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Blog - Page 1510

  • Réinsertion scolaire: 8 ados renvoyés chez eux... au bout d'une semaine!

    Mardi, ces 8 élèves, originaires de Seine-Saint-Denis, ont fait leur rentrée dans un établissement de réinsertion scolaire (ERS) à Portbail, près de Cherbourg, dans la Manche.

    Jeudi deux d’entre eux ont été renvoyés après avoir cassé les vitres de la voiture d’un éducateur, révèle Le Figaro.

    Et samedi, les six autres ont été renvoyés à Bobigny, après une altercation avec un garçon de café de Porbail. Mineurs, ils ont voulu acheter du tabac (c'est interdit), puis, devant le refus du buraliste, sont allés en acheter ailleurs... pour revenir le fumer dans le bar-tabac.

    Guy Cholot, le maire de Portbail, a indiqué que toutefois il continuait de soutenir "le projet sur le fond", mais à la condition que cette réinsertion scolaire bénéficie "d’un encadrement beaucoup plus soutenu".

    Le premier magistrat indiquant que "les jeunes en réinsertion étaient encadrés par d’autres jeunes issus du service civique sans formation particulière".


    Guy Cholot ajoutant :
    "On a vraiment fait tout ce qu’il fallait. On s’intéresse à ces jeunes désocialisés, on a mis des associations à disposition. C’est maintenant à l’académie de Seine-Saint-Denis de donner des moyens".

    Conclusion du quotidien régional La Manche Libre: "L'installation à Portbail de ces jeunes en difficulté devait faire figure de test. L'expérience n'aura pas duré une semaine."

    Officiellement, l'inspection d'académie tire un bilan de cette expérience et assure que le projet n'est pas remis en cause. "Le projet pédagogique prévoyait de faire revenir des élèves si nous jugions, à un moment important, que c’était nécessaire" explique l'inspecteur dans Le Parisien.

    Rappel:
    Mardi, à Craon, dans la Mayenne, cinq ados internes de 13 à 15 ans, qui venaient d'arriver dans le cadre du programme de réinsertion scolaire ont été renvoyés chez eux, en Seine-Saint-Denis. Des élèves qui s'en sont violemment pris à plusieurs élèves du collège, après le petit-déjeuner. Depuis, les enseignants ont exercé leur droit de retrait et les parents d'élèves n'ont plus envoyé leurs enfants en cours.

    Sources: Le Figaro

    LE POST - 15/11/10

  • Pendant ce temps... Pierre Sarkozy devient mannequin

    Ozap raconte que le fils de Nicolas Sarkozy, Pierre Sarkozy qui est plus connu dans le milieu du rap sous le nom de Mosey, va prendre la pose pour le créateur allemand Philipp Plein.

    Les photos ont été prises sur un bateau amarré dans la très discrète RigolantSaint Tropez.

    Son frère, Jean Sarkozy a choisi lui la politique.
    Pierre Sarkozy cherche sa voie. Sa carrière de DJ et de producteur n'a pas cassé trois pattes à un canard.

    Alors a-t-il trouvé sa nouvelle vocation ?

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     LE POST - 14/11/10
  • 94 - Bravo, Iacchos!

    94 - Louis de BROGLIE, duc de Broglie (1892-1987) - Un très grand physicien français!

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_de_Broglie

    C'est Iacchos qui le premier m'a envoyé la réponse juste: qu'il soit félicité, ce n'était pas facile!

    Je ne donne pas encore d'indices  pour le 92 et le 93. Cherchez, vous allez sûrement les identifier!

    Bonne chance!

  • Marine Le Pen et Bruno Gollnish s'opposent sur la stratégie politique du FN

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    Marine au Back-Up à Paris.jpg

    (Cliquez sur les photos pour les agrandir)

    Lors d'une "Fête des patriotes" organisée samedi au domaine de Grand'Maisons, à Villepreux (Yvelines), Bruno Gollnisch s'est à nouveau posé en rassembleur de "la droite nationale" et en héraut de la "résistance" au "discours dominant", devant des centaines de partisans conquis.

    Au cours d'une séance de réponses à des questions de sympathisants, il a pris des accents radicaux en évoquant le maréchal Pétain.

