Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 10

  • Auschwitz, ce camp de redressement: quatre jeunes "anti-Charlie" envoyés à Auschwitz pour repenser leurs opinions

     

    Quatre jeunes "anti-Charlie" envoyés à Auschwitz pour repenser leurs opinions

    C’est la dernière initiative du conseil général des Alpes-Maritimes à l’adresse des scolaires ayant perturbé la minute de silence au lendemain des attentats de début janvier ou manifesté de la solidarité envers les tueurs des journalistes de Charlie Hebdo.

    Signalés pour de telles attitudes, quatre jeunes Azuréens, une fille et trois garçons, viennent de participer au voyage de la mémoire organisé le 10 février par le département. Installés en dernière minute dans l’avion affrété pour la Pologne, ils ont visité en compagnie d’autres collégiens le camp d’extermination d’Auschwitz-Birkenau. « Ils nous ont été proposés par l’Éducation nationale », précise Eric Ciotti, président du conseil général et la commission d’enquête parlementaire sur les filières djihadistes.

     

    Initiative profitable

    « Ils étaient bien sûr volontaires, il ne peut être question en la circonstance de punition. Il s’agissait simplement de leur faire entamer un travail pédagogique, de les aider à mesurer la gravité de leurs propos ou de leurs comportements antérieurs. » L’expérience se serait révélée profitable. « À l’origine de l’incident le plus sérieux, la jeune fille a pris la mesure de ce qu’on souhaitait lui montrer », avance une accompagnante. « Lors de la minute de silence, cette élève de quatrième avait crié “Allah Akbar”. »

    L’initiative devrait être renouvelée lors du dernier voyage 2015 de la mémoire, prévu le 12 mai.

    Pourquoi ne pas l’étendre à d’autres départements ou collectivités organisant des visites d’Auschwitz ? En ce sens, Éric Ciotti a écrit hier à la ministre de l’Éducation nationale, Najat Vallaud Belkacem. « Ce pourrait être », lui suggère-t-il, « une alternative à des sanctions disciplinaires ». « Pour ces perturbateurs, parfois en danger dans leur milieu familial, ce serait dans tous les cas l’occasion de toucher du doigt l’absurdité des résultats d’un génocide, de voir où mène l’embrigadement massif des consciences. »

    E&R

  • EN DIRECT - Fusillade à Copenhague: deux assaillants recherchés, un signalement donné

    4533959_cop112-079592-01-02_625x390.jpg

    http://www.leparisien.fr/international/en-direct-fusillade-a-copenhague-paris-condamne-une-attaque-terroriste-14-02-2015-4533959.php

  • Danemark : fusillade lors d’un débat sur l’islamisme avec l’ambassadeur de France (Màj : 1 mort – 3 blessés)

    17h17

    Addendum : Fusillade mortelle à Copenhague : Paris condamne l’ »attaque terroriste »

    Des dizaines de coups de feu ont été tirés samedi après-midi à Copenhague contre un bâtiment qui accueillait un débat sur l’islamisme et la liberté d’expression auquel participaient l’auteur des caricatures de Mahomet et l’ambassadeur de France, blessant trois policiers qui tentaient de protéger les lieux. Alors que le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius « condamne avec la plus grande fermeté [...] l’attaque terroriste qui a visé une réunion publique à Copenhague » et a fait un mort selon les médias danois, l’Élysée annonce que le ministre français de l’Intérieur Bernard Cazeneuve va se rendre sur les lieux de la fusillade. (…)

    Source


    Des dizaines de tirs ont été entendus samedi à l’extérieur d’un bâtiment de Copenhague qui accueillait un débat sur l’islamisme et la liberté d’expression, auquel participait l’ambassadeur de France, ont annoncé les médias danois.
    L’ambassadeur François Zimeray a indiqué sur Twitter qu’il était «indemne».

    Un policier a quant à lui été blessé dans la rue en tentant de protéger les lieux, selon les médias danois, citant des témoins de la scène. Toujours selon les médias locaux, l’auteur des caricatures de Mahomet Lars Vilk participait au débat.

    Source

    FDS

  • L'avocat de Nafissatou Diallo sur DSK: "Vu son physique, il est risible de vouloir faire croire qu'il ne savait pas que c'étaient des prostituées"

    Douglas Wigdor, un des deux avocats de Nafissatou Diallo

  • La divine surprise de la vente de nos avions Rafale

    Rafale-1456x648.jpg

    Vendre deux vaisseaux de guerre aux Russes, c’est mal. Mais faire de même d’une armada aérienne aux Égyptiens, c’est bien.

