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Blog - Page 1294

  • Un "tapis volant" pour abriter les arts de l'Islam au musée du Louvre !

    http://www.la-croix.com/Semaine-en-images/Un-tapis-volant-pour-abriter-les-arts-de-l-islam-au-musee-du-Louvre-_NG_-2012-01-05-754488

    08/01/12

  • Un nouveau Stonehenge découvert dans les Orcades

    Un nouveau Stonehenge découvert dans les Orcades
     
    (Cliquez sur la photo)
     
     

    08/01/2012 – 15h00
    EDIMBOURGH (NOVOpress Breizh) – Le Premier janvier dernier,la BBC a diffusé une émission spéciale consacrée au « Ness of Brodgar », un site néolithique édifié au 5ème millénaire avant notre ère dans l’archipel des Orcades, au nord de l’Ecosse.

     Une occasion de découvrir un ensemble mégalithique exceptionnel, que certains n’hésitent pas à comparer à celui de Stonehenge.

    Connu pour son cercle de pierres dressées, l’anneau de Brodgar, le site a révélé en 2003 les restes d’un temple. Les fouilles entreprises par l’ORCA (Orkney Research Centre for Archéology), toujours en cours, ont révélées quelques découvertes inattendues. C’est ainsi que sur les murs de 14 bâtiments déjà mis à jour, les archéologues ont découvert des traces de coloration, jaune, orange et rouge.

    Mais le site semble beaucoup plus important : les analyses géophysiques qui ont été effectuées permettent de penser en effet qu’on est en présence d’une centaine de constructions au total. Celles-ci sont entourées d’une muraille haute de trois mètres, qui pourrait être l’enceinte d’un temple. La construction de ce mur aurait nécessité l’apport de 10 000 tonnes de pierres. On peut avoir une idée de ce qu’était cet ensemble en allant sur le site Will MacNeil qui a reconstruit en 3D ce temple pour le documentaire de la BBC.

    Certaines constructions du Ness of Brodgar sont antérieures de 800 ans au célèbre temple de Stonehenge, situé près de Salisbury dans le sud de l’Angleterre. Dans le Daily Mail le professeur Mark Edmonds, de l’Université d’York, déclare qu’il s’agit là « d’un site d’importance internationale », tandis que son collègue Nick Card, de l’Université des Highlands, parle d’un « site de rêve pour un archéologue ». A ce jour un dixième seulement du site a fait l’objet de fouilles et il faudra encore plusieurs décennies aux chercheurs pour terminer leurs recherches.

    Cette découverte apporte un éclairage nouveau sur l’évolution de l’homme européen il y a cinq millénaires. Le site de Brodgar confirme, s’il en était besoin, que la civilisation du nord de l’Europe n’a rien à envier à celle de la Méditerranée.

    Des Orcades à la Grèce, c’est bien une civilisation commune qui a pris naissance il y a plusieurs millénaires.

    Crédit photo : genevieveromier profile via Flickr Licence CC.
    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
  • 200 policiers mobilisés à Clermont-Ferrand après l'incendie d'une trentaine de véhicules

     

     Communiqué de Michel Thooris, conseiller politique à la Sécurité de Marine Le Pen

    Au cours des deux dernières nuits, une trentaine de véhicules ont brûlé dans différents quartiers de la ville de Clermont-Ferrand. Environ 200 policiers, dont deux compagnies de CRS, ont été mobilisés cette nuit sur l’agglomération.

    Cette flambée de violences fait suite à l’interpellation d’un individu dans le quartier de la Gauthière vers 2h30 du matin dans la nuit du Nouvel an. Le mis en cause, très excité, s’en était pris aux policiers en lançant des projectiles sur leur véhicule. Après une course-poursuite, il a été plaqué au sol, menotté puis conduit au commissariat. Il est alors tombé dans le coma après un malaise cardiaque durant son transport.

    Wissam el-Yamni était sous l’emprise de l’alcool, du cannabis et de la cocaïne au moment des faits.

    Le procureur de la République par intérim à Clermont a ouvert vendredi une information judiciaire pour « coups et blessures volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique » à l’encontre des policiers.

    A en croire les pouvoirs publics, la nuit de la Saint-Sylvestre a été très calme. Mais comme chaque année, les informations qui filtrent peu à peu montrent que de graves troubles à l’ordre public se sont comme d’habitude déroulés cette nuit là.