    "Pétain avait au moins une excuse, celle d'une armée victorieuse et implacable" qui occupait le territoire, "tandis que les traîtres qui sont aujourd'hui au pouvoir, c'est en toute connaissance de cause qu'ils bradent la France, qu'ils livrent son économie, qu'ils livrent son identité à l'étranger", a-t-il lancé.

    "Je ne cours pas après la dédiabolisation, je ne cours pas après les succès éphémères", avait-il expliqué quelques heures plus tôt lors d'un point-presse.

    "Il n'est plus temps de témoigner!", lui a répondu Marine Le Pen dimanche, dans une discothèque parisienne, le Back-Up, pleine à craquer.

    Surfant sur les sondages, dont certains l'ont récemment créditée de 14% à la présidentielle de 2012, et sur l'espoir de renouveau qu'elle suscite chez les militants, elle s'est située au-delà d'une stratégie de rassemblement des courants qui gravitent autour du Front national. Sans nommer son rival, elle a ironisé sur "l'ambition d'être un club de rencontres de la droite nationale", évoquant aussi les "quelques bras cassés de nos milieux".

    "Je ne vous propose pas d'errer dans la plaine sans autre but que l'entre-soi", a-t-elle insisté. D'un autre côté, elle a également rejeté toute idée d'alliance avec l'UMP, en affichant le projet de "faire du Front national le pôle de rassemblement du peuple français tout entier".

    Chercheur à l'Iris (Institut de relations internationales et stratégiques) et spécialiste de l'extrême droite, Jean-Yves Camus souligne que cette stratégie n'est pas sans danger. "Comment peut-on dire qu'on ne veut pas témoigner et écarter les alliances?", se demande-t-il.

    Selon lui, Marine Le Pen dit "quelque chose de fondamental aux cadres et aux adhérents, c'est qu'ils vont y arriver", mais d'un autre côté, ces promesses risquent "d'engendrer un capital de frustration" dans l'avenir.

    A deux mois du congrès de Tours (15-16 janvier 2011), le clivage entre les deux candidats semble en tout cas avoir été intégré par les militants, qui seront appelés à trancher lors d'un vote par correspondance.

    "Avant toute chose, il faut rassembler notre camp", a expliqué Pierre, un partisan de Bruno Gollnisch qui n'a pas voulu donner son nom.

    "Quand on s'est dédiabolisés en 2007, on a fait 10% (à la présidentielle, ndlr) pendant que Sarkozy gagnait en parlant de nettoyer les cités au Kärcher", a ajouté ce militant de 33 ans.

    Mais pour Philippe, un magasinier de 44 ans rencontré le lendemain à Paris, "c'est l'efficacité politique" qui compte.

    "Marine est susceptible de toucher plus de classes de gens que Bruno", a-t-il ajouté.

    "Je lui fais confiance pour ne pas faire les mêmes bévues que son père sur les Juifs", a-t-il également confié, soulignant aussi la différence d'âge des deux candidats: 42 ans pour Marine Le Pen, 60 ans pour Bruno Gollnisch.

    AFP. 15/11/10

  • Douze sphinx découverts près des temples de Karnak

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    Une des douze statues - (Cliquez sur la photo)

    Douze statues de sphinx datant du pharaon Nectanebo 1er, qui régna de 380 à 362 avant JC, ont été découvertes près des temples de Karnak, dans la région de Louxor, a annoncé lundi le conseil suprême des antiquités (CSA) égyptien.

    Les statues ont été trouvées sur une ancienne voie longue de 600 mètres de long qui partait du Nil, dite route de Nectanebo 1er, a indiqué le CSA dans un communiqué.

    Cette voie rejoignait le secteur de l'Allée des sphinx, bordée de centaines de statues à tête humaine et corps d'animal, qui reliait sur 2,7 km les temples de Louxor à ceux de Karnak, partiellement restaurée ces dernières années au prix d'importants travaux urbains, précise le communiqué.

    Les fouilles, qui se poursuivent, ont également permis de retrouver des objets datant de l'époque romaine, notamment un pressoir à huile et des poteries, ajoute le CSA.

    Nectanebo 1er fut l'un des derniers pharaons égyptiens à régner avant la conquête du pays par les Perses, puis par les Grecs qui fondèrent la dynastie des Ptolémées avant que l'Egypte soit intégrée à l'empire romain.

