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Blog - Page 1506

  • Avigdor Lieberman: "La Corée du Nord menace le Proche-Orient" (Israël?)

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    Avigdor Lieberman

    Avigdor Lieberman réagit au bombardement, mardi, de positions insulaires sud-coréennes. Pour le ministre des Affaires étrangères, le bombardement reflète "la nécessité, plus que jamais, de stopper ce régime fou et ses provocations".

    Et d'ajouter que la Corée du Nord fait partie d'un "axe du mal" qui inclut la Syrie et l'Iran. Les trois régimes coopérent en effet vivement dans le domaine nucléaire et balistique.

    De fait, l'expansion nucléaire nord-coréenne ne menace pas seulement l'Asie, mais également le Proche-Orient.

    Lieberman a commenté le bombardement au cours d'une conférence de presse à Jérusalem, à l'occasion de la visite du ministre italien des Affaires étrangères, Franco Frattini.

    Condamnations générales

    Les déclarations de Lieberman s'intègrent dans une longue série de condamnations, émanant de l'ensemble de la communauté internationale.

    Les Etats-Unis ont rappelé leurs engagements envers la Corée du Sud et ont qualifié l'agression nord-coréene de "casus belli".

    Dirigeants russes, anglais et allemands ont, à leur, tour condamné les événements.
    Selon le Premier ministre japonais, Tokyo se prépare à réagir à tout événement inattendu. La Chine, enfin, seul soutien économique du régime de Pyongyang, a appelé son allié au calme.

    Des propos qui font suite au bombardement nord-coréen d'une île sud-coréenne, mardi. De sources officielles à Séoul, les tirs ont déclenché des incendies et coûté la vie à au moins un militaire, suite à un message du Nord qui avait demandé à Séoul de mettre un terme à des exercices militaires dans la région.
    Bien que, techniquement, les deux pays soient en guerre, l'agression nord-coréenne contre des civils viole l'armistice de 1953, qui avait mis fin à la guerre de Corée.

    JERUSALEM POST - 23/11/10

     

  • Amine l'"Auvergnat" charge Hortefeux et publie un livre "Confessions d'un sarkoziste repenti"

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    Amine Bénalia-Brouch, 23 ans - (Cliquez sur la photo)

    "Écoute, Amine, on va rédiger un petit communiqué que tu vas lire à ce journaliste. Tu vas lui expliquer que les propos sont sortis de leur contexte, que l'on parlait des Auvergnats." Le 10 septembre 2009, à la permanence UMP de Dax, la secrétaire de la fédération des Landes demande à Amine Bénalia-Brouch de dédouaner le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, accusé d'avoir tenu des propos racistes.

     Le Monde.fr vient en effet de mettre en ligne une vidéo tournée cinq jours plus tôt à Seignosse, lors de l'université d'été des jeunes de l'UMP. On y voit Amine Bénalia-Brouch, jeune militant d'origine algérienne, demander à Brice Hortefeux de poser avec lui pour une photo-souvenir. C'est alors que la responsable de l'UMP des Landes lance : "C'est notre petit Arabe." Et le ministre de rétorquer : "Il en faut toujours un. Quand il y en a un, ça va, c'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes." La réplique a déclenché une tornade médiatique et a valu, au mois de juin, au ministre de l'Intérieur d'être condamné en première instance pour "injure à caractère raciste" pour des "propos tenus dans un cadre privé", assortie d'une amende de 750 euros et de 2.000 euros de dommages et intérêts. La date du procès en appel n'est toujours pas fixée.

    Intitulé "Confessions d'un sarkozyste repenti", le livre d'Amine Bénalia-Brouch, qui sort cette semaine, risque de peser dans les débats contre le ministre. "J'ai été manipulé, j'ai dû mentir pour sauver l'ami du Président, puis on m'a jeté comme un vulgaire Kleenex", raconte au Point le jeune chômeur de 23 ans, au look soigné.

    Tempête médiatique

    Dans l'heure qui suit la mise en ligne de la vidéo, une véritable tempête médiatique s'abat sur Amine. Bientôt, c'est Édouard Courtial, le secrétaire national aux fédérations et aux adhésions de l'UMP, qui appelle. "L'élu, qui se définit comme le ministre de l'Intérieur du parti, me souffle que je me débrouille bien, que je dois continuer dans le même registre en arrangeant quelques points." Un peu plus tard, en fin d'après-midi, Courtial téléphone à nouveau. "Amine, me dit-il, il faut que tu fasses une petite vidéo de vingt-cinq secondes." Je m'étonne. "Pour quoi faire ? - Pour stopper définitivement la polémique."

    Une version contestée par Édouard Courtial. "Je passe toujours un coup de fil aux militants affectés par une histoire. J'ai aussi téléphoné à la secrétaire départementale de Dax. J'ai dit à Amine que j'étais à sa disposition pour l'aider. Jamais je ne lui ai demandé de faire une vidéo. C'est lui qui me l'a proposé. Je lui ai donné mon accord s'il pensait que c'était utile pour calmer le jeu." Pourquoi Amine mentirait-il ? "Compte tenu du tourbillon médiatique, il est normal qu'il soit désorienté..." répond Édouard Courtial.

