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  • PACA : Marion Le Pen épingle la location d'une loge de foot à 30 000 € par la région

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    >Politique|13 juillet 2016, 22h28|2

    Christian Estrosi, le président (LR) de la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur, fait l'objet d'un nouveau coup de griffe de Marion Maréchal-Le Pen, élue régionale (FN).

    (LP/Matthieu de Martignac ; Philippe Lavieille.)
     
     
     
     
    PolitiqueMarion Maréchal Le PenChristian EstrosiAllemagne-FranceEuro-2016LR
     

    Marion Maréchal-Le Pen, la chef de file du FN en Paca, a dénoncé ce mercredi la location par la région, pour près de 30 000 €, d'une loge au stade Vélodrome, à Marseille (Bouches-du-Rhône), lors de la demi-finale Allemagne-France. La députée du Vaucluse épingle la location jeudi dernier «d'une loge en or pour les invités de Christian Estrosi», le président Les Républicains du Conseil régional, pour un coût, selon elle, de 32 400 €.

     

    Avec 16 invités, cela représente «plus de 2000 € par personne pour la soirée, presque deux fois le smic mensuel : les invités de Christian Estrosi devaient être prestigieux», poursuit-elle, dénonçant une «dépense somptuaire».

     

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    L'entourage de Christian Estrosi a précisé que le montant, hors taxe, de la location était de 29 000 €, ajoutant qu'il s'agissait d'une dépense tout à fait banale pour une région lors d'un événement de ce type. «C'est impératif et c'est du devoir évident des collectivités d'être aux côtés des grands événements sportifs, qui ont d'importants impacts économiques», a-t-on souligné. Mardi, Christian Estrosi rappelait lui-même sur son fil Twitter que l'Euro 2016 avait rapporté, pour la seule ville de Nice (Alpes-Maritimes), «177M€ de retombées économiques».

  • Figure de proue du Brexit, Boris Johnson nommé chef de la diplomatie britannique

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    >International|13 juillet 2016, 21h23|0
     
        

    Boris Johnson a hérité du porte-feuille de la diplomatie britannique. Ancien maire de Londres et figure de proue du camp du Brexit, le politicien blond et hirsute vient d'être nommé ministre des Affaires étrangères dans le gouvernement de Theresa May, toute nouvelle Première ministre britannique.

    Ancienne ministre de l'Intérieur, Theresa May a succédé à David Cameron ce mercredi au poste de Premier ministre.

    «La reine a approuvé la nomination de Boris Johnson en tant que ministre des affaires étrangères», a déclaré, mercredi soir, Downing Street dans un communiqué.

     

      leparisien.fr
  • La consanguinité est peut-être responsable du retard intellectuel des pays musulmans

    http://resistancerepublicaine.eu/2016/07/09/la-consanguinite-est-peut-etre-responsable-du-retard-intellectuel-des-pays-musulmans/

  • La France va-t-elle rejoindre l’Organisation de la Coopération islamique ?

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    13/07/2016 – FRANCE (NOVOpress) : « La France, qui fut la “fille aînée de l’Eglise“, sera-t-elle le premier pays d’Europe à adhérer à l’Organisation de la Coopération islamique (OCI) ? », demande cette semaine l’hebdomadaire Minute, qui consacre sa une au rapport sénatorial d’information présenté le 7 juillet 2016 sous le titre : « De l’Islam en France à un Islam de France, établir la transparence et lever les ambiguïtés ».

    L’Organisation de la Coopération islamique est cette structure qui a son siège à Djeddah, en Arabie saoudite, et qui réunit 57 pays dont le point commun est d’être des pays musulmans ou à très forte communauté musulmane, comme l’Afghanistan, le Turkménistan, la Turquie, le Qatar, le Sénégal ou le Liban, afin d’organiser leur étroite coopération dans les domaines économique et culturel – et de pouvoir mieux les mobiliser pour assurer la sécurité des lieux saints… de l’islam.