    AFP. 15/11/10

  • Woerth quitte son ministère "avec émotion" et confie une partie des clés à Bachelot

      

    Mme Bachelot a rendu de son côté "hommage à l'homme et au ministre", estimant qu'Eric Woerth avait toujours mis "la question de la justice sociale au coeur de sa démarche".

    "J'ai pris beaucoup de plaisir à travailler dans ce ministère", et "je le quitte avec émotion", a déclaré Eric Woerth, sur le perron du ministère, en présence de Nora Berra, nommée secrétaire d'Etat chargée de la Santé, de Marie-Anne Montchamp, nommée secrétaire d'Etat auprès de la ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale, et de Georges Tron, qui reste secrétaire d'Etat chargé de la Fonction publique, mais auprès du ministre du Budget et non plus du ministre du Travail.

    "Je suis heureux que Roselyne reprenne une partie des fonctions qui étaient les miennes," a-t-il dit, saluant une "excellente professionnelle".

    Il a également salué les autres secrétaires d'Etat, et notamment Georges Tron, qui l'a "accompagné sur cette phase extraordinaire, sur le plan politique et social, qu'a été la réforme des retraites".

    Dans ce ministère, "il y avait beaucoup de choses à faire et il y a beaucoup de choses qui restent à faire", a continué Eric Woerth. "J'ai concentré mon action sur les retraites et sur le droit des femmes, , même si je n'ai pas pu m'y consacrer autant que je l'aurais souhaité", a-t-il dit.

    "Je fais confiance à Roselyne pour poursuivre et surtout pour apporter sa propre empreinte dans un domaine majeur de l'iniquité sociale", a-t-il ajouté.

    "Au moment où tu quittes pour un moment les fonctions ministérielles, je voulais te rendre hommage, rendre hommage à l'homme et rendre hommage au ministre", a répondu Roselyne Bachelot, estimant qu'il "y a peu de politiques qui ont été l'objet d'attaques aussi odieuses et aussi imméritées que tu l'as été".

    "Tu as surmonté ces épreuves avec un courage et un contrôle de soi qui nous a tous épatés", a-t-elle ajouté. La "tâche" était "tellement immense qu'il faut deux ministres pour te remplacer", a-t-elle souligné.

    Xavier Bertrand doit prendre lundi après-midi ses fonctions de ministre du Travail, de l'Emploi et de la Santé.

    AFP. 15/11/10

  • 89: Bravo à Abad et à Turigol!

    89 - Heinrich von KLEIST  (1777-1811) 

     http://fr.wikipedia.org/wiki/Heinrich_von_Kleist

    Abad et Turigol ont été les deux seuls à m'envoyer la bonne réponse: félicitations!

    Le jeu continue!

  • Juste une ligne pour Eric Woerth...

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    Eric Woerth et sa femme - (Cliquez sur la photo)

    Autre nomination de taille: celle de Xavier Bertrand dans un large ministère du Travail, de l'Emploi et de la Santé. Eric Woerth paie l'affaire Bettencourt et disparaît de l'organigramme.

    AFP. 15/11/10

  • 2ème gouvernement Fillon: 31 membres, arrivée de Juppé, départs de Borloo, Kouchner, Morin, WOERTH, Rama Yade et Fadela Amara

    Lagarde Juppé.jpg

    (Cliquez sur la photo pour la voir en entier)

    Premier ministre, François Fillon

    Ministres:

    Alain Juppé, ministre d'Etat, ministre de la défense et des anciens combattants

    Michèle Alliot-Marie, ministre d'Etat, ministre des affaires étrangères et européennes

    Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement

    Michel Mercier, garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés

    Brice Hortefeux, ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration

    Christine Lagarde, ministre de l'économie, des finances et de l'industrie

    Xavier Bertrand, ministre du travail, de l'emploi et de la santé

    Luc Chatel, ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative

    François Baroin, ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'Etat, porte-parole du gouvernement

    Valérie Pécresse, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche

    Bruno Le Maire, ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire

    Frédéric Mitterrand, ministre de la culture et de la communication

    Roselyne Bachelot-Narquin, ministre des solidarités et de la cohésion sociale

    Maurice Leroy, ministre de la ville

    Chantal Jouanno, ministre des sports

    Patrick Ollier, ministre auprès du Premier ministre, chargé des relations avec le Parlement (le compagnon de MAM!)

