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Grande-Synthe: un gigantesque incendie ravage le camp de migrants
NdB: Que d'argent gaspillé!
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Les « réfugiés », la Hongrie et l’ONU
lundi 10 avril 2017
Le Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR) « exhorte » l'Union européenne à suspendre les transferts de demandeurs d'asile vers la Hongrie.
Est-ce que l’ONU reconnaîtrait finalement la légitimité de la politique de Viktor Orban ? Certes non. C’est tout le contraire. Mais le résultat est le même : n’envoyez plus de « réfugiés » en Hongrie…
Désormais tout demandeur d’asile entrant en Hongrie est détenu dans un camp à la frontière jusqu’à ce que les autorités décident de son sort. C’est insupportable pour le Haut-Commissaire Filippo Grandi, qui déclare en conséquence : « J’exhorte les Etats à suspendre tout transfert de demandeurs d'asile vers ce pays jusqu'à ce que les autorités hongroises mettent leurs pratiques et politiques en conformité avec le droit européen et international. »
Ah oui ?
Mais que dit le droit international ? Il dit ceci (Convention de Genève sur les réfugiés, article 9) :
Aucune des dispositions de la présente Convention n'a pour effet d'empêcher un Etat contractant, en temps de guerre ou dans d'autres circonstances graves et exceptionnelles, de prendre provisoirement, à l'égard d'une personne déterminée, les mesures que cet Etat estime indispensables à la sécurité nationale, en attendant qu'il soit établi par ledit Etat contractant que cette personne est effectivement un réfugié et que le maintien desdites mesures est nécessaire à son égard dans l'intérêt de sa sécurité nationale.
Le gouvernement hongrois ne contrevient donc en rien au droit international.
Et que dit le droit européen ? Que tout demandeur d’asile doit être renvoyé dans le premier pays où il a fait une demande d’asile : si cet Etat est la Hongrie, il doit être renvoyé en Hongrie. Et le Haut Commissaire demande alors aux Etats de l’UE de violer le droit européen…
Le blog d'Yves Daoudal
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Après l’attentat en Suède, Jean-Luc Mélenchon demande une minute de silence pour… les migrants
En meeting sur le vieux port de Marseille, le candidat de la France insoumise a appelé la foule présente à respecter une minute de silence en l'honneur des migrants morts en traversant la mer Méditerranée.
Les observateurs.ch
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En Egypte: 47 morts
lundi 10 avril 2017
Deux attentats suicides ont fait 47 morts et 119 blessés hier en Egypte chez les coptes qui célébraient les Rameaux, selon le décompte donné ce matin par Asianews.
En l’église Saint-Georges de Tanta, un jeune homme est entré pendant la messe, il est allé devant le premier rang et a actionné une ceinture explosive. Les victimes sont les diacres qui chantaient alors à gauche de l’autel et les fidèles des premiers rangs : 30 morts, 78 blessés.
A la cathédrale Saint-Marc d’Alexandrie, il aurait pu y avoir encore davantage de morts (dont peut-être le patriarche Tawadros qui y célébrait la messe), mais le kamikaze n’a pas pu entrer. Les gardiens ont demandé à l’homme de passer par un portail électronique. Les détecteurs de métaux ayant fonctionné, il a fait un pas en arrière et a activé sa ceinture d’explosifs. Il y a eu tout de même 17 morts, dont plusieurs policiers, et 41 blessés. (C’était semble-t-il à la fin de la messe.)
Les deux attentats ont été immédiatement revendiqués par l’Etat islamique, qui a donné le nom des deux kamikazes.
Le président égyptien al-Sissi a demandé à l’armée de protéger les « infrastructures vitales » (dont feraient partie les églises, si l’on comprend bien), et a décrété l’état d’urgence pour trois mois.
Côté français on notera les honteuses réactions de François Hollande et de Jean-Marc Ayrault. Le président de la République déclare dans son communiqué : « Une nouvelle fois l’Egypte est frappée par les terroristes qui veulent détruire son unité et sa diversité. » Pour le ministre des Affaires étrangères, l'objectif des terroristes est de « remettre en cause le vivre-ensemble et la tolérance religieuse qui caractérisent la société égyptienne ». Sic.
Le blog d'Yves DAOUDAL
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Marine Le Pen: "Une polémique inutile et décalée sur le Vél' d'Hiv" "
Par Guillaume Tabard
Mis à jour le 10/04/2017 à 19h47CONTRE-POINT - Après l'affaire Fillon, l'émergence de Macron et la percée de Mélenchon, Marine Le Pen s'était un peu fait oublier. Avec cette polémique liée à une querelle historiographique, la voilà de nouveau au centre de l'arène.
