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Blog - Page 198

  • Le Camp des Saints est une référence pour Steve Bannon, conseiller de Trump

    http://www.fdesouche.com/829413-le-camp-des-saints-est-une-reference-pour-steve-bannon

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  • Geert Wilders veut interdire le Coran aux Pays-Bas (vidéo traduction simultanée)

     
     
     
     
     

    06/03/2017 – PAYS-BAS (NOVOpress)
    Dans des Pays-Bas en pleine campagne pour les législatives du 15 mars, Geert Wilders, deuxième dans les sondages, réaffirme ses positions anti-islam.

    Outre la fermeture de mosquées, Geert Wilders aimerait interdire le Coran dans son pays :

    Je préférerais qu’il n’y ait pas le Coran aux Pays-Bas dans la mesure où nous avons interdit “Mein Kampf”. Cela peut sembler hautement symbolique mais cela aurait un effet important. Si notre pays avait une politique d’immigration plus dure que les autres pays, alors les immigrés iraient dans les autres pays.

  • JOURNAL TVL DU 06.03.17

  • Zuma (Afrique du Sud) appelle à « l’expropriation des fermiers blancs sans compensation »

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    17h33

    Le président Jacob Zuma a appelé le Parlement à modifier la constitution sud-africaine pour permettre l’expropriation des terres détenus par les blancs sans compensation.

     

    M. Zuma, âgé de 74 ans, qui a fait ces remarques dans un discours d’hier, a déclaré qu’il voulait établir un «audit foncier pré-colonial des modes d’occupation des terres et d’occupation» avant de changer la loi.

    « Nous devons accepter la réalité que ceux qui sont au Parlement où les lois sont faites, en particulier les partis noirs, devraient s’unir parce que nous avons besoin d’une majorité des deux tiers pour apporter des changements à la constitution », at-il dit.

    M. Zuma, qui est passé d’un scandale à un autre depuis son élection en 2009, a adopté un ton plus populiste depuis que son parti au pouvoir, le Congrès national africain (ANC) a subi le pire résultat électoral en août dernier depuis la fin de l’apartheid en 1994.

    Le parti a perdu le centre économique de Johannesburg, la capitale Pretoria et la ville côtière de Port Elizabeth au parti de l’Alliance démocratique modérée, qui gérait déjà la ville du Cap.

    Les propos de M. Zuma ont causé l’indignation parmi les groupes représentant les agriculteurs afrikaners vendredi.

    Le Boer Afrikaner Volksraad, qui prétend représenter 40.000 membres, a déclaré que ses membres prendraient une expropriation de terre sans compensation comme «une déclaration de guerre».

    « Nous sommes prêts à nous battre », a déclaré Andries Breytenbach, le président du groupe. «Nous avons besoin d’une médiation urgente entre nous et le gouvernement. « Si cela commence, cela se tranformera en une guerre raciale que nous voulons empêcher. »

    The Telegraph

  • Plainte auprès du CSA après le double appel au meurtre du Président Trump à la télévision d'état française

    http://breizatao.com/2017/03/02/plainte-aupres-du-csa-apres-le-double-appel-au-meurtre-du-president-trump-a-la-television-detat-francaise/

  • VIDEO - Marine Le Pen invitée de BFM Politique: " Il y a un vrai parfum de persécution" (05.03.17)

    https://youtu.be/neDyVlbvp2M

    Excellent! A ne pas manquer!

  • « Made for sharing » : Qui « partage » encore le respect de la langue française ? Par Pierre-Emile Blaison

     

    C’est emblématique : Le français devint la langue officielle des nouveaux Jeux Olympiques et l’anglais la langue de secours lorsque Pierre de Coubertin décida de rénover les Jeux de la Grèce antique en 1894. Et voilà que le Comité de candidature Paris 2024 choisit un slogan en anglais pour défendre les couleurs de la capitale française : made for sharing, « fait pour être partagé », un slogan (au demeurant idiot) qui n’est pas vraiment made in France.

    Un collectif d’associations de défense de la langue française a intenté une action en justice contre le Comité, estimant que ce slogan constitue une « insulte caractérisée à la langue française », démarche soutenue par le consensuel et inamovible Pivot.

