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Blog - Page 1239

  • Marine Le Pen répond à Anne-Sophie Lapix - 01/04/12

     

    Posté par le 1er avril 2012

     

    Invitée de « Dimanche Plus » sur Canal Plus, Marine Le Pen, candidate pour la défense de la France et de tous les Français à l’élection présidentielle de 2012, a répondu aux questions d’Anne-Sophie Lapix, notamment sur le pouvoir d’achat, le chômage, les conséquences d’une immigration incontrôlée depuis 30 ans en France.

    « Je suis très différente des autres (candidats) sur ce sujet-là aussi, je montre ma différence. » Marine Le Pen précise que, dans son projet, « tous les traités européens ne pourront pas être modifiés sans un référendum » ; il en va de même pour l’euro où elle observe le « terrorisme intellectuel [...] auquel participe l’ensemble des médias qui consiste à faire peur aux Français ».

  • STATS MARS 2012

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  • Marine Le Pen: "Je suis la voix de l'exception française"

    En meeting vendredi soir à Nice, Marine Le Pen a fustigé « l'islamisation rampante » et estimé que Nicolas Sarkozy avait « blâmé l'œuvre de la France en Algérie ».

     
    Marine Le Pen s'est violemment attaquée à "l'immigration" à laquelle elle a lié "l'islamisation rampante"
     

    « Je suis la seule candidate de la Nation ». En meeting vendredi soir à Nice (Alpes-Maritimes) devant 3.000 personnes, Marine Le Pen s'est présentée comme la défenseure de la France face à « l'étranger ». « Plus les jours passent, plus nous apparaissons comme le parti de la vérité face aux partis du cynisme », a estimé la candidate du Front national qui l'assure : « Je n'ai pas honte de dire que je suis une candidate nationale, que j'aime mon pays et que j'aime son drapeau ».

    Cliquez ici !

    Sans les citer, la leader frontiste a, pour commencer, fustigé un à un ses principaux adversaires dans la course à l'Élysée. « Nous avons un président sortant au bilan catastrophique qui s'accroche désespérément au pouvoir. Il n'a toujours pas de programme. Il nous le promet pour Pâques, nous l'aurons peut-être pour la Trinité », a-t-elle déclaré en évoquant Nicolas Sarkozy. Pour Marine Le Pen, « le candidat socialiste (François Hollande, ndlr) ne fait pas campagne lui non plus. Son ambition : faire moins pire que le président sortant ». Et de détourner et railler son slogan : « le changement, c'est comme avant ». Quand à François Bayrou, sa « famille politique assume le néant de son projet pour la France ».

    "La voix de la survie de la France"

    « Heureusement que nous sommes là », a estimé la candidate du FN. « J'ai soulevé les problèmes, mais en face de moi j'ai des anguilles qui esquivent ». Face à la réalité de leurs bilans, « la première réaction est : "c'est pas vrai", la deuxième réaction est : "c'est pas nous", puis la troisième réaction, en désespoir de cause, "c'est pas grave" ». D'ailleurs Marine Le Pen promet n'avoir « pas trouvé de différence entre le programme de Hollande et de Sarkozy ».

    Se plaçant au-dessus des joutes politiques, la patronne du FN a assuré qu'elle se battait pour « vraiment changer les choses » : « Dans cette élection, ma candidature est unique. Unique, mais pas seule, parce que vous êtes là ». Sombrant alors dans un nationalisme romantique, elle a estimé être « la voix de l'exception française qui veut mettre à bas les élites ». Elle serait même « la voix de la survie de la France ». Et tandis qu'elle se présentait comme la « candidate de la Nation face à la gauche mondialiste » et « la droite du mensonge », Marine Le Pen a violemment et longuement dénoncé « l'immigration » à laquelle elle a directement lié « l'islamisation rampante ». Une diatribe particulièrement agressive mais massivement soutenue par les très nombreux hués qu'a laissé échapper son auditoire à chaque fois qu'elle a prononcé ces deux termes.

    "En 130 ans, les Pieds-noirs ont fait un travail admirable"

    Sans revenir sur l'affaire Merah, la chef du Front national a déploré la « ghettoïsation de la société » et énuméré certaines de ses propositions : suppression des aides sociales aux délinquants d'origine étrangère, expulsion des sans-papiers (« je mettrai les clandestins dehors, qu'ils aient un travail ou non »), ou encore rétablissement d'un service militaire d'un mois pour tous.

    Profitant de la présence dans la salle de nombreux Pieds-noirs et descendants de Français d'Algérie, Marine Le Pen a également fustigé l'attitude du président sortant, accusé de s'être repenti devant le Premier ministre turc et « islamiste » Recep Tayyip Erdogan pour l'occupation de ce territoire par la France : « Nicolas Sarkozy a blâmé l'œuvre de la France en Algérie », a-t-elle estimé, jugeant qu'« en 130 ans, les Pieds-noirs ont fait un travail admirable. La France doit le reconnaître, la France ne doit pas l'oublier ».

    La candidate frontiste a également déclaré que « nous ne devons pas oublier les Harkis, honteusement abandonnés par les pouvoirs publics ». « Si la France a une dette envers les Musulmans, c'est bien vis-à-vis des seuls Harkis qui ont versé leur sang pour la France », a-t-elle affirmé.

     

    Par Philippe Peter
     
    France-Soir - 31/03/12
  • FLN et collabos à Marseille: le FN dit non !

     

    Le théatre de La Criée à Marseille a accueilli durant trois jours, tout le gratin du FLN et de ses porteurs de valises "français" autour d'un colloque traitant des 50 ans de la fin de la guerre d'Algérie.

    Trois jours de haine anti-française en général, anti-pieds noirs et anti-harkis en particulier.

    Les élus et les militants du Front National se sont joints au rassemblement organisé par des associations d'anciens combattants et de pieds-noirs pour accueillir les participants à cette provocation aux cris de COLLABOS et FLN ASSASSIN.

    Plus que jamais, Pieds-Noirs doit rimer avec mémoire et histoire, la grande et glorieuse Histoire de France !