    Quoi qu'il en soit, cette vidéo de trente-quatre secondes postée sur YouTube et Dailymotion se répand comme une traînée de poudre sur le Net. Pour Amine Bénalia-Brouch, c'est le début d'un cauchemar. Les insultes et les menaces pleuvent sur sa page Facebook. Amine ira jusqu'à porter plainte à la suite de menaces de mort très précises. Désormais, il se retrouve dans l'arène sans plus aucune nouvelle de Brice Hortefeux, qui l'avait brièvement appelé le 12 septembre. Amine a alors l'impression d'être suivi et pense que ses e-mails ont été "parasités"...

    "Laver mon honneur"

    Visiblement, le ministère de l'Intérieur est inquiet. Le 16 octobre, sur les conseils d'Édouard Courtial, Brice Hortefeux reçoit Amine, Place Beauvau, à Paris. "En m'accueillant, il me lance : Bonjour, vous êtes populaire. J'évoque les menaces dont je suis victime, ma difficulté à trouver du travail avec cette histoire qui me colle à la peau. Le ministre m'assure qu'il va m'aider. Des semaines plus tard, le cabinet me rappellera pour me proposer un job de distributeur de prospectus publicitaires..."

    Un mois avant le procès de Brice Hortefeux pour "injure à caractère raciste", Amine est de nouveau convié à rencontrer le ministre. "Le ministre est inquiet avant son procès. Je lui fais remarquer que je vois mal le premier flic de France être condamné. Là, il me fait une réponse que je n'oublierai jamais : Vous savez, monsieur Bénalia-Brouch, là où il y a justice, il y a danger." À son retour à Dax, le jeune militant démissionne de l'UMP pour rejoindre le mouvement de Dominique de Villepin. Lorsqu'on lui pose la question : "N'avez-vous pas peur qu'on dise que vous roulez pour l'adversaire de Nicolas Sarkozy en sortant ce livre ?", il rétorque : "Je n'ai jamais rencontré Villepin. J'ai été sali, ce livre est une façon de laver mon honneur."

    Le Point - 24/11/10
     
  • David Cameron juge inacceptable le niveau de l'immigration

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    Le premier ministre britannique a assuré ce week-end qu'il était «parfaitement possible» de réduire l'immigration à quelques dizaines de milliers de personnes par an.

    Lors d'une interview sur Sky News, le premier ministre britannique, David Cameron, a déclaré son intention de réduire franchement le nombre d'arrivées d'immigrants en Grande-Bretagne.

    «Ces dernières années, nous avons eu une immigration nette d'environ 200.000 personnes au Royaume-Uni, ce qui représente deux millions de personnes supplémentaires tous les dix ans», a expliqué David Cameron. «C'est un niveau inacceptable qui doit être réduit,» a-t-il poursuivi.

    La ministre de l'Intérieur, Theresa May, doit présenter avant la fin du mois des quotas plus restrictifs pour les étrangers non originaires de l'Union européenne, ce qui était l'une des promesses électorales des conservateurs. Le projet est très critiqué par l'ensemble des responsables économiques, qui craignent un manque de main-d'œuvre qui mette en danger la reprise fragile de l'économie.

    David Cameron a assuré ce week-end qu'il était «parfaitement possible» de réduire l'immigration à quelques dizaines de milliers de personnes par an sans avoir d'impact négatif sur l'économie.

    En plus des quotas réduits pour les ressortissants non européens, le gouvernement prévoit aussi de renforcer les contrôles sur les visas étudiants.

    Le Figaro - 23/11/10

  • Orléans: un collégien de 15 ans violemment agressé

    Trois collégiens de 15 ans ont été placés en garde à vue aujourd'hui à Orléans après l'agression violente d'un élève de leur établissement, qui a dû subir une ablation de la rate, a-t-on appris de source judiciaire. Un différend entre la victime, délégué de classe également âgé de 15 ans, et l'un des agresseurs, en procédure d'expulsion, pourrait expliquer ce geste, selon cette source.

    L'un des trois élèves interpellés faisait l'objet d'une "procédure d'exclusion conservatoire" du collège André Chêne à Fleury-les-Aubrais, en banlieue nord d'Orléans, dans l'attente d'un prochain conseil de discipline, a précisé le procureur d'Orléans Franck Rastoul. La victime avait joué un rôle dans cette procédure d'expulsion, selon cette source.

    L'agression s'est produite hier vers 17H30 devant le collège. Le collégien a été violemment frappé devant sa mère et il a été hospitalisé dans un état grave. "Le pronostic vital n'est plus engagé mais il a dû subir une ablation de la rate", a expliqué le procureur. Les trois jeunes ont été interpellés grâce au témoignage de la mère de la victime, selon le magistrat. Ils ont été placés en garde à vue au commissariat central d'Orléans.

    Le Figaro - 24/11/10

  • Marine Le Pen en duplex sur i>TELE le 24/11/10


    Marine Le Pen en duplex sur i>TELE 24/11/2010
    envoyé par nationspresse. - L'info video en direct.