    Journaliste, écrivain
    742
    SHARES
     
     

    Miracle ! La France arrive enfin à vendre ses avions Rafale, cet avion le plus « presque » mieux vendu au monde, pour reprendre l’assez joli titre de Libération du 12 février dernier.

    Ce sont donc – pour une fois l’affaire serait officiellement confirmée par l’Élysée – 24 de ces précieux bijoux du savoir-faire aéronautique français qui seraient achetés par l’Égypte, sans oublier une « frégate multimission ».

    Et voilà qui amène plusieurs questions :

    Vendre deux vaisseaux de guerre aux Russes, c’est mal. Mais faire de même d’une armada aérienne aux Égyptiens, c’est bien. Le motif ? La Russie serait un pays menaçant et Vladimir n’aurait rien d’un véritable démocrate. Tout le contraire de l’Égypte, pays n’ayant cessé de mettre ses divers opposants en prison. Le goulag est tombé à Moscou ; manifestement pas au Caire, siège d’un gouvernement parvenu au pouvoir par le putsch du maréchal al-Sissi, ayant encabané Mohamed Morsi, président démocratiquement élu, ainsi que plusieurs de ses militants et soutiens, actuellement promis à la peine de mort.

    Serge Dassault, patron du Figaro, qui n’a cessé de donner des leçons de libéralisme aux divers gouvernements français, est tout de même bien content de vivre des commandes d’État – jusqu’alors, seule l’armée française lui achetait ses zincs. Car s’il a fini par refourguer ces derniers, c’est bien parce que cette puissance d’État lui a fourni un sacré coup de main diplomatique.

    Pourquoi, depuis quinze ans, le Rafale ne se vend pas ? Trop cher ? Plus cher que la concurrence, quoi qu’il en soit. Mais terriblement efficace. La première raison est des plus pragmatiques : un tel avion n’est utile que pour des nations risquant de véritables conflits. Ce qui explique que des pays tels que la Hollande, la Suisse ou le Brésil aient préféré son équivalent « discount » suédois, le Gripen. Certes demeure l’espoir indien, mais ces derniers exigent des transferts de technologie que la France ne peut décemment accepter.

    Pour d’autres débouchés potentiels de pays désirant acquérir un avion digne de ce nom, parce que devant faire face à de véritables menaces – Corée du Sud, Singapour et Arabie saoudite –, la puissante machine américaine a joué : rien pour les Français. Un seul exemple, relaté par le quotidien 20 minutes : « Les USA avaient fait savoir à Séoul (Corée du Sud) qu’ils considéreraient un achat en France comme une trahison. Séoul n’a pas pris le risque de déplaire à Washington, qui équipe et entraîne son armée en assurant une présence de 37.000 soldats sur son sol. » CQFD : les occupant auront toujours raison sur les occupés.

    Dernière question : qui paiera une facture estimée à cinq milliards d’euros ? L’Égypte n’en a évidemment pas les moyens ; c’est donc l’Arabie saoudite qui règlera la petite note. Logique : Riyad, qui, il y a peu, finançait encore les salafistes égyptiens – et le Qatar, les Frères musulmans locaux, mouvement dont Mohamed Morsi était chef de file –, change son fusil d’épaule, appuyant désormais, comble du comble, le néo-nassérien maréchal al-Sissi.

    Le but manifeste de ce retournement d’alliances ? En finir avec Daech et ses affidés, qu’ils soient d’Al-Qaïda ou pas. Faire la paix entre Riyad et Téhéran, voire même la Jordanie : à Amman, on n’a que modérément apprécié qu’un de leurs pilotes ait été brûlé vif, avant diffusion de la vidéo sur les réseaux sociaux. De son côté, la Turquie joue le jeu, même si le prix à payer est celui d’un bout de Kurdistan à moitié libre. En Afrique subsaharienne, les Français traquent sans relâche cet islamisme de combat devenu fou, puisque ne poursuivant aucun objectif politique tangible. Plus au nord et plus à l’ouest, ce qui demeure du monde arabo-musulman se charge d’encercler des milices devenues incontrôlables, même pour ceux qui les finançaient naguère. L’Amérique, elle, aide en coulisses, avec la complicité tacite de la Russie.

    Et la place de la France sur ce grand échiquier ? Il est à déplorer qu’elle ne se limite au rang de simple fournisseur.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Julie Gayet n’est pas première dame de France et pourtant, elle est encadrée par des gardes de l’Etat payés par nos impôts !