    Depuis l’ordonnance de Villers-Cotterêts en 1539, la langue française, issue du latin et mâtinée de vieux gaulois, s’est affermie et embellie jusqu’à devenir, à partir du XVIIIe siècle, la langue des toutes les cours d’Europe.

    Quand a commencé le déclin de la langue française ? Peut-être dès la Révolution française, avec l’apparition du monde et du mode bourgeois, qui se souciaient surtout de … compter. Plus sûrement avec la catastrophique pseudo-révolte de mai 68 dont sont issus nos gouvernants actuels et qui n’avait de cesse de faire table rase de l’identité française.

    Nous écoutons encore avec émotion ces reportages des années 60 où l’on entend s’exprimer des Français de condition modeste avec une élégance de langage avec laquelle peu d’universitaires de nos jours sauraient rivaliser.

    Que s’est-il passé ? Pour quelles raisons notre langue a-t-elle perdu si rapidement son aura dans le monde mais aussi… en France ? Les responsables du désastre sont nombreux, à commencer par l’Education nationale, quand elle a remplacé l’Instruction publique, les évolutions techniques des moyens de communication, la dégradation des mœurs politiques, la mondialisation qui a imposé l’universel globish, sorte d’anglais rudimentaire, les jargons de spécialistes dans le monde de l’entreprise ou de la communication, le « multiculturalisme », la vanité des intellectuels, cuistres qui ont oublié le précepte de Montaigne : « La recherche des phrases nouvelles et des mots peu connus vient d’une ambition puérile et pédantesque. Puissé-je ne me servir que de ceux qui servent aux Halles de Paris. » Montaigne, qui avait rassemblé dans une même phrase les deux extrémités du spectre linguistique, serait effaré de constater que le langage des Halles actuelles occupées par des bandes ethniques se limite à quelques borborygmes et onomatopées.

    La langue française était devenue, au fil des siècles, un splendide instrument de précision, minutieusement codifié, où chaque mot a une histoire, comme un être humain, dont la physionomie actuelle reflète tout un passé marqué d’épreuves et d’aventures.

    La langue est l’ossature et la fierté d’un peuple. Tout peuple qui renie sa langue disparaît.

    Pierre-Emile Blairon

     

  • Suède, une tyrannie raciste…

     

    par Anatoly Livry,  le 4 mars 2017

     

    La Suède est l’exemple parfait de ce qu’aurait pu devenir l’Occident indo-européen peuplé d’ethnies nordiques si certaines sectes cosmopolites ne s’étaient pas acharnées à les jeter les unes contre les autres dans de perpétuelles guerres fratricides.

    « L’Aryen est trop bon de nature », disait un génie français des lettres. C’est cette extrême soif de justice dont abusent depuis des siècles des manipulateurs pour que les peuples blancs s’entre-massacrent.

    La Suède fut épargnée pendant plusieurs décennies de ces guerres meurtrières. Le génie nordique a dès lors réussi à créer dans cette Scandinavie au climat rude – car hormis Skåne et Småland, les étés y sont extrêmement courts – une civilisation unique en son genre, extrêmement nuancée et différente d’un comté à l’autre.

    Ce sens aigu de l’équité et de l’éclectisme propre aux Germains avait jusqu’à présent permis la défense de la communauté nationale tout entière, protégeant la caste des créateurs de richesse et permettant un ascenseur social fulgurant.

    Les réussites techniques ou artistiques de cette petite nation du Nord sont sans aucune mesure avec ce qu’une caste religieuse qui prétend détenir la sagesse universelle a pu plagier à travers le monde.

    C’est donc ce charmant univers des Germains du Nord qu’il fallait démolir le plus rapidement possible, afin d’effacer l’image même de ce que savent créer les nations spirituellement les plus sophistiquées si on les laisse tranquille durant quelques décennies.

    « Je te pénètre par là où tu es le plus fort et j’utilise ta propre puissance contre toi », dit une vieille pratique perverse centenaire ayant détourné et plagié dans ses intentions de bassesse l’antique précepte du mithriacisme.

    C’est ce réflexe de protection envers les membres de sa communauté que l’on a utilisé pour subvertir la Suède, y installant progressivement une oligarchie raciste, détestant par un instinct bestial sa propre race.

    Puis, une fois que ces oligarques ont fait accepter cette religion de l’autodétestation à la nation suédoise, la tyrannie a été imposée. Ainsi, depuis 2014, la Suède ne peut plus changer de gouvernement, et ce, jusqu’en 2022 (Cliquez ici).