    « On n’en est pas encore là mais on en prend le chemin » écrit « Minute », car, parmi les préconisations de ce rapport, « figure celle, dont on dira qu’elle a au moins les mérites de l’originalité et de la cohérence, de voir la France instaurer “une coopération plus suivie avec l’Organisation de la coopération islamique“ ! »

    Ce souhait est justifié ainsi : « “Avec un nombre aussi considérable de musulmans sur son territoire, la France gagnerait à mieux faire valoir ses positions auprès“ de l’OCI ! Elle pourrait ainsi, suggèrent les rapporteurs, demander à y participer avec le titre d’“observateur“, étape intermédiaire entre son statut actuel – elle y est seulement “invitée“ pour assister à certains travaux… – et celui de membre à part entière. La Russie et la Serbie y sont déjà “Etats observateurs“, comme la Bosnie-Herzégovine ou la République centrafricaine, alors pourquoi pas la France… »

    Précisons que la mission sénatoriale qui fait cette proposition était présidée par Corinne Féret, sénateur socialiste du Calvados, et que le rapport est cosigné par Nathalie Goulet, sénateur centriste de l’Orne, et André Reichardt, sénateur (LR) du Bas-Rhin, tendance juppéiste.

  • Allemagne: la majorité des migrants sont "inemployables" selon les grandes entreprises

    http://reinformation.tv/allemagne-majorite-migrants-inemployables-dolhein-57459-2/

    08 07 2016

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  • Les « victimes de racisme » sur une plage normande se baignaient dans le chenal à bateaux ! (MàJ)

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    Plage de Blonville

     

    19h11

    12/07/16

    (…) Joint par téléphone, le maire de la commune, Yves Lemonnier, dément formellement la version rapportée par mantes-actu : « Le groupe est venu sans autorisation. D’habitude, les habitants de la banlieue parisienne qui viennent passer la journée chez nous s’annoncent, mais là, les deux cars sont arrivés sans autorisation et ont amené une centaine de personnes».

    Pour des raisons de sécurité, nous leur avons demandé de se mettre sur la plage au niveau du poste n°2 car à cause de la présence des parasols, la visibilité est moindre et la surveillance est plus difficile sur la zone du poste de secours n°1, et comme ils étaient très nombreux avec des enfants, nous n’avons pas voulu prendre de risque, relate Yves Lemonnier
    D’après le maire, le groupe n’aurait pas apprécié d’être déplacé et la situation serait devenue plus difficile lorsque les habitants de Mantes-la-Ville ont décidé de se baigner dans une zone non surveillée. « Plusieurs adultes avec des enfants se baigniaent dans le chenal réservé aux bateaux ce qui est strictement interdit et ont refusé de revenir dans la zone de bain.

    Le maire dément par ailleurs tout propos raciste : «Aucun propos raciste n’a été prononcé à l’encontre des membres de ce groupe, affirme-t-il. Une des participantes s’est foulé la cheville, nous l’avons gardée au poste de secours tout l’après-midi et l’avons même raccompagnée jusqu’au car» précise Yves Lemonnier pour prouver la chaleur de l’accueil blonvillais et mettre fin à la polémique.

    Le maire a confié l’affaire à l’avocat de la municipalité qui décidera si d’éventuelles suites judiciaires sont à envisager dans cette affaire.

    (…) Pays D’Auge


    10/07/16

    En ce week-end ensoleillé, des milliers de Franciliens ont pris la direction de la Normandie pour rejoindre les plages. Ce fut le cas ce samedi pour une centaine d’habitants de Mantes-la-Ville (Yvelines) grâce à une sortie organisée par les centres de vie sociale (CVS) de la municipalité à Blonville-sur-Mer (Calvados).

     

    Selon nos informations, les Mantevillois (enfants, adultes, personnes âgées) auraient été victimes de racisme. Le personnel de la plage leur aurait demandé « d’aller plus loin ». Ils auraient donc pris place sur un autre endroit pour se baigner, situé à plus d’un kilomètre. Mais le maire de la commune se serait présenté accompagné d’un policier municipal et la baignade leur aurait été interdite.

    « On s’est vite aperçu que l’on gênait et que cela était dû à notre apparence (femmes voilées, familles d’origine africaines) » a affirmé l’une des participantes sur le réseau social Facebook. D’autres propos racistes auraient été entendus : « qu’ils retournent dans leur cité, ils n’ont rien à faire ici ».

