Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 223

  • La Russie nie détenir des dossiers compromettants sur Trump

    Le Kremlin dément posséder des dossiers compromettants sur Donald Trump ou sur Hillary Clinton.

    La Russie dénonce une « falsification totale » destinée à saper ses relations avec Washington.

    BV

  • Hidalgo : oui aux migrants, non aux voitures !

    979984AnneHidalgo.jpg

     

    Dès le 8 janvier, elle annonçait de nouvelles mesures, avec toujours la même obsession : automobilistes, fuera, dehors !

    Militant associatif et auteur

    Fondateur de Riposte Laïque

     
     

    Anne Hidalgo commence l’année 2017 pied au plancher. Dès le 8 janvier, elle annonçait de nouvelles mesures, avec toujours la même obsession : automobilistes, fuera, dehors !

    Dès le 8 janvier, elle nous sortait donc un nouveau projet, dont le point fort serait un tram-bus électrique (bien sûr) qui traverserait Paris d’ouest en est. Prix à payer : circulation automobile fermée sur un kilomètre, de Concorde à Palais Royal.

    Elle a décidé, en outre, d’augmenter les amendes pour non-paiement des parcsmètres. En 2011, le tarif était déjà passé de 11 euros à 17 euros.

     Cette fois, on pourra atteindre 50 euros, et cela sera géré par des sociétés privées.

     Elle a enfin confirmé un autre objectif fort : éradiquer le diesel dans Paris pour 2020 !

    Belle continuité. En 2017, unilatéralement, elle avait décidé de fermer une partie des berges, entraînant des bouchons monstres, qui polluent encore davantage la capitale. Une décision prise sans concertation, qui entraîne un recours judiciaire de Valérie Pécresse, soutenue par 168 maires franciliens.

    En outre, les automobilistes souvent pauvres, possédant une voiture antérieure au 1er janvier 1998, sont désormais interdits de séjour dans la capitale.

    Et, comme si cela ne suffisait pas, on leur a fait le coup des numéros pairs et impairs, une journée sur deux, pour lutter contre de prétendus pics de pollution. On attend, avec impatience, d’autres mesures plus contraignantes, par exemple seulement un jour par semaine…

    Faut-il parler des tarifs de parking exorbitants de Vinci, qui bénéficie de la privatisation, pourtant fort peu socialiste, qui lui a été attribuée ? Et comme à présent, avec les places réservées aux voitures électriques, on ne peut pratiquement plus se garer, on n’a souvent guère d’autre choix.

    Autre record parisien : une voiture se retrouve en fourrière toutes les deux minutes, soit 250.000 par an, dix fois plus qu’à Marseille ou Lyon. Et comme on a fait passer les amendes de 126 à 150 euros, et triplé le prix de la garde quotidienne, en plus des différentes taxes… Là encore, c’est le privé qui gère.

    Depuis que les socialistes sont arrivés à la mairie de Paris, on en est à 30 % d’automobilistes en moins, mais manifestement, leur éradication doit s’accélérer.

    Hidalgo et ses bobos nous diront qu’il y a des transports en commun, et que les banlieusards n’ont qu’à les prendre. Sauf que ce n’est pas eux qui se font quotidiennement insulter, menacer ou agresser, qui subissent tous les jours les retards des RER A, B ou C, les grèves suite à une agression ou mouvement social, les wagons tagués, les banquettes lacérées, les glaces rayées, les musiques à tue-tête, les communications bruyantes des portables, les pieds sur les banquettes, etc.

    Par ailleurs, le maire de Paris, si sensible à la prétendue pollution automobile, paraît beaucoup plus tolérante quand ses amis de Nuit debout, durant de longues semaines, imposent une pollution sonore, toutes les nuits, aux habitants proches de la place de la République, transformant le lieu en un gigantesque cloaque, qualifié par une habitante de « pissotière géante ».

    La multiplication des camps de migrants, qu’elle encourage à Paris – quand nos SDF, eux, meurent de froid -, ne paraît pas non plus trop heurter sa grande sensibilité écologique, pas davantage que la saleté (selon l’expression de Bertrand Delanoë) qui gagne Paris.

    Finalement, le résumé de la politique d’Hidalgo, c’est « Bienvenue aux migrants, dehors les automobilistes ! »

  • Affaire Fiona: la justice rejette la demande de mise en liberté de Cécile Bourgeon

    11586232.jpg

    Cécile Bourgeon va finalement rester en prison en attendant son procès, prévu pour mi-2017. La chambre de l'instruction de la cour d'appel du Puy-de-Dôme a examiné la demande de la mère de Fiona, mercredi 11 janvier, et a refusé sa remise en liberté. Le parquet général avait réclamé, mardi, le maintien en détention de la mère de Fiona avant son procès en appel pour la mort de sa fille, en 2013 à Clermont-Ferrand, au motif que l'affaire n'est "pas encore élucidée".

