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  • Un virage qui se dessine sur l’immigration

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    Source : Nouvelles de France
    Une intéressante tribune de Jean-Gilles Malliarakis dans Nouvelles de France, montre les fissures de plus en plus importantes dans le mur du silence qui entoure le problème de l’immigration.

    Deux pages d’accueil successives sur le site internet du Figaro me donnent à penser que certains blocages sont en train de sauter.
    Le samedi 1er août, c’était : « L’immigration, principale préoccupation des Européens », avec à la clef une étude par sondage réalisée ce printemps pour le compte de la Commission européenne.
    Ce lundi 3 août au matin c’est : « Migrants : la Mairie de Paris se retrouve sous pression. »

    L’affaire de Calais, loin de Paris, loin des plages vacancières, loin de campagnes aujourd’hui encore ensoleillées, loin de Neuilly aussi, plus loin encore des palais nationaux, a longtemps semblé une affaire, désagréable certes, mais que nos technocrates et nos gendarmes allaient régler pendant que nous fermons les yeux.
    À Lampedusa, à Mytilène, aux confins de l’Espagne et du Maroc ? Que l’Europe du Sud se débrouille, nous ne voulons pas le savoir.

    D’excellents esprits viennent aussi nous assurer que, grâce aux immigrés devenus sémantiquement des « migrants », – avez-vous remarqué l’invasion des éléments de langage ? – nos retraites par répartition allaient être sauvées. Pure illusion, grossier mensonge.

    Et puis, aujourd’hui même à Paris, on découvre qu’un lycée désaffecté du 19e arrondissement a été envahi malencontreusement par des « chances pour l’Europe ». Ses occupants illégaux viennent compliquer l’existence tranquillement dépensière d’un des centres de pouvoir les plus infectés d’idéologie bien-pensante et socialo-communiste : l’équipe municipale Hidalgo. La voici obligée de protester par des mots absurdes : « Ce n’est pas en envahissant un équipement public qu’on trouve de l’hébergement », explique-t-on, si j’en crois Le Figaro au cabinet du maire. Accessoirement les mêmes bureaucrates ne nous expliquent pas comment « on » obtient gain de cause.


    On nous dit que « la Mairie de Paris refuse également de céder au “chantage inadmissible” des migrants du lycée Jean-Quarré, qui réclament l’aménagement d’un gymnase pour s’y installer. »
    « On réfléchit au fait de faire intervenir les forces de police » – réfléchissez, réfléchissez —, mais la situation est claire :

    le dialogue est pour le moment rompu. Une réunion de crise devrait se tenir ce lundi matin à la Mairie de Paris pour trouver une solution.

    Bien sûr, dira-t-on, c’est la version du Figaro, pas trop favorable à l’insupportable Hidalgo.
    Nous sommes certes assaillis de désinformation à jet continu. Mais cela, nous le savons aussi, de plus en plus, avec plus ou moins de conscience de cette dommageable intensité.

    La fin des euroscepticismes plus ou moins fabriqués, plus ou moins manipulés, des deux côtés de la Manche, n’est sans doute pas pour demain.
    Au moins la purulence grandissante de ce dossier a-t-elle permis à un nombre non négligeable d’Européens d’ouvrir les yeux : on observe dans toute l’Europe le même verrouillage idéologique, dans les salles de rédaction, dans les sacristies régimistes, dans les réseaux de pouvoir.

    On aura eu beau forger, ou réinventer, le concept supposé excommunicateur de « populismes » – pouah ! –, un mot qui désignait autrefois les démocrates-chrétiens – dans des régimes démocratiques, même imparfaits, c’est toujours l’opinion qui porte au pouvoir telle ou telle force politique. C’est aussi l’opinion, bonne ou mauvaise conseillère, qui fait évoluer les partis du système, et, s’ils n’évoluent pas c’est enfin l’opinion qui fait gonfler les voiles, plus ou moins éphémères, de partis concurrents, même factices.
    Ce qui s’est passé en France depuis 30 ans a été freiné, manœuvré par la rivalité Chirac-Mitterrand, les deux joueurs ayant fait l’un comme l’autre bon marché de l’intérêt du pays, et de l’opinion profonde du peuple, pour ne s’intéresser qu’à leur petit billard politicien.

    Ce temps n’est plus. Le billard post-mitterrandien du disciple Hollande ne lui arrive pas à la cheville. Celui des post-chiraquiens n’intéresse plus qu’eux-mêmes et les petits marquis des médias.
    Il paraît donc temps, en France et dans toute l’Europe, que les citoyens reprennent les mandats usurpés par la classe politique et captés par les technocrates, redéfinissent ce qu’ils attendent des institutions européennes, et construisent à nouveau, enfin, l’Histoire du continent.

  • Une quarantaine de tombes profanées en Lorraine

     

    Un cimetière chrétien a été profané à Labry, dans l'est de la France, avec des «crucifix retournés ou brisés et une plaque funéraire dégradée», selon le ministère de l'Intérieur.

