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Blog - Page 1321

  • Vaucluse - La nuit de calvaire d'une vieille dame de 89 ans

    Son calvaire aura duré toute la nuit. Une dame de 89 ans, vivant seule, a été agressée chez elle, à Velleron, vers minuit dimanche soir.

    Deux hommes armés et encagoulés l’ont bousculée, puis ligotée à un fauteuil dans sa chambre. Ils lui ont réclamé sa carte bancaire et ses bijoux, mais la victime leur a déclaré ne pas en possèder. Ne la croyant pas, ils ont fouillé la maison, et au bout d’une heure, sont repartis avec un peu d’argent liquide, quelques centaines d’euros tout au plus. En abandonnant la dame âgée à son triste sort.

    « Elle est très choquée »

    Quand celle-ci a finalement réussi à se détacher vers 7 heures du matin, elle a téléphoné à son fils, qui est rapidement venu la secourir. Elle était faible et frigorifiée.

    Hier matin, apprenant les faits, voisins et amis sont venus demander des nouvelles.

    Devant la maison, chemin du stade, discutant avec les enquêteurs, Daniel Olivier, le fils de la victime raconte l’agression qu’a subie sa mère : « Elle est très choquée, surtout d’avoir eu une arme pointée sur la tempe ».

    Depuis un cambriolage l’année dernière, son fils passe tous les soirs pour s’assurer que tout est bien fermé. Il a même fait condamner les portes et les a renforcées, toutes les portes, sauf une.

    « Ils sont rentrés avec leur propre clé »

    « Ce qui est très étrange, explique-t-il, c’est qu’il n’y a pas eu d’effraction, ils sont rentrés directement par la porte de derrière, avec leur propre clé ».

    Hier soir, les enfants ont décidé de rester avec leur mère dans sa maison. « Et on y restera un moment », ajoute Daniel Olivier.

    À ses cotés, Michel Ponce, le maire de Velleron, visiblement très affecté par ce qui vient d’arriver à l’une des administrées. « Si seulement nous avions la vidéosurveillance, déplore l’élu, cela fait un an que je la demande, j’ai même une subvention de 30 000 € pour l’installer ».

    Une mise en place retardée, selon lui, à cause de divergences au sein du conseil municipal. « Cela aurait permis de repérer les véhicules pour identifier les auteurs » poursuit-il.

    L’enquête a été confiée aux gendarmes de la brigade de recherches de Carpentras.

    par Sandrine MICHELIER le 22/11/2011 à 06:01
     
    Le Dauphiné libéré
     
  • Françafrique: Sarkozy aurait aussi bénéficié des mallettes de Bongo

    untitled.bmp Bongo.jpgOmar Bongo, l'ex-président gabonais décédé en 2009, aurait «contribué au de la campagne présidentielle de 2007 de Nicolas Sarkozy». C'est ce qu'a affirmé un proche de l'ancien chef d'Etat africain aux journalistes Xavier Harel et Thomas Hofnung.

    Leur «enquête sur les milliards volés de la Françafrique» est publiée dans un ouvrage à paraître jeudi intitulé  «Le scandale des biens mal acquis».

    L'accusation émane de Mike Jocktane, conseiller personnel d'Omar Bongo depuis 2005 promu directeur adjoint de son cabinet en janvier 2009, avant de rejoindre l'opposition à Ali Bongo, qui succède à son père en août de la même année. Dans cet entretien qui avait eu lieu en septembre. Il confirme les révélations de l' franco-libanais et conseiller de l'ombre de présidents français pour l'Afrique Robert Bourgi, qui a affirmé en septembre avoir remis «20 millions de dollars» à l'ex-président Jacques Chirac (1995-2007) et à son Premier ministre Dominique de Villepin.