    Il est bien évidemment regrettable que cet individu soit dans le coma mais il parait évident que les causes de son arrêt cardiaque sont plus à chercher du côté de la consommation de cocaïne que du côté des policiers qui n’ont fait que leur travail.

    Les émeutes qui suivent systématiquement les interpellations de voyous dans les cités montrent à quel point les pouvoirs publics ont perdu la maîtrise du territoire national.

    Les émeutiers doivent être interpellés, présentés aux juges et durablement incarcérés. Tout ce que Nicolas Sarkozy a été incapable de faire pendant les dix années où il a eu les pleins pouvoirs pour le faire.

  • Marine Le Pen s'adresse aux classes moyennes qu'elle veut défendre

    Pour son premier meeting de l'année 2012, a choisi de s'adresser aux classes moyennes, victimes du «descenseur social». La formule, reprise ce dimanche dans son discours tenu à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), est empruntée au sociologue Alain Mergier et à Philippe Guibert, ancien directeur de cabinet de .

     
     Les deux auteurs qui n'ont rien à voir avec le avaient publié en 2006 un ouvrage intitulé «Le descenseur social, enquête sur les milieux populaires».

    «Notre pays est en voie de sous-développement»

    L'assistance était installée autour de tables pour ce discours, galette des rois oblige. Accueillie sous les vivas de la foule, alors que des incidents ont eu lieu en marge du meeting, la candidate a déclaré: «Notre pays est en voie de sous-développement, de tiers-mondisation» . «La classe moyenne souffre terriblement, elle se contracte (...) c'est le marqueur des pays du Tiers Monde», a-t-elle martelé, agitant le spectre de la Grèce.


    Détaillant les inquiétudes des Français face à la crise et au chômage - «on vit moins bien que ses parents à son âge», «combien de parents s'angoissent en pensant à l’avenir de leurs enfants ?» -, elle affirme que «l’ascenseur social est en train de mourir». «Le descenseur social qui touche des millions de Français (...) ruine l'état d'esprit de générations entières».

    «Qu’on laisse un peu tranquille l’automobiliste !»

    Au passage, elle égrène la série de hausses entrée en vigueur au 1er janvier comme chaque année, fustigeant le projet de TVA sociale de Nicolas Sarkozy. Avec une attention toute particulière aux automobilistes, «vaches à lait du système». «Qu’on laisse un peu tranquille l’automobiliste», a lancé Marine Le Pen, favorable «à la fin du permis à points et du tout-radar.» A ses yeux, l'Etat ne s'attaque pas aux «vraies causes» des morts sur les routes, «la drogue, l’état de nos routes», mais aussi «la délinquance». 


    «Le protectionnisme» comme solution au «descenseur social»

    «Mon devoir est de présenter une solution» au «descenseur social qui marche à plein». Sa solution : «Le protectionnisme.» Dans son projet qu'elle qualifie de «patriote», elle entend «protéger les classes moyennes et populaires», les faire passer «de la colère à l’espérance». Citant l'Argentine et le Brésil en exemples, Marine Le Pen proclame : «Vous vendez en France, alors vous produisez en France !» Elle préconise notamment de «taxer à hauteur de 35% la production automobile qui ne réalise pas la moitié de sa production sur le sol français». Même punition pour «les entreprises françaises qui abusent de la délocalisation de prestations de service». 

    Marine Le Pen et «les joueurs de pipeau»

    A trois mois et demi de la présidentielle, Marine Le Pen se dit «prête» à assumer les responsabiltés «de la fonction suprême» pour «mener la France plus haut, la mener à la place qu’elle mérite». Elle tacle au passage François Hollande et Nicolas Sarkozy, «des joueurs de pipeau». Toujours donnée en 3e position dans les sondages, la candidate du FN a d'ores et déjà fixé la date et le lieu de son grand meeting d'avant premier tour, le 17 avril au Zénith.
  • "Je ne peux pas continuer comme ça": le spectacle de Fabrice Luchini perturbé par des jeunes

     Le spectacle que donnait Fabrice Luchini au Théatre Romain Rolland à Villejuif ce vendredi 6 janvier a été perturbé par un incident scandaleux.

     Au milieu de cet excellent spectacle durant lequel il n'a ménagé ni les socialistes ni les communistes, Fabrice Luchini a été insulté et a reçu des crachats depuis le dessus de la scène, apparemment depuis la toiture ou une galerie technique.

     Il a abrégé son spectacle. Les spectateurs sont sortis particulièrement choqués par cet incident inadmissible.

