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Blog - Page 1320

  • Charente: une famille disparue mystérieusement il y a 39 ans... Le dossier est rouvert

    Le mystère autour de la disparition d'une famille charentaise va peut-être être résolue. Les gendarmes ont en effet décidé de rouvrir un dossier vieux de près de 40 ans, selon une information parue sur France-Info.


    En 1972, Jacques Méchinaud, 31 ans, son épouse Pierrette, 29 ans et leurs enfants, Eric, 7 ans, et Bruno, 4 ans, quittent des amis chez qui ils ont passé le réveillon de Noël. Mais ils n'arriveront jamais à leur maison de Boutiers-Saint-Trojan, situé à un jet de pierre du domicile de leurs amis.
     
    Lors des investigations, une semaine après la disparition, les enquêteurs retrouvent des victuailles intactes dans le réfrigérateur, des cadeaux au pied du sapin au domicile de la famille.... Ce seront les rares éléments disponibles pour l' qui... s'arrêtera là.

    Avec de nouveaux outils-radars terrestres et subaquatiques- les gendarmes espèrent élucider cette ancienne affaire. Depuis le début de semaine, plongeurs, spéléologues sondent les moindres recoins. «On va dans des endroits où jamais les recherches n'ont été faites, ou d'autres où les moyens de l'époque étaient limités», a indiqué sur France-Info, Georges Pierrini, le commandant de la gendarmerie de Cognac.
     
     
    Le Parisien - 24/11/11

  • Julien Rochedy invité de "Daily Mouloud" sur Canal + !

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  • BHL ou l'ambiguïté franco-israélienne...

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    24/11/2011 – 16h00
    PARIS (NOVOpress) -
    « J’ai porté en étendard ma fidélité à mon nom et ma fidélité au sionisme et à Israël ». « C’est en tant que juif que j’ai participé à cette aventure politique, que j’ai contribué à définir des fronts militants, que j’ai contribué à élaborer pour mon pays et pour un autre pays une stratégie et des tactiques ». « Je ne l’aurais pas fait si je n’avais pas été juif »

    Ces propos, que Bernard-Henri Lévy a tenus le 20 novembre 2011 lors de la première convention nationale “Demain, les juifs de France” (organisé par le CRIF), provoquent plusieurs interrogations : comment l’Etat français, souverain, a-t-il pu amener dans ses valises un écrivain, dépourvu de toute légitimité populaire, à la table des négociations visant à la chute du colonel Kadhafi ? Comment quelqu’un qui se définit comme un fidèle d’Israël peut-il faire partie d’une délégation du ministère français des Affaires étrangères ?

    Ces propos émanant d’un “diplomate français” autoproclamé  (avec l’aval du président de la République Nicolas Sarkozy) confirment que la France, en donnant mandat à ce type de personnage, a décidément abandonné toute volonté politique pro-arabe au moyen et au proche Orient, préférant devenir le valet d’un axe américano-sioniste qui ne se cache même plus.

    Les récentes menaces d’Alain Juppé envers l’Iran semblent confirmer ce choix, qui risque de peser lourd dans la vision qu’ont les pays arabes de la France, qui avait jusqu’à présent toujours été considérée comme un partenaire privilégié.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [ht

  • Adoption: des enfants haïtiens abandonnés à la DDASS

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    (Cliquez sur la photo)

    Ces jours-ci, plus d’un an après avoir accueillis les petits, des familles abandonnent l’enfant adopté aux services de la DDASS.
    Leur raison est que ces petits Haïtiens sont trop difficiles à vivre, ont de gros problèmes d’intégration, et sont souvent violents. Et personne n’en parle car c’est devenu un tabou.


    Actuellement 2% du total des adoptions sont un échec, les parents « abandonnent » à la DDASS les enfants qu’ils ont adoptés. L’évaluation officielle est de 80 enfants ramenés chaque année aux services sociaux. Pourtant c’est répréhensible puisqu’à Nantes une famille adoptive avait été condamnée pour avoir abandonné deux enfants éthiopiens.
    Ils avaient été condamnés à 9 mois de prison avec sursis, en mars 2010. La question que tout le monde se pose : Y a-t-il plus de soucis avec ces enfants d’Haïti qu’avec les autres ?

    Un enfant sur dix abandonné ?