    Des mallettes aurait circulé après l'élection de Sarkozy

    Mais contrairement à ce que prétend l'avocat «les mallettes ont continué de circuler avant et après l'élection de Nicolas Sarkozy», assure Mike Jocktane. L'ancien conseiller pour l'Afrique de Jacques Chirac, Michel de Bonnecorse avait déjà accusé Robert Bourgi d'avoir remis des fonds occultes à Villepin ainsi qu'à Sarkozy, rivaux à droite pour la présidentielle de 2007. Quand l'avocat franco-libanais avait choisit au printemps 2006 de rejoindre Nicolas Sarkozy, il ne fait «plus qu'une (mallette), plus grosse, qu'il dépose aux pieds» du futur président, affirme Bonnecorse dans l'ouvrage de Pierre Péan «La République des mallettes», un «livre de fantasmes» selon Dominique de Villepin.

    Alors que l'enquête lancée après les accusations de Robert Bourgi vient d'être classée sans suite, faute d'éléments pour prouver des faits par ailleurs prescrits, Me William Bourdon, l'avocat de l'association anticorruption Transparency International ne souhaite pas en rester là. Pour lui,  toutes ces déclarations justifient l'ouverture d'une enquête «et la désignation d'un juge d'instruction sans délais». La présidence française se refuse pour le moment à tout commentaire.

    «La France a reconnu l'élection frauduleuse d'Ali Bongo avec empressement»

    Selon Mike Jocktane, «les remises de mallettes effectuées dans le bureau du président étaient filmées par des caméras cachées. Tout était enregistré sur vidéo», ce qui, affirme-t-il, constitue «l'un des moyens de pression de Libreville sur Paris»

    C'est cette relation complexe d'interdépendance qui aurait conduit la France à saluer hâtivement l'élection d'Ali Bongo alors même que la cour constitutionnelle du pays n'avait pas encore rejeté un recours de l'opposition sur des fraudes massives, selon des opposants gabonais et des experts. Dans un documentaire diffusé en décembre 2010, Michel de Bonnecorse déclarait que les premiers résultats donnaient Ali Bongo battu par son adversaire André Mba Obame à 42% contre 37%.

    Robert Bourgi aurait aussi initialement reconnu la défaite du fils Bongo. «Le petit a perdu, le petit a perdu!», aurait-il lancé, pris de panique, à des proches de Nicolas Sarkozy au soir du vote, selon un témoin oculaire de la scène à Paris, cité dans «Le scandale des biens mal acquis». Pour Mike Jocktane, «l'empressement avec lequel la France a reconnu l'élection frauduleuse d'Ali Bongo en 2009 s'explique par les mallettes distribuées».
     
    Le Parisien - 22/11/11
  • Hautetfort en maintenance

    Le site des blogs Hautetfort était aujourd'hui en maintenance.

    Je n'ai donc pas pu poster de notes ni publier les commentaires. 

    Merci pour votre compréhenson.

     

  • Meurtre d'Agnès: le gouvernement réfute la récupération

    Un fait divers, une loi. Depuis plusieurs années, la présidence de Nicolas Sarkozy nous a habitués à alourdir le dispositif législatif dès qu'un fait divers particulièrement douloureux défraie la chronique. Le meurtre d'Agnès ne déroge pas à la règle et après avoir pointé des « dysfonctionnements » sans pour autant les avoir mentionnés, le gouvernement a décidé de placer en centre éducatif fermé tous les mineurs qui ont commis un acte « particulièrement grave ». De même, Michel Mercier, le Garde des Sceaux, souhaite mettre en place plus de collégialité lors de l'évaluation des délinquants pour être certain de prendre la bonne décision.

    "Ce n'est pas un texte de circonstance"

    La chancellerie a d'ailleurs presque finalisé un décret permettant le secret partagé entre la justice et les directeurs d'établissements sur le passé d'un jeune. Malgré l'annonce de ces mesures, le gouvernement nie toute exploitation politique - avec 2012 en ligne de mire la sécurité fait toujours un excellent thème de campagne - mais déclare faire son travail, ni plus ni moins. « Ce que les Français attendent de nous, c'est une grande dignité, nous n'avons pas à exploiter des événements comme cela », a ainsi déclaré ce mardi le Premier ministre François Fillon mardi à l'Assemblée nationale, se refusant à « polémiquer » avec le PS. Et selon lui, la loi qui sera présentée en Conseil des ministres qui consacre quelques passages à l'évaluation des mineurs délinquants « n'est pas un texte de circonstance ».

