L'Eglise catholique s'associera jeudi à la journée de deuil national en hommage aux victimes de l'attentat dans les locaux de l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo et fera sonner le glas de la cathédrale Notre-Dame à midi, a annoncé le diocèse de Paris. "La messe qui suivra cela célébrée en pensant aux victimes et à leurs familles", ajoute l'évêché dans un communiqué.
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Les douze victimes de l'attentat
Un des suspects s'est rendu à la police
Le plus jeune des trois hommes recherchés s'est rendu mercredi soir au commissariat de Charleville-Mézières dans les Ardennes et a été placé en garde à vue, indiquent cette nuit des sources proches du dossier.Cet homme, âgé de 18 ans, soupçonné d'avoir aidé les deux tireurs, s'est rendu "vers 23h00 après avoir vu que son nom circulait sur les réseaux sociaux", a expliqué une source proche du dossier. "Il a été interpellé et placé en garde à vue", a confirmé une autre source proche du dossier.
Cette dernière source affirment aussi que "plusieurs gardes à vue" étaient en cours "dans l'entourage" des deux frères recherchés dans cette affaire. -
EN DIRECT- Charlie-Hebdo: le plus jeunes des trois suspects s'est rendu
http://www.bfmtv.com/societe/tirs-a-l-arme-automatique-au-siege-de-charlie-hebdo-a-paris-856180.html
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Charlie-Hebdo et la liberté d'expression anti-chrétienne
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VIDEO - Infos sur la tuerie de "Charlie Hebdo"
Le 18:18 - Attentat : sécurité renforcée en... par LaProvenceRegarder jusqu'au bout pour les déclarations de Hollande et Sarkozy
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Charlie Hebdo : 12 morts (Màj : Said Kouachi, Chérif Kouachi et Hamid Mourad auraient été localisés)
21h29Le Pen (FN), Mélenchon (FG) et Bayrou (MoDem) reçus vendredi à l’Elysée.
Les responsables politiques du Front national, du Front de gauche et du MoDem seront tous les trois reçus vendredi au palais de l’Élysée par François Hollande.
Le chef de l’État doit recevoir par ailleurs Nicolas Sarkozy jeudi à 9h30 et les présidents des deux assemblées, Claude Bartolone (Assemblée nationale) et Gérard Larcher (Sénat) ainsi que les responsables des formations politiques disposant d’un groupe politique au Parlement (PS, PCF, PRG, EELV, UMP, UDI), jeudi à 16 heures.
Màj : Libération revient sur ses informations : Les trois suspects seraient identifiés et localisés mais pas arrêtés
Les trois suspects auraient été interpellés
Les trois suspects ont bien été identifiés. Il s’agit de Saïd K., né en 1980 à Paris, Chérif K., né en 1982 à Paris et Hamyd M., né en 1996. Tous trois sont originaires de Gennevilliers (Hauts-de-Seine). Ils auraient été interpellés mais aucune confirmation officielle n’émane pour l’heure du ministère de l’Intérieur.
Il s’agirait de trois hommes âgés de 18 ans, 32 ans, 34 ans. Les deux trentenaires, de nationalité française, sont des frères nés dans le 10e arrondissement de Paris. Ils se prénomment Saïd et Chérif K.. La nationalité du plus jeune, Hamyd M., SDF, n’était pas connue. Ce dernier était inscrit en Terminale S en 2014 dans un lycée de Charleville-Mézieres dans l’académie de Reims (Champagne-Ardennes). L’Union en Ardennais indiquait en fin d’après-midi que le RAID s’était rendu du côté de Reims.
L’un des assaillants présumés, Chérif K., serait bien connu des services de police. Il avait été jugé en 2005 pour avoir fait partie d’une filière d’envoi de djihadistes en Irak, « la filière irakienne du 19e arrondissement de Paris ». Avec une dizaine d’autres, il aurait, entre 2003 et 2005 incité une dizaine de jeunes à partir combattre en Irak. Il avait été interpellé en 2005 au moment où il s’apprêtait à partir lui-même en Irak. À l’époque, il expliquait à la présidente du tribunal « Plus le départ approchait, plus je voulais revenir en arrière. Mais si je me dégonflais, je risquais de passer pour un lâche », explique à la présidente du tribunal Cherif K.
