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Blog - Page 1117

  • Mises en examen pour racisme anti-blanc: réaction de l'Agrif et précisions du Bloc identitaire

    19/10/2012 — 11h00
    PARIS (NOVOpress) —
    Suite à un communiqué du Bloc Identitaire dont nous rappelions les termes principaux avant-hier soir, Bernard Antony et l’Agrif (Alliance Générale contre le Racisme et pour le Respect de l’Identité Française et chrétienne) ont une fois de plus violemment réagi, allant jusqu’à accuser le Bloc Identitaire de “récidive de récupération mensongère” : “La simple objectivité aurait justifié de mentionner que ces mises en examen l’ont été du fait de la seule action judiciaire de l’AGRIF sans laquelle rien ne serait advenu.”

    Dans une réponse datée du 18 octobre, le Bloc Identitaire précise : “Comme l’a relevé avec justesse l’AGRIF, le Bloc Identitaire n’a pas assigné en justice Houria Bouteldja (…) Il s’agit d’une erreur malheureuse et regrettable dû à une rédaction (trop) rapide. En revanche, tout aussi regrettable et lassante est la réaction de l’AGRIF qui n’a de cesse de veiller avec un soin jaloux sur ce qu’elle pense être son pré carré.”


    Le Bloc Identitaire ajoute : “en aucune manière, l’ensemble de ses résultats sur le terrain depuis 20 ans ne l’autorise à des réactions aussi excessives que ridicules. À l’époque du combat contre le groupe de rap Sniper, Bernard Antony avait pris soin de ne jamais citer le mouvement identitaire alors même que celui-ci était à l’origine de cette action. Le Bloc n’en avait pas fait un communiqué de presse pour autant, considérant que ces petites réactions égotiques ne méritaient qu’un silence méprisant. La lutte contre le racisme anti-blanc nécessite l’union de tous et non des rivalités de chapelles, misérables à l’aune des menaces qui pèsent sur la France et l’Europe. Il serait bien que, de temps à autre, l’AGRIF et Bernard Antony se rappellent qui sont leurs vrais ennemis.”

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Eric Zemmour condamne l'attitude de Hollande à l'égard de l'Algérie


    "La Chronique d'Eric Zemmour" : Hollande et... par rtl-fr

    Posté par le 19 octobre 2012

     

    Dans sa chronique désormais bihebdomadaire (mardi et vendredi) sur RTL, Eric Zemmour a fustigé ce matin l’hommage rendu par le président de la République aux morts de la manifestation du FLN du 17 octobre 1961.

  • Manuel Valls veut faciliter les naturalisations et accroître le nombre de "Français"...

     

     
    18/10/2012 à 11:26 / Mis à jour le 18/10/2012 à 11:26
     
     
     
    Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a annoncé jeudi à Toulouse la suppression des critères de naturalisation les plus discriminatoires pour augmenter le nombre de personnes qui pourront acquérir la nationalité française. /Photo d'archives/REUTERS/Eric Gaillard

    Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a annoncé jeudi la suppression des critères de naturalisation "les plus discriminatoires" pour accroître le nombre de personnes qui pourront acquérir la nationalité française.

    En déplacement à Toulouse, il a dit avoir envoyé aux préfets une circulaire prévoyant l'abandon immédiat du questionnaire à choix multiples (QCM) de connaissance de la culture française, très décrié, ainsi que la prise en compte des contrats précaires dans l'évaluation de l'insertion professionnelle.

    L'opposition de droite a réagi en estimant que le gouvernement socialiste voulait "brader" la nationalité française.

    Prônant à la fois une "maîtrise" de l'immigration et des "parcours d'intégration réussis", Manuel Valls a critiqué la politique de la précédente majorité en matière de naturalisations et a dit vouloir procéder en deux temps.

    "L'urgence, d'abord, (c'est) redresser la courbe du nombre de naturalisations en revenant sur les critères les plus discriminants qui sont à l'origine de près de 70% des refus", a-t-il déclaré à Toulouse lors d'une cérémonie de naturalisation.

    Dans une deuxième phase, qui devrait aboutir début 2013, une circulaire cadre "remettra à plat tous les critères et leurs conditions d'appréciation" en prenant en compte le résultat d'une concertation et le rapport de la mission parlementaire dirigée par le député socialiste Patrick Mennucci.

    "DISPOSITIF PLUS TRANSPARENT"

    Manuel Valls a insisté sur le fait que le précédent gouvernement avait "entravé" l'accès à la nationalité française ces deux dernières années en prenant des "consignes de durcissement". Le nombre de naturalisations a baissé de 30% entre 2010 et 2011, et de 45% entre 2011 et 2012, a-t-il indiqué.

