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Insulte aux pieds-noirs ! - Interview de Louis ALIOT
Interview de Louis Aliot
Président du Cercle Marianne et assistant parlementaire de Sophie Montel qui, le 1er mai dernier défendait conjointement l’avortement, la contraception ainsi que la libération du corps de la femme, Alexandre Benoit a méchamment répondu au tweet de Jean-Marie Le Pen qui mettait les pendules à l’heure s’agissant du passé pro-FLN de Michel Rocard. Il encensait notamment « l’étudiant décolonisateur Rocard qui avait vu et agi juste » (sic) et affirme avoir « un mépris total pour les pieds-noirs qui ne savent que geindre sur leur sort de colons illégitimes ». Louis Aliot, enfant du pays, a bien voulu répondre à nos questions.
— Après le tweet de Jean-Marie Le Pen rappelant le passé pro-FLN de Michel Rocard porteur de valises du FLN, que pensez-vous des propos d’Alexandre Benoit prenant fait et cause pour le FLN ?
— Alexandre Benoit n’est pas membre du Front national, d’où la difficulté de le sanctionner. Ce sont des propos imbéciles et irrespectueux, très certainement biberonnés sans esprit critique ni questionnement, dans le cadre universitaire français, temple de la pensée unique. Les propos d’Alexandre Benoit appartiennent à l’imaginaire de la gauche qui a toujours été du côté des ennemis de la France, à l’exception de quelques-uns comme Robert Lacoste et Max Lejeune. Bref, c’est une insulte gratuite adressée à des millions de nos compatriotes de toutes origines et de toutes conditions qui ont souffert de ces événements.
— Est-il pensable que le premier mouvement patriote de France relaie ainsi la parole de ceux qui n’ont pas hésité à massacrer un grand nombre de nos compatriotes ?
— Cette personne n’appartient pas au Front national et personne ne doit tenter de nuire à notre mouvement ou à Marine avec cette affaire. C’est au député qui l’emploie de régler le problème, un problème de conscience et de fidélité à notre histoire propre.
— Quel message voulez-vous faire passer à nos amis originaires de notre province perdue en grande partie à cause des porteurs de valises ?
— Il faut qu’ils opposent à ces insultes le plus profond mépris en attendant de voir les décisions prises par la suite. Nous en reparlerons.
Propos recueillis par Françoise Monestier
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BREXIt: ils veulent refaire le coup du Traité de Lisbonne!
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L'assistant parlementaire de Sophie Montel qui méprise les Pieds-Noirs
06 juillet 2016
L'assistant parlementaire de Sophie Montel qui méprise les Pieds-Noirs
Alexandre Benoît est aussi assistant de Sophie Montel au Parlement européen. Un jour il fait un doigt d’honneur à Bernard Monot, député FN au Parlement européen, sans qu’il y ait aucune sanction. Lors de la mort de Michel Rocard, il a écrit :
« Rocard est mort, et je suis encore mélancolique : un homme délicieux et bon, malgré nos convictions opposées. Vraiment triste. »
Alors, quand Jean-Marie Le Pen a fait remarquer, au milieu du concert de louanges et des pleurs, que
« Michel Rocard se vantait d’avoir porté des valises de billets qui servaient au FLN à acheter des armes pour tuer des Français »,
Alexandre Benoît a rétorqué :
« Pas de simples Français, des colons. Rocard l’étudiant décolonisateur avait vu et agi juste. »
Commentaire de Minute :
« Pas de simples Français, des colons », que le FLN pouvait donc assassiner. Ce petit con ajoutera peu après, devant le tollé suscité par son tweet : « Une décolonisation sans violence aurait cependant mieux valu. » Tout en précisant : « J’ai un mépris total pour les Pieds-Noirs qui ne savent que geindre sur leur petit sort de colons illégitimes. » Et puis, on ne mène pas une révolution légitime sans couper les couilles de quelques salauds de colons, pas vrai ?"
Le Salon Beige
NdB: Après de telles insultes envers les Français d'Algérie, nous espérons une vive réaction du Front National et l'exclusion de cette personne.
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A Moscou aussi, la fin du ramadan se célèbre dans la rue
06/07/2016 – RUSSIE (NOVOpress) : A Moscou, plusieurs dizaines de milliers de musulmans ont célébré l’Aït el Fitr (la fin du ramadan) dans la rue, devant l’immense Grande Mosquée de 19 000 mètres carrés et dotée de minarets hauts de 75 mètres. Conçue pour accueillir 10 000 personnes, elle n’était manifestement pas assez grande pour accueillir tout le monde…
Située dans le centre de la capitale, la Grande Mosquée de Moscou a été inaugurée en septembre 2015 par Vladimir Poutine en personne, en présence du président turc Recep Tayyip Erdogan et du Palestinien Mahmoud Abbas. Le président russe avait souligné à cette occasion que « la Russie est un pays multiconfessionnel dans lequel, et je tiens à le souligner, l’islam est une des religions traditionnelles ».