    (…) Mantes-actu

  • Autriche : la Cour suprême ne juge pas discriminatoire d’interdire le niqab au travail

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    22h50

    La Cour suprême autrichienne a statué que l’interdiction sur le lieu de travail du port du voile cachant le visage (niqab) ne constituait pas une discrimination.

    La décision a été prise dans le cadre d’une affaire opposant une femme à son patron. Ce dernier l’avait licenciée après qu’elle lui a fait part de son intention de porter un voile couvrant son visage. La femme avait alors déposé une plainte pour licenciement abusif et propos discriminatoires. Son employeur avait notamment affirmé qu’elle portait un «déguisement».

    Un premier tribunal avait jugé qu’elle était probablement victime de discrimination mais avait remis l’affaire à la Cour suprême.

    Dans sa décision, la haute juridiction a convenu que les propos de l’employeur étaient discriminatoires mais a jugé qu’il était en droit d’interdire le port du niqab sur le lieu de travail dès lors qu’il entrave la communication, rapporte The Local. En conclusion, la Cour suprême a relevé que le licenciement ne pouvait être qualifié d’abusif, la femme ayant refusé de se conformer au règlement de son employeur.

     

    Direct Matin

    Merci à Padamalgam & Fopastigmatizé

  • Contrairement à Valls, Macron se dit défavorable à l’interdiction du voile à l’université

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    23h02

    Emmanuel Macron a de nouveau marqué sa différence ce mardi soir avec Manuel Valls en se disant défavorable à l’interdiction du voile à l’université proposée par le premier ministre.

    Nous avons un ennemi, une menace, Daech (l’organisation Etat islamique), mais cela, ce n’est pas l’islam », a dit Emmanuel Macron, dans une nouvelle prise de distance avec le Premier ministre qui avait désigné « l’islamisme radical » comme « ennemi ».

    «  Je ne crois pas pour ma part qu’il faille inventer de nouveaux textes, de nouvelles lois, de nouvelles normes, pour aller chasser le voile à l’université, pour aller traquer ceux qui lors des sorties scolaires peuvent avoir des signes religieux « , a-t-il dit lors du meeting de son mouvement En marche! à la Mutualité à Paris.

     

    Mi-avril, dans un entretien à Libération, Manuel Valls s’était dit favorable à une interdiction du voile à l’université, en jugeant qu’ » il faudrait le faire « . Dans un volet de son discours où il s’est attardé sur la laïcité et l’identité française, deux thèmes chers à M. Valls, Emmanuel Macron a défendu des règles «  qui sont claires: toutes les religions se conforment aux règles de la République « . «  Dans notre République, il n’y a pas d’inégalités entre les hommes et les femmes. Dans notre République, il y a des règles, et elles doivent être acceptées par tous « , a-t-il poursuivi.

    «  La laïcité ce n’est pas un mot daté, ce n’est pas un mot ringard, elle protège des identités fermées, elle permet de veiller à ce que nul ne soit assigné à résidence par son identité et sa religion « , a encore déclaré Emmanuel Macron.

    Le Figaro

  • Clash Nicolas Bay / Florence Portelli : «Ne dites pas de bêtises plus grosses que vous !» (12/07/16)

    Echange tendu le 12 juillet 2016 à 19h sur France Culture entre Nicolas Bay (Secrétaire Général du Front National) et Florence Portelli (Conseillère Régionale Les Républicains) qui s'en est prise au fonctionnement du Front National et présumées tensions au sein de ce parti après l'éviction de Marie-Christine Arnautu du Bureau Exécutif et le conflit entre Florian Philippot et Marion Maréchal Le Pen, imaginant même un règlement de comptes entre cette dernière et Marine Le Pen en cas de défaite en 2017. Ce qui n'a pas du tout plu à Nicolas Bay : "Soyez gentille de ne pas raconter n'importe quoi quand même, ne serait-ce que pour la qualité du débat et par respect pour les auditeurs. Ne dites pas de bêtises plus grosses que vous !"

