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Blog - Page 1241

  • UB Chartres - Le basketteur pro a avoué avoir étranglé sa compagne

    Hervé Jalce basketteur professionnel de l'UB Chartres est accusé d'avoir tué sa compagne. Le joueur, qui mesure 2 mètres pour 110kg, a avoué les faits en garde à vue.

     
    Hervé Jalce parlerait d'« un coup de folie lors d'une dispute »
    Hervé Jalce parlerait d'« un coup de folie lors d'une dispute » Capture d'écran © L'Echo Républicain

    Hervé Jalce est un joueur discret. « Un gros nounours » de 2 mètres pour 110 kg. A l'UB Chartres Métropole (UBCM) comme au Reims Champagne Basket, son ancien club, on tombe des nues. Le basketteur était considéré comme « un gentil », presque trop tendre pour les terrains de proB et de National 1. Depuis lundi, le joueur professionnel de l'UB est soupçonné d'avoir tué sa compagne. Dans un premier temps, les enquêteurs pensent qu'Hervé l'aurait étouffée à l'aide d'un oreiller lors d'une dispute à leur domicile de Mainvilliers (Eure-et-Loir), en banlieue de Chartres. Mais les premiers résultats d'autopsie révèlent que le jeune femme de 29 ans, aurait en fait été étranglée.

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    Coup de folie

    Hervé Jalce, qui parlerait d'« un coup de folie lors d'une dispute entre un couple qui se déchire depuis trop longtemps » selon le substitut du procureur de Chartres, Annabelle le Texier, joint par France-Soir, prend la fuite avant d'être interpellé par la police mardi à Reims. « Il semblait perdu, apparemment prêt à remonter dans un TGV pour Paris après avoir passé la nuit sur Reims. Il avait l’air aussi effondré, hébété, que soulagé de se faire arrêter. Cela s’est d’ailleurs passé sans heurt », rapporte un enquêteur à la République du Centre. Placé en garde à vue, Hervé Jalce reconnaît les faits. L'enquête a été confiée à la PJ d'Orléans et à la brigade criminelle de Chartres.

    Préméditation retenue

    Le corps sans vie de la victime, âgée de 29 ans, a été découvert lundi par les pompiers. Avant la dispute, le couple avait confié leur jeune enfant à des amis, qui se sont inquiétés et qui ont prévenu la police. Hervé Jalce a été transféré mercredi soir de Reims à Orléans pour prolongé sa garde à vue dans les locaux de la PJ, selon le substitut de procureur de Chartres. Il devait être présenté devant un juge d'instruction jeudi après-midi en vue d'une mise en examen pour assassinat, la prémédition étant retenue en raison des derniers développements de l'enquête.

    Par Marc-Antoine Bindler
    France-Soir - 29/03/12
  • Début du procès d'Adlène Hicheur, le physicien du CERN accusé de terrorisme

    Adlène Hicheur, physicien travaillant au Centre européen de recherche nucléaire (Cern) à Genève et à l’École polytechnique de Lausanne, a été mis en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ». En détention provisoire depuis le 8 octobre 2009, son procès s’est ouvert ce jeudi 29 mars pour deux jours.

    Un chercheur en particules soupçonné de djihadisme

    Adlène Hicheur, 35 ans, est-il poursuivi par la scoumoune ? Cet homme brillantissime, docteur en physique des particules, chercheur au Centre européen de recherche nucléaire de Genève (Cern), a été interpellé par la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), le 8 octobre 2009, chez ses parents, à Vienne (Isère).

    Il est mis en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ». À son domicile d’Ornex dans l’Ain, les enquêteurs découvrent une abondante documentation relation à Al-Qaïda et au Jihad.

    «Quelqu'un qui inspire totalement confiance»

    Son procès s’est ouvert ce jeudi 29 mars au tribunal correctionnel de Paris et doit s’achever vendredi soir. En début d'audience, la présidente Jacqueline Rebeyrotte a énuméré les nombreux diplômes du docteur en physique des particules, la plupart assortis de mentions «Bien» ou «Très bien». Elle a également rappelé qu'il avait un temps «exercé ses activités de recherche en Angleterre et aux Etats-Unis».

    Dans la procédure, a-t-elle détaillé, «vous êtes présenté comme quelqu'un d'assez secret, réservé, un peu timide, qui inspire totalement confiance et qui ne posait aucune difficulté».

    L’ombre d’Aqmi

    Adlène Hicheur est né à Sétif, en Algérie, en 1976. Un an plus tard, la famille s’installe en Savoie. Intégration parfaite. Réussites scolaires. Adlène devient physicien. Halim, l’un de ses frères, chercheur en neurosciences. La famille est croyante, fréquente la mosquée locale, mais ne manifeste aucun signe de radicalité.

    Début 2009, Hicheur est en arrêt maladie. Dos bloqué. Hernie discale. Le physicien navigue sur le Web et ses sites islamistes, affublé d’un pseudonyme, Abou Doujana.

    Il dialogue avec Phenixshadow, qui s’avère être Mustapha Debchi, un salafiste algérien, proche, selon l’accusation, d’Al-Qaida Maghreb Islamique (Aqmi). Les services secrets surveillent les e-mails.

    « Punir l’Etat »

    Le 1er mars 2009, Hicheur écrit à Debchi qu’il va « proposer des […] objets possibles en Europe et notamment en France ».

    Le 10 mars 2009, il poursuit : « Concernant le sujet des objectifs, ils sont différents suivant la différence des résultats souhaités après les coups. Exemple : s’il s’agit de punir l’Etat à cause de ses activités militaires au pays des musulmans (Afghanistan), alors il supporte d’être un pur objectif militaire (comme exemple : base d’aviation de la commune de Karan Jefrier près de la ville d’Annecy en France. Cette base entraîne des forces et les envoie en Afghanistan) ».

    Contenus ambigus

    La défense invoque des contenus ambigus, les juges d’instruction les ont au contraire trouvés suffisamment explicites pour renvoyer le chercheur en correctionnelle.

