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Blog - Page 1508

  • HONTEUX! Idron (64): les paras français morts à Beyrouth en 1983 renvoyés aux poubelles de l'UMP

    Voilà comment le maire UMP d’Idron (64) respecte la stèle des paras morts à Beyrouth dans l’immeuble du Drakkar en octobre 1983 : des poubelles « pour les gens du voyage » côtoient désormais la stèle !

    Le premier magistrat de cette petite commune de moins de 4.000 âmes, Annie Hild, semble assez peu soucieuse des convenances concernant nos morts au combat ou lors d’opérations extérieures. La stèle date de la période où le 1er Régiment de chasseurs parachutistes (1er RCP) était en garnison.

    Tout cela n’est en définitive pas très étonnant pour une municipalité sarkozyste, idéologiquement toute acquise au mondialisme apatride du petit être de l’Elysée.

    Drakkar poubelles

    Source

    NPI - 20/11/10

  • Les fidèles du Caudillo s'opposent à la haine des anti-franquistes

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    (Cliquez sur la photo)

    Une centaine de manifestants antifranquistes se sont rassemblés devant la basilique, située près de Madrid, appelant à un démantèlement de la croix en granit de 150 mètres de hauteur érigée sur le site et à un transfert des restes de Francisco Franco vers un autre lieu d'inhumation.

    "Nous n'oublierons pas", scandaient les sympathisants du Forum pour la Mémoire, qui se consacre à l'identification des opposants tués ou disparus sous le régime de Franco.

    Le "Valle de los Caidos est une horreur dont l'existence au coeur du pays est inconcevable", a déclaré le Forum dans un communiqué.

    Le Patrimoine national, qui gère une partie des monuments historiques espagnols, a bloqué l'accès au mausolée en invoquant des risques pour la sécurité en raison de travaux de rénovation.

    Les moines bénédictins installés dans l'abbaye ont donc célébré samedi en l'absence de fidèles la messe à la mémoire de Francisco Franco, mort le 20 novembre 1975.

    Les fidèles du Caudillo, certains drapés dans d'anciens drapeaux espagnols de l'époque de Franco, ont prié devant les portes du sanctuaire. Ils étaient séparés des antifranquistes par des dizaines de policiers, et il n'y a pas eu d'incidents.

    Commandé par Franco, consacré par le pape Jean XXIII en 1960, le Valle a été construit entre 1940 et 1958 pour abriter les tombes de toutes les victimes de la Guerre civile (1936-39).

    AFP. 20.11/10

  • 96 - BRAVISSIMO!

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    96 - Vaslav NIJINSKI  (1889-1950), le génie de la Danse!

    Toutes mes félicitations aux gagnants! Vous découvrirez leurs noms dans les commentaires de la note.

    Lire sa vie ardente au service de l'art chorégraphique:

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Vaslav_Nijinski#Galerie et autres sites.

    Merci à tous les participants!

    Le jeu continue!

     

     

     

     

  • Strasbourg: la mairie interdit la vente de churros et de paninis au marche de Noël

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    Strasbourg, la cathédrale et le marché de Noël

    Pour la mairie de Strasbourg, l'esprit de Noël, c'est sacré. La Ville a donc décidé d'interdire, sur son célèbre marché de Noël, la vente de produits qui «n'y ont pas leur place», tels les churros et les paninis.

      «Le marché de Noël n'est pas une fête foraine»

    Alors que deux millions de visiteurs du monde entier sont attendus pour la 440e édition du Christkindlmärik, qui débute le 27 novembre, le maire socialiste de Strasbourg (Bas-Rhin) entend soigner ses hôtes et mettre fin aux «dérives». «Cela fait des années que sont vendus sur le marché des produits qui n'y ont pas leur place, constate Roland Ries. Le marché n'est pas une foire, encore moins un barnum. Il faut conserver l'authenticité qui fait l'attraction du marché

    Churros (beignets espagnols) et paninis (sandwichs chauds italiens) ont donc été déclarés indésirables car, selon Eric Elkouby, adjoint délégué aux foires et marchés, ils appartiennent davantage à l'univers de la «fête foraine» qu'à celui du Christkindlmärik, «marché de Noël vieux de quatre siècles». Des stands de bijoux et de peluches ont d'ailleurs aussi été refusés. «Il faut éviter que les produits de Chine inondent la manifestation et la dénaturent», renchérit Roland Ries.

