Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 7

  • GR - Le plan d’installation massive de clandestins en Europe


    La Hongrie construit un mur de barbelés pour refouler les migrants

     

    Une nouvelle victoire des partisans de l’immigration a eu lieu ce lundi avec l’accord conclu entre les 28 ministres des États membres de l’Union européenne en charge des questions d’immigration.

    Ainsi, il a été décidé de disséminer 54 760 clandestins, soit selon la novlangue mondialiste, « relocaliser » (c’est-à-dire soulager l’Italie et la Grèce de leur trop plein de réfugiés) 32 256 personnes et en « réinstaller » (implanter sur le sol européen) 22 504 autres. Seul bémol pour la Commission européenne : le principe des quotas n’a pu être adopté, le volontariat restant la base du mécanisme.

    Désireux de se soumettre pleinement aux exigences de la Commission européenne en matière migratoire (qui a l’espoir d’atteindre les 60 000 clandestins accueillis en 2015) et de pouvoir pérorer sur la « politique généreuse de la France », le gouvernement, via son ministre en charge de l’accueil des clandestins, Bernard Cazeneuve, a entrepris de faciliter le séjour des populations allogènes via un texte de loi qui prévoit la mise en place d’une carte pluriannuelle de séjour de 2 ou 4 ans visant à éviter aux étrangers, qui sont encore odieusement privés de cartes de résidents, d’harassants passages en préfecture ; d’un statut d’« étranger malade » ; d’une carte « étranger salarié » pour ceux qui n’auraient pas encore rejoint Pôle Emploi ; d’un « passeport talent » pour les artistes et les sportifs...

    Une loi bien laxiste, dans la tradition des gouvernements qui se succèdent depuis plus de 40 ans et qui permettra au pouvoir d’entretenir un « marqueur de gauche », aux Républicains de prendre des « postures de fermeté » et au Front national de faire oublier ses turpitudes internes...

    Autre nouveauté au sein de l’UE : la possibilité pour les pays riches de transférer à d’autres États plus pauvres une partie du fardeau. Ainsi, la Slovaquie a accepté de soulager Vienne de 500 clandestins en les accueillant et en prenant en charge leurs frais d’hébergement et de nourriture. L’Autriche assurera les frais de personnel et s’apprête à recevoir 70 000 nouveaux « migrants » en 2015, contre 28 000 en 2014.

    Le ministre de l’Intérieur autrichien, Johanna Mikl-Leitner, a salué « un grand signe de solidarité de la part de la Slovaquie », que son homologue slovaque, Robert Kalinak, a justifié en rappelant que son pays avait bénéficié du soutien de l’Autriche lors de sa demande d’adhésion à l’Union européenne et à l’espace Schengen, allant même chercher le souvenir des slovaques trouvant refuge en Autriche lors de la Guerre froide...

    Une nouvelle réunion doit avoir lieu avant la fin de l’année pour ré-évaluer le nombre de clandestins à disséminer au sein de l’Union européenne. Y sera notamment abordée la question de la multiplication des centres d’accueil où les « migrants » seront enregistrés et identifiés. Un centre sera établi à Catane, en Sicile, et ouvrira dans les prochaines semaines. Fidèle à l’humour belge, le secrétaire d’État à l’Asile et la Migration de ce pays, Theo Francken, a affirmé :

    « C’est très important pour nous car cela envoie le message aux migrants que ce n’est pas parce qu’ils sont arrivés en Europe que cela leur donne un ticket d’entrée ! »

    À noter que la Suisse a accepté de participer au dispositif, bien qu’elle ne fasse pas partie de l’Union européenne, mais uniquement de l’espace Schengen depuis 2008. Le Royaume-Uni, le Danemark et l’Irlande ont obtenu une dispense, ainsi que la Hongrie, qui a entrepris de transférer ses 4 camps de réfugiés permanents situés en ville pour des camps provisoires à la campagne et d’édifier un mur de protection afin d’empêcher les clandestins de pénétrer sur le sol hongrois via la frontière serbe (99 % des 80 000 étrangers entrés illégalement sont arrivés dans le pays par ce biais en 2015).

     

    L’édification du mur pour dissuader les clandestins et la protestation des bobos hongrois !

  • Serge et Beate Klarsfeld décorés par l’Allemagne

    Deux grands chasseurs sous l'Eternel

    Les chasseurs de nazis Beate et Serge Klarsfeld ont été décorés lundi de l’ordre du Mérite par l’ambassadrice allemande en France qui a salué leur action « hors du commun », « symbolique de la politique de réconciliation de l’Allemagne ».