    Si les uns réfutent l'utilisation politique, les autres profitent de ce drame pour taper sur l'équipe en place. Ainsi Bruno Le Roux, porte-parole des députés PS et du candidat François Hollande, a estimé que ce drame signait un « échec français » en matière de récidive pour les délits et crimes sexuels fustigeant les « six lois sur la récidive » depuis une dizaine d'années et surtout « la réduction des moyens » de la psychiatrie judiciaire. Pour Clarisse Taron, présidente du syndicat de la magistrature (orienté à gauche) ces mesures ne permettront pas d'éviter le récidive : « On peut toujours mettre en place une meilleure prise en charge mais on aura jamais un filet suffisamment étanche pour éviter que quelqu'un passe au travers ses mailles ».

    Actu France-Soir - 22/11/11

  • Rachida Dati condamnée pour diffamation envers Marek Halter et son épouse

    untitled.bmp Dati.jpg

    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

    L'ancien garde des Seaux a été condamnée mardi à 2.000 euros d'amende pour diffamation envers l'écrivain français d'origine polonaise Marek Halter et son épouse Carla.

     En cause : le Mur de la Paix, créé par Carla Halter et installé sur le Champs de Mars, entre la tour Eiffel et l'École militaire. Ce mur, composé de douze panneaux de verre sur lesquels est inscrit le mot « paix » en 32 langues, est devenu l'une des cibles privilégiées de Rachida Dati, faisant de son démontage « un combat politique majeur et essentiel de son mandat électif ». Rien de moins.

    L'ancienne ministre de la Justice avançait, pour justifier le démontage du Mur de la Paix la soit-disante obstruction de la perspective entre l'École militaire et la tour Eiffel, une perspective « classée » comme arguait Rachida Dati. Le 30 mars dernier, sur le site de la mairie du VIIe arrondissement, elle invitait ses concitoyens « à se mobiliser pour obtenir le démontage immédiat du Mur pour la Paix ». L'ancienne ministre se disait même « choquée par les méthodes et les déclarations mensongères de M. et Mme Halter, en vue d'obtenir la pérennisation de leur création sur le Champ-de-Mars (...), occultant systématiquement le caractère illégal de ce mur ».

    La justice a donc donné raison aux époux Hatler en condamnant mardi Rachida Dati pour diffamation. En plus de l'amende avec sursis, la maire du VIIe arrondissement de la capitale devra verser 4.000 euros de dommages et intérêts au couple, ainsi que 3.000 euros de frais de justice.

    Actu France-Soir - 22/11/11

  • Les mineurs auteurs de crimes sexuels seront enfermés

    21/11/11

     

  • Copé dans la tourmente judiciaire ?

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    21/11/2011 – 17h00
    PARIS (NOVOpress) —
    Chacun se souvient de l’amour immodéré de Julien Dray pour les montres de luxe. Des montres que le vulgum pecus ne peut s’offrir en raison de leur prix totalisant plusieurs smics.

    Cette fois-ci c’est Jean François Copé qui reconnaît avoir reçu une Rolex de Ziad Takieddine inculpé dans l’affaire de Karachi le 14 septembre pour « complicité et recel d’abus de biens sociaux ». Des soupçons de commissions illégales touchées sur des ventes en tant que facilitateur des transactions pèsent sur le milliardaire franco-libanais.

    De son côté, Jean François Copé — qui bénéficie de la présomption d’innocence — nie avoir reçu d’autres cadeaux. Mis en cause par un témoin anonyme en marge de l’affaire Karachi, le secrétaire général de l’UMP est donc placé sous le feu des projecteurs de la justice française.