    Ce putsch tyrannique a été perpétré à la vue et au su du monde entier, mais comme il s’agissait d’empêcher les Suédois de bloquer les budgets que les tyrans reversent à des occupants allogènes importés en toute urgence de l’Afrique subsaharienne et des montagnes de l’Afghanistan… Les tyrans instaurent ainsi une progressive extermination des Suédois de Suède, génocide que des collabos à la tyrannie appellent « multiculturalisme ». Celui-ci suit toujours trois stades :

    1. Terreur occasionnelle de la population autochtone par le grand banditisme et le viol de masse : la Suède est un pays où 2 % d’hommes afro-asiatiques commettent environ 90 % des viols racistes car dirigés exclusivement contre des femmes aryennes. En outre, la Suède est le pays du monde où le grand banditisme utilise le plus d’armes de guerre, grenades explosives comprises (Cliquez ici).
    2. Instauration de territoires séparatistes où les personnes de race blanche ne peuvent accéder sans mettre leur vie en danger : la Suède compte actuellement 55 zones ethniques où les pouvoirs de l’État ne s’exercent plus (Cliquez ici).
    3. Une guerre totale menée par les allochtones à la fois contre le Pouvoir central et les autres « communautés ».

    Actuellement, la Suède se situe, comme la plupart des autres pays occidentaux d’ailleurs – France, Belgique, Grèce, Italie, Allemagne,… – entre le 2e et le 3e stade de ce « multiculturalisme » tant vanté par ces collaborationnistes haïssant leur peuple. Et dès qu’une nation essaie de refuser son assassinat programmé, ces tyrans, par réflexe, se trahissent, vomissant leur haine de leurs propres origines. Ainsi, les nations anglo-saxonnes ayant exprimé leur veto au cosmopolitisme par l’élection d’un Trump ou par le choix d’un Brexit sont publiquement injuriées à Stockholm lors d’événements d’importance nationale (Cliquez ici).

    Pire encore : les télévisions subventionnées par l’État pratiquent un racisme ouvert par une subversion permanente, enseignant une nouvelle histoire raciale de Suède où des Congoïdes auraient vécu dans des villages vikings ou à la Cour de Gustav III (Cliquez ici).

    Les bustes des professeurs et des académiciens, de race blanche naturellement, qui ont fondé cette science suédoise supérieure reconnue à travers le monde entier (Linné, Celsius, Alfvén,…) sont chassés des murs académiques par des tyrans racistes, leur seule faute étant d’appartenir à la race indo-européenne (Cliquez ici).

    Quant aux féministes psychopathiques siégeant au gouvernement et détruisant la famille traditionnelle scandinave, elles émasculent le trop bon mâle. Cependant, quand elles vont en Iran, ces doctrinaires frénétiques s’habillent en femmes soumises mahométanes : tel est leur grand combat contre le « racisme », le leur n’en étant évidemment pas un, tant qu’il est exclusivement dirigé de facto contre le mâle blanc hétérosexuel garant de toute civilisation créatrice qui ne veut succomber (Cliquez ici).

    Où trouver la puissance pour que la Suède, tout comme les autres pays occidentaux, se dépouille de cette tyrannie raciste qui l’assassine ?

    Philippe Randa, Directeur d’EuroLibertés.

     

    Merci à Dirk

    http://eurolibertes.com/societe/suede-tyrannie-raciste/

  • "On leur a tout donné et ils nous ont tout pris, même la fierté."

    http://www.bvoltaire.fr/carolineartus/on-a-donne-ont-pris-meme-fierte,317102?mc_cid=e72c8dd2b1&mc_eid=0b0d8f3739

  • Fillon reste candidat : « Ma principale adversaire, c’est Madame Le Pen »

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    21h09

    François Fillon a réaffirmé sur le plateau de France qu’il ne retirerait pas sa candidature.

     

    « Ma principale adversaire, c’est Madame Le Pen, qui s’approche du pouvoir.

     

    « Il y a une chose que je constate, c’est qu’il n’y a pas d’alternative ». Et de prévenir : « Est-ce que l’on va avoir le choix entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron« .