     

    Le magazine people Closer a publié des photos montrant l’actrice Julie Gayet entourée de deux fonctionnaires dans un véhicule officiel, lors d’un voyage privé à Rennes au début du mois de janvier. « Ce garde du corps on sait qu’il a des liens privilégiés avec le président. Elle est traitée du moins protégée comme une première dame sans en avoir l’existence et le statut », indique Laurence Pieau, directrice de la rédaction de Closer. L’entourage du chef de l’Etat n’a pas souhaité faire de commentaire.

    NDF

    Rappel: Il n'y a pas de statut de "première dame" inscrit dans la Constitution française

  • Quel pays de cons!

    Date: Fri, 13 Feb 2015 13:15:36 +0100
    Subject: Quel pays de cons !
    From: regisdemol@gmail.com

    To:

     
    Merci à Martine .

    !cid_9798EB15107D4486A01DA3FDCD3C83B5@sony.jpg


                             

     

     

    L'histoire funeste des trois tueurs (extrait d'un article cosigné par Emilie Lanez, Aziz Zemouri) ...le réseau des Buttes-chaumont fonctionne à plein. Les départs se succèdent, les apprentis soldats sont discrets, ils racontent vaguement vouloir perfectionner leur arabe. Parvenus en Syrie, ils sont endoctrinés dans des écoles coraniques salutistes, puis passent la frontière vers Bagdad. En deux ans, le réseau s'enorgueillit de quelques martyrs, dont le souvenir embrase le coeur des Parisiens : trois hommes tués en Irak, deux détenus par l'armée américaines, un en prison en Syrie.

    Mohamed el-Ayouni est quant à lui blessé à Falloujah.
    Amputé d'un tiers du bras gauche, il perd la vue de son oeil gauche. Il rentre en France. 

    Et là,  stupeur !  Il demande une allocation adulte handicapé, et l'obtient des services sociaux.

     

    Il faut quand même le faire, pas vrai ?

    Quand on dit que nous sommes la plus C.. des démocraties !

     

     
    Une lectrice, membre de Contribuables Associés, a écrit à Marisol Touraine, ministre de la Santé et des Affaires sociales, pour lui faire part de son indignation : le terroriste islamiste Mohamed el-Ayouni, qui avait perdu son bras et son œil gauches en Irak en 2004, a touché une allocation handicapé à son retour en France.
     
    Ce scandale était révélé par « Le Point » dans son édition du 16 janvier, dans un article intitulé « L'histoire funeste des trois tueurs », qui brossait le portrait du « réseau des Buttes-Chaumont » dont faisaient partie les frères Kouachi et Amedy Coulibaly, les auteurs des récents attentats de « Charlie Hebdo », de Montrouge et du supermarché casher de la Porte de Vincennes à Paris.
    L'article mentionne le cas de Mohamed el-Ayouni, proche de ce réseau.

    Vous pouvez découvrir cette invraisemblable histoire sur notre site Observatoire des Gaspillages.
    L’article du Point peut quant à lui être lu dans son intégralité en cliquant ici ; le passage qui mentionne l’attribution d’une allocation handicapé à Mohamed el-Ayouni est également en ligne, à cette adresse.

    Nous voudrions à présent vous demander d’écrire au ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve. Vous pouvez vous inspirer du courrier que notre membre a adressé à Marisol Touraine, ou de celui que nous vous proposons, et qui élargit la question à l’ensemble des djihadistes et à l’ensemble des prestations sociales. Combien de djihadistes touchent des allocations à leur retour en France ?

    L’adresse électronique du cabinet du ministre de l’Intérieur, l’objet du courriel et le texte suggérés se trouvent ci-dessous.

    ***

     À :  M. Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, sec.dircab@interieur.gouv.fr

    ***

    Objet : Combien de djihadistes touchent-ils des allocations à leur retour ?

    ***

     Texte :

    Monsieur le Ministre,

    Dans l’édition du magazine hebdomadaire Le Point du 16 janvier, j’ai été stupéfait d’apprendre qu’un terroriste islamiste, Mohamed el-Ayouni, qui avait perdu son bras et son œil gauches en Irak en 2004, avait touché des allocations handicapé à son retour en France.

    Je suis d’autant plus abasourdi par cette information que les agissements de ce terroriste étaient connus des services de renseignement français.

    Ainsi, comment un individu identifié comme terroriste a-t-il pu obtenir une allocation handicapé ?

    Et y a-t-il d’autres cas analogues à celui de Mohamed el-Ayouni ? Vos services sont-ils en mesure d’établir une liste de tous les cas similaires à celui-là, et d’agir pour arrêter ce scandale ?