  • Theresa May se veut ferme sur le Brexit

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    • Par Florentin Collomp
    • Mis à jour
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    Intronisée à Downing Street mercredi après-midi, elle veut donner des gages aux partisans de la sortie de l'UE mais prendre son temps.

    Le vétéran tory Kenneth Clarke n'a jamais la langue dans sa poche. Theresa May? Une «femme sacrément difficile», lâchait-il la semaine dernière devant une caméra qu'il croyait éteinte. La nouvelle premier ministre a eu tôt fait de retourner le compliment à son avantage. «Ken Clarke dit que je suis une femme sacrément difficile. Le prochain à le découvrir sera Jean-Claude Juncker», lançait-elle devant les députés conservateurs, à propos du président de la Commission européenne. Le voici prévenu! Forte de son aura de nouvelle «dame de fer», elle entend transformer son péché originel d'avoir été pour le maintien dans l'Union européenne au cours de la campagne du référendum, en une fermeté zélée pour la mise en place du Brexit.

    Après quinze jours de crise politique aux rebondissements quotidiens depuis le vote des Britanniques, tout s'est finalement réglé très vite ces deux derniers jours. Protocole oblige, il a juste fallu attendre que la reine rentre à Londres ce mercredi pour que David Cameron puisse aller lui remettre sa démission dans l'après-midi. Il lui recommandera le nom de Theresa May pour lui succéder. Celle-ci le suivra à Buckingham Palace et s'installera immédiatement à Downing Street.

    Si elle a esquissé les grandes lignes d'un programme de gouvernement, le Brexit sera sa priorité. Elle promet de faire de cet impératif «un succès». Elle veut rassurer ceux qui ont voté pour la sortie de l'Europe: «Il n'y aura pas de tentatives de rester dans l'UE, pas de tentatives de la rejoindre par la porte de derrière, et pas de second référendum.» On ne saurait être plus clair. «Notre pays a besoin d'une direction forte et expérimentée pour le conduire à travers cette période d'incertitude économique et politique, pour négocier le meilleur accord pour la Grande-Bretagne alors que nous quittons l'UE, et nous forger un nouveau rôle dans le monde», déclarait Theresa May à l'annonce de son intronisation. Reste que, outre ces grands principes qui reprennent en partie la rhétorique des «brexiters» sur la place du Royaume-Uni dégagé du carcan européen dans le monde, on n'en sait guère plus sur les modalités du divorce.

    Après le flou artistique de Boris Johnson, l'incertain «modèle albanais» cher à Michael Gove, et les approximations d'Andrea Leadsom, le Parti conservateur s'est ressaisi pour, au moins, confier le destin du pays à une femme réputée pour son sérieux. L'arrivée de Theresa May à Downing Street a d'ailleurs eu pour premier effet de rassurer les marchés. À la différence de certains des tenants de la rupture, elle semble privilégier le maintien d'un accès au marché unique, destination de 44 % des exportations britanniques. Mais cela ne se fera pas au détriment du retour du «contrôle» britannique sur la liberté de circulation. Toute la difficulté sera donc de négocier à la fois les futures relations économiques avec l'UE et la souveraineté de Londres en matière d'immigration. Theresa May a d'ailleurs adopté une position de départ particulièrement ferme en faisant du statut futur des Européens déjà installés au Royaume-Uni un sujet de négociation, sans doute en échange des conditions réservées aux expatriés britanniques en Europe.

    Le flou reste de mise sur le calendrier. En dépit de la hâte des partisans du Brexit, Theresa May s'est jusqu'à présent montrée peu pressée d'invoquer l'article 50, qui lance le compte à rebours du départ, avant la fin de l'année. Selon le Telegraph, elle pourrait même attendre la fin 2017, après les élections françaises et allemandes. Si les partenaires européens risquent de s'impatienter, sur le papier au moins, Londres garde la maîtrise de son timing.