    Selon l'Insee, 88.509 personnes ont été naturalisées en 2010 et le nombre total de personnes ayant acquis la nationalité française (par mariage, déclaration anticipée ou acquisition sans formalité) s'élevait à 143.275.

    "La nationalité française ne peut être ni bradée-il ne peut y avoir de Français au rabais-, ni réservée à quelques-uns, à une élite", a ajouté le ministre, lui-même d'origine espagnole et naturalisé français.

    "Je ne veux pas ouvrir de nouveaux débats en bouleversant l'ensemble du dispositif d'accès à la nationalité. Il s'agit, simplement, sereinement, de prendre toutes les mesures afin de rendre ce dispositif plus transparent, plus juste, plus efficace."

    Cette réforme du processus de naturalisation doit notamment permettre, selon le ministre, de réformer le dispositif d'information, d'améliorer l'accueil des postulants en préfecture ou encore d'encourager la préparation des candidats.

    La circulaire envoyée jeudi aux préfets prévoit en particulier de prendre en compte les contrats à durée déterminée ou le travail intérimaire, et plus seulement les CDI, dans l'appréciation de l'insertion professionnelle du candidat à la naturalisation.

    "Je refuse l'idée que seuls les détenteurs d'un CDI puissent devenir Français", a souligné le ministre de l'Intérieur,

    Le document ordonne également l'abandon du QCM qui prévoyait de tester le niveau des connaissances sur la culture et l'histoire de France.

    "Dès à présent, la méthode du questionnaire à choix multiple relatif à la connaissance de l'histoire de la culture française est abandonnée par décision du Premier ministre", a poursuivi Manuel Valls.

    Pour Eric Ciotti, député UMP proche de l'ancien Premier ministre François Fillon, "ne peut pas être Français qui veut".

    "La nationalité française doit se mériter et doit supposer un certain effort en ce qui concerne l'assimilation de l'histoire, de la culture et de la langue françaises", a-t-il dit. "Vouloir la brader, comme le souhaitent les socialistes ainsi que leurs partenaires communistes et écologistes, est totalement irresponsable et dangereux."

    Jean Décotte, édité par Yves Clarisse

    Yahoo!Actu

     

    Pour contourner la polémique sur le vote des étrangers !

  • Le Journal de Syrie 18 octobre 2012

  • Claude MONET (1840-1926)

    sans-titre.png Monet le havre.png

    Impression,  soleil levant  (1872)

    Lever du soleil sur le port du Havre

  • Menacé d'une taxe, Google envisage de ne plus référencer les médias français - 18/10/2012

    Menacé d'une taxe, Google envisage de ne plus référencer les médias français



     Le géant américain de l'internet Google a menacé dans un courrier au gouvernement français de ne plus référencer les médias français s'il devait s'acquitter d'une taxe voulue par les éditeurs de presse.

    Les éditeurs français ont demandé en septembre au gouvernement un projet de loi pour que les moteurs de recherche, comme Google, les rétribuent via le versement de droits voisins, une sorte de prolongation des droits d'auteur, en cas d'utilisation indirecte de leurs travaux.

    Google "ne peut accepter" que l'instauration d'un tel droit "mette en cause son existence même et serait en conséquence contraint de ne plus référencer les sites français", écrit le groupe dans un courrier adressé en octobre à plusieurs cabinets ministériels et dont l'AFP a obtenu une copie

    Cela reviendrait pour Google à payer pour chaque lecture d'un article vers lequel il aura redirigé l'internaute.
    Il rappelle qu'il "redirige quatre milliards de 'clics' par mois vers les pages internet des "éditeurs" français.

    La ministre française de la Culture, Aurélie Filippetti, s'était exprimée en faveur de ce type de taxe. "Parmi les outils qu'il me semble important de pouvoir développer, je pense qu'il y a cette idée de créer un droit voisin pour les éditeurs de presse - ce que l'on a appelé un peu facilement la 'Lex Google' - qui me semble extrêmement pertinente", a déclaré mercredi Mme Filippetti devant la Commission des affaires culturelles de l'Assemblée nationale.

    Pour Google, "en réalité, l'ambition de ce texte est d'interdire le référencement non rémunéré. Une telle loi aboutirait à limiter l'accès à l'information, à réduire le nombre de sites français référencés sur internet, mais aussi à freiner l'innovation".

    Le projet de texte actuel, "en soumettant le référencement à rémunération et punissant le défaut de versement de celle-ci de trois ans d'emprisonnement et de 300.000 euros d'amende, ne ferait que multiplier les conflits et ralentir l'internet", écrit-il encore.


