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Blog - Page 1272

  • "Les signatures rentrent mieux" au FN depuis quelques jours

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    L'ambiance change quelque peu au Front national concernant les parrainages d'élus. Si le ton était à l'inquiétude il y a encore une semaine, les cadres chargés de récolter les paraphes se veulent maintenant plus rassurants. "Les signatures rentrent mieux", dit l'un d'entre eux qui pense "qu'on les aura [les 500 signatures]" d'ici le 16 mars.

    En une semaine, le parti d'extrême droite a en effet engrangé une vingtaine de promesses de parrainage, presque le double qu'à l'habitude. Le FN en aurait aujourd'hui un peu plus de 380.

    Le changement d'attitude des élus locaux seraient, selon le FN, dû entre autres à la médiatisation des difficultés de Mme Le Pen autour des 500 signatures obligatoires pour se présenter à l'élection présidentielle.

    Un autre responsable tempère cet optimisme : "Pour l'instant, ce ne sont que des promesses de parrainage, il y a toujours de la déperdition."

    Abel Mestre

    Le Monde - 13/02/12

  • Téhéran - Hollywoodisme et sionisme

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    (Cliquez sur la photo)

    En marge du 30ème Festival International de cinéma à Téhéran, s'est tenue la conférence sur Hollywoodisme et sionisme, où se sont retrouvés des chercheurs antisionistes de plusieurs pays.

     Tous ont apporté des arguments à l'idée centrale que la "maladie mentale made in USA", que véhicule la production hollywoodienne destinée à l'exportation, est une arme essentielle du Pentagone, qui prépare les esprits et manipule le subconscient des foules, pour pouvoir déclencher des agressions sans que la population, paralysée par les images et schémas dont elle est gavée, réagisse selon ses intérêts véritables et entreprenne de résistance frontale.

    Le président Ahmadinejad a reçu tous les invités avec une allocution empreinte de sérénité, où il a opposé sa politique de construction massive de logements au fait que huit millions d'Américains soient jetés à la rue par la crise financière. Il a ensuite fait monter à la tribune le professeur Robert Faurisson, avant les autres, pour lui serrer la main et lui remettre en souvenir de la rencontre, un précieux volume des poèmes d'Omar Khayyan.

    http://blanrue.blogspot.com/2012/02/hollywoodisme-le-compte-rendu-de-maria.html

    Source Le Clan des Vénitiens - 09/02/12 

  • L'immigration du point de vue de la science économique: coût social versus avantage privé

    L’immigration du point de vue de la science économique : coût social versus avantage privé
     
     
     

    Article reproduit avec l’aimable autorisation de la Fondation Polémia.

    Le discours médiatique sur les bienfaits de l’immigration repose sur une série d’approximations et de mensonges. Yvan Blot présente ici un point de vue économique critique. Il souligne les conséquences sociales et économiques de salaires tirés à la baisse, au détriment de l’innovation et de l’équilibre des comptes sociaux. Si certains avantages de l’immigration sont privatisés, ses inconvénients sont, eux, collectivisés : un point sur lequel reviendra le colloque de l’Institut de géopolitique des populations sur « Peut-on raisonnablement calculer le coût de l’immigration ? », le 16 février prochain.
    Polémia.

    On veut nous faire croire aujourd’hui que l’immigration est indispensable à la croissance.

    Historiquement, la croissance économique moderne est née en Angleterre puis s’est propagée en Europe (Belgique, France, Allemagne au début) qui était alors un continent d’émigration. Même les fameuses Trente Glorieuses (1945-1975) se sont réalisées pour les vingt premières d’entre elles sans immigration notable.

    L’économie comparée nous montre des pays qui ont eu une réussite remarquable depuis 1945 jusqu’à nos jours sans immigration, comme le Japon ou la Finlande.

    L’immigration contre le progrès technique et la productivité

    L’immigration est vantée comme un moyen de baisser les coûts de production en obligeant les salariés à se contenter de faibles salaires. Indépendamment du côté social fort discutable de cette politique, l’économiste notera que cette méthode décourage les progrès de productivité et l’innovation technique. Des historiens vont d’ailleurs jusqu’à dire que si la machine à vapeur inventée dans l’Antiquité par Hiéron d’Alexandrie ne s’est pas répandue à l’époque, c’est parce que l’esclavage avait abaissé le prix du travail à tel point que la machine était inutile. Les pays à très haut taux d’innovation comme la Suède ou la Finlande sont restés pendant des années sans la moindre immigration, avec de hauts salaires ouvriers et de très bons résultats sur les marchés mondiaux.