    Un ministre du Brexit sera créé dans l'équipe de Theresa May, chargé de coordonner ces pourparlers avec Bruxelles et les implications pour l'administration britannique. Il pourrait échoir à Chris Grayling, ministre dans le gouvernement sortant, qui a fait campagne pour la sortie de l'UE mais a soutenu la candidature de Theresa May dès son lancement. Celle-ci doit annoncer rapidement les postes- clés de son entourage. Le ministre des Affaires étrangères sortant Philip Hammond, un eurosceptique modéré qui a fait, comme elle, campagne pour le maintien dans l'UE, pourrait devenir chancelier de l'Échiquier. Il ne semble pas partisan non plus de presser le mouvement: il a fait allusion à un divorce qui pourrait s'étaler sur quatre ans. Le Trésor sera un poste stratégique alors que le pays risque d'être confronté à une récession, à en croire les prévisions d'économistes. Le dogme de l'austérité budgétaire en vigueur depuis six ans risque d'en faire les frais. Le sortant George Osborne, pourrait, lui, s'il sauve sa peau, passer de l'Économie aux Affaires étrangères. Des postes seront réservés à certaines figures du Brexit, dont Andrea Leadsom, remerciée pour son sacrifice qui a précipité le couronnement de Theresa May, ainsi que Michael Gove et peut-être Boris Johnson.

    LE FIGARO

  • Loi Travail : des manifestants et des oeufs pour le meeting de Macron

     

    >Politique|12 juillet 2016, 19h41 | MAJ : 12 juillet 2016, 19h59|7

    Les manifestants accueillent Emmanuel Macron avec des slogans anti-loi travail. Et : « Le costard, le costard, le costard! » Ou encore : « Ma trahison ».

    Le Parisien/Pauline Théveniaud
     
     
      
     
     

    L'accueil se voulait chaud. Une centaine de manifestants contre la loi Travail ont accueilli avec des oeufs et des sifflets ce mardi soir vers 19 heures les participants au meeting d'Emmanuel Macron  à la salle parisienne de la Mutualité (Ve arrondissement). Contenus par les forces de l'ordre, ils ont lancé des slogans tels que « Le costard, le costard, le costard ! », ou encore : « La trahison » et brandi une pancarte où était écrit « Macron m'a tuer». 

    Massés sur la petite place devant cette salle réputée autrefois pour les rassemblements de gauche dans le Quartier latin, face à un cordon de policiers, plusieurs manifestants avaient des sacs remplis d'oeufs qu'ils lançaient à l'occasion sur les participants au moment de leur entrée. Des banderoles aux messages peu équivoques étaient brandies par des ultras : «Macron étron du capital» ou encore «Contre l'euro du fric et la loi des patrons».

      

    «Les bourgeois, les banquiers, c'est par là», a crié un manifestant en montrant l'entrée de La Mutualité, alors que des partisans du ministre, nombre d'entre eux en costume, attendaient de pouvoir entrer. «La fan zone du Medef», criait un autre. «Marcher avec vous, c'est reculer ! »  renchérissait un manifestant.

    A deux jours de l'allocution de François Hollande le 14 juillet et à neuf mois de la présidentielle, le ministre de l'Economie Emmanuel Macron réunit ce mardi soir son mouvement politique En Marche!. Trois mois après le lancement de son mouvement «transpartisan», qui reprend ses initiales, le ministre de l'Economie laisse savamment planer le doute sur ses intentions pour 2017, dans une posture de quasi-candidat.

    Alors qu'il était interrogé mardi sur ce meeting, le Premier ministre Manuel Valls, qui semble irrité par les sorties médiatiques de son ministre de l'Economie, a réagi vivement en affirmant qu'il «est temps que cela s'arrête...».

      leparisien.fr

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  • AUDIO - Marie-Christine Arnautu : Ma suspension, un simple prétexte !

    http://www.bvoltaire.fr/mariechristinearnautu/ma-suspension-un-simple-pretexte,271063?mc_cid=6f2a80fbbc&mc_eid=0b0d8f3739

     

    Marie-Christine Arnautu, vice-présidente du Front national, a été suspendue ce lundi pour quinze mois de ses fonctions dirigeantes au sein du bureau exécutif du parti. Conséquence de sa participation, le 1er mai dernier, à la réunion organisée par Jean-Marie Le Pen, considérée comme « concurrente » de celle de sa fille… Réaction de l’intéressée.