     Le directeur du théâtre et l'ensemble du personnel n'a rien vu ni rien compris  à cette situation.

     ************

     «Je ne peux pas continuer comme ça… » a été victime d’une très mauvaise blague vendredi soir à Villejuif (Val-de-Marne). Alors que le comédien se produisait sur la scène du Théâtre Romain-Rolland avec « Lecture », son show en solo autour de La Fontaine, Baudelaire, Hugo, Céline, il a écourté sa prestation, perturbé par des jeunes cachés sur le toit de l’établissement.

     
    « Le spectacle se déroulait très bien, raconte un spectateur. Et puis un peu après 21 heures, on a vu des choses tomber à l’arrière de la scène et on a entendu des insultes. Il a dit qu’il ne pouvait pas continuer. »

    Trois jeunes ont fait du bruit au-dessus de la scène

    La salle de 760 places était pleine à craquer. Alexandre Krief, le directeur, dépêche alors un membre de l’équipe technique sur le toit. Le technicien découvre trois jeunes d’une douzaine d’années penchés au-dessus d’une trappe qui donne sur la scène, qui prennent immédiatement la fuite. « Je suis atterré, lâche le responsable du théâtre, et je déplore ce qui s’est passé. Ce sont des petits c… qui pensaient faire une bonne blague. Je ne suis même pas sûr qu’ils connaissaient Fabrice ni qu’ils entendaient ce qu’il disait! On va condamner cette trappe. Je n’imaginais pas qu’il fallait poster un vigile sur le toit… » L’artiste a pris sur lui et lu un autre texte, avant finalement de partir. « Il a dit qu’en trente ans, ça ne lui était jamais arrivé, reprend le spectateur. Il avait l’air très affecté. » Cet habitant de Villejuif est aujourd’hui « en colère » contre les perturbateurs : « Quelle image cela donne-t-il de notre ville? »
    Contacté hier au téléphone, Fabrice Luchini a relativisé l’incident. « Il s’agissait juste d’une bande de gamins qui se sont introduits dans le théâtre pour mettre le bordel, raconte le comédien. Ils ont fait du boucan au-dessus de moi, ils avaient l’air de danser. Je n’ai subi aucune agression. Je suis allé jusqu’à la fin du spectacle, mais j’ai écourté les prolongations à cause du bruit. »
    Ce léger accroc dans une tournée triomphale — il joue le spectacle en alternance au Théâtre de l’Atelier à et en régions et affiche complet à chaque représentation — n’a pas particulièrement affecté le moral de Fabrice Luchini. Il quittera les planches après le 12 février en raison du du prochain film de Philippe Le Guay (« les Femmes du 6e étage »). Mais il reviendra sur scène en mai avec « La Fontaine… » pour une série de lectures à l’étranger, à New York et à Washington.

    Lisez les précisions du directeur du théatre sur notre site participatif YOU.

    Le Parisien - 08/01/12

  • Saint-Denis: manifestations contre la Galette des rois du FN

    Un important dispositif de forces de l'ordre a été déployé ce dimanche après-midi aux abords du meeting de , à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Plusieurs dizaines de fourgons de police étaient présents au Dock Pullman, avenue du Wilson, lieu du rassemblement du qui organisait une «galette des rois».

      Peu après 15 heures, l'avenue a été coupée à la circulation dans le sens Paris-Lille.

    Une journaliste de France 3 légèrement blessée

    A l'extérieur du site, quelque 200 militants anti-FN encadrés par des CRS manifestaient. Des pancartes du PC, du NPA et des Jeunes Radicaux de gauche étaient brandies. Dans un premier temps pacifique, la manifestation a dégénéré : des pierres ont été lancées en direction des forces de l'ordre. Une journaliste de la rédaction nationale de France 3 a été touchée à la tête. Elle a été conduite à l'hôpital pour subir des examens. «Rien de grave, mais à la demande de sa rédaction en chef, elle a été amenée à l'hôpital par précaution pour faire des radios», a confirmé France 3 au Parisien.fr. «On ne sait pas qui a jeté la pierre.»