    La colère des commerçants

    Ces nouvelles règles, qui feront l'objet de contrôles lors de cette 440e édition, ont suscité la colère de certains commerçants. «On nous a dit que les churros étaient espagnols, que ça ne faisait pas Noël, que ça sentait mauvais», déclare Hez Edine Ben Mourdi, président du syndicat des industriels forains de l'Est, qui estime avoir été prévenu tardivement : «Les marchandises sont déjà arrivées. J'ai deux tonnes de farine. Les churros représentent 20 à 30% de mon chiffre d'affaires», déplore-t-il.

    L'an prochain, la mairie ira plus loin dans la sélection des marchandises : un nouveau règlement, qui entrera en application en 2011, prévoit la création d'une commission consultative à qui il appartiendra de définir les articles dignes d'être vendus sur les étals des 300 chalets de la manifestation.

    Le Parisien - 20/11/10

     

  • Qui est-ce? 96

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    96

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    (Il s'agit de la même personne)

  • WAGNER - Romance à l'étoile - Tannhäuser

    Extrait de Tannhäuser: "la romance à l'étoile" interprétée en français par Pierre Nougaro, baryton

    20/11/10

  • Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°209


    Emissions FN : Le Journal de Bord de Jean-Marie Le Pen n°209
    envoyé par polecom. - L'info internationale vidéo.

    NPI - 19/11/10

  • 95 - Bravo à Orion!

    95 - René DUGUAY-TROUIN  (1673-1736), Français, Breton.

    Lire sa vie: http://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Duguay-Trouin

    Orion a été le seul à donner le nom du célèbre corsaire de Louis XIV

    Félications! Merci à tous ceux qui ont participé!

    Le jeu continue!

     

  • Silvio Berlusconi rend son pénis à Mars et ses bras à Vénus

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    Les statues de Vénus et de Mars dans le Palais Chigi, siège du gouvernement à Rome, le 18 novembre 2010 - (Cliquez sur la photo)

    Ce groupe de statues en marbre, installé depuis février dans le portique d'honneur du Palazzo Chigi, a en outre bénéficié d'un autre traitement peu orthodoxe: il a été installé devant un fond bleu azur parsemé de nuages, très kitsch, un choix de l'architecte personnel du Cavaliere, Mario Catalano.

    Datant de 175 après Jésus-Christ et retrouvé en 1918 à Ostie, près de Rome, ce groupe de 1,4 tonne, haut de 2,28 mètres, représente le dieu de la Guerre sous les traits de l'empereur Marc-Aurèle et la déesse de l'Amour sous ceux de sa femme Faustine.

    Déjà, le transfert de l'oeuvre du Musée romain des Thermes de Dioclétien dans le palais où travaille Berlusconi avait créé quelques remous, car il privait ainsi le public de la vue de cette oeuvre, même si l'accord de prêt prévoit son retour au musée à la fin de la législature (2013).

    L'intervention "esthétique", demandée expressément par le président du Conseil et son architecte, est en totale contradiction avec les règles drastiques entourant en Italie la restauration d'oeuvres d'art aussi sensibles.

    Celles-ci prévoient que les restaurations ne doivent pas tromper le spectateur, mais au contraire montrer la différence entre ce qui est vraiment original et ce qui a été restauré.

    "Pourquoi les sculptures en Chine ont l'air d'être neuves, alors qu'aux nôtres manquent des bras et des têtes?" avait demandé M. Berlusconi à son architecte lorsque la statue lui avait été livrée, selon La Repubblica.

    Alors que le ministère de la Culture a subi des coupes drastiques (budget de la préservation du patrimoine en chute de 46% pour 2011), le coût de ce lifting (70.000 euros) fait polémique, d'autant que l'effondrement de la Maison des Gladiateurs à Pompéi le 6 novembre a fait scandale et mis l'accent sur le piètre état de nombreux sites.

    Le Parti démocrate PD (gauche, opposition) a interpellé le ministre de la Culture Sandro Bondi, lui reprochant de "faire céder son ministère aux caprices et aux folies du président du Conseil".