     

     

    Un cimetière chrétien a été profané dans le cimetière de Labry dans l'Est de la France, avec des "crucifix retournés ou brisés et une plaque funéraire dégradée", a annoncé lundi soir le ministère de l'Intérieur.

    "Ce lundi après-midi, les policiers (...) ont constaté la profanation d'une quarantaine de tombes chrétiennes dans le cimetière de la commune de Labry" dans le département de Meurthe-et-Moselle, selon un communiqué du ministère, précisant qu'"il s'agit de la cinquième profanation de cimetière dans le département depuis le début de l'année".

    "Ces actes inacceptables appellent une réponse pénale ferme. Les enquêtes devront permettre d'en poursuivre les coupables", a ajouté le ministère de l'Intérieur.
  • Tweet de Florian Philippot

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  • L’immigration, révélateur du gouffre entre l’Europe d’en haut et l’Europe des peuples

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    13h49

    Maxime Tandonnet analyse la déconnection de plus en plus grande entre les peuples européens et leurs dirigeants face à l’immigration.

    Un sondage vient de révéler que l’immigration était aujourd’hui, désormais, la première préoccupation de 38% des Européens bien loin devant les questions économiques (Eurobaromètre, juillet 2015) . Ce n’est pas la venue régulière en Europe de personnes du monde entier, désireuses d’y travailler en respectant ses lois et d’y élever leurs enfants, disposant d’un logement et d’un emploi, qui suscite cette réaction, ni l’asile offert aux authentiques victimes de persécutions. Non, ce que rejettent les Européens, c’est le chaos migratoire, le sentiment largement partagé de l’impuissance tragique des autorités politiques – nationales comme européennes – face à des arrivées non maîtrisées de migrants qui forcent le passage par tous les moyens dans une Europe qui compte 20 millions de chômeurs et confrontée à des difficultés gigantesques, sociales, financières, politique. [...]

    L’Europe «d’en haut», politique comme intellectuelle, est dans l’impossibilité absolue de penser, de concevoir, d’essayer de comprendre ce malaise populaire.

    Pour elle, il est le fruit d’un obscurantisme, que reflète l’usage du mot méprisant «populiste» , d’une vue de l’esprit puisque le phénomène migratoire, par définition, se confond avec le bien. Elle réagit exactement comme un apparatchik du Soviet suprême, dans les années 1950, auquel on aurait voulu expliquer que le «socialisme scientifique» n’est pas forcément l’avenir radieux de l’humanité.

     

    Que peut-il sortir de ce gouffre entre l’Europe d’en haut et l’Europe des peuples ?

    – Scénario 1 – le pourrissement: tout continue comme si de rien n’était, sur la ligne actuelle, en essayant d’enfouir les problème et de détourner l’attention des peuples et de traiter leurs inquiétudes par le mépris.

    Peu à peu, à la faveur d’un chaos qui se répand, aux frontières comme dans les zones urbaines, nous assistons à un retour des nationalismes en Europe, une montée des tensions entre les Etats (France/Italie, France/Royaume-Uni); la défiance envers les politiques se généralise, s’exacerbe, les partis nationalistes, venus parfois de l’antisémitisme et du racisme, poursuivent leur vertigineuse ascension partout. Sur une vingtaine d’années, peut-être moins, on peut envisager l’arrivée de régimes autoritaires sur le continent, sinon de dictatures, un rejet viscéral de toute forme de solidarité européenne, des phénomènes de repli autarcique et une résurgence des haines nationalistes de la pire espèce. [...]

    - Scénario 2 – la prise de conscience : les autorités politiques nationales et européennes réalisent enfin le danger auquel elles exposent le continent européen. Elles s’affranchissent des dogmes, des idéologies, de l’ordre moral qui conditionnent leur comportement sur ces sujets depuis plusieurs décennies. Un principe simple doit dès lors effectivement prévaloir: l’Europe est certes un continent ouvert et hospitalier, en fonction de ses capacités d’accueil, mais personne ne peut entretenir le moindre espoir d’y entrer ou d’y rester illégalement, c’est-à-dire en dehors du respect de son droit et de ses lois (communautaires et nationales). En contrepartie de cette clarification, l’Europe entreprend un gigantesque effort d’aide au développement des pays sources de l’immigration.

    Hélas, l’aveuglement obtus qui prévaut aujourd’hui, la terreur du qu’en-dira-t-on aussi, qui paralyse les élites politiques et intellectuelles, dans un climat de lâcheté et de narcissisme généralisé, me font plutôt pencher vers la première alternative mais comme souvent, je peux me tromper et je l’espère sincèrement…

    source

  • Essonne (91) : arrivé en France en 1994, Zoheir Bouaouiche est le nouveau sous-préfet d’Etampes

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    18h13

    Zoheir Bouaouiche, directeur du cabinet du préfet de l’Yonne depuis septembre 2013, a été nommé le 1er juillet sous-préfet d’Étampes (Essonne), située au sud de la région parisienne. Il sera remplacé par Emmanuelle Fresnay, sous-préfète de Château-Gontier (Mayenne).