    Des heurts ont également eu lieu entre militants d'extrême gauche et d'extrême droite, selon nos informations. Certains partisans du FN ont essuyé des crachats et des insultes, d'autres ont dû rebrousser chemin et emprunter une autre entrée, leur route étant barrée par les anti-FN, d'après l'AFP. Vers 15h45, les militants anti-FN ont quitté les lieux

    Ces incidents ont retardé le début du meeting prévu à 15h30. Marine Le Pen est apparue dans la salle peu après 16 heures. Dans son discours, elle a fustigé la politique du gouvernement en matière de Sécurité, « incapable d’empêcher des nervis gauchistes, les milices de l’extrême gauche, de venir commettre leurs violences sur nos militants, les Français qui veulent nous entendre et même sur les représentants de la presse. »

    «En 55 ans de vie politique, j'en ai vu d'autres», avait lancé un peu plus tôt Jean-Marie Le Pen.

    Cette venue est «une provocation»

    Cette venue de Marine Le Pen est «une véritable provocation» ont estimé les organisateurs de la manifestation, le collectif dionysien contre le Front National et l'extrême-droite, qui regroupe des partis politiques (PS, PCF, NPA...), des associations (Ras l'front, MRAP...) et des syndicats (Snuipp, CGT...).

    «Les valeurs portées par le FN ne sont pas celles portées par la ville, qui sont des valeurs de solidarité, de mélange. Le FN n'a pas sa place ici», a déclaré Bagayoko, adjoint au maire de Saint-Denis en charge de la jeunesse, présent en tête de cortège.

    LeParisien.fr - 08/01/12

  • Photo mystère n° 7

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  • Le FN a célébré ce samedi la mémoire de Jeanne d'Arc place des Pyramides


    Le FN a célébré ce samedi la mémoire de Jeanne... par BFMTV

    07/01/12

  • Les demoiselles disparaissent à Cesson-Sévigné (35) : il n'y aura plus que des "madames" !

     

    Quand les demoiselles disparaissent à Cesson Sévigné (35)
     
     
     

    07/01/2012 – 10h00
    RENNES (NOVOpress Breizh) –
    L’usage de l’appellation « mademoiselle » n’a désormais plus cours à Cesson-Sévigné (Ille-et-Vilaine). Ainsi en a décidé le maire de cette importante commune de l’agglomération rennaise. Depuis le 1er janvier, aucune demoiselle ne pourra donc figurer sur les documents administratifs de la commune. Arrêt sur une question typiquement sociétale dont raffole une certaine classe politico-médiatique boboïsante. Une question plus simple à régler, il est vrai, que les dégâts sociaux causés par la mondialisation.

    Michel Bihan, le maire (PS) de cette cité bretonne de 15.000 habitants,  a donc pris sa décision afin de se conformer aux dispositions de la Charte européenne pour l’égalité des femmes et des hommes dans la vie locale. « Il s’agit d’éliminer toutes mentions susceptibles d’être discriminatoires ou indiscrètes. L’existence de deux termes différents pour désigner les femmes mariées et celles qui ne le sont pas constitue une discrimination à l’égard des femmes puisqu’une telle différenciation n’existe pas pour les hommes. » explique l’élu, qui est par ailleurs membre du comité de soutien à François Hollande.

    En septembre 2011, une campagne visant à supprimer le terme de « mademoiselle » dans les formulaires administratifs avait été lancée par plusieurs organisations féministes. «Ca peut paraître un détail mais c’est très symbolique des inégalités», expliquait sans rire Julie Muret, de l’association « Osez le féminisme ! », qui menait l’offensive en compagnie  des célèbres « Chiennes de garde ».

    Brigitte Grésy, auteur d’un Petit traité contre le sexisme ordinaire (Ed. Albin Michel), n’hésitait pas de son côté à affirmer que même si cela est «moins important que les écarts de salaires (entre les sexes), les violences ou les difficultés d’accès à l’avortement (sic)», cette question n’est pas un détail car «le langage reflète la réalité du monde» – ce que personne ne saurait en effet contester. « Mais supprimer le mot ne supprimera pas la réalité et, dans le cas des demoiselles, c’est tant mieux ! » fait remarquer un (mauvais) esprit de Cesson-Sévigné.

    Roselyne Bachelot, ministre des Solidarités (UMP), s’est empressée de récupérer le sujet en demandant mi-novembre au Premier ministre François Fillon que le terme de « mademoiselle » disparaisse des documents administratifs au profit du seul « madame ». Tout cela  au nom de l’égalité entre les sexes. « On demande dans les documents administratifs de choisir « madame » ou « mademoiselle ». C’est donc une intrusion dans la vie privée puisqu’on demande à la personne de s’identifier comme mariée ou non mariée », s’était  indignée la ministre, invitée de l’émission « Preuves par 3 Public Sénat-AFP ».