    S.R.

    photo (23).jpg

    Devant La Criée ce vendredi 30 mars avant de revenir le lendemain, samedi 31 mars.

    Entourés des militants marseillais, les élus frontistes Stéphane Ravier, Elisabeth Philippe et Laurent Comas sont venus défendre l'honneur de l'Algérie française et répéter que les assassins du FLN n'avaient pas leur place à Marseille.

     

    Blog de Stéphane Ravier pour Marseille - 01/04/12

     

  • Bruno Gollnisch: "Affaire Merah - La question qui n'est pas posée"

     

    31 mars 2012

    AFFAIRE MERAH : LA QUESTION QUI N’EST PAS POSEE

    par Bruno Gollnisch, Député européen

    La plupart des commentaires sur l’affaire Merah demandent de ne pas stigmatiser tous les Musulmans. Ils ont raison. Il n’y a pas dans notre culture occidentale, et il ne saurait y avoir, de responsabilité collective. En revanche, on voudrait être plus certain que l’Islam est bien pour tous les Musulmans cette religion de paix et d’amour que l’on nous vante dans autant de discours lénifiants. Poser la question, c’est hélas y répondre.

    Un responsable de l’enquête a exposé que la date choisie par Merah pour ses crimes n’était pas choisie au hasard. Et notamment celle du 19 mars, jour anniversaire de l’entrée en vigueur des accords d’Evian. Puisque l’on nous y « invite » donc, rappelons que l’ islamisme fanatique et l’anti-occidentalisme furent parmi les principaux ressorts de l’action du F.L.N. algérien, aujourd’hui encensé de façon indécente, qui pratiqua systématiquement les assassinats de civils, y compris les assassinats d’enfants européens, (enfants de deux et trois ans égorgés, crucifiés sous les yeux de leurs parents) mais aussi musulmans, comme l’entière population du village de Melouza, les familles des malheureux harkis abandonnés par la France, etc.

    Pas plus tard que cette semaine, dans Marianne, Zohra Drif, Sénatrice algérienne, revendique fièrement d’avoir contribué à l’attentat du « Milk Bar » et justifie ses assassinats. Mme Danielle Michel-Chich, qui avait alors 5 ans, y perdit une jambe, et sa grand-mère, qui l’y avait emmenée pour manger une glace. Elle lui répond de façon digne mais ferme. Les morts, eux, ne sont plus là pour répondre à la sénatrice meurtrière.

    Mais revenons à Merah. Je laisserai de côté les aspects seconds, voire secondaires, comme les discussions pour savoir s’il aurait dû être neutralisé dès que la DCRI avait eu connaissance de son séjour au Pakistan. La gauche, qui a voté contre tous les systèmes de collecte d’information, paraît s’indigner de la carence des autorités. Que n’aurait-elle pas dit si l’on avait inculpé ou inquiété ce bon jeune homme au seul motif de cette ballade « touristique ».

    Il est tout de même étrange, avouons-le, qu’on ait laissé prospérer ce réseau salafiste que la Dépêche du Midi qualifiait de « Bureau de recrutement pour le Djihad », et dont onze membres avaient été arrêtés…dès le 14 février 2007 ! Quant à la « neutralisation » de Mohammed Merah, il est vrai qu’il eut bien mieux valu le prendre vivant, afin d’en tirer plus d’informations. Mais c’est facile à dire pour des commentateurs qui écrivent tranquillement leur « papier » dans leur bureau, et qui n’ont jamais entendu siffler que des balles de tennis. Moins facile pour des policiers en situation dont la vie est directement menacée.

    Ce qui m’intéresse ici se situe en amont de tout cela : que faisait ce garçon dans un pays –le nôtre- qu’il haïssait, comme d’autres membres de sa famille ? Comment d’ailleurs, et pourquoi, cette famille est-elle arrivée-là, dans un pays où théoriquement l’immigration de travail a cessé depuis 1975 ? A quelle rationalité obéissait cette présence ? Quel profit la communauté nationale a-t-elle retiré de cet « apport » au regard des coûts ? Je ne parle pas des coûts consécutifs au drame : humains-ils sont irréparables- ou matériels : les pensions dues aux veuves, aux orphelins, etc. Non, je parle de ce qu’il y a eu avant, et que l’on n’évoque pas, ou si peu, ou par bribes, et pour cause :

    Combien donc a coûté la famille Merah à la France ? le Père, Mohammed Melal Merah, qui nous a légué ses rejetons et s’en est si peu ou mal occupé, incarcéré ici quatre années pour trafic de drogue, et qui a eu le bon goût de retourner en Algérie. La mère, les deux frères, les deux sœurs, M. Essid le beau-père, et Sabri Essid, le fils de ce dernier, autre militant salafiste, arrêté les armes à la main, fin 2006 en Syrie, près de la frontière avec l’Irak, condamné et incarcéré en France !

    - Quelle partie des dépenses de la collectivité a été couverte par leur travail ?

    Et en particulier pour feu Mohammed Merah : combien a –t-il coûté à ce pays, qu’il a remercié par ces actes affreux, en allocations pré- et post- natales, en scolarisation gratuite (avec bourses ?), en allocations familiales, en soins gratuits remboursés par la sécurité sociale, y compris l’hépatite A contractée au Pakistan, en formation professionnelle (C.A.P. Carrossier), en Aide Personnalisée au Logement, en R.S.A. ? Combien ont coûté ses méfaits précédents, ses 18 arrestations, ses 15 condamnations, en dommages, déprédations, temps passé de policiers, de magistrats, de greffiers, d’éducateurs, etc. ? et ses 21 mois d’incarcération ?

    Oui, combien tout cela a-t-il coûté ? 200.000, 300.000, 400.000 € ? moins ? plus ?

