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Blog - Page 1159

  • Marseille: menacé et agressé parce qu'il ne faisait pas le ramadan

     

     
     
     
    Publié le vendredi 10 août 2012 à 12H27
     

    Il somme un restaurateur de fermer, avant de le frapper. La police enquête

     
    Le cours Belsunce, où s'est déroulée lundi la triste agression du restaurateur (en médaillon), âgé de 64 ans, qui a été hospitalisé et porte encore les stigmates des violences subies.

    Le cours Belsunce, où s'est déroulée lundi la triste agression du restaurateur, âgé de 64 ans, qui a été hospitalisé et porte encore les stigmates des violences subies.

    Photos Cyril Sollier

    Jean-Marc Azer n'en est pas revenu. Cet homme de 64 ans, un Français d'origine égyptienne, mais qui vit ici depuis trente ans et tient un snack cours Belsunce (1er), a été sauvagement agressé lundi après-midi. Un homme qui circulait en voiture s'est arrêté à la hauteur de son commerce. Dans son véhicule, une femme voilée. L'homme vient vers lui et lui intime l'ordre de fermer son commerce.

    Pression inhabituelle de la religion

    "Au début, je croyais que c'était un client pressé. Il m'a dit : je te conseille de fermer ton magasin, parce que c'est le ramadan et de ne pas servir de nourriture, raconte la victime. Il me parlait vraiment méchamment. Il m'a répété trois fois la phrase. Je lui ai dit : 'On est en France !' Je ne pensais pas qu'il me ferait du mal. Une heure après, il est revenu . J'ai entendu un "clac" sur mon oreille et une douleur soudaine. Il m'avait frappé avec une ceinture métallique".

    Le courageux commerçant sera transporté à l'hôpital de La Conception, où il devra recevoir des soins. Il se verra délivrer une ITT de six jours par les médecins. Une plainte a été déposée lundi soir. L'affaire fait grand bruit depuis quelques jours dans le quartier de Belsunce. Les commerçants, qui vivaient jusque-là en bonne intelligence, déplorent cette pression inhabituelle de la religion. "Pourtant, ici, il y a des Musulmans, des Juifs, des Arméniens et d'autres qui sont athées", dit l'un d'eux, soucieux d'anonymat.

    "Ce n'est pas une agression ordinaire"

    "C'est moi qui ai alerté les autorités. C'est la première fois que ce genre d'histoires arrive. Cet individu risque de faire des émules", commente Maxime Melka, le président de l'association des commerçants du nouveau centre-Belsunce, Colbert, Saint-Louis. Charles Chiarini, trésorier de l'association, est tout aussi consterné : "J'ai tenu plusieurs commerces dans l'hypercentre. J'en ai fait des ramadans ! Mais je n'avais jamais vu cela. L'affaire est grave, parce que ce n'est pas une agression ordinaire."

    L'affaire a vite mobilisé le Service départemental de l'information générale (ex-RG). Un enquêteur s'est déplacé mercredi pour rencontrer le commerçant blessé. Les bandes vidéo ont été saisies. Car une caméra est localisée à quelques mètres de là, à l'angle du cours Belsunce et de la rue du Tapis-Vert. A-t-elle filmé la scène ? "Que l'on ait des croyances, c'est une chose, mais on vit dans un État laïque",note Jean-François Illy, directeur départemental adjoint de la sécurité publique.

    "C'est la première fois que nous avons ce genre d'agressions sur un restaurateur, déplore le commissaire Georges Gaspérini , responsable du Service de sécurité et de proximité (SSP). On espère que l'enquête va déboucher rapidement et ramener la sérénité dans le quartier. C'est un acte inadmissible tant sur le fond que sur la forme."


    L'avis de l'imam de la mosquée du Marché aux Puces : "La religion n'a rien à imposer aux gens."

    "La religion n'a rien à imposer aux gens". Interrogé hier, l'imam de la mosquée du Marché aux Puces (15e), Haroun Derbal, a tenu à dire son incompréhension à l'annonce de ce triste événement. "Le texte fondateur en la matièrese trouve dans la première sourate du Coran : 'Nulle contrainte en religion'. On n'a pas à faire cela. Si l'on était dans un État islamique, les choses pourraient être différentes, mais nous sommes en France. Les individus n'ont pas à se substituer à d'autres individus. Dans l'absolu, la religion est un acte de soi-même face à soi-même. On n'a rien à imposer. La force n'existe pas. Elle ne produit que des conséquences négatives. Le Prophète n'a jamais imposé la religion par la force.