    La décision du maire de Cesson-Sévigné devrait donc plaire aux organisations féministes, à Madame Bachelot et à tous les tenants des idéologies à la mode. Michel Bihan aurait pu aussi recueillir l’avis d’Anne-Marie Pourhiet, professeur de Droit public à Rennes 1, mais il s’en est bien gardé.

    A contre-courant, celle-ci déclarait en effet dans un entretien accordé à Riposte Laïque  « Je pense beaucoup de mal du féminisme que j’appelle le « gynécocentrisme ». Je ne comprends pas que l’on puisse se soucier davantage d’un groupe humain que d’un autre au motif que l’on en fait partie (…) Peu m’importe le nombre de femmes à l’Assemblée nationale, ce que je souhaite c’est qu’il y siège une majorité de gens qui aient de bonnes idées et le souci réel du bien commun. Je me moque du sexe des députés ou des dirigeants d’entreprises comme de celui des anges. »

    Mais à la mairie de Cesson-Sévigné, la question du sexe des anges – pardon, de la façon de désigner les célibataires de sexe féminin – était manifestement de la plus haute importance. A défaut d’améliorer réellement la vie de ses administrées, Michel Bihan aura donc bien mérité du « gynécocentrisme ». Ce qui était, sans aucun doute, le but de l’opération.

    Crédits photos : Pymouss/Wikipédia sous licence CC – phoPiechjo licence CC

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
  • L'acteur Fabrice Luchini victime de crachats et d'insultes sur scène

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    C'est le site internet du Parisien qui révèle l'information ce samedi.

    Alors qu’il se produisait sur la scène du théâtre de Villejuif (Val-de-Marne) pour son spectacle, Fabrice Luchini a écourté sa prestation à la suite de crachats, d’insultes lancés par des jeunes cachés sur le toît de l’établissement.

    «Le spectacle se déroulait très bien, raconte un spectateur. Et puis un peu après 21 heures, on a vu des choses tomber à l’arrière de la scène. Alexandre Krief, le directeur, déclare au Parisien: «J’ai immédiatement dépêché un membre de l’équipe technique sur le toît voir ce qu’il se passait.»

    Le technicien découvre alors trois jeunes âgés de 12 ans penchés au dessus d’une trappe qui donne sur la scène. Ces derniers prennent immédiatement la fuite.

    Le directeur poursuit: "Fabrice a cru que c’était politique parce qu’il avait lancé des petites piques sur les communistes et qu’on est dans une ville «rouge», mais ça n’était pas le cas."

    Contacté ce samedi par le Parisien, Fabrice Luchini a tenu à relativiser l'ampleur de cet incident.

    Blog de jeanlucmorandini - 07/01/12

     

  • Marseille - Elle demande un peu de calme, elle est menacée de mort !

     

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    La cohabitation entre retraités et groupes de jeunes, dans certaines cités de la ville peut parfois conduire à des conflits aigus. En milieu de semaine, une femme de 67 ans a été menacée de mort par un garçon de 17 ans à qui elle demandait de faire moins de bruit dans le hall de l'immeuble. Les faits se sont produits dans la cité Saint-Théodore à Marseille (13e).

    Réprimandé, le jeune homme avait alors promis à la sexagénaire de "la tuer à la kalachnikov, avec toute sa famille". Prenant ces menaces aux sérieux, elle avait déposé une plainte, le lendemain. Ayant appris cette démarche, le jeune homme était alors entré dans une colère noire et avait brisé la porte de la victime, à coups de pied. Il a été interpellé, dans la nuit de jeudi à vendredi.

      La Provence - 07/01/12

     

     

  • Saint-Ouen-d'Aunis (17): deux personnes âgées de 96 ans attaquées à leur domicile

    Deux retraités de Saint-Ouen-d'Aunis âgés de 96 ans ont été séquestrés et violentés à leur domicile au lieu-dit Les Longeards dans la nuit de jeudi à vendredi. Au moins deux individus se seraient  introduits dans la maison, tard dans la soirée où ils ont maitrisé instantanément le couple en maintenant la femme et en violentant le mari. 

    Quelque chose a semble-t-il été dérobé dont la nature n'a pas été révélée .