    Le couple franco-allemand a été décoré de cette distinction suprême au Palais Beauharnais, résidence de l’ambassadrice à Paris, pour leur traque des criminels nazis et leur lutte contre l’antisémitisme, après la signature d’un décret par le président allemand Joachim Gauck.

    Susanne Wasum Rainer a ainsi vu en Beate, 76 ans, tailleur crème, « la militante passionnée qui monte au créneau ». Fille d’un ancien soldat de la Wehrmacht, elle s’est rendue célèbre en giflant publiquement en 1968 le chancelier Kurt Georg Kiesinger pour dénoncer son passé nazi.

    À ses côtés lundi, son mari Serge, 79 ans, costume charbon, est « l’archiviste scrupuleux, auteur des efficaces dossiers d’accusation ». Français né en Roumanie, il a échappé à la Gestapo en 1943 mais a vu son père raflé sous ses yeux avant d’être déporté à Auschwitz-Birkenau.

    Devant une cinquantaine de personnes parmi lesquelles le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), Roger Cukierman, ou encore Arno Klarsfeld, leur fils, Susanne Wasum Rainer a salué leur combat :

    « Toute votre vie a été guidée par la volonté politique et morale d’empêcher les crimes nazis de tomber dans l’oubli et de lutter contre l’antisémitisme dans le monde entier. »

    Lire la suite de l’article sur i24news.tv

     

    E&R

  • La Hongrie érige une barrière pour empêcher les immigrés clandestins de passer


    La Hongrie commence à ériger une barrière anti... par lemondefr

     

     

    19/07/2015 – HONGRIE (NOVOpress)
    La Hongrie a commencé le 13 juillet à construire une barrière tout le long de sa frontière avec la Serbie pour empêcher les immigrés clandestins de la franchir. Pour le journal Le Monde, “c’est un mur de plus, une barrière plus précisément, qui s’érige entre l’Europe et le reste du monde” (sic).

    Les travaux de la nouvelle clôture ont commencé près de Morahalom, à 180 km au sud-est de la capitale hongroise, Budapest. Des dizaines de milliers de clandestins venus du Proche-Orient et d’Afrique empruntent la route des Balkans – Grèce, Macédoine, Serbie – pour tenter de passer ensuite en Hongrie, membre de l’UE et qui fait partie de l’Espace Schengen.

     

     

  • Livre juif : Les juifs algériens dans la lutte anticoloniale

    A La vitrine du Libraire, Actualités, Culture - le 19 juillet 2015 - par .   


    livre juif

    «Pour nous qui venions à peine d'avoir l'âge de raison en ces jours d’humiliation, ces années de jeunesse ont à jamais marqué notre vie et c’est pourquoi nous sommes fiers de l’injure qu’on nous lançait comme un opprobre: oui, nous sommes des juifs indigènes algériens... Et après? Vous n’aurez pas notre cœur contre un certificat de nationalité dont vous vous servez comme d’un couperet de guillotine. »

    Diffusées clandestinement durant la guerre d’indépendance, ces lignes ont été écrites en 1957 par des juifs algériens qui, nés citoyens français vers 1930, déchus de la citoyenneté française durant trois années et exclus de l’école sous Vichy, sont devenus des militants communistes algériens après la Seconde Guerre mondiale avant de rejoindre le FLN en 1956.

    De l’entre-deux-guerres à l’indépendance de l’Algérie, une petite minorité de juifs issus de familles autochtones ont suivi des trajectoires comparables, les déplaçant en quelques années des projets sociaux ordinaires de leurs parents – faire de leurs enfants de bons Français plus ou moins juifs – vers le projet politique inouï de s’affirmer Algériens. Bouleversant l’ordre du monde colonial par leurs prises de position politiques, par leurs sociabilités transgressives et jusque dans leur intimité affective, ces hommes et ces femmes ont engagé leur vie pour une Algérie décolonisée et socialiste dont ils seraient citoyens, participant pleinement – mais non sans difficultés dans leur confrontation avec le nationalisme algérien dominant – au mouvement national, aux épreuves de la clandestinité et de la répression durant la guerre d’indépendance, et aux premières années de construction de l’Algérie indépendante.

    Basé sur des entretiens biographiques menés avec 40 anciens militants, sur des sources privées et sur des fonds d’archives souvent inexplorés, cet ouvrage met en lumière les ressorts de ces trajectoires dissidentes en les articulant à une réflexion générale sur le rapport des juifs algériens à la question coloniale. Au prisme de cette entrée minoritaire, il s’agit aussi de construire une histoire par le bas des juifs d’Algérie, du communisme algérien et, plus généralement, de la société algérienne colonisée et nouvellement indépendante.