    (…) «Malade, difficile à s’insérer, parfois violent, l’enfant rêvé et l’enfant réel ne se rejoignent pas toujours, explique Hélène, pédopsychiatre, qui a reçu certains de ces cas. L’adoption est vraiment une greffe qui prend ou ne prend pas.(…)

    Tabou par excellence: 80 petits adoptés seraient abandonnés chaque année en France, soit 2% du total des adoptions. Une statistique nettement sous-estimée, selon les spécialistes qui parlent, eux, d’un cas sur dix.

    Sources : Terra Femina, Le Figaro merci à Jean

    Défrancisation - 23/11/11

    NdB: il ne fallait pas les adopter, il ne fallait pas les déraciner pour ensuite les abandonner  à la DDASS, comme des "jouets" qui ne plaisent plus! C'est triste, c'est scandaleux! Honte à ces adoptants français incapables d'assumer leur responsabilité vis-à-vis de ces pauvres enfants!

     

     

  • Italie: grande offensive mondialiste pour imposer le droit du sol

    23/11/2011 – 09h10
    ROME (NOVOpress) —
    C’était censé être un gouvernement technique, mis en place dans l’urgence pour faire face à la crise financière. Mais le ministère Monti n’a pas tardé à se montrer pour ce qu’il est vraiment, une coalition de toutes les puissances mondialistes, des banques aux communistes en passant par les immigrationnistes chrétiens. Peu leur importe que l’Italie soit au bord de la faillite, leur priorité absolue est de remplacer le droit du sang encore en vigueur par le droit du sol. Le lobby « catho-communiste », qui en rêve depuis longtemps, avait lancé en septembre une campagne pour soumettre cette réforme à un référendum d’initiative populaire. L’initiative ne semble guère avoir trouvé d’écho mais les immigrationnistes comptent désormais sur leurs amis de la Goldman Sachs. C’est effectivement beaucoup plus sûr.

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    Le président de la République, le communiste Giorgio Napolitano, a ouvert les hostilités le 15 novembre, immédiatement après avoir chargé Mario Monti de former le nouveau gouvernement. Dans un grand discours aux « nouveaux citoyens italiens », il avait exalté l’immigration comme « une grande source d’espérance » pour l’Italie. « Les mineurs étrangers résidant en Italie sont près d’un million ; plus de 700.000 étudient dans nos écoles. Sans ces jeunes », a expliqué le dinosaure communiste, aujourd’hui âgé de 86 ans, « notre pays serait nettement plus vieux et aurait une moindre capacité de développement ». Se réjouissant que « au cours des 20 dernières années, entre 1991 et 2011, le nombre des résidents étrangers en Italie ait été multiplié par douze », Napolitano a déploré que les immigrés devenus italiens « soient encore relativement peu nombreux ».

    Napolitano est revenu à l’assaut aujourd’hui en recevant la Fédération des églises évangéliques en Italie. Le chef de l’État italien n’a pas craint de qualifier la loi italienne, qui n’accorde pas la citoyenneté aux enfants d’étrangers nés en Italie, d’« authentique folie » et d’« absurdité », avec ce magnifique argument : « les enfants ont cette aspiration ». Il a dit espérer que la question puisse être réglée au Parlement, en profitant du changement de gouvernement.

    Napolitano a déclaré mettre en particulier ses espoirs dans le nouveau ministre de la Coopération internationale et de l’intégration sociale, qui n’est autre qu’Andrea Riccardi, le fondateur de la puissante et ultra-immigrationniste communauté catholique Sant’Egidio, fer de lance de « l’esprit d’Assise ». Riccardi, promu ministre sans avoir jamais été élu, vient de son côté d’exprimer son soutien total au vieux communiste dans l’hebdomadaire Famiglia Cristiana. Selon lui, « les étrangers rajeunissent le pays. Un mineur sur cinq est étranger. Et ce n’est qu’un aspect de leur apport à l’Italie. L’économie bénéficie de leur activité, si bien que 70% d’entre eux sont clients d’établissements de crédit » (source).

     Ce n’est plus le sabre et le goupillon, c’est le guichet de banque et la chaloupe de Lampedusa.

    Les démocrates chrétiens et toute la gauche marchent avec enthousiasme. Selon Dario Franeschini, président du groupe parlementaire du Parti Démocrate, une loi instaurant le droit du sol « pourrait être adoptée par la Chambre d’ici Noël ». Le seul parti parlementaire à rejeter catégoriquement la proposition présidentielle est la Ligue du Nord. Selon l’ancien ministre Roberto Calderoli, la Lega est « prête à dresser des barricades à la fois au Parlement et dans la rue ».

