Qui présentera "l'addition" à MM. Sarkozy, Juppé et BHL ?
Bernard Lugan
le 19/02/2015
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Marine Le Pen, invitée de Renaud Blanc avec LCI par radioclassique
Stéphane Sellami | 19 Févr. 2015, 14h10 | MAJ : 19 Févr. 2015, 16h59
19 février 2015 par CharlotteO - Contre-info.com
Le profanateur du cimetière juif de Sarre-Union s’appelle Pierre, mais pas de bol pour tous ceux qui voyait déjà l’extrême-droite cachée derrière cette profanation surmédiatisée, il est… antifa !
C’est Le Monde qui nous l’apprend dans son édition du jour :
» (…) A Sarre-Union, 3 000 habitants, tout le monde se connaît. Et personne ne comprend. Gaëtan Wilsius, élève de 1re L au lycée Georges Imbert, a organisé dans la ville une marche silencieuse « de solidarité et d’indignation » qui a rassemblé dans la ville des centaines de lycéens, mardi. Sur les cinq suspects, il en connaît quatre. Ils étaient tous ensemble au collège Pierre-Claude de Sarre-Union, deux d’entre eux sont comme lui au lycée situé juste à côté. Il a beau chercher des signes distinctifs, il n’en trouve pas. Sauf peut-être qu’ils étaient « fans de metal », et « se tenaient un peu à part à cause de ce centre d’intérêt ».
Pierre, précise Gaëtan, « c’était la personne juste un tout petit peu bizarre parmi des gens normaux. Mais rien de méchant. »
Les cinq mineurs n’ont aucun antécédent judiciaire. La justice ne leur connaît pas « de convictions idéologiques qui pourraient expliquer leur comportement » note le procureur. Ils sont issus de « familles bien », qui « ne posent pas de problèmes particuliers et ne sont pas dans le besoin », affirme-t-on à la mairie de Sarre-Union. L’un est le fils d’une institutrice, l’autre le petit-fils d’un proviseur.
Tous sont « calmes, discrets, pas bagarreurs, n’ont rien de spécial », disent leurs camarades. Quatre sur les cinq habitent Sarre-Union, trois y sont scolarisés dans l’unique lycée. Les élèves de catégorie socio-professionnelle (CSP) favorisée y sont légèrement en dessous de la moyenne académique, les CSP défavorisés sont légèrement au-dessus, mais le taux de réussite au bac se situe entre 90 % et 100 %. « Un établissement sans problèmes particuliers », assure Jacques-Pierre Gougeon, recteur de l’Académie de Strasbourg. »
Pierre B. avait un ennemi déclaré : « le fascisme ». Il portait des slogans antifascistes sur ses vêtements.
« On ne parlait pas politique mais si on évoquait le Front national, il se mettait sur ses deux pattes arrière et se mettait à grogner, raconte Gaëtan. Il prétendait se battre contre le fascisme et était très remonté contre la police. Il traitait les policiers et les militaires de fascistes, avec une hargne qui me mettait mal à l’aise » raconte un des lycéens de Sarre-Union.
En 2014
Vincent Reynouard perd ses deux emplois à cause... par cdmanon
Vincent Reynouard revient sur les conséquences de sa condamnation du 11 février, au premier rang desquelles figure la perte de ses deux emplois d’enseignant, dont celui d’enseignant à distance pour la société de soutien scolaire Acadomia, et lance un appel aux dons pour l’aider à continuer son travail.
Vous pouvez aider Vincent Reynouard en faisant un don directement sur son compte :
Titulaire : Vincent Reynouard
Banque : Socram
Pour un virement de France à France :
IBAN : FR76 1228 0000 0304 2703 0132 822
Code banque : 12280
Code guichet : 00003
Numéro de compte : 04270301328
Clé RIB : 22
Vous pouvez également envoyer de l’argent sous enveloppe à l’adresse suivante :
Siegfried Verbeke
Italiëlei, 203B
B-2000 ANTWERPEN (Belgique)
Ou alors l’envoyer à Vincent Reynouard par Western Union.
E&R
19/02/2015 – PARIS (NOVOpress)
Le quotidien Présent a fait un numéro spécial Hors Série pour les élections départementales de mars prochain.
De nombreuses interviews y figurent : Paul-Marie Couteaux, Marion Maréchal-Le Pen, Bruno Gollnisch, Jacques Bompard, Fabrice Robert, Alain Escada, Nicolas Bay, Carl Lang, Jacques Trémolet de Villers, l’abbé de Tanouarn, etc.
