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Blog - Page 1265

  • "Pour que vive la France !" de Marine Le Pen - A lire sans modération !

     

    Marine Le Pen a la France chevillée au coeur. Dans son dernier livre, Pour que vive la France, la candidate à l’élection présidentielle revient sur ce qu’est véritablement le mondialisme et les méfaits qu’il engendre pour le peuple français, ce mondialisme tant vanté par nos élites et qui n’a rien d’humaniste.

    Marine Le Pen, dans la première partie de son livre, dresse un portrait sans concession de la situation actuelle et explique tous les mécanismes qui ont amené la France, là ou elle est, surendettée et perdant sa souveraineté.

    Mais ce livre n’est pas qu’un constat, Marine Le Pen explique sa vision de la France et ce qu’il faut faire pour sortir la nation de ce gouffre dans lequel l’ont plongé 40 ans de mauvais choix.

    Comme Marine Le Pen l’écrit dans son ouvrage : « Démonter les rouages d’une machine à broyer les peuples, c’est le premier pas nécessaire d’un vrai changement et, j’ose le dire, d’une révolution, de la vraie révolution pacifique et démocratique que notre pays est en droit d’attendre ».

    A lire sans modération !

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    NdB:  je l'ai acheté, je l'ai lu et  je vous le conseille!

  • Halal: pour le député de l'Aube Nicolas Dhuicq, Marine Le Pen est "proche de la réalité"

    Lors de la convention du Front national à Lille ce week-end, la présidente et candidate à la présidentielle, Marine Le Pen, affirmait que « l'ensemble de la viande qui est distribuée en Île-de-France, à l'insu du consommateur, est exclusivement de la viande halal. » Une affirmation qui ne surprend pas le député de la première circonscription de l'Aube, Nicolas Dhuicq, auteur d'une proposition de loi relative à ce sujet. « À mon avis, elle est proche de la réalité », confie-t-il.


    Lors du dépôt de sa proposition de loi devant l'Assemblée nationale le 18 novembre 2010, le député avait pointé un défaut dans l'information du consommateur quant au mode d'abattage des animaux. « En réalité, une part importante des viandes issues d'un abattage rituel sont commercialisées dans le circuit traditionnel sans qu'il soit fait mention de cette caractéristique », avait-il affirmé.

    « En France, entre 1/3 et 2/3 de la viande consommée est issue de la filière certifiée d'abattage rituel, tandis que le nombre des consommateurs potentiels représente tout au plus 1/10e de la population française. Selon une étude de la Direction générale de l'alimentation (DGAL), en 2007, en France, sur 10 millions d'animaux abattus, 32 % l'ont été par abattage rituel, chiffre qui s'élève à près de 50 % pour les ovins caprins », dit-il, sous-entendant que le chiffre a augmenté depuis.


    L'Est Eclair - 22/02/12

  • Après Auschwitz, les collégiens de Monnet armés pour faire leur "devoir d'histoire" et signaler les négationnistes

    mardi 21.02.2012, 05:13 - La Voix du Nord

     C'est bien évidemment la visite du camp d'Auschwitz qui a le plus marqué les élèves durant leur séjour, il y a quinze jours.
     
    C'est bien évidemment la visite du camp d'Auschwitz qui a le plus marqué les élèves durant leur séjour, il y a quinze jours.

    |  LES VISAGES DE L'ACTUALITÉ |

    Début février, une trentaine d'élèves de 3e du collège Jean-Monnet de Caudry partaient en Pologne. Objectif de ce séjour pédagogique : se confronter à l'horreur concentrationnaire, « voir pour savoir », notamment en passant une journée dans les deux camps d'Auschwitz. Une semaine après le retour en France, l'émotion, à défaut d'être retombée, a pu décanter dans les jeunes esprits. Hier matin, leurs enseignants les ont réunis pour reparler de ce qu'ils ont vu, ressenti et compris.

    PAR HÉLÈNE HARBONNIER

    caudry@lavoixdunord.fr PHOTO REPRO « LA VOIX »

    « On a dû se lever tôt ! » En s'installant autour des tables dans le centre de documentation de l'établissement, les élèves attaquent le « debriefing » de leur séjour en Pologne sur un mode un peu blagueur. « Il n'y a que ça que vous ayez retenu ? », interroge Frank Gilson, le professeur d'histoire-géographie du collège Jean-Monnet de Caudry qui a porté ce projet pédagogique, tout en ramassant les « devoirs » qu'il a demandés au retour du voyage à la trentaine de troisième qui ont participé.

    Oh que non, les collégiens n'ont pas retenu que le départ de Caudry aux petites heures du matin ni même le froid de glace de l'hiver polonais, qu'ils n'ont pas mentionné hier matin au nombre des souvenirs qui les ont le plus marqués. Les visites programmées avant Auschwitz, au musée de la Vieille Synagogue, dans la vieille ville de Cracovie et dans le « ghetto » juif... ont laissé des traces dans ces jeunes esprits. Mais c'est bien sûr le camp de la mort et sa méthode d'extermination massive et industrielle qu'ils ont évoqués, hier. Au soir des six heures de visite, d'ailleurs, un « atelier parole » avait permis d'exorciser quelques-unes des dures images engrangées là-bas.