    C'est une fausse thèse de dire que l'islam s'est propagé par la force. Je condamne cet acte. Sinon, demain, on va dire : tu n'as pas fait ta prière, alors on va te châtier ! Y aurait-il donc un seul restaurant de musulman ouvert pendant le ramadan ? Va-t-on les voir un par un ? Si quelqu'un a six enfants et qu'il ne respecte pas le jeûne, que fait-on ? Non, on peut casser le jeûne et le remplacer un jour ou un autre. C'est pareil pour la prière. Il n'y a que celui qui est infaillible, que celui qui est exemplaire qui peut dire ce qui est interdit ou impossible de faire. Mais personne n'est infaillible, cela n'existe pas ! L'islam doit rester une religion de tolérance. On doit convaincre les gens. C'est le pouvoir de l'argument."

    Didier Pachoud, président du GEMPPI, association contre les dérives sectaires, se dit "de plus en plus confronté à des gens sur lesquels on fait pression." "Il ne s'agit pas d'un phénomène marginal. Nous allons d'ailleurs monter une association nationale des victimes de l'islamisme pour la citoyenneté et l'humanisme, qui aura son siège à Marseille."

    La Provence

  • 93 - Accusé d'avoir prostitué une Bretonne de 16 ans

    Damien le 10 août 2012 à 14:07

    Article initialement publié le 5/08/12 à 9h45

    Mise à jour du 10/08/12 à 14h07

    Exclusivité Défrancisation

    L’identité du proxénète
    Une source judiciaire nous révèle l’identité du proxénète. L’homme présenté par le Parisien comme étant « originaire du Blanc-Mesnil » se nomme Keïta Samba, il est âgé de 24 ans. Merci à notre informateur.

    Jusqu’à six rapports tarifés d’affilée, d’abord avec des connaissances puis avec des clients inconnus. C’est ce qu’un homme de 24 ans, originaire du Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis), est soupçonné d’avoir imposé pendant des semaines, peut- être des mois, dans des hôtels à bas coût de Seine-Saint-Denis, à une jeune fugueuse de 16 ans originaire de Bretagne qu’il aurait d’abord aidée au cours de son périple.
    Il a été mis en examen hier par un juge d’instruction de Bobigny pour « proxénétisme aggravé, viol sur mineure de plus de 15 ans et séquestration ». Placé en détention provisoire, il nie les faits.

    L’alerte a été donnée le 12 juillet par deux autres fugueuses de 16 ans, elles aussi d’origine bretonne. (…)

    L’homme est bien connu des services de police pour des faits de vols et de violences.

    Suite et source : Le Parisien, Merci à Nodens

    Défrancisation

     

     

  • Grenoble: ce matin, braquage à l'arme de guerre d'une bijouterie

     

     

    Deux ou trois hommes ont braqué vendredi matin une bijouterie du centre-ville de Grenoble (Isère) avec des armes de guerre, blessant le bijoutier avant de s’enfuir en prenant une passante en otage qu’ils ont ensuite libérée.

    Le braquage s’est produit à quelques centaines de mètres du commissariat central ! Les faits se sont déroulés vers 11h40. Les malfaiteurs « ont fait irruption dans une bijouterie-horlogerie alors que s’y trouvaient six personnes », le couple de commerçants et quatre clients, dont deux enfants, rapporte le Dauphiné Libéré. « Cagoulés et munis d’armes automatiques de gros calibres, ils ont tiré plusieurs coup de feu dans la bijouterie et à l’extérieur en direction de la police », a précisé la préfecture. Ces armes ont été qualifiées « d’armes de guerre ». Le bijoutier a été atteint par une balle dans un fémur et a dû être hospitalisé.

    Les deux braqueurs se sont enfuis « à bord d’un puissant 4x4 probablement volé » en direction de Chambéry (Savoie) après avoir pris en otage une passante. Cette femme a été ensuite libérée, « choquée mais pas blessée », à Saint-Ismier, au nord-est de Grenoble. Les policiers qui sont à leur recherche ont perdu leur trace dans l’agglomération de Chambéry. Le montant du butin est en cours d’évaluation. Le plan Milan a été déclenché par les gendarmes pour retrouver les braqueurs.

    Source

     

    NPI

  • Un ennemi de la France vient de mourir


    Mouloud Aounit face à Marine Le Pen par L5A3

    Posté par le 10 août 2012

     

    Billet d’humeur

    L’ex-président du Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP), vient de décéder à l’âge de 59 ans. La mondialisation perd un allié. Mouloud Aounit était né un 23 février 1953 dans une Algérie alors encore française. Arrivé en métropole durant ses jeunes années, celui-ci n’a eu de cesse de vouloir défendre une « ethnie » dites de nos jours « chance pour la France », « arabo-musulmane » et n’arrivait même pas à défendre le nationalisme français, ce nationalisme grandiose qui ne reconnaît aucune communauté qui voit en la France une nation une et indivisible, parce que malheureusement et systématiquement Mouloud Aounit parlait en tant qu’Arabe musulman ! Mouloud Aounit est mort aujourd’hui et le mondialisme et l’anti-racisme de pacotille perdent un allié ! (...)