    La mère de Fiona, condamnée en novembre dernier à cinq ans de prison, notamment pour "non-assistance à personne en danger" et "dénonciation de crime imaginaire", avait en revanche été acquittée des violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner sur sa fille de cinq ans. La justice lui reproche d'avoir monté le scénario de la disparition de Fiona dans un parc de Clermont-Ferrand.

    Elle restera en prison jusqu'au procès en appel

    Cécile Bourgeon restera donc en détention à la prison de Lyon-Corbas jusqu'à la tenue du procès en appel, prévu à la mi-2017. Elle pouvait demander une première remise en liberté, après avoir purgé plus des deux tiers de sa peine.

    Dans son réquisitoire, l'avocat général s'était toutefois opposé à la remise en liberté de Cécile Bourgeon, mettant notamment en avant le procès en appel qui doit avoir lieu dans cette affaire, et la possibilité de voir cette libération "gêner les investigations".

    Le "risque" qu'elle soit agressée

    L'avocat général a également soulevé les risques d'une remise en liberté pour Cécile Bourgeon. "Je ne sais pas comment Cécile Bourgeon sera protégée si elle est remise en liberté. Il y a risque d’agression", a-t-il dit mardi. Selon lui, il fallait également que "la sérénité l'emporte, dans le cadre de l'appel. Que les témoins ne soient pas sous pression".

    L'ancien compagnon de Cécile Bourgeon, Berkane Makhlouf, seul reconnu coupable des violences, avait écopé en novembre dernier de vingt ans de réclusion. Le parquet avait fait appel de la décision et un nouveau procès aura lieu en 2017.

    France info

  • Les HLM des dealers, par Caroline Parmentier

    HLM-dealers.jpg

    Partager sur Facebook Tweeter

     

    Le quartier d’habitat social du Clos des Roses à Compiègne est une infecte et puante zone de non-droit, gangrenée par le trafic de cocaïne, héroïne, ecstasy et crack et entièrement tenue par des caïds qui se comportent comme des barbares.

    Le patron des HLM, fatigué d’alerter un préfet et un ministre de l’Intérieur qui n’arrivent à rien, n’a pas trouvé d’autre solution que de murer trois immeubles pour déloger les dealers. Le nid de frelons (qui n’ont rien d’asiatiques) se déplacera ailleurs. Détail qui a son charme : des journalistes de TF1 qui ne croient ni à l’existence des No go zones, ni à la sauvagerie des jeunes de cité, ont été caillassés sur place et leur caméra volée. Aucun n’a été blessé mais ils se sont dits très « secoués » ! L’annonce a été faite par Jean-Pierre Pernaut lui-même dans le Journal de 13 heures sur un ton accusateur et indigné. Du coup même le nom de « zone de non-droit » a été prononcé. Entre deux reportages sur la fromagerie Les Alpages et « Face au froid, une bonne choucroute ».

    Arnaud Dumontier, président de l’Opac de l’Oise et maire (LR) de Pont-Sainte-Maxence confirme l’existence d’un « Etat de non-droit absolu » contrôlé par « des prédateurs dont la détermination est proportionnelle aux sommes d’argent qu’ils engrangent chaque mois, entre 200 000 et 300 000 euros de chiffre d’affaires de la drogue ».

    L’office HLM dit avoir tout essayé. Les trafiquants ont pris possession des halls et des cages d’escaliers, arraché les câbles et les portes et installé des laboratoires clandestins en faisant des branchements sauvages sur les installations de gaz et d’électricité. Des agents de sécurité missionnés par l’Opac pour rassurer les 4 000 locataires terrorisés ont été violemment attaqués par des hommes masqués et encagoulés.

    « Je ne veux pas avoir des morts sur la conscience », explique Arnaud Dumontier. Vingt-six opérations de police ont eu lieu en 2016, en vain. « Des moyens de police pérennes et massifs m’avaient été promis entre septembre et décembre. Je ne les ai jamais vu venir. »

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 12 janvier 2017

  • JOURNAL TVL DU 11.01.17

  • VIDEO. Regardez l'intégralité de la conférence de presse de Donald Trump, la première depuis son élection

    http://www.francetvinfo.fr/monde/usa/presidentielle/donald-trump/direct-etats-unis-regardez-la-premiere-conference-de-presse-de-donald-trump-depuis-son-election_2011205.html

    Donald Trump a pris la parole face à la presse pour la première fois depuis son élection, mercredi, au lendemain de la publication d'un rapport prétendant que la Russie détient des informations compromettantes sur lui.