Polémique voulue ou polémique subie? Voilà longtemps en tout cas que le nom d'un dirigeant du Front national n'avait pas été associé à une querelle historique, liée à la Seconde Guerre mondiale de surcroît. C'est bien la preuve que le lepénisme ne change pas, se sont empressés de proclamer ses opposants commençant à s'inquiéter de la trop parfaite réussite de l'opération de «dédiabolisation» lancée par la fille de Jean-Marie Le Pen dès son accession à la tête du FN, en 2010. Mais ce que montre aussi ce débat, c'est que l'anti-lepénisme, lui, ne change pas.
«Négationnisme», «vrai visage de l'extrême droite», «digne fille de son père»… les dénonciations sont venues de la gauche comme de la droite. Or, à aucun moment, la candidate FN n'a nié ou minoré la réalité et l'horreur de la rafle de 13.000 Français juifs conduits au Vél' d'Hiv' par 4500 fonctionnaires de police eux-mêmes français. Elle n'en a pas fait un «point de détail» de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale.
En dédouanant la France, en tant que telle, de toute responsabilité, Marine Le Pen n'a fait que reprendre la vulgate gaulliste, maintenue après le général par Pompidou, Giscard et Mitterrand, selon laquelle «Vichy n'était pas la France», celle-ci étant à Londres. Position défendue par un Philippe Séguin ou Jean-Pierre Chevènement après le tournant chiraquien du 16 juillet 1995. «Ce jour-là, la France commit l'irréparable», trancha Jacques Chirac, fixant une nouvelle lecture de cet événement honteux, validée depuis par Nicolas Sarkozy et François Hollande.
Querelle historiographique
Il est légitime de penser que ce débat moral et historique a été tranché. Que Chirac a imposé définitivement la vérité de l'Histoire au détriment du mythe d'une France qui n'aurait rien eu à avoir avec la «parenthèse» de Vichy. On peut aussi s'interroger sur la pertinence qu'il y a à rouvrir ce débat. Mais Marine Le Pen a ranimé une querelle historiographique ; elle n'a pas réveillé le vieux fond d'antisémitisme que certains croient voir subsister au FN. Il est paradoxal d'y voir la volonté de «remobiliser les nostalgiques du pétainisme», comme l'en accuse Jean-François Copé, alors qu'elle reprend la doctrine gaulliste et qu'elle ajoute que la responsabilité française incombe à «ceux qui étaient au pouvoir à l'époque», autrement dit Pétain justement.
Cette polémique pose une double question. Sur Marine Le Pen, d'abord. Elle assure qu'elle n'a fait que répondre à une question qui lui était posée au «Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI». Mais après tant d'efforts pour corriger l'image de son parti et se démarquer des propos de son père, était-il si judicieux d'accepter d'aller sur ce terrain de la Seconde Guerre mondiale sachant que, même par amalgame, cela ranimerait les anciens soupçons sur son parti?
Elle pose ensuite une question sur ses adversaires. Car, en voulant réveiller la diabolisation du lepénisme, ils risquent de n'obtenir que sa victimisation. Sur les millions de Français qui veulent voter Le Pen, combien le font par fidélité au pétainisme? Brandir cette filiation peut au contraire être pris pour un déni des vraies motivations de leur vote. Avec l'affaire Fillon, l'émergence de Macron et la percée de Mélenchon, Le Pen en tout cas n'était pas au centre de cette campagne. Voilà longtemps que ça ne lui était pas arrivé. On saura dans moins de deux semaines maintenant pour qui cette polémique fut une aubaine.
Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 11/04/2017. Accédez à sa version PDF en cliquant ici
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JOURNAL TVL DU LUNDI 10 AVRIL 2017
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Le vrai danger, c’est lui : Emmanuel Macron, l’homme de la guerre civile
A Marseille, samedi 1er avril, Emmanuel Macron a montré son vrai visage, et c’est celui de la haine. La haine de la droite et la haine de la France. Macron, c’est Hollande ? Oui, mais en pire. Un Hollande qui n’aurait pas peur de déclencher la guerre civile. Contre la France.
Il a déjà existé dans l’histoire du monde un Macron. C’était à peu près à l’époque où le Macron de 2017 fixe le début de Marseille comme « terre d’immigration », il y a 2000 ans. Alors régnait à Rome, et donc sur Massilia, un empereur, Tibère, sans doute le meilleur empereur que connut Rome après Auguste, car déjà, peu ou prou, comme pour nous, il était dit que chaque nouvel empereur de la dynastie des Julio-Claudiens serait moins bon que le précédent.