     

    Lire la suite sur NPI : http://www.nationspresse.info/?p=182265#comments

  • Le poussin qui prend un chat pour son nid: un peu de tendresse!

  • Israël veut attaquer l'Iran à l'automne

    Tel Aviv, 10 août - RIA Novosti

    Le premier ministre et le ministre de la Défense israéliens, Benjamin Netanyahu et Ehud Barak, voudraient attaquer les sites nucléaires iraniens à l'automne, écrivent vendredi Nahum Barnea et Shimon Shiffer, principaux commentateurs du journal israélien Yediot Aharonot.

    D'après la revue, les deux hommes politiques israéliens sont "déterminés à attaquer l'Iran avant la présidentielle américaine" prévue en novembre prochain.

    "MM. Netanyahu et Barak considèrent que le prix que coûtera cette attaque (quelque 375 millions de dollars par jour) sera remboursée par le fait que le programme nucléaire iranien reculera de plusieurs années en arrière", lit-on dans le journal.

    Le chef du département militaire israélien est conscient des conséquences d'une telle mesure. Il reconnaît que Téhéran ripostera en cas d'attaque en impliquant le mouvement libanais de Hezbollah "avec ses milliers de missiles". Mais  M.Barak est persuadé qu'Israël tiendra bon dans cette épreuve.

    D'après la revue, les deux hommes politiques israéliens sont "déterminés à attaquer l'Iran avant la présidentielle américaine" prévue en novembre prochain.

     

    Le chef du département militaire israélien est conscient des conséquences d'une telle mesure. Il reconnaît que Téhéran ripostera en cas d'attaque en impliquant le mouvement libanais de Hezbollah "avec ses milliers de missiles". Mais, M.Barak est persuadé qu'Israël tiendra bon dans cette épreuve.

    Quant à Benjamin Netanyahu, il est convaincu que l'attaque s'impose, l'administration américaine actuelle n'étant pas, selon lui, en mesure d'arrêter la recherche de l'arme nucléaire par l'Iran, lit-on dans le journal.Toutefois, les hauts responsables militaires israéliens ont une vision des choses bien différente.

    "Aucun responsable - ni de l'armée, ni dans les milieux de la Défense, pas même le président - ne soutient l'idée d'une attaque israélienne", soulignent les auteurs de l'article avant d'ajouter que "beaucoup de responsables américains sont persuadés que MM. Barak et Netanyahu tentent d'impliquer les Etats-Unis malgré leur volonté dans une guerre contre l'Iran".

    Plusieurs pays occidentaux, les Etats-Unis en tête, soupçonnent l'Iran de chercher à se doter de l'arme nucléaire sous couvert d'un programme mené, selon Téhéran, à des fins civiles. Le Conseil de sécurité de l'Onu a adopté plusieurs résolutions sanctionnant l'Iran pour son refus d'établir un moratoire sur l'enrichissement de l'uranium.

    En novembre dernier, le journal Haaretz a écrit que le chef du gouvernement israélien cherchait à convaincre ses ministres de soutenir une éventuelle attaque contre les installations nucléaires iraniennes. Moscou a alors qualifié ces projets de "lourde erreur".

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  • Hommage au soldat français mort en Afghanistan, sur le pont Alexandre III

    Environ 500 personnes ont rendu hommage vendredi au soldat français tué mardi en Afghanistan, lors d'un rassemblement sur le pont Alexandre III à Paris, avant que les honneurs militaires ne lui soient rendus au cours d'une cérémonie intime à l'Hôtel national des Invalides.

    La petite foule, composée pour moitié de militaires, s'est immobilisée peu après 12H00 au passage du convoi funéraire, précédé de cinq motards de la Garde républicaine, qui transportait la dépouille du major Franck Bouzet, tombé dans une embuscade en Kapisa (est de l'Afghanistan).

    A côté de détachements des Pompiers de Paris ou de la Gendarmerie, des Parisiens venus spécialement pour cet hommage populaire, mais aussi des touristes qui se trouvaient là par hasard, se sont mêlés aux militaires en uniforme. "C'est peut-être culturel, mais en France on ne manifeste pas assez notre patriotisme", regrettait Dominique Legrand, un ancien parachutiste, fils d'un Compagnon de la Libération, habitué de ces rassemblements organisés à l'appel d'associations d'anciens combattants et du gouverneur militaire de Paris.

