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  • Le gouvernement hongrois s’attend désormais à l’arrivée de 300.000 clandestins en un an

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    20h58

    Le gouvernement hongrois a dit qu’il s’attendait à ce que jusqu’à 300.000 migrants atteignent le pays cette année. Cela représente près de deux fois son estimation antérieure.

     

    Près de 90 000 migrants sont venus en Hongrie, jusqu’à présent, en 2015. La plupart continuent à affluer sur d’autres parties de l’Union européenne.

    Janos Lazar, chef du bureau du Premier ministre, a déclaré mardi « la Hongrie est devenue l’un des pays les plus exposés à la migration illégale. » Il a déclaré que la clôture, qui est en train d’être installée à la frontière avec la Serbie pour endiguer le flux de migrants , « doit être construite dans la durée la plus courte possible. » Lazar a déclaré que plus de 175 kilomètres (109-mile) de frontière entre la Hongrie et la Serbie seraient protégés par une clôture grillagée creusée de 1,5 mètre (5 pieds) dans le sol et la hausse de 3 mètres (10 pieds) au dessus du sol, surmontée de barbelés à lames .

    Source

    Merci à eleonorebaker

  • Fabrice Luchini: «Un peu de poésie, à l'heure de l'écrasante puissance de la bêtise»

    http://www.lefigaro.fr/vox/culture/2015/07/24/31006-20150724ARTFIG00229-fabrice-luchini-un-peu-de-poesie-a-l-heure-de-l-ecrasante-puissance-de-la-betise.php

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  • Namur : la tombe d'un nourrisson dépouillée à trois reprises

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    • PARTAGES

    Stéphanie s'est rendu récemment dans le cimetière de Namur, en Belgique, pour se recueillir devant la tombe de son bébé, décédé en 2012.

    Mais elle s'est aperçu avec stupeur qu'elle avait encore été dépouillée : c'est la troisième fois !

    À sa grande tristesse, deux décorations avaient été dérobées. L’une d’entre elles a depuis été retrouvée dans un magasin, l’autre, un petit mouton, est toujours disparue.

    Cette mère de famille a lancé un appel à témoins sur les réseaux sociaux pour retrouver la statue. Pas pour ce qu’elle vaut, mais pour ce qu’elle représente au niveau sentimental.

    "Pour moi, ce petit mouton représente beaucoup. C’est quelque chose que nous avons offert à mon fils, qui lui appartient. Mon petit garçon, je ne peux plus lui donner l’affection que je voudrais. Sa tombe est le seul endroit où je peux lui montrer l’amour que je lui porte." a indiqué la maman.

    FAITS DIVERS

    NdB:  Quels sont les salauds qui font ça ?

  • Régionales en PACA : une réunion secrète entre Marion Maréchal-Le Pen et Jean-Marie Le Pen

     

    Jean-Marie Le Pen et sa petite-fille se sont rencontrés jeudi à La Celle-Saint-Cloud pour discuter des régionales de décembre en Paca, où le fondateur du FN pourrait se présenter en dissident.

    Réunion de famille

    Publié le 25 Juillet 2015
     

    Le fondateur du Front national, en froid avec Marine Le Pen, et Marion Maréchal-Le Pen se sont rencontrés pour discuter du sujet des élections régionales en région Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca), où Marion Maréchal a été investie à la place de son grand-père. Ce dernier envisagerait de présenter une liste dissidente.

    "Nous avons eu une conversation relative à la situation en Paca. Ce sont des conversations discrètes" a explique M. Le Pen, interrogé par l'AFP après des révélations de RTL. "La réunion me paraissait incontournable, donc elle s'est faite.

      Espérons qu'elle portera des fruits. Mais elle aurait peut-être dû me rencontrer avant", a-t-il commenté au micro de RTL.