    Vers 3 heures du matin, le mari n'a plus rien entendu mais, choqué, a attendu 8h30 pour donner l'alerte auprès d'un voisin. L'auxiliaire de vie qui est arrivé à la même heure a trouvé la femme très choquée et appelé la gendarmerie qui est intervenue. Les premières constatations ont été réalisées par les gendarmes sous la direction du commandant Fradin de la compagnie de la Rochelle.

    Le couple a été conduit à l'hôpital de la Rochelle. L''enquête est en cours.

    Sud Ouest - 07/01/12

  • "Les minables à 5000 euros" : Copé dément sur Twitter...

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    C'est le buzz du jour sur . Et il est signé Jean-François Copé. Ce samedi après-midi, le secrétaire général de l' a envoyé coup sur coup deux messages sur son compte Twitter qui ont fait le tour de la toile : «Il faut en finir avec ces petites phrases anonymes qui ne sont là que pour nuire et faire le buzz», s'emporte le député-maire de Meaux dans son premier tweet.

     

    «Je démens formellement les propos scandaleux qui me sont prêtés dans le livre L’Oligarchie des incapables», écrit-il dans le second.

    La raison d’un tel pataquès ? Une discussion sur le cumul des mandats rapportée dans cet ouvrage par nos confrères Sophie Coignard et Romain Gubert, où le patron du parti de la majorité présidentielle aurait dit, lors d’un déjeuner avec le député François Goulard : «Tu comprends, si on a ici (à l’UMP) que des gens qui se contentent de 5 000 euros par mois, on n’aura que des minables.»

    Une petite phrase qui fait tache et qui, forcément, est largement reprise sur les réseaux sociaux. «Si comme moi tu es un minable qui gagne moins de 5 000 euros par mois, adresse ton CV à @jf_cope, il paye bien», s’amuse ainsi @Jmnl sur Twitter. Ou encore : «Copé devrait présenter des excuses à tous les # «minables» qui gagnent moins de 5000 € par mois», écrit @albantrwer.

    D’où la réaction du patron de l’UMP sur son propre compte... «C’est du grand n’importe quoi ! Ça suffit ce genre de phrases sorties d'on ne sait où, réagit son entourage. Jean-François Copé n’a jamais dit ça et les auteurs de ce livre ne nous ont d’ailleurs jamais appelé pour vérifier.» Contacté également par nos soins, François Goulard dément l’existence de cette scène : «Je n’ai aucun souvenir d’une telle phrase prononcée par Copé. D’ailleurs, cela fait un sacré bout de temps que je n’ai pas déjeuné avec lui. Vraiment, je ne vois pas où les auteurs ont pu aller chercher une telle phrase», se justifie le député du Morbihan.

    LeParisien.fr  -07/01/12

  • Y a-t-il une "affaire" Carla Bruni ?

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    Carla Bruni, l’épouse de , serait, selon une publiée par l’hebdomadaire « Marianne », au cœur d’un possible « scandale international ». En cause : son rôle comme ambassadrice de la lutte contre le sida, nommée bénévolement à ce titre par les Nations unies, et ce au titre du Fonds mondial de lutte contre le sida, d’Onusida et de l’Unicef.

     

    Et surtout l’utilisation qui aurait été faite des fonds collectés.

    Au terme d’une investigation de plusieurs mois aux Nations unies et dans plusieurs pays, l’auteur de l’article explique que « 3,5 M$ ont été versés par le Fonds mondial de lutte contre le sida, en marge de la légalité et sans appel d’offres, à la demande de la première dame, à plusieurs sociétés d’un de ses amis ».

    De quoi s’agit-il ? Cet ami, selon le magazine, serait le musicien et chef d’entreprise Julien Civange. Celui-ci est le principal conseiller de Carla Bruni-Sarkozy, figure officiellement dans l’organigramme de sa fondation et dispose d’un bureau à l’Elysée. Il fut également le témoin de mariage de Carla Bruni-Sarkozy. Julien Civange détiendrait, selon « Marianne », plusieurs marques et sociétés parmi lesquelles RH & Cie, à laquelle appartient la marque Born HIV Free, spécialisée dans la communication, les assurances et la culture, « mais en aucun cas dans le domaine de la santé ».

    Autre personnalité controversée selon « Marianne », Michel Kazatchkine, le directeur général du Fonds mondial de lutte contre le sida, « grand médecin mais piètre gestionnaire et un ami de Carla Bruni […] Si ses qualités scientifiques sont louées, sa gestion est beaucoup plus décriée. Au Quai d’Orsay, […] on était très sceptique sur ses capacités de management d’une grande organisation comme le Fonds mondial et on trouvait parfois étranges ses procédures de décision ».