Tibère, donc, était empereur et comme tout empereur il entretenait des favoris aux destins incertains. Un jour, les Romains en découvrirent un nouveau. Il s’appelait Macron. D’origine modeste, et même obscure, il était monté par la force de son intelligence et son don pour les intrigues. Le temps passa. Tibère déclinait. Son héritier, le futur Caligula, s’impatientait. Pour plaire au futur maître, Macron tua Tibère et, une fois la chose faite, pour lui plaire encore un peu, car les empereurs comme les présidents de la République oublient vite les services qu’on leur rend, il lui prostitua sa femme jusqu’au jour où, à son tour, pris dans un complot, réel ou imaginaire, le maître lui conseilla vivement de se suicider. Ce qu’il fit, comme le premier Bérégovoy venu.
Macron élu, on regrettera Hollande !
Hormis leur nom, les deux Macron n’ont rien en commun, mais gageons que si le Romain n’avait pas été un aussi effroyable personnage, BFM n’aurait pas manqué d’y faire référence, tant cette campagne électorale est pleine de tout ce qui est inutile à la compréhension des choses et vide de tout ce qui pourrait peut être permettre aux électeurs les moins sots de comprendre que la comédie dont on les fait rire n’est jamais qu’un drame en marche.
Ce samedi 1er avril, Macron était à Marseille. Petite sardine frétillante dans son costume luisant de champion médiatique, bien incapable de bloquer le port de Marseille, il fit un miracle : dans une salle à la contenance maximale de 3 200 places, il rassembla 6 000 personnes. Il est vrai que chaque personne comptait pour deux. Là où la police comptabilisait un spectateur, Macron voyait un Comorien et un Français, un Ivoirien et un Français, un Algérien et un Français, un Malien et un Français, tant et si bien que s’il avait également vu un Européen en chaque Français, le parc Chanot aurait pu tripler de volume.
Doit-on en rire ? Oui, car d’ici un mois, nous ne le pourrons plus. Si Macron est élu, alors, il ne nous faudra pas un an pour regretter… Hollande.
Hollande, c’est le socialisme à l’ancienne, pépère. Un socialisme vicieux, corrompu, corrupteur, menteur, lâche, tout ce que l’on veut. Mais encore pétri de la terre de Corrèze et fleurant bon la merde des motions de congrès. Macron, c’est la fin du socialisme français car c’est aussi la mort de la France. Il est l’homme de la dernière pelletée sur sa tombe. Macron est un homme hors de la France, hors de notre réel. Il ne marche pas, il lévite. Un homme ? Disons-le tout net, l’est-il bien, au sens viril du mot ? Epaules étroites, corps sans puissance, voix de fausset, il est ce que les magasines désignent du terme de métrosexuel. Comme le dit sa propre mère : « On pourrait déshabiller Laetitia Casta devant lui que cela ne lui ferait rien. »
Chasser les Français hors de France !
Là où ses prédecesseurs se tapaient des journalistes, des actrices ou des mannequins, levaient leur verre « à nos femmes, à nos chevaux et à ceux qui les montent », bref là où les autres s’empiffraient de femmes pour hommes dominants, pour hommes arrivés, lui a choisi de vivre avec un croisement de Mme Pompidou et des frères Bogdanoff. Quel lien avec la politique ? Un lien essentiel, sauf pour ceux qui veulent ignorer que nos actes privés annoncent nos actes publics. Pour Macron, les peuples, les familles, les frontières, les normes, les sexes n’existent que si on veut qu’ils existent. Quant à la culture française, elle n’a jamais existé…
Et il y a un public pour ça ? Oui. Que celui-ci pèse 25 % ou 15 %, peu importe, ce public existe. Il est le révélateur de notre peuple. Un peuple qui, pour partie, ne veut plus être un peuple et n’aspire plus qu’à la paix des télés, la jouissance des galeries marchandes, la sécurité des zones pavillonnaires. Quant au peuple qui ne veut pas mourir, Macron le hait et le voue à la vindicte. Pour lui, l’ennemi, c’est la droite. Sens commun ? Que Fillon travaille avec lui prouve qu’il « a tourné le dos à la république. » Le Front national ? « Il faut chasser le parti du mépris. » Chasser les Français qui veulent le rester hors de France !
Que tous ceux, au FN ou chez les Républicains, qui pensent s’acheter une virginité en envoyant aux fauves plus à droite qu’eux sachent qu’ils partageront le même sort que leurs victimes. Macron élu, ce sera la guerre civile faite à la droite car aujourd’hui le peuple et donc la France, c’est la droite.
