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Tribune libre de Marine Le Pen au Time (VO et VF)
Tribunes libres / 18 novembre 2015 / Étiquettes : Terrorisme /
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Montbrial : Il y a « plusieurs dizaines de milliers » de « musulmans radicaux » qui soutiennent les djihadistes
20h54Thibault de Montbrial déclare sur RMC dans les grande gueule émission du 18/11/2015 que d’après les renseignement généraux il y aurais plusieurs dizaines de milliers de sympathisants et de soutien logistique potentiel dans la population musulmane française pour les jihadites des attentats.
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Histoire de La Marseillaise
Rouget de Lisle chantant La Marseillaise
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La Marseillaise avec les paroles (officiel)
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Une marche aux flambeaux anti-immigration en Lettonie
http://fr.sputniknews.com/international/20151118/1019637358/lettonie-marche-flambeaux-refugies.html
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Un prince saoudien arrêté avec deux tonnes de Captagon
La drogue était destinée aux mercenaires de l’État islamique
- Publié le : vendredi 30 octobre 2015
- Mots-clés : Arabie saoudite; Drogue; État islamique; Liban; Santé; Syrie
- Source : tdg.ch
- Commentaires : 25
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- E&R
Deux tonnes de pilules de Captagon et des poussières de cocaïne, le tout dans 40 valises. Au Liban, les Stups ont fait mouche avec cette saisie record. Au Royaume wahhabite en revanche, l’arrestation lundi à Beyrouth du prince saoudien Abdel Mohsen ben Walid ben Abdelaziz pour trafic de drogue fait tache. L’émir a été pris la main dans ses (gros) sacs, en partance pour Riyad à bord d’un jet privé.
Les frasques du jeune souverain de 29 ans lui vaudront-elles la décapitation dans son pays ? Probablement pas, Sa Majesté a des relations. Et au pays de toutes les interdictions, le Captagon est légion. Cinquante-cinq millions de ces comprimés supprimant la douleur et la fatigue tout en boostant les performances sexuelles sont saisis chaque année en Arabie saoudite, selon un rapport des Nations unies.
Très prisée dans les pays du Golfe, cette drogue stimulante produite à partir d’une molécule amphétaminique nommée Fénéthylline est aussi très appréciée des djihadistes du groupe État islamique (Daech). Plus de coups de barre, plus de sentiments (des fois qu’ils en aient encore), plus faim, plus mal et même plus peur. Idéal pour commettre l’indicible tout en restant de bonne humeur. Daech, qui prohibe pourtant officiellement le recours aux paradis artificiels, en a fait l’une de ses spécialités.
Production « délocalisée » en Syrie
Créé dans les années 60, le Captagon était prescrit pour traiter notamment l’hyperactivité et la narcolepsie, avant d’être considéré comme substance fortement addictive et interdit dans plusieurs pays dès les années 80. Depuis, elle est devenue très populaire au Moyen-Orient où, selon l’OMS, les deux tiers des saisies mondiales ont été effectuées.
Jusqu’en 2011, le Pays du Cèdre était le principal producteur de ce psychostimulant. Aujourd’hui, le Liban n’est plus que la plaque tournante du trafic de Captagon. Sa fabrication a été « délocalisée » en Syrie, expliquait cet été un responsable de l’unité de contrôle des drogues libanais interrogé par l’agence Reuters.
Juteux trafic
En plus de doper les combattants de tous bords, en Syrie et en Irak, cette drogue a créé une véritable économie de guerre dans la région, affirme pour sa part Radwan Mortada, journaliste libanais et spécialiste des groupes djihadistes, devant les caméras d’Arte. Il ajoute que l’argent généré par le trafic de Captagon sert aussi à financer le conflit syrien. Si une partie de la production est consommée sur place par les milices, l’autre part à l’exportation, notamment vers les pays du Golfe, (Arabie saoudite, Koweït, Émirats arabes unis) où la pilule miracle se revend plus de 20 francs suisses à l’unité, selon l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (UNODC).