Selon
#CharlieHebdo Les suspects seraient : Saïd Kouachi (né en 1980) Chérif Kouachi (1982) Hamyd Mourad (1996). -
VIDEO Les terroristes achèvent un policier à terre avant de s'enfuir
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[Communiqué du Bloc Identitaire] “Charlie-Hebdo” : personne ne pourra prétendre lutter contre le djihadisme sans remettre en cause l’immigration massive et l’islamisation
07/01/2015- PARIS (NOVOpress)
Il y avait peu de doutes dès l’origine, il n’y en a désormais plus aucun doute : la rédaction de Charlie-Hebdo a été victime d’une attaque islamiste. Nos premières pensées vont vers toutes les victimes (et notamment les policiers, trop vite oubliés dans les commentaires médiatiques et politiques) et leurs familles.Le défilé de dirigeants politiques appelant les uns après les autres à “l’union nationale” a quelque chose d’odieux. D’odieux car ce sont précisément eux qui sont responsables de la situation terrible dans laquelle est désormais plongée notre pays ! Responsables de l’immigration massive et donc de l’islamisation en découlant, responsables de la passivité et même parfois de la complicité avec les associations islamistes (au plan local comme national), responsables enfin de la faiblesse de la réponse face à la menace djihadiste. Personne ne pourra prétendre lutter contre le djihadisme sans remettre en cause l’immigration massive et l’islamisation de notre pays. Pour cela, ce n’est pas d’union nationale derrière ces dirigeants qui ont failli mille fois dont nous avons besoin mais d’un sursaut national les chassant du pouvoir !
Dans un récent entretien avec la revue littéraire américaine “Paris Review”, Michel Houellebecq – auquel nous avons adressé une lettre ouverte hier pour son dernier ouvrage – s’interrogeait : « En fait, on ne sait pas bien de quoi on a peur, si c’est des identitaires ou des musulmans. » Il semble bien que les dramatiques événements de ce jour lui aient apporté une réponse.
Le Bureau politique du Bloc Identitaire
Publié le 7 janvier 2015 - Modifié le 7 janvier 2015 -
Déclaration de Marine Le Pen suite aux attentats de Charlie-Hebdo
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Attaque de Charlie Hebdo : au moins 12 morts. « Les assaillants ont crié Allahou Akbar – Le Prophète a été vengé ». Morts de Cabu, Charb et Wolinski.
11h55La traque se poursuit :
D’après les dernières informations, la traque des criminels présumés s’orienterait à Reims et à Pantin. Les trois individus auraient été indentifiés… L’unité du RAID serait sur place.
La traques des criminels présumés – auteurs de l’attentat dans les locaux de Charlies Hebdo – s’orienterait à Reims et à Pantin. L’unité d’élite de la Police serait à Reims. Les services de la Police Judiciaire sont également sur place. D’après les informations de L’union, les trois individus auraient identifiés et l’un deux serait Rémois. Des perquisitions seraient en cours à Reims. [...]
Des policiers de la brigade de recherche et d’intervention (BRI) de la police judiciaire parisienne, ont investi, ce mercredi 7 janvier, deux appartements dans le cadre de l’enquête sur l’attentat terroriste commis quelques heures plus tôt dans les locaux du journal Charlie Hebdo. [...]
Les policiers de l’anti-gang n’auraient procédé à aucune interpellation. Cet appartement aurait pu être une planque pour les terroristes.
Témoin :
«Une voiture noire était arrêtée au milieu de la rue. Deux grands blacks habillés de façon militaire étaient sortis, dont un avec un lance-roquettes. Ils ont sorti un homme de la voiture qui était derrière. Et ils sont montés en disant « vous direz aux médias que c’est Al-Qaïda au Yémen« . J’étais à 5 ou 10 mètres, ils sont repartis et la police est arrivée 5 minutes plus tard»
Témoignage de la dessinatrice Coco, présente lors de l’attentat :
« Ils parlaient parfaitement le français… Se revendiquait d’Al Qaïda. »
« Charlie Hebdo » : un rassemblement de soutien commence à Paris
Hassen Chalghoumi a fait part de sa « colère » à l’égard des « criminels », des « barbares », des « satans » qui ont commis l’attentat.