    Photo: Mario Monti au “World Economic Forum” à Bruxelles en mai 2010. Crédit : Youssef Meftah / WEF via Flickr (cc)

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  • Les éditions L'Age d'Homme fêtent leurs 45 ans samedi place Saint-Sulpice à Paris

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    23/11/2011 – 15h30
    PARIS (NOVOpress) —
    Rendez-vous samedi 26 novembre place Saint-Sulpice (6ème arrondissement de Paris) pour les 45 ans des éditions L’Âge d’Homme et un hommage à leur fondateur et directeur, Vladimir Dimitrijevic.

    Cet événement aura lieu de 14 heures à 19 heures.

    Au programme :
    - Florilège des éditions L’Âge d’Homme : les plus belles histoires éditoriales, rencontres avec les directeurs de collections et de revues, et les auteurs.

    - Lectures d’extraits d’œuvres de Gripari, Haldas, Volkoff… par Guy Moign et Nell Reymond

    - Films : Sablier du siècle – Pierre-Marie Gallois, par Claude Herdhuin (avant-première mondiale) ; Personne déplacée – portrait de Vladimir Dimitrijevic, par Jean-Claude Bonneau et le père Nicolas Ozoline.

    - Librairie L’Âge d’Homme et vente de livres rares.

    - Exposition de photos d’écrivains de L’Âge d’Homme par Louis Monier.

    - Chœur orthodoxe Saint-Siméon de la cathédrale serbe Saint-Sava à Paris, dirigé par Nana Peradze

    - Exposition des carnets de dessins de Vladimir Volkoff.

    - Concert balkanique sous la direction de Dragoslav Djuric.

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  • Cartoon - L'automne européen

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    (Cliquez sur le dessin pour l'agrandir)

  • A la découverte du projet présidentiel de Marine Le Pen

     

    Samedi 19 novembre 2011, Marine Le Pen a présenté à Paris les grandes lignes de son projet présidentiel.

    Dans le même temps, l’intégralité de ce projet a été mis en ligne sur le site de campagne www.marinelepen2012.fr

    Le projet est organisé en 5 grandes rubriques, elles-mêmes divisées en thèmes détaillés :

    1. Autorité de l’Etat

    2. Avenir de la Nation

    3. Politique étrangère

    4. Redressement économique et social

    5. Refondation républicaine

    Découvrez aujourd’hui par exemple « Autorité de l’Etat » : Anciens combattants, Défense, Etat fort, Fonction publique, Immigration, Justice, Sécurité, Services publics

    Bonne lecture !

    NPI - 23/11/11

  • Célébration de la Fête nationale algérienne à Metz: un intolérable faux pas

     

    Communiqué de Françoise Grolet, conseiller régional de Lorraine, membre du Bureau politique du Front National

    Vendredi 18 novembre 2011, dans la salle de l’Orangerie à Metz, le consul d’Algérie a célébré avec une centaine d’invités le 57e anniversaire de la révolution du 1er novembre 1954.

    1er novembre 1954 en Algérie : le jeune instituteur Guy Monnerot, tout juste nommé dans un village des Aurès, est froidement assassiné dans un autobus, sa femme laissée pour morte. Trente attentats ensanglantent le territoire, et à 18h, un communiqué du FLN sur la radio du Caire proclame : « L’Algérie a engagé aujourd’hui une lutte grandiose pour la liberté et l’islam ».

    57 ans plus tard, vient de paraître un livre choc : Un silence d’État de l’historien Jean-Jacques Jordi, chargé officiellement de dépouiller les archives confidentielles de la guerre d’Algérie. Des vérités occultées explosent à la figure du lecteur, comme ces 40 personnes séquestrées pour servir de donneur de sang aux combattants du FLN, dont des cadavres sont retrouvés exsangues le 21 avril 1962 à Oran, ou les multiples Européennes séquestrées dans les bordels du FLN surtout après le « cessez le feu » du 19 mars 1962. Ces crimes connus, cautionnés, voire organisés par le pouvoir algérien et l’État français, font voler en éclats le manichéisme mémoriel ambiant. « Jamais je n’aurais imaginé découvrir de tels faits » a reconnu Jean-Jacques Jordi.

    La fête nationale algérienne commémore pour la France un effroyable désastre politique et humain. Sa célébration dans notre pays est inacceptable, dans le cadre prestigieux de l’Arsenal de Metz, en présence d’invités officiels au premier rang desquels le député UMP Marie-Jo Zimmerman.