    Les juges d’instruction Renaud Van Ruymbeke et Roger Le Loire s’intéressent également à des sommes d’argent en liquide perçues par le Maire de Meaux et utilisées notamment pour la rénovation d’un appartement parisien et qui auraient également transité sur un compte ouvert au Crédit suisse de Genève par la sœur du chef de l'UMP. Selon le Journal du Dimanche il aurait bénéficié avec sa famille de voyages gratuits à l’étranger.

    Jean François Copé ministre délégué du budget de 2004 à 2007 déclare ignorer bien entendu que son ami Ziad ne payait pas d’impôts en France. De son côté Takieddine déclarait au même journal « si je n’ai qu’un seul ami c’est Jean François Copé ». Il y a parfois des amis qui vous aiment un peu trop.

    Image : Un modèle de Rolex Oyster professional Yachtmaster. Crédit : Suhailb, licence CC.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [

  • Cévenol, un lycée protestant aux valeurs humanistes...

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    Quelques élèves du lycée Cévenol - (Cliquez sur la photo)

    Le lycée privé Cévenol où était scolarisée la jeune Agnès se distingue par sa pédagogie alternative axée sur la tolérance, la liberté et l'écoute des élèves. Des valeurs qui ne sont pas exemptes de critiques pour certains anciens élèves.

    «De la différence de chacun, créons une nouvelle richesse». Tel est le credo du collège-lycée Cévenol au Chambon-sur-Lignon, désormais tristement célèbre pour le meurtre d'une de ses collégiennes, Agnès. Le village de 2800 habitants, situé à 1000 mètres d'altitude sur le plateau auvergnat du Lignon, abrite depuis 1938 cet établissement scolaire privé de philosophie protestante, dans un esprit de «respect», de «tolérance» et «d'ouverture».

    Fondé par deux pasteurs à la veille de la guerre afin que les enfants du pays n'aient pas à quitter la région pour poursuivre leur scolarité, l'établissement, qui accueille les adolescents de la 4e à la terminale, a compté jusque 350 élèves en 1944. Les habitants du village, connu pour ses faits de résistance, ont recueilli pendant le conflit mondial de nombreux Juifs et caché des soldats américains. Ces derniers se sont montrés reconnaissants en faisant des dons pour l'agrandissement du collège à la fin du conflit. L'établissement devient alors un véritable campus au coeur d'un parc de 16 hectares, sans murs ni clôtures.

    Un lycée de la seconde chance

     

     

    Cette absence de barrière est l'illustration des valeurs de liberté, d'humanisme et de tolérance de l'établissement privé sous contrat. Ce dernier, fortement marqué par l'accueil d'enfants juifs pendant la guerre, accueille depuis lors des élèves de tous horizons - près de 30 nationalités s'y côtoient actuellement - et milieu social.

    Les élèves externes habitant dans la région payent 500 euros de frais d'inscription à l'année. Mais l'addition grimpe très vite pour les élèves extérieurs qui choisissent l'internat : 8.000 euros s'ils rentrent chez eux chaque week-end, 12.000 euros pour ceux qui ne peuvent se permettre de le faire à cause du trop grand éloignement de leur famille. Dans ce cas, les élèves sont accueillis toute l'année scolaire, en dehors des vacances.

    Le collège attire les élèves en difficulté issus de familles aisées grâce à sa pédagogie alternative et ses classes de 25 élèves maximum. «L'avenir des adolescents qui nous sont confiés ne saurait se construire à partir des seuls programmes pédagogiques, mais bien sur les richesses morales, culturelles et sportives qu'ils trouveront au collège-lycée Cévenol», peut-on lire sur le site de l'établissement, qui est parfois surnommé «lycée de la seconde chance».

    Laxisme et ennui des élèves

    Cette ouverture aux «profils atypiques», selon les termes du directeur de l'établissement, se paye par un faible taux de réussite au bac pour un établissement privé sous contrat : 63% toutes filières confondues en 2010. Autre ombre au tableau, les accusations de laxisme de la part de certains parents. «Mon fils a été passé à tabac dans la forêt par plusieurs jeunes. Il était par terre. On lui donnait des coups de pieds, des coups de poings», explique une mère de famille à Europe 1. «Pensez-vous que j'en aurais été informée ? Non. Il n'y a rien eu de fait. Les jeunes sont trop livrés à eux-mêmes. Il n'y a pas d'encadrement.»