Un sac de 200 000 pilules rapporterait un demi-million de dollars et il ne suffirait que de quelques milliers de dollars pour le produire. De plus, l’élaboration de la « potion magique des djihadistes », comme on la surnomme, ne nécessite qu’une maîtrise des bases de la chimie et peu de matériel, précise encore Radwan Mortada.
Le Captagon offre donc une source de revenu considérable au groupe État islamique. Qui plus est quand on a les princes du pays de l’or noir comme principaux clients. De là à parler de sponsoring, il n’y a qu’un pas que l’on serait tenté de franchir.
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Régionales : Ravier (FN) suspecte Valls de préparer un «bourrage d'urnes»
LE SCAN POLITIQUE - Le sénateur-maire de Marseille, tête de liste départementale dans les Bouches-du-Rhône pour le scrutin de décembre prochain, invite ses militants à surveiller les bureaux de vote lors du dépouillement.
«Il faut tout faire pour empêcher le FN de gagner une seule région». Martelée depuis plusieurs semaines par Manuel Valls, cette petite phrase semble avoir été interprétée au pied de la lettre par les responsables du parti de Marine Le Pen. Ainsi Stéphane Ravier, le sénateur-maire de secteur à Marseille et tête de liste départementale dans les Bouches-du-Rhône aux prochaines régionales, a-t-il fait part de ses craintes de voir le premier ministre, procéder à des «bourrages d'urnes» au scrutin de décembre.
Une position venue expliciter un sous-entendu exprimé plus tôt, en marge d'une réunion organisée à Aix-en-Provence, par la candidate tête de liste dans la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur (Paca), Marion Maréchal-Le Pen. «Il va falloir être dans les bureaux de vote pour les surveiller. Ils sont capables de tout!», a-t-il enjoint à ses militants, en visant l'exécutif. «Lorsqu'ils sont en danger, ils sont prêts à tout!», aurait-il encore relancé, selon le verbatim rapporté par le compte de soutien «@_Avec Marion».
Au Scan, le parlementaire poursuit son raisonnement: «J'écoute et j'observe ce que dit et ce que fait Manuel Valls, et la conclusion que j'en tire est on ne peut plus claire: il n'exclut rien. Alors certes, il existe plusieurs manières de “bourrer les urnes”, et il est vrai que je me suis peut-être permis un raccourci un peu rapide avec cette formule...», reconnaît-il toutefois. Sans en démordre pour autant: «Je maintiens cependant qu'à ce niveau-là de détermination, on peut tout imaginer!»
L'entourage de la jeune députée du Vaucluse, contacté par Le Scan, a de son côté tenu à se démarquer de ce qu'il appelle «les propos du sénateur». «Ils engagent celui qui les prononce», balaie-t-on d'abord. Avant de finalement concéder: «Mais nous avons constaté des choses un peu “spéciales” durant les départementales. Je peux donc comprendre ses craintes, et il a raison de les exprimer... Même si ça n'est pas le langage officiel de la campagne», conclut-on prudemment.
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Marseille : un prof d'une école juive victime d'une agression au couteau
Patrouille de police sur le Vieux-Port le 17 novembre
La vie de cet enseignant d'histoire n'est pas en danger. Ses trois agresseurs présumés, dont l'un portait un t-shirt aux couleurs de Daech, sont en fuite.
Nouvelle agression antisémite à Marseille. Un homme de confession juive, a été victime ce mercredi soir vers 20 heures d'une violente agression dans le 13e arrondissement. En sortant du centre communautaire Yavné, qui comprend une synagogue et une école, cet enseignant d'histoire de 57 ans qui portait une kippa, a reçu plusieurs coups de couteau, au bras et à la jambe. Ses jours ne sont toutefois pas en danger.
Ses agresseurs, au nombre de trois, auraient également proféré des propos antisémites. D'après le procureur Brice Robin cité par Reuters, l'un d'entre eux portait un t-shirt avec un sigle du groupe terroriste État islamique. Un autre aurait montré une photo sur son téléphone portable du terroriste Mohamed Merah, l'auteur d'une série d'attentats dans le sud de la France en 2012, dont la tuerie dans une école juive de Toulouse.