    En 2012 sera commémoré le 50e anniversaire de la fin de la guerre d’Algérie. En mémoire du martyre des Harkis abandonnés par la France, et traités de « collaborateurs » par le président algérien Bouteflika, en souvenir du calvaire des pieds-noirs chassés de leur terre natale, et au nom des milliers d’Européens enlevés après le 19 mars 1962 dont 4.000 n’ont jamais été retrouvés, la cérémonie provocatrice de Metz ne doit pas se reproduire.

     L’avenir ne peut se construire que sur la vérité : Marine Le Pen souligne dans son projet présidentiel cette nécessité, préalable au retour de saines relations avec notre voisin l’Algérie.

  • Une messe empêchée en Kabylie

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    (Cliquez sur l'image)

    On s’indigne de l’évangélisation de la Kabylie mais on trouve parfaitement normal que des imams islamisent toute la banlieue en France ! " Dilem, caricaturiste Algérien.

    Lu dans Tout sur l'Algérie du 23 mai : 

    " Toutes les églises protestantes de la wilaya de Béjaïa sont sommées de fermer en vertu d'un arrêté datant du 8 mai dernier et qui a été rendu public dimanche. « C'est le wali en personne qui a signé un arrêté pour la fermeture définitive de toutes communautés protestantes de la wilaya de Béjaïa », a indiqué Mustapha Krim de l’Eglise protestante d’Algérie (EPA) à TSA. « Ils ne nous ont donné aucune raison. Ils nous ont simplement signifié que c'est en rapport avec la loi 0603 du 28 février 2006 régissant la pratique du culte non musulman en Algérie », a‑t‑il ajouté. Lire la suite 

    Analyse de l'Observatoire de l'islamisation :

                                 

    Lundi 21 juin 2004, le ministre algérien des Affaires religieuses, Bouabdallah Ghlamallah,  dénonça l'évangélisation des kabyles en Algérie dans une conférence de presse à Alger. Il rappela  que l'islam est la « religion d'Etat et de tous les Algériens », puis  avertit que l’apostolat chrétien entraînerait irrémédiablement un affrontement : « Il y aura effusion de sang ». En mars 2008, il tient des propos tout aussi durs dans le journal L’Expression : « J’assimile l’évangélisation au terrorisme ». Entre ces deux déclarations fracassantes, en mars 2006, une loi algérienne marqua clairement le virage islamique du régime. La loi prévoit des peines de 2 à 5 ans de prison et une amende de 500.000 à 1.000.000 de dinars (5.000 à 10.000 euros) contre toute personne qui « incite, contraint ou utilise des moyens de séduction tendant à convertir un musulman à une autre religion ». Les mêmes sanctions sont prévues contre toute personne qui « fabrique, entrepose, ou distribue des documents imprimés ou métrages audio-visuels ou tout autre support ou moyen, qui visent à ébranler la foi musulmane ». La loi n’a pas tardé à être suivie d’application.

     

    - En juin 2006, une trentaine d’étudiants Africains, qui eurent tort d’assister à un séminaire chrétien en Kabylie, eurent 10 à 15 jours pour quitter le territoire, une fois confisqués leurs titres de séjours.

     

    - Le prêtre catholique Pierre Wallez, résidant en Algérie depuis de nombreuses années, fut été condamné le 30 janvier 2008 à un an de prison avec sursis par le tribunal de Maghnia (ouest Algérien).

     

     - A Oran, le père Hugh Johnson, en retraite depuis 2006, vit toujours sous la menace d’une expulsion. Il attend la réponse au recours introduit devant le Conseil d’Etat.

     

     - Le 21 mars 2008, huit ressortissants Suisses, devant animer des séminaires en Kabylie furent priés par la police de quitter le territoire.

     

     - Il n’est pas possible non plus pour les prêtres français d’obtenir des visas pour l’Algérie, à l’image de l’évêque de Pontoise Mgr Riocreux qui s’est vu refuser une visite à la communauté catholique d’Algérie en mars 2008.

     

      -En juillet 2008, deux Algériens convertis au Christianisme furent condamnés à 1000 euros d’amende. 

     

      -Selon Mustapha Krim, président des Eglises protestantes en Algérie, rien qu’entre janvier et mars 2008, dix églises protestantes ont été fermées dans tout le pays.  

     

    Consulter notre catégorie sur l'Algérie        

     

    Observatoire de l'islamisation, 24  mai 2011

  • Le couple Strauss-Kahn dément "formellement" vouloir s'installer en Israël

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    (Cliquez sur la photo)

    Dominique Strauss-Kahn et son épouse Anne Sinclair ont formellement démenti, mercredi dans un communiqué de leur avocat, vouloir s’installer en Israël, contrairement à ce que suggère l’hebdomadaire people Gala dans son dernier numéro.