    Des images parmi lesquelles celle de ces deux tonnes de cheveux, où gisent des tresses oubliées. En général, ce sont les traces des enfants qui périrent à Auschwitz qui reviennent sur les jeunes lèvres en ce lundi matin ensoleillé. Le groupe a été tout particulièrement frappé, en faisant à pied le chemin qui était celui des déportés, d'Auschwitz I à Auschwitz II, en retrouvant Sarah, cette petite fille découverte dans la tiédeur d'une classe à Caudry, dont la photo a été replacée en plein bois, là où elle avait été prise, non loin peut-être de l'endroit où Sarah périt. Il y a aussi ces fiches, portant nom, prénom et les raisons invoquées pour l'enfermement, mettant une vie sur les victimes innombrables. Oui, s'il est si crucial de conserver les deux tonnes de cheveux et la couverture qui en a été tissée, ainsi que l'a récemment révélé un test ADN, c'est parce que derrière, « il y a des vies », souffle sobrement Océane. Plus question de rire dans le CDI, les visages des ados sont devenus graves.

    Une immense victoire pour Frank Gilson. Pas parce que le voyage a ému ses élèves - « le but n'était pas de vous faire pleurer » - mais parce que l'empathie créée par la confrontation avec les lieux leur a permis d'en comprendre l'histoire. Et de placer ce triste « événement » que constitua le système concentrationnaire, dans un « temps long ». Au regard du passé, comme conséquence de toute une série de facteurs parmi lesquels, et non des moindres, un antisémitisme généralisé. Et au regard de l'avenir. « Si vous êtes confrontés à un négationniste, vous avez le devoir de le signaler. Ne pas le dire, c'est être complice. Vous y êtes allé, vous avez aussi un devoir de citoyen. » Ils ont vu, ils savent, en cela ils ont fait « devoir d'histoire », une étape importante pour que « devoir de mémoire » ne soit pas qu'une expression.

    Ce garçon le sait bien, répondant au prof qui demande pourquoi il faut préserver les cheveux, les blocks, les bijoux, les objets comme autant de vestiges laissés sous la neige par des hommes et femmes emmenés à la mort : « Parce que c'est une preuve. » 

  • Afghanistan: les émeutes s'étendent et deviennent meurtrières

    Pour le deuxième jour d'affilée, les manifestations violentes se poursuivent en Afghanistan. Lancées mardi après des accusations contre des soldats américains soupçonnés d'avoir brûlé des exemplaires du Coran, elles ont fait ce mercredi plusieurs morts ; des blessés ont aussi été signalés lorsque la police a riposté à des jets de pierre dans un faubourg de Kaboul. Aux cris de "Mort à l'Amérique", "Mort à Obama", et et "Mort à Karzaï", de violentes émeutes ont éclaté dans la capitale, mais aussi à Jalalabad, dans l'est, qui abrite également une importante base militaire de la force internationale composée pour plus des deux tiers de ses troupes de soldats américains. L'ambassade des Etats-Unis dans la capitale afghane a indiqué que son personnel devait rester à l'abri et que tous les déplacements étaient suspendus. Les médias locaux rapportent que des manifestations ont également commencé à Herat dans l'ouest, région considérée comme l'une des plus stables de l'Afghanistan en guerre.

    Le chef du Pentagone, Leon Panetta, et avant lui le commandant de la force de l'Otan en Afghanistan (Isaf), le général américain John Allen, ont rapidement présenté des excuses, cherchant à étouffer dans l'oeuf les violentes réactions antiaméricaines au moment où Washington tente d'ouvrir au Qatar des négociations de paix avec les talibans et poursuit le retrait de ses troupes combattantes, censées avoir quitté le pays fin 2014.

    Les soldats américains de obligés de tirer en l'air

    A Kaboul, une foule en colère a bombardé de pierres la base américaine de l'Isaf Camp Phoenix, incendié des voitures et attaqué des boutiques adjacentes. La police afghane anti-émeute a vite été débordée, avant d'envoyer des renforts. Les soldats américains de Camp Phoenix ont dû tirer en l'air pour tenter de disperser les émeutiers. Au moins un manifestant a été tué et 11 autres blessés par balles, a assuré un responsable du ministère de la Santé. Le porte-parole de la police de Kaboul, Ashmat Estanakzaï, a affirmé que les policiers n'ont pas ouvert le feu, mais indiqué que "les manifestants étaient devenus très violents après qu'ils eurent attaqué Camp Phoenix". Trois protestataires ont aussi été tués dans la province de Parwan, au nord de Kaboul. A Jalalabad, la foule a également marché en direction de la grande base militaire de l'Isaf tenue par les Américains et un groupe d'étudiants a brûlé un portrait du président Barack Obama. Selon un médecin de l'hôpital de Jalalabad, un jeune manifestant a été tué et des responsables de la sécurité ont indiqué que 11 autres avaient été blessés par balles.