    D'anciens élèves, comme l'élu local Romain Blachier, affirment également que l'ennui règne sur le froid plateau du Lignon. «La drogue, l'alcool sont un pis aller. La petite délinquance aussi. Des enfants de 16 ans apprennent à bouillir du cru pour le boire. Des élèves fracturent l'infirmerie pour y boire l'alcool à 90°C, certains cambriolant la cantine, par vice ou pour améliorer l'ordinaire», écrit-il. A contrario, de nombreux anciens élèves défendent «l'esprit Cévenol» qui leur aurait permis de dépasser leurs difficultés personnelles et de réussir dans la vie. «Ce furent les cinq plus belles et plus riches années de mon adolescence. Grâce à ce que m'a apporté le Collège Cévenol, j'ai pu mener ma vie la tête droite et le cœur juste», écrit l'une de ces anciennes étudiantes.

    L'aventure du Cévenol a pourtant failli s'interrompre plusieurs fois. L'école associative connaît régulièrement des problèmes financiers, essentiellement dus à la baisse constante du nombre d'élèves. Cette année, ils ne sont que 187, dont 100 internes, presque moitié moins qu'à la fin des années 1940. La crise la plus grave a eu lieu en 2010, où de sérieux problèmes financiers ont conduit le commissaire aux comptes àrefuser de valider les comptes annuels. Cette mauvaise gestion a mené à un large renouvellement du conseil d'administration de l'établissement et à l'arrivée d'un nouveau proviseur, Philippe Bauwens. Le lycée vient à peine de se relever de cette tempête interne qu'il doit désormais affronter les critiques après le viol et le meurtre d'Agnès. Un drame que les partisans de «l'esprit Cévenol» n'espèrent pas fatal pour leur école.

    Le Figaro - 21/11/11

  • GB - Un Marocain, diplômé de Charia, fraude pour 500.000 euros d'aides sociales

     

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    Il danse à son mariage au Maroc! -  (Cliquez sur la photo)

    Tout comme en France et d’autres pays européens en fin de cycle, le système britannique est un paradis pour les fraudeurs du monde entier. En même temps, ce système sait se montrer impitoyable avec le père de famille qui se gare au mauvais endroit… Voici un exemple d’école tiré de la presse britannique aujourd’hui.

    Il est du Maroc et s’appelle Bouzalim et il a un diplôme en Charia. Il est arrivé en Angleterre en juin 2001 et a demandé l’asile en disant qu’il est Afghan et que son père a été tué par les Talibans. Sa demande fut jugée crédible et acceptable par les gratte-papier locaux et on lui accorde le droit de séjour. Le droit de séjour ne vaut rien s’il n’est pas accompagné d’une prise en charge financière totale. Et c’est là que Bouzalim va être plus royaliste que le roi.

    Il va soudainement devenir paralysé de la tête aux pieds. Tétraplégique, rien de moins. Là, le cash va commencer à pleuvoir : 400.000 Livres ! Près d’un demi-million d’euros d’aides sociales qu’il a détourné avec l’aide de sa famille. Ce genre d’escrocs débarquent dans leur pays d’origine avec un argent facile obtenu chez les Occidentaux et rendent la vie trop chère pour les honnêtes gens. Un Maghrébin salarié honnête dans son pays n’a aucun pouvoir d’achat devant les rapaces qui partent frauder en Europe et revenir les poches pleines d’euros.

    Quelque chose donne la puce à l’oreille à la Police des Frontières. La presse ne dit pas quoi, mais probablement une dénonciation. Ces gens vivent dans des milieux sans foi ni loi et la dénonciation est souvent une arme utilisée pour régler ses comptes. Durant une perquisition surprise chez cet « handicapé », ils découvrent des vidéos filmées l’année d’avant durant son mariage au Maroc et l’homme se porte bien. Il danse même !