     

    http://www.lorientlejour.com/category/Derni%C3%A8res+Infos/article/783364/Menace_dune_taxe%2C_Google_envisage_de_ne_plus_referencer_les_medias_francais.html http://www.lorientlejour.com/category/Derni%C3%A8res+Infos/article/783364/Menace_dune_taxe%2C_Google_envisage_de_ne_plus_referencer_les_medias_francais.html    

    ALTERINFO.NET


     

  • 19 octobre 1783: premier vol habité en montgolfière

    sans-titre.png 19 oct 1783 montgolfière.png

    Ascension captive d'une montgolfière (Jean-François Pilâtre de Rozier) dans les jardins de la papeterie Réveillon, le 19 octobre 1783.

    Dessin de Claude-Louis Desrais (1746-1816)

    Lire:  http://fr.wikipedia.org/wiki/Montgolfi%C3%A8re

    Le 19 octobre à la Folie Titon, aujourd'hui située rue de Montreuil à Paris, à l'époque encore bourg de Saint-Antoine, le premier vol humain dans l'espace eut lieu, effectué par Jean-Baptiste Réveillon, Jean-François Pilâtre de Rozier et Giroud de Villette. Le ballon est alors relié au sol par un cordage.

  • Manuel Valls veut faire financer par l'Etat la formation des imams

    sans-titre.png Valls.png

    18/08/2012 — 08h00
    PARIS (via l’Observatoire de l’islamisation) — Interrogé hier matin sur France Inter, le ministre de l’Intérieur Manuel Valls a parlé de “rumeurs” quant aux liens pourtant avérés entre le Qatar et les mouvements islamo-terroristes, puis a déclaré vouloir financer la formation des imâms :

    “Nous nous retrouvons ensemble avec les représentants du culte musulman notamment pour traiter de l’avenir de la fondation des œuvres de l’islam qui doit permettre à travers des financements publics ou privés de traiter la question de la formation des imams.
    (…)
     
    Je veux aider l’islam de France à se construire et à traiter des questions du financement des mosquées, de la viande halal, de la formation des imams, des carrés musulmans, comme des pèlerinages à la Mecque, voilà les points qu’il faut traiter et moi j’appelle chacun à sa responsabilité, à ne pas se diviser et à travailler pour le bien commun.”

     

    Si l’étatisation de l’islam peut permettre, en surveillant le contenu des enseignements (ou en nommant et rémunérant les imams) d’orienter le personnel religieux vers un cadre empêchant les excès radicaux, il nous semble que cette technique ne puisse marcher que dans des pays musulmans. Le Grand mufti de Syrie, Ahmed Badr Eddine Hassoun, a démontré ces dernières années dans ses discours une exemplarité dans l’approche du respect des minorités et de la séparation du politique et de l’islam. Mais perçu comme “vendu” au régime laïc de Bachar, il fut visé via son fils, lâchement assassiné par les islamo-terroristes l’année dernière (les médias français n’en ont pas parlé). En France, la dépréciation d’imams formés par la république serait évidente, des instituts instigués par des pays occidentaux ne pouvant gagner le millième de légitimité qu’ont les universités sunnites multiséculaires comme celles de Constantine (Abdelkader), Fez (Qarawine), la Zeitouna en Tunisie et Le Caire (Al-Azhar).

    De plus, le laïcisme hystérique franco-français disqualifierait politiquement l’homme politique qui mettrait en œuvre une telle entreprise, bénéfique ou non.

    Crédit photo : Jackolan1 via Wikipédia (cc)

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  • Taubira veut recruter plus d’imams dans les prisons

    sans-titre.png Taubira imams.png


     

    Rédigé par lesoufflet le 12 octobre 2012.

    12.10.2012
    Photo : francediplomatie

    Dans une interview pour Europe 1, la ministre

    de la justice, Christiane Taubira, a déclaré que

     « les imams sont insuffisants » dans les prisons

     françaises avant d’annoncer qu’elle comptait

     concéder un effort budgétaire, pour pouvoir

    recruter d’avantage de ministres du culte

    musulman dans les prisons françaises. Quand

     le clientélisme du PS impose à la gauche

    française de renier ses convictions sur la laïcité…

    Alors que les journalistes lui demandaient son avis sur

     la cellule terroriste islamiste démantelée le week-end

     dernier et sur certains de ses membres déjà

    condamnés pour des faits de petite délinquance,

     qui ont passé quelques séjours en prison, Christiane

     Taubira a expliqué que le manque d’imams dans les

     prisons françaises était un vrai problème et qu’elle

     comptait en embaucher plus.