    Incarcéré depuis deux ans et demi, Adlène Hicheur affirme de son côté n’avoir jamais été d’accord pour envisager « des trucs concrets ». Il encourt dix ans de prison.

    Merah-Hicheur, portraits opposés

    Aux lendemains des tueries de Toulouse et Montauban, Merah-Hicheur, même profil ? Non.

    Les portraits des deux hommes sont diamétralement opposés, mais les actes effrayants du premier ne risquent-ils pas de « contaminer » l’audience ? C’est ce que redoutent ses proches, son avocat, son comité de soutien qui a recueilli 600 signatures de chercheurs.

    Ouestfrance.fr (avec Bernard LE SOLLEU) - 29/03/12

  • Les obsèques de Mohamed Merah reportées de 24 h par le maire de Toulouse - L'Algérie refuse de l'inhumer.

    L'inhumation de Mohamed Merah n'est pas encore réglée. Alors que son corps devait être mis en terre ce jeudi après-midi, à 17 h, dans le carré musulman du cimetière de Cornebarrieu, le maire de Toulouse a exigé que cet enterrement soit reporté de 24h.

     
    L'institut de médecine légale de Toulouse où a été autopsié le corps de Merah
     Institut médico-légal de Toulouse

    Les obsèques de Mohamed Merah devaient avoir lieu ce jeudi. Elles sont finalement reportées de 24 h par le maire de Toulouse. Ce matin, vers 11h30, Abdallah Zekri, représentant du recteur de la Grande mosquée de Paris, avait pourtant indiqué que le corps du tueur de Toulouse et Montauban serait enterré dans le carré musulman du cimetière de Cornebarrieu. « Suite au refus de l'Algérie à la dernière minute d'accepter le corps de Mohamed Merah, (le maire) Pierre Cohen estime que son inhumation sur le territoire de la ville de Toulouse n'est pas opportune. Il a donc demandé au préfet de Région de différer l'inhumation de 24 heures et interpelle l'Etat à ce sujet », a dit la mairie.

    En effet, alors que les parents de Merah souhaitaient l'inhumer en Algérie, les autorités de ce pays se sont finalement opposées à cette idée. Cette décision de l'Algérie laisse à la France la charge d'assumer les éventuelles expressions de haine ou de sympathie que causerait la présence sur son sol de celui qui, à 23 ans, a assassiné trois enfants et un enseignant juifs et trois parachutistes.

    Le départ pour l'Algérie de l'ancien délinquant multirécidiviste, devenu membre autoproclamé d'Al-Qaïda, était pourtant annoncé par un vol régulier Toulouse-Alger d'Air Algérie à 13h15. L'Algérie a invoqué des raisons de sécurité et d'ordre public, a expliqué à l'AFP Abdallah Zekri, représentant du recteur de la Grande mosquée de Paris.

    "C'est un citoyen français, né en France"

    Ce sont les autorités locales de Médéa, la wilaya (division administrative) dans laquelle se trouve le village familial de Bezzaz, où Merah aurait pu être mis en terre, qui ont émis un avis défavorable, a dit M. Zekri. « Cet homme qui a commis des actes terroristes, des illuminés pourraient en faire un lieu de pèlerinage, d'autres pourraient profaner sa tombe », a dit Abdallah Zekri devant le consulat d'Algérie à Toulouse où s'est menée une partie de la course contre la montre pour essayer de faire monter la dépouille dans l'avion. « L'Algérie ne botte pas en touche, c'est un citoyen français, né en France, qui a grandi en France », a-t-il assuré.

    En France, la mère de Mohamed Merah craint que la tombe de son fils ne soit saccagée. Beaucoup redoutent aussi que la sépulture ne devienne un lieu de pèlerinage. Nombre de musulmans estimaient eux-mêmes qu'un enterrement en Algérie valait mieux, bien que Merah n'y ait pour ainsi dire jamais vécu, en dehors de séjours épisodiques.

    Actu France Soir - 29/03/12
  • Toulouse: la version officielle de la mort de Mohamed Merah est-elle vraiment crédible ?

    http://www.wikistrike.com/article-attaques-de-toulouse-la-version-officielle-de-la-mort-de-mohamed-merah-est-un-mensonge-102334901.html

    + photos, dessins, vidéos

      28/03/12

     

     

  • Istres : vols et dégradations en série dans les églises provençales

     Les faits se sont produits à Istres, Saint-Mitre et Martigues

    La sacristie de l'église Notre-Dame de Beauvoir a été visitée. Le père Jean-François Noël a découvert la porte défoncée, les tiroirs et les placards ouverts.

    La sacristie de l'église Notre-Dame de Beauvoir a été visitée. Le père Jean-François Noël a découvert la porte défoncée, les tiroirs et les placards ouverts.

    Photo S.D.-V.

    Vols, dégradations : depuis environ un mois, les églises du secteur sont prises pour cible. La dernière affaire en date remonte au week-end dernier, à Saint-Mitre-les-Remparts.

    "Ils ont cassé les battants de la porte, témoigne le père Jean-François Noël, curé de la paroisse d'Istres. Tout était par terre dans la sacristie. Et surtout, ils ont cassé le tabernacle et sorti le ciboire qui contenait les hosties consacrées." "C'est un peu comme une profanation, ajoute-t-il. C'est quand même choquant !"

    Dégradations importantes

    La semaine dernière, c'est à Istres, dans l'église Notre-Dame de Beauvoir (inscrite sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques), que des dégradations importantes ont été commises. "Quand je suis arrivé, la porte latérale était défoncée ; les bancs renversés, les porte-cierges à terre, décrit le père. Dans la sacristie, tous les tiroirs et les placards étaient ouverts. Pourtant, rien n'a été volé." Si ce n'est le peu d'argent que renfermaient les troncs, forcés par le ou les malfaiteurs.