    Actuellement, il est en cours de jugement avec sa sœur et ses deux frères. Il apparaît devant la Cour en fauteuil roulant et dit qu’il ne parle ni Arabe, ni Anglais. Son avocat réclame un interprète qui parle Berbère. Un est trouvé et ses services réservés par la justice. Le jour du procès, il pose un lapin en annonçant qu’il est parti en vacances.

    D’après le Daily Mail, Bouzalim ne sera probablement pas expulsé. Comme souvent, ce genre d’individus utilisent avec succès l’article 8 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme pour demander à rester. Rien que cet été, il y a une personne qui a pu rester en GB parce qu’elle avait un chat [source] et une autre personne parce qu’elle allait à un club de gym [source].

    A suivre…

    [source

    TEA FOR TWO Operation - 21/11/11

  • De l'Equinox au printemps de la révolution patriotique Bleu marine Blanc Rouge!

    Loin de la  petite France étriquée, isolée, repliée, racornie, pétocharde, archaïque, sans influence ni ambition de l’UMPS, Marine Le Pen a présenté de belle manière  son « plan de vigueur »,  son projet présidentiel à «  L’Equinoxe »  ce samedi à Paris. Un projet fouillé, cohérent, précis  - à consulter sur le site du FN et de Marine - , que la candidate national a  détaillé, en présence  de Bruno Gollnisch,  devant plus d’un millier de sympathisants,  cadres et dirigeants frontistes. Même le quotidien  Le Monde en a convenu, il s’agit « d’un projet global, qui balaie aussi bien les questions attendues de sécurité, de laïcité, d’économie, de réindustrialisation, que d’autres plus inhabituelles. Ainsi, le projet aborde par exemple les questions d’écologie, tout comme l’enseignement supérieur, la recherche ou encore les retraites et la dépendance. »

    Nul  besoin d’avoir lu Carl Schmitt pour savoir que l’essence  du politique consiste à  désigner l’adversaire.  Et Marine a posé clairement les termes de l’alternative que nous proposons à   nos compatriotes face à « des hommes (…) arrogants (qui) ont pensé (…) qu’ils pouvaient s’échapper du réel pour créer un monde exclusivement virtuel, où leur œuvre serait l’avènement d’un homme nouveau coupé de ses racines, nomade, jetable esclave de l’ordre marchand. Ce monde rêvé et théorisé par Jacques Attali, où il annonçait avec une joie non dissimulée l’émergence d’un hyper-empire où des hyper-nomades dirigeront un empire hors sol. Eh bien ils l’ont fait ! ».

    Face à cette idéologie mortifère, le Mouvement national est porteur d’ « une autre vision de l’homme, une autre vision de l’économie », plaçant « les intérêts des Français avant tout, par-dessus tout. Contre les intérêts des marchés financiers, avant les intérêts des autres peuples y compris européens ».

    Une volonté qui tranche avec la personnalité même de celui que  Nicolas Sarkozy a chargé de la synthèse de son projet présidentiel, à savoir (l’ex-villepiniste ?)  ministre de l’Agriculture Bruno Le Maire. Invité de l’émission de  Laurent Ruquier diffusée sur France 2 samedi soir, il a pris soin de préciser que le programme sarkozyste refusait d’un  bloc toute mesure  prônée par le FN qui serait en contradiction avec les immortels principes mondialistes.