    Révélée au conseil d’administration du Fonds mondial de lutte contre le sida à Accra, au Ghana, fin novembre 2011, « cette affaire vient de coûter sa place à un ambassadeur français, le professeur Patrice Debré, qui vient d’être démissionné par Sarkozy », pour des raisons non encore publiques, précise encore le magazine.

    La réponse du Fonds mondial de lutte contre le sida. Dans un communiqué, le Fonds juge cette enquête « inexacte », « trompeuse » et « sensationnaliste ».

    « L’ensemble des contrats concernant la campagne de sensibilisation et le soutien apporté à une page du site Web Carlabrunisarkozy.org consacrée au Fonds mondial […] ont respecté les règles et les procédures très strictes du Fonds. »

    Plus précisément, « la campagne Born HIV Free a fait l’objet d’un examen indépendant qui a confirmé que toutes les règles du Fonds mondial de lutte contre le sida avaient été respectées et que l’ensemble des moyens financiers avait été utilisé avec la plus grande efficacité », répond l’organisation internationale.

    Quant à la démission forcée de Patrice Debré rapportée par « Marianne », elle est démentie formellement par le Quai d’Orsay : « Le départ de Patrice Debré est lié à un changement de positionnement du Fonds qui a désormais davantage besoin de gestionnaires que de cliniciens… » L’Elysée n’a pas souhaité faire de commentaire.

    La réponse de Carla Bruni-Sarkozy. « Aucun argent public n’a jamais été reçu par la fondation », écrit l’épouse du président Nicolas Sarkozy dans un message posté à la une de son site Internet, sous le titre « Droit de réponse de Carla Bruni-Sarkozy ».

    Le Parisien - 07/01/12

  • Polémique autour de Carla Bruni-Sarkozy et de sa Fondation contre l'illettrisme et le sida

    PARIS (Reuters) - Le Fonds mondial de lutte contre le sida juge "inexact" et "biaisé" un article de l'hebdomadaire Marianne affirmant que Carla Bruni-Sarkozy, épouse du président français, a fait bénéficier un de ses amis d'une aide de 3,5 millions de dollars.

    Dans un communiqué, il indique qu'une aide de 2,8 millions de dollars a bien été versée en France pour une campagne "Born HIV Free" ("Né sans le VIH") visant à sensibiliser l'opinion publique à la transmission du VIH de la mère à l'enfant.

    L'institution basée à Genève assure que l'ensemble des contrats de cette campagne et "le soutien apporté à une page du site web carlabrunisarkozy.org ont respecté les règles et les procédures très strictes du Fonds mondial".

    Marianne, à paraître samedi, avance que l'épouse du chef de l'Etat aurait usé de son influence pour faire verser des fonds "en marge de la légalité, et sans appel d'offres" à plusieurs sociétés d'un de ses proches.

    Interrogé par Reuters, l'Elysée a renvoyé au communiqué du Fonds mondial.

    Selon l'hebdomadaire, 3,5 millions de dollars ont bénéficié aux sociétés du musicien et chef d'entreprise Julien Civange, qui serait le principal conseiller de Carla Bruni pour sa fondation et aurait un bureau à l'Élysée.

    Un représentant du Fonds mondial a précisé à Reuters que l'institution avait versé à Julien Civange et quatre collaborateurs 580.000 euros sur une période de 18 mois pour qu'il co-dirige la campagne "Born HIV Free".

    Marianne ajoute que cette affaire, révélée au conseil d'administration du Fonds mondial à Accra, au Ghana, fin novembre 2011, a coûté sa place à un ambassadeur français, le professeur Patrice Debré, qui vient d'être démis de ses fonctions par Nicolas Sarkozy.

    Cet expert en immunologie, ambassadeur chargé de la lutte contre le sida depuis 2009, a été remplacé le 4 janvier en conseil des ministres par Mireille Guigaz, ministre plénipotentiaire.

    DÉMISSION DU DIRECTEUR DU FONDS ?

    "En outre, le directeur général du Fonds mondial, Michel Kazatchkine, vient d'être officiellement écarté aussi, à la demande d'Hillary Clinton même si sa démission réelle ne devrait intervenir que les 21 et 22 mai 2012 - soit après le deuxième tour des présidentielles", ajoute Marianne.