Mis en fuite par la police
Alertés par l'arrivée d'une patrouille de police, les trois hommes se seraient enfuis sur deux scooters. D'importants moyens policiers ont été déployés pour les retrouver et le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, a été aussitôt informé de cette agression, a précisé le préfet de police de la région, Laurent Nuñez. L'Union des étudiants juifs de France (UEJF) a condamné cette attaque et exhorté la police à utiliser tous les moyens pour arrêter les assaillants.
Cette agression survient quelques semaines après une autre attaque similaire. Le 24 octobre, un homme avait agressé trois juifs, blessant l'un d'eux avec un couteau, près d'une synagogue marseillaise. L'agresseur, âgé d'une trentaine d'années et connu des services de police, s'en était pris à deux personnes, dont le rabbin, près de cette synagogue. Un troisième fidèle, qui tentait de s'interposer, avait alors été frappé à coups de couteau. L'agresseur avait proféré des propos antisémites, réitérés devant les policiers qui l'avaient interpellé. Il avait été arrêté quelque temps après les faits, fortement alcoolisé. Le 29 octobre, il a été placé sous mandat de dépôt. Son jugement est prévu le 9 décembre.
(Avec agences)
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Saint-Denis : le patron du Raid raconte l'assaut heure par heure
INTERVIEW - Jean-Michel Fauvergue, directeur du Raid, raconte en détail comment ses hommes ont mené l'assaut dans le nord de Paris. L'opération, qui a duré sept heures, a occasionné «des centaines de coups de feu» et blessé 5 hommes de l'unité d'élite de la police.
LE FIGARO. - Que savez-vous avant de commencer l'assaut?
Jean-Michel FAUVERGUE. - Au départ, on nous a dit qu'il y avait trois personnes à l'intérieur. On pense qu'il y a une femme et deux hommes radicalisés.
Vous saviez que la femme portait un gilet explosif?
Oui, on savait que les terroristes étaient sans doute armés de kalachnikov et de gilets explosifs.
Abu Abdelhamid Abaaoud pouvait-il être présent?
On savait qu'il était peut-être là. Les autres services nous avaient transmis cette information.
Pouvez-vous nous raconter l'assaut?
L'assaut commence à 4h16 et il dure tout le temps du siège. On décide de faire une ouverture de porte à l'explosif car c'est généralement efficace et sidérant pour les gens qui sont à l'intérieur. Malheureusement, comme ça arrive quelques fois, ça ne marche pas bien. La porte blindée s'ouvre mal. On a du mal à rentrer et donc l'effet de surprise n'existe pas et très rapidement nos gars sont pris dans des échanges de tirs nourris. On riposte.
Les terroristes ont rapidement installé un porte-bouclier derrière la porte. Un porte bouclier assez lourd, posé sur une structure à roulettes. Ça n'est pas un bouclier sarcophage, mais ça y ressemble.
L'échange de tirs dure entre une demi-heure et trois-quarts d'heure. Des centaines de coups de feu sont échangés. Les terroristes ont également lancé des grenades offensives. Puis les tirs deviennent plus sporadiques, entrecoupés de périodes de feu plus intenses.
Après un long moment sans tir, on décide d'envoyer un chien pour qu'il fasse une reconnaissance des lieux. Malheureusement, Diesel, un chien d'attaque, est tué à la Brenneke.
On avait auparavant placé 6 tireurs d'élite devant les ouvertures, sur des immeubles aux alentours. L'un de nos hommes voit un des terroristes, lui demande de lever les mains. Il ne le fait pas. Le tireur d'élite tire. Le terroriste est touché mais continue de riposter à la kalachnikov. Les échanges de tirs continuent assez longtemps.
Puis la femme présente à l'intérieur envoie une longue rafale de tirs et s'ensuit une grande explosion. Les fenêtres, côté rue, volent en éclats. Un bout de corps, un morceau de colonne vertébrale, tombe sur une de nos voitures.