Nous reproduisons ci-dessous l’interview de Fabrice Robert.
Présent : Assises de la Remigration, Observatoire du Grand Remplacement (avec Renaud Camus) : le Bloc identitaire est à la pointe du combat pour la reconquête de notre sol. Son président Fabrice Robert nous explique le rôle qu’entendent jouer les Identitaires lors des départementales.
– Présent : Sachant que les compétences des conseillers départementaux sont assez restreintes, quelle importance accordez-vous aux élections départementales de mars prochain ?
- Fabrice Robert : Le département reste, qu’on le veuille ou non, un segment administratif de proximité auquel les électeurs sont attachés, et auxquels certains (cela dépend aussi des départements) se reconnaissent même en partie sur le plan identitaire.
Les conseils départementaux bénéficient quand même de compétences, et donc de budgets, importants par exemple dans le domaine de l’aide sociale, de la politique culturelle, ou encore de l’aide aux associations. Autant de domaines où il y a beaucoup à dire, et encore plus à faire… voire parfois à défaire !
Au-delà des compétences, et même des élections départementales en elles-mêmes, il est évident qu’il s’agira d’un rendez-vous politique d’ampleur nationale, et que ce sont aussi les résultats globaux qui seront observés, et particulièrement ceux du camp patriote très largement rassemblé au sein, ou aux côtés du FN-RBM.
– Présent : Vous insistez beaucoup sur l’implantation locale mais ne présenterez pas de candidat sous l’étiquette du Bloc Identitaire lors de ce rendez-vous électoral. Pouvez-vous nous en donner les raisons ?
- Fabrice Robert (ci-contre avec Renaud Camus) : Si lors des élections cantonales 2011, nous avions présenté une vingtaine de candidats, nous avons acté depuis notre Convention Identitaire en septembre 2012 la volonté de revenir à une logique de complémentarité, et non de concurrence, avec le Front National. Conscient que, même si le FN n’est pas un parti identitaire, les motivations de ses électeurs sont en premier lieu les questions identitaires.
Il n’est pas de notre rôle de freiner le FN dans cette mission que lui confèrent les électeurs français, mais plutôt de l’accompagner.
Ce qui n’empêche pas la critique quand elle est nécessaire, ce qui – bien au contraire même – n’oblitère pas nos différences ou divergences sur certains sujets. Sur le terrain activiste, sur le terrain intellectuel et culturel, à travers nos différentes structures et initiatives, nous entendons aujourd’hui travailler à la fois à côté mais aux côtés du Front National.
– Vous défendez la construction d’une France fédérale, reconnaissant aux régions leurs particularismes. Cela ne vous parait-il pas dangereux au moment où Bruxelles encourage justement le régionalisme dans le but d’accélérer l’éclatement des nations ?
- Nous défendons simplement une France respectueuse de ses identités et libertés locales, c’est-à-dire une France renouant simplement avec ses racines.
La question de l’organisation territoriale est un peu plus complexe qu’un slogan ou une formule, mais disons pour résumer que le centralisme, et le jacobinisme (qui dépasse idéologiquement la simple question du centralisme administratif) ne nous semblent pas vraiment avoir eu un impact positif sur notre nation. Nous ne dissocions pas pour notre part patrie charnelle, nation historique, et civilisation, ou pour le dire autrement nous ne considérons pas régions, nations et Europe (Europe, pas Union Européenne!) comme antagonistes mais au contraire comme complémentaires.
Je ne crois pas vraiment que Bruxelles encourage les identités régionales, cela me semble relever plus de la théorie que du concret. Et si vous évoquez par là la réforme territoriale mise en œuvre en France par les socialistes, il ne vous aura pas échappé qu’elle n’a pas grand chose à voir (à de rares exceptions comme la Normandie) avec les identités provinciales historiques de notre pays.
Je constate d’ailleurs qu’en Alsace par exemple ce projet (créant une « région » administrative artificielle fusionnant Alsace, Lorraine et Champagne-Ardennes) est combattu à la fois par des patriotes du FN, des régionalistes pur sucre, ou des patriotes identitaires. La réalité est que ce que veulent les mondialistes de Bruxelles, comme ceux de Paris d’ailleurs, c’est simplement l’effacement de nos identités profondes.
Et pour ce qui est de l’éclatement des nations, et de la France au premier plan, il y a bien plus à redouter du multiculturalisme – à travers l’immigration massive et l’islamisation-, qui est en train d’entraîner notre pays vers une forme de guerre civile larvée.
Propos recueillis par Franck Delétraz
A voir absolument !