    « Je découvre le Sud Essonne, confie Zoheir Bouaouiche. C’est un territoire complet, avec un volet rural et agricole très important, mais aussi des problématiques urbaines. Et c’est un territoire francilien, avec une mixité qui en fait sa richesse.

    Source

     

    L’ancien ingénieur né à Alger en 1971 est arrivé en France en 1994 afin de poursuivre ses études. “J’ai été piqué par la chose publique lorsque j’étais à la mairie de Castenet-Tolosan, une petite ville de la même dimension que Vire”, assure-t-il.

     

    C’est donc là, que l’homme qui prépare un master et est responsable de l’informatique et des télécommunications passe d’un emploi plutôt technique à une dimension stratégique. On est au début des années 2000. L’ascension ne s’est donc pas arrêtée pour le sous-préfet qui a reçu sa légitimité républicaine le 2 mai dernier, faisant de lui le 28e sous-préfet de Vire.

     

    Source

    Merci à Yabonlaseku

  • La propagande de L’UE pour lutter contre l’opposition grandissante au TAFTA

    31 juillet 2015 par Pierrot  - Contre-info.com

    « Je n’ai toujours aucune idée de ce qu’est le TTIP après avoir regardé cette vidéo… Pure propagande » : tel est l’un des commentaires figurant sous les vidéos postées sur YouTube par la Commission européenne pour défendre le traité transatlantique (TAFTA, ou TTIP), qui rencontre une hostilité croissante partout en Europe. Pour chaque vidéo de la Commission européenne qui vante les mérites d’un accord négocié dans le plus grand secret, des dizaines d’internautes mettent en gardent contre les conséquences terribles du traité transatlantique. Si l’adoption finale des traités de libre-échange ne fait guère de doute, la Commission européenne aura sans doute bien du mal à rencontrer l’assentiment des peuples. Aussi un phénomène émerge-t-il : les mondialistes se lancent désormais dans la propagande pour promouvoir leur idéologie de plus en plus massivement rejetée par les peuples.

    La Commission européenne tente de lutter contre l’opposition grandissante au traité transatlantique

     

    Au début de l’année 2013, le président américain Barack Obama appelait à un accord commercial entre les Etats-Unis et l’Union européenne : dès cet instant, Bruxelles voyait fleurir des tags « NO TAFTA, NO TTIP » dans ses rues. Plus de deux ans après, les graffitis sont toujours là, et l’opposition ne cesse de croître.

    C’est la raison pour laquelle les bureaucrates bruxellois ont décidé de prendre les armes de leurs adversaires pour tenter de convaincre les peuples des bienfaits de ce traité transatlantique, dont les bénéfices sont tels que les négociations sont entourées d’un secret absolu.

    « Nous savons très peu parler aux gens ordinaires », a commenté un officiel de l’Union européenne engagé dans l’équipe de communication pro-TAFTA de la Commission. L’aveu mérite d’être relevé mais pendant ce temps d’autres, qui savent parler aux « gens ordinaires », ont activement milité contre le traité transatlantique et recueilli les fruits de leur militantisme. 39 % des Allemands et 50 % des Français seulement sont favorables à cet accord, selon une récente étude de l’organisme de sondage américain Pew Research.

    La propagande de la Commission européenne pour convaincre les opposants au TAFTA – TTIP

    Alors l’Union européenne redouble d’efforts et utilise des prospectus, des fiches d’informations, des brochures et des vidéos pour « casser le mythe », sans convaincre grand monde pour l’instant.

    Les critiques se focalisent sur l’appauvrissement de l’Europe, ou l’ouverture des règlementations en matière de sécurité ou d’environnement. Un groupe d’activistes européens intitulé « STOP TTIP », soutenu par l’extrême-gauche et les écologistes, a finalement été rejoint par un grand nombre d’Européens qui s’inquiètent des impacts d’un tel accord sur les emplois, la sécurité alimentaire ou le pouvoir des multinationales… La grogne s’amplifie.

    Alors les officiels de Bruxelles parcourent l’Europe, rencontrent des étudiants pour leur dire tout le bien qu’il faut penser de cet accord. Ils reçoivent peu de soutien des gouvernements européens alors même que la Commission européenne attend d’eux, des parlements et des autorités des différents pays concernés qu’ils tentent de convaincre leurs citoyens.