    Denis et Anita, un couple de jeunes Néerlandais en vacances, ont attendu près d'une heure le passage du convoi, sans même connaître le but du rassemblement. Aux Pays-Bas, ce type d'hommage était également rendu aux soldats morts en Afghanistan, dont les forces néerlandaises se sont retirées en 2010, explique Denis, 23 ans. "C'est une bonne chose, dit-il. Ils l'ont fait pour leur pays".

    Hommage national samedi

    Silence total quand le convoi transportant le cercueil recouvert de la photo du soldat mort au combat et de son béret de chasseur alpin franchit le pont. Le major Bouzet, 45 ans, a été tué, ainsi qu'un soldat de l'armée afghane, lors d'un accrochage avec un groupe d'insurgés, au cours duquel un autre soldat français a été gravement blessé. Il est le 88e soldat français mort dans ce pays depuis le début de l'intervention alliée, fin 2001.

    Les honneurs militaires devaient lui être rendus vendredi en milieu de journée lors d'une cérémonie intime en présence de sa famille, à l'Hôtel des Invalides.

    Samedi, le président François Hollande participera à un hommage national qui sera rendu au militaire décédé à Varces (Isère), sur la place d'armes du 7e Bataillon de chasseurs alpins. Le chef de l'Etat interrompra ses vacances pour assister à cette cérémonie et prononcer l'éloge funèbre.

    TF1 News - 10/08/12

     

    NdB: Le plus triste, c'est que ce soldat français est mort absolument pour rien.

  • Copé somme Hollande de "revenir à Paris"

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    Evoquant le dossier syrien dans Le Figaro, le secrétaire général de l'UMP estime que le président doit interrompre ses vacances pour "prendre en charge la conduite de la diplomatie française".

    Les vacances du président ne sont pas du goût de l'UMP. Le secrétaire général du parti Jean-François Copé, dénonce "l'inertie de la diplomatie française" sur la Syrie et demande au président François Hollande d'interrompre ses vacances pour prendre "une initiative diplomatique forte", dans un entretien au Figaro de vendredi.

     

    Jean- François Copé approuve l'intervention de l'ex-chef d'Etat Nicolas Sarkozy et ses critiques implicites de l'action française "Il a eu raison, évidemment. Je suis très préoccupé par l'inertie de la diplomatie française dont le chef, François Hollande, omniprésent sur son lieu de villégiature, est totalement absent sur la scène internationale", affirme le député-maire de Meaux. Pour Jean-François Copé, l'envoi de matériel humanitaire par la France, comme cela a commencé jeudi, "aussi utile soit-il, ne peut tenir lieu d'action diplomatique forte". Il estime que "le président de la République devrait revenir à Paris, contacter ses homologues et les rencontrer, bref, prendre directement en charge la conduite de la diplomatie française comme le veut la tradition lorsque les droits de l'Homme sont menacés". Jean-François Copé précise ne pas préconiser "une option militaire à tous crins", que "les Français ne souhaitent pas".

     

    Défendant Nicolas Sarkozy, très critiqué à gauche après sa prise de position, Jean-François Copé souligne que l'ancien président "a dû gérer trois crises majeures de natures très différentes: Géorgie, Côte d'Ivoire et Libye" et que, "chaque fois, il a su prendre le leadership, innover, faire preuve d'audace et entraîner la communauté internationale".

    TF1 News - 10/08/12

  • Michel Aoun : "Le départ d'Assad , début de la guerre mondiale" !

     
    samedi, 04 août 2012  

              Aoun : "Le départ d'Assad , début de la guerre mondiale" !

     
    IRIB- Le Président du courant patriotique libre, Michel Aoun, a mis en garde contre un renversement du régime d'Assad, qui "constitue un prélude à une guerre mondiale"

    "Les intérêts des pays du golfe Persique et d'Israël sur la Syrie convergent. Il s'agit d'éloigner l'Iran du jeu", a-t-il affirmé, sur la chaîne Al-Mayadine. "La Russie et la Chine ne permettront pas que le régime Assad s'éffondre" , a affirmé Aoun, avant d'ajouter "mais si cette chute a lieu, une guerre mondiale éclatera. Les intérrêts des Américains sont beaucoup plus menacés, dans la région, que ceux des Russes et des Chinois".