     

    Choix de Claude Layani

    ALLIANCE

  • C’était un 17 juillet : mort d’Henri Poincaré, un génie français, pillé par Einstein


    Henri Poincare VS Albert Einstein par Dean Mamas par Super_Resistence

     

    Ce brillant scientifique français s’est éteint le 17 juillet 1912.
    On le considère généralement comme l’un des derniers grands savants universels, maîtrisant en particulier l’ensemble des branches des mathématiques de son époque.
    Son œuvre, qui précède en réalité les principales découvertes d’Einstein (qui le pilla), concerne principalement les mathématiques pures, la physique et l’astronomie.

    Ci-dessus vous pouvez écouter une émission de Serge de Beketch en 1991, consacrée au pillage de Poincaré par Einstein, avec un spécialiste.

  • Les personnes en niqab systématiquement contrôlées dans la rue (au Gabon) 20/07/2015

    VKLyvKd.jpg Gabon.jpg

    20h53

    Désormais, les personnes qui portent le voile intégral (niqab) au Gabon seront systématiquement contrôlées pour des raisons de sécurité, a annoncé le ministère de l’Intérieur dans un communiqué rendu public le 15 juillet. La police devra procéder « à tout moment à l’identification de toute personne portant un voile intégral sur la voie, les services et espaces publics ainsi que les transports en commun », indique-t-on.

    Une décision qui n’est pas « une entrave aux libertés fondamentales individuelles », précise-t-on, mais dont l’objectif est de prévenir les risques d’attentats-suicides dont le groupe terroriste Boko Haram est souvent l’auteur au Nigéria, mais aussi au Cameroun ou au Tchad, pays voisins.

     

    Dernièrement, samedi 11 juillet, un kamikaze portant un voile intégral s’est fait exploser sur le marché central de N’Djamena au Tchad faisant 15 morts. Le Gabon, qui n’a pas de frontières avec ces pays touchés, veut ainsi renforcer les contrôles.

    En avril dernier, le Congo était le premier pays africain à interdire le port du niqab sur la voie publique, suivi en juin du Tchad.

    source

  • « Beaucoup de Dijonnais de souche sont exaspérés et se sentent envahis » (Mediapart)

    Pqlcmfz.jpg Dijon.jpg

     

    18h32

    Dijon, capitale des ducs de Bourgogne au tourisme florissant avec son pôle culturel important dans l’est de la France faisait encore la fierté de ses résidents il y a quelques années qui vantaient sa qualité de vie, sa sécurité urbaine, ses transports, son CHU (classé l’un des plus performants en France), voit arriver massivement depuis 7 ans des populations étrangères et doit assumer simultanément une demande croissante de logements sociaux face à la pénurie d’offres dans le marché locatif privé.

     

    Devant l’afflux des demandes HLM, les bailleurs sociaux de Dijon (SCIC Habitat, Orvitis, Villéo et Dijon-Habitat) ont dû construire en hâte des centaines de logements en rachetant des terrains à vil prix sur la commune ou en agglomération (loi SRU), en expropriant de nombreux résidents de leurs maisons et en acquérant de vieux immeubles reconvertis ensuite en logements sociaux, sans réaliser les travaux de rénovation qui s’imposaient à ces constructions vétustes.

    Depuis les années 2008/2009, dans de nombreux quartiers de la ville (Mansart, Fontaine d’Ouche, Grésilles, Junot, Drapeau, Langres, Stalingrad, Bourroches, Greuze), les résidents dijonnais sont donc confrontés à une forte mixité sociale qui leur est imposée par ces bailleurs sociaux, par les élus locaux et aussi par la Préfecture (loi Dalo) avec souvent des conséquences désastreuses pour les dijonnais de souche.

    Un consensus commence à se dégager et toute stigmatisation mise à part, certains s’accordent à reconnaître que parmi ces nouveaux arrivants, beaucoup sont des cas sociaux au comportement de vie difficile et d’autres, venus d’horizons plus lointains, affichent un mode de vie perturbateur avec un sans gêne caractérisé.