    "Toujours avec DSK... Leur nouvelle vie en Israël", annonce en une Gala dans son numéro du 23 novembre, où l’hebdomadaire évoque un voyage du couple en Israël, "sans date précise de retour".  Le webzine d'opinion israélien JSSnews.com, généralement bien informé, affirmait lui aussi: Dominique Strauss-Kahn et Anne Sinclair auraient décidé de s'installer en Israël pour une période indéterminée. Une affirmation qui intervient après recoupage d'informations émanant de différentes sources, note le site.

    C'est un séjour du couple dans le pays, la semaine dernière, qui a éveillé les soupçons. Dans la plus grande discrétion, DSK et son épouse aurait passé deux jours avec l'homme d'affaire Jean Friedman. Personnalité proche du Parti socialiste français et du président Mitterrand, il est, dans l'Etat juif, proche du Parti travailliste.

    Mais au Journal du Dimanche, un proche du couple avait expliqué leur escapade de la manière suivante: «Ils ont préféré se mettre un peu au vert, quitter la place des Vosges et les paparazzi», note de son côté France Soir qui a lui aussi repris l'information.

    La réaction de l'avocat de presse du couple Strauss-Kahn, Me Richard Malka, a été immédiate. "Anne Sinclair et Dominique Strauss-Kahn démentent avoir formellement avoir jamais envisagé de s’installer en Israël comme le prétend aujourd’hui Gala, un hebdomadaire en mal d’information". "Ces rumeurs sont profondément malsaines et mal intentionnées", a ajouté le conseil.

    Selon JSSnews.com, l'ex-patron du FMI aurait par ailleurs reçu une proposition de poste important dans le secteur privé. Selon plusieurs sources israéliennes jugées «fiables» par le site, DSK pourrait prendre la relève de Stanley Fischer, au poste de Gouverneur de la Banque d'Israël.

    Mardi, le couple a annoncé qu’il allait attaquer cinq médias en diffamation (Le Figaro, L’Express, le Nouvel Observateur, Paris Match et VSD) pour leur couverture de l’affaire de proxénétisme du Carlton de Lille dans laquelle DSK pourrait être prochainement entendu.

    Le Matin.ch - 23/11/11

  • DSK et sa femme s'installent en Israël ?

    Scoop JSSNews - 23 novembre 2011

    Depuis plusieurs jours les rumeurs de l’installation de Dominique Strauss Kahn et d’Anne Sinclair en Israël se propagent. Certain le voyaient déjà à la tête de la Banque d’Israël.

    Selon des informations obtenues par JSSNews et recoupées par plusieurs sources fiables, Dominique Strauss Kahn aurait décidé de s’installer en Israël avec son épouse et aurait eu une proposition de poste important dans le secteur privé.

    Leur séjour en Israël chez leur ami Jean Frydmann, présenté comme un voyage de détente, aurait eu pour but de préparer l’installation du couple pour une période indéterminée dans l’État Juif. D’ailleurs aucune date n’avait été annoncée pour leur retour en France.

    DSK néanmoins n’entendrait pas se soustraire à la justice française et se rendrait dans 15 jours en France pour être auditionné en tant que « témoin assisté » par les juges d’instruction en charge du  dossier du Carlton de Lille.

    Antoine Chatrier – JSSNews

  • Val d'Oise: Khalel humilié par son enseignante à cause de sa coiffure

    Khalel, 10 ans, ne va plus à l’école de gaîté de cœur. Scolarisé en classe de CM 2 à l’école Paul-Roth d’Osny, cet élève qualifié de « bon élément » explique avoir été humilié par la directrice et sa maîtresse en raison de sa nouvelle coupe de cheveux jugée « extravagante ».

     

    Les faits remontent aux 14 et 15 novembre et ont créé un traumatisme chez l’enfant et sa maman, qui l’élève seule. « Khalel aime le foot et le champion , il voulait lui ressembler au travers de sa coupe de cheveux », raconte Fewzia, la maman. Lorsqu’il sort de chez le coiffeur avec son oncle, l’enfant a une petite crête sur le dessus et le long de la , ce qu’il décrit comme un dégradé à l’espagnole.« J’avais envie de cette coupe de cheveux avec des traits plus courts sur les côtés et du gel, il y a d’autres copains qui ont la même et qui vont à l’école », explique Khalel. Mais à l’école, le règlement intérieur stipule que les coupes de cheveux « extravagantes » ne sont pas tolérées.