    Vos réponses à ces questions sont importantes, car elles montreront que le gouvernement auquel vous appartenez met ses actes en accord avec ses déclarations de vigilance à l’égard du terrorisme. Il est d’autant plus important d’apporter une réponse satisfaisante aux Français en cette période où les terroristes djihadistes ont démontré qu’ils étaient capables de frapper en plein cœur de Paris.

     Je vous prie d’agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de ma plus haute considération.

     

     
     
  • Il y a 70 ans : l’enfer sur Dresde

     

    La nature parfois démesurée des récentes commémorations de la libération d’Auschwitz n’a pas seulement témoigné de l’entreprise de sacralisation à laquelle peut se livrer un pouvoir en place. Elle a aussi illustré le traitement mémoriel profondément inégal des horreurs de la Seconde Guerre mondiale, et prouvé une fois de plus que ce sont les vainqueurs qui décident, pour la postérité, du bien et du mal, de l’essentiel ou du détail... Et qui, au final, écrivent l’histoire.

    Février 1945 : le régime nazi n’a plus que quelques mois à vivre. Malgré l’offensive des Ardennes, ultime baroud d’honneur du IIIème Reich sur le front de l’Ouest, il est évident que la capitulation allemande n’est qu’une question de semaines. Pris en étau entre les armées alliées, ce qui reste de la puissante Wehrmacht ne pourra pas contenir les futures offensives soviétiques et anglo-américaines.

    Comme lors de la progression des Alliés en Italie puis en France, l’US Air Force et la Royal Air Force déploient jour et nuit leurs nombreuses escadrilles de bombardiers, censés écraser tout ce qui participe au puissant instrument de guerre allemand, partout où il se trouve, et tant pis si des civils ont le malheur de se trouver dessous.

    Sur le territoire du Reich, il ne fait pas bon habiter près des zones industrielles, des ponts, des nœuds routiers ou ferroviaires ; d’autant que l’aviation alliée ne fait pas dans la dentelle et a pour habitude de répandre généreusement des tonnes de bombes pour s’assurer de la destruction du moindre objectif.

    Cependant, dans Dresde, cité historique, capitale de la Saxe, l’enjeu industriel et militaire est quasi nul. Des milliers de réfugiés qui fuient l’avancée de l’armée Rouge et de soldats blessés, qui sont soignés dans 25 hôpitaux, s’y entassent. La ville est passée de 630 000 habitants à plus d’un million.

    La Flak (DCA allemande) n’est que peu présente. La proie est sans défense, le crime n’en sera que plus odieux.

    Au cours de la nuit du 13 février, les bombardiers anglais Lancaster sont sur la ville : une première vague de 244 d’entre eux larguent 460 000 bombes à fragmentation. Une seconde vague de 529 bombardiers larguent en vingt minutes plus de 180 000 bombes incendiaires au phosphore... C’est une véritable tempête de feu qui souffle la ville, comme le décrit le journaliste et écrivain britannique Phillip Knightley :

    « [...]une tornade artificielle dans laquelle l’air est aspiré vers le centre à une vitesse de plus en plus rapide. À Dresde, des vents approchant la vitesse de 160 km à l’heure emportèrent débris et individus dans un bûcher dont la température excédait 1 000 degrés centigrades. Les flammes dévorèrent tout ce qui était organique, tout ce qui pouvait brûler. Les habitants moururent par milliers, grillés, incinérés ou asphyxiés [1]. »

    Les avions de la RAF ont lâché sur la ville 1 478 tonnes de bombes explosives et 1 182 tonnes de bombes incendiaires.

    Le 14 février, à 10 h du matin, 311 « forteresses volantes » B-17 étasuniennes lâchent 771 tonnes de bombes sur une ville déjà en ruine. Elles sont escortées par 200 chasseurs Mustang mitraillant au sol les colonnes de civils qui tentent de fuir et les secours qui affluent.

    La « Florence allemande » est anéantie sous un total de plus de 750 000 bombes. Brûlant pendant 7 jours, le brasier pourra être aperçu à 160 kilomètres. Les Alliés n’ont perdu que 8 appareils...

     

    88-15-a9234.jpg

     

    Il sera difficile de chiffrer le nombre exact de victimes, car la plupart d’entre elles ont été vaporisés par les bombes incendiaires, et en hâte, afin d’éviter les épidémies, les secours ont entassés et mis le feu aux cadavres trouvés dans les décombres.