    Il sans doute trop tard pour s’opposer à cette nouvelle étape de l’intégration mondialiste : les moyens de l’Union européenne sont trop puissants et la propagande pourrait s’intensifier… Jusqu’à convaincre ? Est-ce encore nécessaire ? Nos démocraties avancées peuvent maintenant de passer de l’avis des peuples. Les Grecs nous n’ont récemment rappelé et les Français se souviennent avoir rejeté la Constitution européenne. Seul compte le discours médiatique qui reconstruit le réel et norme le politiquement correct.

    En attendant, il faut noter qu’une propagande aussi manifeste pour l’idéologie mondialiste est un phénomène nouveau, qui pourrait rapidement devenir envahissant…

    Béatrice Romée pour Reinformation.tv

  • Vallauris: la plage privatisée par le roi d'Arabie saoudite est rouverte au public

    http://www.leparisien.fr/provence-alpes-cote-d-azur/vallauris-la-plage-privatisee-par-le-roi-d-arabie-saoudite-rouverte-au-public-03-08-2015-4987695.php

    + 3 VIDEOS

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  • Deux tweets de Nicolas BAY

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  • Kim Jong-un : encore pire pour les chrétiens que son père et son grand-père…

     

    « Maison Kim : dictateur de père en fils depuis 1945 »… C’est le calicot qu’on pourrait apposer sur l’infortunée partie septentrionale de la Corée où une implacable dictature communiste et athée écrase la population depuis soixante-huit ans… Et pourtant au début du XXe siècle, Pyongyang, l’actuelle capitale de la Corée du Nord, était qualifiée de « Jérusalem de l’Orient » : on y comptait plus de 3 000 lieux de culte chrétiens. Un siècle plus tard, il n’en reste rien sauf une ou deux “vitrines” que le régime entretient à l’usage des rares visiteurs étrangers. Dans ce pays à l’opacité sans pareille, on ne peut qu’estimer le nombre des chrétiens qui croupissent dans des camps de travail ou de concentration : des dizaines de milliers, sur un nombre de total de chrétiens estimé entre 100 et 400 000 ! La Corée du Nord est, assurément, le pays le plus antichrétien au monde. L’organisation Christian Aid Mission affirme que l’actuel dictateur, le rondouillard Kim Jong-un, mène une politique de répression contre les chrétiens encore pire que celles de son père Kim Jong-il et de son grand-père Kim Il-sung : « La population de la Corée du Nord estime que Kim Jong-un rend la vie des chrétiens encore plus difficile que sous son père ou son grand-père ». Il existe pourtant de nombreuses “églises” en Corée du Nord, mais elles sont contraintes de vivre dans la plus totale clandestinité…

    Source : Mission Network News

    Observatoire de la christianophobie

  • Isère : 22 tombes chrétiennes profanées à Villette-de-Vienne

    http://www.christianophobie.fr/breves/isere-22-tombes-chretiennes-profanees-a-villette-de-vienne?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+Christianophobie+%28Observatoire+de+la+christianophobie%29#.Vb62t5Uw-M8

  • Le roi d'Arabie Saoudite quitte déjà la Côte d'Azur et s'envole pour le Maroc

    http://www.leparisien.fr/provence-alpes-cote-d-azur/le-roi-d-arabie-saoudite-quitte-deja-la-cote-d-azur-et-s-envole-pour-le-maroc-02-08-2015-4985999.php

    Bon débarras!

  • Marseille: des marins-pompiers agressés en intervention

    Avant-hier, peu après minuit, les hommes du bataillon ont été appelés pour porter secours à un homme blessé par arme blanche, à la cité Saint-Joseph, située avenue des Arnavaux à Marseille (14e arr.). Mais sur place, il leur a d’abord été impossible d’accéder au bâtiment où les attendait la victime : les ascenseurs et les escaliers étaient "gardés" par une dizaine de personnes qui empêchaient tout accès aux étages. Les marins-pompiers sont finalement parvenus à rejoindre le blessé et à le prendre en charge.

    Mais une fois redescendus au rez-de-chaussée, le même groupe de "portiers" ne voulait pas les laisser sortir du bâtiment ! Ces individus s’en sont pris aux marins-pompiers, qu’ils ont insultés et menacés de mort. Les secouristes n’ont eu d’autre choix que de laisser le blessé sur place et d’aller se réfugier dans les étages afin de prévenir la police. L’arrivée sur place des forces de l’ordre a suffi à mettre en fuite les forcenés.

    Mais impossible de retrouver le blessé, qui avait disparu lors des échauffourées ! Ce jeune homme de 21 ans a finalement été retrouvé au 6e étage du bâtiment, dans l’appartement d’un résident où il avait trouvé refuge. Conduit à l’hôpital Nord, ses jours ne sont pas en danger. Une plainte a été déposée par le bataillon.

    La Provence - 02 08 15

  • Melun : des enfants de 5 à 13 ans saccagent l’école maternelle

    http://www.leparisien.fr/melun-77000/melun-des-enfants-de-5-a-12-ans-saccagent-l-ecole-maternelle-02-08-2015-4985531.php

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    Des enfants normaux ne font pas ça...