    "Que Bondi nous dise s'il est normal qu'en violation de la législation en vigueur, le célèbre groupe en marbre ait été soumis à une véritable intervention de chirurgie esthétique", s'est enflammée une députée PD en charge de la culture, Manuela Ghizzoni.

    Face à ces critiques, le ministère de la Culture a indiqué dans un communiqué que cette restauration avait été effectuée "en ayant recours à des méthodes et des solutions techniques innovantes appliquées pour la première fois à une sculpture de l'ère classique".

    "Pour les substitutions de membres ont été utilisées des solutions absolument réversibles -- des reconstitutions en résine adhérant aux points de fracture grâce à des aimants -- avec des résultats respectant complètement l'éthique des règles de restauration", a-t-il ajouté.

    De son côté, l'architecte de Berlusconi s'est défendu en soulignant que les "prothèses" posées sur les statues étaient "amovibles". "Il s'agit de restitutions effectuées dans les règles qui servent à faire voir l'oeuvre telle qu'elle était lorsqu'elle a été sculptée", a-t-il ajouté.

    AFP. 18/11/10

     

     

     

     

  • Révélations sur Karachi: "Si certains ont du sang sur les mains, il va falloir qu'ils paient!"

    Communiqué de presse de Marine Le Pen, Vice-Présidente du Front National

    Les révélations de Charles Millon confirment les accusations que le Front National a été le premier à porter dans l’affaire de Karachi, dans un désert médiatique déconcertant.
    L’existence confirmée de rétrocommissions renforce encore davantage les soupçons gravissimes qui pèsent sur l’implication de Nicolas Sarkozy, cité dans l’affaire au Luxembourg comme possible organisateur du transit par ce pays des commissions versées au Pakistan.

    Voilà qui explique pourquoi le chef de l’Etat n’a eu pour l’instant qu’un seul objectif : étouffer l’affaire par tous les moyens. On peut en effet s’étonner de l’étrange discrétion des médias français sur le sujet depuis de longs mois et de la tentative du parquet il y a quelques semaines de faire obstacle à l’enquête. Dans une démocratie normale, les médias harcèleraient le pouvoir en place, la justice ferait son travail et cela aboutirait à une destitution du Président de la République.

    Une affaire d’Etat

    L’affaire n’est pourtant pas mince, puisque le vaste système de corruption qui se serait mis en place pour financer la campagne présidentielle d’Edouard Balladur s’est traduit in fine par l’assassinat de 15 personnes en 2002, dont 11 ingénieurs et techniciens français.
    Certains très haut placés ont peut-être du sang sur les mains ; si c’est le cas, il va falloir qu’ils paient.

    Marine Le Pen, Vice-Présidente du Front National, demande à Nicolas Sarkozy de s’expliquer au plus vite et en détails, sur cette affaire, relancée par les déclarations de Charles Millon. Elle s’alarme du fait que notre pays semble s’accoutumer peu à peu à la corruption de ses élites, plus répandue que jamais. La France a ainsi reculé de 6 places depuis 2007 dans le classement établi par Transparency International, qui positionne notre pays au 25ème rang mondial, derrière la plupart des pays européens.

    La corruption des élites

    Un soupçon de corruption pèse également déjà sur le nouveau gouvernement de Nicolas Sarkozy : on apprend que Michel Mercier, nouveau ministre de la Justice, vient de bénéficier d’un classement par le Parquet de Lyon du volet de l’affaire Rhônexpress, cinq jours avant sa nomination et que Nora Berra, désormais secrétaire d’Etat à la santé, a travaillé pendant près de 10 ans pour des laboratoires pharmaceutiques.

    Comment notre démocratie peut-elle accepter cela ? Le peuple français doit retrouver sa capacité d’indignation : il est plus que temps de faire le ménage !

    NPI - 18/11/10

  • L'Eglise grecque refuse le chiffre 666 sur les cartes d'identité informatisées

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    Messe de minuit à Livadia le 4 avril 2010

    L'Eglise orthodoxe grecque exige que le chiffre 666, symbole de l'Antéchrist dans la tradition chrétienne, ne figure pas sur les cartes d'identité informatisées en préparation.