    400 € de préjudice

    Ces derniers sont revenus "le lendemain, comme pour dire : « On peut rentrer quand on veut »", reprend le père Jean-François Noël. Cette fois-ci, les troncs étaient vides, étant donné que l'église reste fermée au public la quasi-totalité de l'année. Ce qui n'est pas le cas de la Sainte-Famille "où j'ai constaté des vols réguliers de troncs depuis environ un mois, affirme le père, qui déplore environ 400€ de préjudice. Mais j'ai trouvé un stratagème pour que les voleurs ne puissent plus les ouvrir. D'ailleurs, ils ont, certainement de colère, renversé les bougies posées à côté ."

    Martigues, Istres, puis Saint-Mitre-les-Remparts

    Face à cette répétition de vols et de dégradations, "où l'on retrouve, bizarrement le même mode opératoire", le père s'interroge. "Toucher à un édifice religieux est un manque de respect, même si, à mon avis, il n'y a pas la volonté directe de profaner."

    Une enquête est actuellement en cours au commissariat d'Istres, en lien avec celui de Martigues où des faits similaires se sont produits il y a environ trois semaines.

    La Provence - 28/03/12

  • Une prof de Lyon demande aussi une minute de silence pour le tueur

    : Damien le 28 mars 2012 à 19:21

     Selon le quotidien Le Progrès, qui a recueilli plusieurs témoignages concordants d’élèves, elle aurait déclaré en substance mardi 20 mars: «Nous allons faire la minute de silence, mais nous allons la faire aussi pour le tueur (…) S’il a fait ça, c’est qu’il avait une bonne raison de le faire : il ne doit pas être bien dans sa peau. Le pauvre…»

     

     

    Le collège Vendôme à Lyon

    Le rectorat a indiqué avoir été informé ce lundi du problème survenu au collège Vendôme (6e arr.). Ses services ont «conduit une enquête rapide, en lien avec la principale du collège qui a procédé à une série d’auditions».

    Source : Charente Libre, Merci à Miserecord

    Défrancisation - 28/03/12

  • Sépultures du tueur et de cinq de ses victimes - Binationalité et Français de papier

     

    La semaine dernière, les quatre victimes de l’école juive ont été rapatriées en Israël et enterrées dans le grand cimetière de Jérusalem. La dépouille d’Imad Ibn Ziaten, quoique soldat français, a été rapatriée au Maroc avec un drapeau marocain sur le cercueil.

      Parmi les sept victimes du terroriste islamiste, seul Abel Chennouf, d’origine kabyle et de confession chrétienne et Legouade ont été enterrés en France.

      Ainsi, dans la tragédie de Toulouse, les sépultures des victimes comme celle du bourreau confirment l’adage de la fidélité du sang au sol. Manifestement en devenant multiculturelle, la France devient multi conflictuelle.

    Polémia

  • Enquête Mohamed Merah: sur la piste d'un troisième homme !

    Information exclusive Midi Libre : Des policiers du SRPJ de Toulouse et de la sous-division anti-terroriste (Sdat ) mènent ce mercredi soir des investigations dans l'Aude, où a été signalé un véhicule pouvant être lié à Mohammed Merah.

    Un véhicule trouvé avec des éléments

     Cette voiture, une Renault Clio immatriculée en 31, a attiré l'attention des habitants d'un village proche de Castelnaudary, car elle était visiblement abandonnée depuis plusieurs jours.

    Un carénage de scooter Tmax, la marque de celui utilisé pour la tuerie de Toulouse et pour celle de Montauban par le tueur au scooter, ainsi qu'un casque, auraient été découverts à l'intérieur.

    Le propriétaire habite le même immeuble que Merah

    En fin d'après-midi, son propriétaire a été identifié : "Il s'agit d'un homme qui habite dans le même immeuble que celui de Mohammed Merah" précise une source proche du dossier.

    La piste d'un troisième homme

    La piste d'un troisième homme lié à Mohamed Merah et à son frère Abdelkader, pouvant notamment être celui qui a posté les vidéos des assassinats de Toulouse et Montauban à la chaîne Al-Jazeera, est apparue depuis hier, dans cette enquête dirigée par le procureur de la République de Paris.

     

    Midi Libre - 23h 01

  • 27 mars 2012: lancement du site internet "Enseigner l'histoire de la Shoah"

     

    www.enseigner-histoire-shoah.org

     

    Les programmes scolaires officiels prévoient que l’histoire de la Shoah soit enseignée dès l’école élémentaire en CM2, puis approfondie à différents stades du parcours secondaire, général et technologique, en troisième et en première. Pour aider les enseignants dans leur mission, le Mémorial de la Shoah, en partenariat avec le ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative, a créé le site internet « Enseigner l’histoire de la Shoah ». Premier portail pédagogique sur l’histoire de la Shoah à l’intention des enseignants, il propose de nombreuses ressources pédagogiques et historiques, notamment des pistes pour la réalisation de séquences adaptées au niveau des élèves.

     

    Ce site sera régulièrement mis à jour et permettra aux enseignants de disposer d’un outil de travail porté par une institution entièrement dédiée à l’enseignement de la Shoah.

     Le soutien du ministère de l’Éducation nationale pour ce projet s’inscrit dans le cadre de la convention de partenariat signée en 2012 entre le ministère et le Mémorial.

     Le site www.enseigner-histoire-shoah.org ouvre le 27 mars 2012, date symbolique marquant l’anniversaire du départ de France du 1er convoi de déportation pour Auschwitz, le 27 mars 1942.

     Outre une page d’actualités, qui relaie les actions menées par divers acteurs pour entretenir la mémoire de la Shoah, le site est articulé autour de quatre rubriques :

     - Activités dans la classe et l’établissement

    - Visites pédagogiques

    - Outils et ressources

    - Formations

     Activités dans la classe et l’établissement

     Cet espace propose aux enseignants des séquences adaptables ou utilisables telles quelles et des pistes de réflexion pédagogiques et scientifiques dans le traitement de l’histoire de la Shoah. Il est par ailleurs possible de mettre en place des projets sur le thème de la Shoah impliquant un groupe d’élève ou tout un établissement, comme la participation à un concours ou l’accueil d’une exposition.