  • Un responsable régional de SOS Racisme emprisonné pour avoir battu son ex-concubine

    sans-titre.png sos noir.png

     

     
    09/08/2012 — 20h15
    DUNKERQUE (NOVOpress) — Anthony Simati (à gauche sur la photo ci-dessus), ce nom ne vous dira rien. Pourtant, il est au cœur de l’actualité. En effet, ce responsable régional de SOS Racisme (il est le président de SOS Racisme de Flandres  Côte d’opale) vient d’être condamné à être emprisonné en comparution immédiate pour avoir frappé son ancienne concubine.

    Et il faut croire que ce militant antiviolences (sic !) n’y est pas allé de main morte, parce que la victime de ses coups a été défigurée. D’où le jugement en comparution immédiate. Il se peut que les engagements d’ Anthony Simati soient des circonstances atténuantes puisqu’il n’écope que de huit mois de prison…

    Encore un bon exemple pour la France version François Hollande.

    Crédit photo : DR
    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
  • Un Arabe frappe un policier: dossier classé sans suite ! (Bruxelles)

     

    Histoire incroyable rapportée par dhnet.be :

    Jeudi dernier, aux alentours de 11 h en matinée, Alil,  23 ans, emprunte avec son cyclomoteur 50 cc un sens interdit – rue Gineste à Saint-Josse en direction de la place Saint Lazare – et se retrouve face à un véhicule. À son bord, un policier de la zone Nord, âgé de 37 ans, qui s’apprête à prendre son service. Alil invective illico notre policier – qui circule, lui, dans le bon sens… “ Tu as voulu me tuer, sale fils de pute. Tu m’as foncé dessus sale fils de pute…

    Le policier ne perd pas son sang-froid et lui rétorque qu’il est en sens interdit, qu’il roule comme un fou et qu’il est en tort. Alil identifie sa victime comme un policier : “Toi, tu es un flic !

    Le policier confirme à Alil que son information est exacte et jette un coup d’œil vers l’arrière de son scooter en espérant pouvoir relever sa plaque. “Pas de chance, il n’a pas de plaque mais je vais m’arrêter” , le nargue Alil. Le jeune descend de son cyclo et résume la situation telle qu’il la conçoit : “T’es même pas en uniforme, tu n’as rien à me dire, t’as voulu me tuer…

     

    Notre policier tente alors d’appeler du renfort mais Alil décide de ne pas s’éterniser. Le policier lui pose alors la main sur l’avant-bras pour lui signifier d’attendre les renforts et reçoit en retour trois coups de poing au visage.

    Comme à l’accoutumée, un attroupement s’est formé : les curieux demandent à Alil de se “calmer” et au policier de le “laisser tranquille” …

    Alil réalise subitement qu’il est en plein ramadan : “En plus, tu m’as cassé mon ramadan, sale fils de pute” , lance-t-il au policier alors qu’il lui assène une quatrième droite en plein visage.

    Mis à disposition du parquet de Bruxelles, son dossier a été classé sans suite dans les 48 heures. Un classement d’opportunité motivé par l’absence d’antécédent judiciaire dans le casier du jeune.

    Autrement dit : pas de suites parce qu’Alil n’aurait pas l’habitude de frapper ! Le policier subit quant à lui une incapacité de travail de six jours.

     

    Contre-info.com

  • La police offre des vacances à des enfants "à risques"

     

    Damien le 9 août 2012 à 15:50
     
    Les origines des enfants sont très diverses.
     
    Tout est gratuit.
     

    Contre l’oisiveté et la possibilité de « faire des bêtises », la police a décidé de prendre en charge des enfants et des adolescents « à risques » pendant les vacances scolaires. (…) Tout est gratuit, un repas et un goûter par jour sont offerts à tous les enfants. A Paris, la Lire la suite…

    Défrancisation

  • Au Canada, on commémore le génocide ukrainien (Holodomor)

     

    Loi sur le Jour commémoratif de la famine et du génocide ukrainiens (« l’Holodomor »)

    L.C. 2008, ch. 19

    Sanctionnée 2008-05-29

    Loi instituant le Jour commémoratif de la famine et du génocide ukrainiens (« l’Holodomor ») et reconnaissant la famine ukrainienne de 1932-1933 comme un génocide