La femme s'est-elle jetée sur les forces d'intervention?
Non, nous sommes prudents. La femme s'est fait sauter toute seule dans l'appartement, en espérant que la force de l'explosion nous touche. Mais l'explosion ne nous a pas touchés, en revanche le choc a fait plier des murs porteurs. L'appartement est fragilisé mais il ne s'effondre pas.
Nous sommes au milieu de la mission, il est environ 9 heures. Les tirs de kalachnikov se poursuivent. Puis nous n'entendons plus qu'une kalachnikov car la deuxième s'est tue.
On décide alors de travailler à la grenade de 40mm. C'est une grenade qui contient 40 grammes d'explosif et qui sert à assourdir et à sidérer les assaillants. On en jette une vingtaine.
Puis on continue la progression dans l'appartement. C'est une progression raisonnée.
C'est-à-dire? Vous utilisez des moyens de reconnaissance?
On avance prudemment dans l'appartement. On envoie un drone pour regarder à travers les vitres et les velux mais ça ne nous apprend pas grand-chose.
On balance un premier robot muni d'une caméra pour faire une reconnaissance des lieux. Mais il est rapidement bloqué par les gravats. On emprunte un robot plus gros et plus haut, celui de la sécurité civile qui sert au déminage, mais il ne peut pas non plus progresser à cause des gravats. On n'arrive pas à le déployer.
On s'aperçoit qu'il y a des trous un peu partout, dans le parquet. Alors on décide d'utiliser l'appartement du dessous, du deuxième étage, pour passer des perches dotées de caméras. On voit alors qu'un corps est passé du troisième au deuxième étage. Le cadavre est abîmé car il a sans doute pris des grenades et il a reçu une poutre lorsqu'il est tombé. Il n'est pas identifiable.
On décide de repartir au troisième étage. D'autres personnes sont sur le palier, deux hommes se cachaient sous du linge et avec ce qu'ils avaient trouvé. On les arrête. On continue notre progression mais on ne voit plus rien.
Des policiers ont été blessés durant l'assaut?
Cinq de nos hommes sont blessés, certains par balles, d'autres ont pris des morceaux d'explosifs. Ils ont été touchés aux bras, aux jambes, aux mains, dans le bas du dos, mais leur pronostic vital n'est pas engagé.
Vous êtes-vous coordonnés avec la BRI?
Oui, à la fin de l'opération, il fallait que l'on vérifie d'autres bâtiments, d'autres appartements qu'on nous avait désignés. La BRI est donc venue en renfort et c'est elle qui a fait cette mission.
Nous étions 110 policiers d'intervention sur le terrain, dont 70 du Raid.
Avez-vous des techniques d'intervention particulières?
L'engagement du Raid et de la BRI est un engagement total mais nos hommes ne sont pas suicidaires et on a mis au point des techniques d'intervention particulières. Mais ça pose problème de travailler sur des gens qui portent des gilets explosifs.
Ça pose quels problèmes?
On est obligé de rester à distance car effectivement il ne faut pas que l'on se fasse péter.
Est-ce que cette nouvelle forme de terrorisme va modifier vos techniques d'intervention?
On les a déjà modifiées. On s'est servi de l'expérience de nos amis étrangers et notamment des techniques utilisées en Israël mais aussi dans d'autres pays. Ce sont des techniques pour essayer d'avoir le moins de dégâts possibles avec un kamikaze.
C'est éprouvant pour les nerfs des hommes…
Oui, des hommes mais aussi des chefs. Vous êtes en train de commander une colonne et vous allez demander à vos gars d'aller au contact sur des individus qui sont prêts à se donner la mort.
Si cette série continue, le comportement de mes hommes restera le même. Si on arrive à conserver du temps de repos, ça se passera bien. Là, on est en train de gérer la fatigue et le repos.