     

    Concernant les membres de sa famille politique qui souhaite voir le candidat se désister, il a affirmé : « Alain Juppé ne correspond pas au choix des électeurs de la droite et du centre« . Il affirme également parler avec Nicolas Sarkozy régulièrement.

    Le maire de Bordeaux et perdant de la primaire face à François Fillon, Alain Juppé, prendra la parole ce lundi devant la presse à Bordeaux, a-t-il annoncé sur Twitter. Alors que l’actuel candidat de la droite est en proie à une campagne tourmentée, Alain Juppé est appelé à le remplacer par de nombreux élus. Il fera cette annonce à quelques heures d’un comité politique du parti et après s’être entretenu samedi soir avec Nicolas Sarkozy. L’entourage d’Alain Juppé avait fait savoir vendredi qu’il « ne se défilera(it) pas » si François Fillon se retirait.

    La Point ; rtl

  • Djihadisme: la carte de France des milliers d'individus signalés pour radicalisation

     http://www.fdesouche.com/828817-djihadisme-la-carte-de-france-des-milliers-dindividus-signales-pour-radicalisation

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  • Marine Le Pen à Conques (12) : « Macron aurait dû venir, il aurait vu ce qu’est l’art français »

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    19h21
     

    La candidate du Front National à l’élection présidentielle est en déplacement en Aveyron ce samedi.

  • Philippe de Villiers pourrait officialiser son soutien à Marine Le Pen

     

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    18h13

    (…) Selon nos informations, le Vendéen pourrait officialiser son soutien à la présidente du FN, « une femme intelligente », avec une conférence de presse ou lors d’un déplacement commun.
    (…) Le Monde

  • Marseille: une famille emportée par une vague, une fillette portée disparue

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/marseille-une-famille-emportee-par-une-vague-une-fillette-portee-disparue-04-03-2017-6732933.php

    Voir les vidéos de la tempête

  • la fortune "secrète" de Dmitri Medvedev

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    Par Pierre Avril
    Mis à jour le 03/03/2017 à 18h45 | Publié le 03/03/2017 à 17h44

    L'opposant russe Alexeï Navalny accuse le premier ministre russe d'être à la tête d'un empire financé par les oligarques du pays.

    Correspondant à Moscou

    Dmitri Medvedev est un premier ministre discret, autrefois réputé pour son combat anticorruption, dont les seuls péchés mignons se limiteraient aux gadgets électroniques et à sa petite collection de deux Volga, ces autos de l'époque soviétique. L'ancien président russe serait en réalité à la tête d'un gigantesque patrimoine immobilier et industriel non déclaré, comprenant notamment des résidences somptueuses à Sotchi ou sur les bords de la Volga, deux yachts à 16 millions de dollars baptisés Fotinia, des vignobles dans le sud du pays et en Toscane, ainsi qu'un complexe agroalimentaire produisant du lait, du miel, de la viande et du blé.

    Telle est l'accusation portée par le président du Fonds de lutte contre la corruption et opposant numéro un à Vladimir Poutine, Alexeï Navalny, au terme d'une longue enquête publiée jeudi sur le site Internet de son organisation. Bien que la vidéo ait déjà été téléchargée plus de 2,6 millions de fois, ses révélations ont été accueillies par un silence retentissant. Les principaux médias russes les ont ignorées. «Nous n'en avons pas pris connaissance dans le détail», a éludé le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, tandis que la représentante de Dmitri Medvedev jugeait «inutile de commenter la propagande d'un opposant condamné par la justice». Le 8 février, Alexeï Navalny a écopé d'une peine de deux ans et demi de prison pour escroquerie, affaire «montée de toutes pièces» selon lui.

    Empire de 652 millions de dollars

    «Medvedev peut voler autant et aussi ouvertement parce que Vladimir Poutine fait la même chose à une plus grande échelle»

    Alexeï Navalny, opposant à Poutine

    «Medvedev peut voler autant et aussi ouvertement parce que Vladimir Poutine fait la même chose à une plus grande échelle», accuse le blogueur, qui décrit un «réseau corrompu de fondations caritatives à travers lesquelles le chef du gouvernement reçoit les pots-de-vin des oligarques et se construit frénétiquement des palais». Figurent en ligne de mire plusieurs fonds de bienfaisance, souvent contrôlés par un même homme qui ferait office de prête-nom: Ilya Eliseev fut le camarade de Medvedev à la faculté de droit de Saint-Pétersbourg, avant d'être son partenaire en affaires. L'empire aurait été financé à hauteur de 652 millions de dollars, notamment par le magnat de la métallurgie Alicher Ousmanov (Metalloinvest) et Leonid Mikhelson, actionnaire du pétrolier Novatek, homme le plus riche de Russie.