  • Meurtre d'Aurélie Fouquet : le frère de Redoine Faïd condamné à 20 ans de prison

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    >Faits divers|12 juillet 2016, 0h15 | MAJ : 12 juillet 2016, 0h45|0

    Aurélie Fouquet, jeune policière municipale, avait été tuée en mai 2010 à Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne).

    LP
        

    Fisal Faïd, le frère du braqueur Redoine Faïd, a été condamné en appel lundi en Algérie à 20 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de la policière municipale Aurélie Fouquet, selon nos informations.

    Il aurait été formellement reconnu par un témoin pendant le procès, comme ayant tiré sur la policière municipale.

     

    Le parquet avait requis une condamnation à perpétuité. Fisal Faïd, qui avait été acquitté en première instance,  avait fui en Algérie au lendemain de la fusillade de Villiers-sur-Marne, le 21 mai 2010.

     

    LE PARISIEN

     

  • Conférence de Marie-Christine Arnautu sur les Chrétiens d'Orient au Parlement européen (le résumé en 5 minutes)

    https://twitter.com/MCArnautu/status/751471269351153664?lang=fr

    A écouter!

  • Communiqué de presse du Bureau exécutif du Front National

      

    Communiqués / 11 juillet 2016 / Étiquettes : /
     

    En application de l’article 19 alinéa 3 des statuts du mouvement, le Bureau exécutif du Front national, réuni ce jour à Nanterre, a entendu Marie-Christine ARNAUTU. Le Bureau exécutif a décidé de suspendre Mme ARNAUTU de sa fonction de membre du Bureau exécutif pour une durée de 15 mois.

  • Le serment d’allégeance de Theresa May à Israël

    Le futur Premier ministre britannique a appliqué la "méthode Valls"

    Lundi 11 juillet, la presse internationale rapporte que Theresa May, secrétaire d’État à l’Intérieur du gouvernement du Royaume-Uni, est désormais seule en lice pour accéder à la tête du Parti conservateur et, en conséquence, au poste de Premier ministre [1].

    La spécificité de Theresa May : être la favorite de la communauté juive et sioniste de Grande-Bretagne selon un article, paru le 8 juillet (et aujourd’hui autocensuré sans explication), du site The Jewish News [2].

    En avril 2015, Theresa May avait fait sensation en participant chaleureusement au 67ème anniversaire de l’État d’Israël et en déclarant, à l’instar de Manuel Valls pour la France, que « sans les juifs, la Grande-Bretagne ne serait pas la Grande-Bretagne [3] ».

    Lors de la cérémonie, elle avait notamment rendu hommage au « sacrifice » des terroristes et criminels de guerre – positivement qualifiés de « combattants » – qui ont réalisé « l’indépendance » d’Israël [4].

    Le 18 janvier 2015, en compagnie des dirigeants de la communauté juive britannique, Theresa May avait également arboré l’affiche « Je suis juif » en solidarité avec les 4 victimes – enterrées en Israël – de l’attaque de l’Hyper Cacher.

    La dénommée Andrea Leadsom, la seule rivale de Theresa May – qui a annoncé aujourd’hui son retrait rapide de la course – était également membre, comme elle, de l’association des « Amis conservateurs d’Israël ».

    Cependant, Leadsom s’était distingué de May par une nuance considérable en critiquant – dès 2007 – « l’inacceptable domination d’Israël sur les Palestiniens [5] ».

  • Grande-Bretagne : Theresa May devrait devenir Premier ministre d'ici mercredi

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    >International|11 juillet 2016, 17h22 | MAJ : 11 juillet 2016, 17h50|10

    La ministre de l'Intérieur de Grande-Bretagne Theresa May est désormais seule en lice pour devenir Premier ministre. Elle devrait même remplacer l'actuel Premier ministre David Cameron d'ici mercredi soir.