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Marine Le Pen sur France2
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Entretien exclusif avec Marion Maréchal-Le Pen sur Boursorama
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Bonne nouvelle pour les chrétiens ukrainiens de Paris
C’est la page française de l’Église grecque-catholique ukrainienne qui nous apprend une bonne nouvelle : le maintien de la Commémoration du 82ème anniveraire du Holodomor, prévue à Paris sous l’Arc de Triomphe, le dimanche 22 novembre, à 11 h. Au terme de cette commémoration, la Divine liturgie sera célébrée à la cathédrale Notre-Dame de Paris, à 15 h 30. Le Holodomor désigne cette grande famine qui eut lieu en Ukraine en 1932 et en 1933. Elle fit entre entre 2,6 et 5 millions de victimes, selon les estimations officielles. Les catholiques de rites byzantin et les orthodoxes ukrainiens sont particulièrement attaché à la commémoration de cet événement douloureux de l’histoire de l’Ukraine. En outre, Mgr Borys Gudziak, éparque de Saint Vladimir le Grand de Paris des Ukrainiens, avait fait une déclaration à l’occasion des attentats parisiens, le 14 novembre 2015.
Voici le communiqué annonçant le maintien de la commémoration du Holodomor :
Chers Amis,Le Comité Représentatif de la Communauté Ukrainienne de France vous informe, que la Commémoration du 82ème anniversaire du Holodomor sous l’Arc de Triomphe est maintenue et se tiendra comme prévu le dimanche 22 novembre 2015 à 11 h précises, en présence de son Excellence l’Ambassadeur d’Ukraine en France Monsieur Oleg Shamshur, de Monseigneur Borys Gudziak, Eparque de l’Eparchie St Volodymyr Le Grand de Paris, de Monseigneur Hlib Lonchyna, Eparche de Grande Bretagne, de Monseigneur Iohan Derewienka, Evêque de l’Eglise Ukrainienne Ortodoxe Autocéphale et de personnalités diplomatiques et civiles.Le dépôt des gerbes sera salué par les porte-drapeaux nationaux.Exécution des Hymnes nationaux par le Chœur Ukrainien St Volodymyr Le Grand de Paris, sous la Direction de Lesya Mykytyn.Rassemblement de tous les participants à partir de 10h à la sortie “Champs Elysées” du Métro : Charles de Gaulle/Etoile.Dans le contexte actuel, lié aux attentats parisiens, le Gouverneur Militaire de Paris a autorité sur le maintien de l’ordre public.En conséquence, il n’y aura pas de défilé sur les Champs-Elysées.La participation de la musique des Gardiens de la Paix (quarante exécutants) est également annulée.Suite du déroulement :12h30 : Une collation pourra être prise à la paroisse St Volodymyr Le Grand – 186, bd St Germain 75006 Paris (préparée par l’Association des Femmes Ukrainiennes de France).14h00 Marche silencieuse : autorisation non confirmée à ce jour par la Préfecture de Police.15h30 :Divine Liturgie en la Cathédrale Notre Dame de ParisRiposte catholique -
Assaut au nord de Paris: une chienne du Raid tuée par les terroristes
Un malinois de 7 ans a été tué pendant l’assaut, a annoncé la police nationale.
La police nationale a annoncé, sur son compte Twitter, la mort de la chienne d’assaut du Raid « Diesel » lors de l’opération au nord de Paris, en lien avec les attentats du 13 novembre.
LE SOIR
RIP Diesel
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Assaut à Saint-Denis
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La France inculpe le chef d'état major des armées de Défense d'Israël pour trafic de drogues
Gadi Eizenkot,le chef d'état major des armées ,qui a été arrêté avec deux tonnes d'amphétamines à Paris, a été accusé de trafic de drogue, selon une source judiciaire.
La source judiciaire a déclaré à l'AFP, samedi, que les autorités francaises ont inculpé "8 personnes, dont cinq personnes arrêtées - Gadi Eizenkot et trois ressortissants israéliens ... pour contrebande et vente de la drogue Captagon."
La source a également noté que les quatres autres personnes sont du Maroc et de l'Israel et sont toujours en liberté.
Gadi Eizenkot a été arrêté avec quatre autres personnes à L'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle à Paris, après que des responsables de la sécurité ont trouvé deux tonnes de pilules de Captagon, qui devaient être chargées sur un jet privé.