    La solution au problème terroriste serait donc de

    mettre des imams dans nos prisons ! Il fallait y penser.

     Seul un parti aveuglé par l’absurdité de son idéologie

     peut tirer ce genre de conclusions…

    Pour les socialistes, c’est donc désormais la religion

     qui doit servir de boussole morale aux citoyens ?

    Une conception pas forcement idiote que la gauche

     française a pourtant toujours combattu au nom de

     la laïcité française…quand il s’agissait du christianisme.

    Christiane Taubira estime donc que « les imams

    sont insuffisants. [...] A tel point que j’ai décidé dans

     le budget 2013 d’affecter 15 ETP (ndlr équivalents temps

     plein), cela fera une possibilité de couverture de 30

    établissements supplémentaires. [...] Je ferai le même

     effort en 2014, ça nous fera encore 30 établissements

     supplémentaires », a-t-elle expliqué avant de préciser

     qu’ »actuellement une soixantaine d’établissements

    seulement sont couverts ».

    S’agit-il vraiment du même parti socialiste qui nous

     harcèle avec sa laïcité ? Qui refuse que l’on parle

    de Jésus dans les cours d’Histoire ? Ces gens là n’ont

     vraiment pas de figure ! Quel cynisme de se renier à

    ce point pour glaner quelques voix aux élections.

     Il est vrai que le président a été élu grâce au vote

    communautariste musulman et qu’il faut bien

    récompenser ses électeurs…

    Allons nous devoir imprimer sur nos billets de banque,

    à la manière des Américains, « In Allah we trust » ?

    Taubira souhaite -t-elle que l’Islam devienne

     la religion publique française ? Voudrait-elle

     instaurer une république islamique dans

     notre pays ?

    L’Islam pour lutter contre le terrorisme,

    c’est maintenant !

     

    24h Actu

  • Bernard Lugan : Mensonges et manipulation à propos de la manifestation FLN du 17 octobre 1961 à Paris

    sans-titre.png 17 oct 61 Hollande.png

    François Hollande rend hommage aux victimes du 17 octobre 1961 le 17 octobre 2011

     

                

    Article initialement publié le 18/10/11 à 19h53

     
    Contrairement à ce qui est affirmé par des médias dont l’inculture est à l’égal de l’esprit partisan, le 17 octobre 1961, il n’y eut pas de massacre d’Algériens à Paris.
    Bernard Lugan

    Cinquante ans après la fin de la guerre d’Algérie, par le biais d’une machination particulièrement bien orchestrée, policiers, gendarmes mobiles, CRS et Harkis engagés le 17 octobre 1961 à Paris dans une opération de maintien de l’ordre, sont devenus des agresseurs accusés d’avoir massacré 300 manifestants algériens, d’en avoir jeté des dizaines à la Seine et d’en avoir blessé 2300.
    Tous les ans depuis 1991, ceux que le FLN désigne sous le nom de « Frères des Frères », organisent à grand renfort médiatique une cérémonie à la mémoire des « Martyrs Algériens » du 17 octobre 1961. Au mois d’octobre 2000, les « Frères des Frères » ont créé l’ « Association 1961 contre l’oubli ».
    Cette année, la commémoration a pris un éclat particulier avec la présence du candidat socialiste aux futures élections présidentielles lequel a lancé une rose rouge à la Seine en mémoire des manifestants qui y auraient été noyés…

    Or, contrairement à ce qui est affirmé par des médias dont l’inculture est à l’égal de l’esprit partisan, le 17 octobre 1961, il n’y eut pas de massacre d’Algériens à Paris.
    Revenons aux faits. Nous sommes en pleine guerre d’Algérie et le FLN qui cherche à prendre le contrôle de la communauté algérienne vivant en France organise une manifestation surprise et clandestine devant converger vers la Place de la Concorde et l’Elysée afin de montrer sa force et pour peser sur les pourparlers de paix qui ont lieu à Evian.
    Assaillis de toutes parts, les 1300 hommes des forces de l’ordre rassemblés en urgence, et non 7000 comme cela est toujours dit, firent preuve d’un grand sang-froid et d’un immense professionnalisme se traduisant par un bilan des pertes « modéré » dans de telles circonstances.