     
      
     
    InternationalRoyaume-UniBrexitTheresa MayAndrea LeadsomAngela Eagle
     

    La ministre de l'Intérieur de Grande-Bretagne Theresa May est quasi certaine de  devenir Premier ministre puisqu'elle reste seule en lice. Et c'est donc elle qui sera amenée à​​​​​ gérer le délicat dossier du Brexit.  Selon l'actuel Premier ministre David Cameron, Theresa May devrait occuper  cette fonction d'ici à mercredi soir :  «Nous aurons un nouveau ministre dans ce bâtiment derrière moi mercredi soir», a déclaré M. Cameron devant le 10 Downing Street, ajoutant qu'il présenterait sa démission à la reine mercredi après les questions au Parlement. 

     

    A LIRE EGALEMENT. Theresa May, la «nouvelle Thatcher»

     

    La course à la succession de David Cameron a en effet connu lundi un rebondissement spectaculaire avec le retrait de l'autre candidate encore en lice, la secrétaire d'Etat à l'Energie Andrea Leadsom.  Andrea Leadsom, une pro-Brexit, a jeté l'éponge lors d'une brève allocution devant la presse à Londres, seulement quatre jours après avoir été sélectionnée par les députés pour concourir aux fonctions de leader du parti conservateur et de Premier ministre britannique. 

       

    Reconnaissant que Theresa May avait recueilli davantage de soutien de la part des parlementaires tories, Andrea Leadsom s'est rangée derrière elle. «Elle est idéalement placée pour mettre en oeuvre le Brexit de la meilleure manière possible pour les Britanniques et elle a promis qu'elle le ferait», a déclaré la secrétaire d'Etat.

     

     Un processus de nomination accéléré

     

    Alors que les deux femmes auraient dû être départagées cet été par un vote des 150 000 adhérents du parti, ce retrait laisse à Theresa May le champ libre pour succéder au Premier ministre David Cameron, qui avait annoncé sa démission le 24 juin, peu après l'annonce du résultat du référendum sur l'UE. La confirmation de sa nomination à la tête des Tories doit toutefois faire l'objet de consultations au sein du parti, avait tenu à préciser dans la matinée l'un de ses responsables, Graham Brady.

     

    Pressé de questions pour savoir Theresa May pouvait être désignée Premier ministre dans la journée, ou d'ici la fin de la semaine, Graham Brady avait refusé de s'avancer. Les conservateurs britanniques avaient initialement annoncé vouloir désigner leur nouvelle dirigeante le 9 septembre mais le processus de nomination s'est significativement accéléré avec le retrait de son unique adversaire. Theresa May, une eurosceptique passée dans le camp du maintien dans l'UE pendant la campagne référendaire, a indiqué lundi qu'elle respecterait la victoire des pro-Brexit, laissant peu d'espoirs à ceux au Royaume-Uni qui réclament une deuxième consultation sur l'UE.

      

    Dimanche, la chancelière allemande Angela Merkel s'est montrée convaincue que le Royaume-Uni allait activer l'article 50 du Traité de Lisbonne pour officialiser sa décision de sortir de l'UE. «La décision est de mon point de vue tombée» quand les Britanniques ont dit en majorité qu'ils souhaitaient sortir de l'UE, a-t-elle dit.

    Chez les Travaillistes, une femme contre Corbyn

    La guerre des chefs se poursuivait en revanche du côté de l'opposition travailliste, après que la députée Angela Eagle eut annoncé sa candidature pour détrôner Jeremy Corbyn. Cette candidature ouvre la voie à de nouvelles élections pour désigner le chef du parti, dont les divisions ont été exacerbées par la victoire du Brexit. Triomphalement élu en septembre à la tête du Labour grâce au vote des militants, Corbyn n'a jamais réussi à s'imposer auprès d'une grande partie des cadres du parti, qui le jugent trop à gauche, et incapable de remporter des élections législatives.

     

    Sur le front économique, le ministre des Finances George Osborne devait se rendre lundi à New York pour convaincre de la volonté de son pays de maintenir un climat favorable aux affaires, malgré le Brexit, avant d'aller réitérer le message en Chine et à Singapour. Dans une tribune publié dans le Wall Street Journal, il a réitéré son souhait de diminuer l'impôt sur les sociétés au Royaume-Uni d'environ 20% actuellement à 15%, voire moins, malgré les critiques de plusieurs pays européens qui y voient une forme de dumping fiscal.