    L'Eglise, non séparée de l'Etat, "a le devoir de préserver l'intégrité de la foi, c'est pourquoi la "carte du citoyen" ne doit inclure en aucun cas, ni de manière visible ni de manière invisible le chiffre 666", a indiqué dans un communiqué le saint synode, son organe collégial de direction.

    "Les cadres du gouvernement grec" tenus au courant de la consultation sur ce point menée au sein de l'Eglise "ont exprimé leurs accords avec les remarques" des experts ecclésiastiques, "et indiqué qu'elles seront prises en compte", a ajouté le communiqué.

    L'Eglise avait prévenu le gouvernement qu'elle entendait se prononcer sur la question, au nom du respect des libertés personnelles et des prescriptions de la foi orthodoxe, après l'annonce par les autorités de la prochaine émission de documents informatisés, baptisés "cartes du citoyen".

    Le projet, qui doit être finalisé début 2011, a aussi été critiqué par des organisations de gauche, qui ont mis en garde contre tout fichage des citoyens.

    Souvent accusée d'obscurantisme, la hiérarchie orthodoxe grecque a par le passé combattu farouchement l'entrée du pays dans l'espace Schengen, arguant de l'existence d'un contrôle informatique des entrées et sorties dans cette zone utilisant le chiffre 666.

    Ce symbole, le "chiffre de la Bête" apparait dans le texte biblique de l'Apocalypse, rédigé selon la tradition orthodoxe grecque par l'apôtre Jean en l'an 95 sur l'île de Patmos, dans le sud-est de l'Egée.

    L'Eglise grecque avait aussi longtemps bataillé contre la suppression, finalement imposée au début des années 2000 par le précédent gouvernement socialiste, de la mention obligatoire de la religion sur les papiers d'identité grecs.

    AFP. 18/11/10

  • Afghanistan: l'OTAN avoue une guerre perdue qui a fait des milliers de morts pour rien

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    (Cliquez sur la carte)

    L'Otan va endosser, lors d'un sommet vendredi et samedi à Lisbonne, une stratégie à haut risque de sortie du bourbier afghan via le transfert progressif de 2011 à 2014 de la responsabilité des opérations aux forces de sécurité locales.

    Le président américain Barack Obama rencontrera samedi les présidents afghan Hamid Karzaï et géorgien Mikheïl Saakachvili en marge du sommet de l'Otan à Lisbonne, auquel la Russie doit participer pour la première fois, a annoncé jeudi la Maison Blanche.

    Les dirigeants des 28 pays de l'Alliance atlantique vont en même temps prendre acte de son entrée dans l'ère d'un monde multipolaire aux dangers multiformes, en adoptant un nouveau "concept stratégique", qui tire notamment des leçons de l'expérience afghane. Ce document très synthétique doit servir de guide à son action pour les 10 prochaines années.

    Dans la foulée, samedi, les alliés occidentaux doivent solenniser la relance de leur coopération avec Moscou, à l'occasion d'un sommet Otan-Russie.

    Un ordre du jour avec des enjeux aussi lourds pour une organisation en quête d'une raison d'être depuis la fin de la Guerre froide, alors que le centre de gravité du monde bascule vers la zone Pacifique, a permis au secrétaire général de l'Otan Anders Fogh Rasmussen de qualifier par avance d'"historique" la réunion.

    "Nous allons entrer dans une phase fondamentalement nouvelle en Afghanistan", avec le lancement du processus dit de "transition", autrement dit l'afghanisation du conflit, neuf ans après l'intervention armée de la coalition conduite par les Etats-Unis, a souligné lundi M. Rasmussen.

    L'objectif est que la Force internationale de stabilisation, l'Isaf, ne joue plus qu'un rôle de soutien, après avoir laissé district par district, au terme à chaque fois d'une transition de 18 à 24 mois, la direction des opérations à l'armée et la police afghanes.

    M. Rasmussen a confirmé que ce "processus commencera en début d'année" -ce qui veut dire au premier semestre, à une date et dans une région encore indéterminées- "et (que) si les conditions le permettent, il sera activé en 2014".

    La décision devrait être avalisée par les responsables des 48 pays -les 28 de l'Otan et 20 autres- participant à l'Isaf, plus le Japon et le président afghan Hamid Karzaï, venus pour l'occasion à Lisbonne.