    NPI - 24/11/10

  • 100 - Bravo à JLA!

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    100 - Gaëlle Mann

    Oui, c'est "Gaëlle" à l'âge de 4 ans! Photographiée dans son âge tendre par Albert Detaille à Marseille

    http://www.massalire.fr/biographie/detaille_famille_bio.htm 

    JLA a beaucoup de perspicacité! C'est lui qui m'a répondu le premier et m'a donné la seule réponse juste! Mais Orion ne manque pas d'intuition...

    Merci d'avoir participé!

    Le jeu continue!

     

  • 29 avril: une étrange coïncidence

    29 avril 1945: mariage d'Adolf Hitler et d'Eva Braun, la veille de leur suicide.

    (Wikipédia)

  • Manosque: un professeur projette une vidéo anti-avortement à ses élèves - Il a été suspendu par Luc Chatel

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    Lycée des Iscles à Manosque - (Cliquez sur la photo)

     

    Le film a été projeté en cours d'instruction civique

     

    "Des images très crues mettant en scène les différentes techniques d'avortements. Une vidéo quasi insoutenable".

     

     

    C'est le message d'avertissement d'un film anti-avortement que l'on peut visionner sur un site internet. Mais c'est ce document qu'un enseignant du lycée des Iscles, à Manosque, a diffusé à ses élèves de deux classes de seconde et auxquels il a distribué un tract conspuant la loi Veil, qui a légalisé l'avortement.

    Les faits remontent à la mi-octobre mais n'ont été évoqués hors du milieu scolaire que ces derniers jours. Au lycée, depuis, on ne parle que de ça dans les couloirs : "Tu l'as vue toi, la vidéo anti-avortement ?" Au moindre visage étranger qui se pointe à l'entrée de l'établissement, les réactions des élèves ne se font pas attendre: "On sait de quoi vous venez nous parler."

    Une projection qui a choqué certains élèves de cet enseignant d'histoire-géographie et éducation civique, juridique et sociale. "Au début, on est resté tétanisé", lance un jeune homme. "C'était écoeurant", dit une jeune fille, indiquant qu'une amie est sortie de classe parce qu'elle avait envie de vomir. Les autres font allusion au film d'épouvante sanguinolant Saw.

    La projection de ce film devait intervenir dans le cadre du débat argumenté et méthodologie propre à ce cours qui évoque la citoyenneté dans le cadre de la civilité, de l'intégration, du travail et de la transformation des liens familiaux. Mais selon les élèves, point de débat. "Le prof nous parle et dès qu'on veut dire quelque chose, il nous coupe la parole et réutilise ce qu'on dit pour que ça corresponde à ses propos."

    Les réactions des parents ne se sont pas fait attendre. "J'interdis depuis à mon fils d'assister à ses cours", souligne un père. Le 16 novembre, les parents ont adressé un courrier au recteur et à l'inspecteur d'académie dans lequel ils leur demandent de prendre toutes les mesures nécessaires "pour mettre fin au plus tôt à cette situation, et pour rétablir les conditions d'un enseignement public de qualité, véritablement laïc, et respectueux des enfants".

    Les parents évoquent des précédents

    Cette projection ne serait pas la première. Un ancien élève atteste avoir déjà vu le film l'année dernière. Et certains parents d'expliquer : "Nous savions par des enseignants du lycée Esclangon, où ce professeur exerçait précédemment, qu'il avait des idées extrêmes, c'est pourquoi nous avions indiqué à notre fils que nous l'autorisions à sortir de classe si un film contre l'avortement était projeté."

    Des enseignants évoquent, au sujet de leur collègue, des faits récurrents de prosélytisme catholique.

    La Provence - 24/11/10

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    Un professeur d'histoire d'un lycée de Manosque (Alpes-de-Haute-Provence) a été suspendu pour avoir projeté à ses élèves une vidéo anti-avortement très violente, a annoncé mercredi le ministre de l'Education nationale, Luc  Chatel.

    "J'ai demandé au recteur de l'académie Aix-Marseille de suspendre à titre conservatoire" ce professeur et "une procédure disciplinaire va être engagée à son encontre", a déclaré le ministre sur RTL.

    Selon le quotidien La Provence, cette vidéo montrant des foetus brûlés et amputés avait été diffusée devant les élèves de deux classes de seconde auxquels avait été distribué un tract condamnant la loi Veil, qui a légalisé l'interruption volontaire de grossesse (IVG).

     AFP. 24/11/10

     

  • Benoît XVI: l'homosexualité est injuste et s'oppose à la volonté de Dieu

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    Le Pape s'entretient au Vatican avec le journaliste Peter Seewald - (Cliquez sur la photo)

    L'homosexualité est injuste, s'oppose à la volonté de Dieu et est inconciliable avec la vocation de prêtre, estime le pape Benoît XVI dans son livre-entretien présenté mardi à la presse, "Lumière du Monde", une position qui a suscité l'indignation des gays italiens.