Les médicaments ont été emballés dans 40 valises et l'avion devait se rendre dans la capitale israélienne, Tel Aviv.
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Les terroristes de Paris étaient-ils drogués au Captagon ?
23h18Plusieurs éléments laissent penser que les auteurs des attentats de Paris ont consommé de la drogue avant de passer à l’action. Des analyses toxicologiques sont en cours.
Comment peut-on abattre des dizaines de personne sans ciller et éprouver le moindre scrupule? Alors que l’enquête sur les attentats de Paris se poursuit ce mardi, la détermination cruelle des terroristes interroge. Des chambres d’hôtel louées au nom de Salah Abdeslam, l’homme actuellement en cavale, ont été perquisitionnées à Alfortville (Val-de-Marne). Selon Le Point, les policiers ont saisi des seringues dans ces « planques ». Elles seraient en cours d’analyse. [...]
Dans les faits, de nombreux combattants en Syrie consomment du Captagon, surnommé la « drogue des djihadistes ». Ce produit sert normalement à soigner l’hyperactivité. « Absorbé par voie orale [via des cachets] ou à l’aide d’une seringue, le Captagon est principalement utilisé, comme toutes les amphétamines, en tant qu’excitant, stimulant et anorexigène », résume le docteur Marc Valleur, médecin psychiatre à Paris dans une interview au site Les clés du Moyen-Orient. Cette potion magique est plébiscitée par les groupes tels que l’organisation Etat islamique (EI), qui a revendiqué les attentats, et le Front al-Nosra. Le jeune homme qui a commis l’attentat de Sousse (Tunisie) en aurait par exemple consommé.
« Ils ne ressentaient pas la douleur »
La drogue est normalement proscrite par la religion des djihadistes. Mais ces derniers en prennent pour voir leurs performances décupler et leur peur disparaître lors des combats. Outre l’euphorie, le produit permet de ne pas ressentir le sommeil ou la faim. Les effets peuvent durer jusqu’à 48 heures. Les témoignages de personnes ayant croisé des drogués au Captagon sont édifiants. « On les frappait et ils ne ressentaient pas la douleur. La plupart d’entre eux rigolaient même alors qu’on les bourrait de coups forts », décrit auprès de Reuters un officier syrien.
Selon FranceTVinfo, qui cite le psychiatre libanais Ramzi Haddad, les consommateurs peuvent aussi éprouver « des symptômes de délire, d’agressivité et des troubles du comportement ». Le Captagon ne serait pas difficile à produire et ne nécessite pas de compétences de chimistes.
Pour l’heure, rien ne dit que les terroristes de Paris en ont pris. Tout juste sait-on, d’après les médias belges, que les frères Abdeslam tiennent un bar soupçonné d’abriter des consommateurs de drogue.
(merci à Dirk)
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EN IMAGES. Assaut à Saint-Denis: un déploiement de forces "colossal"
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EN DIRECT. Assaut à Saint-Denis: deux terroristes morts, sept gardes à vue
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Londres : un retraité chrétien agressé par des musulmans, leur tient tête
Voici une petite vidéo fort éloquente qui a été mise en ligne sur Youtube le 10 novembre, accompagnée du commentaire suivant : « Un retraité britannique environné de musulmans au Speakers Corner de Hyde Park, Londres. Ils se moquent de ses croyances religieuses alors qu’eux-mêmes exigent qu’on respectent les leurs. Regardez comme ils le cernent et le huent, l’intimidant et se conduisant comme des voyous. Observez aussi que personne n’est venu au secours de ce retraité ».
Ce qui m’a vraiment touché, c’est que ce vieil homme tient tête à la meute goguenarde et provocatrice, leur prêche Jésus-Christ et leur dit que Allah est un démon, pas un vrai dieu car c’est un dieu qui ment, que Mahomet est un faux prophète, mais que Jésus Lui ne ment jamais…
Chapeau bas !
L'Observatoire de la christianophobie