NdB: En France, l'islam n'est pas une "religion traditionnelle". Les fêtes traditionnelles françaises sont des fêtes chrétiennes.
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L'hymne officiel du Pays de Galles (paroles traduites en français)
http://fr.novopress.info/202317/puisse-lhymne-pays-de-galles-retentir-stade-de-france/
Un chant magnifique et très émouvant
2 vidéos
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Des femmes voilées aux commandes des centres sociaux dans le Rhône
http://fr.novopress.info/202325/femmes-voilees-aux-commandes-de-centres-sociaux-rhone/
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Quand Valls laisse son téléphone sécurisé à une puissance étrangère
Laquelle ? On vous le donne en mille...
- Publié le : mardi 5 juillet 2016
- Mots-clés : France; International; Israël; Manuel Valls; Renseignement
- Commentaires : 54
- Nombre de vues : 28 736
- Source : numerama.com
- E&R
L’information est étonnante et révèle, soit une extrême confiance dans les talents des ingénieurs français qui travaillent pour l’État, soit un certain amateurisme de Matignon.
L’Express révèle ce mardi qu’à l’occasion de sa visite en Israël, du 21 au 24 mai 2016, le Premier ministre Manuel Valls et ses collaborateurs ont été priés de « laisser leurs téléphones sécurisés avant d’être reçus en haut lieu », et qu’ils ont… accepté de les perdre ainsi de vue, au risque qu’ils soient subtilisés par des agents israéliens.
Du coup, les agents de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) sont aujourd’hui priés de mener des investigations poussées, puisque « en les reprenant, la délégation a eu la mauvaise surprise de constater que plusieurs d’entre eux présentaient des signes “d’anomalie” » qui auraient alerté les services français.
Plein de bisounours-attitude, Matignon indiquerait, selon L’Express que « l’enquête en cours fait partie de la procédure habituelle » et que — prière de ne pas rire, « un allié n’espionne jamais ses amis ».
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Le Bangladesh accuse Israël d’être impliqué dans l’attentat meurtrier de Dacca
- Publié le : mercredi 6 juillet 2016
- Mots-clés : Bangladesh; Daech; International; Israël; Terrorisme
- Commentaires : 25
- Nombre de vues : 10 832
- Source : medias-presse.info
- E&R
Suite à l’attentat qui a fait vingt morts – en majorité des touristes – dans un restaurant de Dacca, le ministre de l’Intérieur du Bangladesh, Asaduzzaman Khan, a accusé Israël d’être à la manœuvre.
« Le Bangladesh est devenu la cible d’un complot international, et une agence de renseignement étrangère a rejoint la conspiration. [...]
Récemment, nous avons arrêté un responsable politique de notre pays qui a rencontré un agent du renseignement israélien, pas besoin d’aller plus loin dans les explications. »
Le ministre fait allusion à Aslam Chowdhury, secrétaire général du Parti nationaliste du Bangladesh (PNB), accusé d’avoir rencontré en mars dernier un agent du Mossad lors d’un voyage non-officiel.
L’attentat de Dacca avait été revendiqué par l’État islamique. L’enquête a révélé que parmi les auteurs de l’attentat figurent un diplômé d’une université privée réputée, un étudiant de 18 ans d’une grande école, un enseignant de maternelle de 26 ans et le fils d’un homme politique bangladais proche du pouvoir en place.
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Bernard Lugan :"L'Afrique du Nord est dans une phase d'implosion, d'explosion, de perdition…"
Contre-info.com
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Florian Philippot réagit à la Loi Travail et au Brexit (F2, 06/07/16, 7h35)
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VIDEO - Hongrie : la campagne du référendum sur les quotas de réfugiés est lancée
https://youtu.be/0Ytiq-lQI-o
19h54« Voulez-vous que l’Union européenne décrète une relocalisation obligatoire de citoyens non hongrois en Hongrie sans l’approbation du Parlement hongrois?«
C’est la question qui sera posée aux citoyens hongrois le 2 octobre prochain. Le gouvernement, qui est contre l’instauration de quotas décidés par l’Union Européenne, a déjà installé des pancartes dans les rues, sur lesquelles on peut lire: « envoyons un message à Bruxelles, pour que ce soit clair pour eux aussi« .