    Le patriarche refuse d'en dire plus sur la discussion ou d'éventuelles tractations entre lui et sa petite-fille. Selon RTL, la députée lui aurait demandé "Vas-tu te présenter contre moi ?". "Pas si tu acceptes de prendre certains de mes proches sur ta liste", lui aurait répondu Jean-Marie Le Pen. Des propos qu'il ne confirme pas à l'AFP : "Je ne demandais rien du tout, j'ai eu une conversation avec Marion Maréchal-Le Pen sur la situation en Paca. Nous avons devisé, échangé des informations, des idées, proposant de nous revoir plus souvent. Nous avons parlé de beaucoup de choses, y compris de la situation en Grèce", a répondu M. Le Pen.

     

    Selon un soutien de la députée FN du Vaucluse le résultat de la rencontre était nul: "Ils n'ont pas topé." 

    M. Le Pen a indiqué lundi qu'il "consultait" au sujet d'une éventuelle candidature aux régionales, surfant ainsi sur une fronde locale d'un certain nombre d'élus frontistes, que ce soit au Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca) ou dans les municipalités. Certains ont d'ailleurs été suspendus du parti. Ils dénoncent le traitement réservé au fondateur du parti et accusent Florian Philippot et Marine Le Pen d'avoir voulu évincer le président d'honneur du FN.

     
     

  • Varsovie: manifestation anti-migrants

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/07/25/97001-20150725FILWWW00124-varsovie-manifestation-anti-migrants.php

  • Au Kenya, Obama prend la défense des homosexuels

    http://www.leparisien.fr/international/kenya-obama-prend-la-defense-des-homosexuels-25-07-2015-4970501.php

     

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  • Tweets de Florian Philippot

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  • Reims : rouée de coups parce qu'elle bronzait en maillot dans un parc

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    25 Juil. 2015, 18h15 | MAJ : 25 Juil. 2015, 18h21

     
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                                                         Une jeune femme qui bronzait en maillot dans un parc de Reims a été rouée de coups par des jeunes filles dont l'une jugeait sa tenue indécente. (PHOTO D'ILLUSTRATION/ LP/Th. MOREL-FORT)

    Mercredi, une jeune femme a été agressée par une bande de filles parce qu'elle prenait un bain de soleil en maillot de bain dans un parc de Reims (Marne). C'est le quotidien L'Union qui raconte ce samedi que mercredi après-midi, la jeune femme profitait du soleil et de la pelouse avec deux amies, dans la tenue que requiert l'exercice du bronzage estival, au parc Léo-Lagrange, en plein centre ville.

     
     



    C'est alors qu'une fille quitte son groupe d'amies pour lui reprocher sa tenue trop légère et son attitude indécente. « Effarée par un tel discours aux relents de police religieuse, raconte l'Union, la jeune femme se rebiffe en rétorquant qu’on n’a pas à lui dicter sa façon de se vêtir ». Le ton monte et tout le groupe se reconstitue pour rouer la baigneuse de coups. Des témoins s'interposent et appellent les secours, qui conduisent la jeune femme au CHU de Reims. Elle en ressortira quelques heures plus tard avec quatre jours d’incapacité totale de travail.

    L’enquête de la brigade de répression des violences a permis d’identifier les cinq filles, originaires de différents quartiers de Reims. Deux sont mineures . La plus jeune, âgée de 16 ans, a fait l’objet d’une convocation devant le délégué du procureur tandis que l'autre, 17 ans, a été placée sous le statut de témoin assisté. Les trois autres âgées de 18, 19 et 24 ans seront jugées le 24 septembre par le tribunal correctionnel.

    Sur Twitter, le député-maire de Reims, Arnaud Robinet (LR), a jugé cette agression «intolérable sur notre territoire».

    LE PARISIEN

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Enfin… Un communiste est condamné pour ses crimes…

    … En Roumanie ! Alexandru Visinescu était l’ex-commandant de la prison de Ramnicu Sarat. Jugé depuis septembre pour crimes contre l’humanité, l’octogénaire a été condamné à vingt ans de prison. Selon l’accusation, il infligeait souffrances et humiliations au moindre manquement à la discipline. Durant le procès, il n’a jamais exprimé de regrets.

  • Le cousin de Michelle Obama...