    De son côté, le groupe public Gazprom Bank, coprésidé par le même Ilya Eliseev, aurait accordé pas moins de 463 millions de dollars de crédit à l'une de ses fondations, dont le bénéficiaire final serait Dmitri Medvedev. En plus de datchas de plus de 2.000 mètres carrés, le premier ministre serait propriétaire de six appartements de luxe à Saint-Pétersbourg, dotés d'ascenseurs pour les voitures. Chef du gouvernement, il a fait adopter plusieurs mesures en faveur de l'industrie vinicole, alors que lui-même posséderait 100 hectares de vigne à Anapa. Metalloinvest, Gazprom Bank et Novatek n'ont pas répondu aux sollicitations du Figaro. Ilya Eliseev a affirmé que ses organisations n'étaient «pas liées à des activités politiques ou à des fonctionnaires d'État».

    Pour l'association Transparency International, Dmitri Medvedev n'aurait fait que profiter des «lacunes de la loi russe anticorruption relative aux organisations caritatives». Cet épisode devrait même renforcer le premier ministre, donné partant à un an de l'élection présidentielle. «Il est impensable que Poutine puisse céder à la pression de l'opposition», explique le politologue Stanislav Belkovski, dont Navalny lui-même partage l'opinion: «Si une affaire criminelle devait être ouverte, ce sera contre moi et mes collègues…»

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 04/03/2017. Accédez à sa version PDF en cliquant ici

  • Pour Macron, la colonisation est un crime et Mao un modèle

    Pour Mao, explique-t-il, “un bon programme, c’est ce qui marche”.

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    Ecrivain, musicienne, plasticienne
     
     
     François Mitterrand consultait régulièrement Élizabeth Tessier, qui lui servait de conseiller politique occulte. Cette dernière vient de reprendre le flambeau pour François Fillon – qui se serait sans doute bien passé de ce soutien –, l’enjoignant d’attendre encore et de laisser passer sa date d’anniversaire, les conjonctures astrales lui devenant, paraît-il, favorables à partir du 4 mars. Qu’elle dit. François Bayrou, lui, assure tenir sa conviction d’être un jour président de la République d’une voyante qui le lui aurait assuré dans son enfance. Quant à Macron, à le voir léviter meeting après meeting et sortir des inepties aussi ahurissantes, nul doute qu’il use d’une magie particulière ou de fumées qui ne le sont pas moins.

    En effet, recevant mercredi Le Parisien dans son QG de campagne, le nouvel illuminé de la politique fait cette sortie :

    « “Je suis maoïste”, balance-t-il tout de go, pas peu fier de surprendre son auditoire. Pour Mao, explique-t-il, “un bon programme, c’est ce qui marche”.

     

    Pour Tony Blair aussi, mais cette comparaison avec le social-libéral britannique l’amuse moins. »

     

    C’est vrai, on est pété de rire ! D’autant que, c’est connu, le programme maoïste est resté dans l’Histoire comme un programme qui a très bien marché ; ça a même été une « longue marche » au cours de laquelle les morts se sont comptés par millions. Mais aux yeux de monsieur Macron, il s’agit sans doute d’une grande avancée pour l’humanité, en comparaison de notre affreuse colonisation qui, elle, fut un crime odieux.

     

    Peut-être est-ce cet amourachement soudain pour le tyran chinois qui vaut à Emmanuel Macron un nouveau ralliement : celui de Robert Hue. Un nain de jardin que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître puisqu’il était patron du PCF dans les années 90. Comme Bayrou, il est prêt à faire don de sa personne au blondinet : « Aucun des candidats [de gauche] n’apparaît en mesure d’être présent au 2e tour de l’élection présidentielle pour empêcher le pire. […] Seul Emmanuel Macron, avec son projet progressiste, pourrait, me semble-t-il, atteindre cet objectif », dit-il, ajoutant qu’il est prêt à « prendre ses responsabilités »

    Au fond, à y regarder de plus près, il en est un peu des soutiens de Macron comme des pétitions d’autrefois : il fallait en être. On y apposait sa signature comme le chien lève la patte, moins pour marquer son territoire que pour assurer aux autres qu’on était dans le leur : du bon côté du manche.