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Le curé de Mérignac invite ses fidèles à fêter le ramadan
Les catholiques de Mérignac sont appelés à se rendre, le mercredi 06 juillet, à la mosquée Essalam de Mérignac pour « fêter la fin du ramadan ». Invités non pas par l’imam, mais par le curé !
Le site internet de la paroisse précise que « la prière aura lieu à 9h sur le parking de la mosquée si la météo le permet inch Allah » ! Sic.
L’abbé Vincent Garros multiplie les
dhimmitudesrelations interreligieuses depuis quelques mois avec l’association des musulmans de Mérignac.Cette mosquée de Mérignac est très proches des milieux islamistes. Elle reçoit régulièrement des invités tels que Rachid Haddach ou encore Nader Abou Anas. Rachid Haddach est un célèbre imam belge fondamentaliste que la famille Merah venait écouter lors de ses conférences à Toulouse. Rachid Abou Houdeyfa, Imam de Brest, qui s’est fait récemment remarquer lors d’une conférence sur la musique où il déclarait que « ceux qui écoutent la musique seront transformés par Allah en singe ou en porc. Nader Abou Anas justifie le viol conjugal. Abdel Fattah Rahhaoui donnait des cours de religion à Souad Merah, soeur de Mohamed Merah…
En janvier 2016, les paroissiens de Saint Vincent ont accueilli l’Imam Hassan Belmajdoub et les membres de la Communauté Musulmane de la Mosquée de Mérignac au sein de l’église paroissial où un « appel à la prière et sourate à Marie » ont été prononcés.
Riposte Catholique
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L’effet Brexit : référendum anti-UE en Hongrie
Après des années de directives, sanctions et autres diktats, c’est à un terrible retour de bâton que doit se préparer aujourd’hui Bruxelles. Encouragés par le retentissant retrait britannique de l’Union, les pays membres qui ne supportent plus les oukazes de cette « nouvelle URSS » entendent bien secouer leur joug. Dernier exemple en date : celui de la Hongrie qui, refusant de se voir « colonisée », a annoncé mardi qu’elle organiserait le 2 octobre un référendum sur le plan européen de répartition des 160 000 demandeurs d’asile arrivés en Grèce et en Italie en 2015.
Rappelons que, dès l’adoption de ce texte par les 28 en septembre, la Hongrie, qui se voyait imposer un quota de 1 300 clandestins, avait immédiatement dit « non », jugeant fort justement que celui-ci violait non seulement sa souveraineté mais mettait également en danger sa sécurité, du fait notamment de la présence de terroristes parmi les « réfugiés ». Refusant formellement de le mettre en application, Budapest avait même déposé en décembre un recours devant la justice européenne, et brandi la menace du référendum. Emporté depuis par l’effet Brexit, Orban a fini par mettre sa menace à exécution. De sorte que, début octobre, les Hongrois seront appelés à répondre à la question suivante : « Voulez-vous que l’Union européenne décrète une relocalisation obligatoire de citoyens non hongrois en Hongrie sans l’approbation du Parlement hongrois ? »
Une décision qui a bien sûr fortement déplu au Moloch bruxellois, dont les suppôts se sont empressés de rappeler que la Hongrie, comme les autres pays de l’UE, était « tenue de respecter les traités internationaux qui intiment aux Etats signataires l’obligation d’accueillir les personnes en quête de protection internationale et de leur accorder si besoin l’asile »…
Avertissement qui n’est cependant pas du genre à intimider des Hongrois qui, il n’y a pas si longtemps, affrontaient quasiment à mains nues les blindés de l’Armée rouge !
Dans la capitale magyare d’ailleurs, on a même déjà collé ici et là des affiches proclamant : « Envoyons un message à Bruxelles, pour que ce soit clair pour eux aussi. » Et Antal Rogan, chef de cabinet de Viktor Orban, annonçant que les patrouilles seraient doublées le long de la frontière sud avec la Serbie, rappelait encore cette semaine : « Seuls les Hongrois peuvent décider avec qui ils veulent vivre en Hongrie. »
Franck Delétraz
Article paru dans Présent daté du 7 juillet 2016
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Loi Travail : Valls recourt au 49-3 dans un climat délétère
La droite ne dépose pas de motion de censure et laisse la gauche se déchirer. Les opposants de gauche ont jusqu’à mercredi pour déposer la leur.