    Autrement dit, les bas salaires sont une facilité de court terme pour les entrepreneurs mais freinent le progrès et l’innovation à plus long terme. L’opposition court terme/long terme est d’ailleurs la clé des dysfonctionnements des économies occidentales. Les dirigeants salariés des grandes entreprises (qui n’ont rien à voir avec des « capitalistes » propriétaires de leur entreprise) ont une vision à court terme, ce qui explique leur gestion hasardeuse. C’est encore plus vrai des banques et des milieux financiers.

    L’immigration, une atteinte à la liberté des agents économiques et des citoyens

    Selon l’économiste Hermann Hoppe, l’immigration est par ailleurs une atteinte à la liberté des agents économiques. En effet, on ne demande pas contractuellement au citoyen s’il veut ou non cohabiter avec des étrangers qu’il n’a pas fait venir. C’est très différent des biens et des services : ceux-ci ne pénètrent sur le territoire national que si un contrat entre un acheteur et un vendeur a eu lieu : les biens ne voyagent pas par eux-mêmes ; il faut des contrats entre des hommes pour que les biens se déplacent.

    Coûts collectifs et parties communes

    Rien de tel avec l’immigration : il n’y a aucun contrat entre l’immigré et le citoyen donnant à ce dernier le pouvoir d’accepter quelqu’un sur les parties communes du territoire. Cela ne pourrait exister que si les rues étaient privatisées. Comme ce n’est pas le cas, c’est au gouvernement de protéger les droits des citoyens pour l’utilisation des parties communes : au minimum, celui-ci devrait consulter les citoyens par référendum (ce qui se fait en Suisse).

    De plus, l’immigration engendre des coûts collectifs importants (logement, école, sécurité sociale, etc.) : l’entrepreneur qui embauche un immigré ne supporte pas directement ces coûts qui vont être répartis entre les contribuables ; il tire un avantage à court terme en embauchant quelqu’un, souvent à bas salaire, et reporte les coûts sociaux correspondants sur l’ensemble des contribuables.

    France, Grande-Bretagne, Etats-Unis : forte immigration et fort chômage

    L’injustice est ici évidente. La hausse des coûts pour la collectivité rend l’économie moins compétitive et provoque donc du chômage. Les pays à fort taux d’immigration ont beaucoup de chômage, comme la France, les Etats-Unis ou l’Angleterre (autour de 9%). Celui-ci est plus faible dans les pays à faible immigration (Russie 6% ou Finlande ou Japon).

    L’immigration profite bien à certains groupes de pression mais est nuisible à l’intérêt général. Or notre système politique purement parlementaire est plus sensible aux groupes de pression organisés qu’à l’intérêt général, par définition inorganisé. Seul le référendum, comme l’avait très bien vu le général De Gaulle, permet à l’intérêt général de s’exprimer directement en contournant les groupes de pression. Il faudrait donc organiser des référendums sur l’immigration comme chez nos voisins suisses.

    Les études statiques sur l’immigration, qui comparent le coût et les avantages à un moment donné, sont utiles mais elles négligent la dynamique du phénomène. L’immigration de main-d’œuvre, surtout peu qualifiée, retarde l’innovation et le progrès techniques, accroît les coûts sociaux financés par tous les contribuables et freine à moyen terme la croissance, créant ainsi un chômage supplémentaire. La dynamique de l’immigration n’est pas favorable à la croissance sauf peut-être s’il s’agit d’une immigration choisie, limitée et hautement qualifiée comme celle pratiquée par l’Australie, le Canada ou la Suisse.

    Yvan Blot
    Docteur ès sciences économiques
    Ancien élève de l’ENA

    Voir ausi :

    - L’économie de l’immigration
    - « La préférence nationale : réponse à l’immigration » : un classique à redécouvrir

    Source : Polémia – 8/02/2012
    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
  • Manifestation pro-vie près de l'hôpital Tenon à Paris

    Témoignage et photos d'Anne Kerjean :

    S"Samedi 11 février dans la matinée, avait lieu le premier Rosaire pour la vie de l'année, organisé par le Docteur Dor, président de SOS Tout-Petits, au coin de la rue de Chine et de l'avenue Gambetta, non loin de l'entrée de l'hôpital Tenon dans le 20e arrondissement de Paris où se trouvaient depuis 10 heures les contre-manifestants pro-avortements. Plus de quinze fourgons de police, dont un car, étaient garés le long de l'avenue Gambetta. D'autres se trouvaient plus bas près de la Mairie et d'autres encore devant l'hôpital Tenon.

    Les personnes venues prier étaient fortement encadrées. L'avenue Gambetta était d'ailleurs barrée et inaccessible aux véhicules et les passants se voyaient systématiquement filtrés. Les pro-avortements se sont rapidement rapprochés des anti-avortements pour se poster sur le trottoir d'en face. De leur position, certains se sont mis à jeter des dizaines d'oeufs sur les membres de SOS Tout-Petits par-dessus les policiers. De nombreuses personnes ont été touchées. Malgré cette agression caractérisée, la manifestation continua avec des prières et des chants que les contre-manifestants couvraient de leurs slogans anticléricaux et féministes. 