    Invité du Forum Radio J dimanche, M. Le Maire s’est voulu « réaliste » et   a ajouté que « ce qui (l’a) frappé dans le discours de Mme Le Pen (samedi), c’est qu’on retrouve toutes les vieilles obsessions de son père, toutes les vieilles obsessions traditionnelles du Front National, avec la crainte de l’étranger, le rejet de l’Europe, la sortie de l’euro (…). »

    Sur son blog, le gaulliste souverainiste Laurent Pinsolle notait déjà il y a  quelque mois, que ce ministre qui se définit lui aussi comme « gaulliste », « fait parfois la bonne analyse et semble indiquer la bonne direction, mais dans les faits, rien ou presque ne change (…). Le ministre se contente d’être un infirmier des agriculteurs, prodiguant mots réconfortants et financements exceptionnels pour leur permettre de continuer à travailler. Mais jamais il n’a véritablement initié une réforme qui permettrait de changer la donne. »

     « Tout se passe poursuit-il,  comme s’il était incapable de penser en dehors du cadre qu’on lui donne, se bornant à gérer à la marge les immenses problèmes de l’agriculture française. S’il dénonce les fruits et légumes importés d’Amérique du Sud ou d’Asie, il ne prend pas de mesures pour mettre fin à ses importations. S’il dénonce les prix trop bas de certains produits, il n’a pas remis en place des prix de soutien… (…) Le problème de Bruno Le Maire est sans doute qu’il est trop un technocrate se limitant à gérer ses dossiers (…). Il n’est pas un vrai politique capable de remettre en cause le cadre établi pour en construire un nouveau. »

     Un constat  que l’on peut étendre à l’ensemble  du gouvernement,  ce que  Bruno Gollnisch a rappelé, invité jeudi  soir à Arnas au cœur du pays beaujolais par Christophe Boudot,  pour  la première (un grand succès)  des réunions de circonscriptions de la campagne des législatives 2012 dans le Rhône. Le dirigeant frontiste a dénoncé   la complicité active de l’UMP avec les technocrates européens et la bureaucratie bruxelloise qui paralysent notre société, avec les effets pervers et désastreux  que l’on sait, notamment pour  notre filière agricole et viticole.

    Il y a plus de trente ans, Guillaume Faye, dans son « Nouveau discours à la nation européenne », faisait déjà le procès du « réalisme » des politiciens de l’Etablissement, qu’il  opposait au volontarisme  de ceux qui luttent  contre le déclin de notre pays,  de notre civilisation . La défense  du  réel,  n’est pas en effet  le  réalisme des démagogues …

     « La fausse sagesse des réalistes écrivait-il, habillée d’une compétence et d’un savoir imaginaires, est bien la plaie de notre époque. Rien de plus pratique pour ne pas agir et ne pas exercer sa décision, sa volonté, son choix que d’évoquer la sagesse, la prudence, la compétence, que de laisser faire le temps. Or le temps joue toujours contre l’homme (…). Le réalisme : grand argument des irréalistes et des  faussaires (…). Seuls les vaincus sont réalistes, mais au fond d’eux-mêmes, ils savent bien que le réalisme en politique, ce n’est que le mot poli pour lâcheté. »

    Une réflexion  qui n’a pas pris une ride et qui expose parfaitement tout l’enjeu des débats actuels… et la nécessité de voter Marine et FN en 2012 !

    Blog de Bruno Gollnisch - 21/11/11

  • Le saviez-vous ? BHL est colonel-citoyen de l'Armée de l'air !

    Sur la proposition de Serge Dassault, l'essayiste et philosophe Bernard-Henri Lévy (également chroniqueur au Point) devient colonel-citoyen de l'Armée de l'air. Il rejoint ainsi - entre autres - Michel Drucker et Michel Sardou sur la liste des officiers de réserve haut gradés de l'aviation. S'il ne prend pas le Quai d'Orsay, il pourra briguer la Défense.

     Le Point- 08/09/11

  • Agnès Marin - Portrait de son meurtrier (présumé), qui avait participé aux recherches


    Agnès : portrait du meurtrier présumé par BFMTV

    21/11/11

  • Agnès: la famille dénonce la reprise politique

    Le grand-père d'Agnès s'indigne de l'attitude de Guéant  

    21/11/11

  • Meurtre d'Agnès: "Nous avons entendu deux grands cris"

    INTERVIEW - Paul était un ami d'Agnès. Il connaissait aussi très bien Mathieu, son assassin présumé. Scolarisé au collège-lycée Cévenol en 3e, dans la même classe que la victime, il livre un témoignage terrifiant sur la tragédie, vécue de l'intérieur.