    Les profanations du livre saint de l'islam, ou des actes considérés comme blasphématoires par les musulmans et commis par des soldats étrangers surviennent périodiquement en Afghanistan, quand il ne s'agit pas tout simplement d'actes de violence contre la population. Ce qui déclenche généralement des manifestations violentes. Début janvier, une vidéo de quatre marines américains urinant sur des cadavres de talibans présumés a été mise en ligne, provoquant une polémique énorme, finalement non suivie d'effets, aucune manifestation ne s'étant tenue à Kaboul ni ailleurs en Afghanistan. Quelques jours plus tard, un militaire afghan ayant tué 4 soldats français et blessé 15 autres, qui l'entraînaient, a toutefois justifié son acte par le visionnage de cette vidéo.

    Une autre vidéo, montrant des soldats anglais demandant à des enfants afghans de leur toucher le sexe à travers leurs treillis avait également "dégoûté" le gouvernement afghan, sans pourtant provoquer des troubles à l'ordre public. En revanche, en avril dernier, des manifestations s'étaient déroulées pendant trois jours en Afghanistan contre un pasteur américain, Terry Jones, qui avait brûlé intentionnellement un Coran en Floride. Onze personnes, dont sept employés étrangers de l'Onu, avaient été tuées quand des manifestants avaient envahi un complexe des Nations unies à Mazar-i-Sharif, dans le nord de l'Afghanistan. Lors d'une autre émeute survenue à Kandahar, la grande ville du Sud, neuf personnes avaient péri et plus de 80 autres avaient été blessées.

    TF1 News - le 22 février 2012
  • Une plante à fleurs vieille de 32 000 ans ressuscitée par des scientifiques russes

    Une plante vieille de 32 000 ans ressuscitée par des chercheurs russes

    Des graines probablement stockées il y a environ 31 800 ans par un rongeur, enfouies dans le permafrost et découvertes par des chercheurs en Russie ont redonné naissance à une plante datant de l’ère glaciaire

    Des scientifiques russes ont réussi à faire pousser une plante vieille de plusieurs dizaines de milliers d’années à partir de graines découvertes dans le permafrost en Russie.

    Alors que nous peinons à préserver de nombreuses espèces – de notre ère – actuellement menacées d’extinction, des scientifiques russes ont réalisé un exploit, parlons même de miracle, en ressuscitant une plante à fleurs disparue depuis des milliers d’années. Plus précisément, Silene stenophylla – de son nom scientifique – caractérisée par de jolies corolles blanches et qui date de la dernière glaciation.

    C’est dans un terrier d’écureuils fossilisé en Sibérie qu’une équipe de chercheurs de l’Académie des Sciences de Russie a découvert des graines âgées d’environ… 31 800 ans. Enfouies à 38 mètres de profondeur, elles ont été conservées jusqu’à ce jour dans le permafrost, expliquent les experts dans leur étude, récemment publiée dans la revue scientifique américaine Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS).

    Prélevées à une température de – 7 degrés celsius, les graines ont été si bien conservées qu’elles sont restées viables. « Les écureuils creusent dans le sol congelé pour faire leur terrier, d’une taille avoisinant celle d’un ballon de foot, et y mettent d’abord du foin puis de la fourrure animale (…) Une véritable cryobanque naturelle », décrypte Stanislav Gubin, l’un des auteurs de l’étude, interrogé par nos confrères du Guardian.

    Si ces graines n’ont pas pu germer directement, les scientifiques sont tout de même parvenus à faire pousser des plants de Silene stenophylla en récupérant du tissu placentaire. Utilisant des hormones de croissance, ils ont fait croître des pousses qu’ils ont ensuite plantées en pots et gardées sous une température et une lumière contrôlées en laboratoire. Au total, ils ont obtenu « le plus ancien organisme vivant, viable et multicellulaires » jamais recensé selon les auteurs de l’étude.

    Zegreenweb - 22/02/12

  • Des éleveurs réclament le choix du mode d'abattage en Ile-de-France

    La Chambre d’agriculture d’Ile-de-France a confirmé mardi que 100% de la viande abattue en Ile-de-France l’était selon les traditions musulmane et juive.

    Un éleveur témoigne de la difficulté à faire abattre ses « limousines » sans passer par des abattoirs halal / casher.

    Contre-info.com - 22/02/12

     

  • Marine Le Pen/ Le Matin Dimanche (Suisse) : " Le Front National défend la votation populaire depuis trente ans "

     

    Lors de son entretien avec Le Matin Dimanche (hebdomadaire francophone basé à Lausanne), Marine Le Pen a mis les points sur les i pour de nombreux sujets d’actualité et a également tordu le cou à plusieurs idées reçus sur le Front National.

    Votre arrière-grand-mère était de nationalité suisse. Quels rapports entretenez-vous avec notre pays ?

    J’y ai souvent rejoint mon père au bord du lac ou pour faire du ski dans des stations comme Crans-Montana, et j’en garde d’excellents souvenirs. Mais si j’aime la Suisse, cela n’a rien à voir avec mon arrière-grand-mère : je trouve simplement que c’est un pays splendide. Et bien sûr, c’est son système référendaire qui m’attire.