    Ils prennent littéralement possession des lieux en produisant du vacarme, des nuisances de toutes sortes (tags, jets d’urines, poubelles et voitures incendiées, destruction des boites aux lettres, porte d’entrée ou caves, rodéos mobylettes, incivilités, vandalismes sur librairies et sur façades d’immeubles et même agressions), mais aussi des trafics de stupéfiants, corollaires de tous ces vandalismes avec des attroupements sporadiques et formation de bandes qui squattent les parties communes des immeubles HLM (halls, caves, parkings et jardins privatifs).

    (…) Selon les chiffres officiels (rapport 2014 de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales), la ville de Dijon affiche un taux de délinquance supérieur à la moyenne française et se porte au 41ème rang des villes dans le classement avec 63,53 infractions pour 1000 habitants.

    Dijon possède une caractéristique intéressante : en effet, le pourcentage de populations immigrées se porte à 9%, au-dessus de la moyenne nationale de 8.4%.

    Faut-il pour autant mettre en corrélation l’immigration responsable de la délinquance à Dijon ?, le débat est plus vaste et complexe qu’il n’y parait puisqu’il faut différencier les crimes des délits et cambriolages des simples incivilités ou dégradations des trafics de stupéfiants etc

    Mais au-delà de cette non-ingérence ou « passivité » des élus dans ces troubles urbains, se pose aussi en filigrane la question de la mixité sociale et de l’intégration de ces nouveaux arrivants dans les HLM collectifs, donc du « vivre-ensemble » : beaucoup de Dijonnais de souche sont exaspérés et s’estiment envahis, le Bien public Cote d’or tirait déjà la sonnette d’alarme en juillet 2013 : « Les personnes âgées ou avec des ressources modestes, locataires, en sont aussi les premières victimes, sans pouvoir déménager pour fuir les incivilités du quotidien […]».

    (…) Ces attroupements dangereux à répétition et ces incivilités + dégradations tendent à instaurer un climat relationnel délétère et même parfois une psychose générale dans certains quartiers dits sensibles, les bailleurs sociaux évoquent par euphémisme des ZUS (zones urbaines sensibles) pour les qualifier où ils ont évidemment peu de pouvoir d’interaction et ne traitent plus par lassitude les centaines de plaintes des locataires qui leur sont quotidiennement adressées.

    (…)

    Source

    Merci à JeanJacques

     

  • Les Ulis (91) : le commissariat attaqué par une quarantaine de caillasseurs

    fatW6vD.jpg Les Ulis.jpg

    19h58

    Quatre heures d’une véritable bataille rangée. Le commissariat des Ulis a été encerclé dans la nuit de lundi à mardi par une quarantaine d’assaillants venus des cités voisines. Des cocktails Molotov, des mortiers et des pierres ont été jetés sur la façade du poste de police et sur les fonctionnaires présents en renfort. Un homme de 26 ans, blessé par un projectile, a été interpellé et finalement libéré, faute de charges, mardi après-midi.

     

    Tout commence vers minuit. Des patrouilles sont appelées pour s’opposer à des tirs de mortiers rue de Bourgogne. Les voitures sérigraphiées arrivent sur place et essuient une pluie de projectiles. Face à la quarantaine d’assaillants, les agents sont contraints de se replier au commissariat voisin de quelques rues.

    Dans la foulée, un habitant prévient le poste de police qu’un groupe armé se rapproche du poste de police. [...]

    Des pierres et des mortiers sont lancés sur la façade du bâtiment, endommageant aussi les voitures sérigraphiées garées devant. En réponse, les policiers font usage des moyens de défense pour repousser leurs assaillants. Ces derniers prennent la fuite. [...]

    Des conteneurs et des barrières métalliques provenant de chantiers voisins sont positionnés en pleine rue pour faire barrage. Et de nouveaux projectiles sont envoyés en direction du commissariat.

    Les policiers parviennent à repousser les jeunes une deuxième fois, puis une troisième et enfin une quatrième fois. En mettant le feu à de nombreuses poubelles et à des voitures stationnées dans les rues adjacentes, le groupe armé cherche aussi à disperser les forces de l’ordre obligées de sécuriser l’intervention des pompiers.

    Le calme finit par revenir vers 4 heures du matin. « On en est à trois attaques de ce commissariat en moins de quinze jours, la présence de la police semble déranger certains individus, note le syndicat de police Alliance. Il est urgent que les travaux de sécurisation de ce commissariat soient engagés dans les plus brefs délais. Et que des sanctions soient prises à l’encontre des fautifs. »

    Source

  • GR - Droits des étrangers: un projet encore plus laxiste examiné à l’Assemblée


    Bernard Cazeneuve : "Il faut des contrôles... par franceinter

      

    11h16

    Le texte de Bernard Cazeneuve qui est débattu à partir de lundi soir traite surtout des démarches administratives que doivent accomplir les étrangers vivant en France.