    Préambule

    Attendu :

    que la famine et le génocide ukrainiens de 1932-1933, connus sous le nom d’Holodomor, ont été délibérément ourdis et déclenchés par le régime soviétique de Joseph Staline en vue d’anéantir systématiquement les aspirations du peuple ukrainien à la liberté et l’indépendance de l’Ukraine, et ont entraîné la mort de millions d’Ukrainiens en 1932 et 1933;

    que la collectivisation forcée imposée par le régime soviétique de Joseph Staline a entraîné la mort de millions de personnes parmi les autres minorités ethniques de l’ex-Union soviétique;

    que l’année 2007-2008 marque les 75 ans de la famine et du génocide ukrainiens de 1932-1933;

    que, le 26 novembre 1998, le président de l’Ukraine a pris un décret présidentiel désignant le quatrième samedi de novembre comme Jour national du souvenir en mémoire des victimes de cette atrocité collective;

    que, le 19 juin 2003, le Sénat du Canada a adopté à l’unanimité une motion demandant au gouvernement du Canada de reconnaître la famine ukrainienne de 1932-1933 comme un génocide;

    que, le 28 novembre 2006, le parlement de l’Ukraine a voté pour la reconnaissance de la famine ukrainienne de 1932-1933 comme un génocide contre le peuple ukrainien;

    que les parlements d’Argentine, d’Autriche, d’Estonie, de Géorgie, de Hongrie, de Lituanie, de Pologne et des États-Unis d’Amérique ainsi que les sénats d’Australie et du Canada ont reconnu la famine provoquée de 1932-1933 comme un génocide contre le peuple ukrainien;

    que le quatrième samedi de novembre a été reconnu par les communautés ukrainiennes partout dans le monde comme le jour choisi pour se souvenir des victimes de la famine et du génocide ukrainiens de 1932-1933 et pour promouvoir les libertés fondamentales d’une société démocratique;

    qu’il est reconnu que les autorités soviétiques ont occulté, déformé ou anéanti de l’information sur la famine et le génocide ukrainiens de 1932-1933;

    que ce n’est que maintenant que parviennent de l’ancienne Union soviétique des renseignements véridiques et précis sur la famine et le génocide ukrainiens de 1932-1933;

    que nombre de survivants de la famine et du génocide ukrainiens de 1932-1933 ont immigré au Canada et contribué à la prospérité de la société canadienne;

    que le Canada, à titre de partie à la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide, adoptée le 9 décembre 1948, condamne les génocides;

    que les Canadiens chérissent la démocratie, défendent les droits de la personne et valorisent la diversité et la nature multiculturelle de la société canadienne,

    Sa Majesté, sur l’avis et avec le consentement du Sénat et de la Chambre des communes du Canada, édicte :

    TITRE ABRÉGÉ

    Note marginale :Titre abrégé

    Loi sur le Jour commémoratif de la famine et du génocide ukrainiens (« l’Holodomor »).

    JOUR COMMÉMORATIF DE LA FAMINE ET DU GÉNOCIDE UKRAINIENS (« L’HOLODOMOR »)

    Note marginale :Jour commémoratif de la famine et du génocide ukrainiens (« l’Holodomor »)

    Le quatrième samedi de novembre est, dans tout le Canada, désigné comme « Jour commémoratif de la famine et du génocide ukrainiens (« l’Holodomor ») ».

    Note marginale :Statut

    Il est entendu que le Jour commémoratif de la famine et du génocide ukrainiens (« l’Holodomor ») n’est pas une fête légale ni un jour non juridique.

     

    (merci à Nelly)

     

     

     

     

     

  • Les dirigeants occidentaux retombent en enfance, par Thierry Meyssan

    Le slogan « Bachar doit partir ! » était destiné à être scandé par des foules manifestant à Damas et Alep. A défaut de telles manifestations, il est repris à leur compte par les leaders occidentaux bien qu’il ne ressorte pas du registre classique de la diplomatie. Pourquoi ?

    Réseau Voltaire | Damas (Syrie) | 8 août 2012
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    Hillary Clinton manifeste avec son cabinet au département d’Etat : « Bashar al-Assad must go ! »

    En 1985, un chercheur en sciences sociales, Gene Sharp, publiait une étude commandée par l’OTAN sur la manière de Rendre l’Europe impossible à conquérir. Il faisait remarquer qu’en définitive un gouvernement n’existe que parce que les gens acceptent de lui obéir. Jamais l’URSS ne pourrait contrôler l’Europe occidentale si les populations refusaient d’obéir à des gouvernements communistes.

    Quelques années plus tard, en 1989, Sharp était chargé par la CIA d’expérimenter en Chine une application pratique de ses recherches théoriques. Les États-Unis voulaient renverser Deng Xiaoping au profit de Zhao Ziyang. L’idée était de légitimer un coup d’État en organisant des manifestations de rue, un peu à la manière dont la CIA avait donné une apparence populaire au renversement de Mohammad Mossadegh en payant des manifestants à Téhéran (Opération Ajax, 1953). La nouveauté, c’est que Gene Sharp devait s’appuyer sur une association de jeunes pro-Zhao et pro-US pour travestir le coup d’État en révolution. Mais Deng fit arrêter Sharp sur la place Tienanmen et le fit expulser. Le coup échoua, non sans que la CIA pousse les jeunes à une vaine attaque afin que la répression discrédite Deng. L’échec de l’opération a été imputée aux difficultés rencontrées pour mobiliser les jeunes militants dans la direction voulue.