    Cette impressionnante ceinture de sécurité aura évité aux membres de SOS Tout-Petits d'être la cible habituelle de la haine de passants. Au moins, les slogans des anarchistes, gauchistes et féministes (la CGT, Sud Solidarité, Attac, AL, PCF, NPA, Décil, et des citoyens de Poissy étaient représentés...) sont drôles quand ils ne sont pas blasphématoires."

    Michel Janva

    Posté le 12 février 2012 à 16h21 | Lien permanent

     

    Tous ne sont pas égaux avant la naissance

    Campagne du Secours catholique en vue de la présidentielle :

    S

    (Cliquez sur l'affiche pour la voir en entier)


    Malheureusement, avant la naissance, il y a ceux qui seront éliminés car ils dérangent.

    Michel Janva

    Le Salon Beige

  • Le DJ Pierre Sarkozy aurait une chère garde rapprochée payée par l'Etat !

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    Alors que Le Canard Enchaîné a révélé début février que le rapatriement d'Ukraine du DJ de fils aîné du président de la République avait coûté près de 40.000 euros puisqu'il avait emprunté après son hospitalisation un Falcon 50, Mediapart s'interroge aujourd'hui sur le coût de la sécurité rapprochée de Pierre Sarkozy.

     

    Le mélomane de la famille présidentielle doit se rendre au Brésil du 20 au 26 février prochains, en pleine saison des carnavals, pour une série de concerts en boîte de nuit. Cette fois, s'il ne montera pas à bord d'un avion appartenant à l’Escadron de transport, d’entraînement, et de calibration (Etec) - généralement utilisés pour transporter le personnel du Ministère de la Défense ou pour des missions spéciales au profit des hautes autorités de l'Etat - il s'agirait là, entres autres, d'ouvrir un carré VIP très spécial pour le fils de Nicolas Sarkozy dans les aéroports brésiliens.

    D’après un courrier que Mediapart s’est procuré, adressé le 1er février au ministère brésilien des relations extérieures, l’ambassade française « sollicite l’ouverture du salon d’honneur » dans chacun des trois aéroports qu'il doit traverser (Sao Paulo, Rio et Florianopolis). « Les services français signalent au passage que Pierre Sarkozy voyagera avec sa bande : un ami photographe et Fama Niang, sa "manageuse" et ancienne directrice artistique dans la société de production de Carla Bruni », écrit Mediapart ce samedi. 

    Deux policiers d'élite

    Il aurait aussi été demandé aux services brésiliens d'assurer la protection de Pierre Sarkozy avec « le concours de la Police fédérale » brésilienne. Cependant, ce courrier dévoile surtout le dispositif de sécurité français dont bénéficie le « DJ ». Dans leur lettre, les services de l'ambassade réclament en effet « une autorisation d’introduction et de port d’armes à feu sur le territoire (brésilien) en faveur de deux officiers ». Il s'agit de deux policiers du GSPR (le groupement de sécurité du président de la République) « qui escortent le fils du chef de l’Etat dans ses déplacements aux quatre coins du monde ». 

    D'après un rapport du député Jean Launay (PS), consacré aux dépenses de l’Elysée, le coût d'un salaire pour un policier du GSPR atteint 83.645 euros par an. Mediapart « extrapole » donc ce chiffre à 167.000 euros par an de coût à la République pour la sécurité rapprochée de Pierre Sarkozy « rien qu’en rémunérations » de ces deux agents policiers. « Restent les frais de bouche, le matériel, le transport, etc. », poursuit le site d'informations. 

    Allemagne, Russie, Autriche...

    Mediapart ne manque pas, non plus, de rappeler tous les lieux où l'on a pu voir apparaître ces derniers mois le jeune homme de 26 ans, en recensant sur la Toile des vidéos preuves à l'appui de quelques-uns de ses déplacements à l'étranger. En Ukraine, où il a mixé en juin au « b-hush » une boîte de nuit de Kiev. En Suisse au festival de Zurich fin juillet. En Autriche, où il s'est produit au « Posh Club » de Vienne à la mi-octobre. En Russie, en Allemagne...

    Interrogé par le site d'informations, le député socialiste René Dosière - récemment à l'origine d'un livre sur le train de vie mené par Nicolas Sarkozy avec l'argent de l'Etat depuis le début de son quinquennat – trouve « évidemment nécessaire de protéger certains membres de la famille du chef de l’Etat ». Cependant, dans le cas de Pierre qui est un adulte - ce qui n'est pas le cas de Louis qui a 14 ans et qui vit avec sa mère Cécilia aux Etats-Unis -, le fils aîné du président français « a sa propre indépendance financière », souligne le député. Il s'interroge : « L'Etat doit-il protéger Pierre (…) quand il parcourt le monde pour ses activités professionnelles ? 

