En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Imagine-t-on une seconde les meetings de Macron ou d’Hamon attaqués par des militants d’extrême droite ? Et ce que serait la réaction du gouvernement, des médias et de la Justice, les consignes données à la police ? Eux qui ne cessent de nous répéter que le danger, que le chaos, que la guerre civile, c’est le FN.
Dans la plus totale impunité et avec les encouragements du système, Bernard Cazeneuve annonçant qu’il va « entrer en guerre contre le Front national », le meeting de Marine Le Pen à Nantes a été la cible d’attaques extrêmement violentes. 2 000 personnes avaient défilé samedi dans le centre-ville, à l’appel de la CGT, de plusieurs partis politiques et d’associations d’extrême gauche. Des manifestants encagoulés ont saccagé des abribus, dévasté et pillé des commerces et fait onze blessés parmi les forces de l’ordre dont un gendarme, la jambe en feu, grièvement brûlé par un cocktail molotov. Un commerçant nantais écœuré, en pleurs au milieu des débris de verre de sa vitrine fracassée, s’inquiétait que cette chienlit incite d’autant plus les Nantais à voter pour Marine Le Pen…
Le lendemain sur la nationale N 137 reliant Rennes à Nantes, des cars de militants FN se rendant au Zénith ont été attaqués à coup de barres de fer et de peinture par une centaine d’activistes masqués, « mode attaque de diligence » selon un témoin. Des départs de feu ont également été signalés sur la route que les autocars empruntaient, les antifas enflammant des pneus pour bloquer la circulation.
A quelques semaines de l’échéance et tandis que les sondages ne l’ont jamais donnée aussi haut, ils lâchent les chiens et jouent sur toutes les peurs. Devant une salle comble, Marine Le Pen a rappelé qu’elle ne cédait et ne reculait sur rien et qu’elle remettrait la France en ordre.
Les médias ont fermé les yeux sur le fait que Donald Trump a diminué la dette lors de son premier mois au pouvoir, a-t-il déploré dans un tweet, alors que son prédécesseur avait augmenté la dette de 200 milliards sur la même période.
«Les médias n’ont pas rapporté que lors de mon premier mois [de mandat] la dette nationale avait réduit de 12 milliards de dollars par rapport à l’augmentation de 200 milliards de dollars lors du premier mois d’Obama», a écrit Donald Trump sur son compte Twitter.
Le président américain a ajouté qu’il se montrait optimiste quant au futur du climat des affaires aux Etats-Unis et de l'emploi et a promis «d’impd'options...Share to ImprimerShare to Emailortantes réductions d’impôts».
Les chiffres présentés par Donald Trump sont ceux du Trésor américain, selon lesquels le 20 janvier, jour de l’investiture de Trump, la dette américaine s’élevait à 19 947 milliards de dollars. Le 21 février, un mois plus tard, la dette était de 19 935 milliards de dollars. En outre, entre le 22 et le 23 février, la dette américaine s'était encore contractée de 22 milliards supplémentaires.
En comparaison, lors du premier mois du mandat de Barack Obama, la dette américaine était passé de 10 626 à 10 838 milliards de dollars, soit une augmentation de plus de 200 milliards de dollars, selon les données du Trésor américain.
D’après le site USdebtclock.org qui traque la dette américaine en temps réel, la dette a cru de 9 000 milliards de dollars lors des deux mandats de Barack Obama, ce qui correspond à un record historique.
Les tweets de Donald Trump interviennent au lendemain d'une prédiction du Conseil pour les relations étrangères qui avance la chose suivante : «La politique de Trump augmentera le déficit budgétaire de manière considérable.»
Lors de sa campagne présidentielle, Donald Trump avait promis de réduire la dette américaine et le déficit budgétaire. Le 22 février, il a évoqué cette question et a promis que Washington arrêterait de dépenser l’argent du contribuable à mauvais escient. «Les finances de notre pays sont en très mauvais état, mais nous allons y mettre de l'ordre», a-t-il déclaré.
Reprenant un sujet qui lui est cher, le président Trump a d’abord passé près d’une dizaine de minutes à attaquer les médias, « qui propagent de fausses nouvelles et inventent de fausses sources ».
Il a ensuite abordé le thème des valeurs « américaines » qu’il compte défendre, notamment « la liberté et la sécurité ».