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Deuil national pour Charlie-Hebdo: drapeaux en berne à l'Elysée
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Liberté d’expression : Quand Charlie Hebdo voulait interdire le FN
17h30Article paru en 1996 (donc il y a près de 20 ans) dans Libération
Les 173 704 signatures de Charlie Hebdo
Le 26 avril, Cavanna, Val et Charb (trois piliers du journal Charlie Hebdo) débarquent en estafette dans une annexe du ministère de l’Intérieur. Dans leur coffre, des cartons remplis de signatures qu’ils apportent à un conseiller de Jean-Louis Debré. En huit mois, 173 704 personnes ont répondu à l’appel « pionnier » de l’hebdomadaire pour demander l’interdiction du Front national. Loin de l’anonymat des sondages ou de la sempiternelle discussion sur la montée du FN, ces milliers de signataires ont apposé leur nom, profession, adresse, au bas d’un texte réclamant « de dissoudre le Front national, cette ligue dont le but politique est de faire disparaître la République ». Adressé au président de la République et au ministre de l’Intérieur, la pétition est précédée des articles 1, 2, 4, 6 et 7 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (elle constitue le préambule de la Constitution), avec lesquels « le Front national est en contradiction flagrante ».
Fin juin 1995, Cabu dessine, à la une de Charlie Hebdo, Jean-Marie Le Pen menottes aux mains entre deux policiers. En titre: « Que faire contre le Front national? L’interdire ! »
Lire la suite sur Libération
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Robert Ménard : « Après trente ans d’immigration galopante, ces choses là sont possibles à Paris et en France»
18h43(…) « Jamais je n’aurais cru vivre cela dans mon pays, jamais je n’aurais cru cela possible. Personne d’ailleurs, il y a encore quelques années, n’aurait pu l’imaginer.
Cela étant, il faut cesser la politique de l’autruche. Les assassins ne sont pas des « fous » ou des « marginaux ».
Ce sont des tueurs islamistes qui veulent imposer la terreur comme leurs congénères de Syrie ou d’Irak. La différence est qu’aujourd’hui, après trente ans d’immigration galopante, ces choses là sont possibles à Paris et en France.
La rédaction de Charlie Hebdo n’a pas été attaquée par des gens adversaires de la liberté de la presse. Elle a été attaquée parce qu’elle avait osé, courageusement, librement, critiquer l’islam.
Si des conséquences politiques ne sont pas tirées de cette tragédie, alors, d’autres viendront. Tout doit être fait pour éviter la libanisation de notre pays. Il est encore temps. »FDS
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Hymne national hongrois
Traduction
Bénis les Hongrois, ô Seigneur,
Fais qu'ils soient heureux et prospères,
Tends vers eux ton bras protecteur
Quand ils affrontent l'adversaire !
Donne à qui fut longtemps broyé,
Des jours paisibles et sans peine ;
Ce peuple a largement payé
Pour les temps passés ou à venir.Aux Carpates, sur Ton conseil,
Nos aïeux osèrent s'étendre.
Quelle belle place au soleil
Tu aidas nos pères à prendre !
Aussi loin que de la Tisza
Et du Danube le flot danse,
Aux fils héroïques d'Arpad,
Tu as prodigué l'abondance...Tu fis onduler, à l'instar
Des mers, les épis dans nos plaines,
Et Tu permis que du nectar
De Tokay, nos coupes soient pleines.
Grâce à toi, nos drapeaux ont pu
Flotter chez le Turc en déroute,
Les murs de Vienne être rompus
Par Matyas et ses noires troupes.Hélas! nos fautes, trop souvent
Ont fait éclater Ta colère,
Et de Tes nuages ardents
Tu as fait jaillir le tonnerre.