    En tant qu'êtres humains (les homosexuels) méritent le respect, ils ne doivent pas être rejetés à cause de cela. Le respect de l'être humain est tout à fait fondamental et décisif", affirme-t-il.

    "Mais cela ne signifie pas que l'homosexualité soit juste pour autant. Elle reste quelque chose qui s'oppose à l'essence même de ce que Dieu a voulu à l'origine", s'empresse-t-il de préciser.

    Ces paroles ont immédiatement suscité la condamnation de la principale association italienne de défense des droits des homosexuels, Arcigay: "Les paroles du pape humilient des millions de vies qui doivent supporter chaque jour des discriminations", estime-t-elle dans un communiqué.

    Le pape "finit par armer le bras de l'homophobie en offrant une justification aux auteurs de discriminations et ressuscite la haine envers ce qui est différent, se rendant ainsi coresponsable d'homicides, d'arrestations et de violences", poursuit le communiqué.

    Arcigay conclut en annonçant "dans un avenir immédiat des contestations directes contre le pape".

    Dans son livre, Benoît XVI s'exprime de manière plus spécifique en jugeant que "l'homosexualité n'est pas conciliable avec la vocation de prêtre". Sinon, "on courrait un grand risque si le célibat devenait en quelque sorte un prétexte pour faire entrer dans la prêtrise des gens qui ne peuvent de toute façon pas se marier", ajoute-t-il.

    "La sélection des candidats à la prêtrise doit donc être très attentive. Il faut y apporter la plus grande attention pour éviter que s'instaure une confusion de ce type et qu'au bout du compte le célibat des prêtres soit pour ainsi dire assimilé à la tendance à l'homosexualité", conclut-il.

    Interrogé sur l'existence d'une homosexualité "dans les monastères, parmi les religieux", qui n'est peut-être pas vécue et donc justement pas pratiquée", le pape répond: "Les personnes concernées doivent au moins essayer de ne pas mettre en oeuvre cette tendance activement afin de rester fidèles à la mission inhérente à leur ministère".

    AFP. 23/11/10

     

  • Un bassin de l'époque romaine découvert dans la Vieille ville de Jérusalem

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    Le 22 novembre 2010 - (Cliquez sur la photo)

    Ce bassin a été retrouvé dans le quartier juif de la Vieille ville durant les travaux préparatoires à la construction d'un nouveau bain rituel juif ("mikveh").

    Le bassin, utilisé par la 10e Légion romaine, appartenait probablement à un ensemble de bains romains faisant partie d'Aelia Capitolina, la ville païenne construite au IIe et IIe siècle de notre ère.

    "Pendant les fouilles, nous avons découvert un certain nombre de baignoires, sur le côté du bassin. Un tuyau, incorporé dans un côté du bassin, était utilisé pour le remplir d'eau. Le sol était recouvert d'une mosaïque industrielle blanche", a expliqué Ofer Sion, qui a conduit les fouilles.

    Des symboles de la 10e Légion romaine "Fretensis" ont été retrouvés sur les carreaux et les tuiles en terre cuite du toit, ce qui montre que la structure a été construite par eux, a-t-il noté.

    La découverte de ce bassin permet de collecter des informations importantes sur la taille d'Aelia Capitolina.

    "Malgré les vastes fouilles menées dans le quartier juif, les archéologues n'avaient jusqu'ici découvert aucun bâtiment appartenant à la Légion romaine", a souligné Yuval Baruch, archéologue au département israélien des Antiquités

    "L'absence de telle découverte nous avait conduit à la conclusion qu'Aelia Capitolina était une petite ville", a-t-il ajouté.

    "La nouvelle découverte, avec d'autres faites ces dernières années, montre que la ville était beaucoup plus étendue que nous ne le pensions auparavant", a précisé M. Baruch, en ajoutant qu'Aelia Capitolina "avait déterminé le caractère et l'apparence générale de la Vieille ville".

    Les vestiges doivent être intégrés dans le bain rituel juif qui sera construit sur le site, a précisé le département des Antiquités.

    AFP. 23/11/10

  • Appel à la canonisation des martyrs chrétiens d'Irak

    Des chrétiens de Terre sainte viennent de lancer un appel, sous forme de pétition, pour "la canonisation immédiate de tous les martyrs chrétiens d’Irak" après les récentes attaques contre cette communauté. " Les chrétiens arabes en appellent à un signe fort et concret de soutien", explique Marie-Armelle Beaulieu, rédactrice en chef de la revue catholique Terre sainte à Jérusalem, à l'origine de cette initiative.

    "Appeler à la canonisation des martyrs, ce n'est pas une façon de compter nos morts, c'est une façon de célébrer la foi, la culture arabe chrétienne, dans cette région et c'est exprimer le désir de continuer à les vivre sur leur terre d'origine", dit-elle.

    Le Figaro - 24/11/10

  • Copé est content: son ami Christian Jacob élu président du groupe UMP à l'Assemblée

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    Christian Jacob - (Cliquez sur la photo)

    Le député ex-RPR était opposé au second tour au radical (ex-UDF) Jean Léonetti. L'élection de ce proche de Jean-François Copé constitue une victoire personnelle pour le nouveau secrétaire général de l'UMP.