    Valls le Catalan a quitté la scène. L’auberge espagnole est désormais chez Macron. Tout le monde y a table ouverte.

    BV

  • Le "programme" Macron analysé par Marine Le Pen

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    Emmanuel Macron a enfin daigné présenter un programme aux journalistes. Il était temps, à 50 jours du premier tour… Il a donc pris beaucoup de temps pour rédiger cela, avec le renfort nous dit-il de moult experts. Le résultat est pourtant bien décevant et constitue une menace majeure pour l’avenir de la France et des Français. Et même sur certains points, son projet consiste en une négation de la France.

    Le premier grand problème est que ce n’est pas le projet d’un candidat à l’élection présidentielle. Il n’y a en effet dans ce catalogue aucune vision de ce que peut et doit devenir la France dans les années qui viennent. Son programme fleure bon le marketing politique mais se résume à une addition de promesses comme on en a déjà fait mille fois aux Français. Comme beaucoup dans la classe politique, M. Macron aime aller dans le sens du vent, mais son projet est vide de sens. M. Macron nous avait déjà dit “qu’il n’y a pas de culture française”, on a la confirmation avec ce programme qu’il ne comprend pas la France du tout.

    À sa lecture, on est frappé par la ressemblance avec celui de François Hollande en 2012. Sur presque tous les sujets, son programme cache derrière de jolies formules, comme autant de fleurs envoyées aux Français, la continuation de l’aventure hollandienne, cet enfer que connaissent les Français. M. Hollande aurait d’ailleurs pu le signer s’il avait été candidat.

    Ce constat n’étonnera personne, Emmanuel Macron ayant été l’un des principaux conseillers à l’Elysée de François Hollande, puis son ministre de l’économie, avant d’être son poulain, celui que MM. Hollande et Cazeneuve soutiennent de plus en plus évidemment dans cette campagne.

    Avant de répondre à certains aspects particulièrement problématiques dans le programme d’Emmanuel Macron, il importe de soulever les trois points de continuité majeurs avec le quinquennat de François Hollande.

    En premier lieu, ce programme prévoit d’accentuer la mise sous tutelle de la France avec la création d’un gouvernement économique de la zone euro et le silence radio sur les traités de libre échange négociés par Bruxelles qui ruinent notre industrie et notre agriculture. C’est finalement le programme de la souveraineté perdue, définitivement abandonnée et enterrée. La question de l’indépendance de la France, de sa capacité à agir, à véritablement avoir une prise sur le destin des Français est pourtant centrale dans cette élection. Car si les Français perdent confiance dans la politique, c’est avant tout parce qu’ils savent que les dirigeants n’ont plus de pouvoir. Le programme de M. Macron leur en enlève encore. Je considère que cette élection est au contraire le moment de décider si nous souhaitons que la France puisse redevenir un pays indépendant, retrouver des armes dans la mondialisation sauvage, à l’heure où plusieurs pays et non des moindres décident de revenir sur le libre-échange intégral et de protéger leur économie. L’autre option est de donner tout le pouvoir à une oligarchie qui décidera contre les intérêts des Français et des peuples.

    Deuxièmement, ce programme fait quasiment totalement l’impasse sur les domaines essentiels que sont la sécurité des Français et la crise migratoire, comme en écho à l’inaction totale du gouvernement sur ces sujets depuis cinq ans. Or, il s’agit ici aussi d’un point au cœur des préoccupations des Français. Les mesurettes proposées par M. Macron dans ces domaines ne répondront jamais aux inquiétudes des Français, surtout quand on sait qu’il obéit au projet funeste de faire progresser massivement l’immigration en France, en témoignent les félicitations qu’il a adressées récemment à Mme Merkel pour l’accueil d’1,5 millions de migrants dans son pays. Je dis souvent que cette élection s’apparente à un choix de civilisation et pose notamment la question suivante : voulons-nous que la France reste la France ou devienne un territoire multiculturel où chacun est intégralement libre d’entrer et de s’installer ? C’est une question fondamentale, et je constate que les non-dits du projet de M. Macron y donnent une réponse diamétralement opposée à la mienne. Je note par ailleurs le caractère particulièrement antirépublicain du programme de M. Macron, là aussi dans la droite ligne de la politique menée depuis des années, dans la mesure où il consiste en un enterrement en bonne et due forme de la laïcité et une incitation au communautarisme, via des mesures choquantes concernant la place des religions dans l’espace public et leur financement.

