mais je crains que Plus ça change*

    *«The more it changes, the more it's the same thing», un épigramme de Alphonse Karr en 1849.

  • Une femme médecin retrouvée égorgée

     

    Vendredi 09/01/2015 à 23H42 Saint-Mitre-les-Remparts

     

     
     
     Le corps sans vie d'une praticienne, âgée de 70 ans, a été découvert en début de soirée à son domicile située dans la commune de Saint-Mitre les Remparts (Bouches-du-Rhône). Elle portait une large plaie à  la gorge. L'enquête, confiée à la Sûreté départementale, s'oriente vers un acte criminel.

    La Provence

  • VIDEO - Coulibaly a affirmé s'être "synchronisé" avec les frères Kouachi

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/terrorisme-coulibaly-affirmait-s-etre-synchronise-avec-les-freres-kouachi-09-01-2015-4433213.php

  • Quand Amedi Coulibaly, le preneur d’otages de l’épicerie casher, rencontrait Sarközy !

     

    Cliquer pour agrandir

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  • A tous les cathos mièvres et aveugles

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    A l’annonce d’un décès, les gens ont souvent tendance à parer le défunt de toutes les vertus. C’est encore plus vrai dans le cas d’une mort violente. Le phénomène est donc connu. Mais il prend une proportion quasiment socialement forcée après l’attentat commis contre la rédaction de Charlie Hebdo. Quiconque ne participe pas au concert louangeur est immédiatement perçu comme un monstre sans cœur par une société formatée par le matraquage médiatique univoque.

    Contre-info.com

  • « Liberté d’expression » : quand Charlie Hebdo réclamait l’interdiction du FN

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    Extrait d’un article paru dans Libération en 1996 :

    « Le 26 avril, Cavanna, Val et Charb (trois piliers du journal Charlie Hebdo) débarquent en estafette dans une annexe du ministère de l’Intérieur. Dans leur coffre, des cartons remplis de signatures qu’ils apportent à un conseiller de Jean-Louis Debré. En huit mois, 173 704 personnes ont répondu à l’appel « pionnier » de l’hebdomadaire pour demander l’interdiction du Front national. Loin de l’anonymat des sondages ou de la sempiternelle discussion sur la montée du FN, ces milliers de signataires ont apposé leur nom, profession, adresse, au bas d’un texte réclamant « de dissoudre le Front national, cette ligue dont le but politique est de faire disparaître la République ». Adressé au président de la République et au ministre de l’Intérieur, la pétition est précédée des articles 1, 2, 4, 6 et 7 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (elle constitue le préambule de la Constitution), avec lesquels « le Front national est en contradiction flagrante ».

    Fin juin 1995, Cabu dessine, à la une de Charlie Hebdo, Jean-Marie Le Pen menottes aux mains entre deux policiers. En titre: « Que faire contre le Front national? L’interdire ! »

     
  • Fontenay-aux-Roses : un joggeur grièvement blessé par balles - Une étrange tentative de meurtre

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    Parc de Sceaux (Hauts-de-Seine)

    V.M. | 08 Janv. 2015, 16h34 | MAJ : 08 Janv. 2015, 21h00

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    Un homme a tiré sur un joggeur mercredi soir à Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine). Le sportif était entre la vie et la mort ce jeudi soir alors que dans un premier temps ses blessures paraissaient peu graves. Comme il en a l'habitude, cet homme de 32 ans a stationné sa voiture à Verrières (Essonne) avant d'aller courir sur la promenade de la coulée verte non loin du Parc de Sceaux.

    Vers 20 h 30, il a croisé un homme qui l'a poursuivi avant de lui tirer dessus à trois reprises. Les projectiles, des balles de 9 mm, l'ont atteint à deux reprises à une jambe et une troisième fois en haut du dos. Malgré les balles reçues, la victime a pu atteindre un pavillon voisin situé à quelques dizaines de mètres. Son occupante a appelé la police. Quand les forces de l’ordre et les sapeurs-pompiers sont arrivés sur place, l’homme était toujours conscient. Il a pu indiquer que son agresseur a tiré à l'arme de poing, qu'il était vêtu d'une doudoune noire à col de fourrure, rabattu sur la capuche. L'homme l'aurait agressé sans raison apparente et a pris la fuite en direction de Sceaux.  Le Service départemental de la police judiciaire (SDPJ 92) est chargé d’enquêter sur cette étrange tentative de meurtre.