  • Délocalisation : méthode Trump impossible en France à cause de l’UE

     

     

    Donald Trump a dissuadé des géants de l’automobile tels que Ford de délocaliser sous peine d’être taxés. Mais est-ce possible en France ? Non, car l’Union européenne interdit catégoriquement de taxer les marchandises au sein des 28. Impossible par exemple de taxer nos voitures fabriquées en Slovénie ou en Slovaquie. Quant aux produits fabriqués ailleurs qu’en Europe, il faut que les 28 membres tombent d’accord pour les taxer…

    NDF

  • Chine : le géant du e-commerce « Alibaba » promet un million d’emplois à Donald Trump

    19h41

    Lundi soir, à New York, le patron du géant chinois du e-commerce Alibaba et le président élu Donald Trump se sont rencontrés 40 minutes dans la Trump Tower. Jack Ma a promis d’investir aux États-Unis.

  • Les écolières musulmanes doivent aller aux cours de natation avec les garçons

    XVM9f0a4e2e-d751-11e6-af62-787f14c203b5.jpg piscine mixr.jpg

    Par Stéphane Kovacs
    Publié le 10/01/2017 à 20h14

    C'est la décision de la Cour européenne des droits de l'homme, qui avait été saisie par un couple turco-suisse.

    Les filles doivent apprendre à nager avec les garçons. La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) a donné raison, mardi, aux autorités suisses qui avaient refusé d'exempter deux écolières musulmanes de cours de natation mixtes obligatoires. «Sur le plan politique, c'est une décision très importante, se réjouit Jean-Louis Bianco, président de l'Observatoire de la laïcité. La CEDH met très souvent l'accent sur les libertés, mais là, elle a considéré que cette ingérence dans la liberté de religion était justifiée pour protéger les enfants de toute exclusion. Cette décision, rendue à l'unanimité des juges, fera évidemment jurisprudence. Et vaut aussi pour les adultes.»

    «Des aménagements significatifs ont été offerts» à la famille, notamment «la possibilité de porter le burkini» et des cours dispensés par «une enseignante». Mais les parents refusent

    L'affaire remonte à 2008, peut-on lire dans l'arrêt de la CEDH. Les requérants, un couple turco-suisse résidant à Bâle, refusent d'envoyer leurs filles - alors âgées de 7 et 9 ans - aux cours de natation «au motif que leur croyance leur interdit de les laisser participer à des cours de natation mixtes». Ils indiquent que, «même si le Coran ne prescrit de couvrir le corps féminin qu'à partir de la puberté, leur croyance leur commande de préparer leurs filles aux préceptes qui leur seraient appliqués à partir de leur puberté». «Des aménagements significatifs ont été offerts» à la famille, apprend-on encore, notamment «la possibilité de porter le burkini» et des cours dispensés par «une enseignante». Mais les parents refusent.

    Protection contre l'exclusion sociale 

    Après avoir été débouté par les tribunaux suisses, le couple s'est tourné vers les juges européens. La CEDH leur a donné tort, relevant que les pouvoirs publics helvétiques avaient pour objectif la «protection des élèves étrangers contre tout phénomène d'exclusion sociale». «L'intérêt de l'enseignement de la natation ne se limite pas à apprendre à nager, mais réside surtout dans le fait de pratiquer cette activité en commun avec tous les autres élèves», a argumenté la Cour. La fermeté des pouvoirs publics est, certes, une «ingérence dans la liberté de religion», mais elle est justifiée au nom de «l'intérêt des enfants à une scolarisation complète, permettant une intégration sociale réussie selon les mœurs locales», ce qui «prime» sur la volonté des parents, a tranché la CEDH.

    Une décision qui «rejoint tout à fait les rappels de l'Observatoire de la laïcité, souligne son rapporteur général, Nicolas Cadène. Il n'y a pas lieu d'exempter les élèves de cours en raison de leur religion, il est normal que tous les élèves suivent tous les enseignements et, au-delà de cette affaire, pour les piscines publiques, il n'y a pas lieu d'organiser des horaires séparés pour les femmes et les hommes - sauf dans des cas très précis comme celui de victimes de viols ou d'équipe féminine de water-polo, par exemple».