Nous faisons partie d’un mouvement historique qui va remettre les citoyens américains au premier plan. […] Nous verrons la victoire du drapeau américain. Donald Trump Donald Trump a ainsi rappelé ce qu’il compte faire lors de son mandat, entre autres diminuer la criminalité, mettre un terme à l’Obamacare et revoir les traités commerciaux signés par les États-Unis.
M. Trump a également critiqué les politiques extérieures adoptées par ses prédécesseurs. Selon lui, dans ce domaine, les désastres ont suivi les catastrophes. « Quelle est la dernière fois que nous avons gagné? Quand avons-nous gagné une guerre? États-Unis, nous allons gagner de nouveau », a-t-il lancé.
C’est le moment de sortir les travailleurs américains de l’aide sociale et de les remettre au travail.
Donald Trump
Pour ce faire, M. Trump a souligné qu’il veut commencer la construction des pipelines Keystone XL et Dakota Access, « qui seront construits avec de l’acier américain ».
Il dit également vouloir permettre la libre exploitation du gaz de schiste, du gaz naturel et du charbon. « Les mineurs vont retourner au travail », a-t-il assuré.
Nouvel épisode dans le bras de fer entre le nouveau locataire de la Maison Blanche et la presse américaine, Donald Trump annonce ce soir sur Twitter, qu’il ne participera pas au dîner traditionnel de la presse accréditée.
Après 250 morts et 800 blessés, Hollande répond à Trump au sujet de Paris : « Ici, il n’y a pas de personnes qui prennent des armes pour tirer dans la foule »
BREIZATAO – POLITIKEREZH (25/02/2017) S’extirpant difficilement des récentes révélations (voir ici) au sujet de Théo Luhaka et de sa famille qu’il avait soutenus aveuglément, François Hollande a cru pouvoir rebondir en raillant le président américain qui venait de déclarer que « Paris n’est plus Paris » (source).
« Et je ne ferai pas de comparaison mais ici il n’y a pas de circulation d’armes, il n’y a pas de personnes qui prennent des armes pour tirer dans la foule« , a poursuivi François Hollande.
Devant l’énormité du commentaire, les réactions ont été nombreuses sur les réseaux sociaux.
En savoir plus sur http://breizatao.com/2017/02/25/apres-250-morts-et-800-blesses-hollande-repond-a-trump-au-sujet-de-paris-ici-il-ny-a-pas-de-personnes-qui-prennent-des-armes-pour-tirer-dans-la-foule/#Xy7dxx87LBTJUKtJ.99
25/02/2017 – GRANDE-BRETAGNE (NOVOpress) C’est Valeurs Actuelles qui nous l’apprend : de septembre 2015 à septembre 2016, le solde migratoire net du Royaume Uni est tombé à 273 000, soit une chute de près de 50 000 unités par rapport à la période précédente, atteignant ainsi son plus bas niveau depuis juin 2014.
Le Premier ministre Theresa May s’est félicitée de ce résultat, tout en souhaitant « en faire davantage pour atteindre l’objectif d’un solde migratoire de seulement quelques dizaines de milliers de personnes ».
L’ancien leader du parti souverainiste britannique Ukip Nigel Farage a été acclamé vendredi à la conférence annuelle des conservateurs américains en affirmant que les victoires du Brexit et de Donald Trump n’étaient que les prémices d’une révolution contre « les mondialistes ».
« 2016, on l’a fait! » s’est exclamé Nigel Farage sur la scène de CPAC, peu après la venue du président américain au rassemblement, près de Washington.
« Lorsque les prochaines générations étudieront l’histoire de cette période, une année sortira du lot, et cette année sera 2016″, a déclaré le Britannique, qui fut l’un des principaux acteurs de la campagne pour le Brexit en juin dernier.
Évoquant les échéances électorales prochaines aux Pays-Bas, en France, en Allemagne et éventuellement en Italie, Nigel Farage a martelé que 2016 n’avait été que « le début d’une grande révolution globale. Elle atteindra le reste du monde occidental ».
Et même si dans ces pays des défaites étaient essuyées en 2017, « le centre de gravité de tout le débat se sera déplacé », s’est-il félicité par avance, sans citer nommément Marine Le Pen, et en dénonçant les « mondialistes », un terme qui fait également partie du vocabulaire de Donald Trump.
Le Britannique, très applaudi par plusieurs centaines de personnes, a rappelé qu’il avait soutenu Donald Trump pendant la campagne électorale américaine et plaisanté que, depuis sa victoire en novembre dernier, il se sentait « de plus en plus américain ».