    Voulez-vous copier le modèle suisse ?

    Le Front National (FN) défend la votation populaire depuis trente ans, avec une belle persévérance. Et nous faisons même des émules, puisqu’elle est devenue un vrai thème de campagne… Le FN réclame un système d’initiative populaire qui, compte tenu de la population, devrait être demandé par 500.000 personnes. Je crois que c’est à peu près ce qui se fait en Italie et cela me semble correct. Entre la Suisse qui a une tradition systématique du recours au référendum et la France qui n’en a pas, il y a un juste milieu à trouver – encore faut-il respecter l’avis de ceux à qui on demande leur opinion.

    En Suisse, certaines votations sont difficiles à appliquer car elles sont contraires au droit international. Ce pourrait aussi être le cas de la peine de mort, que vous voulez proposer aux Français. N’est-ce pas un problème ?

    Rien n’est supérieur au peuple. Dans ce cas, il n’y a qu’à sortir de la convention qui nous contraint. Les traités internationaux n’ont aucune légitimité par rapport au peuple.

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  • Sarkozy et la proportionnelle: l'idée d'une réforme avant juin est écartée! Il ne fallait pas se faire d'illusions ...

    Le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, a assuré, mardi 21 février après-midi, à l'Assemblée nationale, que les prochaines élections législatives se dérouleraient "en application des textes actuels", excluant tout ajout d'une part de proportionnelle d'ici là.

    Plus tôt dans la matinée, lors du petit déjeuner de la majorité, Nicolas Sarkozy avait récusé une telle réforme applicables pour les législatives de 2012, selon des participants joints par Le Monde. "Quand j'ai parlé de cela, ce n'était pas pour les élections à venir, a-t-il déclaré. Ceux qui évoquent l'hypothèse d'un changement pour les prochaines élections ne sont pas autorisés à le faire, c'est une stupidité."

    Le chef de l'Etat, selon ces participants, visait ainsi ceux qui dans son propre entourage, ont répandu la rumeur d'une mise en place de cette réforme avant juin 2012.

    Pourtant, en début d'après-midi, Nicolas Sarkozy, interrrogé par Le Monde en marge d'un déplacement en Poitou-Charentes, a démenti avoir tenu de tel propos, affirmant que sa décision n'était pas prise sur la date de mise en place de sa réforme sur la proportionnelle. Il a ajouté qu'il aurait l'occasion d'évoquer le sujet mercredi soir, sur France 2.

    "IMPOSSIBLE, INIMAGINABLE"

    Comme Claude Guéant, Bernard Accoyer a lui aussi formellement exclu l'instauration d'une dose de proportionnelle pour les prochaines élections législatives de juin. "C'est impossible, inimaginable", a répondu le président (UMP) de l'Assemblée nationale, interrogé sur cette hypothèse après la proposition évoquée par Nicolas Sarkozy, dimanche à Marseille, de corriger "à la marge" le mode de scrutin.

     

    "Il n'est pas possible de modifier le mode de scrutin dans l'urgence, a insisté M. Accoyer. Il est totalement déraisonnable d'envisager un changement avant les élections de juin. J'écarte totalement un tel scénario. Prétendre que l'on peut faire autrement n'a pas de sens."

    Le président de l'Assemblée a par ailleurs appuyé la proposition présidentielle de réduire le nombre de parlementaires. "La France compte 999 parlementaires : 577 députés, 348 sénateurs et 74 députés européens. Ça fait beaucoup. Il y a une nécessité de moderniser le pays et d'optimiser le fonctionnement des institutions. Cette hypothèse est légitime", a-t-il déclaré, rappelant que c'était François Mitterrand qui avait augmenté de 86 le nombre de députés "pour faire passer la proportionnelle en 1986". M. Accoyer s'est félicité que "le président [ait] donné cette orientation", avant de se reprendre pour convenir qu'il s'agissait du "candidat" Sarkozy.

     

    PROPOSITION DE DEUX DÉPUTÉS DE LA DROITE POPULAIRE

    Lundi, en recevant des représentants de la presse parlementaire, le ministre chargé des relations avec le Parlement, Patrick Ollier, avait lui aussi jugé "impossible" de modifier le mode de scrutin avant les législatives de juin. "Nicolas Sarkozy est dans cette réflexion, il a envie de donner cette respiration. L'intention politique est clairement établie. Comment il a envie de le faire, je ne le sais pas. Ce que je sais, c'est que c'est impossible de le faire avant juin", a estimé le ministre.

    Pourtant, dans la matinée, deux députés de la Droite populaire, Richard Mallié et Philippe Meunier, avaient annoncé le dépôt d'une proposition de loi instaurant une dose de proportionnelle pour les élections législatives, qui concernerait 40 députés de Paris, Lyon, Marseille et des représentants des Français de l'étranger. "C'est possible dès juin 2012", estiment-ils. Pourtant, il y a peu de temps disponible  : les travaux parlementaires devraient être suspendus aux alentours du 7 mars en vue des campagnes présidentielle et législatives.