Philippe Martin
Article paru dans Minute daté du 5 avril 2017
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Paris: Plus de 400 clients de prostitué(e)s épinglés depuis un an
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VIDEO - Marine Le Pen au Grand Jury RTL
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White lives matter ! Attention image insoutenable, mais bien réelle.
La photo de cette enfant n'a pas fait le tour du monde comme celle du petit Aylan … qui est mort par la faute de son père.
La mort du petit Aylan, dont les médias nous ont attribués faussement la responsabilité, a déclenché une indignation mondiale.
Durant des semaines, cette photo était partout, l'indignation des médias était généralisée, les sanglots des invasionnistes était tonitruants.
Cette image était insoutenable selon les gauchistes.
En revanche, la photo terrible d'un des enfants assassinés à Stockholm par un islamiste est passée inaperçue.
Cette pauvre fillette, écrasée et démembrée par un camion bélier, ne fera jamais la couverture des journaux, notre RTS ne le montrera jamais.
Elle avait douze ans.
Normal pour nos médias acquis à la cause du 'Big Other', … cette enfant n'était qu'une des nôtres...
Cenator, 9.4.2017
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France : Selon les services de renseignement, l’islam radical progresse rapidement dans les enclaves ethniques urbaines
BREIZATAO – ETREBROADEL (08/04/2017) Les grands centres urbains connaissent une accélération de l’islamisation, principalement menée par les salafistes. D’après une note de la Direction centrale de la sécurité publique publiée récemment, il se développe de manière très inquiétante dans certains quartiers français.
Valeurs Actuelles (source) :
La situation est visiblement catastrophique. Dans une note que Le Figaro a pu se procurer, « l’emprise religieuse dans les quartiers sensibles » de Paris et de la petite couronne d’Ile-de-France est très préoccupante. « De véritables méthodes et stratégies locales » seraient utilisées par les salafistes.
Une stratégie patiente d’expansion prend corps, d’après cette note :
Pour se protéger de la surveillance policière, certaines familles radicalisées commenceraient même à quitter leur logement pour s’installer dans les cités, « pour y vivre leur religion en toute tranquillité ». Plus alarmant, le salafisme ne se développerait plus seulement à travers l’action de certaines mosquées, plus faciles à surveiller. Le mouvement s’insérerait dorénavant dans la vie économique et sociale et ce, même dans certaines villes à la réputation plutôt tranquille comme à Montluçon, dans l’Allier.
« Je ne sais pas si c’est du salafisme, mais je constate depuis peu que le communautarisme gagne du terrain en ville. Les commerces sont rachetés un à un, et une ambiance délétère s’installe, qui pousse les riverains à partir et à céder leurs biens, rachetés à vil prix. C’est un vrai système qui s’est mis en place », déplore Daniel Dugléry, le maire LR de la ville au Figaro. Encore plus inquiétant, le travail de la police n’est plus aussi efficace : « Les policiers sont dépassés, car ils ne vivent plus dans les quartiers et ne savent plus bien ce qui s’y passe », avoue-t-il.
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VIDEO - Thierry Meyssan: Derrière l'attaque états-unienne en Syrie
A écouter absolument ! Au lieu de croire les médias...
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Villeparisis : la fillette de 3 ans portant des traces de coups errait seule dans la nuit
L'enfant de trois ans a été provisoirement placée et une enquête est en cours pour identifier les parents.
Dans la nuit de samedi à dimanche, une petite fille de 3 ans a été retrouvée seule errant dans les rues de Villeparisis (Seine-et-Marne). Elle portait des traces de maltraitance et a été dans un premier temps hospitalisée. Dans la matinée, le parquet a pris une ordonnance de placement provisoire pour mettre la petite fille en sécurité. L’enquête est en cours pour identifier les parents. Du côté de la police, on se refusait à tout commentaire ce dimanche.
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Marine Le Pen dit que la France n'est pas "responsable " de la rafle du Vél' dHiv'
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Pour Marine Le Pen, la France n'est pas "responsable" de la rafle du Vél d'Hiv' (en 1942)
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Attentats en Egypte contre deux églises coptes: au moins 44 morts. Daesh revendique.
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Attentat à Stockholm: l'auteur présumé est passé aux aveux
La police a également donné plus d'informations dimanche sur l'identité du suspect, dont le nom a été révélé par plusieurs médias suédois. Le bilan de l'attaque est de quatre morts et quinze blessés.
L'auteur présumé de l'attentat de Stockholm perpétré vendredi est un demandeur d'asile débouté qui s'était vu refuser un permis de séjour, a annoncé la police suédoise ce dimanche. Interpellé vendredi et placé samedi en garde à vue, l'homme est un Ouzbek de 39 ans, présenté par plusieurs médias locaux comme un sympathisant de l'Etat Islamique. Il montrait «de l'intérêt pour des organisations extrémistes comme l'État islamique», a précisé la police.