    « En me voyant, la maîtresse m’a envoyé dans le bureau de la directrice, raconte l’enfant. Là, elle m’a dit : On dirait un Iroquois. Je ne savais même pas ce que ça voulait dire. Elle m’a expliqué que c’était comme les Indiens. Elle m’a emmené dans la salle où il y avait les autres instituteurs et elle leur a demandé ce qu’ils pensaient de ma coupe de cheveux. Ils ont répondu chacun leur tour. Tous n’étaient pas contre. »

    Une autre scène se serait produite le lendemain avec la maîtresse. « Dans la salle vidéo, on était assis sur les bancs et elle a dit que des parents se plaignaient de mon comportement. Elle a demandé aux élèves ce qu’ils pensaient de moi et de ma coupe de cheveux », précise Khalel.

    « J’étais en déplacement à l’étranger lorsque c’est arrivé, mon fils m’a tout raconté jeudi lorsque je suis rentrée. Il pleurait, j’ai senti l’humiliation qu’il a vécue dans son récit. Il m’a demandé de faire quelque chose. Aujourd’hui, il me dit qu’il a envie de mourir… Je n’accepte pas que l’on mette en exergue mon fils de cette façon », raconte Fewzia, qui a jugé la coupe de cheveux « originale ». Si, depuis, Khalel est retourné chez le coiffeur, il a surtout senti le besoin de parler à la psychologue scolaire de ce qui s’était passé. « Je stresse beaucoup, j’ai peur qu’il m’arrive quelque chose », réagit l’enfant.

    Au lendemain du rendez-vous entre la maman de Khalel et la directrice de l’école Paul-Roth, l’inspection académique réfute les accusations portées par la mère. « L’enfant n’a jamais été mis en exergue comme cela est décrit », fait-elle savoir. L’inspection note simplement « une maladresse » et assure que l’inspectrice en charge de la circonscription ira prochainement à la rencontre de l’équipe enseignante afin « de rappeler les règles et les principes ».

     Quant au comportement de l’écolier, l’inspection parle d’un « enfant agité » également qualifié de « leader négatif dans la classe ». Une rencontre entre la maman et l’inspection académique est programmée vendredi prochain.

    Le Parisien - 23/11/11

  • DSK: la justice américaine avait-elle connaissance de l'affaire de proxénétisme du Carlton ?

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     Douglas Wigdor, avocat de Nafissatou Diallo, ne lâchera rien

    Les affaires du Carlton de Lille (Nord) et du Sofitel de NewYork (Etats-Unis) se sont-elles télescopées ? Douglas Wigdor, l’un des deux avocats américains de la femme de chambre Nafissatou Diallo, s’interroge sérieusement après les révélations en série liées à l’enquête sur un réseau de proxénétisme lillois, où le nom de Dominique Strauss- Kahn est cité sur des procès-verbaux et des écoutes.

    Il pointe un échange jugé «crucial» entre la juge Melissa Jackson, qui présidait à NewYork l’audience de mise en accusation de DSK, le 16 mai 2011, et le procureur Artie McConnell, deux jours après l’arrestation de l’ex-patron du FMI.

    Selon Douglas Wigdor, cette brève conversation pourrait avoir fait référence à l’information judiciaire ouverte le 28 mars 2011 à Lille, après seulement un mois d’enquête préliminaire. Dans le compte rendu de cette audience, la juge Jackson questionne, à 12 h 8, le procureur en charge de l’enquête qui vient de parler d’un précédent, éventuellement imputable à DSK. « Pourrais-je savoir à quoi fait référence le fait précédent évoqué ? Cette se déroule-t-elle aux Etats- Unis ou quelque part ailleurs ? » Le procureur adjoint McConnel répond : « Je crois bien que c’est à l’étranger. »

    Des écoutes téléphoniques compromettantes

    Cette allusion évoque-t-elle l’agression dont Tristane Banon dit avoir été victime en février 2003 et dont les médias français se sont déjà fait l’écho ? Difficile à croire. A cette époque, les faits allégués par la jeune romancière ne font l’objet d’aucune enquête. Elle ne portera plainte pour «tentative de viol» que début juillet. Une affaire classée, depuis, par le parquet de .