    Patrick Roger

    Le Monde - 21/02/12

  • Marseille Insécurité - Le gang des kidnappeurs frappe encore sur le Prado dans les parkings souterrains

    En trois jours, trois jeunes femmes ont été braquées et enlevées. Inquiétant

    C'est devant l'un de ces box, dans la résidence Prado Verde, avenue du Prado, que l'infirmière a été enlevée. Elle n'a été libérée que 7 heures plus tard, à Brignoles (Var).

    C'est devant l'un de ces box, dans la résidence Prado Verde, avenue du Prado, que l'infirmière a été enlevée. Elle n'a été libérée que 7 heures plus tard, à Brignoles (Var).

    Photo PATRICK NOSETTO

    Deux voitures identiques, trois victimes similaires, dans un rayon de quelques dizaines de mètres et selon un mode opératoire équivalent. Comment ne pas imaginer que les mêmes malfaiteurs n'ont pas sévi à deux reprises, mercredi et samedi dernier, dans le quartier du Prado (8e), en agressant des jeunes femmes, dans des circonstances qu'on imagine insupportables pour les victimes ? Même si elles ont été libérées, les trois se trouvent encore en plein désarroi après leur terrible expérience.

    Il s'agit de deux jeunes filles de 20 ans et d'une infirmière de nuit de 30 ans qui ont vécu précisément les mêmes minutes d'angoisse, après avoir été braquées et séquestrées, dans leurs propres voitures. Un cauchemar qui s'est répété dans deux parkings souterrains, dans des résidences privées. Mercredi (notre édition du 17 février), les faits s'étaient déroulés sous la tour du Grand Pavois, au moment où les deux victimes, 20 ans chacune, venaient de quitter leur véhicule, une Opel Corsa. Forcées de remonter dans la voiture par les deux braqueurs, masqués, elles avaient roulé vers l'autoroute, avant d'être libérées à proximité de l'hôpital Sainte-Marguerite (9e).

    Les malfaiteurs ont projeté la victime dans le coffre de sa voiture

    Samedi soir, aux environs de 23h, un scénario équivalent s'est reproduit dans la résidence Prado Verde, sur le Prado, non loin du rond-point. La victime, une infirmière qui vient d'achever son service, pénètre dans son parking souterrain pour garer son Opel Corsa. Deux hommes, les visages cachés par des masques de carnaval la menacent avec une arme de poing. Elle crie, elle hurle même. Pour la faire taire, les malfaiteurs la projettent alors dans le coffre. Ils quittent les lieux. Avec un soupçon d'humanité, ils consentent à la faire revenir dans l'habitacle, sur la banquette arrière, surveillée par l'un des braqueurs. Après avoir emprunté l'autoroute, les agresseurs vont s'arrêter à plusieurs reprises, pour retirer de l'argent. Le périple, interminable, dure jusqu'à six heures du matin. Les deux hommes abandonnent finalement la jeune femme à Brignoles (Var). Sans argent, sans téléphone, elle se réfugie en état de choc dans un hôtel, où elle peut enfin appeler ses proches et donner l'alerte.

    D'abord prise en charge par les gendarmes, elle est finalement interrogée par des policiers marseillais venus à sa rencontre. Son compagnon l'a ramené à Marseille, où elle a raconté son calvaire aux enquêteurs, dimanche. Depuis, sa voiture, comme celle de la précédente agression, reste introuvable. La Sûreté départementale, qui fait évidemment le lien entre les deux affaires, continue de reconstituer le parcours des agresseurs, notamment grâce aux systèmes de vidéosurveillance des distributeurs de billets. Un préalable pour tenter de localiser au plus vite ces individus au redoutable profil.

    La Provence - 21/02/12

     

     
  • Bruxelles - Inauguration discrète du Parlement juif européen en février 2012

    La séance inaugurale du Parlement juif européen (non traduite ) s'est déroulée devant 120 membres le 16 février 2012  (vidéo 1)

     

  • "Rencontre des cultures" - Un curé breton part en guerre contre une exposition vaudou

    Le maire de Pommerit-Jaudy, petit village des Côtes-d'Armor, compte organiser une exposition de masques vaudous dans la chapelle. De quoi rendre furieux le curé, qui menace de ne plus jamais y célébrer la messe.

    Un curé qui s'oppose au maire du village. La situation ne se retrouve pas seulement dans Don Camillo. Comme le raconte le Télegramme, elle est bien réelle dans le village breton de Pommerit-Jaudy, situé dans les Côtes-d'Armor.

    Du 2 mars au 6 avril, quelque 150 masques, statues, instruments de musique, parures et objets dédiés à l'animisme et au culte vaudou doivent être exposés dans la commune, en trois lieux différents . Jusque là, tout va bien.

    Le problème, c'est que parmi les lieux retenus figure la chapelle Saint-Antoine. Et lorsque le curé de Tréguier, l'un des villages alentours, l'a appris dans la presse, son sang n'a fait qu'un tour. Si le maire persiste à vouloir organiser l'exposition dans sa chapelle, il n'y célèbrera plus la messe. Plus jamais. «C'est la seule manière d'agir pour moi, puisque la chapelle appartient à la commune!» a-t-il déclaré au Figaro.«J'ai le droit de refuser d'y célébrer le culte catholique, dès lors que s'y déroule une activité jugée incompatible avec notre foi», martèle le père Roche qui a envoyé une lettre au maire, disponible sur le site de sa paroisse.