Alors ce furent les Mongols,
Leurs dards sifflants et leurs pillages,
Puis le Turc qui sur notre col
Posa le joug de l'esclavage.Que de fois, sur l'amas sanglant
Des cadavres de nos armées,
Par les cris orgueilleux d'Osman
La victoire fut proclamée !
Que de fois, ô patrie, enfin,
Tes propres enfants t'attaquèrent!
Et par leurs crimes, tu devins
L'urne funèbre de leurs frères.Fuir ! Mais d'asile il n'est point
Contre le fer et sa furie.
Dans son propre pays, en vain
Le fuyard cherchait sa patrie.
Il allait par monts et par vaux,
Pour compagnon, douleur et doute,
Pour horizon du sang à flots,
Et des flammes pour clef de voûte.Là, ces ruines furent un fort,
Autrefois y régnait la joie.
A sa place, un râle de mort
Et des plaintes de cœurs qu'on broie.
La liberté ne fleurit point,
Hélas dans le sang des victimes !
Les yeux de l'orphelin sont pleins
Des pleurs de ceux que l'on opprime.Prends pitié du Hongrois, Seigneur !
Si souvent il fut dans les transes !
Tends vers lui un bras protecteur
Dans l'océan de ses souffrances !
Donne à qui fut longtemps broyé
Des jours paisibles et sans peines.
Ce peuple a largement payé
Pour les temps passés ou qui viennent.
Source : Wikipédia -
Marine Le Pen sur France Info
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Florian Philippot chez Bourdin Direct
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Un sanglier nage dans la calanque d'En-Vau: la Gaule est encore là!
Un sanglier nage dans la calanque d'En-Vau par LaProvence2 janvier 2015
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Stéphane Ravier chez les coptes de Marseille qui l'ont invité - 05 01 15
Les coptes ont une petite église à Marseille (15e) où ils peuvent célébrer leurs offices
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Stéphane Ravier en visite aux Baumettes
Mardi 06/01/2015 à 15H33 MarseilleSuite à la polémique suscitée par la revélation d'une page Facebook tenue par des détenus de la prison des Baumettes, Stéphane Ravier, sénateur-maire du 7e secteur de Marseille, s'est rendu en début d'après-midi à la maison d'arrêt. Comme l'y autorise la loi, le parlementaire Front National a entamé une visite vers 14h30.
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Lettre ouverte des Identitaires à Michel Houellebecq : “N’aie pas peur Michel, on est là !”
06/01/2015 – PARIS (NOVOpress)
Monsieur,Demain paraîtra votre livre “Soumission” dans lequel vous avez cru utile de nous citer, et même de faire de nous des acteurs de l’histoire, ou tout du moins de votre histoire.
Qu’est-ce que votre livre ? Nous l’ignorons, à l’instar d’ailleurs des critiques littéraires qui, nous expliquant chacun tout ce qu’il est et tout ce qu’il n’est pas, s’annulent avec une invariabilité mathématique.
Une chose nous apparaît cependant certaine : vous nous connaissez mal. La chose en soi a fort peu d’importance puisqu’elle est réciproque. De vous, nous ne savons au fond que ce que vous voulez bien montrer, au hasard d’une interview. Pour autant, vous conviendrez que se retrouver dans un ouvrage promis à des ventes zemmouriennes et être si mal servi dans sa description, son être et son objet, en chagrinerait de moins délicats que nous.
Écrire, c’est, paraît-il, toujours parler de soi. C’est en tous les cas ce qu’écrivent les gens savants à qui nous empruntons cette réflexion. Aussi, peut-être, à travers nous, ne parlez-vous que de Michel Houellebecq. De ses névroses, de ses freins, de ses limites. Peut-être l’observateur du monde que vous êtes aurait aimé être un militant, c’est-à-dire un faiseur du monde… Là encore, nous l’ignorons.
Mais ce que nous savons, en revanche, c’est que votre livre est une création du réel. Sans l’immigration massive, sans l’islamisation qui en est la conséquence, “Soumission” n’aurait pu voir le jour.