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  • Les saints, éjectés du calendrier !

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    Depuis quelque temps, France Télévisions, la chaîne publique appartenant entièrement à l’État, c’est-à-dire à tous les Français, payée par la redevance que nous versons « religieusement » chaque année, a décidé d’en finir.

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    L’idée d’affecter un jour de l’année à un saint remonte aux tout premiers temps du christianisme, l’époque des saints Étienne, Nicanor ou Ananie, de sainte Basilisse ou sainte Félicule, et de tant d’autres. Cette tradition, unanimement acceptée partout en Occident, dure encore aujourd’hui. En France, à l’exception d’une interruption de treize ans – de 1793 à 1806 – où les saints ont été remplacés par des outils agricoles, des animaux ou des fruits et légumes, l’année est rythmée par la fête des saints depuis deux mille ans sans que personne, croyant ou pas, bigot ou pas, tradi ou pas, ne s’en soit jamais offusqué.

    Erreur !

    Depuis quelque temps, France Télévisions, la chaîne publique appartenant entièrement à l’État, c’est-à-dire à tous les Français, payée par la redevance que nous versons « religieusement » chaque année, a décidé d’en finir. Désormais, à la fin des bulletins météo, l’éphéméride du lendemain n’indique plus « saint Machin » ou « sainte Truc », mais seulement « Machin » ou « Truc ». Le mot « saint » a disparu, passé à la trappe, vaporisé, éscamoté. Nous avions déjà le « Demain, nous fêtons les… » au lieu de « Demain, c’est la saint… ». Avec la disparition du mot, un pas de plus est franchi.

    Vous me direz : « Cinq lettres, ce n’est pas important ! » Eh bien, si, c’est important. Pourquoi cette élimination ? Pourquoi annihiler d’un trait de plume deux mille ans de tradition ? Qui a pris cette décision ? Delphine Ernotte-Cunci, la patronne de France Télévisions ? Quelle légitimité a-t-elle pour agir ainsi ? Est-elle mandatée par les Français ? Cet acte officiel et brutal de déchristianisation, de désanctuarisation, a-t-il pu être posé sans l’aval du gouvernement ? Qui est complice de cette éradication ? Et, surtout, pour plaire à qui ? Car il y a forcément quelqu’un qui se réjouit de cette suppression. Qui l’a demandée… et obtenue ? Peut-être même que personne n’a rien demandé, mais que, servile et veule, on a devancé les désirs de certains.

    Je suggère, ami lecteur, que, comme je l’ai fait, vous demandiez à votre député de poser une question écrite au gouvernement sur le sujet.

    Et maintenant ?

    De Saint-Abit (Pyrénées-Atlantiques) à Saint-Zacharie (Var), quatre mille deux cent soixante communes de France portent un nom de saint, soit 12 % de toutes les communes du pays. Que va décider monsieur Cazeneuve, pour qui la religion chrétienne a « rendu la France nauséeuse » ? On fait un pas de plus vers le négationnisme en débaptisant nos hameaux et nos villes ?

    J’enrage de voir de toutes petites personnes, qu’on aura complètement oubliées dans quelques années, s’arroger des pouvoirs qui ne leur appartiennent pas. Ernotte-Cunci, Cazeneuve, Pellerin, Belkacem et tous les autres, fichez la paix au peuple de France. Vous n’êtes pas propriétaires du pays, de ses traditions, de son histoire, de ses beautés comme de ses années noires. À massacrer ainsi notre mémoire collective, notre bien commun, vous êtes ridiculement insignifiants en plus d’être nuisibles. En pensant à vous, un autre mot de cinq lettres me vient aux lèvres…

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Épidémie de maisons squattées : et si on supprimait la loi DALO ?

                         

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    S'emparer du bien d'autrui, donc le voler, est devenu un droit accordé par l'État.

     

     

     

      

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    Personne n’a oublié Odette, 84 ans, qui, en 2013, après quelques mois d’absence, a trouvé son domicile occupé par des intrus. Personne n’a oublié Maryvonne, 83 ans, dont la maison squattée a fini par lui être rendue dans un état effrayant.