     Visites pédagogiques

     Effectués en complément du cours d’histoire, les visites et voyages d’études en France et en Europe permettent aux professeurs de confronter leurs élèves à différents sites historiques représentatifs de la destruction des Juifs. Cette rubrique recense les différents lieux qu’il est possible de visiter et donne des informations pratiques sur le financement et l’organisation des voyages. Afin de s’inscrire dans une démarche pédagogique, les voyages nécessitent un travail de préparation en amont et un travail de restitution dont des exemples sont proposés en ligne.

     Outils et ressources

     Le Mémorial de la Shoah met à disposition des professeurs une série d’outils et de ressources historiques pour la préparation d’un cours. Un lexique, des fiches thématiques, une chronologie historique de la Shoah, des cartes et de nombreux documents d’archives commentés sont consultables et téléchargeables. Des bibliographies, filmographies, sélections de sites internet ont également été réalisées pour permettre aux professeurs de trouver les ouvrages, textes et documents de référence pour aborder les thématiques qu’ils souhaitent dans le cadre du cours.

     Formations

     Différents séminaires de formation sont organisés à destination des équipes pédagogiques. Approfondissement de la connaissance de l’histoire de la Shoah et réflexion sur son enseignement dans une approche disciplinaire ou interdisciplinaire sont au cœur de ces séances. Cet espace présente l’offre disponible et propose également des articles d’historiens, de professeurs et pédagogues qui livrent leurs réflexions et leurs retours d’expériences autour de l’enseignement de l’histoire de la Shoah, un sujet en constante évolution et faisant l’objet de nombreux colloques, séminaires et publications.

     Pour rester en contact

     Une newsletter spécialement adaptée aux enseignants présentera régulièrement les actualités autour de l’enseignement et de la mémoire de la Shoah. L’inscription se fait sur le site via l’onglet « S’inscrire à la newsletter ». Pour toute question ou suggestion, il est possible de contacter l’équipe du site « Enseigner l’histoire de la Shoah » via un formulaire en ligne. Le graphisme et le développement informatique du site www.enseigner-histoire-shoah.org ont été assurés par la société LP active. Maîtrise d’ouvrage et conception éditoriale : Mémorial de la Shoah, en partenariat avec le ministère de l’Education nationale, de la Jeunesse et de la Vie association.

     Mémorial de la Shoah

    17, rue Geoffroy-l’Asnier

    75004 Paris

    Tél. : 01 42 77 44 72

    Fax : 01 53 01 17 44

    contact@memorialdelashoah.org

    www.memorialdelashoah.org

  • Une 2ème clé USB contenant la vidéo des tueries...

            

    Une clé USB contenant la vidéo des tueries de Toulouse et Montauban a été retrouvée dans la poche du pantalon de Mohamed Merah après sa mort le 22 mars dans un assaut du Raid, a-t-on appris mercredi dans un jugement du tribunal de grande instance de Paris.
     
    Il s’agit donc de la 2e clé USB connue du montage vidéo des crimes du tueur au scooter, en plus de celle reçue à Paris par la chaîne qatarie Al-Jazeera et qu’elle a remise lundi à la police.
     
    Mercredi, le TGI de Paris a entériné l’engagement pris par Al-Jazeera de remettre aux juges d’instruction chargés de l’affaire Merah les copies de la vidéo du tueur.
     
    Dans son jugement, le tribunal indique que la lettre anonyme reçue par le bureau parisien de la chaîne «renfermait notamment une micro-clé USB contenant le montage vidéo des assassinats perpétrés par Mohamed Merah les 11, 15 et 19 mars 2012 sous le titre "Al Qaïda attaque la France", film identique après visionnage à celui découvert lors de la fouille de son corps sur un support USB se trouvant dans sa poche de pantalon (...)».
     
    Jeudi, le procureur de Paris François Molins avait annoncé quelques heures après le décès du tueur au scooter «qu’il portait un gilet pare-balles sous lequel il portait une djellabah enfilée dans un pantalon blue jean».
     
    M. Molins avait aussi indiqué que les enquêteurs avaient retrouvé «le sac qu’il avait confié à quelqu’un contenant une caméra Go Pro dont il s’était effectivement sanglé et qui lui avait permis de filmer l’intégralité des trois tueries dont il s’était rendu coupable».
     
    L'Est républicain - 28/02/12
  • Le père de Mohamed Merah porte plainte contre le Raid

    Une avocate algérienne a annoncé avoir été chargée par Mohamed Benalal Merah de poursuivre devant la justice française l'unité spéciale de la police française, pour assassinat.

    Il a mis sa menace à exécution. Mohamed Benalal Merah, le père du jeune homme qui a abattu froidement trois militaires à Montauban, puis trois écoliers et un enseignant juifs à Toulouse, a engagé mardi une avocate algérienne pour qu'elle porte plainte contre le Raid. Me Zahia Mokhtari est chargée de poursuivre les services de sécurité français «pour n'avoir pas respecté la procédure pendant la tentative d'interpellation» de Mohamed Merah et pour «l'assassinat» de ce dernier, a-t-elle indiqué mercredi soir.

    La plainte devrait être déposée «dès l'enterrement achevé», probablement avant la fin de la semaine. Les préparatifs des obsèques se sont d'ailleurs poursuivis mercredi. La dépouille de Mohamed Merah, qui devrait voyager sur un vol régulier d'Air Algérie prévu à 13 h 15 jeudi, est attendue à Alger en début d'après-midi. S'il manque encore le feu vert du consulat algérien pour fixer la date des obsèques, le tueur de Toulouse devrait être inhumé en fin de semaine ou en tout début de semaine prochaine, dans la région de Médéa où son père réside avec sa troisième épouse.