    Contre les affirmations des complices du FLN et des auteurs militants, les archives de l’Institut Médico Légal de Paris, la Morgue, sont pleines d’enseignements. Le Graphique des entrées de corps « N.A » (Nord-africains) par jour. Octobre 1961, nous apprend ainsi que du 1° au 30 octobre 1961, 90 corps de « NA » , Nord-africains selon la terminologie officielle de l’époque, sont entrés à l’Institut médico légal, la plupart étant d’ailleurs des victimes du FLN…
    Le 17 octobre, alors que se déroulait dans Paris un soi-disant massacre, l’Institut Médico Légal n’a enregistré aucune entrée de corps de « NA ». Et pour cause, le 17 octobre 1961, de 19h30 à 23 heures, une seule victime fut à…suite et source : Bernard Lugan, Merci à Pam-Pom

    Défrancisation

  • Marion Rousset, violée et poignardée à 60 reprises : deux experts concluent à l’irresponsabilité pénale de son meurtrier

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    Marion Rousset

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    Yannick Luende Bothelo, originaire de l'Angola

     

    C'est avec stupeur qu'on apprend que Yannick Luende Bothelo, l'assassin de Marion Rousset, cette adolescente de 14 ans violée et tuée d'une soixantaine de couteau près de Nantes, pourrait ne pas être condamné.

    En effet, deux experts ont conclu à l’irresponsabilité pénale de l'homme, en diagnostiquant une «schizophrénie paranoïde».

    Dans la nuit du 18 au 19 mars, la victime a été tuée d'une soixantaine de coups de couteau dans des toilettes publiques de Bouguenais, près de Nantes. Son corps était désarticulé et à moitié dénudé.

    Son meurtrier, un multirécidiviste qui était recherché après avoir arraché son bracelet électronique, avait, le jour même, poignardé un promeneur et tenté d'étrangler un retraité de 86 ans.

    La jeune fille de 14 ans était en fugue au moment des faits et, selon sa mère, qui l'avait confiée à l'aide sociale à l'enfance, elle n'aurait jamais dû se trouver à cet endroit-là, à cette heure-là.

    Les parents de la victime vont demander une contre-expertise.

    « C’est un premier avis. Nous demandons une contre-expertise. Elle peut très bien conclure différemment. À une abolition seulement partielle du discernement par exemple. Dans ce cas, il y aura un procès. » a indiqué Maître Louis-Georges Barret, l’avocat de la famille de Marion.
     
     
    Faits Divers - 18/10/12
     
  • Le mariage gay favorisera l'inceste et la polygamie

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    15/09/2012 – 10h00
    PARIS
    (NOVOpress) — Le projet de loi sur le mariage et l’adoption homosexuels sera présenté le 24 octobre au conseil des ministres. Le contenu du texte est toujours en cours d’élaboration. « Le gouvernement veut aller vite sur le sujet », assure Nicolas Gougain, porte-parole de l’Interassociative-lesbienne, gay, bi et trans (Inter-LGBT).


    Pour Ivan Rioufol, « cette précipitation à vouloir trancher avec tant de désinvolture un sujet aussi fondamental laisse voir un parti socialiste obnubilé par ses combats idéologiques, menés au nom de la non discrimination et de l’égalitarisme en tout ». Pour le journaliste, « le mariage pour tous qu’entend promouvoir la gauche relativiste, sous la pression de la minorité militante homosexuelle » aboutira à « une structure familiale sans substance permettant les unions les plus fantaisistes ».

    C’est exactement la préoccupation du cardinal Philippe Barbarin. Pour l’archevêque de Lyon, le mariage gay ouvre la voie à la polygamie et à l’inceste. « Après, ils vont vouloir faire des couples à trois ou à quatre. Après, un jour peut-être, l’interdiction de l’inceste tombera », s’inquiète Philippe Barbarin. Quant au Conseil national des évangéliques de France, il estime que ce « projet promeut les intérêts d’une minorité et que ceux-ci vont à l’encontre du bien commun, en particulier de celui de l’enfant à avoir un père et une mère ». Les évangélistes constatent que le mariage homosexuel « sous couvert de non-discrimination et de liberté de choix individuel, remettrait en cause un fondement structurant de notre société. Ce serait aussi céder à une idéologie faussement égalitariste qui conduira immanquablement à une confusion des repères et bouleversera les structures sociales ». Ils évoquent aussi un risque de « marchandisation du corps » via le « droit à la filiation » que les socialistes font miroiter aux mariés du même sexe.

    Crédit photo : Anthony .S./Flickr (cc)

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    18/10/2012 –18h00
    BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux) –
    L’association pro-vie Alliance Vita a annoncé son intention de manifester le mardi 23 octobre dans 75 villes de France contre le projet de loi ouvrant aux homosexuels le droit au mariage et à l’adoption.

    Selon l’association, « des voix plus en plus nombreuses s’élèvent contre ce projet de loi : Maires, professionnels de l’enfance, pédopsychiatres, associations de personnes adoptées, juristes… Le véritable débat démocratique consiste à les consulter, ainsi qu’à écouter les Français avant d’engager ce que Monsieur Ayrault présente comme “une évolution majeure de notre code civil” ayant pour conséquence une transformation radicale du droit de la famille et de la filiation ».

