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Blog - Page 1156

  • Solidarité Kosovo: les enfants débutent leur classe de mer aujourd'hui !

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    Arrivée des enfants au Monténégro accompagnés par des animateurs spécialisés

     

     

    Ils auront voyagé 14 heures durant pour arriver à bon port. Milena, Lazar et leurs petits camarades serbes, en tout quarante enfants des enclaves du Kosovo-Métochie, sont arrivés ce matin au Monténégro pour une classe de mer inédite.

     

    Accueillis par trois bénévoles de l’association « Solidarité Kosovo », les jeunes participants ont découvert avec émerveillement la station balnéaire de Igalo-Herceg Novi. Les enfants ont alors déjeuné entourés des bénévoles français et du permanent humanitaire de Solidarité Kosovo, le Diacre Bojan.

     

    La fatigue du trajet ayant gagné les plus enthousiastes, les enfants ont rejoins leurs chambres pour une courte sieste avant de se retrouver au milieu de l’après-midi. L’heure du goûter fut particulièrement joyeuse avec l’annonce du programme des 10 jours. Les cris de joie recueillis par le jeune auditoire traduisent toute l’impatience des enfants à participer aux activités de mer, aux activités artistiques et aux escapades découvertes, qui leur ont été concoctées en collaboration avec les bénévoles de l’association serbe « Sun ».

    Mais pour l’heure, une autre grande joie attend les enfants du Kosovo. Les quarante petits viennent de quitter l’hôtel, serviettes et bouées sous les bras, à la découverte de la mer, de son goût iodé et de son espace de jeux et de liberté.

     

    L'équipe de "Solidarité Kosovo"

     

    PS : les personnes souhaitant nous aider peuvent contribuer au développement de nos activités en nous faisant un don. Par chèque à l’ordre de « Solidarité Kosovo », BP 1777, 38220 Vizille ou par Internet.

     

     

    PS2 : « Solidarité Kosovo » étant reconnu d’intérêt général, chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66% du montant du don. A titre d'exemple, un don de 100 € vous permet de déduire 66 € sur la somme de vos impôts à payer. Ainsi votre don ne vous coûte en réalité que 34 €.

     

    www.solidarite-kosovo.org Solidarité Kosovo BP 1777, 38220 VIZILLE, FRANCE
     

     

  • Film à l'affiche

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  • La criminalité ne cesse de d'étendre à Mulhouse

     

     

    Communiqué de Patrick Binder, conseiller municipal de Mulhouse, conseiller régional FN d’Alsace

    Le 14 août, une retraitée a été poignardée dans son hall d’immeuble. En effet, une femme de 75 ans a été retrouvée morte, gisant au sol dans son sang, au niveau des boîtes aux lettres du 132 de la rue Vauban. Elle présentait quatre plaies au niveau du cou. « Il s’agit vraisemblablement de blessures causées par une arme blanche ».

    Martine Binder, conseillère municipale FN de Mulhouse s’est rendue sur les lieux. Dans cette résidence qui n’est apparemment jamais confrontée à l’insécurité, ce meurtre dénote la gravité de la situation mulhousienne.

    Après la guérilla urbaine des quatre quartiers mulhousiens quasiment tenue sous silence par les médias nationaux comme par France 3 Alsace, voilà un crime crapuleux commis à l’égard d’une personne âgée. La réalité de l’insécurité n’épargne donc plus aucuns quartiers de Mulhouse.

    Les plus faibles subissent au quotidien la violence à Mulhouse

    Mulhouse détient maintenant le triste record en Alsace en matière d’insécurité. Les mesures mises en place hier par Jean-Marie Bockel (gauche moderne) et aujourd’hui par Jean Rottner (UMP) sont totalement inefficaces et ils le savent ! Bockel du haut de son estrade de sénateur et président de l’agglomération ne voit pas, n’entend pas la souffrance des plus faibles dans notre ville. C’est lui qui de 1989 à 2010 en tant que maire a tout mis en œuvre pour favoriser la paupérisation de notre ville. Avec aujourd’hui plus de 110 nationalités différentes, on peut mesurer l’échec du multiculturalisme, modèle périmé qui génère la gangrène qui ronge notre ville.

    La délinquance, la criminalité, la violence dans les quartiers a pris un visage de terreur. Comment dans une société comme la nôtre peut-on accepter un tel crime ? Le clan de l’UMPS au pouvoir depuis des décennies à Mulhouse porte toute la responsabilité de l’explosion des actes qui peuvent aller jusqu’au meurtre !

    J’appelle les Mulhousiens(nes) à se réveiller, à se secouer, à arrêter de baisser la tête, de raser les murs et d’être résignés.