Le souverainiste a félicité le milliardaire pour son premier mois au pouvoir. N’est-ce pas « surprenant », a-t-il demandé, « de voir un dirigeant appliquer le programme sur lequel il a été élu? »
À droite, les propositions de l'ancien ministre de l'Économie sont jugées globalement insuffisantes. «De la soupe à l'eau tiède», selon une formule entendue au siège de campagne de François Fillon. Le député de Paris a d'ailleurs réservé une bonne place à Emmanuel Macron dans le discours qu'il a préparé pour son meeting de Maisons-Alfort vendredi soir. «Tout ce plan Macron, c'est à peine mieux que Hollande et c'est surtout beaucoup moins fort que le plan Fillon», juge-t-il. «C'est un remède d'eau tiède, a expliqué pour sa part Thierry Solère sur Radio Classique. Il ne fera pas 10 % de ce qu'il annonce et quand bien même il ferait ce qu'il annonce, ça ne suffirait en rien à permettre le redressement de notre économie.» «Les mesures qu'il propose sont soit inutiles soit des demi-mesures qui ne feront rien bouger tant la situation du pays est dégradée», complète Éric Woerth. «Chez Emmanuel Macron et François Bayrou, tout est faible, de la baisse des dépenses publiques à celle des prélèvements obligatoires! ajoute l'ancien ministre du Budget. Macron, c'est la poursuite du hollandisme par d'autres moyens.»
Inscrire la candidature de l'ancien secrétaire général adjoint de l'Élysée dans la continuité de celle de l'actuel président? L'argument fait également florès au Front national. Conseiller économique de Marine Le Pen, Philippe Murer juge que le candidat d'En marche! s'inscrit «dans la continuité de François Hollande». «Macron, ce sont des petits boulot ubérisés ou le chômage», ajoute-t-il. Bernard Monot, autre conseiller de la candidate, estime, lui, qu'«Emmanuel Macron peut bien annoncer ce qu'il veut, en vérité sa feuille de route lui est donnée par Bruxelles».
«Vieilles recettes»
À gauche, on n'est pas plus tendre avec la copie économique du leader d'En marche!. Mais pour les communistes comme pour les socialistes, le projet de l'ancien banquier d'affaires est avant tout comparé à celui du candidat de LR. «60 milliards d'économie, 120.000 fonctionnaires en moins, c'est du Fillon en modèle réduit!», s'est exclamé Pierre Laurent, sur LCP. Le secrétaire général du PCF juge que «les masques» sont tombés depuis l'alliance d'Emmanuel Macron avec François Bayrou, car le président du MoDem cherche «depuis quinze ans» à «créer un centre droit destiné à voter des projets libéraux avec la droite».
Au Parti socialiste, aussi, certains n'hésitent pas à rapprocher le programme du candidat d'En marche! de celui des Républicains. «Emmanuel Macron choisit les vieilles recettes de la droite: moins de fonctionnaires, moins de services publics et plus d'inégalités. Où est le progrès là-dedans?», fait mine de s'interroger l'adjoint au maire PS de Paris Bruno Julliard.
Candidat vainqueur de la primaire de la gauche, Benoît Hamon ne va pas jusque-là, même s'il explique avoir ressenti «une forme de consternation» à la lecture du projet d'Emmanuel Macron. «Qui peut penser aujourd'hui que la solution pour notre pays est de faire exactement ce qu'ont fait tous les pays qui aujourd'hui sont en récession, c'est-à-dire continuer à réduire la dépense publique?, s'est interrogé l'ancien ministre sur France 2. C'est une obsession chez celles et ceux qui à Bruxelles, depuis maintenant plusieurs années, ne pensent qu'à cela.»
Et qu'en pensent les Français? À deux mois du premier tour, les électeurs hésitent encore sur le projet économique qui leur paraît le meilleur. Selon une étude BVA pour La Tribune, Emmanuel Macron (22 %) et François Fillon (22 %) sont les candidats les plus cités pour la qualité de leurs propositions, devant Benoît Hamon (14 %), Jean-Luc Mélenchon (11 %) et Marine Le Pen (11 %).
Le parquet national financier a décidé de l'ouverture d'une enquête judiciaire ce vendredi 24 février. pour détournement de fonds publics, abus de biens sociaux, complicité et recel de ces délits, trafic d'influence et manquements aux obligations de déclaration à la Haute Autorité sur la transparence de la vie publique.