    Eric Besson, ministre auprès de la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé de l'industrie, de l'énergie et de l'économie numérique

     Henri de Raincourt, ministre auprès de la ministre d'Etat, ministre des affaires étrangères et européennes, chargé de la coopération

    Philippe Richert, ministre auprès du ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration, chargé des collectivités territoriales

    Laurent Wauquiez, ministre auprès de la ministre d'Etat, ministre des affaires étrangères et européennes, chargé des affaires européennes

    Nadine Morano, ministre auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de l'apprentissage et de la formation professionnelle

    Marie-Luce Penchard, ministre auprès du ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration, chargée de l'outre-mer

    Secrétaires d'Etat:

    Pierre Lellouche, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce extérieur

    Nora Berra, secrétaire d'Etat auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de la santé

    Benoist Apparu, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé du logement

    Georges Tron, secrétaire d'Etat auprès du ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'Etat, chargé de la fonction publique

    Marie-Anne Montchamp, secrétaire d'Etat auprès de la ministre des solidarités et de la cohésion sociale

    Thierry Mariani, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé des transports

    Frédéric Lefèbvre, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation

    Jeannette Bougrab, secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative, chargée de la jeunesse et de la vie associative.

    AFP. 14/11/10

  • Copé tisse sa toile...

    Copé.jpg

    (Cliquez sur la photo)

    Jean-François Copé obtient de Sarkozy la direction de l'UMP.

    "Avec le chef de l'Etat, nous avons eu des échanges très sympas ce week-end. Nous nous sommes vus samedi soir et parlé à plusieurs reprises dimanche. Il m'a proposé de rentrer au gouvernement comme ministre de l'Intérieur et de l'Immigration. Je lui ai redit que je n'étais pas dans ça et que je voulais l'aider à la tête de l'UMP. On a alors topé", raconte à l'AFP M. Copé.

    "La seule chose qu'il m'a demandée, c'est que je travaille main dans la main avec Brice Hortefeux", un très proche du président. "C'est bien sûr une évidence. Brice est un ami", a ajouté le député-maire de Meaux.

    M. Hortefeux, tout en restant au gouvernement, pourrait devenir secrétaire général adjoint ou se voir confier le poste pivot de responsable des investitures. Une façon pour le chef de l'Etat de garder la haute main sur l'UMP.

    La succession rue de la Boétie pourrait avoir lieu "dès cette semaine ou la semaine prochaine". Un bureau politique doit être convoqué pour la ratifier.

    Quand Jean-François Copé a fait son "offre de service" fin août, peu d'observateurs misaient sur ses chances de réussite. Ministres et ténors de l'UMP assuraient que jamais Nicolas Sarkozy ne lui remettrait les clefs de son parti, synonyme selon certains d'adoubement de celui qui vise l'Elysée... en 2017.

    "A l'inverse, à ses amis qui lui déconseillaient d'accepter un poste où il perdrait ses marges de manoeuvre de l'Assemblée, il répondait qu'il garderait intacte sa "liberté" d'action.

    Exit donc les déclarations passées de M. Copé où il assurait qu'un parti ne sert "à rien" et vantait son "parcours d'élu et non de nommé", sous-entendu à la différence de Xavier Bertrand.

    Tout à son objectif présidentiel, Jean-François Copé n'a en réalité jamais oublié ce conseil glissé en 1990 par Nicolas Sarkozy et mis en pratique par l'actuel chef de l'Etat dans sa route vers le Château: "en politique, ce qui compte, ce ne sont pas les mandats, c'est le parti !"

    "C'est surprenant qu'en Sarkozie on réussisse une OPA de cette nature. Si cela se confirme, c'est une victoire totale pour Copé", déplore un cadre UMP.

    "Le parti était devenu un parti de fonctionnaires. Il a besoin de se remettre en mouvement. Copé est l'homme de la situation", se réjouit à l'inverse le vice-président de l'Assemblée nationale Marc Laffineur (UMP), proche de Jean-Pierre Raffarin.