    Jean-François Copé patron de l'UMP, Christian Jacob à la tête du groupe majoritaire à l'Assemblée. Les ex-RPR chiraquiens reviennent en force dans le paysage politique de la droite. L'Elysée et Matignon auraient pourtant vu d'un bon oeil l'élection du radical Jean Léonetti à la tête du groupe UMP à l'Assemblée, afin de ménager les centristes, sous-représentés dans le nouveau gouvernement. Mais les députés de la majorité en ont voulu autrement.

    Mardi, ils ont voté massivement pour Christian Jacob, élu de Seine-et-Marne et proche de Jean-François Copé. A cinq voix près, l'ex-RPR a même frôlé l'élection au premier tour, recueillant 151 voix contre 84 pour Jean Léonetti. Après les retraits du gaulliste Hervé Gaymard (47 voix) et du libéral Nicolas Forissier (28 voix), Christian Jacob s'est finalement imposé au second tour par 182 voix contre 109.

     

    Un message de confiance à Copé

     

    Juste avant le scrutin, Nicolas Sarkozy avait affiché sa neutralité. «Il faut laisser faire les parlementaires. Surtout, il ne faut pas s'en mêler!», avait-il déclaré mardi matin lors du petit-déjeuner de la majorité à l'Elysée, selon un participant. Mais la semaine dernière, au cours d'une rencontre avec les députés de la majorité, le chef de l'Etat avait prévenu: «Si nous ne faisons que jouer l'arithmétique de nos anciennes formations, cela veut dire que l'on n'a rien compris à l'UMP». C'est pourtant le raisonnement que les parlementaires semblent avoir privilégié. Outre l'équation personnelle de Christian Jacob, apprécié sur tous les bancs de l'Assemblée, l'arithmétique plaidait en sa faveur: le groupe UMP compte en effet environ 200 députés issus des rangs du RPR. La quasi-totalité de ces parlementaires lui ont donc accordé leur suffrage.

    En choisissant Christian Jacob, les parlementaires de la majorité, ont surtout adressé un message de confiance à leur ancien patron, Jean-François Copé, devenu secrétaire général de l'UMP. Certains députés avaient exprimé des réticences à voir un ancien du RPR, héritier de Jacques Chirac, diriger le groupe alors même que Jean-François Copé avait ravi la direction du parti. Pour ces élus,qui souhaitaient que des sensibilités différentes s'affirment dans la majorité, l'élection de Christian Jacob est un nouveau coup dur.

    Le Figaro - 23/11/10

  • Le ticket Bruno-Marine: "Une sortie par le haut?"

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    On reconnait un  ami à sa capacité d’empathie, à l’inquiétude  dont il vous fait part quand il estime que vous êtes en danger d’emprunter de mauvais chemins. Alors, on peut être ou non d’accord avec les conseils, les avertissements désintéressés  qu’il vous prodigue, mais comme c’est un ami sincère vous l’écoutez.

    Dans son dernier numéro, l’excellent mensuel Le Choc du Mois a consacré sous la plume de Xavier Eman un article à « la succession au Front National ». « Une sortie  par le haut ? » s’interroge le journaliste qui donne son sentiment sur la meilleure manière pour le Mouvement national de conduire les  batailles décisives  qui s’annoncent, en réservant à Bruno et à Marine un rôle complémentaire mais distinct à la tête du FN.  L’idée d’un ticket Bruno-Marine lui apparaît, comme à beaucoup d’adhérents frontistes, la   solution évidente.  Nous reproduisons ici ses arguments et son analyse qui ne manqueront pas d’alimenter le  débat qui règne au sein des fédérations frontistes. A vous de juger !

     Xavier Eman estime qu’il est vital pour le FN d’éviter une « querelle entre les Anciens et les Modernes, alors que la collaboration et l’union des deux sont absolument indispensables à la consolidation et au renouveau d’un Mouvement qui a justement pour vocation de défendre la Tradition au cœur de la Modernité ».

     « Ne devant ni s’enfermer dans une stérilisante posture muséale, ni s’égarer dans une course éperdue à la respectabilité médiatique, le FN a besoin de retrouver un équilibre entre la défense des fondamentaux qui font sa spécificité (lutte contre l’immigration, défense de la vie, refus du relativisme moral et du manichéisme historique…) et l’adaptation aux débats et enjeux actuels (écologie, présence de l’islam en France, nouveau statut de la femme, évolution de la famille…). Un équilibre s’incarnant parfaitement dans la complémentarité des deux candidats à la présidence du FN : expérience, envergure intellectuelle et légitimité militante d’un côté ; aura médiatique, sens de la communication et légitimité populaire de l’autre ».

     «L’affrontement jusqu’au-boutiste inévitablement meurtrier de ses deux pôles est-il encore évitable ? Sans doute, si l’on garde à l’esprit que l’élection à la présidence du FN et l’investiture à la candidature pour la présidence  du pays sont deux choses différentes et deux démarches largement séparées ».