(Sous-titres français)
À l’occasion des bouleversements que vient de subir Copenhague, et des recherches s’ensuivant, on a retrouvé quelques paragraphes d’un conte inédit de Christian Andersen, dont nous livrons à nos lecteurs la primeur.
À l’occasion des bouleversements que vient de subir Copenhague, et des recherches s’ensuivant, on a retrouvé quelques paragraphes d’un conte inédit de Christian Andersen, dont nous livrons à nos lecteurs la primeur. Il faut espérer que son dénouement remontera bientôt à la surface.
Au bout d’un continent, sur une péninsule aux contours chantournés, s’étendait un vaste empire, Ørop, que l’histoire avait cruellement éprouvé. Elle avait fomenté sur son territoire, deux ou trois générations plus tôt, des crimes tellement épouvantables, infligé de telles souffrances et de si terribles destructions à ses peuples, qu’il avait décidé de la quitter, de sortir d’elle, de faire comme si elle n’avait plus cours.
Le consensus était que rien n’arrivait : rien qui relevât en tout cas de la grande politique, des annales des peuples, du destin des empires. Comme sujet de conversation et de débat l’économie était tolérée, et même encouragée, en guise de récit de substitution. Pour le reste, c’était à qui se tairait le mieux, fût-ce en prononçant de grands discours. Voulût-on faire carrière en politique, ou dans la presse, il fallait adopter pour devise : Je dirais même moins. Et quelque charge qu’on briguât dans Ørop, il fallait offrir la garantie qu’on ne verrait rien, qu’on n’entendrait rien et surtout qu’on ne dirait rien. Si quelque chose se faisait entendre néanmoins, les ambitieux et les prudents étaient jugés sur leur capacité à traduire ce bruit en néant, en colonnes de chiffres, en alibis tarabiscotés. Les malheureux qui ne maîtrisaient pas cet art, et qui disaient comme ils pouvaient que l’empire sombrait, que son territoire était envahi, que son peuple était remplacé par d’autres, ceux-là étaient traînés dans la boue et devant les tribunaux, persécutés, exclus de la communauté impériale.
L’ennui pour ce vaste empire, qui avait été riche et puissant, c’est que le reste du monde, lui, n’ayant pas les mêmes raisons de sortir de l’histoire, n’avait pas la moindre intention de le faire ; et trouvait bien ridicule qu’il le fît, s’étant délibérément ôté tout moyen juridique et militaire de protéger ses frontières, puisqu’il avait décidé que rien n’arrivait, ni ne pouvait arriver.
Or, l’histoire vomit la dérobade, le défaut : surtout lorsqu’elle pressent qu’ils sont organisés contre elle. Cet empire, donc, était bel et bien envahi. Les autres nations et les autres peuples auraient jugé trop bête de ne le conquérir point, puisqu’il les y invitait par son absence à lui-même.
L’invasion revêtait deux formes — ou plutôt trois.
La première était tout à fait placide : les envahisseurs se contentant d’être là, de plus en plus nombreux, comme des corbeaux attendent en rangs serrés la fin d’une bataille.
La deuxième était plus classique : pour imposer sa loi elle procédait par le meurtre, la terreur et l’assassinat.
Quant à la troisième, c’était une combinaison des deux autres : sorte de sas intermédiaire, une délinquance aux mille visages, civile, mais qui servait d’école d’apprentissage à la conquête par le fer et le feu.
Pourtant l’empire s’obstinait : il n’arrivait rien, il n’arrivait rien, il n’arrivait rien. Si néanmoins le sang coulait avec trop d’abondance pour n’être tout à fait pas vu, les citoyens descendaient en masse dans la rue pour réclamer plus de la même chose, ce changement de peuple qu’ils nommaient comiquement vivre ensemble. Pas d’amalgame !, criaient-ils, c’est-à-dire : Pas de vérité ! Et aussi : À bas les effets ! Vivent les causes !
Or, un jour que le vivre ensemble avait tué plus de monde encore que d’habitude, profané plus d’églises et de synagogues, souillé plus de tombes et rendu la vie impossible a plus d’anciens citoyens de l’empire, il arriva qu’un enfant de cinq ans, que sa faiblesse constitutive avait empêché de suivre à l’école l’enseignement de l’oubli et la pédagogie de l’hébétude, pourtant de règle dans l’empire, s’écria…
Ici s’arrête brutalement le manuscrit retrouvé.