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    Le Parisien



     

  • QUI SONT LES 450 MIGRANTS DU CARGO ARRAISONNÉ EN ITALIE ?

     
     
     

    Un nouveau cargo, avec 450 réfugiés à son bord a été arraisonné par les autorités italiennes. C’est le troisième cargo cette semaine.

    Tout le monde connait l’histoire du cheval de Troie. Du moins le pensais-je.

    Les cargos qui accostent ces jours-ci sur les côtes européennes chargés de centaines de « réfugiés » musulmans (près de 2 000 la semaine dernière) sous le regard attendri des responsables européens me font douter.

    Le cheval de Troie fut l’épisode final de la guerre de Troie.

    Ne pouvant rentrer anonymement en Europe après avoir combattu auprès de l’Etat islamique, des guerriers grecs musulmans furent déguisés en réfugiés et cachés dans de grand chevaux de bois voguant sur la Méditerranée. Arrivés sur les cotes italiennes, ils furent accueillis comme un cadeau des dieux : ils offraient une nouvelle occasion aux Européens de réparer leurs abjects crimes coloniaux en ouvrant les bras aux défavorisés. Cette ruse entraîna la chute de l’Europe.

    Qui sont les plus persécutés, en Syrie et en Irak ?

    Ce sont les Chrétiens, les Yezidis, les femmes, les vieillards, les enfants.

    Y a-t-il des Chrétiens, dans les cargo qui « s’échouent » sur les cotes italiennes ? Pas vraiment. Il y a essentiellement des musulmans. Des enfants, des vieillards, des femmes ? Pas beaucoup, presque pas. La grande majorité, ce sont des hommes seuls. Calais en est le témoin. Leurs parents et grands-parents, leurs familles, enfants, femmes, ne sont-ils pas en plus grand danger qu’eux ?

    L’ONU parle d’un million d’enfants n’ayant pas même une couverture à se mettre sur le dos pour affronter l’hiver tandis que des « passeurs » auraient 2 ou 3 millions de dollars pour acheter des cargos et les abandonner ensuite, comme dernièrement ?

    Et ils seraient maintenant devenus marins, capitaines, mécaniciens, ils auraient appris à faire naviguer les cargos qu’ils abandonnent ensuite ?

    Les « réfugiés » – les reportages se succèdent pour décrire leurs terribles conditions de vie, ont tout perdu. Ils ont à peine de quoi se nourrir. La moitié des 22 millions de Syriens tient avec moins de deux dollars par jour depuis deux ans, et ils auraient 3 000 dollars pour payer les passeurs ? Et si quelqu’un finançait plutôt le voyage de djihadistes déguisés en réfugiés ?

    N’y a-t-il aucun pays musulmans où ces « réfugiés » pourraient trouver un abri ?

    49 pays musulmans, la plupart sous habités, dont certains si riches qu’ils s’offrent des entreprises européennes prestigieuses, ne veulent pas les accueillir ? Alors que l’islam est une religion charitable qui fait le bien et apporte la lumière au monde ? Pourquoi se « réfugier » en Europe où leur mode de vie, leur culture, la pratique de leur religion sont si menacés, l’environnement si hostile, si islamophobe que l’UE préoccupée envisage de promulguer des lois pour les protéger, alors qu’ils seraient si bien en terre d’islam ?

    Posons le problème à l’envers.

    L’Etat islamique a d’énormes ressources financières, des banques, des puits de pétrole. Pour quelle raison se priveraient-ils d’affréter des chevaux de Troie, et faire embarquer quelques milliers d’islamistes qui attendront patiemment les ordres, une fois sur le sol européen ?

    N’attendons pas que les médias mènent l’enquête, ils ne sont plus là pour ça. Leur fonction consiste à faire avaler la pilule à une population européenne abandonnée. Quand aux instances européennes, demander une commission d’enquête serait évidemment discriminatoire et raciste.

    Jean-Patrick Grumberg

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