    LE FIGARO. - Comment s'expliquer un tel drame?

    PAUL. - Nous sommes tous persuadés qu'il a été prémédité. Mathieu a appâté Agnès avant de l'entraîner en forêt. Il avait tout prévu. Une semaine avant les faits, il est même venu nous voir pour nous demander le prix d'une bouteille d'essence. On s'était dit qu'il allait s'en servir pour recharger son briquet Zippo. Jamais personne ne se serait douté de ce qu'il allait faire. Agnès était très gentille et sociable, pas du tout timide. Bonne élève, elle était pleine de projets et voulait notamment devenir cinéaste. Elle était drôle et elle nous manque…

    Personne ne s'était méfié de Mathieu?

    Non, car il est assez cultivé et, en apparence, plutôt sympathique. Scolarisé en première, c'est un fana d'informatique, assez fort en hacking. Pour brouiller les pistes, il s'était inventé une vie, en nous mentant en permanence. Il disait avoir 19 ans et ne parlait jamais de son passé. Il nous avait juste raconté des problèmes rencontrés avec des consommations de stupéfiants.

    Quand avez-vous éprouvé vos premiers soupçons?

    Mercredi dernier, pas avant. Vers 17h30, tout le monde était revenu à l'étude. Il ne manquait qu'Agnès, ce qui n'était pas dans ses habitudes car elle était studieuse. En remarquant son absence à l'heure du dîner, on a commencé à avoir tous peur pour elle. En dépit de l'interdiction du surveillant, nous avons commencé à fouiller le domaine de notre établissement, puis nous sommes partis vers la forêt voisine.

    Et alors?

    Une quarantaine d'élèves, des volontaires de toutes classes confondues, ont parcouru les bois, par endroits difficiles d'accès qui s'étendent sur 18 hectares. Dans la nuit tombée, nous avons entendu de façon flagrante deux grands cris. Cela ressemblait à deux hurlements. Nous avons tenté d'aller vers cette direction mais c'était une zone infranchissable, personne ne pouvait plus avancer. Puis une odeur de brûlé est parvenue jusqu'à nous. À ce moment, nous avons cru à un feu de bois quelque part mais la panique commençait à nous gagner. Vers 20 heures, nos recherches étaient interrompues.

    Vous êtes donc tous revenus au collège-lycée?

    Oui. C'est à ce moment que des élèves ont surpris Mathieu en train de ressortir de la forêt. Il était seul et avait le visage caché par une écharpe. Ce n'est qu'après que l'on a vu des griffures sur sa joue. Sans rien dire, il a pris une douche pendant une heure. En ressortant, les copains ont vu qu'il n'était pas normal. Il transpirait et ne nous regardait pas dans les yeux. Il a d'abord expliqué s'être griffé le visage en tombant dans une flaque, puis à l'internat, puis dans des buissons. On a alors compris à 100% qu'il était lié à la disparition d'Agnès. On a fait part de nos doutes le lendemain au conseiller principal d'éducation qui nous a aussitôt dit de prévenir les gendarmes. Mathieu a été embarqué dans la foulée, mais on ne savait pas ce qu'on lui reprochait…

    Vous ignoriez encore tout de la fin tragique d'Agnès?

    Nous avons appris sa mort vendredi soir. Tous les élèves étaient réunis devant la télévision quand un responsable de l'établissement a demandé de couper le poste car il avait «quelque chose à nous dire» avant de dire «on a retrouvé un corps en forêt». Même si le prénom n'a pas été prononcé, tout le monde a compris qu'il s'agissait de notre Agnès. Pendant plusieurs heures, professeurs, membres de la direction, surveillants et élèves ont fondu en larmes. Maintenant, chacun essaie de comprendre pourquoi, et surtout comment, un assassin en puissance a été accepté parmi nous.

    Le Figaro - 21/11/11

  • Sarkozy cartoonne

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