    De 250 000 morts pour l’estimation la plus haute à l’indécent 35 000 morts donné par une étude récente, le lecteur se fera une idée par lui-même par un simple ratio : nombres de bombes par nombre d’habitants.

    De Dresde aux bombardements atomiques d’Hiroshima et Nagasaki, puis des largages massifs sur le Nord-Vietnam (7 millions de tonnes, soit deux fois l’ensemble des bombardements alliés sur tous les fronts de la Seconde Guerre mondiale), jusqu’à la mise en place de la doctrine Shock and Awe, « choc et stupeur » pour mettre à mort l’Irak de Saddam Hussein en 2003, les militaires anglo-saxons, non contents d’utiliser leur immense potentiel industriel de mort, auront aussi pour eux l’ultime privilège d’écrire l’Histoire.

    E&R

  • Dieudonné remet la quenelle d’or à Mahmoud Ahmadinejad

     

    Ce mardi 10 février, Dieudonné était en Iran afin de remettre à Mahmoud Ahmadinejad en personne une quenelle d’or pour l’ensemble de son œuvre et fêter son retour en politique, qui agace déjà les ennemis de la paix.

    Dieudonné avait déjà rencontré Mahmoud Ahmadinejad en 2009. Un entretien qui lui avait inspiré un de ses meilleurs spectacles, intitulé Mahmoud.

     

     

    Cette fois ci, le dialogue fut beaucoup moins protocolaire et beaucoup plus chaleureux. Nous avons senti qu’une véritable complicité s’est affirmée entre Dieudonné et Mahmoud Ahmadinejad. Ils se considèrent aujourd’hui comme des amis.

    Taquin, Mahmoud n’avait pas oublié le sucrier, qui figure au premier plan sur la photo ci-dessous, juste à coté de la quenelle d’or.

     

    dieudo-mahmoud-discution-3-1024x683-2da6f.jpg

     

    Au menu de cette rencontre, quenelles, paix, amour, colombes, rameaux d’olivier et coquelicots sous le regard bienveillant des guides de la Révolution.

    De son coté, Mahmoud a tenu à remettre à l’humoriste le vase de la paix, qui sera l’élément central du décor du prochain spectacle de Dieudonné…

    Lire la suite de l’article sur quenelplus.com

     

    E&R

  • Marseille/cité La Castellane : des policiers visés par des tirs de kalachnikov. Les 4 personnes arrêtées remises en liberté sans charge (MàJ)

    22h23

    Addendum 13/02 : La garde à vue des quatre occupants de l’appartement de la cité de La Castellane à Marseille, dans lequel la police a retrouvé lundi sept kalachnikovs, a été levée vendredi, a-t-on appris de source policière.

    Les quatre personnes, arrêtées mardi, ont été remises en liberté sans charge, a indiqué la même source, confirmant une information du site internet de La Provence qui précise que ce sont deux ressortissants albanais et deux Russes. L’enquête se poursuit, a-t-on également précisé.

    Le Point

    FDS

  • Grèce : un couple préhistorique découvert enlacé

    PHO935d8ada-b351-11e4-9968-6ccd5602338b-805x453.jpg

     

    Découvert dans une grotte du Péloponnèse au sud de la Grèce, ce couple, réduit à l'état de squelettes, vivait aux environ de 3 800 avant Jésus Christ.

    13 Févr. 2015, 12h43 | MAJ : 13 Févr. 2015, 13h35

            
     
     
                                                                                                    
                                                        

    Des archéologues ont fait une découverte rare dans une grotte du Péloponnèse, tout au sud de la Grèce. Ils ont mis à jour la sépulture d'un couple vieux de quelque 6 000 ans qui avaient été enterrés enlacés. 

    Aujourd'hui réduit à l'état de squelettes, ce couple vivait aux environ de 3 800 avant Jésus Christ, selon la datation au carbone 14.

     
     

    Sur le même sujet

    Paris : des archéologues en colère rendent l'entrée du Louvre gratuite

    Paris : des archéologues en colère rendent l'entrée du Louvre gratuite

    «Les sépultures doubles avec enlacement sont très rares, et celle de Diros est l'une des plus anciennes sinon la plus ancienne trouvée jusqu'à présent dans le monde» note le ministère grec de la Culture dans un communiqué.

    Une tombe d'enfant également découverte

    Les tests ADN effectués sur ces restes humains ont prouvé qu'il s'agissait bien d'un jeune homme et d'une jeune femme, enterrés parallèlement l'un à l'autre, comme des cuillères.