    «Le maire s'est fait avoir»

    Sa conviction, c'est que «le maire s'est fait avoir». «On lui a fait croire à une expo d'art ancien», pense-t-il. Mais «les sorciers vaudous ont toujours été des adversaires très agressifs des missionnaires catholiques». Il ajoute avec force:«la religion vaudou, idolâtrique, est une religion païenne, encore très active dans certaines régions du monde où elle conduit à commettre de véritables actes de barbarie». Et de lancer: «M. le maire accueillerait-il une expo de scientologie?».

    Les paroissiens le savent. Le bras de fer pourraient notamment compromettre la messe au pardon religieux Saint-Antoine, manifestation très appréciée et prévue le 9 septembre prochain. Mais le maire a choisi de ne pas se laisser impressionner. Contacté par le Figaro, il confie: «S'il n'y a pas cette année de messe au pardon, c'est son choix. Mais le pardon aura bien lieu, avec ou sans messe». Selon lui, la cohabitation de la messe et de l'exposition est tout à fait possible, d'autant que l'expo viserait à la rencontre des cultures. «Je maintiens ma position, il a choisi la sienne», tranche-t-il. Pour le moment, la réconciliation semble bien incertaine.

    Le Figaro- 22/02/12

  • Parrainages - Brigitte Bardot appelle tous les maires "courageux" de France à parrainer Marine Le Pen

     

     (Cliquez sur la lettre de Brigitte Bardot pour l'agrandir)

    La Madrague – Brigitte Bardot écrit la lettre suivante en date du 20 février 2012 et publié dans le journal Nice-Matin :  Lire la suite de cet article »

  • Déni de démocratie, manipulation(s) de l'opinion, le Système se serre les coudes

    22 février 2012

    Marine Le Pen présidait hier un colloque à Paris, espace Moncassin, sur l’Europe des nations, qui a rappelé de belle manière que ce n’est pas « l’Europe » que le FN rejette mais sa liberticide et impuissante caricature mondialiste bruxelloise.

     Une réunion qui survient quelques jours après que Bruno Gollnisch ait vu ses démarches et efforts couronnés de succès puisque l’Alliance européenne des mouvements nationaux» (AEMN) qu’il préside depuis sa création en 2009 et qui regroupe neuf formations dont le British national Party et Jobbik, a vu son statut de parti politique validé lors de la session plénière de la semaine du 13 février du Parlement européen. Mais les médias ont surtout évoqué hier la décision rendue par les «sages » sur la question de l’anonymat des parrainages.

    Ce serait mentir de dire l’inverse, le refus du Conseil constitutionnel d’accéder à la demande déposée par Marine (et soutenue par Corinne Lepage et Christine Boutin) de garantir cette confidentialité des signatures, souhait partagé par une très large majorité de Française et d’élus n’a pas été une surprise. Le système est bien verrouillé…

     Le business des sondages aussi, puisque si l’on croit le dernier en date, réalisé par le CSA portant sur la présidentielle, François Hollande recueillerait 28% des suffrages au premier tour, Nicolas Sarkozy 27%, Marine Le Pen 17% (en légère baisse de -0,5%), François Bayrou 11% (-2), Jean-Luc Mélenchon  9% (+1). Les autres candidats oscilleraient entre 0,5% et 3%.

    Questionnés sur l’entrée en campagne du président sortant et les thèmes développés à cette occasion, 46% des sondés estiment que celle-ci était «mauvaise » et 56% que les propositions du candidat « ne correspondent pas » à la politique qu’il a menée à l’Elysée. En outre,  58% le trouvent « plutôt pas convaincant » même si 64% sont favorables à cette vieille revendication du FN reprise par M Sarkozy à savoir l’introduction (certes limitée) d’une part de proportionnelle pour les législatives,

    Au sujet de ces fameux sondages, il convient plus que jamais de pratiquer la vertu du doute, car ils sont aussi une arme dont se sert le Système pour asseoir son discours et sa position dominante. Il y a incontestablement une volonté de prouver que l’écart se creuserait inexorablement entre Nicolas Sarkozy et la présidente du FN. Il s’agit de décourager les électeurs susceptibles de voter pour elle et d’ancrer l’idée qu’elle n’a aucune chance d’être élue.

    Or, dans les faits constate Bruno Gollnisch, seule la candidate de l’opposition nationale peut remettre en cause le scenario d’un « affrontement » final entre le candidat de l’UMP et du PS, cas de figure plébiscité par les « élites » politico-financières, les cénacles mondialistes, et les officines diverses et variées qui vivent grassement sur le dos des Français.