    L’avenir de Mulhouse passera en rejetant les élus en place : Freyburger (PS), Buttazzoni (PS), Rottner (UMP), Grosskost (UMP), Hillmeyer (démocrate), Bockel (gauche moderne). Ces gens vivent bien grâce aux indemnités reçues chaque mois. Ils n’ont aucuns comptes à rendre pendant que vous subissez l’insécurité au quotidien !

    Changeons Mulhouse ensemble, rejoignez-nous !

  • Australie: Karoly Zentai, 90 ans, présumé criminel de guerre nazi, ne sera pas extradé vers la Hongrie

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    Karoly Zentai en 2005 avec ses enfants

     

    La Haute cour de justice australienne a définitivement rejeté l'extradition de Karoly Zentai vers la Hongrie. Aujourd'hui citoyen australien, cet homme de 90 ans est accusé de crime de guerre en Hongrie en 1944.

    La justice australienne a définitivement rejeté mercredi l'arrêté d'extradition vers la Hongrie de Karoly Zentai, un Australien d'origne hongroise de 90 ans, poursuivi pour crime de guerre à Budapest pendant l'époque nazie.

    Karoly Zentai est soupçonné d'être un des trois soldats hongrois qui ont torturé et tué un jeune juif de 18 ans, Peter Balazs, à Budapest le 8 novembre 1944. Zentai servait alors dans l'armée hongroise, alliée du régime nazi pendant la Seconde guerre mondiale. Arrivé en Australie en 1950, Karoly Zentai - qui a anglicisé son prénom en Charles - aujourd'hui citoyen australien, nie les faits qui lui sont reprochés. Arrêté en 2005, il avait été libéré sous caution en décembre 2009. Ernie Steiner, le fils de l'accusé, répète que son père est prêt à comparaître devant la justice australienne mais qu'il ne veut pas être extradé vers la Hongrie.

    Les rejets successifs de la justice australienne

    Budapest avait demandé son extradition après des accusations lancées par le Centre Simon Wiesenthal - qui traque les anciens nazis à travers le monde - et selon lesquelles il aurait fui l'Allemagne après la guerre en se faisant passer pour un réfugié. Karoly Zentai figure encore aujourd'hui sur la liste des "dix criminels nazis les plus recherchés" du Centre Simon Wiesenthal.

    Le gouvernement australien avait approuvé cette extradition en 2009, avant que cette mesure soit annulée en première instance en 2010, puis en appel en 2011. La Haute cour, dont les décisions sont définitives, a estimé que Karoly Zentai ne pouvait être extradé car la notion de crime de guerre n'existait pas en Hongrie à l'époque des faits.

     

    TF1 News - 15/08/12

  • 15 Août: la Prière pour la France proposée par Mgr Vingt-Trois à toutes les paroisses fait polémique à cause du "mariage homosexuel"

    http://www.leparisien.fr/societe/la-priere-pour-la-france-divise-l-eglise-15-08-2012-2125819.php

     

    La prière en intégralité
    « Frères et sœurs, en ce jour où nous célébrons l’Assomption de la Vierge Marie, sous le patronage de qui a été placée la France, présentons à Dieu, par l’intercession de Notre-Dame, nos prières confiantes pour notre pays.

    1. En ces temps de crise économique, beaucoup de nos concitoyens sont victimes de restrictions diverses et voient l’avenir avec inquiétude ; prions pour celles et ceux qui ont des pouvoirs de décision dans ce domaine et demandons à Dieu qu’il nous rende plus généreux encore dans la solidarité avec nos semblables.

    2. Pour celles et ceux qui ont été récemment élus pour légiférer et gouverner ; que leur sens du bien commun de la société l’emporte sur les requêtes particulières et qu’ils aient la force de suivre les indications de leur conscience.

    3. Pour les familles ; que leur attente légitime d’un soutien de la société ne soit pas déçue ; que leurs membres se soutiennent avec fidélité et tendresse tout au long de leur existence, particulièrement dans les moments douloureux. Que l’engagement des époux l’un envers l’autre et envers leurs enfants soit un signe de la fidélité de l’amour.

    4. Pour les enfants et les jeunes ; que tous nous aidions chacun à découvrir son propre chemin pour progresser vers le bonheur ; qu’ils cessent d’être les objets des désirs et des conflits des adultes pour bénéficier pleinement de l’amour d’un père et d’une mère.