    Ils n'étaient pas seuls. Les fouilles sur le site, qui se sont achevées l'an dernier, ont aussi permis de découvrir la tombe d'un enfant et celle d'un foetus, ainsi qu'un ossuaire de quatre mètres de large contenant les reste de dizaines de personnes. «Nous pensons avec certitude que ce lieu a servi à y déposer des morts pendant des milliers d'années», a indiqué le ministère dans son communiqué.

    Le Parisien

  • Rober Hanin enterré avec les honneurs à Alger

    http://www.leparisien.fr/loisirs-spectacles/roger-hanin-enterre-avec-les-honneurs-a-alger-13-02-2015-4530883.php

  • 65% des Français considèrent que Taubira est un handicap pour le gouvernement

    4528341_bfec3ddda9d67d2a98d5cf64027f955c5d2af3b7_545x460_autocrop.jpg

    http://www.leparisien.fr/politique/65-des-francais-considerent-taubira-comme-un-handicap-pour-le-gouvernement-13-02-2015-4530953.php

    + INFOGRAPHIES

  • Il y a 70 ans : Dresde, une démonstration d’éthique démocratique

    12 février 2015 par admin4  - Contre-info.com

    Le 13 février 1945, les démocraties anglaise et américaine commencent le plus brutal bombardement de la 2e Guerre mondiale (excepté le Japon).
    7 000 tonnes de bombes incendiaires sont larguées sur la ville de Dresde, joyau architectural, où s’étaient réfugiés de très nombreux civils.

    Des dizaines de milliers d’hommes, femmes, vieillards, enfants (entre 135 000 et 250 000 victimes) meurent, souvent brûlés au phosphore, dans des souffrances terribles.

    La destruction de cette ville ne répondait pas à des objectifs militaires ou économiques mais s’inscrivait dans une logique de terrorisme, hors de toute morale, visant à ébranler le moral des Allemands.

    Civils habitant ou réfugiés à Dresde.

    Dresde, avec Hiroshima et Nagasaki, sont les exemples les plus connus de la barbarie anglo-américaine, mais on ne doit pas oublier les civils volontairement assassinés par de lâches bombardements un peu partout, dont des dizaines de milliers en France (voir Quand les Alliés bombardaient la France).

    Tandis que les USA, toujours flanqués de la Grande-Bretagne, se permettent de donner continuellement des leçons de morale et n’hésitent toujours pas à pratiquer le terrorisme (comme en Serbie il y a peu), la résistance nationale d’outre-Rhin rend chaque année hommage aux morts de Dresde, au cours d’un défilé généralement perturbé par la police.

    Thibaut de Chassey

  • L'Italie face aux filières maritimes d'immigration clandestine

    13/02/2015 – ROME (NOVOpress)
    En 2014, par ces filières, plus de 170.000 clandestins sont arrivés sur les côtes italiennes pour venir coloniser l’Europe, en payant entre 1.000 et 5.500 dollars.

    NdB: Il n'existe, hélas, qu'une seule et unique solution pour décourager ces migrations africaines vers l'Europe-Eldorado. Une solution cruelle mais radicale.  Comment sauver notre continent et sa civilisation?  Avec des canons.

    La Marine israélienne n'a pas hésiter à tirer sur des bateaux humanitaires, hors de ses eaux territoriales.

     

     

  • Peine de mort aux USA : le retour de la chambre à gaz ?

    1825841.jpg

        

    13/02/15 à 11:35 - Mise à jour à 11:40

    Source : Liberation

    Les élus du Sénat d'Oklahoma sont favorables à la réutilisation d'une chambre à gaz pour l'application des peines de mort dans cet État des États-Unis.

    •         

    L'Oklahoma se dirige vers la réutilisation d'une chambre à gaz pour l'application des peines de mort. © Ken Piorkowski, via Flickr

    Mardi, la commission judiciaire du Sénat a adopté à l'unanimité un texte autorisant l'inhalation d'azote sans oxygène comme méthode prioritaire d'exécution. Pour passer, la loi doit encore recevoir l'approbation du Sénat et de la Chambre des représentants dans leur intégralité, avant d'être soumise au vote des deux assemblées.

    Les parlementaires souhaitent anticiper une éventuelle interdiction des injections létales par la Cour suprême des États-Unis, qui a décidé de se pencher sérieusement sur cette problématique "suite à une campagne très importante d'associations et de lobbys la jugeant inhumaine", éclaire Déborah Coeffier, journaliste à Libération.