Le parquet national financier (PNF) a confirmé ce vendredi soir avoir ouvert une information judiciaire dans l'affaire des emplois fictifs présumés de la famille Fillon,comme nous vous le révélions. Les investigations vont être désormais confiées à trois juges d'instruction parisiens.
L'information judiciaire est ouverte pour «détournement de fonds publics, abus de biens sociaux, complicité et recel de ces délits, trafic d'influence et manquements aux obligations de déclaration à la Haute Autorité sur la transparence de la vie publique», a précisé le parquet dans un communiqué.
Les trois magistrats instructeurs ont désormais la possibilité de convoquer le candidat à l'Elysée à tout moment en vue d'une éventuelle mise en examen ou d'un placement sous le statut intermédiaire de témoin assisté. Mais le calendrier, extrêmement serré, rend peu probable une telle hypothèse avant le scrutin.
DOCUMENT. Le communiqué du parquet national financier (PNF)
Le candidat de la droite et du centre à la présidentielle avait, directement ou par la voix de ses avocats, plusieurs fois remis en cause la compétence du PNF et demandé qu'elle soit dessaisie de l'enquête en cours. Le 16 février, cette institution judiciaire avait annoncé ne pas envisager «en l'état» de classement sans suite de l'affaire.
«L'innocence des Fillon sera reconnue par des juges indépendants»
Mes Antonin Lévy et Pierre Cornut-Gentille, avocats de François Fillon : «Le PNF confirme, ce faisant, qu'il n'a pas pu démontrer la réalité des infractions poursuivies». Selon les deux avocats, l'innocence des époux Fillon «sera enfin reconnue» par «des juges indépendants».
Bruno Retailleau (LR) : «Le PNF n'a pas d'éléments pour une citation directe qui est sa pratique habituelle»
24/02/2017 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Un rapport publié en 2014 par la Revue Médicale Suisse, intitulé « Maladies tropicales persistantes chez les migrants », alerte sur l’incidence de l’immigration extra-européenne en matière de santé publique. C’est le site lesobservateurs.ch qui remet fort opportunément en lumière ce rapport qu’à l’époque, la presse s’était empressée d’occulter. Notons que trois des sept co-auteurs, les docteurs Géraz, Lozano Becerra et Wolff, exercent au service de médecine pénitentiaire du canton de Genève, un poste d’observation sans doute privilégié pour faire le point sur les différentes pathologies dont souffrent les migrants originaires de pays extra européens.
Qu’affirme le rapport ? Selon ses auteurs, les migrants sont particulièrement vulnérables à plusieurs maladies infectieuses persistantes, en raison d’une exposition dans leur pays d’origine et de leurs conditions de vie particulières. Le rapport met entre autres l’accent sur des maladies parasitaires persistantes souvent négligées, telles que la schistosomiase, la strongyloïdiase, ou encore la maladie de Chagas.3.
Ces maladies exotiques ne sont pas les seules à poser problème. Un peu plus de 10 % des migrants originaires d’Afrique subsaharienne et d’Asie de l’Est sont ainsi porteurs d’une hépatite B chronique.Concernant le VIH, le virus du sida, le rapport relève que les populations migrantes, principalement originaires d’Afrique subsaharienne, représentent « une proportion considérable des infections en Europe ». En cas de co-infections avec le VIH ou les hépatites B et C, note le rapport, certaines des parasitoses précédemment mentionnées induisent une morbidité plus grave. Ces aspects sont d’autant plus importants à connaître, soulignent les auteurs, que l’ensemble de ces maladies, tant virales que parasitaires, sont particulièrement fréquentes chez les migrants. Quid les maladies bactériennes ? La tuberculose, entre autres, est surreprésentée au sein des populations migrantes, alerte le rapport, qui précise que dans de nombreux pays d’Europe occidentale, plus de la moitié des cas de tuberculose active sont ainsi diagnostiqués chez des personnes nées à l’étranger, une proportion qui monte à 70 % en Suisse… Les risques sanitaires ne concernent pas que l’immigration récente. Selon les auteurs, certaines maladies infectieuses peuvent, durant de nombreuses années, rester asymptomatiques, c’est à dire n’induire aucune pathologie avérée, avant de provoquer des complications cliniques parfois sévères. Parler d’insécurité sanitaire est donc un euphémisme : ce sont de véritables bombes épidémiologiques qui menacent l’Europe dans les prochaines années.