    Les avocats de Nafissatou Diallo, qui accuse DSK de , fait pour lequel la justice américaine a abandonné les poursuites, sont formels. Pour eux, l’échange entre la juge et le procureur est sans doute une occasion loupée, pour la justice new-yorkaise, d’approfondir son enquête sur DSK. « Si le procureur général était bien au courant de cette enquête (NDLR : sur l’affaire du Carlton) qui dévoile le comportement présumé brutal de M. Strauss-Kahn vis-à-vis des femmes, pourquoi ne s’est-il pas donné plus de temps pour obtenir davantage de preuves contre cet homme avant de renoncer aux charges qui pesaient contre lui ? C’est un échec pour le parquet général de New York. Il disposerait aujourd’hui d’un trésor d’informations accréditant l’agression sexuelle dont a été victime Nafissatou Diallo», argumente Douglas Wigdor. Le nom de Dominique Strauss-Kahn a-t-il pu être soufflé aux services du procureur général de New York par des personnes proches, en France, de l’enquête sur le Carlton ? Contactés, les services du parquet général de New York ont refusé de s’exprimer sur le sujet. Une chose est sûre. Selon nos informations, le nom de DSK est apparu dans l’enquête sur le Carlton dès le lendemain de son arrestation à New York. Le 15mai, Roger Kojfer, chargé des relations publiques du Carlton aujourd’hui écroué, parle de DSK au téléphone, ignorant qu’il est sur écoute. Cette conversation du 15 mai 2011, qui débute à 10 h 47 avec un certain Léon, évoque d’emblée les soupçons de violence visant à l’époque Strauss-Kahn, à qui il prétend avoir fourni des filles…

    « René Kojfer :… Moi je le connais, enfin je le connais parce que je…euh, je connais ses réactions, mais bon c’est un…

    Léon : T’es un fournisseur, on m’a dit que t’es un fournisseur…

    René :Une fille ou deux je lui ai…peu importe, mais je vais te dire un truc, bon c’est son truc, mais aller jusque-là euh…»

    Ce même jour, à 16 h 33, Kojfer s’entretient avec un proche, le proxénète présumé Dodo la Saumure. Il y est à nouveau question de DSK.

    « Dodo :… Tu sais quand je lui avais ramené des filles, tu te souviens. René: Je sais.

    Dodo:Il avait voulu baiser Béa dans les toilettes, d’ailleurs en force.

    René Kojfer :…C’est un gros cochon il est pire que moi. »

    Cette conversation, comme toutes celles «intéressant l’enquête en cours», a été retranscrite sur procès-verbal dès le 16 mai. Dans les semaines suivantes, le Monsieur Relations publiques du Carlton évoquera à plusieurs reprises, au téléphone, sa proximité avec DSK. Un éclairage dont les avocats de Nafissatou Diallo auraient, à coup sûr, aimé bénéficier.

    Le Parisien - 23/11/11

     

  • Le martyre d'Agnès: le coupable doit être puni, les responsables aussi !

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      Selon le Parquet de Clermont-Ferrand, la malheureuse Agnès a été attirée en forêt, violée puis tuée “de façon extrêmement violente et brutale” par un condisciple décrit comme un jeune homme “froid et sans émotion”.

    On apprend surtout que le présumé coupable, récidiviste en matière d’agresion sexuelle, était placé sous contrôle judiciaire depuis fin 2010 pour des faits commis “dans des circonstances identiques sauf que cette fois là la victime est restée en vie”. Un bel enrobage pour dire qu’on a laissé à une brute homicide toute facilité pour récidiver et cette fois pour tuer.

    Incarcéré quatre mois, le violeur s’est retrouvé libre de ses mouvements dans un internat mixte où d’aucuns avaient jugé bon de le placer : une décision prise par “des magistrats de haut niveau, des psychiatres et un psychologue” selon un responsable du rectorat (sur RTL) qui reconnait quand même que le placement choisi “n’était peut-être pas le meilleur”, mais affirme que le jeune homme avait été considéré officiellement comme “réadaptable, réinsérable et sans aucune dangerosité”. Moins d’un an après, le brave petit bonhomme viole, massacre effroyablement et brûle le corps d’ une de ses camarades !

    Alors des noms et des sanctions ! Les noms des bobos “psy” et des magistrats dont on peut se demander s’ils ont erré par incompétence ou par angélisme, s’ils sont des jean-foutre ou des militants du laxisme, mais qui n’en sont pas moins responsables du martyre d’une innocente jeune fille et ce n’en déplaise à l’ineffable Rosenczveig (président du tribunal pour enfant de Bobigny) qui estime que dans cette affaire son confrère “avec la caution du Parquet, des psychiatres (…) a pris une décision de bon sens” et que tous ces gens sont “des personnes compétentes qui ont fait leur travail.”