    «Cette année, en lycée professionnel, j'ai quatre filles dispensées de natation sur vingt-deux. Il y a la religion, mais aussi la peur de l'eau, les règles, la pudeur…»

    Nathalie François, responsable du sport scolaire au Syndicat national de l'éducation physique (SNEP)

    À l'Observatoire de la laïcité, on ne se souvient que d'«un cas qui était remonté, l'an dernier, d'un établissement scolaire où plusieurs jeunes filles étaient exemptées de piscine». Mais du côté des syndicats d'enseignants et de parents d'élèves, on constate que c'est «un phénomène dont on entend de plus en plus parler». «Cela touche beaucoup de jeunes filles, mais pas seulement des musulmanes, précise Nathalie François, responsable du sport scolaire au Syndicat national de l'éducation physique (SNEP). Cette année, en lycée professionnel, j'ai quatre filles dispensées de natation sur vingt-deux. Il y a la religion, mais aussi la peur de l'eau, les règles, la pudeur…»

    Le rapport sur les «signes et manifestations d'appartenance religieuse dans les établissements scolaires» de Jean-Pierre Obin date de 2004 mais fait toujours autorité sur la question. «L'absentéisme et le refus de certaines activités sont de plus en plus fréquents, notamment en piscine, écrivait l'inspecteur général de l'Éducation nationale. Beaucoup (d'interventions) tournent autour de la mixité ou de la préservation de la “pudeur” des filles. Les dispenses se multiplient et l'existence de certificats de complaisance est massive dans certains quartiers. Certains comportements révèlent les conceptions obsessionnelles de la pureté de certains prescripteurs, comme le refus de se baigner dans “l'eau des filles” ou dans celle des “non musulmans”.» D'où le soulagement de certains enseignants, qui vont désormais pouvoir s'appuyer sur cette décision de la CEDH. «Savoir nager fait partie du socle commun de connaissances, rappelle Céline Rigo, secrétaire nationale du syndicat SE-Unsa. Et si les cours mixtes ne conviennent pas aux parents, ils peuvent toujours inscrire leurs enfants dans le privé.»

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 11/01/2017.

  • A Berlin, Macron fait un plaidoyer pour l'accueil des migrants ! Nombreux tweets...

    https://francais.rt.com/france/32064-plaidoyer-pour-accueil-migrants-discours-anglais-macron

    5875355bc46188ff208b458d.jpg Macron.jpg

     

  • A Paris, en 2035 : je suis retourné là-bas

    antennes-paraboliques-588x330.jpg Polémia.jpg

     

    Michel Geoffroy, assayiste

    ♦ Cher Parrain,

    Pour un Européen, titulaire d’un passeport impérial, venir à Paris est toujours une aventure.

    C’est pourquoi, lorsque l’Académie m’a désigné, comme tu le sais, pour cette mission d’étude là-bas, j’étais à la fois fier et un peu inquiet aussi. Ce fut un séjour délicat mais instructif à plus d’un titre.

    Malgré une invitation officielle de la République Islamique, j’ai dû supporter des formalités interminables à l’aéroport de Roissy : successivement la police des frontières, la douane et la police de la charia. On a fouillé mes valises deux fois ! J’étais prévenu, mais quand même.

    Mode islamique à porter aux mariages

    Mode islamique à porter aux mariages

     Heureusement mon guide traducteur m’attendait : Leila, une jeune femme moderne puisqu’elle ne portait qu’une longue robe noire et un foulard. Elle était gentille mais j’avais parfois du mal à la comprendre car la langue a changé. Elle intègre beaucoup de mots et de tournures arabes ou algériennes et le débit très saccadé rend la compréhension pénible à nos oreilles.

    Néanmoins mes interlocuteurs officiels au ministère de l’Education et de la Révélation, puisque ma visite s’inscrivait dans la perspective d’éventuels échanges avec notre Fédération impériale, ont mis un point d’honneur à essayer de parler un français correct durant nos entretiens. Du moins l’ont-ils pensé…

     J’ai d‘ailleurs globalement été assez bien reçu, les seules manifestations d’hostilité émanant des Européens restés là-bas et convertis, bien reconnaissables à leurs longues barbes.

    On m’a fait visiter pendant cette semaine de nombreux établissements d’enseignement et médersas, puisque le gouvernement de la République a fait un gros effort en la matière. Ces établissements m’ont cependant paru assez sous-équipés et leurs méthodes, basiques par rapport à ce que l’on trouve chez nous.

    Au collège coranique de la Rue d’Ulm mes interlocuteurs ont beaucoup insisté sur le fait que l’enseignement était ouvert à tous, y compris aux non-musulmans, aux Noirs et aux femmes. Mais ils ne m’ont pas caché, cependant, que le corps enseignant était « croyant » – comme on dit là-bas– dans sa très grande majorité. J’ai compris que notre chauffeur n’était, lui, pas musulman, mais je n’ai pu parler avec lui car mon guide ne me quittait pas et, en sa présence, il se taisait. Dommage !