    Seigneur notre Dieu, nous te confions l’avenir de notre pays. Par l’intercession de Notre-Dame, accorde-nous le courage de faire les choix nécessaires à une meilleure qualité de vie pour tous et à l’épanouissement de notre jeunesse grâce à des familles fortes et fidèles. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur. »

  • L'Assomption de la Vierge Marie

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    L'Assomption de la Vierge  par Le Titien (1516-1518)

    Lire: http://www.e-venise.com/art-peintres/titien-assomption-vierge-frari.htm

     

  • Une photo qui fait froid dans le dos…

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    Je vous la communique comme je l’ai reçue ou plutôt vue sur la page facebook de Youcef Amrane avec le commentaire suivant : « Celui que vous voyez n’est pas Jésus-Christ qui fut crucifié il y a plus de 20 siècles, mais juste l’un des convertis de l’islam vers le Christianisme. Ce Yéménite n’a commis aucun crime que “celui” d’avoir cru en Jésus comme rédempteur et sauveur pour sa vie (croire en Jésus Christ est le plus grand crime sanctionné sévèrement et atrocement par les musulmans selon le commandement de leur charia) ». La mise en ligne de cette photo voici une douzaine d’heures par le titulaire de cette page facebook lui a valu de très nombreux commentaires ulcérés de musulmans. Je ne sais trop ce qu’il faut en penser : le nom du crucifié, la date et le lieu exact de cet événement ne sont pas précisés. Si nos lecteurs arabisants pouvaient tenter le déchiffrer la légende en rouge et, plus difficile encore, le titulus (le motif de sa condamnation) au-dessus de la croix, cela aiderait beaucoup. Donc, avec les réserves d’usage, voici cette photo…

    D.H.

    Source

     

    Pour ceux qui douteraient que la crucifixion des chrétiens (ou des musulmans convertis au christianisme) par des musulmans est une invention d’islamophobes, voici une photo, de piètre qualité, de chrétiens (peut-être des Arméniens) crucifiés par des Turcs lors de l’atroce génocide que la Turquie se refuse toujours de reconnaître…

     

    L'Observatoire de la christianophobie

     

  • Béziers : dans la France de Valls-Taubira, Julien meurt en pleine feria, massacré pour une photo

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    Avenue Saint-Saëns à Béziers

    Assez !

    Assez de ces mises à mort pour une cigarette refusée, pour un regard croisé, pour avoir photographié un réverbère, pour avoir possédé un portable, pour des cheveux trop longs, pour une photo devant une moto précieuse au point de s’acharner sur un homme jusqu’à le crever sur un trottoir !

    Mais dans quel pays vivons-nous ? Quelle civilisation chèrement acquise sommes-nous en train de renier en acceptant que des citoyens ordinaires meurent jour après jour après une rencontre avec des barbares ?

    Julien Portale, jeune papa d’une petite fille et ayant à cœur de s’occuper de personnes en difficulté et handicapées, a malheureusement croisé un barbare samedi soir, un barbare qui l’a laissé sur le carreau et s’est enfui pour revenir peu après avec le renfort d’autres barbares comme lui pour une séance de défoulement physique, tandis que la feria se terminait.

    A proximité des chapiteaux de l’avenue Saint-Saëns à Béziers, Julien, accompagné de ses amis, désirait prendre une photo avec sa copine devant une moto. Mal lui en a pris, le propriétaire de la moto – à moins qu’elle n’ait été volée, compte tenu de la colère engendrée par une simple photo -, un videur de boîte de nuit, en principe formé pour garder son calme, a tout d’abord frappé la jeune femme en lui assénant un coup de poing. Rien que là on sent déjà bien le courage du type…

    Julien a voulu prendre la défense de son amie mais le barbare lui a à son tour donné un coup au visage qui l’a projeté à terre. Les amis de Julien s’en sont mêlés mais n’ont pu empêcher que le jeune homme écope de deux autres coups de pied avec des chaussures coquées en pleine tête, avant que le type ne détale avec sa moto chercher du renfort. Pendant ce temps, les pompiers arrivés sur les lieux ont tenté de ranimer Julien dans le coma avant de l’emmener à l’hôpital où il est décédé.

    Ses amis étaient toujours sur les lieux quand les barbares sont revenus à la charge pour s’en prendre à eux, ayant sans doute préféré attendre le départ des pompiers pour réapparaître, car tout le monde sait que les racailles ont la lâcheté contagieuse…

    Le père de l’un des garçons agressés raconte « Trois autres videurs équipés de gants coqués et de chaussures coquées. Ils s’en sont pris d’abord à mon fils, Luc, et à un de ses amis car c’étaient les deux qui avaient mis en fuite le meurtrier de Julien. Puis, ensuite à nous qui avons pris leur défense. Et bien qu’on se soit retrouvés à neuf contre eux quatre, on n’a pas fait le poids. Ils nous ont laminés ». Un autre âgé de 17 ans s’est retrouvé lui aussi plusieurs heures dans le coma après deux coups de poing au visage « Vous vous rendez compte de l’enfer qu’on a vécu. Avec ces molosses, qui doivent généralement calmer les situations et surtout pas les enflammer, ça aurait pu être un carnage car, c’est une certitude, ils étaient venus pour terminer le travail… ».

    L’un des amis de Julien conclut : « Je ne veux pas de vengeance. Je veux juste que les gens sachent que tout le monde peut crever comme ça, pour rien ».