    Depuis les travaux du sociologue français Gustave Le Bon à la fin du XIXème siècle, on sait que les adultes, lorsqu’ils réagissent à une émotion collective, se comportent comme des enfants. Ils deviennent influençables à la suggestion d’un meneur qui incarne pour eux durant un instant la figure paternelle. En 1990, Sharp se rapprocha du colonel Reuven Gal qui était alors psychologue en chef de l’Armée israélienne (il devint plus tard conseiller adjoint de sécurité nationale d’Ariel Sharon et dirige aujourd’hui les opérations de manipulation des jeunes israéliens non-juifs). Mixant les découvertes de Le Bon et de Sigmund Freud, Gal arriva à la conclusion qu’il est possible d’exploiter le « complexe d’Oedipe » chez des adolescents, pour manipuler une foule de jeunes contre un chef d’État, figure symbolique du Père.

    Sur cette base, Sharp et Gal concurrent des programmes de formation de jeunes militants en vue de l’organisation de coups d’État. Après quelques réussites en Russie et dans les pays baltes, c’est en 1998 que Gene Sharp finalisa la méthode des « révolutions colorées » avec le renversement du président serbe Slobodan Milosevic.

    Après que le président Hugo Chavez eût fait échouer un coup d’État au Venezuela en s’appuyant sur une de mes enquêtes révélant le rôle et la méthode de Gene Sharp, celui-ci a suspendu les activités de l’Institut Albert Einstein qui lui servait de couverture et a créé de nouvelles structures (le CANVAS à Belgrade, l’Académie du changement à Londres, Vienne et Doha). On a vu celles-ci à l’œuvre un peu partout dans le monde, notamment au Liban (révolution du cèdre), en Iran (révolution verte), en Tunisie (révolution du jasmin) et en Égypte (révolution du lotus). Le principe est simple : exacerber toutes les frustrations, rendre l’autorité politique responsable de tous les problèmes, manipuler des jeunes selon le scénario freudien du « meurtre du père », organiser un coup d’État, et faire croire que le gouvernement vient d’être renversé par la rue.

    L’opinion publique internationale a facilement avalé ces mises en scènes. Premièrement parce qu’il y a confusion entre foule et peuple. Ainsi, la « révolution du lotus » s’est limitée à un show sur la place Tahrir du Caire, mobilisant quelques dizaines de milliers de personnes, alors que la quasi-totalité du peuple égyptien s’abstenait de participer aux événements. Deuxièmement, il y a confusion autour du mot « révolution ». Une authentique révolution est un bouleversement des structures sociales qui s’opère sur plusieurs années, tandis qu’une « révolution colorée » n’est qu’un changement de régime qui s’effectue en quelques semaines. L’autre nom d’un changement forcé d’équipe dirigeante sans transformation sociale, c’est « coup d’Etat ». Pour poursuivre avec l’exemple égyptien, ce n’est aucunement le peuple qui a poussé Hosni Moubarak à démissionner, mais l’ambassadeur US Frank Wisner qui lui en a donné l’ordre.

    Le slogan des « révolutions colorées » ressort d’un registre infantile. Il faut renverser le chef d’État sans se préoccuper de ce qui va suivre. Ne posez pas de questions sur votre avenir, Washington se charge de tout pour vous. Lorsque les gens se réveillent, il est trop tard, le gouvernement est usurpé par des individus qu’ils n’ont pas choisis, cela faisait partie du pack. Au départ, on hurle donc « Chevardnaze Assez ! » ou « Ben Ali dégage ! ». Une variante policée vient d’être lancée par la 3e conférence des « Amis » de la Syrie (Paris, 6 juillet) : « Bachar doit partir ! ».

    Il y a là une étrange anomalie. La CIA n’ayant pas trouvé de groupes de jeunes Syriens pour scander ce slogan dans les rues de Damas et d’Alep, c’est à Barack Obama, François Hollande, David Cameron et autres Angela Merkel de le répéter en chœur depuis leurs palais officiels respectifs. Washington et ses alliés tentent d’appliquer les méthodes de Gene Sharp à la « communauté internationale ». C’est un étrange pari de penser manipuler les chancelleries avec autant de facilité que des bandes de jeunes. Pour le moment, le résultat est simplement ridicule : les dirigeants des puissances coloniales trépignent comme des enfants frustrés devant un objet dont des adultes russe et chinois les ont privés, en rabâchant encore et toujours « Bachar doit partir ! ».