     

    En effet, dans un sondage Ifop pour Le Figaro en date du 11 octobre, 52 % des français déclarent être hostiles à l’adoption d’enfants par les homosexuels, soit une progression de 10 points en quelques semaines.

    Le mardi 23 octobre, les militants bordelais organiseront donc place Saint Projet une manifestation, afin de mettre en avant « les droits de l’enfant », qui semblent passer après les envies d’adultes égoïstes.

    Happening d’Alliance Vita à Paris en Mars 2012

    Alliance VITA (anciennement Alliance pour les droits de la vie) est une association fondée en France en 1993 au moment des premières lois bioéthiques. Elle agit selon deux axes : l’aide aux personnes confrontées aux épreuves de la vie ; la sensibilisation du public et des décideurs à la protection de la vie humaine. Alliance VITA compte 105 équipes départementales et plus de 37 000 soutiens en France.


    Vidéo : Altérité sexuelle des parents. Par Aude Mirkovic, maître de conférence en droit privé à l’université d’Evry.

    Crédit photo en Une : DR. Crédit photo dans le texte : Alliance Vita.

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  • Comment Kadhafi a été assassiné – un rapport accablant d’Human Rights Watch

     Posté par le 18 octobre 2012

     

    Un rapport d’Human Rights Watch décrit en détail les exécutions sommaires (nous parlerions pour notre part d’assassinats en règle) commises par les insurgés au moment de la mort de Muhammar Kadhafi. Même s’il faut prendre avec d’extrêmes précautions un document émanent de cette ONG très proche de certains réseaux du Département d’Etat américain et autres « agences » d’outre-Atlantique (on se souvient notamment de ses rapports à charge contre les Serbes lors de l’affaire du Kosovo en 1997-1999 dans le but de préparer l’opinion publique occidentale à une agression en règle contre la Serbie), ce document contribue à nous éclaircir sur la manière dont les puissances occidentales mènent leurs interventions armées au nom de grands principes et pour des objectifs inavoués.

    __________

    Comment Kadhafi a été exécuté – un rapport accablant d’HRW

    L’organisation humanitaire Human Rights Watch publie un rapport extrêmement documenté sur les circonstances de la mort de Kadhafi, le 20 octobre 2011. On peut le lire, en anglais, sur le site de HRW.
    Intitulé « Death of a Dictator. Bloody Vengeance in Sirte » (La mort d’un dictateur. Vengeance sanglante à Syrte), le document de 58 pages décrit ce qui peut être qualifié de crimes de guerre et dénonce l’absence d’enquête de la part des nouvelles autorités libyennes.

    Voici les faits, tels qu’ils ont été reconstitués par HRW à la suite d’une longue enquête sur le terrain, sur la base notamment de témoignages, d’enregistrements vidéos (téléphones portables) et d’une présence à Syrte au moment des faits.

    Après la chute de Tripoli, le 28 août 2011, Muammar Kadhafi trouve refuge à Syrte, la ville dont il est originaire. Il y vit alors, entouré de ses derniers fidèles et de son fils Mutassim (responsable de la défense de la ville) dans des conditions extrêmements précaires, sous les tirs des insurgés de Misrata, à l’ouest, et de Benghazi à l’est. Au cours des dernières semaines, il réside dans le « deuxième district », un quartier en bord de mer.

    Le 20 octobre au matin, la décision est prise de fuir. Un convoi d’environ 50 véhicules, des 4x4 armés, est formé. A bord, environ 250 personnes : le colonel Kadhafi, des fidèles et des proches, mais aussi des civils et des blessés. Le convoi part vers l’ouest et, avant la sortie de la ville, tombe sur la brigade Tigre – les miliciens de Misrata. Après des échanges de tirs, le convoi tourne à gauche, sur une route en direction du sud. Un drone (américain) tire un missile sur le convoi, et celui-ci explose à proximité de la voiture de Kadhafi, sans gros dommages. Le convoi tourne alors à droite (vers l’ouest) s’engageant dans des ruelles. Il est alors frappé une nouvelle fois par deux bombes GBU-12 (larguées par un Mirage 2000D français, jdm) qui explosent au-dessus des véhicules. Le choc est violent : HRW recensera le lendemain 14 véhicules détruits et 53 corps – 28 carbonisés et 25 touchés par des éclats.