    Mohamed Benalal Merah, qui entretenait des relations tumultueuses avec son fils, a soufflé le chaud et le froid ces derniers jours. «Je vais engager les plus grands avocats et travailler le reste de ma vie pour payer les frais», a-t-il déclaré lundi, déclenchant un tollé dans la classe politique française, à l'instar d'Alain Juppé, qui lui a conseillé «de se taire». Mais, mercredi matin, alors qu'il s'exprimait dans la presse algérienne, il a semblé avoir renoncé à la bataille judiciaire. «Je n'ai pas dit que j'allais poursuivre en justice l'État français, a-t-il affirmé. Mais je suis triste de la manière dont mon fils a été tué.»

    «Peut-être que ce n'est pas lui qui a tué»

    Ce père blessé, «dépassé par les événements», selon l'oncle maternel de Mohamed Merah, dit toujours «ne pas admettre l'assassinat» de son fils et avoir des doutes sur sa culpabilité dans les tueries de Montauban et de Toulouse. «Il aurait fallu l'arrêter et enquêter avec lui. Peut-être qu'il leur aurait fourni des informations, assène-t-il. Peut-être que ce n'est pas lui qui a tué. En tuant mon fils, les services français ont perdu des preuves, et moi, mon fils.»

    Connue à Alger pour avoir fait libérer en 2005 Ibrahim Boudaoui, poursuivi en Allemagne en raison de son appartenance supposée à Al-Qaida, Me Mokthari soutient qu'elle n'aurait «pas accepté cette affaire» si elle n'était pas sûre de pouvoir la gagner. Elle entend «faire éclater la vérité». Et affirme détenir des preuves à charge contre le Raid. Ces éléments lui sont parvenus, dit-elle, «de personnes qui étaient au cœur de l'événement» lorsque Mohamed Merah a été tué, le 22 mars dernier.


     

    Une voiture suspecte dans l'Aude

    Des policiers du SRPJ de Toulouse et de la sous-division antiterroriste (Sdat) enquêtent sur une voiture appartenant à «un homme qui habite dans le même immeuble que Mohamed Merah», affirmait mercredi soir le site midilibre.fr, citant une source proche du dossier. Cette Renault Clio, immatriculée en Haute-Garonne (31), visiblement abandonnée depuis plusieurs jours, a été repérée mercredi en fin de journée dans un village proche de Castelnaudary. Un casque et un carénage de scooter T-Max, la même marque que l'engin utilisé par Merah pour ses assassinats, auraient été découverts à l'intérieur du véhicule. 

    Le Figaro - 28/03/12

  • Marine Le Pen invitée de "Question d'info" sur LCP

    Marine Le Pen accuse le Qatar de vouloir faire progresser le fondamentalisme en France... et elle a raison !

    28/03/12

  • Mélenchon dernier atout de Sarkozy

    Posté par le 28 mars 2012

     

    par Gilles Varange, journaliste, pour Nations Presse Info

    Il suffit de constater l’ardeur frénétique que mettent les médias à nous vanter la progression de Jean-Luc Mélenchon dans de récents sondages pour se convaincre que la prétendue « ascension » du personnage cache quelque obscure manœuvre politicienne. Comment croire que pareil hurluberlu, véritable concentré de toutes les tares et haines recuites de notre extrême-gauche hexagonale, puisse exercer la moindre séduction au-delà du cercle habituel des derniers nostalgiques du marxisme-léninisme de grand-père ? Spectacle navrant : avec ses poses, ses rictus et ses éructations de garde rouge, on croirait que l’homme a été congelé il y a un demi-siècle et qu’il vient tout juste de se réveiller. On ne lui a pas dit encore que Mao était mort et que l’Union soviétique n’existait plus. Mélenchon, c’est le Hibernatus de la gauche française. Un cas pathologique d’inadaptation aux réalités et aux nécessités des temps présents.

    Il faut dire que notre Lénine de plateaux télévisés n’a jamais eu, pour sa part, à se plaindre de la République des camarades. Son marxisme à lui, ce fut dès l’âge estudiantin un marxisme de confort et de prébendes, version nomenklaturiste. Membre de l’aile ultra-gauchisante du bureau national de l’UNEF et de la très trotskyste OCI (Organisation communiste internationale, groupuscule « lambertiste » spécialisé dans le noyautage du PS), il devint très vite directeur de cabinet de Claude Germon, maire socialiste de Massy. Ce qui permit à ce bouillant « révolutionnaire » d’aller faire son nid dès 1986 sous les ors du Palais du Luxembourg. Une belle réussite. Sénateur à 35 ans : chapeau l’artiste ! La soupe était si bonne à la cantine du Sénat et la compagnie des vieux notables ventripotents si agréable, que Jean-Luc Mélenchon y aura passé la majeure partie de sa carrière (23 années !) et qu’il y serait sans doute resté enkysté jusqu’à la fin de ses jours si le démon de l’ambition ne l’avait saisi sur le tard, une fois la matérielle assurée.

    La tête enflée par des succès si facilement obtenus, l’idée saugrenue lui vint en effet, lors du Congrès socialiste de Brest en 1997, de disputer le poste de premier secrétaire du parti à un certain…François Hollande. Las ! Ayant la possibilité de juger le personnage sur sa stature réelle, les congressistes lui infligèrent un terrible camouflet. Ecrasé avec un ridicule 8,81 % des voix face à son fort peu charismatique adversaire, le rancunier Mélenchon, dont nul n’ignore la méchanceté foncière, ne pardonna jamais cette humiliation à ses compères socialistes. On ne saurait pourtant dire que notre professionnel de la sinécure militante ait eu des raisons de se plaindre puisque son pote Lionel Jospin, ancien comme lui de l’OCI trotskiste, lui offrit un juteux lot de consolation en le nommant ministre de l’enseignement professionnel au sein de son gouvernement de cohabitation. Une nouvelle place au soleil qui l’aida à surmonter l’indignation qu’aurait dû lui inspirer la politique de bradage systématique des entreprises publiques, dont certains bijoux nationaux, mise en œuvre par l’équipe Jospin avec la caution de la Commission européenne de Bruxelles : privatisations de France-Télécom, d’Air France, d’Aérospatiale, de Thomson-CSF, de Thomson-multimédia ou encore du Crédit lyonnais, du CIC, du groupe d’assurance Gan ou de la Société marseillaise de crédit. Tout cela n’empêcha pas Jean-Luc Mélenchon de rester jusqu’au bout au sein d’un gouvernement capable de renier à ce point ses engagements électoraux. Chez ces gens-là, on sait se taire en cas de nécessité au risque d’avoir à se mépriser.