  • Le président tchèque aux migrants: "Personne ne vous a invités, respectez nos règles"

    http://www.levif.be/actualite/international/le-president-tcheque-aux-migrants-personne-ne-vous-a-invites-respectez-nos-regles/article-normal-408457.html?utm_source=Newsletter-02/08/2015&utm_medium=Email&utm_campaign=Newsletter-RNBAVULV&M_BT=10384380009393

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    Milos ZEMAN

  • L’islam contre les femmes

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    Source : Polémia
    Pendant près de huit cents ans en Espagne, pendant plus de quatre siècles dans les Balkans, les Musulmans ont imposé leurs lois, leurs modes de vie exclusifs, ont dicté leur loi religieuse à l’ensemble des Chrétiens d’Orient et d’Occident.
    De Tolède à Byzance, chacun a pu mesurer les souffrances endurées par toutes celles et tous ceux qui, au contact des Musulmans, « vivaient comme on peut tenter de le faire au milieu de loups ou de lions ».
    Cible particulièrement fragile de cette cohabitation imposée, les femmes sont considérées en terre d’islam « comme un champ de labour, auquel l’homme va comme il le veut ».

    Pour peu qu’elles soient chrétiennes, elles sont encore moins respectables car « condamnées au feu éternel ».
    Ainsi sont traitées et jugées par l’islam les femmes chrétiennes, officiellement protégées en terre d’islam autrefois par leur statut de dhimmis
    A y regarder de plus près toutefois, on se rend compte que la « dhimmitude » citée en exemple par certains exégètes de l’islam, est un leurre.

    En réalité, les Grecs, Serbes et autres Espagnols qui durent subir la dhimmitude restèrent dans l’oppression. Avilis, méprisés, les sujets chrétiens étaient tout juste bons (comme d’ailleurs les Juifs dans une moindre mesure) à servir de faire-valoir fiscal et financier aux Arabes en Espagne, aux Turcs dans l’Empire ottoman.

    L’existence des infidèles, Juifs et Chrétiens, était une condition nécessaire de l’équilibre du budget.
    La mission prioritaire des gouverneurs musulmans à Cordoue ou des fonctionnaires turcs dans les Balkans, était de lever l’impôt foncier et la capitation dus par les populations vaincues demeurées fidèles à leur foi. Gare à celui qui ne s’acquittait pas de sa capitation : il pouvait être réduit en esclavage, voire puni de mort. Gare également au Chrétien dont la femme était trop désirable, il pouvait très facilement passer de vie à trépas !
    Les dhimmis n’avaient pas le droit de port d’armes, ne pouvaient pas monter à cheval, devaient s’effacer dans la rue quand ils voyaient un Musulman, et se lever quand ils étaient assis, au passage d’un croyant.

     

    Ils devaient également hospitalité à tout voyageur musulman qui le réclamait.
    Autant de contraintes que vécurent pendant des siècles Chrétiens d’Orient et d’Occident. La femme jouant le rôle essentiel de conserver au sein du foyer la foi catholique ou orthodoxe, ciment essentiel qui permit, en tout cas, aux Espagnols et aux Grecs (mais aussi aux Serbes et aux Bulgares) de résister à la gangrène islamique.
    La femme chrétienne humiliée