     

    Ils sont environ 2,5 millions d’étrangers non-communautaires à résider dans l’Hexagone. Pour l’essentiel (60%), ils viennent de quatre pays: ‘Algérie, du Maroc, de Turquie et de Tunisie. La grande majorité possède une carte de résident valable dix ans mais il reste environ 700.000 personnes qui doivent, chaque année, obtenir de nouveaux papiers. « C’est un parcours du combattant. Nous soumettons des centaines de milliers d’étrangers à environ une dizaine de passages par an en préfecture. Comment s’intégrer quand on court de titre précaire en titre précaire? », s’interroge Bernard Cazeneuve.

    Un titre de 2 ou 4 ans avant la carte de résident

    Au grand dam de l’opposition selon qui le texte va encourager l’immigration, le gouvernement cherche donc à faciliter l’intégration de ces étrangers. Après un an passé sur le sol français, ils auront désormais la possibilité de réclamer un titre valable deux ou quatre ans et pourraient, au bout de trois ans, obtenir une carte de résident s’ils sont les parents d’enfants français ou les conjoints de Français.

    Cette mesure destinée à éviter de longues files en préfectures. « Ces files montrent que la France est un pays d’immigration qui ne l’assume pas car cet accueil indigne était jusqu’ici politiquement voulu », dénonce Erwann Binet, le député PS rapporteur du projet de loi. « Nous voulons changer de logique », abonde le ministre de l’Intérieur qui rappelle que ce nouveau titre « conduira à la carte de résident et ne s’y substitue pas ». C’est en effet l’une des craintes du Défenseur des Droits qui a alerté sur le risque de voir une diminution importante du nombre de carte de résidents accordées. Un collectif de 160 associations baptisé « Rendez-nous la carte de résident » pointe aussi ce risque.

    La France accueille environ 200.000 nouveaux immigrants réguliers chaque année, un chiffre à peu près stable depuis dix ans. La moitié sont là pour des raisons familiales, 60.000 pour des études, 20.000 pour des raisons humanitaires (réfugiés, malades, etc) et à peu près autant dans un but professionnel. Dans cette dernière catégorie, le texte crée le titre « passeport-talents », de quatre ans, qui remplacera la multitude de titres existants pour les étrangers qualifiés ou ayant une compétence particulière (artistes, scientifiques, sportifs…). François Hollande y voit une manière d’augmenter l’attractivité de la France.

    Intervention du juge dès 48 heures en rétention

    Contrepartie de ces mesures, le projet de loi veut renforcer la lutte contre la fraude aux titres de séjour en donnant la possibilité aux préfets d’obtenir des données des autres administrations et de certaines personnes privées (banques, etc). En commission, Erwann Binet a cependant réécrit l’article, en faisant intervenir la Cnil et le Conseil d’Etat sur les informations susceptibles d’être transmises, mais il reste contesté par les écologistes et le Front de gauche. Le gouvernement voudrait aussi convaincre les députés PS de faciliter les reconduites à la frontière pour les déboutés du droit d’asile par des délais de recours plus brefs que pour le droit commun.

    En revanche, concernant les étrangers en situation irrégulière enfermés en centre de rétention, le gouvernement donnera son aval à la demande des députés PS de rétablir l’intervention du juge des libertés et de la détention (JLD) au bout de 48 heures et non plus de cinq jours comme depuis 2011. « Il n’est pas acceptable qu’une grande partie des expulsés soient éloignés sans avoir vu un juge », explique le rapporteur.

    Cela pose la question du maintien de l’intervention du juge administratif qui est habituellement saisi par les associations pour contester un placement en rétention, et qui fera l’objet d’amendements. « Il n’est pas satisfaisant que deux juges prennent deux décisions au même moment sur la même personne », admet Erwann Binet.

    Le texte donne d’ailleurs la priorité à l’assignation à résidence, moins coercitive, sur la rétention, sauf lorsqu’il n’y a pas de garantie de représentation. Les forces de l’ordre pourront en contrepartie conduire sous la contrainte les personnes au consulat pour obtenir les laissez-passer nécessaire à leur expulsion.

    Huffington Post

  • Mobilisons-nous contre la nouvelle loi criminelle du gouvernement sur l'immigration !

       

    Communiqués / 20 juillet 2015 / Étiquettes : /  

    Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Après la loi sur l’asile la semaine dernière, le gouvernement veut faire adopter une nouvelle loi, cette fois sur le « droit des étrangers », qui confirme la folle dérive immigrationniste dans laquelle la France est en train de sombrer.