    Lire la suite de cet article »

  • Présidentielle 2012 - Marine Le Pen est à 36% !

    Posté par le 28 mars 2012

     

    Un sondage internet daté de mars auquel ont répondu 145.470 internautes, place Marine Le Pen, candidate à la présidentielle, à 36 % des intentions de vote au premier tour.

    Cela change des instituts de sondage qui ne sondent eux que 800 à 900 personnes ! Plus de 145.000 votants est un indicateur bien plus fiable que ce que les boites de marketing et de communication qui font office d’institut de sondage peuvent donner à voir de la situation politique du moment !

    Arrive en seconde position François Hollande avec 23 % des intentions de vote, suivi de Nicolas Sarkozy à 22 % et Mélenchon à 13 % !

    Les différents sondages effectués depuis le début de l’année donne régulièrement Marine Le Pen soit en tête soit en seconde position et Sarkozy troisième.

    A trois semaines du premier tour, ce que Marine Le Pen prévoit depuis des mois, soit un 21 avril à l’envers devient de plus en plus probable !

    Source

  • Paris: un garçon juif de 12 ans frappé et insulté à la sortie de son collège

    Lundi après-midi, un garçon juif a été agressé à la sortie de son collège dans le XIIIème arrondissement de Paris. Ses agresseurs sont actuellement recherchés par la police.

     
    L'agression a eu lieu au 31, rue des Cordelières à Paris
    L'agression a eu lieu au 31, rue des Cordelières à Paris Google Maps

    L'agression a eu lieu lundi vers 16 heures à la sortie du collège Ozar Hatorah, le collège portant le même nom que l'établissement scolaire où la tuerie de Toulouse a eu lieu. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'adolescent aurait été abordé par trois autres jeunes âgés d'environ 13-14 ans qui auraient proféré des « insultes à caractère antisémite » au jeune adolescent. D'après les déclarations de la victime, il a également été frappé à la tête par l'un des présumés agresseurs mais n'a pas été blessé. Les effectifs de la direction de l'ordre public (DOPC), qui surveillent les établissement juifs à Paris, sont rapidement intervenus, déclare une source policière, après que le collégien s'est réfugié chez sa grand-mère qui les a prévenus. La famille du jeune garçon a par ailleurs été « vivement incitée à déposer plainte » au commissariat, a précisé la même source.

    Les associations dénoncent vivement cette agression antisémite

    Dans un communiqué, SOS Racisme s'est dit « choqué et affligé » par cette agression, ajoutant que « la haine antisémite doit être combattue avec la plus grande fermeté ». « On lutte contre le racisme et l'antisémitisme car ces fléaux ont maintes fois fait la preuve que les laisser se développer, c'est accepter des passages à l'acte dont les derniers jours que nous venons de vivre en sont l'illustration sanglante », a déclaré le président de SOS Racisme, Dominique Sopo. Dans un autre communiqué, l'Union des étudiants juifs de France (UEJF) « s'alarme de l'éclosion ici et là d'émules des terroristes islamistes français tels que Mohammed Merah », soulignant qu'il régnait « un climat d'inquiétude et d'angoisse dans la communauté juive de France ».

    Bertrand Delanoë appelle à la tolérance

    Dans un communiqué publié mardi, le maire PS de Paris a dénoncé cette agression, déclarant qu'il « souhaite que les circonstances de ce drame soient rapidement éclaircies. Je redis ma détermination à lutter sans relâche contre l'antisémitisme et réaffirme ma volonté de défendre les valeurs de tolérance et d'universalité qui sont celles de Paris. Au nom de Paris, je tiens à exprimer à la victime mes souhaits de rétablissement, et à sa famille, ma solidarité et ma profonde sympathie ».

    Un renfort policier demandé

    Dans un entretien accordé au quotidien Métro, Jérôme Coumet, maire PS du XIIIe, a indiqué avoir fait le tour des établissements juifs de son quartier après le drame de Toulouse. « Tout était calme, mais la présence policière annoncée par le ministre de l'Intérieur Claude Guéant n'était pas en place. Cette agression n'aurait peut-être pas eu lieu si les forces de l'ordre avaient été là » a déclaré l'élu tout en rappelant que la dernière agression antisémite dans le quartier remonte à « quelques années ». Elle avait eu lieu parc de Choisy.

    Par Damien Helene
    France- Soir - 28/03/12
  • Israël rompt le contact avec le CDH de l'ONU à cause d'un rapport sur la colonisation dans les Territoires palestiniens

     

    Israël tourne le dos au CDH de l'ONU à cause d’un rapport


    Après la décision du Conseil des droits de l'Homme de l'ONU d'ouvrir une enquête sur l'impact de la colonisation dans les Territoires palestiniens, Israël rompt sa coopération avec cette instance. Un geste "très regrettable" selon ce Conseil.

    La volonté affichée par Israël de rompre tout contact avec le Conseil des droits de l'homme de l'ONU est "très regrettable", a estimé lundi la présidente du Conseil, Laura Dupuy Lasserre, ajoutant ne pas avoir reçu de confirmation officielle de cette décision.

    "J'ai vu les différentes informations de presse citant de hauts responsables israéliens", a déclaré Mme Dupuy Lasserre à propos des déclarations du ministère israélien des Affaires étrangères à la suite de l'annonce par le Conseil d'une enquête sur les conséquences de la colonisation.

    "Bien que je n'ai pas reçu de confirmation officielle, si cela est effectivement le cas, ce serait très regrettable", a-t-elle ajouté.