    Oui, en France, on peut tous crever comme ça, pour rien, pour une photo, pour une cigarette, pour un regard, pour des cheveux trop longs.

    Quant au meurtrier présumé, âgé de 28 ans, il a été mis en examen mais a manifesté plus de précipitation à se délester de sa part de culpabilité sur le dos d’un autre plutôt que de faire preuve de remords. L’autre barbare incriminé, âgé lui de 43 ans, a carrément nié toute implication mais a tout de même été placé sous contrôle judiciaire. Bien sûr, ils n’ont rien fait, ce n’était pas eux… le refrain habituel des racailles pour qui la vie d’un homme n’a pas plus de valeur que celle d’un insecte qu’on écrase du pied.

    Il n’est pas acceptable qu’un peuple civilisé qui donne des leçons de droits de l’Homme au monde entier voit ses propres droits humains bafoués sur son sol, que ce peuple soit au quotidien victime de meurtriers dont l’humanité n’est même pas embryonnaire et qui n’ont que le goût du sang et de la mort comme chemin de vie.

    Il devient urgent, pour ne pas dire urgentissime, de prendre des vraies mesures, concrètes et efficaces. Sarkozy avait promis le karcher, nous n’en avons rien vu, Hollande, ma foi on ne sait plus très bien ce qu’il a promis, vu qu’il a effacé son programme dès le lendemain de son élection. Valls et Taubira eux promettent monts et merveilles mais seulement aux racailles. Bref, devant tant de laxisme le peuple risque malheureusement de ne plus pouvoir compter que sur lui-même pour se défendre, à moins qu’il n’accepte de se résigner à disparaître… un jour après l’autre.

    Qui sera le prochain à croiser un barbare en sortant d’un cinéma, d’un restaurant, d’un bus, de sa voiture, ou bien en prenant une simple photo dans la rue ? Ca peut être vous, ça peut être moi…

    Caroline Alamachère

    RIPOSTE LAÏQUE

  • Var: l'hommage de François Hollande aux deux gendarmes tuées : "un geste inélégant et électoraliste"

    Deux mois après le meurtre de deux femmes gendarmes à Collobrières, François Hollande s'est rendu ce matin à Pierrefeu-du-Var afin de leur rendre hommage. Un déplacement qui arrive trop tard pour les familles des victimes, qui y voient une opération de communication.

     

    Cent jours précisément après son élection, le président François Hollande a interrompu une nouvelle fois ses vacances. Mardi, il a tenu à rencontrer les gendarmes de Pierrefeu-du-Var qui avaient perdu deux des leurs, le 17 juin, deux femmes tuées par balle.

    Ce déplacement, le premier du chef de l'Etat consacré aux questions de sécurité, coïncide avec des affrontements violents entre jeunes et forces de l'ordre, survenus dans la nuit de lundi à mardi à Amiens.

    "Aujourd'hui, il est trop tard"

    La venue du président de la République ne plait pas forcément à tout le monde. Les familles juge le geste inélégant et électoraliste. "Aujourd'hui, il est trop tard. Tout ceci n'est qu'une opération de communication", critique le père d'une des gendarmes tuées. Avant d'ajouter : "Là on n'est plus dans le normal". Un sarcasme représentatif du malaise autour de cette visite, deux mois après le drame.

    Francois Hollande a tout de même rencontré les familles des victimes. Après avoir rendu hommage aux gendarmes, le chef de l'Etat s'est exprimé sur la récidive et a insisté sur les moyens à mettre en place pour le suivi des récidivistes.

     

    BFM TV - 14/08/12

  • Qui est-ce ?

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  • BHL dicte son plan pour détruire la Syrie

     

     

     

    Dans cette tribune, le « philosophe de l’apocalypse » reprend sa vieille partition et chante... comme au temps de la Libye de Mouhammar Kadhafi.

    Poitrine et plume au vent, le philosophe fait son plaidoyer en sept points :

     

    La tragédie syrienne (la démence sans retour qui s’est emparée de Bachar al-Assad, l’interminable martyre des civils canonnés par ses soudards) appelle plusieurs sortes de questions que la trêve estivale ne doit pas interdire de poser – les dictateurs, eux, ne prennent pas de vacances !

    1. Faut-il intervenir ? Et la « responsabilité de protéger », qui est la version onusienne de l’antique théorie de la guerre juste, s’applique-t-elle à la situation ?

    La réponse est oui. Inconditionnellement oui. Ou, plus exactement, elle ne peut être que oui pour ceux qui estimèrent, l’année dernière, qu’elle s’appliquait au cas libyen. La cause est juste. L’intention est droite. Ce sont les Syriens eux-mêmes qui – paramètre essentiel – appellent à l’aide. Les recours politiques et diplomatiques, les tentatives de médiation, ont tous été épuisés. Et les dommages causés par une opération de sauvetage des civils seront, quoi qu’il arrive, moindres que ceux des canons à longue portée urbicidant les villes insurgées.