    Considérées par l’islam et le Coran comme « Les pires bêtes pour Dieu car elles sont parmi les sourds et les muets qui ne comprennent rien et s’entêtent à ne pas croire », les chrétiennes vont subir pendant des siècles les humiliations, les violences, les vexations des maîtres musulmans. Ce qui pouvait d’ailleurs leur arriver de moins pire au regard des égorgements, viols, meurtres rituels et autres crémations qui furent infligées aux plus récalcitrantes et aux plus rebelles. Souvenez-vous des massacre de Chio du génocide arménien et de la folie meurtrière qui s’empara, en 1922, des musulmans qui, à Smyrne notamment, rendirent la mer Egée rouge du sang des centaines de milliers de victimes chrétiennes, dont de nombreuses femmes, jeunes et moins jeunes, égorgées comme de vulgaires moutons après avoir été violées par leurs bourreaux.
    En 1866, lors du soulèvement crétois contre l’oppresseur turc, Omer Pacha, envoyé par la Sublime Porte pour réprimer la révolte, n’hésita pas, lors de la bataille de Frangokastello, après avoir exterminé une majorité d’hommes en état de se battre, à exécuter froidement femmes et enfants. Juste pour la forme, se réservant pour son bon plaisir une jeune fille, rejeton d’une grande famille.
    La même année, plus de 1000 personnes dont une majorité de femmes, retranchées avec des moines à l’intérieur du Monastère d’Arkadi, choisirent volontairement la mort en acceptant que les moines mettent le feu aux poudrières. Elles voulaient échapper à la cruauté des troupes turques !
    En 1823, lors d’une première révolte dans la région de Lassithi, plus de 2 000 femmes et enfants avaient été exterminés !
    C’est dire la cruauté des descendants des hommes de Mehmet II, qui, lors de la chute de Byzance en 1453, arrachaient les enfants aux mères, massacraient les nouveaux-nés, violaient sans honte les vierges dans les églises consacrées, dénudaient les femmes âgées et les outrageaient.
    Doit-on s’étonner d’un tel comportement quand on sait que les Ottomans pensaient qu’une « Esclave croyant en Allah vaut mieux qu’une femme qui croit en la Trinité » ?
    Humiliée, la femme chrétienne était aussi une proie rêvée et un objet convoité sur les marchés d’esclaves d’Alger ou de Constantinople. Les Algérois mettaient par exemple, à profit un voyage à Constantinople pour acquérir une esclave de Russie et la revendre ensuite au plus offrant.
    La conversion à l’islam était, bien sûr, obligatoire. On cite le cas d’Anna, jeune russe qui dut solennellement renier sa foi orthodoxe en piétinant sa croix, en crachant dessus trois fois et en la jetant dans la mer Noire. Une telle adhésion à l’islam ne signifiait cependant pas la fin des tourments pour les victimes. En effet, la dure loi de la conversion forcée, du voile imposé, de la vie partagée dans le harem avec d’autres femmes tournait souvent au drame.
    La « Renégate » était souvent mise en quarantaine, parce que plus belle que les favorites musulmanes qui voyaient d’un mauvais œoeil l’arrivée de belles Circassiennes, semblables à la chère Aziyadé de Pierre Loti.
    Et que dire de ces milliers de jeunes chrétiennes razziées en Occident ou dans les Balkans, entrées en islam à 10 ou 12 ans, aussitôt mariées de force à des musulmans turcs ou morisques et qui, à la faveur d’un rachat par des marins, retrouveront la mère patrie ? A leur retour en terre chrétienne, elles seront obligées de se présenter devant les tribunaux inquisitoriaux qui ne chercheront pas à exercer un contrôle strict sur le retour de ces femmes converties de force par des Musulmans.
    En Espagne, lors de la conquête musulmane, la terreur s’abat en Castille, en Galice, dans les Asturies et au Pays Basque. Les habitants de ces régions redoutent, en effet, la sa’ifa (campagne d’été de Musulmans) qui se solde inévitablement par des pillages, l’enlèvement du bétail et la mise en esclavage systématique des femmes et des enfants alors que les hommes sont tués pour la plupart d’entre eux.
    Toujours les Musulmans « semèrent la terreur à Narbonne vers 720. Après avoir fait main basse sur des statues en argent massif dans une église qu’ils prennent la peine de détruire, ils emmenèrent comme esclaves de nombreuses femmes, beaucoup d’enfants et quelques hommes », comme le note Charles-Emmanuel Dufourcq dans une magistrale « Vie quotidienne dans l’Occident médiéval », rappelant également que pendant leur conquête de Sicile, ces mêmes Maures, exaspérés par la résistance qui leur est opposée, pillent, tuent et égorgent tout ce qui se trouve sur leur passage, mettant un raffinement certain dans les tortures qu’ils infligent aux femmes.
    Sans doute avaient-ils présent à l’esprit que « Les incroyants qui ont la Bible et l’Evangile iront dans le feu de la géhenne et y seront pour toujours »…
    La femme chrétienne, otage malgré elle

    Pendant des siècles, les musulmans (barbaresques, morisques et autres turcs ottomans) ont pratiqué l’enlèvement systématique des enfants chrétiens, mâles ou femelles.
    Le « greffon », l’enfant chrétien, ainsi transplanté en terre d’islam, et ravi à l’affection de sa mère, devait devenir un bon musulman, élevé par des nourrices turques ou arabes dans des maisons privées ou dans les palais des Stambouliotes.
    Les musulmans faisaient un prélèvement régulier aux dépens des forces vives du monde chrétien (Espagne jusqu’en 1492, Serbie, Grèce, Russie, Bulgarie) en le délestant, chaque année, de plusieurs milliers de ses enfants, auxquels ils offraient la possibilité d’une intégration totale dans les sociétés cosmopolites du Maghreb ou de l’Empire ottoman.
    1. En Europe occidentale, les enfants étaient razziés sur terre ou capturés en mer. La mémoire populaire a d’ailleurs gardé la hantise de ces raids-éclair en Corse, en Sicile, aux Baléares, mais aussi sur nos côtes de Provence ou du Roussillon.
    Aussitôt embarqués de force sur les bateaux pirates, les petits garçons étaient circoncis afin de prévenir toute action des Consuls de leur pays respectifs, au cas où des familles porteraient plainte.
    Violences, coups, tout était fait pour que la jeune victime devienne rapidement un musulman soumis.
    Dans leur ouvrage consacré au « Chrétiens d’Allah », Bartolomé et Lucile Bennassar citent également les mères enlevées en même temps que leurs enfants : « Anastasia, une jeune Russe et sa mère, furent achetées par le même maître et partagèrent sept ans de captivité ». 2. En Europe orientale (en Serbie et en Grèce plus particulièrement), les jeunes garçons orthodoxes fournirent jusqu’au milieu du 17ème siècle le corps des janissaires, corps d’élite de l’armée turque.
    La Devchirmé (littéralement ramassage) régissait ainsi le recrutement de l’armée. « C’était un plan diabolique et le plus épouvantable tribut de chair humaine qui ait été levé par une religion victorieuse sur une religion vaincue » comme l’écrira un historien du 19ème siècle, Théophile Lavallée.
    Comment, en effet, ne pas qualifier de diabolique cette opération qui consistait à rassembler, dans un village chrétien, toute la population mâle et à prélever les plus sains d’entre eux, chassés et prélevés comme on prélève un gibier.
    Cruauté suprême, les garçons étaient souvent choisis en nombre plus important que prévu… les fonctionnaires turcs, chargés du ramassage, se faisant ainsi racheter les enfants par les parents.