    Et ceci induit bien sûr une deuxième question. LA question. Question taboue pour le « politiquement correct ». Question qui NE DOIT pas être posée selon, entre autres, le journal Libération. Et qui de fait ne l’a pas été. La question de la Nationalité. Il paraît qu’à l’UMP Jacques Myard, député, l’a soulevée avec trois autres parlementaires du même bord. Ils demandent que désormais l’octroi de la nationalité française à des étrangers nés en France n’ait plus de caractère automatique.

    Dans Libé, journal passé du maoïsme à Rothschild, aujourd’hui son principal actionnaire, devenu gazette officielle de la bien-pensance, et arbitre des élégances morales, M. François Sergent, éditorialiste, s’en indigne. Il stigmatise le « Propos ignoble et hystérisé » (sic). Il s’écrie : « Merah est aussi français que Jacques Myard ». Il martèle « Merah est certainement un monstre, mais un monstre français ». Nous y voilà. Il faut que Merah soit de chez nous. Bien de chez nous. Rien que de chez nous. Parce qu’il faut que quelque part la France soit coupable. Et personne d’autre.

    Coupable, la France, de n’avoir pas été assez gentille avec celui que son ex-avocate, dans le même journal, nous présente comme « Gentiment crâneur, attachant, maladroit » (pas dans le maniement des armes, semble-t-il), car « Son rapport aux adultes était marqué par une grande politesse, une certaine délicatesse. Il était attentif à ses interlocuteurs » (les victimes apprécieront). Elle gardera donc l’ « image de ce gosse souriant, nuque courte, jean taille basse, polo « Ralph Lauren » (sic). Comme tout cela est touchant ! D’autant plus que Libé prend bien soin de ne pas nous dire un mot des raisons qui ont valu à Merah ses déboires judiciaires. Et de conclure :

    « Jusqu’à quelle génération un enfant né français sera-t-il renvoyé à son origine algérienne, pour combien de générations son ascendance le fera-t-il éternellement étranger au pays qui est le sien ? ». Voilà, M. Sergent, un noble et beau discours, que beaucoup d’enfants d’origine européenne eussent aimé entendre lors de l’indépendance algérienne, eux dont les familles étaient en Algérie depuis parfois six générations, au lieu de se voir proposer le « choix » entre la valise ou le cercueil !

    Mais il n’est pas besoin de remonter si loin ! Mohammed Merah est de la première génération à être francisée, et il l’a été, sans perdre sa nationalité d’origine, par l’effet quasi-automatique d’un Code de la Nationalité qui distribue la qualité de Français aussi bien à ceux qui l’on méritée qu’à ceux qui ne la méritent pas, à ceux qui la désirent comme à ceux qui la méprisent, à ceux qui aiment la France comme à ceux qui la haïssent. Et c’est là tout le problème ! Un problème tabou, mais un vrai, un grave, un très grave problème !

    En réalité, comme je l’ai dit dès le début de cette affaire, et comme presque tous les media l’ont occulté, le plus longtemps possible, Merah, né le 10 octobre 1988 de parents algériens, avait la double nationalité. C’était d’ailleurs une évidence. Croyez-vous un seul instant que la France ne revendiquerait pas comme l’un des siens, par exemple, un enfant né de père français et de mère française au Guatemala, et ce au seul motif que sa naissance dans ce pays lui vaudrait la nationalité guatemaltèque ?

    A ce compte-là, Valéry Giscard d’Estaing serait allemand ; Jean-Luc Mélenchon, Elisabeth Guigou et Dominique de Villepin marocains ; Edouard Balladur, turc ; Bertrand Delanoë, tunisien ; puisqu’ils sont nés respectivement à Coblence, à Tanger, à Marrakech, à Rabat, à Smyrne, à Tunis ! Absurde ? Oui, absurde, en effet ! C’est donc que la filiation, est un critère a priori bien plus fort que le lieu de naissance dans l’attribution de la nationalité. Et voila justifié ce fameux droit du sang, ius sanguinis, que d’incultes crétins font remonter à Adolf Hitler, alors que ce concept de droit romain, le plus important dans les droits de la nationalité de tous les pays du monde, se trouve depuis toujours dans tous les manuels de droit international privé des facultés de droit, sans exception. Concept si peu « racial » qu’il englobe aussi l’attribution de la nationalité de l’adoptant à l’adopté, du moins dans l’adoption plénière.

    Eh bien si nous considérons qu’un enfant né de parents français, même à l’étranger, est français, l’Algérie, très légitimement, fait de même pour les siens. Merah était donc algérien, et son père vient de vendre la mèche en révélant qu’il avait toujours eu un passeport algérien.

    Et j’en viens à ma conclusion : si le Code de la Nationalité était ce qu’il devrait être, comme ce qu’il est dans la plupart des pays du monde, la naissance sur le sol français ne lui aurait conféré aucun droit automatique. Elle eût été un simple élément à l’appui d’une éventuelle demande de naturalisation. Naturalisation accordée à ceux qui s’en sont montré dignes-(il y en a, bien sûr !), et refusée aux autres, comme ç’eût été le cas en l’espèce, compte tenu de ses multiples méfaits. Mieux : les méfaits des rejetons –et du père- auraient conduit dans n’importe quel pays à la résiliation des autorisations de séjour de cette famille étrangère.

    Car le séjour en France n’est pas un droit. C’est une faveur. Les parents Merah qui, contrairement aux exigences de la loi, ne se sont pas présentés lors des comparutions de leur rejeton, n’auraient pas pour autant été condamnés. Mais il leur aurait été enjoint de retourner dans leur pays avec leur descendance, puisque certains de leurs enfants troublaient gravement l’ordre public français. C’est ce qui arrive en pareil cas dans la plupart des pays du monde.

    C’est certainement ce qui arriverait à une famille française dont les enfants commettraient des méfaits en Algérie. C’est conforme au droit international public. Et c’est le bon sens. Et cela aurait très certainement sauvé six vies, sans compter celle de Merah lui-même qui aurait eu cependant intérêt à filer doux : la police et la justice algérienne sont moins compréhensives que les nôtres.