    Début juillet, à La Réunion, c’est la famille Leperlier qui, au terme d’une procédure judiciaire – qui lui coûtera 5.000 euros contre 500 pour les « indélicats » – finira par récupérer son bien que ces derniers, métropolitains et belges, ont transformé en élevage de chiens.

    Il y a quelques jours, un couple et ses enfants, se rendant en vacance dans leur propriété familiale, dans le Calvados, ont été dans l’impossibilité d’entrer dans les lieux pris d’assaut, peu de temps auparavant, par des individus faisant valoir leur « droit opposable » au logement.

    Et n’oublions pas Denise et Gérard Lemahieu qui, depuis novembre dernier, sont toujours mis hors de chez eux par des individus et leurs chiens, entrés dans les lieux après avoir forcé la grille d’entrée, fracturé les serrures et cassé des carreaux.

    Après avoir donné aux squatteurs – sans succès – un délai de 15 jours pour quitter sa maison, M. Lemahieu a été estomaqué de s’entendre dire au commissariat que sa plainte n’était pas recevable. Les policiers se contenteront de se déplacer constater la véracité de la situation, prendre l’identité des squatteurs et « ça s’est arrêté là », constate-t-il.

    Depuis, Gérard et Denise multiplient les démarches : après la police, ils sont allés à la gendarmerie, à la mairie, à la direction départementale de la cohésion sociale, et même à Emmaüs. En avril, enfin, leur plainte sera enregistrée par le tribunal d’instance d’Amiens, seul représentant de la loi à être habilité à exiger le départ des indésirables. Mais les mois passent et « rien n’avance ». Le couple de retraités est à « deux doigts de péter les plombs ». On les comprend.

    Il faut dire que la loi DALO – portée en son temps par la Républicaine Christine Boutin, et toujours en vigueur sous gouvernement socialiste – donne aux squatteurs les mêmes droits que ceux des locataires après 48 heures d’occupation.

    Squatter, donc s’emparer du bien d’autrui, donc le voler, est devenu un droit accordé par l’État. Et clairement appuyé, facilité par le guide Le Squat de A à Z, manuel du parfait petit antifasciste.

    « Squatter, c’est critiquer un système qui veut que les riches continuent de s’enrichir sur le dos des pauvres. Squatter, c’est être libre et responsable dans son lieu de vie. C’est pouvoir y faire ce que l’on veut sans en référer à un proprio qui de toutes façons n’y vit pas […]. C’est prendre une part de l’interdit, briser la soumission à l’égalité », etc.

    « Les gens à qui on raconte cette histoire peinent à nous croire », témoignait Sabine, la Réunionnaise. Les députés Républicains proposent de créer « un délit d’occupation sans droit ni titre », qui serait passible d’un an de prison et 15.000 euros d’amende… Mais pourquoi ne pas plutôt, on se le demande, supprimer sans délais la loi DALO ?

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Tsipras aurait sollicité Poutine pour aider la Grèce à imprimer des drachmes

     

    Le mystère de l’étonnante capitulation d’Alexis Tsipras au lendemain du référendum est-il en train d’être élucidé ?

    Selon le journal grec To Vima, un média de référence politiquement plutôt à droite, le plan B d’Alexis Tsipras consistait à introduire une nouvelle drachme et à financer l’impression de cette nouvelle monnaie avec l’aide de la Russie.

    Depuis janvier dernier, dès sa nomination, Alexis Tsipras avait tenté de prendre ses distances avec Bruxelles et de se rapprocher de la Russie. L’Allemagne n’aurait guère apprécié la remise en question du programme d’aide. La Bundesbank aurait par exemple averti la Grèce des risques que cela représentait pour les banques locales.

    Athènes aurait pourtant demandé un prêt de 10 milliards de dollars à la Russie pour imprimer les nouvelles drachmes, confirme la plateforme d’information Greek Reporter. Pour qu’un pays puisse imprimer sa propre monnaie, il a besoin de réserves dans une monnaie forte. « En somme, le gouvernement Tsipras aurait demandé à la Russie de financer un Grexit », selon le site Zerohedge.