    Restera ensuite à régler la succession de M. Copé à l'Assemblée. Son bras droit, Christian Jacob, a déclaré dimanche soir à l'AFP qu'il était candidat. Ce qui fait grincer des dents chez les centristes qui s'alarment déjà de "la forte coloration ex-RPR de l'UMP" et du gouvernement

    AFP. 14/11/10

  • 90, 91: bravo!

    90 - Pierre Louÿs  (1870-1925)  http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Lou%C3%BFs

    91 - Maureen O'HARA - née le 17 août 1920 à Dublin -  http://fr.wikipedia.org/wiki/Maureen_O'Hara

    Félicitations aux gagnants!

    Il reste à identifier le 89,  célèbre écrivain allemand.

    Bonne chance à tous!

    Le jeu continue!

  • Acte II: Fillon maintient le cap sur l'échec

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    Non content d'avoir triomphé de Jean-Louis Borloo dans la course à Matignon, le Premier ministre a également imposé sa ligne politique. Sitôt confirmé dans ses fonctions, il s'est empressé dimanche matin de faire savoir qu'il ne serait pas l'homme du changement de cap.

    "Après trois années et demi de réformes courageuses, conduites malgré une sévère crise économique et financière mondiale, je m'engage dans une nouvelle étape qui doit permettre à notre pays de renforcer la croissance de son économie au service de l'emploi, de promouvoir les solidarités et d'assurer la sécurité de tous les Français", a-t-il résumé dans un communiqué.

    Exit donc le fameux "tournant" ou "virage" social défendu par toute une partie de la majorité et incarné par le centriste Jean-Louis Borloo.

    Pendant des semaines, ses partisans ont défendu un changement de politique. En substance, il faut se rabibocher avec les syndicats après l'épisode douloureux de la réforme des retraites et avec les Français, qui considèrent toujours Nicolas Sarkozy comme le "président des riches". Et rassurer la droite sortie mal à l'aise du discours ultra-sécuritaire de Grenoble.

    Sur cette ligne, l'ex-ministre de l'Ecologie a bénéficié du soutien des centristes et de membres éminents de l'entourage présidentiel, à commencer par le secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant, qui a vanté les mérites de cet "orfèvre en matière sociale".

    "Avec Jean-Louis Borloo, on pourrait afficher le souhait de recoudre notre tissu social", a encore plaidé samedi l'ex-Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, "je crains le statu quo, il faut une rupture à caractère social".

    A l'inverse, François Fillon a défendu bec et ongles le scénario de la persévérance. "Je crois à la continuité de notre politique réformiste parce que l'on ne gagne rien à changer de cap au milieu de l'action et parce que le redressement de la France réclame de la durée", a-t-il lancé il y a dix jours en faisant acte de candidature à un nouveau "mandat" à Matignon.

    Ecartelé entre ces deux tendances et sa volonté d'imprimer un "nouvel élan" à son mandat, Nicolas Sarkozy, toujours au plus bas dans les sondages, a tranché il y a quelques semaines déjà.

    Après avoir envisagé une "pause" à l'automne 2011, le président a fait savoir le mois dernier qu'il continuerait les réformes "jusqu'à la dernière minute" et s'est agacé en petit comité des appels au virage social. Une "maladresse", a-t-il dit en rappelant que les retraites et l'emploi étaient "du social" et qu'il continuerait sur cette voie.

    Ses chantiers d'ici 2012 sont déjà largement connus. La dépendance, la fiscalité, avec la suppression probable du bouclier fiscal, et la justice avec l'introduction de jurés populaires à l'échelon correctionnel.

    Mais dans son propre camp, nombreux sont déjà ceux qui doutent de la capacité de cette politique à assurer une réélection du chef de l'Etat.

    "Si l'on ne parvient pas à créer une nouvelle donne politique durant l'acte II du quinquennat, il n'y a aucune chance que le résultat de 2012 soit meilleur", s'inquiétait samedi Jean-Pierre Raffarin en rappelant les claques subies par la droite aux municipales de 2008 et aux régionales de 2010.