    L'Uruguayenne a par ailleurs invité Israël, qui n'est pas membre du Conseil, à coopérer avec cette instance onusienne.

    "Je n'ai aucun doute qu'il est dans l'intérêt d'Israël de coopérer avec le Conseil des droits de l'homme sur cette mission d'enquête, au moins pour qu'il puisse expliquer ses propres politiques et actions aux commissaires indépendants une fois qu'ils seront nommés", a-t-elle dit.

    La présidente a aussi fait valoir que la résolution adoptée jeudi dernier, décidant de la mise sur pied d'une mission internationale indépendante d'établissement des faits, a été adoptée par une large majorité "transrégionale" des 47 membres du Conseil, seuls les Etats-Unis s'y étant opposée.

    Le Conseil a déclenché la colère d'Israël après avoir donné jeudi dernier son feu vert à la mise sur pied de la première mission d'enquête internationale indépendante sur "les effets des colonies de peuplement israéliennes sur les droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels des Palestiniens dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est".

    "Le ministère des Affaires étrangères a pris la décision de rompre tout contact avec cette organisation", a affirmé lundi le porte-parole du ministère, Yigal Palmor.

    Le mandat de la mission d'enquête, dont les membres doivent être nommés par la présidente du Conseil, s'achèvera avec la présentation d'un rapport au Conseil.

    Le Conseil demande par ailleurs à Israël de coopérer pleinement avec la mission et prie le Secrétaire général de faire rapport sur l'application de la résolution à la session de juin 2012 du Conseil.
     

    http://www.gnet.tn/revue-de-presse-internationale/israel-tourne-le-dos-au-cdh-de-l-onu-a-cause-dun-rapport/id-menu-957.html http://www.gnet.tn/revue-de-presse-internationale/israel-tourne-le-dos-au-cdh-de-l-onu-a-cause-dun-rapport/id-menu-957.html    

     

     ALTERINFO. NET - 28/03/12


     

  • Cette "nouvelle France" qui fait horreur

     

    Conséquence d’un programme socialo-libéral et euromondialiste bon teint proche de l’UMP, de son manque d’épaisseur et de saveur, le candidat socialiste a ouvert un bel espace à son complice du Front de gauche . Ce qui n’est pas en soi un handicap pour François Hollande puisque Jean-Luc Mélenchon a indiqué dès le départ qu’il appellerait à voter au second tour pour le candidat de l’aile gauche du parti libéral-bruxellois .

     A défaut de séduire les Français qui se lèvent tôt et une jeunesse particulièrement absente de ses réunions, Mélenchon parvient indéniablement à agréger toutes les micro-niches de la France archéo-marxiste, de la gauche dure. Celle qui, habituellement morcelée entre ses différents candidats, pèse entre 12 et 15% des voix à chaque présidentielle depuis vingt-cinq ans. A cette aune le grand oriental Mélenchon est bien servi également par l’absence de charisme des deux potiches trotskystes Poutou et Arthaud…

    Le public de Mélenchon est assez « traditionnel » de cette frange de l’électorat : fétichistes attachés aux gri-gri -drapeaux rouges, poings levés, internationale, violence haineuse vis-à-vis des patriotes Français…- nostalgiques de la Terreur ou de la planification soviétique, extrémistes célébrant les 100 millions de morts du communisme, masochistes partisans de la disparition de la France et de l’Europe sous les vagues migratoires, syndicalistes et fonctionnaires bas de plafond, bobos ahuris…

    Jérôme Fourquet (Ifop), invité à commenter cette hausse (relative) de Mélenchon, constate d’ailleurs que celui-ci reste derrière Marine dans les intentions de vote et que le phénomène de « vases communicants » entre l’électorat du FN et celui du Front de Gauche « ne joue qu’à la marge ». « Il est vrai que dans les meetings de Marine Le Pen, il est très rare de rencontrer des sympathisants disant hésiter ou avoir hésité avec M. Mélenchon, vu comme un défenseur de l’immigration. L’inverse se vérifiant aussi ». « Mélenchon profite plutôt de Hollande » note encore M. Fourquet comme l’a fait avant lui Bruno Gollnisch.

    Il en profite d’ailleurs plus qu’il ne le dit et dans tous les sens du terme. En réunion à Lille hier devant plusieurs milliers de personnes –dont une grosse minorité de Belges….- Jean-Luc Mélenchon a de nouveau aboyé contre Marine Le Pen. Dans un registre très proche sur le fond de celui de la porte-parole de M. Sarkozy, Nathalie Kosciusko-Morizet ou de la patronne du Medef, Laurence Parisot, il a reproché à la candidate du FN de défendre le principe de la préférence nationale. C’est d’ailleurs aussi pour cela que Marine affirme que le candidat de l’internationale communiste n’est qu’une « bulle » (médiatique) prête à exploser, qui ne fera pas la moitié du nombre de voix qu’elle recueillera le 22 avril…

    Mais Mélenchon a essayé aussi, avec un comique certainement involontaire, de faire les gros yeux au PS. Il a feint de s’indigner notamment que le PS n’ait toujours pas répondu à sa demande d’évoquer le cas des circonscriptions où la gauche pourrait être éliminée dès le premier tour en cas d’absence de candidature unique. Et a qualifié de « gros menteur » Jérôme Cahuzac, président PS de la commission des Finances de l’Assemblée, qui venait de parler d’un « accord PS/PG » pour que les amis de Mélenchon « aient quelques circonscriptions avec quelque espérance de gains ».

    « Ne commencez pas à nous chercher, soyez poli avec nous, soyez respectueux avec la masse du Front de gauche, elle n’est pas à vendre », a hurlé l’ex-sénateur socialiste pour la galerie. Dans les faits, il sait que le FG se vendra bien évidemment au PS, tout juste table-t-il sur un rapport de force pas trop défavorable. Un alimentaire comme Mélenchon a d’ailleurs fait ça toute sa vie avant de monter sa boutique pour faire monter les enchères. Sans l’appui du PS aux législatives, le Front de gauche, simple masque d’un Parti communiste habitué à se régaler des restes que lui balance la rue de Solférino, n’aura bien évidemment aucun député.