    Un dernier mot. Je connais M. Myard depuis 26 ans. C’est un collègue aimable. Quand j’étais député en 1986 à l’Assemblée Nationale, membre de la commission des Affaires Etrangères, il était Conseiller de M. Michel Aurillac, ministre de la Coopération dans le gouvernement Chirac. J’avais été élu sur le programme du Front National ; la majorité chiraquienne avait été élue sur un pâle décalque de ce programme FN, qui s’appelait « la plate-forme commune RPR-UDF » (on dirait aujourd’hui : « la plate-forme UMP »). Dans ce document, RPR et UDF s’engageaient solennellement à changer le Code de la Nationalité pour faire disparaître les cas de « naturalisation automatique ». Il fallait empêcher les électeurs d’aller massivement vers le Front

    Quand la mandature s’est terminée, RPR et UDF avaient renoncé à changer quoi que ce soit. Ils n’ont pas changé un seul mot des lois sur la nationalité. 26 ans après, ils en sont toujours aux promesses électorales. Votez Marine Le Pen.

     

    P.S. Cet article me vaudra, c’est sûr, comme d’habitude, des accusations de dureté de cœur, d’incitation à la haine, de récupération politique, et tout le bazar habituel de la rhétorique des bien-pensant. Je m’en contrefiche. Comme l’écrivait Chateaubriand, il est des temps où il faut être économe de son mépris, à cause du grand nombre de nécessiteux. Je réserve ma compassion aux victimes : aux soldats français, aux enfants et à leur maître assassinés d’aussi ignoble façon.

    Et aussi aux victimes d’avant le crime : à Bitru, figure du français de souche –du « souchien », comme ils disent- qui part au boulot tous les matins, qui n’emmerde personne, qui élève ses gosses, qui n’aura jamais de quoi se payer le pavillon de ses rêves, qui vivra ses dernières années avec 750€ de retraite, et qui, sans le savoir-et sans qu’on lui ait jamais demandé son avis- a entretenu Merah par son travail, ses cotisations et ses impôts…

    Quant à ceux qui m’accuseront d’écrire par détestation de l’Algérie ou des Arabes, ils ont aussi tout faux : je n’ai rien contre les Algériens ; je souhaite des relations apaisées et mutuellement profitables avec l’Algérie. La famille Merah aurait pu venir d’Argentine, d’Albanie, du Kirghizistan ou du Zimbabwé, mon raisonnement serait le même.

     

  • Rhône: un élu de gauche, François Desbois, condamné pour agression sexuelle sur mineur

    Ce scandale politique fera-t-il autant de bruit qu’un bal à Vienne ? Notez que cet article du Progrès tait l’appartenance politique de François Desbois…

    François Desbois apparaît dans la liste unique de la gauche comme « un nouveau souffle pour Neuville ».

    François Desbois

    François Desbois, 58 ans, ancien cadre à La Poste, a été condamné par le tribunal correctionnel de Lyon pour agression sexuelle sur mineur, à quinze mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve et obligation de soins.

    En tant que conseiller municipal à Neuville-sur-Saône, il avait eu l’occasion de siéger au conseil local de prévention de la délinquance (sic). Mercredi, il s’est retrouvé de l’autre côté de la barre, inscrit au fichier des délinquants sexuels.

    L’homme était poursuivi pour avoir pris, en 2008, des photos d’une adolescente âgée de 13 ans, posant nue dans sa salle de bain. Selon le récit de la victime, il en avait profité pour se livrer à des attouchements. (…)

    Pour le procureur, il avait profité de l’isolement d’une adolescente en rupture familiale. Un homme décrit en pervers par une expertise, en manipulateur par sa propre fille, a ajouté le procureur Jean Varaldi. « Attention au mauvais portrait », a répondu Flavien Barioz, avocat de la défense, qui a bataillé les versions accablantes des parties civiles.

     

    François Desbois avec Jack Lang au salon européen
    de l’art contemporain en avril 2010

    Source : Le Progrès, Merci à Miserecord

    Défrancisation 

  • Nicolas Sarkozy invoque l'Histoire pour mobiliser les jeunes...

    PARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy a invité samedi la jeunesse à s'inspirer des valeurs de la génération de la Résistance pour oser, créer et tirer un trait sur 30 années de pensée unique et de dérives qui ont plongé le monde dans la crise, afin de l'aider à construire "une France forte dans une Europe forte".

    Le président candidat s'exprimait devant plusieurs milliers de jeunes rassemblés dans un hall du parc des Expositions de la porte de Versailles à Paris, à trois semaines du premier tour de la présidentielle.

    Pour cet exercice obligé de toute campagne électorale, le meeting avec les jeunes, il a eu recours au lyrisme dans un discours aux allures de leçon d'histoire et de morale qui portait la marque de sa plume habituelle, son conseiller spécial Henri Guaino.

    Il a invoqué aussi bien le général de Gaulle, le pape Jean-Paul II, les mots d'une rescapée d'Auschwitz que Rimbaud et le révolutionnaire Saint Just pour inviter la jeunesse à l'action et à ne laisser "personne écrire votre Histoire à votre place".

    Il a pris comme modèle la génération de la guerre, "transcendée par l'épreuve", qui a su faire la paix, construire l'Europe, permettre les "Trente glorieuses", créer la sécurité sociale et donner le droit de vote aux femmes, avant d'invoquer comme repoussoir la période qui a suivi mai 1968.

    "Ont suivi 30 années de pensée unique, d'aveuglement, de désordre monétaire, de mondialisation sans règle, de spéculation, de laxisme financier, de dévalorisation systématique du travail, de dépréciation du mérite, d'affaiblissement de l'autorité, de relâchement", le tout générant des "crises sans précédent qui ont fait passer le monde au bord du gouffre".

    UNE BANQUE DE LA JEUNESSE

    A partir de là, il a défendu plusieurs des mesures qu'il propose depuis le début de la campagne pour une France et une Europe qui protège ses entreprises et contrôle son immigration.

    Il n'a fait aucune allusion directe au chômage des jeunes, réaffirmant seulement sa volonté de généraliser l'apprentissage, y compris dans l'administration, et indiqué sans autre précision son intention de doubler les effectifs du service civique.