    "Les contraintes de la rigueur ne laissent pas d'autre choix à Nicolas Sarkozy que de faire de l'habillage jusqu'en 2012", constate, amer, un cadre de l'UMP, "je ne pense pas que ça suffise à assurer sa réélection".

    AFP. 14/11/10

  • Le national-sionisme ou l'extrême-droite de Sion

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    Il est des informations banales qui sont parfois lourdement signifiantes.

    Deux d’entre elles – récentes : elles datent de fin mai/début juin – illustrent la montée en puissance au sein de l’extrême droite française d’un courant multiforme : le national-sionisme.

    On sait qu’il existe en ce moment une controverse importante au sein de la mouvance sioniste française. Elle porte sur l'appel de J Call paru dans Le Monde le 3 mai dernier et visant à rassembler les sionistes de gauche critique vis-à-vis de l’actuel gouvernement israélien. Aussitôt, un contre-appel des sionistes de droite a été organisé sous le nom de Raison garder.

    Dans la liste des signataires de ce second appel, on trouve sans surprise les noms d'islamophobes patentés, habituellement assez appréciés des milieux identitaires : Redeker, Goldnadel, Bat Yeor, Millière, Garfinkiel, etc. Mais ce n’est pas tout et on y relève aussi les signatures de Jean-François Touzé qui issu de l’extrême droite la plus radicale fit carrière au Front national, de Benoît Fleury qui fut un cadre d'Unité radicale et le dernier chef national du GUD, ainsi que celle de Fernand Cortès, qui était tête de liste départementale de la Ligue du Midi (une coalition électorale identitaires) aux dernières régionales. Cet intéressant personnage dont le site internet porte le même nom qu’un des journaux antisémites les plus virulents des années 1940-1945, est le même que celui qui déclarait il y a peu de temps : « Je confirme que le Bloc identitaire n’ a jamais été antisémite et que ses relations avec la communauté juive française sont bonnes (je suis bien placé pour en parler car je suis à l’ origine de leur développement) et qu’ elles deviennent excellentes car de très nombreux Juifs deviennent sympathisant du BI et le soutiennent résolument. » Ce qu’il ne précisait pas, c’est que le principal dirigeant du BI fut condamné – sans doute dans une autre vie – pour révisionnisme historique !

    Plus récemment encore, on a pu lire sur nombre de sites liés à l’extrême droite française l’annonce d’un « apéro géant » organisé le 18 juin à la Goutte d'Or.

    Qui trouvait-on parmi ses initiateurs ?

    Les jeunesses du Mouvement pour la France de Philippe de Villiers, le Bloc identitaire précité et plusieurs de ses courroies de transmission, ainsi que Riposte laïque et Résistance républicaine, deux groupes issus de la gauche laïcarde devenus en quelques mois des références incontournable de l’extrême droite islamophobe.

    Ce n'est pas inutile de se souvenir que le 27 avril 2010, Pierre Cassen, rédacteur en chef de Riposte laïque, a été reçu à la mairie du XVIe arrondissement de Paris par les loges Ben Gourion, Hatikva et Déborah-Sam-Hoffenberg du B’nai B’rith.

    Pour ceux qui situeraient pas clairement le problème, rappelons que le 26 mars 1986, le quotidien Le Monde faisait paraître le communiqué suivant, suite à l’entrée à l’Assemblée nationale de 35 députés FN : « Les associations B’nai B’rith lancent un appel à la vigilance, attirent l’attention des partis de la nouvelle majorité contre toute tentation de vouloir reprendre les slogans extrémistes sur l’insécurité et les idées xénophobes à l’encontre des immigrés, et rappellent aux représentants de ces partis leurs engagements pris au cours des forums des B’nai B’rith, devant la Communauté, déclaration reprises après proclamation des résultats du vote, de ne s’allier en aucun cas au Front national. »

    Quant à Christine Tasin, l'animatrice de Résistance républicaine, il est de notre devoir de rappeler que c’est une enseignante, ancienne adhérente et candidate du Parti socialiste, qu’elle a quitté en 2002. Fondatrice de l’association Les joyeux jacobins à Saintes qui organise tous les ans en septembre une fête appelée « les sans-culottides », elle fut militante du Mouvement républicain et citoyen de Chevènement jusqu’au 18 février 2009. Elle fut aussi deuxième de liste de DLR dans la circonscription Ouest lors des dernières européennes. Durant ces élections, elle n'eut pas eu de mots assez durs pour dénoncer le Front national. Ces dernières semaines, elle s'est singularisée en soutenant l'action de la marine israélienne contre les bateaux des humanitaires se rendant à Gaza.