    Kadhafi et ses proches sortent indemnes de cette seconde frappe aérienne. Ils s’enfuient à pied et gagnent un batiment pour y trouver refuge. Les miliciens de Misrata sont à leurs trousses. Le groupe d’une quinzaine d’hommes cherche alors à s’enfuir pour gagner une autre maison, de l’autre côté de la rue (vers l’ouest) en passant par un conduit souterrain d’irrigation.

    Lire la suite sur le blog de JD Merchet

  • Gendarme tué près de Nice: un suspect en garde à vue

    Un homme soupçonné d'avoir joué "un rôle" dans la mort du gendarme tué mercredi dans l'arrière-pays niçois a été interpellé en début d'après-midi et placé en garde à vue», a indiqué jeudi le procureur de Nice,

     

     

    L'homme a été interpellé sur la commune de Peille (Alpes Maritimes), commune limitrophe avec La-Grave-de-Peille où le drame s'est produit.

    Mercredi, six gendarmes en «planque» y attendaient le retour du voleur d'une Austin Mini, dérobée dans la commune de L'Escarène (à 20 km de Nice) et repérée dans le village de La Grave-de-Peille. Les militaires, «en tenue civile, porteurs de brassards tout à fait repérables, orange fluo, avec indication gendarmerie» avaient bloqué trois axes routiers. C'est sur l'un de ces contrôles routiers qu'un homme à bord du véhicule volé s'est retrouvé face au major Daniel Briere et son coéquipier l'adjudant Moreau. Il était 14h30.

    Un témoin parle d'une «accélération du conducteur»

    Le conducteur, qui roulait à vive allure, a percuté «volontairement» le gendarme qui le sommait de s'arrêter, selon le procureur. Le coéquipier du gendarme a même parlé d'une «accélération» à la vue des militaires. Le procureur explique : «L'adjudant essaie de sortir une herse pour interrompre la progression du véhicule, tandis que le major Briere, qui est le long d'un muret, sort son arme, se met face au véhicule qui venait sur lui à vive allure». Le major Briere fait ensuite «les sommations d'usage» et «il y a une sorte de bref freinage réflexe du conducteur». «Il avait toute latitude, dira l'adjudant Moreau, pour s'écarter et éviter le major Briere. C'est un choix qu'il n'a pas voulu faire», a affirmé Eric Bedos.

    Le choc a été particulièrement violent. Le major Briere, 52 ans et père de deux enfants, a été projeté en l'air à environ 12 mètres. Il est mort de ses blessures peu après son admission dans un hôpital de Nice.

    Un important dispositif pour appréhender le chauffard

    Quant au conducteur, il a poursuivi sa route en direction de Nice avant d'abandonner le véhicule non loin, en tentant de l'incendier. «On reproche à cet individu d'avoir volontairement provoqué la de ce militaire de la gendarmerie dans l'exercice de ses fonctions, ce qui lui fait encourir la réclusion criminelle à perpétuité», a souligné le procureur Eric Bedos

    Une soixantaine de gendarmes avaient été déployés dans la nuit de mercredi à jeudi sur les axes routiers du pays niçois pour retrouver le chauffard. Dans l'après-midi de mercredi, environ 120 gendarmes de tout le département avaient été mobilisés, dont des équipes cynophiles et un hélicoptère de recherche.

     

    LeParisien.fr - 18/10/12 

     

    Frankistan, le pays où l'on écrase les gendarmes!                      

     

  • M. Hollande, vous sombrez dans le ridicule

    Posté par le 17 octobre 2012

     


    Tribune libre de Manuel Gomez, ancien journaliste à
    L’Aurore, témoin des événements d’octobre 1961 à Paris

    Comment pouvez-vous croire tous ces mensonges ? Pourquoi vos services ne vous apportent pas les preuves qu’il s’agit de mensonges ? On abuse de votre crédulité, on se gausse de votre « normalité » et vous sombrez dans le ridicule.

    On vous raconte le 17 octobre 1961 et vous les croyez :

    « Ce fut un « massacre », une hécatombe de corps, 300 Algériens assassinés et 2.300 blessés. Vraiment les forces de l’ordre parisiennes ont fait fort, les mains des gardiens de la paix, des gendarmes mobiles, des CRS et des forces auxiliaires de harkis, sont couvertes de sang à jamais ».

    Il est de notre devoir, à nous journalistes présents sur les lieux, de rétablir la vérité quand elle est évidente et incontestable.