    Ceux-ci s'élèvent pour l'instant à plus de 22.000 et le gouvernement avait pour ambition de signer 25.000 contrats en 2012 et 75.000 à partir de 2014. Le candidat socialiste François Hollande a retenu pour sa part un objectif de 100.000 contrats.

    La seule véritable annonce du discours de Nicolas Sarkozy a été celle de la création d'une "banque de la jeunesse" qui permettrait de financer, sous forme de caution, des projets d'étude, de formation ou d'entreprises.

    Bernadette Chirac, l'épouse de l'ancien président de la République, et l'ex-ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo étaient au premier rang des invités pour cette intervention au cours de laquelle il n'a pas fait preuve de la même virulence vis-à-vis de l'opposition que lors de ses sorties précédentes.

    Sans les nommer, il a néanmoins stigmatisé les socialistes, quand il a dénoncé dans les opposants à Hadopi, la loi qui protège la création sur internet, des "démagogues", des "apôtres du jeunisme (...) tous ceux qui n'ont que la lâcheté en eux".

    Edité par Marine Pennetier

    Yahoo! Actu

  • Coran ou l'incitation à la haine sans complexe

    Je suis surpris de constater la violence de certains musulmans en France (affaires Youssouf FOFANA, Mohamed MERAH et leurs émules...), ainsi que dans le monde où 99% des gens qui meurent au nom d'un dieu meurent en fait au nom d'Allah.
    J'ai donc décidé de lire le Coran pour voir si ce texte présentait un lien avec cette violence. Ce que j'y ai découvert est effrayant et susceptible de vous intéresser.

    J'y ai trouvé des versets d'une violence inouïe.
    Non pas des histoires à lire comme des romans d'aventure, à l'instar de l'Ancien Testament, qui nous conte les démêlés du peuple juif avec ses voisins aujourd'hui disparus.
    Mais des textes mettant directement en cause nos concitoyens, chrétiens, juifs, ou athées... voire même musulmans jugés trop "modérés".
    Des textes appelant sans ambiguïté à la haine, à la discrimination, et au meurtre des Français.
    Non pas 2 ou 3 mais des centaines (!) d'articles aussi allégoriques que le code Napoléon, qui stigmatisent, insultent, condamnent parfois à mort nos concitoyens en raison de leurs croyances religieuses (ou de leur absence de croyance).
    Des textes contrevenant sans aucun doute à la loi du 29 juillet 1881 modifiée en 2004.

    Jugez plutôt avec ce petit échantillon :

    sourate 9 v29 : "Combattez ceux qui ne croient pas en Allah, qui ne considèrent pas comme illicite ce qu'Allah et son prophète ont déclaré illicite (...) jusqu'à ce qu'ils paient, humiliés et de leurs propres mains le tribut."

    sourate 2 v216 : "Le combat vous est prescrit et pourtant vous l'avez en aversion. Peut-être avez-vous de l'aversion pour ce qui est un bien et de l'attirance pour ce qui est un mal. Allah sait et vous ne savez pas"

    sourate 9 v5 : "lorsque les mois sacrés seront expirés, tuez les infidèles partout où vous les trouverez. (...)"

    sourate 8 v17 : "Vous ne les avez pas tué (vos ennemis). C'est Allah qui les a tués. Lorsque tu portes un coup, ce n'est pas toi qui le porte mais Allah qui éprouve ainsi les croyants par une belle épreuve"

    sourate 47 v35 : "Ne faiblissez pas et ne demandes pas la paix quand vous êtes les plus forts et qu'Allah est avec vous ! (...)"

    - Concernant l'incitation à la torture (oui, dans un texte religieux de référence !) :
    sourate 5 verset 33 : "la récompense de ceux qui font la guerre à Allah (...) c'est qu'ils soient tués ou crucifiés, ou que soient coupés leurs mains ou leurs pieds (...)"

    - Concernant la provocation à la discrimination et à la haine des non-musulmans (athées ou membres des autres confessions) :
    sourate 9 verset 28 : "les infidèles ne sont que souillure"
    sourate 9 verset 30 : (les juifs et les chrétiens) "Qu'Allah les maudissent(...)"
    (Remarque : dans l'Islam, maudire quelqu'un ou l'accuser d'être impur sont ce qu'on peut porter de pire comme attaque verbale ; un peu l'équivalent de notre moderne "fils de pute")

    Les juifs sont décrits comme des êtres injustes, des pervers sans foi ni loi (sourate 2 verset 89/95, sourate 2 verset 79/85, sourate 2 verset 73/79, sourate 5 verset 41)
    La sourate 4 est un torrent de colère et de haine contre les juifs (versets 154, 155, 156, 157) tandis que la sourate 62 verset 5 les compare à des ânes...

    - Concernant la liberté de culte :
    sourate 4 verset 89 : "(ceux qui quittent l'Islam) saisissez-les alors, et tuez-les où que vous vous trouviez."
    - Concernant la liberté de disposer de son corps :
    sourate 4 verset 19 (ou 15) : (les lesbiennes) "Retenez ces femmes dans vos demeures jusqu'à ce que la mort les rappelle (...)"
    etc...etc...J'arrête-là la litanie pour ne pas lasser...

    Ces quelques exemples suffisent amplement à justifier les actes de Mohamed MERAH et de tous ses partisans actuels...et futurs !
    Il me semble qu'ils amènent tout citoyen à se poser les questions suivantes :

    - Comment, en France, les maires peuvent-ils subventionner une religion s'appuyant sur de tels textes (en contournant les loi sur la laïcité !), sans au moins exiger en contre-partie la suppression des versets illégaux ? Simple ignorance, ou préoccupations clientélistes ?
    - Comment dans notre République laïque, les pouvoirs publics peuvent-ils puiser leur inspiration dans ce même texte scélérat pour les guider dans la gestion de notre société (prescription de repas sans porc, ou de viande hallal dans les cantines scolaires ou militaires, autorisation du voile islamique...) sans s'intéresser à l'ensemble du message véhiculé ?
    - Est-ce qu'un texte, sous prétexte qu'il sert de référence religieuse, a le droit de véhiculer les idées les plus abjectes et les plus contraires à notre démocratie ?