    C’est pour que personne ne puisse dire qu’il ne savait pas que l’équipe de voxnr.com reproduit ci-dessous une série d'articles publiés par le mensuel Résistance et consacrés au national-sionisme en France et en Europe.

    On nous accusera sans doute de diviser le mouvement de résistance nationale. Tout au contraire nous entendons le renforcer. Cela en dénonçant ceux qui ont fait le choix du national-sionisme. C’est-à-dire ceux qui voudraient nous engager dans des alliances improbables avec des lobbies qui n’ont eu de cesse, ces quarante dernières années, de nous lier les mains et de nous tirer dans le dos. C’est-à-dire aussi ceux qui voudraient nous voir prendre des voies comme la lutte contre l’islam au lieu de celle contre l’immigration, l’alignement sur l’Occident, le libéralisme économique, etc. qui sont sans issues pour le mouvement national, mais qui seraient forts utiles pour la finance apatride et les lobbies.
    VOXNR - 06/11/10
  • Qui est-ce? - 89 - 90 - 91

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  • Collège Volney à Craon (Mayenne): enquête concernant des propos racistes

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    (Cliquez sur la photo)

    La gendarmerie de Craon (sud-Mayenne) mène actuellement une enquête concernant des insultes et des propos racistes qui auraient été proférés à l’encontre des adolescents de Seine-Saint-Denis par des élèves du collège Volney de Craon, lors de leur arrivée au sein de l’établissement de réinsertion scolaire (ERS).

    Ouest-France - 13/11/10

     

  • A Quiberon, 120 Bretons avec Marine

    Marine le Pen à Quiberon.jpg

    12 décembre 2010

    Un sérieux coup de vent soufflait sur la presqu’île de Quiberon ce vendredi 12 novembre. Marine Le Pen, en arrivant à la salle louée pour l’accueillir, déclara que c’était le temps qu’elle préférait et que, si elle arrivait avec quelques minutes de retard, c’est parce qu’elle n’avait pu s’empêcher de faire un détour pour admirer le spectacle des vagues s’écrasant sur les rochers de la côte sauvage.

    Malgré le temps, plus de cent vingt Morbihannais avaient fait le déplacement pour participer au banquet patriotique organisé par le secrétaire départemental du Front National, Jean-Paul Felix.

    Ils ne furent pas déçus et Marine Le Pen leur prodigua une intervention éblouissante et à la tonalité sociale prononcée.

    La salle était comble

    Interrompue à plusieurs reprise par des applaudissements, elle insista sur le fait que la France était un pays en voie de sous-développement dans lequel les souffrance du peuple étaient de plus en plus criantes, cela alors même que l’on accordait aux étrangers en situation irrégulière des avantages dont étaient privés les nationaux. Ainsi, déclara-t-elle : « On peut, sans se tromper, parler de préférence étrangère. Un étranger en France a plus de droits qu’un national.  » Et prenant l’exemple des soins médicaux et de l’enseignement supérieur, elle montra, preuves à l’appui, comment « il vaut mieux être un clandestin, qu’un franco-français ».

    Marine Le Pen insista aussi sur l’horreur économique de la mondialisation, et elle montra comment celle-ci était un drame pour notre pays, incapable de se défendre dans la guerre commerciale qu’on lui mène du fait de la réglementation de l’Union Européenne.

    Avant de conclure, elle réaffirma qu’elle ne ferait jamais d’alliance avec l’UMP et qu’elle y était hostile par principe. Le combat étant à ses yeux celui du Front National, constitué de Français issus de la droite comme de la gauche, contre le Front Mondialiste représenté par l’UMPS. « Pour gagner demain, déclara-t-elle, il faut s’appuyer sur le peuple, pas s’allier avec des partis qui ont trahis les Français de puis plus de quarante ans ! »

    NPI - 13/11/10

  • Pas bête! - Des rats entraînés à détecter les mines anti-personnel

    Rats héros.jpg

    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Pas de détecteurs de métaux ou d'encombrant gilet pare-éclats pour Babette, un sympathique rongeur au pelage beige clair, âgée d'à peine deux mois et déjà en formation pour devenir "rat démineur".