    Sur le volet immigration légale, d’une manière tout à fait absurde et criminelle, tout est fait pour inciter les étrangers à rester durablement et à s’installer en France, notamment par une nouvelle carte de séjour pluriannuelle. Le Front National, lui, veut faire tendre vers zéro le nombre d’entrées légales chaque année en France, alors qu’il se maintient à 200 000 depuis les années Sarkozy.

    Sur le volet de l’immigration clandestine, l’angélisme prévaut, qui aura pour conséquences d’un côté la multiplication des drames en Méditerranée et de l’autre, la saturation de notre système d’accueil et tous ses problèmes en matière de sécurité et de santé. Nous demandons de notre côté le rétablissement de nos frontières nationales, la reconduite systématique des clandestins chez eux et la suppression de toutes les incitations sociales à l’immigration illégale.

    Transposition pour partie d’une directive européenne, cette loi est une nouvelle étape dans l’entreprise délétère de destruction de notre identité nationale et de notre système social. En suivant aveuglément les injonctions de Bruxelles, le PS de François Hollande tout comme l’UMP de Nicolas Sarkozy méprisent les droits des Français et ne pensent qu’à ceux des étrangers. Ces deux partis, inféodés à Bruxelles, obéissent en réalité à des puissances économiques qui veulent toujours plus d’immigration, de main d’œuvre exploitable à peu de frais, et toujours moins de cohésion nationale, moins d’emploi pour les Français. Leur action coupable mérite la plus grande sanction par les Français.

  • Le célèbre astrophysicien Stephen Hawking en quête de la vie extraterrestre

    http://www.leparisien.fr/sciences/l-astrophysicien-stephen-hawking-a-la-conquete-de-la-vie-extraterrestre-20-07-2015-4959055.php

  • Florian Philippot invité de Brigitte Bardot à la Madrague

    CKOBFXHWoAEgSw_.jpg FP et BB.jpg

      

     

    LE SCAN POLITIQUE - L'ex-actrice montre une nouvelle fois sa proximité avec le Front national en recevant le vice-président du parti chez elle.

     
     

     Vendredi, Brigitte Bardot a reçu le vice-président du Front national chez elle à Saint-Tropez (Var). C'est Florian Philippot qui a publié deux clichés de la rencontre sur son compte Twitter. L'ex-égérie des années 60 aujourd'hui âgée de 80 ans enlace l'eurodéputé par la taille tandis qu'un deuxième cliché montre les deux protagonistes échangeant un regard digne d'une scène du Mépris.

    «Très belle journée à la Madrague. Merci Brigitte pour votre amour inconditionnel des animaux et de la France», écrit Florian Philippot. Tandis que l'ex-actrice se confie à Var Matin: «J'apprécie son calme, sa façon de développer son argumentaire et son bon sens politique quoi que puissent en dire ses adversaires».

    Ce n'est pas la première fois que Brigitte Bardot expose sa sympathie à l'endroit du Front national. «Il m'arrive d'avoir Marine au téléphone. Et j'aime beaucoup Marine», expliquait-elle à France 2 en septembre dernier. «Je n'ai pas à m'en cacher. Elle a quelque chose de plus que les autres: c'est la seule femme, mais elle a une paire de couilles!» En décembre, elle accordait même une interview à la revue locale de la députée du Vaucluse Marion-Maréchal Le Pen où elle expliquait vouloir voir Marine Le Pen utilisée en modèle pour représenter Marianne.

    LE FIGARO
  • Vous avez dit simples attouchements ?

    viol-de-lucrc3a8ce1.jpg

    Le viol de Lucrèce par Titien

                                                        

              
    Cet Algérien de 27 ans en séjour irrégulier sur notre territoire est condamné à passer 30 mois aux frais de l'État derrière les barreaux pour agression...

    946
    SHARES
     
     
          

    Un fait divers n’est intéressant que s’il s’agit d’une action exceptionnelle par sa singularité, sa gravité ou son itération, dépeignant un fait de société récurrent.

    C’est bien ce dernier cas qui transparaît à travers l’affaire d’Avignon, qui a vu la condamnation d’Hichem Bey Omar à de la prison ferme. Tout commence par un individu emboîtant le pas à une étudiante avant de l’aborder et de lui demander son numéro de téléphone portable. Celle-ci refusant de le lui donner, l’homme alors l’étrangle. Elle se débat, hurle, arrive à se libérer et part en courant vers la résidence universitaire. Il la rattrape et, une nouvelle fois, lui serre le cou avec le bras droit, arrachant avec l’autre main sa culotte. Il faut l’intervention de plusieurs témoins pour qu’il lâche l’adolescente et prenne une fuite précipitée.