    Alep aujourd’hui, c’est Benghazi hier. Les crimes qui s’y perpètrent sont ceux dont Kadhafi menaçait la capitale de la Cyrénaïque avant l’intervention. Et nul ne comprendrait que, ce que l’on a fait là pour empêcher un crime annoncé, on refuse de le faire ici, non plus pour l’empêcher, mais pour l’arrêter alors qu’il a déjà commencé… Question de cohérence. C’est-à-dire de logique. C’est-à-dire, comme disait mon maître Georges Canguilhem, cet historien des sciences qui fut aussi une figure de la France Libre et qui aimait à se définir comme « résistant par logique », question de politique et de morale. Libye oblige.

    2. Comment intervenir ? Et comment, en particulier, traiter le veto russe et chinois ? La réponse n’est pas si compliquée que le prétendent ceux qui sont résolus, d’avance, à ne rien faire. C’est celle donnée, le 11 mars 2011, par l’ancien Président Sarkozy aux représentants du CNT libyen demandant ce qui se passerait si la France n’emportait pas l’adhésion du Conseil de Sécurité : « ce serait un grand malheur, avait-il répondu ; et il faudra tout faire pour éviter d’en arriver là ; mais si nous n’y parvenons pas, alors il conviendra, avec les organisations régionales concernées (Ligue Arabe, Union Africaine), de mettre sur pied une instance d’encadrement substitutive qui permettra tout de même d’agir ».

    Et puis c’est celle qu’a indiquée, le 30 mai 2012, à propos, cette fois, de la Syrie elle-même, l’ambassadrice des États-Unis auprès du Conseil de Sécurité, Susan Rice, s’exprimant après une audition de Jean-Marie Guéhenno, adjoint de Kofi Annan, qui commençait déjà de prendre acte de l’échec de sa médiation : « la communauté internationale, lâcha-t-elle, risque de n’avoir bientôt d’autre choix que d’envisager une action en dehors du cadre du plan Annan et de l’autorité du Conseil ». En dehors de l’autorité du Conseil ! La propre ambassadrice américaine !

    Question de droit, cette fois. Amendement du Droit quand ses formes positives sont en contravention avec l’exigence du droit naturel et de la justice. Le veto russe et chinois n’est pas un argument, c’est un alibi. C’est l’alibi de ceux qui, secrètement, comptent qu’Assad soit assez fort pour écraser l’insurrection et nous décharger de nos remords. À lui, le bain de sang. À nous, les larmes de crocodile.

    3. Quel type d’intervention ? Et quels « buts » – au double sens, de buts de guerre (Ziel) et de buts politiques (Zweick) qu’a le mot chez Clausewitz – pour cette mission de protection des civils syriens ?

    La mauvaise foi, dans ce débat, étant visiblement sans limite, beaucoup font semblant de croire qu’il s’agit d’envoyer au casse-pipe, comme en Afghanistan, des bataillons de fantassins. La réalité n’est pas celle-là. C’est celle, d’abord, d’une no fly zone imposée depuis les bases otaniennes d’Izmir et Incirlik, en Turquie, et empêchant les avions d’Asad de mitrailler les femmes et les enfants d’Alep.

    C’est celle, ensuite, d’une no drive zone interdisant, toujours depuis les airs, à ses divisions blindées de se déplacer de ville en ville et d’y semer, elles aussi, la terreur. C’est la proposition qatarie d’instauration de no-kill zones, sanctuarisées par des éléments de l’Armée syrienne libre équipées en armes défensives. Et c’est l’idée turque, enfin, de buffer zones, au nord du pays, offrant un refuge aux civils qui fuient les combats.

    Une gamme échelonnée de mesures faisant entendre au dictateur que le monde ne tolère plus cette boucherie. Et un scénario assez voisin, au fond, de celui qui fut imaginé, dans les premières semaines, par la coalition anti-Kadhafi et que seul le jusqu’au boutisme suicidaire du « Guide » fit déborder de ses buts initiaux.

    Qu’Assad soit aussi fou que Kadhafi, qu’il soit prêt, comme lui, à aller jusqu’au viva la muerte, c’est une possibilité, bien sûr – mais ce n’est pas l’hypothèse la plus plausible et c’est la raison pour laquelle ce plan en plusieurs étapes, cette action graduée, dosée, et se gardant de monter tout de suite aux extrêmes, pourraient être de nature à faire céder le régime. Assad est un tigre de papier. Il est fort de notre faiblesse. Que les amis du peuple syrien montrent leur résolution, qu’ils donnent des signes tangibles de leur capacité à frapper et il préférera – on peut le parier – l’exil au suicide.