    Tenue en laisse par ses deux professeurs, ce rat des champs, une espèce endémique en Afrique, est à l'entraînement à Morogoro (sud de la Tanzanie), en attendant un prochain déploiement dans les champs de mines du Mozambique voisin, ravagé par une guerre civile de 1977 à 1992.

    Ce projet de "rats héros" est géré par Apopo, une ONG belge. Une trentaine de ces rongeurs-démineurs sont actuellement à la tâche dans la province mozambicaine de Gaza, où ils ont contribué au nettoyage de plus de 1,3 million de mètres carrés.

    L'objectif affiché est de dépolluer la totalité de la province d'ici 2014, soit 3,8 millions de mètres carrés, selon Apopo.

    Les rats présentent de nombreux avantages par rapport aux chiens renifleurs: avec la même puissance d'odorat, ils sont accoutumés au climat local, faciles à apprivoiser et sans lien affectif avec leur "professeur".

    Peu coûteux à entretenir ou à transporter, ils sont capables de supporter une cadence de travail élevée car littéralement obsédés par leur pitance, et leur poids plume (à peine plus d'un kilo pour environ 50 cm de long) leur évite de déclencher les mines.

    La formation commence dés l'âge de 4 semaines, par une mise en contact avec les humains, leur nouvel environnement et surtout l'apprentissage d'un petit "clic" sonore, que les bébés-rats associeront très vite à une récompense en nourriture.

    Une fois apprivoisés, les apprentis démineurs apprennent à distinguer l'odeur caractéristique des explosifs, sur le principe du conditionnement: à chaque fois qu'ils repèrent cette odeur, un "clic" retentit, avec cacahuètes et morceaux de banane à la clé.

    L'apprentissage dure près de neuf mois, et "ce n'est pas facile", souligne Abdullah Mchomvu, avec sous le bras un rat enfermé dans une cage grillagée.

    Deux rats peuvent nettoyer en deux heures une parcelle de 200 mètres carrés, ce qui prendrait deux jours à deux démineurs classiques.

    "La détection est la partie la plus difficile, dangereuse et coûteuse de la lutte contre les mines. Plus faciles à entraîner que les chiens renifleurs, les rats sont plus appropriés à cet environnement", résume Bart Weetjens, le fondateur d'Apopo.

    Les rats pâtissent pourtant de leur mauvaise image de vecteurs de maladies contagieuses et de destructeurs de récoltes.

    "Les rats ont un problème d'image. Les gens ne les aiment pas, et c'est en fait l'un de nos plus grands défis", reconnaît M. Weetjens, qui voudrait "changer cette perception".

    "Les rats sont sociables, très intelligents, et d'attachantes petites créatures", selon Apopo , qui propose d'adopter l'un de ces démineurs et de financer son entretien, avec "certificat d'adoption" et suivi de carrière (http://www.herorat.org/)

    L'ONG travaille aujourd'hui sur un autre projet, déjà mis en oeuvre dans cinq hôpitaux de Dar es-Salaam: recourir aux rats (et à leur odorat) pour le dépistage de la tuberculose dans les échantillons de salive.

    L'opération permet de confirmer un premier diagnostic en laboratoire, classique celui-là, mais fiable à seulement 60%.

    Et pour M. Weetjens, la prochaine étape sera l'utilisation des "rats héros" pour détecter de la drogue ou retrouver les victimes de tremblement de terre enfouies sous les décombres.

    AFP. 14/11/10

  • 86 : identifiée!

    86 - Madame de GENLIS (1746-1830) - Femme de lettres

    http://fr.wikipedia.org/wiki/F%C3%A9licit%C3%A9_de_Genlis

    BRAVO!

    Merci à Orion pour les précisions apportées.

    Vous êtes vraiment très forts! Et je mettrais la photo d'un parfait inconnu que vous arriveriez à trouver son nom! Du moins à le situer!

    Merci à tous ceux et celles qui participent à Qui est-ce?

    Le jeu continue!