    Malgré ces nombreux entretiens et visites, on m’avait quand même aménagé une après-midi de détente.

    J’ai ainsi pu visiter Paris comme un vrai touriste saoudien ! Les magasins de luxe des Champs-Elysées, l’inévitable monument des martyrs de la Révolution, le Musée religieux de Notre-Dame, la grande mosquée du Louvre, la palmeraie du Trocadéro et, bien sûr, le dîner dans le meilleur restaurant de Paris : Les Mille et Une Nuits d’Argent. Malheureusement je ne supporte pas bien la nourriture du pays et surtout… de devoir manger sans couverts !

     A propos de nourriture, d’après ce que j’ai pu voir dans mes déplacements, le spectre de la Grande Famine semble désormais oublié là-bas. Les commerces d’alimentation paraissent bien achalandés en semoule, olives et raisins secs et j’ai vu que les queues devant les boucheries restaient raisonnables. « La France va mieux », comme n’ont cessé de le répéter mes interlocuteurs. Sans doute pour s’en persuader eux-mêmes.

    Evidemment j’aurais bien aimé revoir l’endroit où habitaient nos grands-parents, près de la Gare de Lyon. Mais mon programme chargé ne l’a pas permis. Finalement je ne le regrette pas car je crois que j’aurais été déçu. En dehors des quartiers touristiques, en effet, Paris est sale et pollué et les immeubles sont constellés d’antennes paraboliques du plus mauvais effet ! Je préfère donc conserver le souvenir de l’album de photographies familial !

    En tout cas, et même si je dois maintenant m’atteler à mon rapport pour l’Académie, je me réjouis de m’en retourner chez nous, à Novossibirsk. Je crois bien que les cloches, la neige, le bon vin et les robes des filles me manquaient !

    On ne remerciera jamais assez ceux qui nous ont permis d’échapper à ce qui est arrivé là-bas, et qui nous ont donné la possibilité de reconstruire (*) ici, en Sibérie, notre civilisation, au sein d’une Fédération impériale puissante et respectée. A l’abri de la Grande Barrière, qui nous protège du chaos migratoire qui ravage le monde.

    Tu avais bien raison, Parrain, de dire que ceux qui parmi nous se font volontiers critiques de notre quotidien feraient bien d’aller passer quelques jours là-bas, pour se rafraîchir les idées.

    C’est bien pourquoi, dès mon retour, j’irai allumer un cierge en l’honneur de Saint Serge, comme il est de tradition chez nous !

    Je t’embrasse, Parrain.

    Michel Geoffroy
    7/01/2017

    Note : (*) On pourra se reporter au livre de l’Américain Arthur Kemp Bâtir le foyer blanc, Editions Akribeia 2014

    Voir aussi : Arthur Kemp : « Qu’est-ce que l’ethnonationalisme ? »

    Correspondance Polémia – 8/01/2017

    Image : « Les immeubles sont constellés d’antennes paraboliques du plus mauvais effet ».

    (merci à Dirk)

  • Marine Le Pen invitée des 4 Vérités

  • JOURNAL TVL DU 10.01.17

  • Bernard Arnault rencontre Donald Trump et annonce la construction d’une nouvelle usine aux Etats-Unis

    Le

     

    A la suite d’une entrevue avec Donald Trump, Bernard Arnault, le PDG du groupe LVMH, a indiqué envisager la construction d’une usine au Texas ou en Caroline ainsi que l’agrandissement d’autres unités situées en Californie.

    arnault - trumpA dix jours de son investiture , Donald Trump continue d’enchaîner les entrevues dans la Trump Tower. Après l’entrepreneur chinois Jack Ma, Bernard Arnault est le premier patron français à avoir été reçu ce lundi par le président-élu des Etats-Unis.

    Si peu de détails ont été communiqués, les deux hommes ont néanmoins expliqué à la sortie de leur entrevue qu’ils envisageaient une plus étroite collaboration. Notamment grâce à la construction d’une nouvelle usine en Caroline ou au Texas, destinée à fabriquer “des produits Louis Vuitton”.

    À la question d’une journaliste, “que comptez-vous faire ?”, Donald Trump a répondu “de grandes choses, des choses merveilleuses” avant d’ajouter “c’est-à-dire des emplois, beaucoup d’emplois”.