    Elle devrait faciliter les premiers retraits de soldats dès l'an prochain, et satisfaire une opinion publique sceptique, surtout en Europe, alors que près de 650 militaires étrangers -un record- ont déjà trouvé la mort en Afghanistan en 2010.

    Le contingent international a atteint un pic avec quelque 150.000 soldats, ce qui n'a pas empêché les talibans de multiplier attaques et attentats sanglants dans tout le pays.

    L'Otan est bien consciente du risque, en cas d'échec de sa stratégie, d'obérer sa crédibilité et donc son action future. A Lisbonne, un "partenariat à long terme" avec Kaboul sera entériné, façon d'éviter que l'on parle d'abandon.

    Autre résultat attendu du sommet, selon M. Rasmussen : rendre l'Otan "plus efficace" en lui faisant investir dans des domaines "clés", comme les contre mesures en cas d'attaque cybernétique.

    Mais aussi en approfondissant ses partenariats avec des pays comme l'Australie ou le Japon, voire en dialoguant avec les puissances émergentes comme l'Inde ou la Chine.

    Tous aspects traités par le nouveau "concept stratégique", qui remplacera le précédent datant de 1999.

    En parallèle, l'Otan autorisera une forte réduction de ses effectifs civils et militaires permanents

    Enfin, Lisbonne devrait donner le signal d'"un nouveau départ dans nos relations avec la Russie", a déclaré M. Rasmussen.

    Une étude conjointe va notamment être lancée pour examiner la possibilité de relier le bouclier antimissiles russe à celui, à venir, de l'alliance, un changement notable d'attitude de Moscou.

    Les 28 alliés auront au préalable pris la décision de principe de créer leur propre système antimissile destiné à protéger territoires et populations d'Europe.

    AFP. 18/11/10

  • Encore un élève en réinsertion exclu

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    ERS de Bagnères-de-Luchon - (Cliquez sur la photo)

     

    Connue pour sa cité thermale et sa station de ski, la petite ville de Bagnères-de-Luchon au sud de la Haute-Garonne va-t-elle défrayer la chronique pour avoir accueilli un Etablissement de réinsertion scolaire (ERS) ? Huit collégiens de 13 à 16 ans, originaires de Midi-Pyrénées, ont intégré cet internat expérimental après les vacances de la Toussaint.

    Dès le deuxième jour, ils n’étaient plus que sept. Un garçon de 14 ans ayant été exlu. « Refus d’écouter, insultes, menaces physiques : il était ingérable quasiment à tous les instants, jour et nuit », résume David Venderplancke, le principal adjoint du collège.

    Bien que cet internat en pleine montagne soit « propice à une mise au vert », selon l’inspection d’académie, c’est lors d’une sortie qu’a eu lieu l’incident de trop : en voulant s’interposer entre deux élèves qui se querellaient, un professeur a été bousculé et a manqué de peu tomber dans un ravin. « Pour sauver le groupe, il a été demandé de renvoyer l’adolescent, qui n’adhérait pas au projet », précise David Venderplancke.

    La cité scolaire de Bagnères, qui regroupe un lycée général, un lycée professionnel et un collège, soit environ 500 élèves, a l’habitude de recevoir des enfants stigmatisés. « Dans trois cas sur quatre, ça fonctionne, assure le principal adjoint. Ici, le dépaysement permet de se faire une nouvelle virginité ». Reste à gérer les relations entre les élèves de l’ERS et les autres. A la cantine, les seconds ont traité les premiers de « débiles ». Fallait-il grillager le bâtiment comme le suggérait le conseil général ? « Ce ne sont pas des singes en cage », a tranché la direction, qui attend le renfort de « deux ou trois employés de vie scolaire ». Lundi s’est passé « sans incident », se réjouit David Venderplancke, qui espère que son ERS passera « en vitesse de croisière d’ici un mois » et qu’un premier bilan pourra être fait à Noël. « Si le personnel tient le coup », ajoute-t-il , inquiet.