    L'Oklahoma deviendrait l'unique État américain à recourir prioritairement à un procédé introduit en 1924 puis progressivement abandonné aux USA à partir des années 70. Actuellement, seuls l'Arizona, la Californie, le Missouri et le Wyoming autorisent l'utilisation de la chambre à gaz, mais ne s'en sont plus servis depuis 1999, dans l'Arizona, rapporte Slate.

    Mourir heureux?

    La technique proposée présente toutefois une "nouveauté" : le condamné inhalerait de l'azote pur et non plus du cyanure d'hydrogène, considéré comme un poison. "Cette méthode n'a encore jamais été testée sur des humains, mais est utilisée pour l'euthanasie d'animaux" explique Déborah Coeffier.

    "D'après les scientifiques, ce produit plonge l'individu dans une espèce d'euphorie. Il part alors complètement dans les vapes et meurt, disons, heureux. Mais cette affirmation est évidemment à prendre avec des pincettes."

    La Cour suprême devrait rendre son verdict fin avril. (A.V.)

  • Selon Europe 1, Stéphane Tiki a menti : aucune demande de naturalisation n’est en cours

    sans-titre.png  TIKI.png

     

     

    Stéphane Tiki l’aurait assuré devant la direction de l’UMP : sa demande de naturalisation est en cours. Selon certaines sources à l’intérieur du principal parti d’opposition, en effet, l’ex-leader des Jeunes pop’, qui n’a pas de titre de séjour français, a soutenu avoir demandé la nationalité française il y a un an et demi. Or, selon Europe 1, il y a bien eu une demande… mais il y a six ans. Et surtout, cette demande a été rejetée en 2009, et Stéphane Tiki n’a pas déposé de recours. Depuis, plus rien. Aucune trace au sein de l’administration d’une nouvelle demande de sa part. Le patron des jeunes pop, camerounais, et membre de la « Droite forte » au sein de l’UMP, n’a donc plus le moindre titre de séjour depuis début 2011.

    NDF

  • DSK : une indécence peu commune !

    Ecrit le 12 fév 2015 à 15:38 par Christian Vanneste dans Poing de vue

       
    2

    DSK

    A lire les échos des galipettes sordides de DSK, les mots de stupre et de fornication viennent à l’esprit sur l’air de la chanson de Georges Brassens, » Les Trompettes de la renommée ». Cette chanson date de 1961, au début de la Ve République, trois ans après le retour au pouvoir du général de Gaulle. Son message est assez clair. « Ma vie privée, intime, sexuelle ne regarde que moi. Les journalistes, les « folliculaires » peuvent attendre car, comme dit Brassens, il n’ a « pas de comptes à rendre à l’homme de la rue » à ce sujet pour obtenir « la rançon de la gloire ». Le vocabulaire est riche et savoureux, la musique guillerette et l’esprit libertaire est sainement conservateur à la fois. Sans méchanceté, Brassens traite le curé et la « tapette » avec un manque évident de déférence. A l’époque, son allusion à la calotte chantante a dû déplaire aux catholiques. Aujourd’hui, ce détail serait négligé, mais le « crime pédérastisque »serait jugé homophobe. Rien de plus français que cette chanson gaillarde et truculente, avec une pointe d’élégance dans le choix des mots ! Chanson libertaire, qui envoie paître les médias, c’est aussi une chanson libertine qui évoque les femmes au pluriel, mais où la maîtrise du verbe frôle la grossièreté sans s’y vautrer.

    Le stupre et la fornication de DSK n’ont rien à voir avec la poésie. Parler de libertinage et de fête à leur propos, quand il s’agit peut-être d’une exploitation des fins de mois difficiles par des puissants qui traitent des êtres humains comme des choses sur lesquelles ils puissent exercer leur domination voire leur brutalité, relève de l’hypocrisie et de l’imposture ! La connivence de nombreux médias avec de tels personnages soulève le coeur. M. Galzi, sur I-Télé, insistait pour dire qu’il n’y avait pas de « mal » en matière sexuelle. Autrement dit, tout est permis entre adultes consentants, car il est bon de rappeler, quand même, cette restriction, qui n’est peut-être pas toujours respectée, comme l’avait innocemment révélé Luc Ferry. Mais s’en ajoutent trois autres. La plus importante est liée aux acteurs : dans une démocratie, les élus se doivent d’être exemplaires. D’abord parce que les responsabilités qui leur sont confiées, les moyens qui leur sont donnés pour accomplir leur mission ne doivent pas devenir des privilèges destinés à satisfaire des plaisirs de caste. Ensuite, parce que toute passion anormalement développée, toute addiction met le détenteur de pouvoir à la merci de ceux qui satisfont ses désirs. Dans l’affaire évoquée, c’est la certitude minimale. Il s’agissait, au moins, de se mettre dans les bonnes grâces d’un des hommes les plus puissants du monde. Enfin, parce que l’homme politique doit être cohérent. On ne peut être un homme de gauche prétendument féministe et traiter les femmes comme des objets dans les relations intimes. La seconde restriction est liée à ce point : si ces rencontres ne connaissaient pas de limite, ni de respect du partenaire parce que le rapport était payé, on voit la contradiction entre le discours public de la condamnation de la prostitution voire de ses clients et son usage délibéré et planifié sur un plan personnel, au mépris de la loi. C’est là-dessus que les magistrats auront à se prononcer. DSK est-il coupable de proxénétisme aggravé ? S’il échappe à ce prononcé infamant, il demeurera toutefois à mes yeux avoir ignoré une troisième limite qui n’est pas fixée comme la précédente par la loi, et qui s’appelle la morale, que les médias « bien-pensants » veulent ignorer.