Manuel Valls l'avait laissé clairement entendre lundi, à l'occasion de son déplacement en Corse. La procédure a été mise en oeuvre dès le lendemain. Il était un peu plus de 15h mardi quand, du haut du Perchoir de l'Assemblée nationale, le Premier ministre a enclenché l'article 49 alinéa 3 de la Constitution et engagé la responsabilité du gouvernement sur la loi Travail. Dans l'hémicycle, l'ambiance était houleuse. Le matin, la réunion du groupe socialiste à l'Assemblée nationale s'était tenue dans un climat qualifié de lourd par les députés légitimistes, et de violent par les frondeurs.
La proposition d'un amendement destiné, selon son initiateur Olivier Faure, à trouver un compromis avec les frondeurs sur les heures supplémentaires (en garantissant une sur-rémunération de 25 %) avait été promptement balayée par le Premier ministre. « Il faut arrêter de jouer. Moi, je ne joue pas, je prends mes responsabilités dans l'intérêt du pays », a-t-il déclaré devant les députés socialistes.
Vouée à l'échec, cette initiative avait été jugée très sévèrement à l'Elysée comme à Matignon. « On a toujours dit qu'on ne toucherait pas à l'article 2 », note une source au sein de l'exécutif. De fait, n'ayant pas la garantie que les frondeurs voteraient le texte même si l'amendement était accepté et ne voulant pas entrer dans une surenchère avec eux, le recours au 49-3 était venu comme une évidence.
Un hommage à Michel Rocard
Un non-évènement aux yeux de l'exécutif, ou «un hommage à Michel Rocard», selon la formule d'un proche de François Hollande. Décédé samedi dernier, l'ancien Premier ministre de François Mitterrand a eu recours 28 fois au 49-3, dont l'usage était alors illimité, lorsqu'il était à Matignon, faute d'avoir une majorité absolue au Palais-Bourbon.
L'opposition compte les points
A peine l'annonce du 49-3 faite par Manuel Valls, la droite a quitté les bancs, montrant symboliquement son intention de laisser la gauche s'entre-déchirer sous le regard des Français. Les yeux rivés sur 2017, l'opposition se contente de compter les points et de remuer le couteau dans les plaies. Contrairement au premier recours au 49-3 début mai, elle a décidé de ne pas déposer de motion de censure contre le gouvernement.
« Ce gouvernement, après avoir tout lâché aux frondeurs et aux syndicats, a réussi la prouesse d'avoir un texte rejeté par les syndicats, les entreprises, une large majorité de Français », a attaqué Christian Jacob, le chef de file des députés Les Républicains à l'Assemblée, donnant « rendez-vous devant les Français dans neuf mois ». « Stop à la mascarade, a-t-il ajouté. Que Valls se débrouille avec son champ de ruines ». Tant la droite a décidé, explique un député LR, de « laisser la gauche gérer ses propres contradictions ».
À lire aussiLe traitement que Manuel Valls a réservé aux frondeurs sur l'amendement Faure, a redonné de l'énergie à la contestation. Les opposants au texte sont plus décidés que jamais pour déposer une nouvelle motion de censure, après avoir échoué à deux voix près en mai dernier. Il faut 58 députés pour déposer une motion de censure qui, si elle passe cet écueil, marquerait de façon irréversible la scission entre les deux gauches malgré un échec annoncé compte tenu du refus de la droite de la voter.
Episode dramatique
Surtout, le ton est monté d'un cran contre Manuel Valls, dont l'attitude face aux parlementaires de la majorité concentre les critiques. A la réunion de groupe, il leur a déclaré qu'un « compromis serait une compromission ». « Devant cette incapacité à réformer le pays sans le brutaliser, nous nous sommes très nombreux interrogés sur son aptitude à gouverner », a déclaré le chef de file des frondeurs, Christian Paul aux Quatre Colonnes. Les appels à la démission du Premier ministre ont dépassé le seul cadre des frondeurs, puisque Karine Berger, députée des Hautes-Alpes, a déclaré qu'il « devrait démissionner ».
Après ce nouvel épisode dramatique, qui connaîtra son épilogue ce mercredi, la gauche se donne rendez-vous aux primaires en janvier. L'annulation de l'université d'été du PS à Nantes la privera d'un lieu de débat à la rentrée. Mais nul doute qu'il battra son plein à l'automne.
Isabelle Ficek et Grégoire Poussielgue
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/0211099878398-loi-travail-valls-recourt-au-49-3-dans-un-climat-deletere-2012365.php?ce2AXEBBh3jaLeUw.99LES ECHOS