    Actu France-Soir - 11/02/12

     

  • Grands froids - La mésange de Kiev et le lionceau de Belgrade

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    Mésange nourrie par les passants

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    Lionceau jouant avec une boule de neige

    (Cliquez sur les photos pour les agrandir)

    05/02/12

  • Le négationniste Robert Faurisson a rencontré Mahmoud Ahmadinejad

    Le négationniste Robert Faurisson nous a informés revenir de Téhéran où il a eu un aparté avec le président Mahmoud Ahmadinejad, le 2 février dernier. Un débat était organisé sur la Shoah.

    "L'Iran est le seul pays au monde où une telle confrontation entre révisionnistes et non- révisionnistes est possible", a souligné Robert Faurisson. Dieudonné était présent à cette rencontre. Le négationniste français, ancien professeur à l'université de Lyon, trouve Mahmoud Ahmadinejad  "d'une grande finesse".

     Il ne croit pas en l'existence d'un projet nucléaire iranien, pas plus  qu'à la volonté de ce pays de s'attaquer militairement à Israël.

    Source LYON CAPITALE - 10/02/12

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  • Marseille: en panne de scooter après un hold-up, ils braquent une mère et son bébé

    La fuite après l'attaque d'une bijouterie au Redon a failli virer au drame

    La bijouterie

    La bijouterie "Perle de lune" a été la cible d'un hold-up à la masse et à la kalachnikov, mercredi matin, au cœur de la cité La Rouvière.

    Photo Bruno Souillard

    Mercredi matin, deux malfaiteurs lourdement armés n'ont pas hésité à braquer une mère de famille et son bébé pour s'emparer de leur voiture… Une intempestive panne de scooter les avait cloués sur les lieux de leur braquage ! "La voiture a été retrouvée brûlée peu après sur le parking de la crèche du Cabot", indique un témoin. "Vous imaginez si la mère n'avait pas eu le temps de prendre son enfant et si les braqueurs ne s'étaient pas aperçus de sa présence ?"

    Rétrospectivement, l'incroyable scénario qui s'est déroulé mercredi matin au coeur de la cité La Rouvière, fait froid dans le dos tant l'amateurisme d'une majorité de criminels est susceptible de provoquer des drames à tout moment. Il n'était pas tout à fait 10 heures, ce mercredi, lorsque deux puissants scooters s'arrêtent devant la bijouterie "Perle de Lune". Un individu armé d'une kalachnikov se poste devant le commerce afin de surveiller les alentours tandis que ses trois complices, munis d'une masse, s'engouffrent à l'intérieur. Quelques secondes plus tard, après avoir brisé les vitrines et s'être emparés de plusieurs bijoux, ils remontent sur leurs engins. 

    Mais alors que l'un démarre en trombe, l'autre, probablement grippé par le froid, leur fait le coup de la panne. Restés en rade sur les lieux de leur forfait, alors que la police allait arriver d'une minute à l'autre, deux des quatre braqueurs décident d'improviser. Dangereusement. Le scooter qui refuse de démarrer est immédiatement incendié sur place afin d'effacer toute trace susceptible de les identifier. Dans la foulée, comme il semble hors de question de fuir à pied, une automobiliste est stoppée net par les deux individus encagoulés qui n'hésitent pas à lui pointer l'arme sous le nez pour l'extirper de sa voiture.

    "Elle a fait preuve d'un extraordinaire sang-froid, relève un enquêteur. Elle a pris son bébé, installé à l'arrière, et elle est sortie du véhicule". En un quart de seconde, les deux braqueurs s'engouffraient dans la voiture et prenaient la fuite à toute allure avant de s'en débarrasser quelques minutes plus tard sur le parking de la crèche. La police judiciaire a été chargée des investigations.

      La Provence - 10/02/12

  • Séjour réussi pour Marine Le Pen, les Réunionnais sont séduits!

     

    C’est une dépêche AFP qui le révèle sur le site de Tahiti Infos, Marine Le Pen a été bien accueillie par les Français de l’île de la Réunion dans l’archipel des Mascareignes mais si des nervis gauchistes anti-démocrates ont essayé de l’empêcher de s’exprimer.