Plusieurs médias suédois l'ont identifié comme étant Rakhmat Akilov, un ouvrier du BTP et père de famille ouzbek, entré en clandestinité en décembre 2016 pour éviter son expulsion. Introuvable depuis février, il a refait surface vendredi. Après avoir encastré le poids lourd dans la façade d'un grand magasin vendredi, Rakhmat Akilov s'est engouffré dans la grande station de métro de T-centralen, toute proche, profitant de la panique pour se fondre dans la foule, selon les informations recueillies par la presse auprès de sources proches de l'enquête.
Selon le quotidien Expressen, l'homme a reconnu les faits en garde à vue. Le suspect a déclaré aux enquêteurs être «satisfait de ce qu'il a fait» et «d'avoir accompli ce qu'il voulait accomplir». «C'est moi qui l'ai fait», aurait-il déclaré quelques heures après la tragédie dans une ville voisine de Stockholm, selon d'autres sources citées samedi par Expressen.
Le Parisien
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Donald Trump envoie un porte-avion nucléaire vers la Corée du Nord
|09 avril 2017, 9h18 | MAJ : 09 avril 2017, 9h43|17Moins de deux jours après sa frappe en Syrie, les Etats-Unis envoient un porte-avion vers la péninsule coréenne. Une façon de répondre aux tests nucléaires nord-coréens.
Un porte-avions américain et sa flotte font route vers la péninsule coréenne, a révélé samedi le porte-parole du commandement américain dans le Pacifique. «Le commandement américain dans le Pacifique a ordonné au groupe aéronaval déployé autour du porte-avions USS Carl Vinson d'être à disposition et présent dans l'ouest du Pacifique, et ce par mesure de précaution», a déclaré le commandant Dave Benham.
Cette flotte américaine qui se dirige vers la Corée est composée du porte-avion nucléaire Carl Vinson, de son escadron aérien, de deux destroyers lanceurs de missiles et de deux croiseurs lanceurs de missiles. Alors qu'il devait initialement aller faire escale en Australie, il a pris la route du Pacifique Ouest depuis Singapour.Dissuader Pyongyang de poursuivre ses essais nucléaires
Selon le commandant Dave Benham, «la menace numéro dans la région reste la Corée du Nord, en raison de son programme de missiles irresponsable, déstabilisateur et imprudent, et de la poursuite (de ses recherches) en vue de disposer d'armes nucléaire». La Corée du Nord a réalisé cinq tests nucléaires, dont deux en 2016, et les images satellites suggèrent que le régime de Pyongyang serait en train de préparer un sixième essai.
Jeudi et vendredi, le président américain, Donald Trump, et son homologue chinois, Xi Jinping, ont longuement discuté en Floride (Etats-Unis). Trump aurait demandé à son visiteur de faire pression sur Kim Jong-Un, le dictateur nord-coréen, pour que celui-ci cesse son programme d'armement nucléaire.
Le président américain a cependant d'ores et déjà menacé le régime de Pyongyang d'une action unilatérale, et cette menace paraît encore plus crédible depuis la frappe ordonnée jeudi soir sur la base aérienne syrienne d'où auraient décollé les avions syriens supposés responsables de l'attaque chimique présumée contre le village de Khan Cheikhoun mardi.
> A LIRE AUSSI. Washington veut rassurer le Japon
Samedi, la Corée du Nord a d'ailleurs qualifié cette attaque américaine en Syrie d'«acte d'agression intolérable». «La réalité d'aujourd'hui montre que nous devons exercer pouvoir contre pouvoir, et cela prouve plus d'un million de fois que notre décision de renforcer notre dissuasion nucléaire a été le bon choix», a ajouté un porte-parole non identifié du ministère nord-coréen des Affaires étrangères, cité par l'agence officielle KCNA.
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Pierre de RONSARD (1524-1585)
Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle
Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle,
Assise aupres du feu, devidant et filant,
Direz, chantant mes vers, en vous esmerveillant :
Ronsard me celebroit du temps que j'estois belle.
Lors, vous n'aurez servante oyant telle nouvelle,
Desja sous le labeur à demy sommeillant,
Qui au bruit de mon nom ne s'aille resveillant,
Benissant vostre nom de louange immortelle.
Je seray sous la terre et fantaume sans os :
Par les ombres myrteux je prendray mon repos :
Vous serez au fouyer une vieille accroupie,
Regrettant mon amour et vostre fier desdain.
Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain :
Cueillez dés aujourd'huy les roses de la vie.