    Troisièmement, en continuité là aussi de la politique de M. Hollande, le programme de M. Macron entraînerait une franche aggravation des injustices et renforcerait les inégalités entre les territoires. Il s’inscrit en effet dans la logique d’un alourdissement de la fiscalité pour les classes populaires et moyennes, avec notamment la hausse générale de la CSG, et d’un abaissement pour les plus riches, avec la très forte réduction de l’ISF pour les très gros patrimoines financiers. Quant aux territoires, tout est à l’avantage des plus grandes métropoles, avec la disparition de nombreux départements. On est en outre frappé par l’absence totale de projet pour la ruralité.

    Sur ces trois sujets centraux, ceux que je mets au cœur de la campagne présidentielle depuis des semaines maintenant, Emmanuel Macron s’enferme dans la poursuite du quinquennat de M. Hollande et n’apporte aucune solution nouvelle, si ce n’est des propositions qui aggraveront en réalité la situation.

    Au-delà du contenu, la structure du programme interpelle et fait là aussi immanquablement penser à M. Hollande. Parce qu’on repère immédiatement qu’il s’agit d’un catalogue un peu brouillon, partant dans tous les sens, et manquant singulièrement de cohérence. Cela rejoint le problème de l’absence de vision politique. En réalité, Emmanuel Macron ne sait guère ce qu’il voudrait faire pour la France, si ce n’est maintenir le confort douillet des amis du système, sans jamais prendre en charge les attentes des Français, sans provoquer aucune rupture, et sans avoir le courage de s’attaquer aux défis fondamentaux qui sont devant les Français. Ce programme révèle l’absence totale de volontarisme de M. Macron, travers central qui affectait déjà M. Hollande.

    Je vous laisse juger par vous-mêmes de quelques perles de ce programme si longtemps attendu…

    ➝ Europe : l’extinction définitive de notre souveraineté et de notre liberté

    1) Renforcement de l’intégration de la zone euro et maintien de l’austérité : E. Macron veut « créer un budget pour la zone euro voté par un Parlement de la zone euro et exécuté par un ministre de l’Économie et des Finances de la zone euro », réduire les dépenses publiques à 52 % du PIB et garder la règle des 3 %. Nous n’aurons plus les mains libres ! Et il ne pourra pas mettre en oeuvre ses mesurettes économiques car il se heurtera au refus de l’Allemagne et du ministre du Budget de la zone euro qui sera le vrai dirigeant de la France. La souveraineté serait définitivement perdue.

     

    2) Macron affiche des objectifs contradictoires pour la Défense :

    Objectif 1 : Donner aux armées les moyens d’assurer la souveraineté stratégique de la France ;
    Objectif 2 : Agir pour une Europe de la défense devenue indispensable.

    Quelle incohérence ! La réalité, c’est que M.Macron veut un conseil européen de la sécurité, un quartier général européen permanent en lien avec l’OTAN, un Fonds européen de défense. La France perdrait la maîtrise de son armée et de ses équipements et serait soumise à la volonté des autres pays et de l’OTAN. La France ne serait plus du tout indépendante. Pis, avec le système que souhaite M.Macron, la France serait entraînée dans des guerres qui ne sont pas les siennes et n’aurait pas pu refuser de participer à la désastreuse guerre en Irak de 2003.

    ➝ Poursuite de l’immigration de masse et remise en cause de notre pacte républicain

    3) Le projet de M. Macron n’évoque pas une seule fois le terme « immigration » : dans la continuité des félicitations qu’ils à adressées à Mme Merkel, E. Macron entend donc bien poursuivre la politique migratoire désastreuse menée ces dernières années. L’immigration de masse serait maintenue puisqu’aucune réduction des flux migratoires n’est envisagée. Son programme prévoit même une naturalisation plus facile : « la maîtrise de la langue », terme flou, étant appelée à devenir le principal critère de naturalisation. La nationalité serait donc une nouvelle fois affaiblie et distribuée au plus grand nombre, rendant impossible toute assimilation.