    À l’époque j’appartenais à la rédaction du quotidien L’Aurore et j’ai enquêté dès le lendemain auprès de la morgue et des services hospitaliers, également auprès des établissements et des riverains qui longeaient la Seine. J’ai accompagné le colonel Raymond Montaner, commandant de la force auxiliaire des harkis de Paris, dont le rôle principal était la protection des Algériens de la région parisienne contre les exactions du FLN, qui a enquêté en compagnie de ses deux adjoints le capitaine de Roujoux et le lieutenant Champsavin et voici le résultat absolument vérifiable de ses conclusions :

    Il n’y eut cette nuit du 17 octobre aucune intervention anormale des pompiers parisiens, ni de police secours, ni de la Croix rouge, ni d’aucun service d’ambulance.

     

    Aucun service d’urgence des hôpitaux de Paris et de la banlieue n’a reçu un afflux anormal de blessés. 2.300 blessés en une seule nuit cela laisse pourtant des traces, non ? Toutes les urgences et même les cliniques privées auraient dû être totalement débordées. Où sont donc passés ces 2.300 blessés ? Disparus comme par magie ! Il paraîtrait qu’ils auraient été jetés dans la Seine en même temps que les 300 morts ! L’enquête auprès des barrages en aval de Paris n’a révélé aucune découverte de noyés. Pourtant 300 corps ne se dissolvent pas dans l’eau de la Seine. Les berges sur des kilomètres auraient dû être parsemées de cadavres mais aucun riverain n’en a signalé !!

    La réalité est tout autre. En vérité il n’y eut au cours de cette nuit du 17 octobre que sept morts, dont deux seulement sont imputés aux forces de l’ordre, Achour Belkacem et Amar Malek, tous deux agents du FLN. Les cinq autres morts sont quatre Algériens et un Français, Guy Chevalier.

    Voilà le bilan exact de ce « massacre » du 17 octobre 1961.

    En revanche voici un autre bilan qu’il ne faut pas laisser sous silence mais dont on ne parle jamais : entre janvier 1955 et juillet 1962, les groupes armés du FLN ont assassiné, en France, plus de 6.000 Algériens, tués par balles, strangulation, égorgement. Également 9.000 cas de mutilations (ablation du nez, des oreilles, des lèvres) soit une moyenne de cinq tués ou blessés par jour, pendant sept ans !

    Au cours de ces 7 années il y eu en métropole, 120 gardiens de la paix et 150 civils français assassinés.

    Il faut que cela se sache : il y avait la guerre en Algérie mais il y avait également la guerre en France métropolitaine.

    Malheureusement la très grande majorité du peuple français qui n’a pas vécu ces événements ignore la vérité qui est souvent déformée et parfois même occultée.

    Quand donnera-t-on enfin la parole à ceux qui peuvent apporter la contradiction à ces menteurs qui salissent l’histoire de la France ?

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    Note NPInfos : nous avons illustré ce texte avec quelques Unes de quotidiens de l’époque parues au lendemain des faits. Ces documents illustrent parfaitement l’ambiance d’alors : la violence fut essentiellement du côté des manifestants et la répression fut particulièrement limitée du côté des forces de l’ordre.

  • Mises en examen pour racisme anti-blanc : la preuve que tout combat doit être mené

     

    17 octobre 2012

     

    Mises en examen pour racisme anti-blanc : la preuve que tout combat doit être mené
     

     

    17/10/2012 — 19h45
    ROUBAIX (NOVOpress) —
    Les temps sont-ils en trains de changer ? Telle est la question que l’on peut se poser suite à la mise en examen pour… racisme anti-blancs du “sociologue”, et surtout militant de la haine anti-française, Saïd Bouamama et de “Saïdou” animateurs du groupe ZEP, tous deux co-auteurs de l’explicite Nique La France (image ci-dessus).


    Comme le rappelle dans un communiqué le Bloc identitaire, “il semble évident que ces mises en examen se veulent un contre-feu à la polémique récente – nourrie par les propos de Jean-François Copé – sur l’incroyable silence entourant le développement du racisme anti-blanc et du racisme anti-Français. Mais au-delà, elles témoignent de toute la légitimité du combat mené sur ce sujet par les Identitaires depuis 10 ans.”

    De plus, toujours selon le Bloc, “lorsque nous faisons annuler les concerts du groupe de rap haineux Sniper en 2003, lorsque les Jeunesses Identitaires menaient une grande campagne contre le racisme anti-blanc en 2005, lorsque le Bloc Identitaire assignait Houria Bouteldja en justice pour ses propos sur les “sous-chiens” voici moins d’un an; à chaque fois nous avons entendu des voix expliquer que cela ne servait à rien, que c’était inutile. Nous savions qu’ils avaient tort, que nous semions pour le futur. Et nous avions raison.”

    Ce qui fait dire au Bloc : “Sur le racisme anti-blanc, comme sur nombre d’autres combats : les identitaires ont 10 ans, mais surtout 10 ans d’avance !”

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