    Les personnalités qui, selon les médias grecs, étaient au courant sont Panos Kammenos, Yiannis Dragasakis, Yanis Varoufakis, Nikos Pappas, Panagiotis Lafazanis et d’autres membres clés de la coalition.

    L’idée d’introduire une nouvelle drachme « a été examinée par des technocrates et des employés du Ministère grec des finances qui auraient étudié le modèle de scission de la Tchécoslovaquie en 1993 et l’introduction de la couronne slovaque », selon Greek Reporter.

      

    Malheureusement pour le chef d’État grec, la nuit même du référendum du 5 juillet, Vladimir Poutine lui aurait signifié son refus. La réponse du gouvernement russe n’aurait comporté qu’une vague avance de 5 milliards de dollars sur le transit du pipeline South Stream à travers la Grèce.

    Dans ces conditions, malgré l’appui du peuple grec, Alexis Tsipras n’aurait plus eu d’autre choix que d’accepter le plan d’austérité des créanciers.

    Si elle devait se vérifier, ce serait « l’information la plus sous-estimée de l’année. Elle suggère que la perpétuation du rêve d’unité de la zone euro, cher à Angela Merkel, n’aurait été possible qu’avec l’aide de Vladimir Poutine », selon Zerohedge.

    La nouvelle a suscité suffisamment d’émoi en Grèce pour que 17 parlementaires issus des rangs de la droite conservatrice (Nouvelle Démocratie) adressent une lettre à Alexis Tsipras afin de savoir si ces allégations étaient correctes.

    Selon nos sources, le Ministère allemand des finances aurait également soutenu l’idée d’une aide à l’introduction d’une nouvelle monnaie grecque. Au sein du gouvernement, le changement de monnaie aurait paru excessivement risqué. La stabilité du système financier aurait été sérieusement remise en cause.

    E&R

  • Mantes-la-Jolie : l’appel au calme d’une figure du quartier

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    M. G. | 24 Juil. 2015, 18h44 | MAJ : 24 Juil. 2015, 18h44

     
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                                                         Mantes-la-Jolie, vendredi après-midi. Incarcéré depuis plusieurs années après une série de braquages, Youv, un trentenaire respecté et apprécié au Val-Fourré, a profité d’une permission pour envoyer un message de prévention auprès des plus jeunes. (LP/MG)

    Alors que le Val-Fourré connaît depuis quelques jours une relative accalmie après plusieurs nuits de violences urbaines, l’une des figures de ce quartier de Mantes-la-Jolie appelle au calme. Ousmane, connu dans toute la cité sous le pseudonyme de « Youv », a convié ce vendredi après-midi les jeunes du Val-Fourré à un barbecue au cours duquel il a asséné quelques messages de prévention.

     
     

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    Cet homme âgé d’une trentaine d’années est connu de tous ici. Il est extrêmement actif sur les réseaux sociaux et a lancé depuis quelques mois sa marque de vêtements baptisée « For Youv ». Le tout, depuis… sa cellule d’une prison où il est incarcéré depuis presque treize ans à la suite d’une série de braquages. « Mon passé me permet d’être crédible auprès de ces gamins, explique Youv, qui profite d’une permission pour organiser ce barbecue. Brûler des voitures, caillasser la police, je l’ai fait ! Et aujourd’hui, je suis en prison. Et croyez-moi, la prison, ce n’est vraiment pas un exemple. »

    Assis au milieu d’une bande d’adolescents dévorant une merguez ou vidant un coca, le jeune homme impose le respect. Les gamins l’écoutent en silence, intimidés. « Autant que son passé et les services qu’il continue de rendre, c’est son hyperactivité sur les réseaux sociaux qui contribue à sa notoriété, donc au respect qu’il impose », confie un jeune adulte du Val-Fourré qui observe la scène, amusé. « Qui a déjà brûlé, ici ? », demande-t-il. Un ado au visage poupon se dénonce, presque penaud. Et Youv de l’alerter sur les risques qu’il encourt à multiplier les bêtises. La discussion se poursuit plusieurs minutes. Le ton n’est jamais moralisateur. Il prévient, pacifie, sans pointer du doigt l’un ou l’autre des jeunes. « Je ne veux pas cibler, je ne veux pas être dans la confrontation. Je veux juste utiliser ma petite notoriété pour faire bouger les choses à mon niveau » insiste Youv.