    Des sanctions pour ces foutriquets de la “compétence”, robins ou charlantans du ciboulot, à qui l’on devrait imposer de visionner l’autopsie de la malheureuse victime, de voir et de sentir les restes calcinés, de rencontrer et d’écouter les parents… juste pour voir si leur sensiblerie envers une crapule ne deviendrait pas de l’humanité pour sa victime. Le bourreau d’Agnès doit être puni, et sévèrement. Ceux qui ont permis qu’il devienne son bourreau aussi.

    Yves Darchicourt dans Synthèse nationale

    Altermedia.info - 20/11/11

    NdB: Selon le Parisien, les parents n'ont pas été autorisés à voir la dépouille de leur fille.

    Pour violer sa première victime, une amie d'enfance âgée de 15 ans, Mathieu l'avait attirée dans un bois sous un prétexte futile, l'avait ligotée à un arbre,  puis il avait utilisé des "instruments".

    La jeune fille pense aujourd'hui, après le meurtre d'Agnès, qu'elle est une "miraculée".

    Comment les parents de Mathieu, sachant le viol qu'il avait commis, ont-ils pu mettre leur fils dans un lycée mixte, où se trouvaient donc des jeunes filles qui pouvaient être ses prochaines victimes?  Quelle inconscience, quelle irresponsabilité de la part de ces gens ! Ils ne pensaient qu'à leur fils, sans se soucier des autres à qui il pouvait faire du mal.

  • La pseudo-indignation des Indignés

    Lire l'article: http://fr.altermedia.info/culture/la-pseudo-indignation-des-indigns_38112.html#more-38112

    + Nombreuses photos et vidéo

    Altermedia.info - 21/11/11

  • Autriche: le chef de la police de la ville de Graz s'inquiète à son tour de l'islamisation

    22/11/2011 – 17h30
    GRAZ (NOVOpress via unzensuriert.at) —
     Quoiqu’elle soit consciencieusement déniée par les faiseurs d’opinion, l’islamisation des villes autrichiennes se poursuit lentement mais sûrement, à tel point que même le chef de la police de la ville Graz (Styrie) s’en inquiète publiquement.

    Autriche : le chef de la police de la ville de Graz s'inquiète à son tour de l'islamisation

    Dans une interview accordée à la Kleine Zeitung, Alexandre Gaisch a ainsi reconnu l’existence d’une volonté de pouvoir des islamistes, qui s’affichent de plus en plus clairement à travers la ville, comme par exemple quand des fondamentalistes posent devant la mairie avec un drapeau du djihad.

    Le chef de la police se montre particulièrement préoccupé par les mosquées. « Les Bosniaques ont déclaré avoir dépensé 12 millions d’euros pour [la construction de] leur mosquée de la Herrgottwiesgasse. Cela n’a pas pu être financé par les seuls membres de cette association. Nous suspectons fortement qu’il y a derrière tout cela des intérêts étrangers, probablement d’Arabie Saoudite. En Bosnie où il y a aujourd’hui des problèmes, c’était pareil ».

    Selon Gaisch, les mosquées fonctionnent tout à la fois comme centre culturel et comme centre social, permettant aux musulmans d’adopter un style de vie propre, lié aussi à une plus forte natalité. L’augmentation du nombre de représentants de ces cultures étrangères aura aussi ses conséquences: « ils se feront aussi peu à peu leur place dans les instances politiques, le conseil municipal, puis le Landtag. »

    Bien évidemment ces déclarations sans ambiguïté déclenchent l’ire des “sociaux démocrates” et écologistes : Herper, le chef de file local du SPÖ, les juge « inutiles » et « repoussantes », et allant à l’encontre de la « ligne officielle de la ville de Graz ». Les Verts quant à eux ont déclaré que ce n’était pas le rôle de la police que « d’inquiéter la population ».

    Gaisch réfute ces arguments, se sentant obligé de tenir compte de tous les faits, comme par exemple de l’affaire du drapeau du djihad. Il bénéficie du soutien du FPÖ. Selon Armin Sippel, chef de file local du parti, « le monde politique se doit de prendre au sérieux les avertissements et les avis des fonctionnaires chargés de la sécurité ». Il critique par ailleurs les réactions pavloviennes à l’interview du chef de la police: « chaque fois que la police donne son avis, il se trouve des gens, généralement adhérents de partis de gauche, qui prétendent être en mesure de mieux juger la situation [qu' elle] ».

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