    (...)

    Par Cassandre - 31/03/12

    AGORAVOX

  • A Nice, Jean-Marie Le Pen explique comment Sarkozy "gonfle" les sondages de Mélenchon !


    Marine Le Pen en meeting vendredi à Nice pour... par BFMTV

  • "Si Sarkozy était réélu, la France serait en voie de disparition" - Interview de Marine Le Pen dans Nice-Matin

    Posté par le 31 mars 2012

     

    Marine Le Pen, candidate à l’élection présidentielle de 2012, a accordé un entretien à la rédaction du journal Nice Matin. La candidate qui se qualifie d’« exception française » aborde plusieurs sujets dont le déficit, la dette de la France, le statut d’autoentrepreneur, la moralisation de la vie politique, l’affaire Bettencourt.

    Vous réjouissez-vous du recul du déficit public à 5,2 % du PIB en 2011 ?
    Ce chiffre est une vaste escroquerie. Il n’intègre pas les plans de renflouement des différents pays, ni l’augmentation du Mécanisme européen de stabilité que Sarkozy veut monter à 1.000 milliards. C’est aussi une vaste escroquerie parce que la dette continue à s’enfoncer.

    Lire l’intégralité de l’interview

  • Essonne: des policiers pris pour cible dans la cité des Tarterêts

                          

    Archives - Un véhicule de la brigade anti-criminalité (BAC) circulait aux alentours de 19 heures dans cette cité réputée sensible quand il a été «chargé» par une trentaine d'individus qui ont lancé divers projectiles dont des parpaings, selon une source policière.

     Un véhicule de la brigade anti-criminalité (BAC) circulait aux alentours de 19 heures dans cette cité réputée sensible quand il a été «chargé» par une trentaine d'individus qui ont lancé divers projectiles dont des parpaings, selon une source policière.
     

     

    Une voiture de police banalisée a été prise pour cible par une «trentaine» de personnes vendredi dans la cité des Tarterêts à Corbeil-Essonnes (Essonne). Le véhicule de la brigade anti-criminalité (BAC) circulait aux alentours de 19H00 dans cette cité réputée sensible quand il a été «chargé» par une trentaine d'individus qui ont lancé divers projectiles dont des parpaings, selon une source policière.
     

    Un fonctionnaire de police a été «légèrement blessé» par des éclats de verre, qu'il a reçu dans les yeux. Des renforts ont été aussitôt envoyés sur place pour sécuriser les lieux et ont procédé à l'interpellation d'un suspect, vers 20 heures. Celui-ci qui est soupçonné d'être l'auteur principal des faits était en garde à vue samedi dans la matinée, a indiqué la source policière.

    LeParisien.fr   - 31/03/12

  • Hollande et Sarkozy dans le même panier pour The Economist

    François Hollande et Nicolas Sarkozy ne sont pas les hommes de la situation selon The Economist. L'influent hebdomadaire britannique du monde des affaires, estime que l'élection du candidat PS pourrait avoir des "conséquences dramatiques". La réélection du président présenterait elle aussi des "risques"

     
    Nicolas Sarkozy et François Hollande
     

    Pas sûr que François Hollande et Nicolas Sarkozy vont acheter The Economist cette semaine. Car l'hebdo n'est pas tendre avec les deux candidats à l'élection présidentielle. Pour lui, il n'y a pas de vainqueur entre les deux hommes. Il estime en effet que l'élection de François Hollande à la présidence pourrait avoir des « conséquences dramatiques », sans épargner Nicolas Sarkozy dont la réélection présenterait aussi des « risques », selon lui.

    Sous le titre « La France dans le déni », l'éditorial du numéro à paraître vendredi juge qu'il y a « plus inquiétant encore que la mauvaise foi » de l'un ou l'autre des candidats: « la possibilité qu'ils pensent vraiment ce qu'ils disent » dans leurs programmes. A l'attentisme prêté aux deux candidats face à la situation économique de la France qu'il juge « particulièrement sombre », The Economist oppose « la rafale de réformes » conduites en Italie, en Espagne ou en Grèce. « Une France léthargique et non réformée pourrait bien se retrouver au centre de la prochaine crise de l'euro », met-il en garde.

    "La France insouciante est sur le point d'être rattrapée par la dure réalité"

    « Il n'est pas inhabituel que des responsables politiques ignorent des vérités dérangeantes pendant les campagnes électorales mais il est inhabituel, ses derniers temps en Europe, qu'ils les ignorent aussi totalement que le font les hommes politiques français », assène le journal. « Et avec M. Hollande, qui, après tout, est encore le vainqueur le plus probable, cela pourrait avoir des conséquences dramatiques », assure-t-il. Si le « protégé » de François Mitterrand (en français dans le texte) était élu, il « pourrait s'apercevoir après quelques semaines, et pas des années, que les investisseurs fuient le marché obligataire » français, prévient The Economist.

    Quant au « nombre de gens aisés et de jeunes Français qui rejoignent la Grande-Bretagne (et son impôt sur le revenu à 45% maximum), il pourrait grimper rapidement », met-il encore en garde. Pour autant, The Economist n'épargne par le chef de l'Etat sortant. « Même si c'est Nicolas Sarkozy qui est réélu, les risques ne disparaîtront pas », poursuit son éditorial. « Il n'ira pas jusqu'à proposer quelque chose d'aussi stupide que de taxer à 75% (les revenus supérieurs à un million d'euros, comme François Hollande, NDLR) mais il n'envisage ni les réformes radicales ni la réduction structurelle des dépenses publiques dont la France aurait besoin », déplore le journal. Conclusion amère de The Economist: « La France insouciante est sur le point d'être rattrapée par la dure réalité, quel que soit le président ». Pas très encourageant...