    Les vieux serbes se rappellent encore que les enfants mâles nés les années impaires, étaient de futurs janissaires pendant que ceux qui avaient eu le bonheur de naître les années paires, n’étaient pas soustraits à l’affection de leurs mères.Ils pouvaient ainsi contribuer à payer l’impôt réclamé par Allah.
    Quant aux Grecs, ils subirent le même sort… jusqu’en 1807, mais les prélèvements en chair humaine seront moins répétitifs.
    Et pendant ce temps là, que faisait la mère de famille, l’épouse, la femme sinon se lamenter et jurer la perte de ces brutes qui pouvaient également enlever les jeunes filles ou même les épouses ?

    On cite le cas de cette veuve grecque convoitée par le gouverneur turc de Thessalie, enlevée par ses hommes et qui refusait d’épouser son tortionnaire.
    Retrouvée par ses deux fils à Constantinople, elle prit le voile dans un Monastère pendant que ces derniers étaient faits prisonniers…
    Conclusion

    Neuf siècles ont été nécessaires pour effacer la présence musulmane en Espagne et près de quatre siècles sont venus à bout du joug ottoman dans les Balkans, même si aujourd’hui, à cause de la politique imbécile de certains, l’islam refait surface sur ces vieilles terres orthodoxes de Serbie, de Thrace ou de Bulgarie.
    Tout au long de ces siècles de domination ottomane ou arabe, vécue comme un vrai calvaire par les populations soumises au bon vouloir des pachas, effendis, agha, caïmacan, dahi, et autres califes, des millions de Chrétiens (hommes, femmes et enfants) ont été assassinés, égorgés, violés, déportés, brûlés vifs, dépecés vivants.
    Tous cela au nom d’Allah et des principes coraniques.
    Aujourd’hui encore – les récents événements tragiques du Kosovo le prouvent, des massacres sont commis au nom de la « soumission » à Dieu, traduction littérale du mot islam.
    A un moment où faire repentance est devenu un passage obligé quand il s’agit du colonialisme, de l’esclavage ou de bien d’autres choses encore, ne serait-il pas temps que les Musulmans fassent aussi repentance en reconnaissant l’étendue de leurs crimes contre l’humanité ?

    Françoise Monestier
    Paris, 07/02/2002
    Colloque régional « L’islam contre les femmes »

  • Arrivée de l'Hermione aux E.U...

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  • L’écologisme, une religion laïque. Par Jacques ABOUCAYA

     

     

    A l’évidence, notre monde a perdu le sens du sacré. Le mot lui-même devient incompréhensible aux jeunes générations. Comme, du reste, toute notion de transcendance. Conséquence, le religieux revient en force. Sous d’autres formes. « Laïcisé », en quelque sorte. Ainsi l’écologie – ou, plus exactement, ce que j’appellerai l’écologisme, qui en est la forme exacerbée. Il présente tous les attributs, toutes les caractéristiques d’une religion. La plus exigeante, la plus intransigeante et, pour tout dire, la plus sectaire qui soit.

     

    L’écologisme a son Ancien Testament et ses prophètes. Parmi eux, Jean-Jacques Rousseau et son bon sauvage, l’Américain Henry David Thoreau, l’auteur de Walden que les adeptes du Flower Power remirent à la mode dans les années 60 et 70 de l’autre siècle. C’est dans leurs œuvres qu’il faut chercher les textes fondateurs. Les Tables de la Loi de la religion nouvelle. Une vulgate inlassablement reprise et déclinée sous toutes ses formes par les prédicateurs de l’écologisme moderne. Ceux qui vouent un culte, sans parfois en avoir pleine conscience, à  Gaïa, la déesse mère des anciens Grecs.