    Lire la suite sur lesechos.fr

    TVL

  • Avignon n’est plus en Avignon

    avignon.jpg

     

    Colonel à la retraite
     
     

    « Rome n’est plus en Rome », se serait exclamé le général Sertorius, 70 ans avant Jésus-Christ. Citation rendue célèbre grâce à Corneille et sa tragédie Sertorius : « Rome n’est plus en Rome. Elle est partout où je suis. » Citation évoquée aussi au Moyen Âge, lorsque les papes s’exilèrent à Avignon, d’où ils gouvernèrent durant 70 ans la chrétienté. Rome était en Avignon. Et, aujourd’hui, plus de deux siècles après que la cité des papes a été rattachée à la France, comment ne pas s’exclamer : Avignon n’est plus en Avignon !

    La municipalité socialiste semble, en effet, avoir décidé de bannir de l’espace public tout ce qui pourrait rappeler les racines chrétiennes de la cité papale. Certes, on ne détruit plus les écussons sur les frontispices des vieux hôtels, comme on le faisait sous la Révolution, mais le cœur y est. Ainsi, la crèche, naguère encore exposée dans le hall de l’hôtel de ville, a été reléguée au fond d’une église désacralisée, la prochaine étape étant, peut-être, l’exil définitif extra-muros, au-delà non pas du Nil mais du Rhône. Le marché de Noël qui, certes, n’était pas une tradition ancestrale, mais entretenait, sinon l’esprit, tout du moins l’ambiance de Noël, a été carrément supprimé.

    « Cette année, c’est à un Noël pas comme les autres que nous vous convions : l’animal totem de la cité des papes pour ces fêtes de fin d’année nous vient tout droit d’Afrique. L’animal au long cou a choisi de poser ses valises, le temps des festivités, »

    ​‌”

    déclare fièrement, sur le site Internet de la commune, le maire socialiste, Mme Cécile Helle.

    Un Noël pas comme les autres, effectivement. Et l’on ne croit pas si bien dire. Ainsi, samedi 17 décembre, en plein centre-ville, une manifestation était organisée – autorisée, semble-t-il, par la préfecture – par une association Respect, Egalité, Dignité, sous prétexte de soutenir les Aleppins massacrés par le régime d’Assad. En toute impunité, une toute petite centaine de personnes, dont de nombreuses femmes voilées, ont pu scander des slogans pour le moins douteux, amalgamant Daech à Israël : « Vous barbares, vous fachos, vous sionistes, on sera toujours là dans la rue… » « On est descendu quand Daech faisait des massacres. On est descendu lorsque Israël faisait des massacres. » Le Front national et ses électeurs en prirent largement pour leur grade, amalgames et raccourcis d’usage aidant : « Vous avez oublié Hitler… » « Voter Front national, vous n’avez pas honte… » « Vous êtes capables de les jeter dans la mer… » « Vous croyez que voter pour des fachos, voter pour des barbares, ça va vous amener la paix en France. Vous croyez vraiment que Marine Le Pen va vous amener la paix en France. C’est que vous êtes encore plus cons que ça si vous le croyez. » Ce qui nous confirme, en quelque sorte, que la guerre est en France…

    Invoquant alternativement les Lumières, la Révolution, la Résistance, le prophète Jésus-Christ et… le dieu de Mahomet – « Allah akbar ! » -, la manifestation se déploya tranquillement dans la vieille cité des papes, aux accents de musique orientale, et s’acheva par une prière en langue arabe devant l’hôtel de ville.

    À noter ce slogan, plusieurs fois scandé : « À Alep, résistance. En Syrie, résistance. En Palestine, résistance. Dans nos quartiers, résistance. À Avignon, résistance. » Résistance à Avignon : contre qui, on se demande ?

    Et l’on nous dit que Philippe de Villiers exagère !

    BV

  • La Renaissance de l’Europe appelle la Renaissance de l’Europe de la Méditerranée : qui la relancera ?

    thumb.jpg

     

     

    Michel Lhomme, philosophe, politologue ♦

    Le premier ministre hongrois Viktor Orbán s’est rendu à Cracovie, en Pologne. Il a discuté avec le premier ministre polonais Beata Szydło sur le problème des  migrations et a fait le 9 décembre un  discours très remarqué à l’Est où il a parlé clairement d’une « Renaissance de l’Europe centrale ». Ce discours fut prononcé à l’Université Jagellonne pour commémorer le grand historien polonais Wacław Felczak, toujours inconnu en France.

    Selon Viktor Orbán, l’Europe centrale vit une véritable renaissance, avec un développement et un renforcement dynamique. C’est aussi ce que nous pensons. Les Hongrois et les Polonais ont compris qu’ils doivent prendre leur destin en mains et qu’ils ont  un occasion unique et historique de faire de l’Europe centrale la région la plus prospère de l’Europe et du monde.