    Dans sa lettre confidentielle d’information, Faits & documents (seconde quinzaine de février) Emmanuel Ratier s’arrête longuement sur cette question de la manipulation des sondages, et a été interrogé sur ce point par Henry de Lesquen l sur Radio Courtoisie le 13 février. M. Ratier affirme en effet que Marine Le Pen est quasiment à égalité avec le président-candidat si l’on se fie aux « données brutes » des enquêtes (c’est-à-dire non redressées par des calculs avant publication) voire à égalité avec Nicolas Sarkozy comme l’a avoué Maurice Szafran dans Marianne. « Le spectre d’un 21 avril à l’envers devient une hypothèse. »

    Or, « par un tripatouillage qualifié de redressement, les sondeurs arrivent à un résultat tout à fait différent », creusant au bénéfice du premier un écart de sept, huit ou dix points sur la seconde. « Sans aucune honte, les sondeurs prétendent en effet qu’il est désormais plus facile de dire qu’on vote pour Marine Le Pen que pour Nicolas Sarkozy qui serait donc sous-évalué dans les sondages. ». Pour justifier ce redressement qu’ils estiment nécessaire eu égard à cette pseudo difficulté d’avouer un vote Sarkozy, les sondeurs se basent sur le fait que ce dernier ne retrouve pas dans ces enquêtes les résultats qui étaient les siens en 2007…

    Or, au regard des difficultés rencontrées par Marine pour recueillir les signatures de maires, comparées à une Eva Joly « ou à un Nicolas Sarkozy qui en aura 15 000 », cette hypothèse d’une facilité plus grande à avouer un vote Marine que Sarkozy n’apparaît pas très sérieuse.

    Aussi, « cette abracadabrante distorsion est telle que le FN va certainement demander à la commission des sondages d’accéder à l’intégralité des sondages suspects et en particulier aux donnés brutes afin de démonter cette vaste manipulation. »

    Emmanuel Ratier base son analyse sur une enquête minutieuse a-t-il expliqué, sur le fait qu’il a eu accès aux fameuses données brutes des enquêtes, sur les témoignages recueillis auprès « d’amis », « travaillant soit à Matignon soit à l’Elysée », de « plusieurs personnes travaillant à haut niveau dans les instituts de sondage », « de responsables de services politiques dans de grands journaux… ». Or ces personnes « disent toutes la même chose, Marine Le Pen est extrêmement haute dans les sondages…ce qui explique d’ailleurs la stratégie de l’Elysée »

    Et MM. Lesquen et Ratier de tomber d’accord sur l’obligation qui devrait être faite de publier les données brutes des sondages. Enfin, M Ratier a relevé notamment que l’échantillon sur lequel porte une enquête est trop petit pour donner un chiffre et qu’il s’agirait plutôt de donner une fourchette. Des évidences qui ne sont pas prés d’être admises n’en doutons pas…

    Blog de Bruno Gollnisch

  • Trop tard ? Halal, un symptôme

     

    Que de nombreux Français, notamment en Ile-de-France, consomment de la viande halal à leur insu, est une évidence mise en lumière la semaine dernière par un reportage d’Envoyé spécial sur France 2 et énoncée en toute vérité par Marine Le Pen en marge de la Convention de Lille. C’est-à-dire que sans le savoir,  des consommateurs contribuent à financer « l’islam de France », sachant que seules trois mosquées sont habilitées à délivrer des cartes de sacrificateur religieux : la grande mosquée de Paris, la mosquée de Lyon et d’Evry-Courcouronnes. Rappelons en effet que la certification halal est principalement  une taxe religieuse, prélevée dès l’abattage, d’un montant  de 10 à 15 centimes d’euros par kilogramme de viande. En France, des arrêtés publiés en 1994 et 1996 ont agréé les trois mosquées pré-citées  en tant qu’organismes religieux  autorisés  également à percevoir la taxe islamique liée au halal.

    Le tollé suscité par ce constat de Marine et du FN, notamment  les dénégations maladroites  de Claude Guéant, de Nicolas Sarkozy ce matin en visite à Rungis, ou du calamiteux ministre de l’Agriculture Bruno Le Maire,  sont  révélatrices du climat hypocrite dans lequel nous vivons.

    Sur RTL hier, « Jean-Paul », « boucher en grande distribution », expliquait qu’il recevait de la viande étiquetée halal, qu’il revendait en non halal . « Que voulez-vous qu’on fasse ? Les Musulmans mangent principalement les avants de bœufs. Donc qu’est-ce qu’on fait de l’arrière ? On le met à la poubelle ou on le met dans le circuit normal ? (…) Business is business ».

    « En Ile-de-France, il n’y a plus un seul abattoir qui ne soit pas halal (un abttoir de porcs). Toute la viande consommée en Ile-de-France est exclusivement halal sans que les consommateurs en aient connaissance » expliquait pour sa part Marine. Dans un courriel reçu hier, « Mohammed », un internaute sympathisant du FN,  indiquait de son côté   que « la communauté musulmane n’est pas responsable de la politique commerciale pratiquée par les abattoirs…qui ne sont pas présidés par des personnes de confession musulmane. »

    « Ce sont les trois abattoirs d’Ile-de-France même qui ont décidé de pratiquer un abattage rituel afin d’élargir leur profit poursuivait-il.Les raisons économiques sont les suivantes:On saute un process dans la chaîne de production qui est l’étourdissement de la bêtes, cela évite de créer une chaîne de production supplémentaire (un coût en moins), et cela élargit leur clientèle… »

     Le site de l’hebdomadaire Marianne a interrogé plusieurs experts qui confirment le caractère systématique de l’abattage selon les coutumes mahométanes. « Selon Gilbert Mouthon, professeur à l’Ecole Vétérinaire de Maison Alfort (94) et expert auprès des tribunaux, pour des raisons économiques, tous les animaux abattus en Ile-de-France le sont selon les techniques halal. Et le phénomène est en train de gagner toute la France, où on estime que 80% des moutons sont abattus selon les méthodes halal ».