     

    Figures de proue, chez nous, José Bové, Eva Joly, Cécile Duflot et quelques autres aussi ouverts au dialogue, sympathiques, avenants, et dont la future canonisation ne fait aucun doute. En attendant, toujours prêts à fulminer des anathèmes contre quiconque ose contester ce qu’ils tiennent pour une vérité intangible, leur Vérité. Ces apôtres font l’objet, de la part de leurs militants, d’une véritable vénération, n’hésitant pas, du reste, à se  muer en Savonaroles pour se livrer au saccage des constructions des infidèles, comme le fameux McDo de Millau ou, plus récemment, le projet de barrage de Sivens, dans le Tarn. De quoi entretenir le fanatisme de fidèles prompts à se changer en prosélytes agressifs.

     

    De telles expéditions, qui font penser aux Croisades de jadis et recrutent pillards et soudards, engendrent, fatalement, des martyrs. Bien utiles, au demeurant, pour valoriser la cause.  La conforter. Lui fournir, en quelque sorte, une légitimité à la mesure de l’émotion suscitée. Ainsi certaines bavures policières sont-elles systématiquement montées en épingle, exploitées ad nauseam par des media relayant, non sans complaisance, un manichéisme simpliste : d’un côté les bons écolos, doux comme des agneaux, prêts à se laisser immoler pour défendre la Nature. De l’autre les méchants flics, suppôts d’un capitalisme sans foi ni loi. Ainsi se constitue la Légende dorée de ce culte d’un genre nouveau.

     

    Aux religions traditionnelles édictant des interdits alimentaires, nos modernes écologistes ont emprunté des ukases de même nature que l’on ne saurait transgresser sous peine de déclencher les dix plaies d’Egypte. Les plus purs d’entre les militants prônent un strict végétarisme. Les autres, jouant sur la hantise de la maladie, largement partagée, se contentent de promouvoir le Bio sous toutes ses formes. Du reste, à l’instar des religions reposant sur les tabous, l’écologisme joue volontiers sur la peur. Peur du nucléaire. Du trou dans la couche d’ozone. Du réchauffement climatique. Des OGM. Peu importe si des études sérieuses ont montré que certaines de ces peurs étaient parfaitement infondées et irrationnelles. Il s’agit seulement de les entretenir pour terroriser les foules. Recette bien connue.

     

    Cette forme de millénarisme permet de désigner les démons contre lesquels il urge de se mobiliser. Au premier rang desquels Monsanto et les OGM, les tenants du nucléaire et, d’une manière générale, tous ceux qui refusent de souscrire au dogme d’un ordre « naturel » nourri avant tout de fantasmes. Seule voie de salut, battre sa coulpe. Se repentir de tous les crimes passés et à venir perpétrés contre les valeurs écologiques. Vous ne vous en sentez nullement responsable ? C’est que vous faites bon marché d’une tache indélébile que d’aucuns nommeraient péché originel. Il frappe, en l’occurrence, quiconque a la malchance d’être né Blanc et Occidental. Il n’est, de nos jours, tare plus lourde à porter.

     

    Jacques Aboucaya -  2 août 2015

     

  • Rennes (35) : sorti de prison en février, un Guyanais de 28 ans écroué pour viol

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    Le canal St Martin (Rennes)

    21h55

    La semaine dernière, une étudiante avait été violemment agressée près du canal Saint-Martin. Vendredi dernier, les policiers du Raid ont interpellé un Guyanais de 28 ans.Il venait de purger une lourde peine pour vol à main armé et était sorti en février dernier de prison.

    La jeune femme promenait ses chiens, mardi 21 juillet, dans la soirée le long du canal Saint-Martin à Rennes. En rentrant chez elle, l’étudiante prend un raccourci et emprunte un chemin mal éclairé. C’est à cet endroit qu’elle a été agressée par un homme qui dissimulait son visage sous une capuche.

    L’agresseur, armé d'un couteau, a abusé de sa victime avant de lui dérober son sac à main. Il a ensuite pris la fuite. La police, alertée rapidement, a commencé le soir même, les investigations pour retrouver l’auteur de l’agression et du viol.

    Des éléments génétiques ont permis de retrouver la trace d’un suspect. Vendredi dernier, les hommes du RAID l’ont interpellé à son domicile, proche de l’endroit du viol. L’homme, originaire de Guyane, est âgé de 28 ans.

     
     

    Source

    Merci à Nevenoe

  • Où fait-il bon vivre en France? Dans les régions les plus catholiques

    http://www.fdesouche.com/632859-ou-fait-il-bon-vivre-en-france-dans-les-regions-les-plus-catholiques

  • Quelques minutes de détente avec le branle d'Ecosse

     

    http://www.festa.lt
    Branles d'Escosse performed by Lithuanian dance group Festa Cortese and Czech music group Remdih.
    2010 march Freienfels castle, Germany, 18th Knight tournament