    Ils ont en effet l’occasion unique de déplacer le centre européen de gravité de Berlin à Varsovie et c’est bien à quoi semble travailler en réalité le groupe de Višegrad, (le V4) depuis le début. La défection de l’Autriche en raison du résultat des élections de décembre ne fera  que retarder ce mouvement historique. Si dans le passé, les Habsbourg, les Allemands et les Soviétiques avaient aussi essayé d’organiser l’Europe centrale, c’est de nos jours, par l’entrisme européen au sein même de l’Union Européenne que le rêve de la Mitteleuropa pourrait se réaliser. Pour le premier ministre hongrois, les Polonais et les Hongrois ont un destin commun même s’il faut se rappeler ici qu’après la Seconde Guerre mondiale, les Hongrois étaient « du côté des perdants et des coupables », alors que les Polonais étaient « du côté des gagnants  ». Tous deux eurent finalement le même sort : les Hongrois comme punition, les Polonais comme récompense. Ils furent occupés tous les deux par les Soviets et le communisme.

    Le groupe de Višegrad pourrait aussi être un grand allié pour le glacis européen des pays Baltes et de Lituanie . S’il y avait  un homme de l’année européen, ce serait Viktor Orbán par sa fermeté vis-à-vis du grand remplacement programmé et orchestré par les ONG via les pseudo  »réfugiés » et par sa vision politique du groupe de Višegrad, sa contribution décisive à la renaissance de l’Europe centrale.
    Sous Sarkozy, la France aura raté le coche de l’Union pour la Méditerranée, idée que nous avions pourtant défendu mordicus à une certaine époque mais qui fut sacrifié  sur l’autel de la géopolitique par le financement corrompu d’une campagne électorale qui impliquait l’élimination de son pourvoyeur, le colonel Kadhafi et la riposte américaine des  »révolutions arabes ».

    Aujourd’hui, l’Union Européenne est plus que gênée par la Renaissance de l’Europe centrale. Elle ne s’y attendait pas et n’avait envisagée la grande intégration des pays de l’est européen que comme une grande acquisition financière.  L’Europe actuelle construite sur la seule logique du marché conduira à la chute de l’UE, avec toutes les conséquences économiques qui auront un impact non seulement à l’Est mais aussi en Europe occidentale, au Sud et au Maghreb.

    Coopérer avec les pays de l’Est et de l’Europe du Sud, avoir une conception réelle de la puissance européenne et du monde articulée autour d’une vision géopolitique nouvelle de l’Europe, c’est ce qu’attend François Fillon s’il venait à être élu, mais cette vision géopolitique suppose qu’il s’arrache de l’Europe du capital. En est-il réellement capable ?

    C’est l’intérêt pourtant pour une fois du centre et de la périphérie. Il suppose la renaissance de l’Europe centrale mais aussi de l’Europe méditerranéenne (France, Italie, Espagne, Grèce) principales victimes des migrations planifiées comme arme de guerre.

    Illustration : Pays du Groupe de Visegrad.

    METAMAG

    Un article intelligent et clair! Merci à son auteur.

  • Clèves (Allemagne) : un père allemand salué comme un héros par la police après avoir sauvé sa fille d’un viol par un migrant syrien

    screenshot_235.jpg allemagne clèves.jpg

     

    0h56

    Un père allemand est salué comme un héros par la police après avoir sauvé sa fille d’un violeur réfugié

     

    L’homme de 57 ans a couru jusqu’au lieu du crime dans la ville de Clèves après que sa fille lui a téléphoné pour lui dire qu’un homme la suivait. Quand il est arrivé, l’homme avait frappé sa fille, presque inconsciente, et déchirait ses vêtements après l’avoir traînée du côté du sous-bois.
    Son père, qui est arrivé sur les lieux à l’aide d’un scooter, a sauté en criant, et a frappé l’agresseur à plusieurs reprises.Il l’a ensuite retenu tout en appelant la police et une ambulance avec son téléphone portable.
    (…)
    Son agresseur, âgé de 23 ans, vit dans un foyer pour demandeurs d’asile à Clèves.

    (…)

    Express.co / Die Welt / Spiegel

  • États-Unis : Fiat-Chrysler devance Trump et rapatrie la production d’un modèle (Màj)

    9559512BF7D264000005783224244imagea581441555231875.jpg Trump chrysler.jpg

     

    21h34

    Fiat Chrysler va investir un milliard de dollars d’ici à 2020 dans deux de ses usines dans le Michigan et l’Ohio. Le groupe automobile compte y assembler notamment sa nouvelle jeep de luxe et son pickup de marque Ram, actuelleent fabriqué au Mexique. 2.000 emplois doivent en outre être créés.