    4. Qui pour cette intervention ? Et, concrètement, quelle force ? C’est là que les situations syrienne et libyenne diffèrent – mais pas, là non plus, dans le sens que l’on croit. Kadhafi, contrairement à ce qui s’écrit, disposait d’appuis solides dans la région. Et la Ligue Arabe elle-même qui fut, certes, la première à évoquer une no fly zone le fit du bout des lèvres et non sans donner le sentiment, très vite, d’être effrayée de sa propre audace.

    Assad, lui, est au ban du monde arabe. Il a été suspendu très tôt, ce qui ne fut pas le cas de Kadhafi, de ses instances et organisations. Il est détesté en Afrique. Redouté en Israël. Et il a surtout, à Ankara, un ennemi déclaré, doté d’une armée puissante, elle-même intégrée à l’Otan et qui a deux raisons, au moins, de vouloir en finir avec lui : sa rivalité ancestrale avec l’Iran qui, elle, soutient Assad ; et la crainte de voir cette guerre, en se prolongeant, nourrir les velléités sécessionnistes de sa minorité kurde qui prendrait tout naturellement modèle sur les Kurdes syriens en train, de l’autre côté de la frontière, de conquérir, les armes à la main, une autonomie de fait… Assad est plus isolé que ne l’était Kadhafi. Et la coalition venant au secours de ses victimes serait à la fois plus nombreuse, plus facile à mettre en place et à peine moins puissante que celle que composaient, presque seules, avec l’appui logistique des États-Unis, la Grande-Bretagne et la France.

    5. Quel rôle pour la France dans ce contexte ? Et, au-delà de la France, pour l’Europe ? Celui (toujours nécessaire même lorsque, comme ici, les pièces du dispositif semblent prêtes à s’emboiter) de l’initiateur, du facilitateur, de l’architecte. La France a une grande voix. Elle jouit, dans la région, du prestige que lui vaut son action en Libye. Elle a des liens historiques avec le pays du Jardin sur l’Oronte et de ce que l’on appelait, jadis, le Levant. Et le hasard des calendriers fait qu’elle a, pour deux semaines encore, la présidence tournante du Conseil de Sécurité des Nations Unies.

    On comprendrait mal, dans ces conditions, que le Président de la République, de surcroît nouvellement élu et jouissant, pour cette raison, d’une autorité morale inentamée, n’utilise pas les ressources que lui offre la situation. Et il serait navrant de ne pas tout mettre en œuvre pour hâter la formation de cette grande alliance qui, seule, fera reculer, puis partir, celui que Laurent Fabius a, plusieurs fois, qualifié de bourreau de son propre peuple.

    Catalyser les énergies, fédérer les volontés convergentes mais diverses, encourager les hésitants, décourager les défaitistes et en appeler, déjà, à la conscience de chacun et du monde depuis cette tribune unique que serait un Conseil de Sécurité convoqué en urgence et au niveau des ministres des Etats membres – tel pourrait être le rôle, dans les jours qui viennent, d’une diplomatie française rompant, comme en Libye, avec le védrino-juppéisme.

    6. Le risque d’embrasement ? Et si l’implication croissante de l’Iran dans le dossier ne constitue pas un élément de dangerosité supplémentaire, qui n’existait pas avec la Libye ? Oui, sans doute. Mais le raisonnement peut s’inverser.

    Et ce que l’on découvre, en effet, de la force du lien entre Assad et Ahmadinejjad, ce que l’on soupçonnait mais qui se dévoile, là, dans la lumière, du caractère vital, et pour l’un et pour l’autre, de cet axe, devrait inspirer deux sentiments. L’effroi, d’abord, à l’idée que cette révolte anti régime aurait pu survenir un, deux, cinq ans plus tard, dans un monde où l’allié iranien aurait atteint ce fameux seuil nucléaire qui est son objectif : chantage maximal, alors ; prise d’otage, sans réplique, de l’entière communauté internationale ; et, pire que l’embrasement, la possibilité de l’apocalypse.

    Et puis la détermination à profiter de la situation pour tenter d’affaiblir, voire de briser en son maillon faible, cet « arc chiite » qui, parti de Téhéran, va jusqu’aux Iranosaures du Hezbollah en passant par Damas et, dans une moindre mesure, Bagdad : intervenir à Alep, ce sera stopper – et c’est l’essentiel – une guerre contre les civils qui a déjà fait plus de 20 000 morts ; mais l’intérêt bien compris des nations faisant, une fois n’est pas coutume, bon ménage avec le souci de l’humanité et des crimes commis contre elle, ce sera aussi frapper au cœur, avant qu’il ne soit trop tard, ce triangle de la haine qui menace la région et, au-delà de la région, le monde. Non pas l’embrasement, mais la réduction du risque d’embrasement. Non pas la guerre, mais le refroidissement de la centrifugeuse où se préparent les guerres de demain.