    « Le principe est simple : des dérogations – légitimes – ont été accordées pour permettre les abattages rituels, halals et cascher, à des moments clairement identifiés. Or ces méthodes présentent bien plus de risques sanitaires que les méthodes conventionnelles, très codifiées. Ce qui implique, pour les abatteurs, une fois ces moments réservés aux pratiques rituelles passées, d’arrêter les chaînes d’abattage pour les nettoyer et les désinfecter. Ce que de moins en moins de professionnels se résolvent à faire, préférant généraliser les pratiques rituelles et augmenter leurs profits. »

     Le risque sanitaire n’est pas mince en effet. Dans un communiqué du 16 juin dernier,  la Fondation Brigitte Bardot rappelait qu’en novembre 2010, sept organisations françaises de protection animale avaient alerté les autorités « sur les risques sanitaires graves dus à la présence de germes d’origine digestive, comme les E. coli, présents dans les steaks hachés. »

    Et de citer la déclaration de Pascale Dunoyer, Chef du bureau des établissements d’abattage à la Direction Générale de l’Alimentation, dans le bulletin de l’Académie Vétérinaire de France : «Des pratiques liées à la mise en œuvre du rituel d’abattage peuvent avoir des conséquences en termes de salubrité et de sécurité des carcasses. Nous pouvons citer à ce titre le tranchage de la trachée et de l’œsophage qui peut provoquer le déversement du contenu gastrique (voire pulmonaire) sur les viandes de têtes, de gorge et de poitrine».

    Selon la Fondation Brigitte Bardot (janvier 2011) plus de 60% des ovins-caprins, 28% des gros bovins et 43% des veaux seraient ainsi abattus sans étourdissement (toutes religions confondues), alors que les pratiquants musulmans et juifs ne représenteraient ( ?) environ que 7% de la population française »…

    En octobre 2006, nous évoquions déjà un article paru dans le magazine Terres de Bourgogne consacré au « marché des produits halal en plein essor », qui indiquait qu’au niveau européen le marché de la viande halal se situait aux alentours de 15 milliards d’euros, dont trois milliards d’euros pour la France. Une expansion favorisée chez nous aussi par le positionnement sur ce créneau de marques comme Socopa, Charal, Bigard, Doux ou Labeyrie. « Dans l’Hexagone, les consommateurs musulmans représentent entre 10 et 15% de la consommation bovine, ovine et avicole nationale, soit à peu près 400 000 tonnes par an ».

    Selon Florence Bergeaud-Blackler, sociologue à l’unité d’anthropologie de l’université d’Aix-Marseille,  « En fait, c’est la troisième génération issue de l’immigration maghrébine et subsaharienne qui promeut la consommation halal», pour laquelle elle a  «un attachement très fort, paradoxalement encore plus fort que chez leurs parents. » Hassan Bouod, patron d’une entreprise agroalimentaire à Marseille, ne dit pas autre chose : » « Notre jeunesse est très fière d’acheter halal et a envie de consommer ce type de viande, c’est psychologique…»

    Certes, constate Bruno Gollnisch, les interdits religieux librement acceptés, notamment alimentaires, relèvent d’un choix personnel, privé, que notre République religieusement neutre, n’a pas à juger. On peut cependant s’interroger sur le fait de savoir si cet essor du marché halal, dont la consommation tend à s’imposer dans l’espace public, traduit un échec de l’assimilation à la culture française, qui peut être plus qu’ailleurs,  passe aussi chez nous par « l’assiette ».  Ou si l’essor en question matérialise tout simplement la poursuite de l’immigration de peuplement…une « immigration nécessaire » a expliqué encore dimanche Nicolas Sarkozy à Marseille pour son premier grand meeting de campagne…

    Car au-delà même de l’islam, c’est l’identité française dans son ensemble qui  s’efface sous le poids d’une  politique de substitution de population,   d’une immigration planétaire qui transforme elle aussi la physionomie de notre pays. Le 22 avril c’est de cette question primordiale  là dont les Français devront (aussi)  s’emparer dans les urnes.

    Blog de Bruno Gollnisch - 21/02/12

  • C.D. FRIEDRICH (1774-1840)

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    Sur un  voilier

    (Cliquez sur le tableau)

  • Paul CEZANNE (1839-1906)

    untitled.bmp Cézanne vue de l'Estaque et du Château d'If.jpg

    Vue de l'Estaque et du Château d'If

    (Cliquez sur le tableau)