    Le Parisien - 18/11/10

  • Jean-Marie Le Pen traite Jérôme Bourbon, le directeur de Rivarol, de "taliban hystérique"

    Le président du Front national Jean-Marie Le Pen a traité, jeudi matin sur RFI, de "taliban hystérique" le directeur du journal d'extrême-droite Rivarol, Jérôme Bourbon, qui mène une campagne virulente contre sa fille Marine Le Pen, candidate à sa succession.

    Le patron du FN, qui soutient sa fille pour lui succéder face à Bruno Gollnisch, a estimé qu'un "certain nombre de soutiens" se conduisaient de "façon absolument hystérique, comme M. Bourbon de Rivarol", mais qu'il s'agissait d'une "exception" dans la campagne interne, qui s'achèvera par un vote des adhérents du parti.

    Evoquant des "injures absolument scandaleuses", M. Le Pen a ajouté que "ça, c'est pas des débats politiques, ça, c'est l'hystérie d'un taliban. C'est un taliban hystérique".

    "Moi, je note que Marine et ses partisans ne se livrent pas à ce genre d'activités".

    Directeur de Rivarol, Jérôme Bourbon est parti en guerre depuis plusieurs semaines contre Marine Le Pen, l'accusant, à coups de propos injurieux, de trahir la "cause nationale".

    Dans une interview sur le site internet e-deo, qui a poussé Marine Le Pen à porter plainte, il parlait d'"une gourgandine sans foi ni loi, sans doctrine, sans idéal, sans colonne vertébrale, pur produit des media, qui a multiplié les purges depuis des années et dont l'entourage n'est composé que d'arrivistes sans scrupules (...) et d'invertis notoires". Il ajoutait que Marine Le Pen "a parfaitement fait siennes les deux religions officielles de la Ve République, l'avortement et la Shoah".

    Bruno Gollnisch s'est publiquement désolidarisé de Jérôme Bourbon, mais lors d'une "fête des patriotes" qu'il organisait à Villepreux (Yvelines) samedi, Rivarol tenait un stand.

    Le FN a également assigné le journal au tribunal pour diffamation, après que Rivarol a laissé entendre que des adhésions de partisans de Bruno Gollnisch étaient bloquées.

    Le congrès de succession de Jean-Marie Le Pen aura lieu les 15 et 16 janvier 2011 à Tours.

    AFP. 18/11/10

  • Attentat de Karachi: l'Elysée dans le collimateur de familles de victimes

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    Me Olivier Morice - (Cliquez sur les photos)

    Des familles de victimes de l'attentat de Karachi réclament les auditions comme témoins de Nicolas Sarkozy et de Jacques Chirac, après la révélation par l'ex-ministre de la Défense Charles Millon de faits de corruption jusqu'en 1995 en marge de contrats d'armement.

    L'ancien ministre de la Défense a déclaré lundi au juge Renaud van Ruymbeke que des vérifications menées en 1995 par les services secrets après l'élection de Jacques Chirac avaient établi l'existence de rétrocommissions vers des décideurs français en marge de contrats de ventes de sous-marins au Pakistan et de frégates à l'Arabie saoudite.

    Ces déclarations intéressent au plus haut point les familles de victimes de l'attentat de Karachi (Pakistan) en 2002 puisque la justice suit depuis plus d'un an la piste de représailles pakistanaises à l'arrêt, décidé par M. Chirac, du versement de commissions sur la vente de sous-marins Agosta promises par le gouvernement d'Edouard Balladur.

    Une partie de ces commissions serait revenue vers des décideurs français et aurait servi au financement de la campagne présidentielle de M. Balladur, dont M. Sarkozy était le porte-parole, selon des documents et témoignages.

    M. Millon a précisé devant le juge avoir été "en lien direct" avec les collaborateurs de M. Chirac, "en particulier avec le secrétaire général, Dominique de Villepin, qu'il tenait régulièrement informé des investigations" des services.

    L'avocat d'une partie des familles de victimes de l'attentat, Me Olivier Morice, a annoncé jeudi qu'il avait demandé la veille au juge van Ruymbeke d'entendre comme témoins MM. Chirac et de Villepin.

    Ces parties civiles sollicitent également l'audition de M. Sarkozy. "L'audition du chef de l'Etat est possible durant son mandat, même s'il est couvert par une immunité présidentielle", a assuré Me Morice, précisant qu'un président en exercice ne pouvait échapper qu'à d'éventuelles poursuites.