    Actu France-Soir
  • Marine Le Pen appelle à dissoudre l'UOIF

     

    Marine Le Pen
    PARIS, 30 mars - RIA Novosti
     

    La candidate du Front national à la présidentielle française Marine Le Pen appelle à dissoudre l'Union des organisations islamiques de France (UOIF) et à interdire son congrès, qui doit avoir lieu du 6 au 9 avril au Bourget.

    "Marine Le Pen demande l'interdiction du rassemblement du Bourget. Marine Le Pen demande la dissolution de l'UOIF", lit-on dans le communiqué de la candidate, diffusé vendredi.

    Le gouvernement Fillon a interdit l'entrée en France de quatre prédicateurs islamistes qui voulaient prendre part au congrès de l'UOIF. Cette mesure a été adoptée jeudi à la demande du président Nicolas Sarkozy, qui avait interdit l'entrée sur le territoire français à des prédicateurs prenant pour cible permanente le système de valeurs républicain.

    Selon Mme Le Pen, cette décision des autorités montre qu'elles reconnaissent le caractère extrémiste, sinon terroriste, de l'UOIF. La candidate du Front nationale réclame pour sa part des mesures encore plus "drastiques contre l'islam radical".

    Selon le communiqué publié jeudi conjointement par les ministères des Affaires étrangères et de l'Intérieur, "Akrima Sabri, Ayed Bin Abdallah Al Qarni, Safwat Al Hijazi, Abdallah Basfar se sont vu refuser ou retirer la possibilité de se rendre sur le territoire français. Youssef Al Qaradawi et Ahmed Al Masri ont, quant à eux, renoncé à venir".

    RIA Novosti

  • La tombe des parents d'Hitler détruite en Autriche

     

     

    La tombe des parents d'Hitler détruite en Autriche

    © Photo: ru.wikipedia.org
     
     
         

     

    La tombe des parents d'Adolf Hitler a été détruite dans la ville autrichienne de Leonding pour empêcher les pèlerinages des néo-nazis, annonce la radio ORF se référant au prêtre local Kurt Pittertschatscher. La pierre tombale a été enlevée le 28 mars, tandis que les corps de Clara et Aloïs Hitler n’ont pas été exhumés. Selon le porte-parole du mouvement antinazis Robert Eiter, les pèlerins de plus en plus nombreux visitaient ces derniers temps la tombe.
     
     
    Voix de la Russie - 30/03/12
  • Dossier nucléaire: l'Iran se trouve de nouveaux alliés

     

    Dossier nucléaire : l’Iran se trouve de nouveaux alliés‏
     (Cliquez sur la photo) 
     
     

    30/03/2012 – 18h30
    PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) Alors qu’Israël maintient sa pression pour une intervention en Iran, de nouveaux éléments infirment la thèse d’un programme nucléaire militaire à des fins de produire des armes.

    Et ces éléments sont à prendre très au sérieux puisqu’ils émanent du Mossad et de la CIA. Les deux services de renseignement affirment je cite « qu’il n’y a pas de preuve que Téhéran possède un programme » selon une source du renseignement américain au New York Times. En outre, les multiples agences de renseignement américaines n’ont pu apporter la moindre preuve du développement de têtes nucléaires et de missiles.

    L’Iran a trouvé un nouvel allié en la personne de Hans Blix, ancien Directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique.
    « L’AIEA doit être prudente quant aux informations sur le programme nucléaire iranien qui reposent essentiellement sur les données d’Israël et des Etats-Unis », a déclaré M. Blix, dans un entretien accordé à la chaîne qatarie Al-Jazzera. Il ajoute : « Les Israéliens disent depuis de nombreuses années que l’Iran va mettre au point une bombe nucléaire sans pour autant pouvoir fournir des preuves ».

    En novembre 2011, Hans Blix s’était déjà fortement opposé à toute attaque militaire contre l’Iran.
    Selon Blix, je cite : « L’Iran ne menace personne. Ils n’ont aucun antécédent historique en terme d’agression, ni d’expansion. Ils ont énormément souffert au cours de la guerre contre l’Irak, pendant longtemps. Il n’existe par conséquent aucun signe d’agression ». Le journal britannique The Guardian a demandé à l’actuel chef de l’AIEA, Yukiya Amano, à ne pas emboîter le pas aux politiques des Etats occidentaux envers l’Iran. Dans son édition du vendredi 23 mars 2012, le quotidien britannique a critiqué les politiques adoptées par l’AIEA vis-à-vis de Téhéran et a accusé M. Amano de faire preuve d’une partialité exagérée en faveur de l’Occident en ce qui concerne le dossier nucléaire iranien.

     De son côté, Robert Kelly, scientifique américain, en tête de la délégation envoyée par l’AIEA en Irak, a confié au Guardian que les chancelleries occidentales étaient sur le point de commettre envers Téhéran les mêmes « erreurs » qu’elles avaient déjà commises en Irak.

    Photo : une vue de Téhéran. Crédit photo : Ehsan . Domaine public.
    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
  • Tareq Obrou: " Il faut que l'histoire de la France soit réécrite à la lumière de la présence musulmane"

        

    Tareq Oubrou : « Il faut que l’histoire de la France soit réécrite à la lumière de la présence musulmane »
     
     
    30/03/2012 – 16h30
    BORDEAUX (via Infos Bordeaux) —
    Dans une interview accordée à nos confrères de Libération, l’imam de Bordeaux, Tareq Oubrou répond à différentes questions au sujet des conséquences de l’affaire Mohamed Merah, du nom du meurtrier de confession musulmane, qui a défrayé la chronique ces derniers jours.

    Quand Alexandra Schwartzbrod (ancienne correspondante de Libération à Jérusalem) l’interroge sur sa responsabilité en tant qu’imam auprès des jeunes, celui-ci répond : « Je crois surtout que chacun doit assumer ses responsabilités. A commencer par l’école. Il faut que l’histoire de la France soit réécrite à la lumière de la présence musulmane aujourd’hui. Que ce soit en astrophysique, en mathématiques ou en philosophie, la contribution de l’islam à la civilisation occidentale est immense [NDLR : voir en réalité ce qu'il en est dans « Aristote au mont Saint-Michel : Les racines grecques de l’Europe chrétienne » ]. Cela permettrait aux jeunes de culture musulmane de se retrouver dans le programme enseigné à l’école et de ne pas se sentir stigmatisés » !