    7. L’après Assad enfin ? Et le sort des minorités, en particulier chrétiennes, que manipule l’ancien régime et dont il voudrait faire croire qu’il fut le protecteur historique ? La question est capitale. Et tout est possible – même le pire…– dans un pays ruiné, chauffé à blanc par la violence et où chaque jour ajoute son lot de désolations, de rages impuissantes, de quêtes du bouc émissaire et, donc, de règlements de comptes.

    Mais la communauté internationale, d’abord, n’est pas sans ressource face à des situations de cette sorte et l’on peut très bien imaginer, pour cette Syrie de l’après-tuerie, une formule semblable à celle qui, au Kosovo, empêcha que l’on s’en prît aux Serbes restés sur place et qui, ici, mandaterait une force onusienne, ou simplement arabe, veillant à la reconstruction civique du pays. Et puis rien n’interdit aux chefs de file de la coalition qui enverra ses avions de la liberté sauver Homs, Houla ou Alep d’assortir leur initiative de demandes de garanties quant à la nature du futur État et au statut qui y sera réservé aux minorités confessionnelles. De telles garanties ne sont jamais des assurances, bien sûr.

    Mais le précédent libyen, là aussi, fait jurisprudence et foi. Car on y a bien vu comment un Occident ami, secourable, libérateur, a eu son mot à dire dans les débats de l’après Kadhafi. Refus du terrorisme, réduction de la tentation islamiste, victoire électorale des modérés, évitement, enfin, de la vendetta généralisée : c’est le signe d’un peuple mûr que l’épreuve des combats a grandi, anobli, libéré d’une part de ses mauvais démons, éclairé ; mais c’est aussi le fruit d’une fraternité d’armes inédite entre une jeunesse arabe et des aviateurs et responsables européens qui, pour la première fois, apparaissaient comme les amis, non des tyrans, mais des peuples. Le souci de cette fraternité serait, si nécessaire, une autre raison d’appliquer sans tarder le devoir de protection des civils de Syrie.

     

    Egalité & Réconciliation

  • Moscou : l'interview sur le départ d'al-Assad est une provocation - 14/08/2012

     

    МИД министерство иностранных дел
     
    © Flickr.com/myxabyxe/cc-by-nc-sa 3.0

    L'information parue dans le journal saoudien Al-Watan et se référant au vice-ministre des Affaires étrangères de Russie Mikhaïl Bogdanov sur la volonté du président de Syrie Bachar al-Assad d'abandonner son poste a été qualifié de désinformation.

    « Nous envisageons cette information comme un nouveau maillon d'une chaîne de désinformations et de provocations », a déclaré le ministère des Affaires étrangères de Russie.

    Aujourd'hui Al-Watan a cité Mikhaïl Bogdanov qui aurait déclaré qu'al-Assad était prêt à abandonner son poste de président « étant donné que la situation dans le pays se détériorait sans cesse ».

     
    french.ruvr.ru
     
    ALTERINFO

     

     

  • Novopress France: de retour le 23 août

    14/08/2012 — 09h00
    PARIS (NOVOpress) — L’équipe bénévole des rédacteurs de Novopress France prend un repos bien mérité : avec près de 3.000 articles originaux sous licence libre publiés depuis 1 an, plus de 10.000 commentaires de lecteurs validés, récompensés par plusieurs centaines de milliers de visites chaque mois, des partenariats noués à travers l’Europe, l’année qui vient de s’écouler fut dense. Le mois de septembre approchant, c’est avec une équipe renforcée que Novopress poursuivra sa mission : délivrer une information alternative de qualité.

    L’information est une arme, et nous sommes en guerre : désinformation croissante sur la Syrie, mensonges sur l’immigration, faits divers systématiquement tus ou transformés (les prénoms des délinquants ethniques francisés en sont la parfaite illustration), tentatives pour la presse “mainstream” d’imposer l’islam comme norme en Europe (alors que les chrétiens d’Orient vivent un calvaire dans un silence assourdissant), il est du devoir de Novopress de rétablir les faits indépendamment de l’idéologie dominante.

    Cette guerre ne peut être poursuivie, en attendant d’être gagnée, que grâce à vous : par votre implication rédactionnelle (vous êtes spécialiste dans un domaine précis ? Rejoignez-nous !), ou bien par votre aide matérielle : articles et archives de Novopress sont libres de droits et gratuits ; vous pouvez toutefois adresser un don ou souscrire un abonnement avec Paypal (vous trouverez sur la colonne de droite les modalités techniques pour cette aide financière), ce soutien financier est indispensable au développement de Novopress. Votre aide est enfin la bienvenue pour accroître l’audience de Novopress sur les réseaux sociaux : à votre tour, vous devenez l’information !

    Nous vous disons donc à très vite.