    4) Maintien de Schengen et affaiblissement de la sécurité des Français : là encore, E. Macron s’inscrit dans les pas de François Hollande en refusant la remise en cause de Schengen. Ce refus dogmatique des frontières nationales ne déboucherait que sur une chose : une sécurité des Français toujours plus affaiblie.

    5) Laïcité, une remise en cause tous azimuts. Son projet semble favorable au burkini, c’est donc un affront insupportable fait aux femmes : « Dans l’espace public (rues, plages), l’expression des convictions religieuses doit bien sûr rester libre à condition de ne pas porter atteinte à l’ordre public. » E. Macron tente dangereusement de contourner la loi de 1905 par un financement public et l’ingérence de la puissance publique dans l’organisation du culte musulman : son programme prévoit ainsi le « soutien des communes à la construction de mosquées », la conclusion de baux avec les responsables du culte, des contrats signés entre l’Etat et les aumôniers du culte musulman, l’immixtion de l’Etat dans la formation d’imams et même le lancement d’une nouvelle fondation publique pour la construction de mosquées…

    ➝ Le projet anti-social de M. Macron

    6) Augmentation de la CSG : Il propose « une hausse de la CSG de l’ordre de 1,7 point ». Les ménages devront donc payer 20 milliards d’euros d’impôts en plus ! Par exemple, un couple de retraités touchant chacun une retraite mensuelle de 1 200 € verra le revenu de leur foyer amputé de 36 € par mois.

    7) Quasi-suppression de l’ISF : E. Macron veut supprimer l’ISF pour les très gros actionnaires (ses copains du CAC40 et des banques d’affaires). La moitié des réductions d’ISF irait dans les poches des très riches actionnaires, soit 2,5 milliards €. Le patrimoine des plus riches parmi les riches est surtout constitué de capital financier.

    Exemple : un patron du CAC40 qui a un patrimoine de 15 millions d’euros constitué de 5 millions dans l’immobilier et 10 millions en actions : Aujourd’hui il paye 170 000 euros d’ISF. Avec Macron il payerait 35 000 euros d’ISF.

    8) Augmentation de la taxation de l’assurance-vie à 30 % contre 23 % aujourd’hui : E. Macron augmenterait donc considérablement l’impôt sur les petits épargnants. E. Macron prouve une nouvelle fois qu’il préfère les très riches aux plus pauvres.

    9) Aggravation de la loi El Khomri par la mise en place d’un plafond des indemnités prud’homales à la suite d’un licenciement : c’est une loi El Khomri puissance 10. Affaiblissement de notre droit social et du code du travail : il prévoit un code du Travail recentré autour de quelques principes, dépouillé de ses mesures protectrices et qui pourra être contourné par l’organisation de référendums d’initiative patronale au niveau de l’entreprise, pour tuer toute chance de dialogue social. Cela crée une concurrence à l’intérieur même d’une branche professionnelle. En somme, des règles minimes, et moins de protection pour les salariés.

    ➝ Rien pour la ruralité, rien pour les territoires. La France des oubliés définitivement oubliée

    10) Rien n’est dit sur les traités de libre-échange. M. Macron a pourtant pris position en faveur du CETA (accord commercial entre l’UE et le Canada) qui va miner notre agriculture et affaiblir toujours plus nos agriculteurs, poursuivre l’effondrement de notre économie et de notre industrie, etc. On le voit ici très clairement, E. Macron louvoie et ne s’attaque pas aux sujets fondamentaux, qui affecteront pourtant très durement la vie des Français.

     

    11) Une organisation territoriale qui profite aux seules grandes métropoles : le monde rural est le grand lésé du programme d’E. Macron, puisqu’il en est tout simplement absent. Ses mesures aggraveraient même l’enclavement de nos campagnes, puisqu’elles prévoient d’accentuer l’éloignement des citoyens de l’action publique que la loi NOTRe a engagée. Ainsi, il prévoit de supprimer 25 % des départements, en subordonnant aux métropoles les territoires qui les entourent. Les petites communes rurales de ces zones perdraient toute autonomie.

    Je vous propose de retrouver mon projet et mes 144 engagements pour la France ici !

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