     « En effet si la personnalité exceptionnelle de Jean-Marie Le Pen a imposé naturellement durant trente ans la concomitance des deux, rien, statutairement, n’entérine cette automaticité. Une telle concentration des fonctions n’est d’ailleurs pas  la règle  dans la plupart des grands partis politiques européens où chef de parti et candidat sont deux personnalités distinctes, les deux tâches n’exigeant pas les mêmes talents, ni les mêmes capacités ».

     « A la tête du parti, il s’agit d’organiser et de structurer une communauté militante, de constituer et de nourrir un programme politique ambitieux et cohérent, de former des cadres et de veiller à la rigueur intellectuelle et idéologique ».

     « Par contraste, lors d’une élection présidentielle,  il faut représenter le parti, en être le porte-parole auprès des instances médiatiques et de masses sur-sollicitées qui ne réagissent plus qu’à des stimuli simples, pour ne pas dire simplistes, comme le nom ou l’image ; en bref, il faut séduire beaucoup plus que de convaincre, dans une démarche qui s‘apparente désormais bine plus à du marketing qu’à de la politique (on peut bien évidement le regretter, mais c’est ainsi et il serait aveugle et vain de vouloir le nier) ».

     « Ce ne sont pas aux médias du système de choisir le candidat du FN affirment légitimement certains. Certes, mais lorsque l’on n’a pas les moyens de changer les règles d’un jeu auquel on veut à toute force participer ne vaut-il pas mieux s’y adapter  et chercher à les retourner à son avantage ? Car plus que le candidat, le point crucial n’est-il pas le programme du Front National ? ».

     « Un candidat médiatique s’appuyant sur un appareil rigoureusement tenu et organisé par un vrai politique solidement ancré sur le socle historique du Mouvement national permettrait ainsi de couper l’herbe sous le pied des histrions médiacrâtes qui confondent contenant et contenu ».

     Soucieux de l’intérêt supérieur du Mouvement national et dans la logique de rassemblement et d’unité qui est la sienne, Bruno Gollnisch n’a fermé la porte à aucune hypothèse, notamment celle d’une candidature de Marine à la présidentielle de 2012,  s’il est lui-même élu  à la tête du FN.

    gollnisch.com - 23/11/10

  • Qui est-ce? 100

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  • De mystérieuses notes saisies au ministère du Budget

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    Ministère du Budget à Bercy - (Cliquez sur la photo)

    L’information est passée presque inaperçue. Elle a pourtant tout d’une bombe à retardement. Il y a une dizaine de jours, dans la plus grande discrétion, le juge Renaud Van Ruymbeke a perquisitionné la Direction générale des impôts, au ministère du Budget, à Bercy. Saisi d’une plainte pour « délit d’entrave » émanant des familles des victimes de l’attentat de Karachi, le magistrat du pôle financier est à la recherche de documents susceptibles d’étayer la thèse développée dans le rapport Nautilus et longtemps tenue secrète par les autorités de l’Etat : l’attentat de Karachi serait lié à la décision de Jacques Chirac, en 1995, d’arrêter le versement de très importantes commissions à des intermédiaires.

     
     Tout juste élu, Chirac soupçonne ceux-ci d’avoir rétrocédé une partie de l’argent à des interlocuteurs français afin de financer la campagne d’Edouard Balladur.
    Lors de sa perquisition à Bercy, le juge du pôle financier aurait mis la main sur des documents « extrêmement intéressants ». Il s’agirait de notes manuscrites, non signées, datées de fin 2006. Celles-ci confirmeraient et détailleraient les montages financiers opaques mis en place autour du contrat Agosta, notamment les circuits empruntés par l’argent à l’aller (vers le Pakistan) comme au retour (en direction de la France). Il y serait question de plusieurs pays, Luxembourg, Irlande, île de Man, Bahamas, îles Caïmans, dans lesquels les fonds transitent. Et d’une myriade de sociétés destinées à les abriter.
    Ces montages complexes seraient l’œuvre de Jean-Marie Boivin, PDG de la société luxembourgeoise Heine, qui deviendra plus tard Eurolux. Heine aurait été créée en 1994, sous le gouvernement Balladur, avec l’aval de son ministre du Budget de l’époque, Nicolas Sarkozy.
    Enfin, de source proche du dossier, on indique que ces notes manuscrites de fin 2006, saisies par le juge Van Ruymbeke, étaient adressées à Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur de Jacques Chirac et en pleine campagne pour l’élection présidentielle de 2007.
    Pourquoi ces notes de la Direction générale des impôts? Le ministre de l’Intérieur avait-il vocation à être tenu informé de ces montages? Ce sont des questions auxquelles le juge va désormais devoir répondre.
    Le Parisien - 23/11/10

     

     

     

     

     

     

     

  • Hortefeux et le CRAN main dans la main pour un Observatoire du racisme en France

    Suite aux "regrets" de Michel Bart, le Cran va lancer avec le ministère de l'Intérieur un Observatoire du racisme en France.