    La dépêche AFP, passée étrangement inaperçu par les grands médias français en Métropole, révèle un bilan de l’intervention de Marine Le Pen plutôt positif selon « plusieurs observateurs et responsables politiques locaux ! »

     

    Sur NationsPresse.Info, nous avons suivi ce déplacement au travers des différentes déclarations de la candidate du Peuple Français et notamment des reportages diffusés sur France Ô qui donnait la parole aux Réunionnais séduit par la vague Marine. Nous avons relevé cette semaine notamment, l’un d’eux, Michel qui déclarait ouvertement : « C’est la seule candidate qui a un projet pour l’Outre-mer » et la parole de Joseph qui précisait : « vous serez étonnés vous même du score qu’elle va faire ! » Présidentielle 2012 – A la Réunion, on s’apprête à voter pour Marine Le Pen

    Marine Le Pen a aussi insisté sur cet élan français en sa faveur dans l’Océan Indien en indiquant : « Vous verrez, les résultats de ma candidature seront étonnants ».

    Comme l’indique aussi la dépêche AFP, les Réunionnais ont vivement réagit dans les médias, à la radio, sur internet et dans les journaux, au sujet des manifestations visant à rendre impossible le droit de circuler de la candidate sur l’île. Ils trouvent honteux que l’on puisse empêcher une femme candidate de s’exprimer librement !

    On notera que la pensée unique n’a plus sa place et que les Réunionnais trouvent Marine Le Pen sympathique et que le projet présidentielle qu’elle propose répond à « leurs préoccupations quotidiennes ».

  • Marine Le Pen en meeting à Strasbourg: "Sarkozy c'est le monsieur plus de l'immigration !"

    Dès le début de son discours, fait siffler ses adversaires par les quelque 2000 militants et sympathisants frontistes qui assistent à ce meeting à Strasbourg, sur le thème de la sécurité. «Candidate anti-système», la candidate a plus que jamais parlé de ses thèmes emblématiques, fustigeant particulièrement depuis son idée de référendum sur les étrangers.

      

     Elle l'a assuré dans une salle surchauffée : «l'amour de la patrie est au coeur de la démarche». 

    «Si Sarkozy veut se pencher sur les valeurs, il devrait peut-être se pencher sur la valeur de la parole donnée...»
    «Tous les tabous que je brise au fil de mes discours sont des fondamentaux, mon projet est global », a juré Marine Le Pen, en assurant qu'en parlant de l'immigration les commentateurs allaient analyser qu'elle faisait un «retour aux fondamentaux». « J'ose aborder tous les sujets même ceux qui fâchent notre élite, a-t-elle harangué avant de s'en prendre à Nicolas Sarkozy. Là encore, c'est son idée de référendum sur l'immigration qui est au coeur de la riposte frontiste. « Il utilise l'immigration comme un thème électoraliste, lance-t-elle. Moi je veux agir sur ce sujet comme sur les autres». «Cela fait dix longues années que Nicolas Sarkozy est en charge de l'immigration. Il a été élu en 2007 pour cela, mais qu'a-t-il fait depuis ? Pourquoi Nicolas Sarkozy fera demain, ce qu'il n'a pas fait hier ? Si Sarkozy veut se pencher sur les valeurs, il devrait peut-être se pencher sur la valeur de la parole donnée...»

    Elle propose la fin du regroupement familial et du droit du sol

    La candidate fustige ses deux adversaires, coupables tous les deux de laisser prospérer l'immigration en France. Selon elle, ce sont deux «immigrationnistes forcenés de gauche et de droite», «il y en a un qui assume et l'autre qui en a honte», avant de faire un jeu de mots largement applaudi par l'assistance : «Sarkozy c'est le monsieur plus de l'immigration» Elle en est persuadée : «il y a bien un lien entre immigration et chômage » et s'appuie sur une étude britannique qui le prouverait. Sous un tonnerre d'applaudissement, elle annonce la suppression du droit du sol pour obtenir la nationalité et la fin du regroupement familial.

    « Le lien entre insécurité et immigration est prouvé »


    «Je vais choquer les belles âmes, les bobos, le lien entre insécurité et immigration est évident et prouvé», lance -t-elle. Si l'insécurité progresse, c'est que l'immigration monte, elle est hors contrôle, voulue», cible-t-elle. Pour y remédier, elle fait des promesses. Elle s'engage à réduire de 10 000 le nombre d'entrée par an, d'ici à 2017.

    Elle veut interdire le hallal dans les cantines scolaires

    Marine Le Pen prend en exemple ... Sarcelles pour fustiger les atteintes inadmissibles dans certains quartiers au principe de laicité. Pour muscler ses propos, elle a évoqué «des pressions insupportables» sur les commerçants de certains marchés pour vendre du hallal. «Il y a un commerçant de Sarcelles qui est agressé régulièrement parce qu'il a un étal de boucherie non hallal. Je veux la pleine application de la loi de 1905 (de séparation de l'Eglise et de l'Etat, ndlr)», enchaîne-t-elle. Ce qui lui permet de dévoiler une de ses propositions emblématiques : l'interdiction de la nourriture hallal dans les cantines publiques, pour ne pas avoir à «subventionner des certificateurs religieux». La candidate frontiste a ainsi fait référence à des agressions dont s'estimait victime le boucher du marché des Lochères, en avril 2010. Il avait déposé plainte après avoir été victime de crachats parce qu'il vendait du porc. «Hollande et Sarkozy ont des petits bras tous mous pour s'opposer au communautarisme», conclut-t-elle sur cette question.