    Source
    Tichreen (Syrie)

  • Un sanglier surgit de l'eau et charge des baigneurs !

     

     

    Plage de l'Escalet à Ramatuelle (Var)

  • Le chemin de la Maison Blanche passe par Israël

     

    En visite à Jérusalem,

    Mitt Romney, candidat républicain à la Présidence,

    Mitt Romney et Benjamin Netanyahu.

    a prononcé les discours que souhaitaient entendre tous les israéliens

    et Nataniahu a estimé que lui même n’aurait pas dit mieux, ni davantage.

    Le candidat Obama ne s’est pas déplacé mais il a réaffirmé aux israéliens sa volonté de maintenir un soutien sans failles. Et il a alloué un budget spécial pour que Tsahal puisse continuer à investir dans le système de défense Dôme de Fer.

    Mitt Romney à Jérusalem

    Mitt Romney a promis de reconnaître Jérusalem comme capitale et Obama a laissé « fuiter » un plan d’attaque des installations atomiques iraniennes au cas où le régime des mollahs s’obstinerait à se doter de l’arme atomique. Et dans » Le Figaro« , il est dit fort justement que le chemin de la Maison Blanche passe par Jérusalem.

    La Maison Blanche

    Bien sûr, nous sommes à moins de cent jours de l’élection présidentielle et il s’agit pour Obama de conserver la traditionnelle majorité démocrate des votes juifs cependant que Mitt Romney veut montrer à ses électeurs sa connaissance des dossiers internationaux et son strict alignement en faveur de l’État d‘Israël.

    Qui sera élu ou réélu ?

    La réponse, évidente pour les européens semble ne pas être certaine

    pour une partie des commentateurs américains .

    Obama a fait traquer et abattre Bin Laden et il a réussi sa grande réforme ,celle de l’assurance médicale que Clinton n’avait pas réussi à imposer pendant ses deux mandats.

    LE TAUX DE CHÔMAGE

    – Les mauvais chiffres du chômage aux États Unis

    Mais le système américain des grands électeurs et des majorités par États de l’Union rend difficile et incertain tout pronostic et les sondages d’opinion ne peuvent être retenus.Il y a une question de cours célèbre à Sciences Po,celle de la réélection pour un second mandat du Président américain et chiffres et courbes montrent que seul le taux de chômage est déterminant dans le choix des électeurs.Or, ce taux n’est pas franchement à la baisse et parfois des poussées inquiètent.Très exactement comme la courbe des températures devant le lit du malade.

    Le candidat républicain à la Maison Blanche Mitt Romney

    Mitt Romney est un homme d’affaires riche et avisé et il se présente comme un gestionnaire rigoureux ayant fait ses preuves et obtenu des succès incontestables.Mais une partie du corps électoral peut lui reprocher de s’être enrichi en dépeçant des entreprises et d’avoir mis au chômage leur personnel et revendu leurs actifs. Mais y a-t-il une autre façon de gérer l’économie dans une société libérale de capitalisme privé?

    THE GREAT OLD PARTY

    Addendum explicatif : GOP, pour Great Old Party,
    est le nom que l’on donne au parti Républicain.

    Une autre partie des électeurs républicains traditionnels ne le trouve pas assez à droite, pas assez aligné sur sur les positions du Great Old Party, (G.O.P.) en matière de politique familiale, d’avortement, des droits des homosexuels , de vente d’armes et autres questions qui les taraudent.Certains lui reprochent même une faiblesse pour les thèses « socialistes »,insulte suprême, et Rupert Murdoch , à la tête de média qui comptent , lui a retiré son appui parce qu’il « s’obstine à ne pas faire ce qu’on lui dit ».

    President Barack Obama

    L’alignement des candidats à la Présidence des États Unis sur la politique menée par le Premier Ministre israélien est un exercice obligatoire à la veille des scrutins.Aux États Unis, les Juifs sont avant tout des américains et 59 % d’entre eux n’ont jamais mis les pieds en Israël qu’ils soutiennent à plus de 80% et ils peuvent être déterminants dans certains États clefs du résultat.

    Mais c’est tout le peuple américain qui est largement convaincu de la nécessité de soutenir l’État d‘Israël menacé de destruction depuis sa création par la totalité de ses voisins unis par la détestation et la haine.

    Et le voyage de Romney et les promesses d’Obama ne sont que les preuves de cette ardente obligation .

    Par André Mamou