    Arrêté peu de temps après, il passe en comparution immédiate. Cet Algérien de 27 ans en séjour irrégulier sur notre territoire est condamné à passer 30 mois aux frais de l’État derrière les barreaux pour agression, plus 3 mois pour s’être fait passer pour son cousin (il tentait ainsi d’échapper à une peine comme clandestin). Enfin, il devra indemniser sa victime en lui versant 3.000 euros.

    Vous me direz de tels événements sont légion. En quoi celui-ci est-il plus remarquable que d’autres ?

    Il est tout simplement le symbole de la déliquescence de notre société.

    Voilà un homme qui passe une frontière aussi facilement qu’un sauteur du portillon du métro. Il se rend dans sa famille et aurait pu couler des jours heureux dans la cité des papes s’il n’avait pas commis ces « malheureux » attouchements.

    Voilà un homme chez qui le mensonge est congénital. Contestant son agression sexuelle, il a expliqué : « Je ne l’ai pas suivie. Elle marchait à côté de moi et elle me faisait des sourires. Mais quand je lui ai demandé son numéro de téléphone, elle s’est mise à crier ». En gros, c’est la faute de l’étudiante, elle l’a aguiché puis, sans raison, s’est mise à hurler. À l’entendre, c’est lui la victime.

    Voilà un homme qui essaye d’étouffer une femme, qui lui enlève sa culotte ; nous sommes donc dans les prémices du viol, voire plus avec l’étranglement. Résultat : passage en correctionnelle pour attouchements et 30 mois de prison. Avec les remises de peine, s’il se tient à carreau, il ne sera resté guère plus d’un an à l’ombre.

    Voilà un homme qui pourra ensuite profiter du doux climat provençal, la double peine ne pouvant s’appliquer à une personne ayant passé son enfance en France – ce qui est son cas.

    Voilà un homme qui devra payer 3.000 euros à sa victime mais qui ne les payera pas car, étant sans travail, il est insolvable. Impossible, donc, de lui ponctionner de l’argent.

    Voilà, enfin, une victime marquée psychologiquement, sous traitement médical, qui, angoissée à l’idée de se retrouver hors de chez elle, évite depuis de sortir seule.

    Un incident de plus dans la colonne faits divers des journaux régionaux. Mais, surtout, le symbole d’un pays qui ne veut et ne peut se défendre efficacement.

    Combien de temps, une fois sorti, Hichem mettra-t-il pour récidiver, peut-être de manière plus violente ?

    Mais ceci ne semble pas être le problème de Mme Taubira et de l’État socialiste.

     
    B.V.
  • L’agriculture meurt de l’Europe (Présent 8399)

    8399-Chard1.jpg

     

     

    20/07/2015 – FRANCE (NOVOpress)

    Selon le ministre de l’Agriculture, 22 000 éleveurs pourraient disparaître bientôt. Toutes les filières sont au bord de la ruine et les fermiers entre colère et désespoir. Le chef de l’État a donc lancé un double appel en leur faveur.

    Aux distributeurs afin qu’ils réduisent leurs marges et aux consommateurs pour qu’ils achètent « des produits français » même s’ils sont plus chers, car, a-t-il ajouté, « nos emplois sont les emplois des Français et ces derniers sont capables de démontrer qu’ils peuvent faire un certain nombre d’efforts » par patriotisme économique. Mais il ne va pas jusqu’au bout de ce raisonnement ! La logique voudrait qu’il dise : achetez des productions françaises réalisées par des travailleurs français dans toute la filière : les entreprises agricoles, les abattoirs, le transport. Mais pour lui, la préférence nationale doit s’arrêter aux produits du terroir.
    8399-Une
    Après avoir durement allégé le portefeuille des consommateurs par son matraquage fiscal, Hollande voudrait maintenant qu’ils se serrent encore la ceinture et fassent « des efforts » pour secourir les éleveurs ! Le hollandisme, c’est cela : les pauvres doivent aider les pauvres. Si les grandes surfaces font la course aux prix bas, c’est pour s’adapter au pouvoir d’achat de leurs clients. À cette fin, les distributeurs s’approvisionnent où c’est le moins cher, et ce n’est pas chez nous, mais ailleurs en Europe et dans le monde.