    LeParisien.fr - 12/02/12

  • Nogent-sur-Marne: la statue de Carla Bruni fait polémique ! - Une histoire de plumes d'autruche...

    La décision du maire de Nogent-sur-Marne d’ériger une statue à l’effigie de l’épouse du sur une place de la ville crée l’émoi parmi les habitants. C’est « un petit morceau d’Italie » selon l’expression du maire Jacques J.P. Martin, qui passe mal à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne).

     

     

    La cité de 30 000 âmes, qui abrite une importante communauté italienne, comptera bientôt une nouvelle habitante . Et pas des moindres puisqu’il s’agit d’une sculpture en bronze de plus de deux mètres de la "première dame" de , Carla Bruni-Sarkozy. Elle sera inaugurée en mai, en période électorale.


    La statue, dont maquettes et photos restent ultra-secrètes, est l’œuvre de la sculptrice Elisabeth Cibot. Cette statue à l’effigie de Carla Bruni représente une ouvrière en tenue de travail, en hommage aux plumassières, ces femmes qui travaillaient dans une ancienne fabrique de plumes de la ville.


    Cette manière de « donner une existence physique à la mémoire des Nogentais » — dit le maire — sous les traits d’une femme qui n’a aucun rapport avec la ville n’est pas du goût de tout le monde. « C’est triste pour les femmes qui ont fait ce métier, s’étrangle William Geib (PS.) Carla Bruni a dû voir plus de plumes sur les autruches et dans les défilés que dans les usines! »

    Une participation de la ville de 40 000 €

    Même stupéfaction à droite. « Ce léger détail n’avait pas été spécifié lors du vote du budget », fulmine Marc Arazi, du groupe Nogent, c’est maintenant, tandis que Michel Gilles (divers droite), qui a distribué un tract dans la ville à 15000 exemplaires sur le sujet, rappelle que le maire a déjà inauguré en 2011 un dojo au nom de David Douillet. Plus grave, selon Gilles, la participation de la ville à cette œuvre, à hauteur de 40 000 € sur un total de 80 000 € cofinancés par le promoteur immobilier Cogedim. « C’est une idée du maire », assure-t-on à la Cogedim où l’on précise : « Ils ont sollicité la première dame, elle a tout de suite été d’accord et a participé à un shooting photo pour que la sculptrice puisse être la plus fidèle possible. »


    « Mérite-t-elle vraiment une statue ? » s’interrogent Jean et Bernadette, un couple de quinquagénaires nogentais. Une première dame, ça va et ça vient. Et ça risque de ne plus durer très longtemps! » Cavanna, cofondateur de « Hara-Kiri » et « Charlie Hebdo », qui a longtemps habité à Nogent, s’en étoufferait presque : « C’est une blague, non? Quelle idée! C’est grotesque! »

    Le Parisien - 12/02/12 

  • Et encore... Nîmes: un retraité poignardé jeudi soir devant son domicile

    Un retraité a été poignardé, jeudi vers 21 h 30 devant son domicile, dans le quartier du chemin de Russan, à Nîmes. La victime a été opérée dans la nuit, ses jours ne sont pas en danger.

    Le septuagénaire - un médecin à la retraite - et son épouse étaient chez eux lorsque deux ou trois hommes masqués, armés d’une arme de poing et d’un couteau, se sont présentés à leur domicile. Apparemment, le couple serait sorti de la maison. À la vue des hommes masqués, la femme est parvenue à rentrer chez elle pendant que son mari tentait de s’interposer. Il a alors été aspergé de gaz, puis frappé de deux coups de couteau à l’abdomen. Les malfaiteurs ont pris la fuite.

    Cette agression à domicile fait suite à des faits datant de la semaine dernière. Un couple du Chemin-bas d’Avignon à Nîmes a reçu la visite de malfaiteurs frappant à sa porte. Le contexte semblerait différent. Les voleurs ont annoncé être des policiers. Le couple a été frappé et les malfats ont volé leurs bijoux avant de prendre la fuite.

    Le procureur de la République a saisi l’antenne de Nîmes de la police judiciaire qui travaille sur ces deux affaires.