    Ainsi, pour que les jeunes musulmans ne se sentent pas stigmatisés par la société française, il faudrait « que l’histoire de la France soit réécrite ». Les rôles ne sont-ils pas inversés ? N’est-ce pas aux immigrés arrivant en France à s’adapter à la culture, aux valeurs et à l’histoire de France ?

    Membre de l’AMG, (Association des musulmans de Gironde) affiliée à l’UOIF (Union des organisations islamiques de France), Tareq Oubrou est également l’ancien président de l’association « Imams de France ».

    Branche des frères musulmans, l’UOIF (Union des organisations islamiques de France), connaît actuellement une nouvelle polémique concernant son congrès annuel, avec le refus du ministre de l’intérieur [dans un rétropédalage de circonstance] d’accorder un visa à l’un de ses prêcheurs vedettes, l’islamiste Youssef Al-Qaradaoui. Celui-ci qui est un des cheikhs les plus influents du monde musulman, recommande en effet l’extermination physique des homosexuels, la possibilité de frapper les femmes ou encore le meurtre des juifs.

    Dans un communiqué de presse, l’UOIF décrit l’islamiste Youssef Al-Qaradaoui comme « un homme de paix et de tolérance qui a œuvré pour l’ouverture et la modération et dont les positions ont toujours été en faveur de la justice et de la liberté des peuples« .

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
  • Six ans requis contre Adlène Hicheur, le physicien franco-algérien accusé de terrorisme

    PARIS (AP) — Un "terroriste en puissance" auquel il "ne manquait plus que la rencontre déterminante": le procureur de la République de Paris a requis six ans de prison vendredi soir à l'encontre d'Adlène Hicheur, l'ancien physicien du CERN jugé depuis la veille pour des échanges de mails avec un membre supposé d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI).

    Le jugement devait être mis en délibéré à l'issue des plaidoiries de sa défense.

    Pour Guillaume Portenseigne, l'instruction, puis le procès de l'enseignant-chercheur devant le tribunal correctionnel de Paris, n'ont fait que confirmer qu'Adlène Hicheur n'était pas "une victime de la lutte antiterroriste", comme l'affirme sa défense, "mais juste un homme qui avait tout pour réussir, un modèle d'intégration sociale, un modèle professionnel, mais qui s'est simplement fourvoyé dans l'islam radical djihadiste".

    L'ingénieur franco-algérien, âgé de 35 ans, est poursuivi devant le tribunal correctionnel de Paris pour "association de malfaiteurs en vue de préparer des actes de terrorisme". Il est incarcéré depuis son arrestation début octobre 2009.

    Rappelant que le physicien "n'a eu de cesse de modérer l'ampleur de son implication" sur les sites pro-djihadistes qu'il fréquentait, le magistrat a affirmé qu'il n'y avait pas eu de "manipulation" dans ce dossier. Et, selon lui, "Adlène Hicheur était un terroriste en puissance: il ne lui manquait plus que la rencontre déterminante pour basculer" dans le concret.

    Jeudi, ce ressortissant franco-algérien, docteur en physique des particules qui était détaché auprès du CERN à l'époque des faits, avait justifié le contenu de ces mails par un souci de santé. Il souffrait alors d'une hernie discale et traversait "une zone de turbulences". Cet argument a été balayé par le procureur de la République. "C'est faux": "ses messages sont "parfaitement cohérents" et la procédure a révélé, a-t-il estimé, "l'ancrage ancien dans l'idéologie radicale pro-djihadiste" du prévenu.

    Pour le procureur, Adlène Hicheur avait "une parfaite et totale connaissance de l'identité de son interlocuteur" et ne pouvait ignorer que l'AQMI était une des organisations terroristes "les plus meurtrières", "responsable de plusieurs centaines de morts".

    Au premier semestre 2009, les deux hommes ont échangé environ 35 mails, évoquant la réalisation d'attentats contre des cibles précises, comme le 27e bataillon de chasseurs alpins d'Annecy, à Cran-Gevrier, qui sera cité dans un message d'Adlène Hicheur. Quand son interlocuteur lui propose de participer à un attentat-suicide, l'ingénieur se dit "honoré" mais refuse, préférant "faire ce qui peut durer, même s'il s'agit (de) petits actes". Il n'exclut cependant pas, "si Dieu (le) garde en vie" d'organiser "une opération de Martyre sur un objectif vital des ennemis".

    Dans un texte datant du 21 juin 2009 mais qui n'a jamais été envoyé, il détaille sa "feuille de route", "un vade-mecum", a souligné Guillaume Portenseigne. "Adlène Hicheur y expose méthodiquement l'ensemble des conditions à remplir pour commettre un attentat", c'est "un conseiller technique en attentat".

    Le magistrat évoque également le compte Paypal qui aurait été créé par les deux hommes, des mails évoquant le transfert de fonds vers l'Algérie, l'acquisition d'une ligne de téléphone temporaire pour communiquer. "Il n'est plus possible de dire qu'il s'agissait d'un projet purement intellectuel, déconnecté de toute réalité. Tout est éminemment concret, avec une véritable vocation opérationnelle", lance-t-il. "Loin d'être un simple messager, Adlène hicheur a apporté ici sa pierre à l'édifice".

    En préambule, il avait appelé le tribunal à "mettre de côté le climat résultant du dossier (Mohamed) Merah", ce jeune homme abattu après les fusillades de Toulouse et Montauban. S'il serait "facile (...) d'exploiter cette peur", il a souligné qu'Adlène Hicheur était "jugé pour un projet terroriste, et non pour des actes qu'il n'a pas commis". AP

    ir/cov

    Nouvel OBS - 30/03/12