Les services de renseignements italiens ont intercepté suffisamment de preuves téléphoniques pour dévoiler que ISIS menace d’inonder l’Europe de 500.000 migrants embarqués sur des centaines d’embarcations afin de créer une « arme psychologique » contre l’Europe si celle-ci décidait de s’attaquer à la Libye.
Les forces militaires de l’Etat Islamique (ISIS) ont la ferme intention de consolider leurs positions portuaires en Libye mais également de « se mélanger » de façon anonyme aux demandeurs d’asile afin de pouvoir traverser la Méditerranée et d’être accueillis en Europe.
Le journal Il Messagero a écrit « Dès que notre pays a envisagé de vouloir agréger une intervention militaire terrestre en Libye (lire ici), ISIS a de suite prévenu que 500.000 à 700.000 migrants étaient prêts à embarquer sur des centaines de bateaux en direction de l’Europe »
Suite à cette terrible menace le Premier ministre italien Matteo Renzi a de suite fait marche arrière et a dit que ce n’était vraiment pas le bon moment de parler d’intervention militaire.
Le ministre des Affaires étrangères Paolo Gentiloni a quant à lui déclaré ce matin que l’Italie ne voulait pas s’embarquer dans des Croisades en Libye.
L’ancien président Giorgio Napolitano a lui tout simplement déploré que la plus grosse erreur post-Kadhafi commise par l’Occident aura été un manque total d’implication dans la reconstruction du pays.
Traduction FDS résumée du Daily Mail
Sur la petite île italienne de Lampedusa, le centre d’accueil temporaire est débordé par les centaines de migrants arrivés ces derniers jours. Les 1.200 personnes présentes dans le foyer ont dû parcourir des milliers de kilomètres pour arriver en Italie.
Submergée par ce phénomène, l’Italie appelle l’Europe à l’aide : » Nous ne devons pas considérer le problème de l’immigration comme un problème italien seulement. C’est aussi celui de la Grèce, de l’Espagne ou encore la France « , estime Paolo Gentiloni, ministre italien des Affaires étrangères.
FDS
Addendum : Pour Michèle Delaunay, les cimetières catholiques n’existent pas.
L’ancien ministre socialiste est au cœur d’une polémique sur les réseaux sociaux.
En effet, alors qu’un internaute relavait qu’il y a «en France 434 profanations dans les cimetières catholiques par an», la fille de l’ancien préfet et député de la deuxième circonscription de Gironde lui a répondu « qu’il n’y a pas de cimetières catholiques» en France, rajoutant «ce sont des cimetières républicains et non dédiés à une confession» ! .
Selon une étude du journal le Monde du 29 novembre 2011 : «Le nombre de profanation de lieux de culte et de cimetières est passé de 304 en 2008 à 621 en 2010. Les faits concernent majoritairement des lieux chrétiens (308 églises et 214 cimetières en 2010, des chiffres en augmentation de 33 % par rapport à 2009) puis les lieux musulmans (50 mosquées et 7 cimetières, +216%) et les lieux juifs (30 synagogues et 12 cimetières, -36% après une hausse spectaculaire entre 2008 et 2009)».
infos-bordeaux (Merci à Louise Chantilly)
250 tombes saccagées. La profanation du cimetière juif à Sarre-Union (Bas-Rhin) a suscité depuis sa découverte dimanche indignation et émotion. Et ne manque pas de remémorer la profanation du cimetière juif de Carpentras, en 1990, quand un cadavre avait été déterré pour une mise en scène macabre. Deux épisodes hautement médiatisés, à juste titre, mais qui ne doivent pas cacher que les violations de sépultures, même si elles attiraient moins l’attention, n’ont jamais cessé.
Les cimetières chrétiens, bien plus nombreux et compte-tenu d’une implantation plus ancienne, sont davantage profanés que les cimetières juifs et musulmans. On observe cependant une augmentation nette des atteintes aux sépultures juives et musulmanes entre 2009 et 2011.[...]
En chiffre absolus, ce sont les cimetières chrétiens qui sont les plus nombreux à être profanés. Mais les profanations des lieux juifs et musulmans, eux, prennent des caractères racistes et antisémites, ce qui n’est pas forcément le cas des premiers. Depuis 2011, peu de chiffres circulent.
Face à ces profanations, un groupe d’étude sur « la politique de prévention et de lutte contre les profanations dans les lieux du culte et les cimetières » a été créé en 2010. Ce groupe a publié un rapport en 2011. Son président de l’époque, l’ex-député UMP Claude Bodin, se souvient avoir constaté sur le terrain qu’il y avait, en effet, de plus en plus de profanations à caractère raciste et antisémite.
FDS