C’est dans ce contexte – que vous nous pardonnerez de qualifier par anticipation d’historique – que votre livre restera peut-être. Non en ce qu’il annonce ou pas, mais en tant que prise de conscience d’un nombre toujours grandissant d’intellectuels, bien après la prise de conscience populaire, de l’invasion subie par l’Europe. C’est sans doute cette prise de conscience que vous décrivez quand, dans un intéressant entretien réalisé pour la revue littéraire américaine Paris Review, vous dîtes avoir été frappé « des énormes changements » constatés en France au retour de votre paisible exil irlandais. Oui la France a changé, à commencer par ses habitants. Ce changement, certains le nomment le Grand Remplacement. Votre livre se situe dans la continuité fictive de cette réalité bien effective.
Dans ce même entretien, vous avez déclaré : « En fait, on ne sait pas bien de quoi on a peur, si c’est des identitaires ou des musulmans. » Sérieusement Michel, vous ne savez pas qui vous fait peur ? Ceux qui font de l’islam une arme politico-religieuse totalitaire, ceux qui méprisent toute notion de liberté individuelle, ceux qui aujourd’hui au nom du Califat rétabli décapitent, ou bien ceux qui face à l’islamisation se font des éveilleurs de peuple, ou pour le dire autrement, en reprenant un terme à la mode, des lanceurs d’alerte ?
Vous, qui déclariez en 2001 : « Dès que l’islam naît, il se signale par sa volonté de soumettre le monde. Sa nature, c’est de soumettre. C’est une religion belliqueuse, intolérante, qui rend les gens malheureux », avez donc titré en toute connaissance de cause votre ouvrage “Soumission” – traduction du mot arabe… « islam ». Vous l’avez intitulé “Soumission”, et pas « Identité » par exemple, car votre livre se situe bien dans l’avenir fictif d’une France et d’une Europe aujourd’hui en cours d’islamisation. Et sans doute, que vous le reconnaissez ou non, est-ce bien cela qui vous fait peur. Vous n’êtes pas le seul d’ailleurs : en janvier 2013, dans un sondage IPSOS, 74% des Français interrogés considéraient que la pratique de l’islam n’était pas compatible avec les valeurs de la société française. Une opinion majoritaire parmi les Français donc, mais aussi chez tous les peuples européens, qu’elle s’exprime dans les urnes ou bien dans la rue, comme nous le voyons actuellement avec les très importantes manifestations anti-islamistes en Allemagne.
Ainsi, cette Europe prête à s’abandonner, à s’offrir, à se soumettre, à l’islam que vous décrivez dans votre ouvrage n’est pas l’Europe réelle. Ni celle du passé, bien sûr, ni celle du présent, contrairement à l’apparence à laquelle vous vous en tenez.
Dans votre entretien toujours, vous avez présenté votre livre comme « une accélération de l’Histoire [...] à mon avis vraisemblable ». Pourtant, l’histoire que vous racontez n’arrivera jamais.
D’abord parce qu’une France dirigée par un président musulman et un mouvement islamiste serait peut-être une république mais de français elle n’aurait plus rien. Ensuite et surtout parce qu’il existe dans ce pays, comme ailleurs en Europe, des mouvements de résistance qui n’accepteront jamais, nous disons bien jamais, en aucune circonstance, de voir l’arrivée au pouvoir d’une religion-idéologie étrangère à l’Europe, étrangère à sa civilisation, étrangère à son histoire. Ces mouvements ne sont pas isolés. Ils sont la conscience active des peuples européens qui, dans leur immense majorité, débarrassés des électrodes médiatiques, ne veulent pas – et n’ont jamais voulu ! – de l’immigration et de l’islamisation.
L’histoire est avare de leçons reproductibles. Mais il est rare que la conjonction d’une minorité agissante et d’une majorité populaire ne débouche pas sur des victoires historiques.
De cela comme du reste, nous serions ravis de discuter avec vous, et sans doute ainsi de vous rassurer sur l’avenir de notre pays, dans les prochains jours.
Le Bureau Politique du Bloc Identitaire
Crédit photo : DR
Publié le 6 janvier 2015 - Modifié le 6 janvier 2015