    On entend déjà glousser la basse-cour médiatique, ceux qui dénoncent « l’ordre moral », sans se rendre compte que le désordre immoral est le prélude à toutes les catastrophes sociales. Une société ne peut se contenter de la loi et de la légalité. Elle a besoin d’une décence commune qui dans tous les comportements, même privés, inspire le respect et la confiance. Le dialogue pérenne du commandement et de l’obéissance nécessaire à un Etat en ressent un besoin vital. Sinon, chez les partenaires du contrat social, le doute s’installe que les intérêts privés ne l’emportent sur le Bien Commun à tous les niveaux. La politique se réduit alors à l’obéissance légale sans enthousiasme, mais avec l’espoir que le clientélisme ou le communautarisme permettront d’obtenir des avantages pour les individus ou les groupes. La République ne sera plus qu’une façade. Toutefois, on n’évitera pas qu’une partie de la population ne rejette un système sans âme. Le vide spirituel et le mépris éthique des dirigeants pourra même susciter chez certains l’envie de combattre cette société privée d’idéal et de valeur, et de faire tomber le décor.

    Lorsque les puissants de ce monde ne semblent rien devoir se refuser, lorsque l’on parle de délation populiste quand un journal publie une liste de fraudeurs influents, lorsqu’on confond la défense de la liberté d’expression avec l’apologie de l’obscénité, c’est le ciment de la décence commune qui se craquelle.

    NDF

  • Une Américaine avorte de son bébé parce que c’est un garçon et qu’elle déteste le patriarcat

    12 février 2015 par Pierrot - Contre-info.com

    unnamedVoilà à quoi peut servir le massacre d’enfants, avoir le choix du sexe de son bébé, c’est horrible !

    Une blogueuse américaine a expliqué qu’elle avait avorté de son bébé, car c’était un garçon et qu’elle détestait le patriarcat, rapportent plusieurs médias. La jeune femme se décrit comme une féministe qui s’est battue pour les droits des femmes « au point d’éviter de faire une carrière. »

    « J’étais choquée, j’ai commencé à crier, à pleurer en pensant à la malédiction que j’allais jeter sur le monde »

    Elle a écrit sur son blog qu’en 2012 elle avait découvert qu’elle était enceinte et qu’elle était ravie jusqu’au moment où elle a réalisé que c’était un garçon. « J’étais choquée, j’ai commencé à crier, à pleurer en pensant à la malédiction que j’allais jeter sur le monde. » Elle a également expliqué qu’elle était dans un état lamentable et qu’elle était angoissée comme si elle venait de subir une guerre.

    Elle a également avancé que si le cas se reproduisait elle referait exactement la même chose

     

    Après trois jours passés à pleurer sur l’idée qu’elle allait mettre un « monstre » au monde, elle a décidé d’avorter. La jeune blogueuse a affirmé qu’elle ne détestait pas les hommes, mais le patriarcat, et ce qu’il avait comme effet sur les hommes. Elle a également avancé que si le cas se reproduisait elle referait exactement la même chose.

    Elle a reçu de nombreuses critiques et s’est étonnée de la réaction des gens

    Depuis qu’elle a publié cette histoire sur son blog, la jeune femme a reçu de nombreuses critiques et a perdu beaucoup d’amis et de membres de sa famille. Elle s’est étonnée de la réaction des gens. « Je ne peux pas croire aux emails que j’ai reçus, est-ce qu’il existe vraiment des gens qui veulent me voir morte à cause de ce que j’ai choisi de faire avec mon propre corps ? », a-t-elle écrit.