    Midi Libre - 11/02/12

  • Montpellier - Pour la deuxième fois, il tue et brûle une victime

    YANICK PHILIPPONNAT
    10/02/2012, 12 h 07
     
    L’accusé est jugé pour la troisième fois devant une cour d’assises.
    L’accusé est jugé pour la troisième fois devant une cour d’assises. (Croquis ALINE CHAMPSAUR)

    On ne peut pas encore parler de tueur en série mais Habachounez Dekkiche, 37 ans, jugé depuis hier, affiche un profil très inquiétant. C’est son troisième passage devant une cour d’assises. En 1997, à Valence, il écope de quinze ans de réclusion pour avoir tué un rival avec un couteau avant d’incendier le corps. Il affirme que la victime lui aurait fait des avances homosexuelles. Libéré, ce toxicomane commet une série de braquages qui lui coûte huit ans de plus. Et lorsqu’il bénéficie d’une libération conditionnelle pour aller voir sa mère malade, en avril 2008, il ne réintègre pas la prison. En cavale, il est interpellé début 2009 pour des agressions chez des personnes âgées. Mais entre-temps, il est aussi passé par Béziers où, le 7 novembre 2008, la dépouille de Christian Barros est retrouvée carbonisée et présentant des traces de strangulation.

    "La victime m’a mis deux coups de poing, j’ai frappé dans la carotide sans faire exprès"
    H. Dekkiche, l’accusé

    "Oui, je reconnais", lance, à la surprise générale, l’accusé, costaud, cheveux ras, petite moustache, à l’élocution pâteuse pour cause de traitement de substitution à l’héroïne. Parce que depuis le début de cette affaire, malgré les preuves accablantes contre lui, Dekkiche avait toujours nié toute implication. Mais hier, ce coup de théâtre en préambule des débats n’en fut pas vraiment un. Parce qu’ensuite l’accusé a livré une explication des faits que tout vient contredire, le président Mocaer s’employant minutieusement à lui mettre le nez dans ses contradictions et l’incohérence de ses propos.

    "Je sais pas... Je sais pas quoi dire... J’arrivais pas à penser", répète-t-il en boucle dès qu’une question le gêne. La version de celui qui, fasciné par le feu se fait appeler “François le pompier” : ce soir-là, dans un quartier populaire du centre-ville biterrois, il avait beaucoup bu avec des amis, chez la victime qu’il ne connaissait pas. Puis il s’est retrouvé seul avec Christian Barros, lui aussi très alcoolisé.

    "La victime s’est levée et elle m’a dit : “Qu’est-ce qui y a ?” C’est parti en bagarre. Je sais plus pourquoi. Elle m’a mis deux coups, je lui ai mis des coups de poing et j’ai frappé dans le cou, dans la carotide, sans faire exprès", détaille-il avec hésitation. Mais dans la foulée, le médecin légiste contredit formellement cette affirmation expliquant que la victime, présentant trois fractures du larynx, a été étranglée. "Des coups avec la main ? Non, il faut une compression longue et violente", indique l’expert.

    "Vous l’avez étranglé ? C’est possible ?", interroge le président Mocaer.

    "Peut-être... J’ai pas le souvenir... Non, je l’ai pas étranglé", répond-il.

    La suite de son récit est tout aussi invraisemblable. Il reconnaît avoir déshabillé Christian Barros, l’avoir mis sur le canapé avant de le couvrir, puis aurait mis une bougie sur la table, laquelle aurait provoqué l’incendie. "Ça a pris feu mais j’arrivais pas à éteindre."

    Là, c’est le policier du SRPJ qui explique le feu a d’abord touché la tête de la victime et qu’il n’y avait pas de bougie, alors que des dizaines d’allumettes et un liquide inflammable ont été retrouvés. Dekkiche refuse l’idée d’une mise en scène pour faire croire que la victime dormait et que le feu devait servir à effacer ses empreintes. Tout comme il ne reconnaît aucun mobile crapuleux, alors que le directeur d’enquête indique qu’il a dérobé le téléphone de la victime, une partie du RMI qu’elle avait touché la veille, mais aussi un poulet, des pâtes et un yaourt pris dans le frigo...

    "Vous vous faites passer pour pompier, avez une attirance pour le feu ?" questionne le président. Non, répond l’accusé. "

    Comment vous expliquez que c’est la deuxième fois que ça vous arrive, un mort ensuite carbonisé ?", s’étonne le magistrat.

    - "La malchance".

    Midi Libre

  • Ahmadinejad: " L'Iran a brisé l'idole de l'Holocauste "

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    L'Iran a brisé l'idole de l'Holocauste, a affirmé samedi le président Mahmoud Ahmadinejad lors d'un discours à l'occasion du 33ème anniversaire de la révolution islamique de 1979.