     

     

    Fiat Chrysler a annoncé la création de 2000 emplois et le rapatriement de la production d’un gros pick-up aux États-Unis, au moment où les constructeurs automobiles sont sommés par le président élu américain Donald Trump de freiner leurs délocalisations vers le Mexique.

    Encore une victoire de Donald Trump? Le président-élu américain peut en tous cas se satisfaire de voir un nouveau constructeur automobile rapatrier une partie de sa production aux États-Unis. Le groupe italo-américain Fiat-Chrysler va investir un milliard de dollars d’ici à 2020 dans deux de ses usines dans le Michigan et l’Ohio. 2000 nouveaux emplois seront créés pour assembler notamment sa nouvelle Jeep de luxe Wagoneer ainsi qu’un pick-up, précise son communiqué publié à la veille de l’ouverture du salon automobile de Detroit. Il va également produire dans son usine de Warren (Michigan) une grosse camionnette à plateau (pick-up) de marque Ram, actuellement fabriquée au Mexique.

    Le groupe « apporte une démonstration supplémentaire de son engagement à renforcer sa base manufacturière aux États-Unis« , assure Fiat Chrysler, prenant bien soin d’ajouter qu’il a créé 25 000 emplois dans le pays depuis 2009.

    Le message semble indirectement destiné Donald Trump, qui a été élu sur la promesse de ramener des emplois industriels aux États-Unis et qui a multiplié les menaces contre les géants de l’automobile, accusés d’implanter leurs usines au Mexique pour y fabriquer à moindre coût des voitures destinées aux États-Unis.

    Ford, Toyota et GM ont déjà plié

    Par tweets interposés, Donald Trump, qui prendra ses fonctions le 20 janvier, s’en est ainsi pris tour à tour au numéro un américain du secteur General Motors et au leader mondial, le japonais Toyota, assurant qu’il n’hésiterait pas à leur faire payer de « lourdes taxes frontalières » s’ils ne changeaient pas de cap. Les deux groupes, dont le cours de Bourse a été aussitôt plombé par ces menaces, ont réagi en assurant continuer à investir aux États-Unis.

    Également durement critiqué par le président élu pendant sa campagne, l’américain Ford a, lui, décidé mardi d’abdiquer en annulant la construction d’une usine de 1,6 milliard de dollars au Mexique pour investir dans une de ses installations existantes dans le Michigan et y créer 700 emplois. Le constructeur, numéro 2 américain, a invoqué un « vote de confiance » dans l’agenda économique du futur président américain, qui a notamment décidé de sabrer l’impôt sur les sociétés.

    Fiat Chrysler a pour l’heure été épargné par les attaques du président élu mais est toutefois loin d’être à l’abri. Il a ainsi récemment transféré vers le Mexique la production de sa Jeep Compass qui commencera à être exportée vers les États-Unis à partir de la fin janvier. Renfloué en 2009 par les fonds publics alors qu’il était acculé à la faillite, il dispose de trois sites industriels au Mexique –Toluca, Ramos Arizpre et Saltillo– où il produit essentiellement des pick-ups mais aussi les Fiat Fremont et Fiat 500.

    Renault est « pragmatique » assure Carlos Ghosn

    D’autres groupes automobiles ont, eux, par avance montré patte blanche, en se disant prêts à s’adapter à la nouvelle réalité politique américaine. « Nous sommes pragmatiques, nous nous adapterons à n’importe quelle situation, à la condition que ce soit la même règle pour tous », a ainsi indiqué jeudi Carlos Ghosn, le patron de l’alliance Renault-Nissan, lors du CES de Las Vegas.

    Donald Trump pourra en tout cas revendiquer un nouveau succès politique, après avoir déjà obtenu en décembre –moyennant un cadeau fiscal de 7 millions de dollars– du fabricant de climatiseurs Carrier qu’il renonce à créer une usine au Mexique pour investir aux Etats-Unis et y créer 1000 emplois.

    L’industrie automobile a utilisé l’accord Aléna, qui lui permet, sous certaines conditions et sans droits de douane, d’exporter vers les États-Unis des marchandises produites au Mexique où la main d’oeuvre est moins chère. Pendant la campagne, cet accord de libre-échange signé en 1994 a été inlassablement attaqué par Donald Trump, qui a promis de le renégocier ou de le dénoncer purement et simplement.

    L’Express