    Le remède au drame des agriculteurs français, ce n’est pas de faire la manche en leur faveur, c’est de remettre en cause ce qui est à la racine du mal : l’Europe, celle que François Hollande a voulu et qu’il défend. L’Union européenne, c’est la libre circulation des personnes et des biens, mais sans harmonisation fiscale et sociale.

    Dans le secteur agricole, en Espagne, les charges salariales sont trois fois moins importantes que chez nous ; en Pologne, le SMIC est à 409 euros et le triple en France. Il est bien évident que les coûts de production ne peuvent être les mêmes, c’est cela que Bruxelles appelle « une concurrence libre et non faussée » dont nos paysans sont en train de mourir.

    En outre, le libéralisme bruxellois entend déclarer l’Europe ville ouverte, dans le cadre du traité transatlantique qui permet aux États-Unis et à l’Argentine, notamment, d’exporter en Europe de la viande meilleur marché, n’ayant pas à subir les coûteuses et multiples contraintes écologiques bruxelloises. Et sait-on que dans ce pays libéral que sont les USA, les importations sont proscrites quand l’agriculture américaine est en surproduction ?
    Voilà que François Hollande pour remédier à ces maux qui prospèrent grâce à son Europe propose… plus d’Europe ! Non pas la nécessaire marche arrière, mais la fuite en avant ! Il veut une « avant-garde » de la zone euro, un Parlement dédié, un budget et un gouvernement communs. Depuis trente ans, nous avons toujours plus d’Europe et toujours moins de croissance, mais Hollande ne songe pourtant qu’à en ajouter une couche…

    Guy Rouvrais


  • Syrie: des photos incroyables prises à Homs

    http://www.christianophobie.fr/photos/syrie-des-photos-incroyables-prises-a-homs#.Va0rC5Uw-M8

    Cinq belles photos d'un mariage dans les ruines d'une église

  • Scouts de France 2015

    http://www.fdesouche.com/629279-youre-le-grand-rassemblement-des-scouts-de-france-entre-sobriete-heureuse-et-vivre-ensemble

    m7DW3wr.jpg

  • La gouvernance globale de gré ou de force: la lettre de François Hollande

     

    François Hollande plaide pour "un gouvernement de la zone euro"

    Le JDD publie ce dimanche une lettre de François Hollande qui rend un vibrant hommage à Jacques Delors, l’ancien président de la Commission européenne, à l’occasion de ses 90 ans, qu’il fêtera lundi.

     

    [...]

    L’Europe a laissé ses institutions s’affaiblir et les 28 gouvernements peinent à s’accorder pour aller de l’avant. Les Parlements restent trop loin des décisions. Et les peuples se détournent à force d’être contournés.

    Les populistes se sont emparés de ce désenchantement et s’en prennent à l’Europe parce qu’ils ont peur du monde, parce qu’ils veulent revenir aux divisions, aux murs, aux grillages. Or c’est le droit qui protège, et la fédération des États-nations qui donne du poids, pas le désordre et le repli sur soi.

     

    Être une puissance au service de l’équilibre du monde

    Ce qui nous menace, ce n’est pas l’excès d’Europe mais son insuffisance. Car face à la globalisation et aux puissances émergentes, comme devant les risques liés aux instabilités à nos frontières, aux coups de force, aux guerres, au terrorisme, aux catastrophes climatiques et à ce qu’ils engendrent avec les déplacements de population, c’est l’Europe qui est attendue pour porter les technologies de demain, promouvoir un modèle industriel, réussir la transition énergétique et écologique, investir dans la connaissance, réduire les disparités territoriales, assurer la solidarité à l’intérieur par des investissements et à l’extérieur par des actions de développement. Bref, être capable d’être une puissance au service de l’équilibre du monde.

     

    La qualité de la relation franco-allemande

    Avec Jacques Delors, l’Europe s’est élargie, mais il nous avait mis en garde en proposant un approfondissement avec des intégrations différenciées. Écoutons-le. Les circonstances nous conduisent à accélérer. La zone euro a su cette semaine réaffirmer sa cohésion avec la Grèce.

    La qualité de la relation franco-allemande y a été pour beaucoup. L’esprit européen a prévalu. Mais nous ne pouvons en rester là. J’ai proposé de reprendre l’idée de Jacques Delors du gouvernement de la zone euro et d’y ajouter un budget spécifique ainsi qu’un Parlement pour en assurer le contrôle démocratique.

    Lire l’intégralité de la lettre sur lejdd.fr

      

    E&R