     "L'Occident et les colonialistes, pour dominer le monde, ont créé une idole qu'ils ont appelée le régime sioniste. L'esprit de cette idole est l'Holocauste (...) et la nation iranienne, avec courage et clairvoyance, a brisé l'idole, préparant la libération des peuples occidentaux", a déclaré M. Ahmadinejad, qui a suscité de vives réactions internationales en niant à plusieurs reprises, dans le passé, le génocide des Juifs durant la Seconde guerre mondiale.

    Europe 1 avec Reuters - 11/02/12

  • Nantes - A l'entrée du HLM, les jeunes exigent ses papiers

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    (Cliquez sur le dessin)

    Première occupante d'une tour dans une cité de Nantes en 1976, elle a vu les incivilités s'incruster. La dernière en date ? Un jeune a voulu voir les papiers d'un ami qui était avec elle...

    L'histoire

     

    On lui demande de se choisir un prénom d'emprunt pour protéger son anonymat, condition sine qua non pour recueillir son témoignage. Elle voudrait se choisir « un nom de bonbon », un truc enfantin mais ne trouve pas... Voilà deux choses que l'on sait déjà sur Rose : elle ne veut pas se taire et, retraite en vue, elle est toujours espiègle.

    Sans être tragique, l'histoire qui l'amène ce soir-là à dérouler sa vie, installée devant une menthe à l'eau, n'est pas drôle. « La nuit était tombée mais il n'était pas tard, autour de 19 h. Je rentrais chez moi, dans la tour où je vis depuis trente-cinq ans, dans ma cité populaire des quartiers nord de Nantes. J'étais accompagnée d'un ami. Comme d'habitude, ils étaient là. »

    Ils ? « Une bande, un groupe de garçons. Ils squattent les halls. Ils fument, boivent, vous ouvrent la porte, peuvent même vous dire bonjour, adossés aux boîtes aux lettres. »

    Ils annexent les cages d'escalier comme des bouts de territoire. « Pas forcément agressifs, parfois même souriants. Mais ils sont là. Il faut les contourner, leur demander de bouger - avec respect !  - pour prendre son courrier ou l'ascenseur. Il y a les reliefs de repas, l'urine, la fumée, les tags... Ça tape sur le système. Pfioouuu... »

    « On va où ? »

    Ce soir-là, donc, Rose est accompagnée d'un ami. Halte-là ! Un jeune joue les videurs ou le policier : « Il se met à lui dire, un peu rigolard mais pas seulement : « Vous n'habitez pas l'immeuble, vous ! Qui êtes-vous ? Vos papiers ! » »

    Rose ne se laisse pas démonter. « Je me suis fâchée ! « Non mais, ça va ? Présenter ses papiers pour rentrer chez soi ? J'ai été une des premières occupantes de l'immeuble ! Je te demande tes papiers, à toi qui n'habites pas ici ? On va où ? » » Difficile de dire si cette pratique est courante, mais un autre cas identique est arrivé aux oreilles de Rose.

    Ce soir-là, un jeune ripostera en vidant une bombe de Noël sur Rose. « Au début, j'ai pas pensé que c'était une agression. Après coup, je me suis dit : si, c'est quand même ça. J'ai voulu déposer plainte. On n'a pris qu'une main courante car aucun coup n'avait été porté. »

    Il y a quelques années, un jeune tenant le mur de son palier lui avait cisaillé les jambes d'un coup de pied. Lourdement tombée au sol, Rose avait passé une partie de sa nuit aux urgences de l'hôpital.

    L'an dernier, après l'incendie criminel de sa voiture, elle a demandé sa « mut'» à son bailleur social (requête qu'elle vient de renouveler). « Oui, comme beaucoup d'autres, finalement je veux partir. Ras le bol. On a le droit de rentrer chez soi tranquille quand on a bossé toute la journée. Surtout dans les conditions actuelles. »

    Comme un échec

    Investie depuis toujours dans la vie associative, éprise de son quartier, cette demande de déménagement lui reste en travers de la gorge. Comme un échec.

    Sans nostalgie, cette femme ne verse pas dans le « c'était mieux avant ». « C'est un fait : l'atmosphère se dégrade. Des groupes se sont approprié des territoires. La loi n'est plus celle de la société mais celle de la cité. Aujourd'hui, des femmes téléphonent pour qu'on vienne les chercher à leur arrivée au tram. La police ou le bailleur nous disent de ne pas baisser les bras, de nous mobiliser. Mais que fait-on pour nous ? »

    Rose a raconté cette histoire dans un mail adressé à une trentaine de personnes ayant des responsabilités à Nantes, voilà un mois. Elle concluait : « Qu'avez-vous à me proposer pour vivre tranquillement ? » Elle n'a reçu aucune réponse écrite.

     

    Thomas HENG.
     
    Ouest-France - 11/02/12