    Deux filles de victimes, Magali Drouet et Sandrine Leclerc, ont rappelé durant cette conférence de presse que le chef de l'Etat leur avait promis en les recevant le 4 avril 2008 qu'il "ferait tout pour les aider à connaître la vérité". "M. Sarkozy nous doit cette audition, qu'il dise ce qu'il a à dire, lui qui a qualifié de "fable" cette piste financière", s'est émue Mme Leclerc.

    L'opposition avait dès mercredi réclamé des comptes au chef de l'Etat, ainsi que la déclassification des documents qui restent inaccessibles à la justice.

    "Au sommet de l'Etat, on craint l'avancée de ce dossier car il implique Nicolas Sarkozy et ses proches, dont M. Balladur", a déploré Me Morice, qui a déposé plusieurs plaintes pour "entrave à la justice" dans cette procédure.

    L'avocat a ainsi rappelé que le président du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré, avait contredit Michèle Alliot-Marie qui avait assuré en octobre à l'Assemblée que la justice pouvait avoir accès aux délibérations entre les Sages qui ont validé les comptes de campagne de M. Balladur, contre l'avis des rapporteurs.

    M. Debré a opposé une fin de non-recevoir au juge van Ruymbeke qui lui a demandé ces procès verbaux, au motif que ces échanges sont soumis au secret du délibéré.

    Le nouveau garde des Sceaux, Michel Mercier, a volé au secours de M. Debré, assurant jeudi qu'il n'avait fait qu'appliquer "strictement" la loi. La justice n'est pas "entravée puisqu'elle fait son travail en ce moment, et elle le montre", a déclaré M. Mercier.

    AFP. 18/11/10

  • 93: bravo à Hibiscusez-moi!

    93:  Bram STOKER  (1847-1912)

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Bram_Stoker

    Félicitations, vous avez été le seul à me donner la réponse juste!

    Le jeu continue!

     

  • Une bonne nouvelle: Tarek Aziz ne sera pas exécuté - Le président Talabani refuse de signer l'ordre de condamnation à mort

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    Jalal Talabani, né en 1933 au Kurdistan

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    Tarek Aziz, né en 1936 à Mossoul - (Cliquez sur la photo)

    Le président irakien, Jalal Talabani, a annoncé dans un entretien diffusé mercredi qu'il ne signera pas l'acte de condamnation à mort de Tarek Aziz, ancien vice-premier ministre de Saddam Hussein. Depuis sa condamnation à mort, la communauté internationale presse Bagdad de ne pas appliquer la peine capitale contre la personnalité "fréquentable", "visage humain" du régime du "raïs" irakien.
     

    "Non, je ne vais pas signer l'ordre d'exécution à l'égard de Tarek Aziz et je ne vais pas signer un ordre de ce genre parce que je suis socialiste", indique Jalal Talabani à France 24.

    Tarek Aziz a été condamné à mort le 26 octobre par la Haute Cour pénale irakienne. L'ancien vice-premier ministre et quatre autres personnes, dont un ancien ministre de l'intérieur et un ancien secrétaire particulier de Saddam Hussein, ont été reconnus coupables de "crimes contre l'humanité", en l'espèce "l'élimination de partis religieux", a précisé le tribunal. Les autres condamnés sont l'ancien ministre de l'intérieur et chef du renseignement Sadoune Chakir, Abed Hamoud, ancien secrétaire particulier de Saddam Hussein, un demi-frère de celui-ci, Sabaoui Ibrahim al Hassan, et un ancien haut responsable du parti Baas, Abdou Ghani Abdoul Ghafour.

    L'ancien collaborateur de Saddam Hussein, qui a accusé en août le président Barack Obama "d'abandonner l'Irak aux loups" en retirant les troupes américaines, devrait faire appel de sa condamnation à mort de même que les quatre autres prévenus. La loi irakienne prévoyait un rejugement automatique en appel pour les personnes condamnées à mort ou à la prison à vie. Agé de 74 ans, de santé fragile, Tarek Aziz est emprisonné depuis sa reddition fin avril 2003, un mois après l'invasion américaine de l'Irak.

    Le Monde - 17/11/10