A la suite de Philippe de Villiers, qui ne cesse, avec bon sens, de le répéter, nous savons tous que la question fondamentale des sociétés modernes n’est ni sociale ni économique mais identitaire et religieuse.
Nous devons pleinement prendre conscience de ce que nous avons à reconquérir et à défendre. Comme le dit Pierre Vial, c’est une « mission d’éveil des intelligences et des cœurs. » La lâcheté et l’indifférence de nos dirigeants doivent nous paraître insupportables. Leur fuite en avant nous promet des lendemains sanglants. En parfait dhimmis, ils acceptent l’intolérable. Avec cette élite déracinée, chaque fin de ramadan se transforme en renoncement.
La prison est l’un des lieux de France où l’atmosphère y devient étouffante, irrespirable tellement la religion islamique y est présente. Avec le silence complice de nos élus, les caïds musulmans y contrôlent tout. Chaque jour, les matons doivent négocier avec eux pour que la paix règne au sein des maisons carcérales. Le lèche-babouche y est devenu une norme acceptée par les hautes instances.
De l’inscription aux ateliers, des droits de visite au parloir, de qui a droit de se déplacer, de l’inscription aux cours de boxe, des horaires de distribution des repas, de l’organisation du racket sur les salaires de l’administration pénitentiaire, en passant par l’acquisition d’un téléphone portable, normalement interdit en prison, tout passe par ces caïds musulmans. Par la volonté et la faiblesse de nos dirigeants, ces délinquants sont devenus des interlocuteurs inévitables.
Grâce à nos élus de pacotille, plus préoccupés par leurs intérêts électoraux, l’islam s’est rendu maître, en simplement deux décennies, des prisons françaises ! La République, celle que notre pseudo-élite aime vanter les vertus, se fissure de toute part. Le bateau France est à la dérive, sans capitaine de valeur pour montrer l’exemple. Nos principes sont piétinés par ceux qui prétendent les défendre.
Nos élus, soi-disant républicains et laïcs, paradent la tête haute de mosquées en mosquées pour interdire dans le même temps, toujours au nom d’une pseudo-laïcité, les crèches de Noël dans les lieux publics ! Pour bien montrer qu’ils sont dans les normes du politiquement correct, qu’ils ont bien appris leurs leçons, ils n’hésitent plus à ouvrir toutes grandes les portes de leurs mairies ou de leurs locaux municipaux pour y fêter en grandes pompes l’Aïd el-Fitr !
Le ramadan est devenu, grâce à la volonté de notre élite, l’un des faits incontournables dans la vie politique, sociale et économique de la France. Anne Hidalgo, maire de Paris, ne cesse de se réjouir, devant des médias complices, que « le ramadan soit une fête qui puisse faire partie du patrimoine culturel français. » Pour Edwy Plenel, ancien marxiste, moralisateur et censeur de notre nouvelle société multiculturelle, « c’est une immense chance pour la France d’être le premier pays musulman d’Europe. » Les collabos nouveaux ne se cachent plus. Ils prennent leurs désirs les plus fous pour des réalités sans jamais tenir compte des dégâts qu’ils provoquent.
L’avant-dernière semaine de juin, au tribunal de Saint-Etienne, un jeune Français de souche, déjà incarcéré à la prison de La Talaudière pour conduite sans permis, comparaissait pour avoir fait entrer, avec la complicité de sa petite amie lors d’une visite au parloir, 28 grammes de résine de cannabis. Harcelé par des caïds, frappé et menacé à plusieurs reprises, ce détenu tenta d’expliquer ce qui l’avait amené à introduire de la drogue en prison.
La dureté du milieu carcéral, le règne de la violence et « le racisme contre les Français », selon ses propres mots, ne lui laissaient aucune autre alternative. Pour de nombreux détenus non musulmans, la prison s’apparente à la jungle. La loi du plus fort y règne et seule la religion islamique prédomine pour faire de nombreux délinquants de parfaits futurs djihadistes !
Vincent Revel