Source : SIEL
(TRIBUNE) L’Essonne cumule les maux liés à la délinquance et l’immigration spécifiques aux départements urbains aussi bien que ruraux. Dans les deux cas, seul le FN et ses partenaires apportent des réponses crédibles.
À l’image des autres départements de la grande couronne que sont les Yvelines, la Seine et Marne, les Yvelines et le Val d’Oise, l’Essonne est un département qui comporte une partie rurale et une partie urbaine.
Paisible ? pensent donc les Parisiens depuis leurs tours d’ivoire et leurs cabinets dorés… Non, car il compte de nombreuses villes dont des quartiers sont les plus sensibles de France :
- Corbeil-Essonnes, Évry et Grigny peuvent être sans amalgame classés comme zones de non-droit avec des quartiers où règnent les bandes et la délinquance : violences urbaines, fusillades ou règlements de comptes et trafic en tout genre.
- Massy, Vigneux-sur-Seine, Les Ulis, Courcouronnes, Épinay-sous-Sénart et Étampe avec des quartiers sensibles très difficiles où il règne des faits de délinquance réguliers et de toute sorte.
- Savigny-sur-Orge, Ris-Orangis, Athis-Mons, Fleury-Mérogis, Viry-Châtillon, Brétigny-sur-Orge, Juvisy-sur-Orge, Longjumeau, Montgeron-Draveil, Ste-Genevieve-des-Bois, St-Michel-sur-Orge, Chilly-Mazarin, Brunoy, Boussy-st-Antoine, Quincy-sous-Senart et Yerres sont des villes à quartiers sensibles à la délinquance régulière, trafic de drogue et toutes sortent de trafics.
Ce classement est issu d’une compilation de sources du Ministère de la ville sur les 750 zones de non-droit que je détaille dans ma tribune parue dans NovoPress le 15 juin 2015.
Les violences les plus récentes dans l’Essonne ont eu lieu aux Ulis les 13 et 14 juillet dernier.
Cette délinquance se manifeste aussi par l’implantation sauvage un peu partout de camps de Roms : cf reportage d’i-télé qui minimise comme d’habitude le nombre de campements
un tout dernier camp s’est implanté à Athis-Mons pas très loin de la gare de Juvisy… ou de caravanes de gens du voyage qui s’installent ou bon leur semble en toute illégalité alors que des aires ont été créées avec l’argent du contribuable, constamment dégradé par leurs occupants. Les exemples ne manquent pas dans l’Essonne pour illustrer ces occupations illégales….
Ces villes sus-citées (hormis étampes) se situent dans le nord du département et bénéficient d’un bon réseau de transports en commun pour relier Paris alors que le sud Essonne rural en est partiellement dépourvu. Les fameux territoires oubliés de la République…
Le Sud-Essonne épargné par la délinquance alors ? Pas du tout !
C’est une autre forme de délinquance qui est caractérisée par de nombreux cambriolages principalement dans les exploitations agricoles (vols de métaux et de matériel)
Mais aussi dans la population, si bien que de nombreuses petites communes rurales ont mis en place le dispositif « voisins vigilants » à défaut d’installer la vidéoprotection comme dans les villes de plus grande taille à l’exemple d’Étampes ou d’Angerville.
Dans les villes, là où les logements sociaux et donc l’immigration sont les plus importants, perdurent les phénomènes de délinquance en bande avec émeutes urbaines ou braquages. Dans les petites communes dépourvues de la vidéoprotection, il s’agit principalement de délinquance itinérante.
Pourtant, en analysant les scores du Front National, seul parti politique à proposer la tolérance zéro pour la racaille, on se rend compte que ce sont les territoires ruraux qui votent massivement pour les candidats du FN et leurs partenaires du Rassemblement Bleu Marine. D’où l’impact que l’implantation de tels partenaires, dont le SIEL, peut avoir sur l’augmentation de scores déjà élevés.
Quelques exemples au premier tour des élections départementales de mars 2015 l’illustrent :
Évry : 20.97 %, Corbeil : 24.52 %, Grigny : 20.13 % dans le Nord Essonne…
À comparer avec : Breux Jouy : 31, 38 %, Etréchy : 32, 19 %, La Forêt le Roy : 33, 16 %, Angerville : 37,23 %, Marolles-en-Beauce : 40.57 %, Brières les Scellés : 41, 63 % ou encore Auvernaux : 56.56 % dans le sud.
En analysant les scores on constate que le binôme FN-RBM arrive très souvent en seconde position au premier tour dans les cantons du sud-Essonne, et même dans certains villages en première position, la gauche ayant été balayée au premier tour (sauf dans le Canton de Dourdan où il y’avait la présence d’une liste « Divers-Droite » dissidente de l’UMP qui a permis à la gauche de se maintenir).
Ainsi, dans le sud Essonne, dans les cantons d’Étampes, Dourdan et Mennecy, regroupant l’essentiel des villages français si chers à Marine Le Pen, le FN/RBM, et donc ses partenaires, sont bels et bien implantés dans l’électorat. La présence de candidats de terrain, arpentant leur terroir depuis des années, est nécessaire à notre victoire.
Un vote qui est un vote pour la défense de notre Identité et de nos valeurs, un vote de clocher, au sens propre, refusant le communautarisme, exprimant le rejet des politiques qui, par pur électoralisme courtisent au grand jour l’électorat musulman en favorisant les constructions de mosquées, comme c’est le cas par exemple des « Républicains » à Étampes. Ainsi ni les « Républicains » ni le PS, parti pro-immigration massive depuis toujours, ne changeront les choses par leurs discours. Les électeurs attendent désormais des actes forts pour faire reculer l’immigration et la délinquance qui en découle. Y compris dans « nos campagnes » !
Les élections régionales sont l’occasion pour le FN et ses partenaires, dont le SIEL, de montrer son ancrage massif dans l’électorat de ces départements de l’Ile-De-France et de constituer ainsi le maillage territorial nécessaire pour une implantation durable. À condition que ces territoires ruraux soient dotés de candidats les incarnant, et pas seulement dans les zones périurbaines proches de la petite couronne.
Franck Guiot
Ex- Maire adjoint d’Ormoy-la-Rivière (91)
Ex-UMP, membre du FN et adhérent du SIEL.