    Brice Hortefeux
    Brice Hortefeux | REUTERS/© John Schults / Reuters

    Michel Bart, directeur de cabinet du ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, a comparu mardi, à 13h30, devant la 17ème chambre du tribunal de grande instance de Paris pour "incitation à la haine raciale", à la suite d'une plainte du Conseil représentatif des associations noires de France (Cran).

    A l'origine de cette plainte, la circulaire du 5 août signée par Michel Bart, qui visait les Roms de manière explicite par la politique de démantèlement des camps illégaux. Elle avait déclenché une polémique entre la Commission européenne et le gouvernement français. Cette circulaire demandait aux préfets d'évacuer "300 campements (...) d'ici trois mois, en priorité ceux des Roms".

    Contacté lundi par Le Post, le président du Cran, Patrick Lozès, expliquait que son association avait comme objectif de "faire condamner Michel Bart pour incitation à la haine raciale".

    1. Le Cran "met un terme à la procédure judiciaire" à l'encontre du dircab d'Hortefeux"

    Joint à nouveau par Le Post mardi après-midi pour connaître l'issue de la comparution, Patrick Lozès indique que son association a finalement décidé de "mettre un terme à la procédure judiciaire à l'encontre du directeur de cabinet de Brice Hortefeux".


    Patrick Lozes, président du Cran.
    Patrick Lozes, président du Cran.

    "Nous avons finalement suspendu notre action en justice car entre temps, le Cran a reçu un courrier du ministère de l'Intérieur", indique au Post le président de l'association.

    "Dans cette lettre, Michel Bart, exprime ses regrets et les plus hautes autorités du ministère s'engagent à réactiver la politique de lutte contre le racisme", explique Patrick Lozès. Autrement dit, l'engagement vient de Brice Hortefeux.

    "Notre action en justice a amené une prise de conscience place Beauvau. Le ministère de l'Intérieur a entendu nos arguments, a noué un dialogue avec nous et s'engage", ajoute-t-il.


    2. Lancement d'un observatoire du racisme en France

    Ce dialogue aboutit à un travail en commun. "Le Cran et le ministère de l'Intérieur vont travailler de concert au lancement d'un observatoire du racisme en France, dont la première réunion est prévue en fin de semaine", annonce Patrick Lozès au Post, relayant le contenu de la lettre envoyée par le ministère.

    Cet observatoire s'occupera de toutes les formes de racisme, de discrimination, de stigmatisation, les violences...

    D'après le courrier du ministère de l'Intérieur, cet observatoire du racisme en France pourrait être rattaché au comité interministériel de lutte contre le racisme et l'antisémitisme. "Nous le souhaitons", indique Patrick Lozès.

    Mais comment le Cran peut-il être sûr que le ministère va tenir ses engagements ?
    "Le Cran va être extrêmement vigilant. Nous serons tous comptables de ce que fera le ministère en matière de lutte contre le racisme. La mise en place de l'observatoire du racisme en France est publique car elle est signée dans un courrier du ministère, que j'ai en ma possession. C'est donc un contrat moral passé entre le ministère et l'ensemble des Français, sous la vigilance de notre association, qui est seulement un intermédiaire", argumente Patrick Lozès.

    "Nous souhaitions une prise de conscience, elle a eu lieu. Dès lors qu'un individu exprime ses regrets, il faut l'entendre. Si nous pouvons atteindre nos objectifs hors du prétoire, tant mieux, "ajoute-t-il.

    Par Alex Lemarié de La rédaction du Post

  • Marine Le Pen à Marseille: conférence de presse et apéro-débat


    Marine Le Pen Marseille 21 11 10
    envoyé par bucch. - L'actualité du moment en vidéo.

    NPI - 23/11/10

    Ndb: Il y a eu un peu de soleil vers 11h mais ensuite de la pluie et de la grêle!

     Environ 400 militant et sympathisants du FN sont venus applaudir Marine, la salle était comble! 

  • Karachi: le juge van Ruymbeke à nouveau confronté à la raison d'Etat et aux politiques

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    Renaud van Ruymbeke - (Cliquez sur la photo)

    Désigné à la rentrée pour enquêter sur un volet financier de l'affaire, le juge décide d'entendre rapidement des politiques, comme l'ancien ministre de la Défense Charles Millon ou l'ancien ministre de la Culture Renaud Donnedieu de Vabres, en poste au cabinet du ministre de la Défense François Léotard au moment du contrat de vente de sous-marins signé en 1994 avec le Pakistan.

    Le retentissement politique est immédiat: devant le juge, Charles Millon a exprimé le 15 novembre son "intime conviction" de l'existence de rétrocommissions en marge de ce contrat, sans nommer les bénéficiaires, sur lequel Jacques Chirac avait demandé des vérifications en 1995.

    Dans la foulée, Dominique de Villepin, alors secrétaire général de l'Elysée, propose de venir s'expliquer dans le bureau du juge dès cette semaine sur ce qu'il savait de ce contrat.

    Renaud van Ruymbeke se retrouve aussi, comme son homologue antiterroriste Marc Trévidic, chargé de l'enquête sur l'attentat de Karachi, confronté au "secret-défense".