    Le représentant du Fonds mondial interrogé par Reuters assure que "cette décision n'a aucun lien avec les éléments décrits dans l'article de Marianne".

    Julien Civange possèderait plusieurs sociétés qui sont intervenues auprès de la Fondation Carla Bruni-Sarkozy dans les domaines de la communication et la conception de sites internet.

    Selon le Fonds mondial, l'intégralité "a été prise en charge par le budget ordinaire du Fonds mondial et représentait une somme totale de 2,8 millions de dollars, soit nettement moins que le chiffre avancé par Marianne."

    Interrogé par l'auteur de l'article, Michel Kazatchkine affirme que s'il n'a pas prévenu le conseil d'administration du Fonds mondial des flux financiers vers Paris, il a néanmoins tenu informé le "comité financier".

    Il ajoute que Carla Bruni lui aurait "personnellement dit qu'elle avait totalement confiance en Julien Civange auquel elle avait délégué le dossier du sida".

    Marianne s'interroge sur l'opacité de la Fondation créée en 2009 par Carla Bruni pour lutter contre l'illettrisme et le sida.

    Selon l'hebdomadaire, la Fondation Carla Bruni-Sarkozy ne dispose pas d'existence juridique réelle, ses activités étant rattachées à la Fondation de France, un organisme privé et indépendant qui aide à concrétiser des projets à caractère philanthropique, éducatif, scientifique, social ou culturel.

    "De ce fait, elle n'aurait ni comptabilité propre, ni compte en banque, ni secrétariat juridique, l'intégralité de ces fonctions étant assurée par l'institution qui l'héberge", précise un document publié sur le site de l'hebdomadaire.

    Interrogée par Reuters, Cléa Martinet, secrétaire générale de la Fondation Carla Bruni-Sarkozy, a répondu : "Cet article est mensonger sur plusieurs points concernant la Fondation".

    La Fondation explique qu'elle a un bureau à Paris, réunit son comité exécutif deux fois par an et a dépensé 2,49 millions d'euros en 2011, le double de 2010.

    Gérard Bon, Thierry Lévêque, Brian Love, édité par Sophie Louet

    Le Point - 06/01/12

  • Légitime défense: un voleur abattu légalement par une jeune femme dans l'Oklahoma

      06/01/2012 – 18h00
    WASHINGTON (NOVOpress) – Derrière la politique détestable, expansionniste, impérialiste et guerrière des Etats-Unis se cachent quelques lois fédérales protégeant les citoyens américains et leur liberté et dont nos dirigeants européens auraient tout intérêt à s’inspirer pour assurer la paix civile.

    Outre le 2ème amendement de la constitution américaine, qui autorise chaque américain à posséder des armes à feux chez lui, des lois fédérales en vigueur dans une majorité d’Etats permettent aux citoyens de se défendre en cas d’agression, en cas de violation de domicile ou de tentatives de vol, de cambriolage, d’attaque à la personne…

    La courageuse Sarah McKinley connaissait ses droits et n’a pas hésité à s’en servir, pour protéger son bébé et son habitation. Le soir de la Saint Sylvestre, alors qu’elle se trouve seule avec son bébé (son mari étant décédé la veille de Noël d’un cancer) , un homme essaie de forcer la porte de sa maison . Après avoir prévenu les secours, elle prend son fusil et attend que l’homme entre. L’officier de police l’informe de ses droits par téléphone et lui demande d’attendre l’effraction afin de pouvoir tirer en toute légalité, en vertu de la “Castle doctrine”, la doctrine du château” (légitime défense) selon la loi en vigueur dans 30 États américains.

    Lorsque l’homme pénètre dans la maison, elle met le bébé dans sa chambre, attend que l’homme entre dans la pièce où elle se trouve et ouvre le feu, abattant le délinquant qui meurt sur le coup.

    En France, le politiquement correct, le refus de toute légitime défense réelle et la législation répressive sur les armes auraient amené  la jeune femme en prison pour homicide volontaire. Heureusement pour Mme McKinley, elle est américaine et ne sera pas poursuivi par la justice américaine.

    A l’heure où des kalachnikovs et des armes de guerre circulent rapidement et librement dans de nombreuses cités, à l’heure où les délinquants s’arment facilement et n’hésitent pas à faire usage de leurs “jouets”, il serait peut être temps que les gouvernants actuels prennent des mesures fortes permettant aux citoyens d’assurer leur propre sécurité quand celle-ci ne peut pas être assurée par les services de police.

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