    Enfin, l’attitude nauséabonde des dirigeants communistes la semaine dernière prive le Front de gauche de toute possibilité de progression majeure. Chassez le naturel, il revient au galop : la haine anti-française, et plus généralement antinationale qui est le fondement même du communisme orthodoxe et/ou et des sectes trotskystes -Mélenchon cumule pour sa part son appartenance à une loge violemment anti FN avec un passé de militant lambertiste-, a éclaté en pleine lumière.

    Le secrétaire national du PC, Pierre Laurent, a ainsi estimé qu’on pouvait « peut-être comprendre la détresse » du père (au lourd passé judiciaire) du délinquant multirécidiviste et assassin d’enfants Mohammed Merah qui entend porter plainte contre la France. Mélenchon quant à lui, a refusé de s’associer à la cérémonie d’hommage à nos militaires abattus par cette racaille djihadiste. Un PC notons-le au passage, qui soutient les »chance pour la France » comme le bi-national Merah, lequel, comme le rappelait aujourd’hui Marine sur France 2, touchait grâce à l’Etat UMP des aides sociales et disposait d’un deux pièces, appartements auxquels tant de jeunes couples français n’ont pas accès…. Deux clins d’œil malsains envoyés à une frange de la population que les internationalistes s’échinent à séduire, que le candidat du Front de gauche décrit comme « la France mélangée et heureuse de l’être », « la nouvelle France » qu’il appelle de ses vœux. Choisis ton camp camarade

    Blog de Bruno Gollnisch - 28/03/12

  • Toulouse: l'assassinat politique de la famille Sandler programmé par Israël ?

    Lire l'article :

    http://www.alterinfo.net/Toulouse-L-assassinat-de-la-famille-Sandler-par-Israel-pour-faire-pression-sur-l-UNIFEM-et-les-CDH-de-l-ONU_a73717.html

     

     

    ALTERINFO.NET - 28/03/12

     

    NdB: Comment expliquer alors  le meurtre des trois militaires français (Toulouse et Montauban) ?  Une "simple" diversion ?

     

  • La bataille des Glières: vérité ou légende ?

    La bataille des Glières du 26 mars 1944, symbole de la Résistance commémoré chaque année par Nicolas Sarkozy, ne serait-elle qu'une légende créée de toutes pièces ? Cette thèse, soutenue par de nouvelles recherches historiques, suscite la polémique en Haute-Savoie.

    "Un des blasons de l'histoire millénaire et héroïque de la nation", a écrit d'elle l'académicien Max Gallo, une "grande et simple histoire", disait l'ancien ministre de la Culture André Malraux, ou simplement la "première bataille de la Résistance", selon le site de l'Association des Glières : le plateau des Glières, que Nicolas Sarkozy visite tous les ans depuis 2007, a une histoire moins simple qu'il n'y paraît, si on en croit le résultat de nouvelles recherches qui suscitent une vive émotion.

    Mythe

    Au coeur de la polémique se trouve la thèse de Claude Barbier, soutenue en novembre 2011 à La Sorbonne devant un jury de spécialistes de la période, Olivier Wieviorka, Jean-Pierre Azéma, Pascal Ory, Gilles Vergnon et Jean-Marc Berlière. Ce docteur en histoire de 47 ans, qui a eu accès à des archives jusque-là inexploitées, écorne sérieusement la version officielle des événements. "Il n'y a pas eu de bataille à Glières", assène-t-il. "Ce qui est appelé la bataille des Glières le 26 mars 1944, ce sont 2 maquisards tués et un autre blessé lors d'une reconnaissance offensive d'un détachement allemand de 30 à 50 hommes", ajoute-t-il.

    L'accrochage n'a d'ailleurs pas lieu sur le plateau lui-même, mais à côté. Et quand les Allemands montent sur le plateau, le lendemain, les maquisards ont fui. Le mythe de la bataille serait né, sur fond de guerre psychologique entre Vichy et la France libre, de deux télégrammes envoyés par un agent des services secrets français "dont le contenu était totalement imaginaire". Repris sur les ondes de Radio Londres, cela donne une bataille de 14 jours durant laquelle 500 Français résistent à 12 000 Allemands. Un "bilan extravagant" qui s'est imposé "parce que Glières offrait une vision valorisante des Français pendant la guerre", dans la droite ligne du "mythe gaulliste d'une France en résistance", estime Claude Barbier.

    "Le vocabulaire de Vichy"

    Des mots qui ne plaisent pas aux dirigeants de l'Association des Glières, chargée de faire vivre l'héritage du maquis, qui chahutent régulièrement le chercheur au cours de ses conférences. À Annecy, début mars, l'ancien sénateur Jacques Golliet a ainsi dénoncé un travail à l'interprétation "un petit peu biaisée", évoquant "l'état d'esprit" des archives de Vichy dont "il est difficile de se remettre". Le général Jean-René Bachelet, président de l'association, critique, lui, "une démarche de notaire pointilleux et chagrin". "Ergoter autour du mot bataille est assez dérisoire au regard des enjeux", dit-il, accusant Claude Barbier de reprendre le "vocabulaire de Vichy" qui parlait de "légende".

    Balayant ces polémiques, Jean-Marc Berlière, professeur émérite à l'université de Bourgogne, prédit au contraire "un extraordinaire tournant historiographique" sur la période. "Pendant 60 ans, on a vécu sur des équations fausses. Grâce à l'ouverture des archives et à une nouvelle génération d'historiens qui ne s'autocensurent plus, on va fortement nuancer et corriger ce qui a été écrit" sur l'Occupation, promet-il. "Petit à petit, un certain nombre d'événements vont apparaître pour ce qu'ils sont : des mythes, des légendes", assure-t-il.

    Le Point - 19/03/12