    Le Premier ministre, François Fillon, a opposé ce secret à sa demande de perquisitionner le siège de la DGSE où il entendait chercher la trace d'éventuelles écoutes d'anciens membres du cabinet de François Léotard.

    Le secret-défense lui avait déjà été opposé, cette fois par Bercy, dans l'affaire des frégates de Taïwan, où il suspectait des rétrocommissions en France sur la vente de ces navires en 1991. Il avait dû se résigner à conclure par un non-lieu.

    Le juge dit n'être "pas contre, par principe, l'existence de documents classifiés" s'il s'agit de préserver des intérêts vitaux ou la sécurité du pays mais ce secret "ne doit pas servir à couvrir des opérations de corruption", dit-il dans sa biographie écrite en 2007 par le journaliste Fabrice Lhomme.

    Dans ses relations avec le pouvoir, Renaud van Ruymbeke reste sur un contentieux avec Nicolas Sarkozy né de l'affaire Clearstream.

    Dans un livre sorti en juillet 2006 (Témoignage), le président avait critiqué l'enquête du juge sur de supposés comptes occultes chez Clearstream, qui n'ont jamais existé.

    "Heureusement que le juge van Ruymbeke a la réputation d'être compétent. Qu'est-ce-que cela aurait été sinon?", a ironisé Nicolas Sarkozy en se plaignant de ne pas avoir été informé pendant dix-neuf mois des initiatives du magistrat.

    "M. Sarkozy pratique le discours paradoxal. Quoi qu'on fasse, on a toujours tort. Il semble regretter que je ne l'aie pas interrogé. Mais si je l'avais convoqué, que n'aurait-on dit! J'ai préféré la discrétion", explique le magistrat dans la biographie de Fabrice Lhomme.

    L'affaire Clearstream a valu à M. van Ruymbeke des poursuites devant le Conseil supérieur de la magistrature, mais il fut aussi appelé à témoigner au procès où M. de Villepin figurait parmi les prévenus.

    Dans les années 90, le juge avait repris l'instruction des affaires Urba-Sages et Trager sur le financement occulte du PS, après le dessaisissement du juge Thierry Jean-Pierre. Plusieurs responsables PS furent inculpés et l'ex-trésorier Henri Emmanuelli condamné.

    Son baptême du feu dans ses relations avec le pouvoir remonte à l'affaire Boulin du nom du ministre du Travail de Valéry Giscard d'Estaing, Robert Boulin, alors mêlé à l'achat suspect d'un terrain à Ramatuelle (Var) sur lequel enquêtait le juge.

    AFP. 23/11/10

  • 99 - Bravo, Legouaziou!

    99 - Arthur SEYSS-INQUART  (1892- pendu en 1946 à Nuremberg) - 16e Chancelier fédéral d'Autriche

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Arthur_Seyss-Inquart

    Félicitations à Legouaziou, c'est le premier et le seul dont j'ai reçu la réponse juste.

    Le jeu continue si vous le voulez bien!

     

  • Karachi: Sarkozy pique une colère contre les journalistes: "Amis pédophiles, à demain!"

    Le président Nicolas Sarkozy s'est récemment emporté face à des journalistes à propos du dossier Karachi, affirmant à l'un d'eux: "Il semblerait que vous soyez pédophile, j'en ai l'intime conviction" pour signifier qu'on ne peut mettre en cause quelqu'un sans preuve. 

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    L'échange, relayé lundi soir par plusieurs sites internet, a eu lieu en marge du sommet de l'Otan à Lisbonne vendredi soir, alors qu'au même moment en France Dominique de Villepin relançait les soupçons de rétrocommissions vers Paris en 1995, dans le cadre du contrat d'armement avec le Pakistan au coeur de l'affaire de l'attentat de Karachi.

    A l'époque Nicolas Sarkozy était ministre du Budget et porte-parole de la campagne présidentielle d'Edouard Balladur, sur laquelle planent des soupçons de financement illégal potentiellement lié à ces rétrocommissions.

    "On est dans un monde de fous", a déclaré le président. "Il n'y a pas un seul parmi vous qui croit que je vais organiser des commissions et des rétrocommissions sur des sous-marins au Pakistan, c'est incroyable." (sic)

    Puis il s'adresse à un journaliste, dans une démonstration par l'absurde: "Et vous, j'ai rien du tout contre vous. Il semblerait que vous soyez pédophile... Qui me l'a dit ? J'en ai l'intime conviction (...) Pouvez-vous vous justifier?".

    Le président emploie encore le mot deux ou trois fois, preuve de sa colère. "Amis pédophiles, à demain ! ", lance-t-il en quittant les journalistes qu'il allait retrouver samedi en conférence de presse.

    En mai 2002, l'attentat de Karachi (Pakistan) avait coûté la vie à 15 personnes dont 11 salariés français de la Direction des Constructions navales (DCN) travaillant à la fabrication d'un sous-marin. Une des pistes de l'enquête est que cet attentat pourrait avoir été commis en représailles à l'arrêt du versement de commissions sur des contrats d'armement après l'élection de Jacques Chirac en 1995.

    AFP. 23/11/10