    L’équipe rédactionnelle de Novopress France

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Après Mulhouse et Toulouse, Amiens s'embrase: 16 policiers blessés, 1 million d'euros de dégâts, mais pas une seule interpellation !

    Lire: http://www.defrancisation.com/violences-urbaines-a-amiens-coups-de-feu-sur-les-crs-ecole-incendiee/

     

    + 6 VIDEOS

     

    14/08/12

  • Manuel Valls hué à Amiens après une nuit de guérilla urbaine


    Amiens : nuit d’affrontements entre jeunes et... par BFMTV
    Manuel Valls chahuté à son arrivée à Amiens par BFMTV

  • Scènes de guerre urbaine à Mulhouse, nuits de violence et de barbarie... La France s'enfonce...


    I love Mulhouse - La guérilla urbaine continue… par patrick-binder
    I love Mulhouse… Scènes de guerre urbaine dans... par patrick-binder

  • Il était une fois... la France - Mon amant de Saint Jean

    Gueule d'amour, film de Jean Grémillon, sorti en 1937, avec Jean Gabin et Mireille Balin

    Mon amant de Saint Jean est chantée par Lucienne Delyle

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    Mireille Balin (1909-1968)

    La descente aux enfers

    Début 1940, Mireille Balin est sur les plateaux de Cinecittà pour Les Cadets de l'Alcazar d'Augusto Genina, film résolument pro-franquiste, qui comptera dans les sérieux ennuis qu'elle aura à la Libération. Durant la Drôle de guerre, elle participe à des galas de bienfaisance pour les prisonniers de guerre. En 1941, sa liaison avec Tino Rossi prend fin.

    Pendant l'Occupation, elle tourne encore quelques films, dont L'assassin a peur la nuit, de Jean Delannoy, Dernier Atout, de Jacques Becker et Haut le vent, de Jacques de Baroncelli. Éprise de Birl Desbok, jeune officier viennois de la Wehrmacht, Mireille Balin n’échappera pas aux foudres de l'épuration.

     

    En septembre 1944, arrêtée avec lui par les FFI à Beausoleil, alors que le couple tente de passer en Italie, elle est battue et violée, puis incarcérée à Nice. Nul ne sait ce qu'il est advenu de Birl Desbok, sans doute exécuté lors de son arrestation. Mireille Balin sera transférée ensuite à Fresnes. Devant le tribunal, on lui reproche sa liaison, sa participation au tournage du film Les Cadets de l'Alcazar et aux galas artistiques de l’ambassade d’Allemagne à Paris. Elle sera libérée en janvier 1945.

     

    Sa vie, sa carrière et sa santé sont brisées. Ses anciennes relations l'évitent. Le public, qui l'a admirée sans l'aimer dans ses rôles de femme fatale forcément peu sympathique, se détourne également. Malgré une ultime tentative, La Dernière Chevauchée, de Léon Mathot, Mireille Balin retourne dans l’oubli sur la Côte d'Azur. Dans un dénuement complet, marquée physiquement par la maladie (méningite, typhus, alcoolisme...), elle remonte à Paris en 1957. Prise en charge par l'association « La Roue tourne » (œuvre d'aide aux artistes dans le besoin fondée par Paul Azaïs et sa compagne Janalla Jarnach), elle meurt à 59 ans le 9 novembre 1968, à 5 h 30 du matin, à l'hôpital Beaujon de Clichy la Garenne, dans l'anonymat et la pauvreté.

    « La Roue tourne » lui évite d'être inhumée à la fosse commune : elle repose au cimetière de Saint-Ouen dans la division 31, partageant plus tard son caveau avec Jean Tissier, autre comédien décédé dans la misère. Leur sépulture est fleurie à la Toussaint par l'association. Lors de son enterrement, on plaça dans son cercueil, dit-on, un petit ours en peluche offert par Tino Rossi.

     

    Wikipédia

     

     

  • Syrie : Alep encerclé par les soldats de l'armée régulière

    lundi, 13 août 2012  

             

    Syrie : Alep, encerclé, par les soldats de l'armée régulière
     
    IRIB- Alep est encerclé par les forces de l'armée régulière syrienne, et toutes ses artères donnant accès à la Turquie et par où circulaient armes et munitions sont contrôlés par l'armée nationale. Selon le site d'information Ajel, à Ariha, dans la localité de Reif, les habitants aident les soldats dans la traque des éléments de l'ASL.

    Deux terroristes ont été, ainsi, capturés. Des roquettes RPG , des armes de fabrication russe (!) et des bombes artisanales ont été découvertes, dans des maisons transformées en entrepôts d'armes; toujours, à Reif, un atelier de fabrication de bombes et d'engins explosifs et quatre hôpitaux de fortune ont été découverts. Les sodats sont parvenus à libérer sept civils enlevés, tout en détrusiant un pick-up doté de mitrailleuse Doshka.