    Une intervention qui pourrait peut-être porter ses fruits chez ce public très jeune, et assez peu sensible aux messages de prévention traditionnels.

    LE PARISIEN

    NdB: Les villages africains se reforment avec leur chef de tribu, très respecté par les jeunes...

  • Les prisons se vident

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    19h33

    La garde des Sceaux, Christiane Taubira, dont on connait les réticences à l’égard de l’emprisonnement de manière générale doit être satisfaite. La population carcérale a baissé depuis l’an dernier.

     

    Le quotidien Les Echos publie ce matin une brève indiquant que la population carcérale en France s’élève à 66 864 détenus au 1er juillet 2015. Malgré une hausse de 0,3% le mois dernier, la population carcérale a baissé de 2,1% depuis l’an dernier, alors que la violence et la délinquance n’ont pas diminué. La réforme pénale de Christiane Taubira et la politique qu’elle conduit commencent à porter leurs fruits. La révélation de ces chiffres en sont une nouvelle illustration. [...]

    A ce sujet, Les Echos précisent qu’avec une capacité de 57 759 places de prison, le taux d’occupation est de 115,7 % et que les prévenus en attente de jugement représentent 26,3% de la population carcérale.

    valeursactuelles.com

  • Caumont (09) : Gens du voyage, «le village transformé en dépotoir», des excréments un peu partout

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    Ignoble!

    20h29

    Le 12 juillet, près d’une cinquantaine de caravanes appartenant aux gens du voyage se sont installées illégalement sur le terrain de football municipal. Depuis, les choses ont évolué… mais pas dans le bon sens, comme nous l’explique le maire Jean-Jacques Méric : «Les jeux pour enfants de l’aire de loisirs du pré commun et particulièrement la cabane sont remplis d’excréments et de papier toilette usagé, le toit de cette cabane, qui sert de toboggan, a par ailleurs été arraché et, de ce fait, les enfants de la commune ne peuvent plus venir s’y divertir.

    Que dire du terrain de foot qui sert habituellement aux gamins de l’Entente du Couserans, où une cinquantaine de petits footeux viennent s’entraîner deux fois par semaine ? La pelouse est partiellement détruite, on y trouve des ornières causées par les véhicules, sans oublier l’insalubrité et une hygiène pour le moins douteuse.»

     

    Le centre du village est devenu en l’espace d’une semaine un gigantesque W-C public, on trouve des excréments un peu partout, derrière les vestiaires du foot et les locaux du club de pétanque, jusque sous les haies de la mairie, en bordure de la RD117. Comme si cela ne suffisait pas, les ponts et passages souterrains (notre photo) qui permettent aux enfants et aux personnes âgées d’éviter de traverser la route départementale sont eux aussi méconnaissables. Il y règne une puanteur indescriptible, surtout en cette période de grosse chaleur, près de 60 personnes viennent y faire leurs besoins.

    « A priori, nos «hôtes» devraient quitter les lieux dimanche, mais qui paiera la remise en état de tous les équipements ?… Le contribuable caumontais, bien évidemment.»

    Un maire visiblement très en colère, qui tient également à pointer du doigt les branchements sauvages d’électricité et d’eau, à l’heure où tout le monde a tendance à fermer les yeux. «Avec mes conseillers municipaux, nous sommes bien seuls devant toutes ces incivilités, poursuit le maire. Nous tâchons néanmoins de gérer le quotidien et tenons à remercier le Sictom pour sa réactivité, ainsi que les services de gendarmerie pour leur présence.»

    Source

    Merci à Michael